Il n'y a rien d’intéressant a regarder les armes pouvant avoir tirer le carreau. Monsieur Alford semble récupérer du choc. Bientôt le camp se calme et peut à peut, il s'endort. La nuit se passe bien sans autre problème, comme d’ailleurs la journée du lendemain.... Dans l’après midi, Tobold remarque, loin derrière eux, un cavalier, il porte sur sa lance le fanion des postes, il se rapproche doucement. Notre homme signal cette présence au deuxième garde, qui le signale bien vite a Monsieur Cavendish Porridge. Le chef de la caravane demande à Monsieur Alford d'attendre le cavalier, pour connaitre les intentions de celui ci. Monsieur Alford attend l'arrivé du courrier, Qui se présente sous le nom Sergent Enguerrant Adlemse, courrier royal, qui se dirige vers Lyssa. Il a un une épée courte, et aussi le petit cor des postes. Les hommes hommes allonge le pas pour rattraper la caravane. Le second garde en profite pour poser des questions anodines, et Monsieur Alford reçoit donc des réponses du même ordre.
Ils finissent par rejoindre en début de soiré le convoie, au moment ou il forme le cercle pour la nuit. Le Sergent se présente aussitôt à Monsieur Porridge et demande la permission de passer la nuit. Ce que le bonhomme s'empresse d'accepter. Tobold a déjà commencer à prépare à manger, quand le Courrier vient le voir pour savoir si il pourrait grignoter quelques choses. Après avoir longuement réfléchit, notre homme lui propose des fayots aux lards...... Pendant que le militaire mange Tobold lui pose des questions, sur la vie militaire, et sur le travail de vaguemestre. Tobold voit arriver le second garde et lui donne une ration de Fayot aux lard.
" - Sergent, pouvez vous me conter les exploits du Général Riwoile?"
Là, l'homme d'arme est intarissable, et raconte les exploits de homme, qui est mort les armes à la main, et droits dans ces bottes. Notre homme rajoute une portion au deux hommes. A la question si il connaissait Madame Riwoile, le Sergent Enguerrant Adlemse éclate de rire en disant que Général aimait trop les hommes pour se marier avec une personne du beau sex......

Dans tout les cas les petites questions qu'il adressa au messager ne lui rapportèrent pas vraiment grand chose, mais bon. Au final il verrait bien s'il avait quelque chose de plus intelligent en tête à demander.

Au final on arriva assez vite au soir au moment de la pose tant attendue. Alford avait faim, et il alla voir au passage le courrier car il avait bien quelques autres petites questions à poser, d'ailleurs il entendit Tobold demander quelques petites choses au courrier, et écouta attentivement l'histoire de ce dernier sur le général Riwoile, l'homme avec laquelle avait été mariée l'une des deux femmes du convoi.

En soit le récit était assez impressionnant, ce géneral semblait être un grand homme après tout. Une belle histoire de guerre quoi, le seul hic à vrai dire. Mais le seul hic qui faillit faire presque s'étouffer Alford quand celui-ci avala de travers ses fayots, c'est que le courrier disait que le général aimait bien trop les hommes pour se marier avec une femme….

Bon sang ! Mais ? L'une des deux femmes du convoi était la veuve de ce fameux géneral bon sang ! Mais ? Est-ce que ? Mais oui ! Elle avait sans doute du mentir ! Une fausse idenditée ! Bon sang ! Il soupçonné l'une des deux femmes du convoi d'être l'assassin, et visiblement il ne semblait pas du tout s'être trompé. Alford reposa donc son bol de fayot par terre, et dit calmement.

« Ramenez Porridge ici, je dois lui parler de quelque chose, mais avant je dois aller voir cette soit disante veuve du général... » Bon sang ! Si cela se trouve ils venaient tous de se faire rouler par cette femme, cette dernière avait sans doute dû mentir sur son identité, elle devait sans doute avoir un lien avec les bandits, ou être le présumé assassin il fallait donc prendre les mesures qui convenaient.

Sur ce il prit son arbalète an main, et alla arrêter la veuve pour la menotter. Ce serait déjà une bonne chose de faîte le temps que l'on tire cela au clair, et cette fois-ci il la garderait bien à l’œil...

Tobold retiens le garde, " - Vous n'avez aucune preuve, et ce n'est qu'une partie de l’énigme. Il faut aussi trouver le mobile or cette Dame n'a strictement aucun mobile. Tout ce qu'on peux dire c'est quelle a un pied de petite taille, comme moi d’ailleurs. Il ne faut pas savoir qu'on la soupçonne. Sergent Adlemse, la Mangouste cela vous dit quelque chose? .....Un chef de bande qui terrorise la région, vous dites! Et vous précisez qu'il ne s'attaque jamais au forces de l'ordre, c'est la raison pour laquel vous voyager seule. Et vous dite que cela fait des années que cela dure, que seule la caravane de Porridge ose passer, il y a parfois des ennuie avec la Mangouste, mais il semble s'en sortir.... surtout qu'en fin de compte c'est le seule transport de passagers et de marchandises qui existe entre Lyssa et Aldaria, vous êtes sur de ce que vous dites, mais tout cela n'explique pas l'assassina de Solata Latourte, ce que l'on sait cet homme voulait acheter un bateau.... Il nous reste encore des choses à trouver Monsieur Alfort. Merci Sergent ....Ha, si Sergent Adlemse, cette carte vous dits quelques choses?" Notre homme sort la carte qu'il avait trouvé dans la diligence, mais elle ne dit rien Sergent . " - j'ai une dernière question," dit De Mangroves en tendant son flash d'alcool de myrtille, " - Le mot sifak vous l'avez déjà entendu? non! Merci Sergent, bonne nuit. " Le courrier, s'installe prêt d'un grand feu.
La soirée puis la nuit se passe tranquillement, ils ne sont plus qu'à quelques jours de la grande ville. Le Sergent est déjà partie depuis un moment, quand la caravane s’ébranle à son tour. Le ciel est nuageux et gris et on entend le crie des goélands. La route longe la mer.

Mais finalement il semblerait que ce ne soit pas encore l'heure de confondre la soit disant veuve… Mmhh Alford devait avouer que l'impulsivité pour le coup aurait pu lui être nuisible surtout s'il agissait sans savoir ce qu'il devait exactement faire…

Puis Alford s'installe à nouveau calmement pour écouter toute la petite histoire de Tobold, et du sergent. Cela donne à réfléchir, beaucoup à réfléchir voir même beaucoup trop. Comme cela Porridge serait le seul chef de caravane à passer par cette route depuis quelques années, et il connaît depuis tout ce temps des ennuis avec la mangouste, mais arrive à chaque fois à s'en sortir ? Cela semble tout de même trop gros pour être une simple coïncidence, c'est peut-être le fait qu'il ait faillit se faire assassiner il y a peu qui rend le mercenaire un tantinet paranoïaque, mais bon après tout l'on est jamais trop prudent ! Surtout quand c'est une histoire aussi compliquée que celle-ci…

Dans tout les cas on se doutait maintenant de l'identité probable du meurtrier, voir des meurtriers…

« Si ça se trouve la veuve est une passagère récurrente de la caravane de Porridge ... » Se demanda Alford pour lui-même, mais assez fort que Tobold l'entende, problème de bandits récurrents, et tout ce genre de choses semblaient fichtrement louche…

Puis le lendemain arriva à son rythme après, déjà Alford commence à y voir plus clair, enfin il pense. Il a trois théories probables à toute cette histoire. Soit c'est la veuve l'assassin, elle pourrait être un passager récurrent, ou pas de la caravane et c'est elle que l'on doit soupçonner, ou bien Porridge est en accord avec elle, pendant qu'il escorte la caravane ils s'assurent qu'une belle partie des passagers meurent en cour de chemin pour prendre leurs argents… Et Porridge pourrait aussi avoir un accord avec les bandits qu'il fait qu'il passe depuis toutes ces années sans aucun souci… Peut-être que c'est lui la mangouste ? Ou c'était la veuve ? Dans tout les cas il était sûr que tout cela avait un lien, et il commençait à se dire qu'il était probable que Porridge soit plus, ou moins impliqué dans cette histoire d'assassinat…

Dans tout les cas pour le moment il savait quels membres du convoi surveiller, et auquel demander de surveiller son arbalète pour que l'on arrête de la lui prendre. Néanmoins il fallait encore qu'il réfléchisse… Tobold disait qu'il fallait un mobile… Tout le monde savait maintenant qu'il s'amusait à enquêter sur cette histoire, dur de demander donc des réponses à chaque membre du convoi… Surtout aux deux concernés qui se méfieraient encore plus qu'ils ne le faisaient déjà…

Tout ceci était fort compliqué au final. Quel genre de mobile aurait pousser à tout cela ? Est-ce que c'était le profit ? Voler l'argent des passagers morts ? Et dans ce cas-là à chaque voyage il y avait des morts ? Mais dans ce cas-là à force cela aurait du porter à soupçon… Même si le fait que ce soit le seul convoi qui passe entre Aldaria, et Lyssa ne laissait pas forcément beaucoup de choix…

Ou bien c'était des règlements de compte, mais dans ce cas-là il avait bien peu d'éléments pour justifier chaque meurtre, à part éventuellement celui de Solata...

La Caravane est repartie depuis un moment. On sent sent qu'il y a un problème, que quelque chose couve, que bientôt un orage va éclater. La meilleurs solution pour notre homme, serait de fuir ce qui va se passer, car il vas arriver forcement quelques choses....... Il se passe que Cavendish Porridge sur son cheval est en tête, suivit de Thirev Nahok, le premier garde, qui semble allé beaucoup mieux d’ailleurs, comme si sa blessure avait été faite superficiellement. Il suit son chef constamment et parle souvent aux trois conducteurs des wagons. Nerev Aajras, Sïala Nymot, Edairt Noradla. De Magroves remarque que Madame Leiëllires Riwoile la veuve du Grand Général Riwoile, qui est enceinte, ce qui n'est pas une maladie, est maintenant sur la banc de conducteur à coté Nerev Aajras. On sent comme un grand fossé, il y a quarante mètres avec le reste du groupe, conduit par le second garde, Monsieur Alfort, Mallaw NailyK le conducteur de la diligence, Mademoiselle Mathyldaën Eonic, l' Entraîneuse au Frou-Frou de Lyssa et Monsieur Nikkadla Sorrovij et Notre homme, ne l'oublions pas. Les deux parties de la caravanes continue d'avancer.

Dans l’après midi alors que alors que la région est desserte, Tobold voit partir du premier wagon un pigeon......Monsieur Nikkadla Sorrovij vient prendre un thé à la cuisine et se met à parler à notre homme. Ce brave homme sent aussi que quelque chose va se passer, bientôt! En discutant de chose et d'autre Tobold le questionne et apprend par hasard que Sifak est l'un autre nom pour designer la Mangouste.....! Notre homme est troublé et il prend la carte qu'il a trouvé dans la diligence, mais un coup de vent la fait s'envoler et atterrir à deux mètres et là, De Mangrove comprend, il a prit jusque maintenant la carte à l’envers, mais à l'endroit tous s'éclaire, Il voit dessiner ra Whylorel, et la cote sud d'Armanda. Il y a alors deux routes de tracées, la première c'est celle de la caravane et une autre avec un grand parcourt en bateau et une petite partie par terre jusqu’à un petit port. Monsieur Solata Latourte a été tué parce qu’il voulait créer une autre route plus rapide pour aller de Adaria à Lyssa...deux trois jours de caravane et deux trois jours en bateau.....

C'est alors que ce passe deux choses, devant les wagons forment un barrage, et Monsieur Alford signal de la poussière une troupe armée portant avec un fanion sur lequel est dessiné une mangouste............arrive derrière eux!

Décidément il semblerait qu'il y ait une certaine tension dans l'air pensa le mercenaire, surtout qu'il se mettait à être très prudent pour le coup. Du coup tout ce qui pouvait paraître suspect l'était pour Alford, sans doute à raison au final… Surtout que maintenant la caravane est séparée en deux partie relativement distante ce qui n'est absolument pas pour le mettre en confiance vu qu'il fait partie de la deuxième partie, et que la première est occupée par les deux grand suspects de toute cette histoire, dans tout les cas le mercenaire ne se gêne pas pour les surveiller de loin de là où il est…

Puis le temps passe, et alors que l'on prit une pause, et qu'il semblerait que Tobold découvre quelque chose qui visiblement était très intéressant, eh bien… Gorder va voir ce qui se passe, les wagons forment un barrage devant eux, et une troupe armée arrive au loin derrière… Bon sang c'était ça ! Solata avait échafaudé un plan qui aurait pu ruiner Porridge, et ce dernier s'était mit d'accord pour le faire taire avec ses employés, et comme Alford fourrer son nez partout, ainsi que Tobold les deux étaient maintenant à éliminer, et pour cela la mangouste envoyait ses hommes qui étaient en accord avec Porridge. Tout devait clair tout à coup pour Alford.

Et il ne valait donc mieux pas perdre de temps… Il n'avaient donc que la diligence, et la cuisine retranchée, et environ une dizaine de minutes, ou un quart d'heure au mieux pour se préparer pendant que cinq hommes qui semblaient armés hallebarde, et d'épée arrivaient au loin…

Ah oui il ne lui restait que deux, trois carreaux dans son carquois, un problème en plus en résumé… Il fallait donc organiser le tout, l'esprit tacticien que son totem dotait à Alford entra donc en jeu, et ce dernier donna les autres, après avoir demander à chacun ce qu'il savait de potentiellement utile…

« Sorrovij, prenez vôtre arbalète, je vais vous aidez à monter sur la diligence, et vous tirerez depuis cette position surélevée. Demoiselle quand à vous cachez vous derrière la diligence, et tirez leurs dessus depuis, s'ils s'approchent trop vous courrez je doute après tout qu'ils puissent vous poursuivre avec leurs armes, et leurs armures… Vous là vous prenez vos cocktails molotov, vous vous cachez derrière quelques caisses que nous mettrons devant vous, et vous jeterrez vos cocktails molotov dans l'herbe, et sur l'huile que je vais me charger de répandre un peu partout par là où arrive ces bougres. Tobold quand à vous si vous voulez montez sur la diligence, et lancez vos sorts depuis là faîte-le, mais d'après ce que j'ai vu vous avez un certain talent pour l'improvisation donc vous avez cartes blanches si vous le désirez. Pour ma part je vais répandre l'huile, aidez Sorrovij à monter sur la diligence, et je tirerai depuis les caisses sur ces malandrins, s'ils arrivent trop près je dégainerai mon espadon. Que les Esprits vous gardent mais amis ! Moi qui me disais que ça allait être une sale journée... » Conclut-il.

Puis par la suite on veille aux préparatifs pour accueillir en bonne, et dû forme les 5 soldats armées hallebardes, en espérant que ça suffise. Après tout à part Alford il n'y avait que des civils parmi les cibles de la Mangouste...

Une embuscade, ils sont tombés dans une embuscade. En vitesse sous les indications de Monsieur Alford ils positionnent la cuisine,la diligence, et quelques mals, de façon a faire une barricade. Le vent est toujours violent et vient de l'ouest..... Donc le vent se dirige vers..... les bandis! Pendant que le garde prépare son arbalète, avec devant lui que quelques carreaux...... Sur le toit de la diligence Monsieur Mallaw NailyK est prêt aussi, une dague entre les dents. Mademoiselle Mathyldaën Eonic retire sa robe et elle montre à tous, son superbe porte jarretelle rouge, une petite culotte noir et deux dagues dans des superbes étuis doré, ces dernier ustensiles... notre homme ne lui connaissaient pas. Elle ramasse quelques cailloux qu'elle dépose sur une marche du véhicule de transport et sort une fronde avec un sourire peux engagent pour leurs ennemie. Monsieur Nikkadla Sorrovij se révèle être représentent de commerce en alcool et spiritueux et sort sa malle dans laquelle se trouve ses échantillons qui pourrons servir de bombes incendiaires, pour allumer de l’huile que Monsieur Alford a sortie de la cuisine est a rependu devant leur fortification. Très bon le petit échantillon d'alcool de Mirthyl..... Le représentant demande a l’entraîneuse si il peu déchirer la robe pour pouvoir faire des mèches pour enflammé les flacons d'alcool, la Demoiselle accepte avec son petit rire mignon, notre homme sortant de sa gibecière, son briquet amadou et le prête pour allumer les mèches. Tobold sort sa cuillère en bois et un petit sachet de poils contenus dans les cynorrhodons ce pois mascate, que notre homme répand dans le creux de sa cuillère, et dans un geste il lance et éparpille avec son indispensable instrument de cuisine, dans le vent. Les poiles arrivent en contacte sur les cinq hommes qui commencent a ralentir, puis s’arrêter et se mettent à se gratter. Alors pendant que les deux arbalétrier surveillent la Mangouste et sa troupe, la jolie Demoiselle et les deux hommes bombardent de cailloux les brigands qui reculent.........

Alford évita de trop regarder la demoiselle un peu dénudé même si pour le coup c'était assez dur à vrai dire… Enfin fichtre il fallait qu'il se concentre sur le combat pensa t-il… Bon sang il faudrait qu'il se paye une nuit dans un bordel s'il le pouvait un jour, vu sa popularité avec les femmes ce serait sans doute la seule façon de décompresser un peu à ce sujet là pensa t-il… Enfin avant de penser à cela il fallait d'abord essayait de survivre à ce qui se tramait pensa le mercenaire en achevant de recharger son arbalète… Bon il était près pour un tir, autant ne pas le gâcher…

Alford regarda donc avec une certaine satisfaction le petit jeu de Tobold qui semble plutôt bien marcher sur les bandits… Avec un peu de chance ces derniers vont se contenter de fuir sans chercher plus que de nécessaire les ennui, à vrai dire ce serait l'idéal, mais un mercenaire comme Alford restait prêt néanmoins. Il rester braqué sur son arbalète, prêt à descendre un bandit si possible, puis il retourna son attention sur les wagons qui bloquaient la route non loin…

Et visiblement Tobold semble plutôt bien se débrouiller sans lui avec la demoiselle, les bandits reculent déjà… Alford jetta donc encore quelques coups d'oeils vers les wagons, puis une petite idée lui vînt en tête.

« Passez moi deux de vos bouteilles, j'en ai besoin ! » Dit calmement le mercenaire au représentant en alcool avant de ce saisir des dîtes bouteilles puis il s’élança en direction des deux wagon. Il enflamma le tissu des bouteilles, et en lanca une sur les wagons en bois, et l'autre par dessus. Comme il s'y attendait Alford entendit le bruit de chevaux qui s'excitent, et les deux wagons commencèrent peu après à partir en flamme… Si Porridge voulait échapper à la ruine maintenant il était sûr que ses wagons, et son argent allaient partir en fumée, il ne restait plus qu'a s'occuper de l'homme pensa t-il… De toute façon il ne reste plus que deux-trois jours de voyage vers Aldaria, et la diligence, et les chevaux qui leurs restaient seraient bien plus que suffisant pour le petit groupe des voyageurs qui n'avaient rien à se reprocher… Donc enflammer les deux wagons n'était pas trop grave en soit...

Dans tout les cas si Porridge voulait ne pas finir en cage il devait venir lui-même se charger d'eux avec la mangouste maintenant que sa petite manigance avait été découverte. Alford doutait qu'il prenne le choix de fuir si la possibilité de laver le linge sale lui était offerte, et il comptait bien en profiter pensa t-il en retournant à la diligence, il monta sur le cheval qu'on lui avait laissé, et prit en main son arbalète... Décidément cela ne lui déplaisait pas vraiment d'enfin passer aux choses sérieuses...

Tobold regarde les hommes s’éloigner en se grattant et en retirant leurs vêtements... Il empêche Mademoiselle Mathyldaën Eonic et Monsieur Nikkadla Sorrovij, de les poursuivre. " - Ce n'est pas le moment de vous effeuiller complètement Mademoiselle, bien que cela me plairait de revoir votre superbe plastique, mais c'est ce qui se passera si vous vous avancé dans le nuage de poiles à gratter, ce n'est pas le moment, si nous tenons a survivre à cette aventure. Quoique, Monsieur Alford, semble avoir une certaine maîtrise de la situation." Dit notre homme en sauvant des mains un des précieux échantillons du représentant de commerce en en portant le goulot à sa bouche et en le passant au conducteur de la diligence. Ils regardent l’incendie des wagons.
" _ Tenons position ici, avec les deux arbalètes, nous pouvons les tenir à distance. " La fumée provoquée par le deuxième Garde, monte haut dans le ciel, malgré le vent. C'est alors qu'ils remarquent loin à l'Ouest, un nuage de poussière. La troupe de la Mangouste allait recevoir des renforts? Tout en surveillant les alentours leurs ennemies qui les encerclent toujours. Ils commencent a voir de loin une troupe de cavalier en colonne par deux. Au moins une une douzaine de cavaliers. Nos amis se préparent a subir l'assaut final. Mais soudain, il se passe plusieurs choses, en premier, Porridge quitte subitement son camps sur son cheval en abandonnant ses troupes et il prend la direction du Nord Est : la Whylorel, suivit de prêt par les conducteurs qui ont détaché leur chevaux de trait et partent dans toutes les directions. Les guerriers à moitiés nu s'égaillent dans la nature. On commence à distinguer, la troupe qui arrive, et on aperçoit le Sergent Enguerrant Adlemse sonnant la charge avec son cor de postier...... " - La cavalerie, la cavalerie, on est sauvé, Monsieur Alford, on va pouvoir arriver à Lyssa, vivant!."

L'odeur de bois brûlé était agréable d'une certaine façon, en tout cas elle était un substitut très agréable, et honorable au sang pensa Alford. Rien de mieux qu'un petit feu après tout pour effrayer son monde. Il avait de la chance décidément que ces caravanes soient en bois, au moins c'était un bon début de vengeance contre ce satané Porridge, si le mercenaire ne pouvait pas le mettre en prison, ou l’occire dans le pire des cas au moins le chef du convoi perdrait sa caravane si précieuse pour laquelle il avait décidé de tuer, une belle leçon que cela « mal acquis ne profite jamais », après tout.

Dans tout les cas pour le moment cela était de bonne augure, quoique le fait que des cavaliers arrivent non loin ne l'était peut-être pas. Ces derniers n'étaient pas encore assez proche à vrai dire pour qu'Alford puisse deviner si c'était des bandits, ou non, mais il restait à cran. Il valait mieux que ce soit pas des bandits pensa t-il, ils étaient tellement nombreux. Et puis un homme en cheval en vaut dix après tout, et le mercenaire avait déjà un mal de chien à tuer un cavalier avec son espadon, alors là ce serait plus qu'ingérable à ce stade là, l'option prudente en fait serait de prendre son cheval, et de déguerpir en sens inverse, mais il y avait qu'un cheval, et Gorder ne voulait pas abandonner les membre restant du convoi… Il se contenta juste de prendre son arbalète en main, et de la baisser quand il sembla que les cavaliers soient des alliés, il remarque non loin que Porridge, et sa clique ce sont enfuis. Bon débarras !

« Super messire Tobold. Tout ce qui me manquerait au final c'est la paye que cette crapule de Porridge m'avait promis... » Dit-il un peu sombre, mais au final il le vivait bien à vrai dire. Ils étaient vivant après tout, et c'est tout ce qui comptait.

Puis il rajouta ensuite.

« Dommage que cette crapule de Porridge ce soit enfui messire Tobold, mais sincèrement je pense pas qu'il fera long feu, dans tout les cas si je tombe un jour sur lui à nouveau je saurai quoi faire. » Dit-il calmement au cuisinier avant d'ajouter au final.

« Hé d'ailleurs ! J'avais remarqué que Porridge avait planqué une petite partie de son butin dans la diligence, n'hésitez pas à vous servir, je ferai de même, ça compensera les jours qu'on a passé en compagnie de ce brigand héhé. » Dit-il avant de se diriger à la diligence pour y sortir les coffres remplies de babioles, et de bourses contenant des pièces d'or à l'intérieur avant de les déverser par terre pour que l'on se serve...

Dans tout les cas lorsque la patrouille arriva non loin ils apprirent vite que le postier était revenu avec les soldats en ayant compris qui était la mangouste, chapeau bas! Pensa Alford car il avait fait preuve d’une grande utilité ainsi. Dans tout les cas par la suite il s'avèrait que le premier garde, et la veuve n'étaient pas arrivés à s'enfuir, on avait du coup pu les constituer prisonnier, dommage qu'ils n'aient pas la langue bien pendue...

Au final la diligence repartit donc vers Lyssa, laissant la patrouille derrière elle. Le problème était qu'ils n'étaient maintenant plus que cinq, mais comme la vagabonde se rapprochait de toute manière, il ne risquait pas d'y avoir trop de problèmes. Enfin avec un peu de chance...

Spoiler:

De l'or cela pèse lourd et Tobold préfère prendre la toute petite bourse contenant deux petits diamants. Plus facile à porter, et pouvant être facilement négocier. Mais ce qui intéresse plus notre homme est le livre de comptabilité de la Mangouste. Il représentent en regardant les pages une somme d'argent considérable, et en feuilletant les pages il remarque à chaque ligne un signe. De Mangroves comprend que ce dessin q représente un lieu ou est dépose l'objet décrit sur la ligne. Tobold étudie, il répond à peine à la colonne de cavalier de Lyssa....... Et quand ils repartent en direction de la grande ville c'est Znerol le cheval qui conduit la charrette. Notre homme prepart du thé et des fayots aux lard, c'est le plus facile à faire. Pendant que les autres sont installer sur la diligence. Il entend Monsieur Mallaw NailyK, Mademoiselle Mathyldaën Eonic et Monsieur Nikkadla Sorrovij, s’associer pour fonder une compagnie de diligence entre Lyssa et Aldaria, en finissant les échantillons du représentant de commerce. Ils ont on ramassé un jolie pécule....... Notre homme lui, continue de lire le livre de compte, et trouve six signes de dépôts au total. Il cherche une indication ou ce pourrait ce trouver une des caches et relit le livre de connectabilité. A midi, pendant la pose notre homme, remarque qu'une ligne au lieux d'un des signes, il est marqué "à la dent." Et il y a parmi les signes quelques chose qui ressemble à une dent..... Il y a donc un un endroit avec un signe distinctif en forme de dent....
La Mangouste doit donc avoir une cache le long de la route, entre Lyssa et Aldaria, à quelque chose qui pourrait avoir une forme de dent ou un lieu dit la dent. Ces compagnons lui demande pourquoi il est soucieux. Tobold leur raconte tout l’histoire et contre toute attente le conducteur de la diligence dit connaitre une auberge pas loin, " la dent du dragon....."
Cela serai t'il une piste.

Alford en profita pour prendre quelques bourses remplies de pièces d'or, et les mettre dans sa gibecière, il en accrocha quelques autres au cheval, et laissa le reste aux autres, il a ainsi largement de quoi compenser les pertes qu'il a eu avec le rupture disons soudaine de contrat représenter par tout ceci, et en plus cela lui fera certainement de solides économies pour plus tard s'il pense à les conserver quelque part.

Dans tout les cas par la suite le départ se passa assez bien, bon vu que pour le coup Alford est le seul garde de la diligence il faut qu'il se montre encore plus prudent qu'avant, mais bon sang à ce stade là il avait surtout envie de parvenir à Lyssa sain, et sauf. Dans tout les cas il repartirait sans doute bientôt après s'être reposé dans un village non loin de la cité, avec tout l'argent qu'il avait amassé après tout il n'allait sûrement pas le dilapider dans les taxes honteuses de la cité marine, quand on est mercenaire il faut savoir faire des économies bien entendu, et éviter si possible ce genre de pièges malsain tendues par la noblesse, et aussi par les loi. Pas qu'il était pas honnête comme gars, mais des fois éviter les taxes n'était pas du tout malhonnête à un certain stade…

Puis pendant qu'il réfléchit il semble qu'il y ait une certaine histoire entre une cache d'argent de Porridge, et une dent de dragon qui est aussi une auberge pas loin. Alford se contenta donc de dire calmement.

« Vous avez compris du coup où l'on va faire halte, prochaine arrêt l'auberge de la dent de dragon mes amis ! » Se contenta t-il de dire calmement. Ceci dit ceci fait quelques heures plus tard le petit équipage s'arrêta à cette fameuse auberge, et avant de commencer les fouilles Alford pensa qu'il faudrait d'abord prendre ses marques, et décida que l'on va se comporter comme des clients normaux si ça se trouve après tout le gérant des lieux ne sait pas qu'il y a un trésor non loin… Il laissa donc la fouille au soin de Tobold pendant que lui s'occupé de distraire le patron en réservant des chambres, et en discutant du long voyage qu'il vinait de faire.

" - Ah! on va a l'auberge "la dent du Dragon", Ah! j'y aurais pas penser. Mais puisque que c'est sur la route........"
La caravane, enfin les deux véhicules avancent d'une allure régulière. Couché sur le toi de la diligence, Monsieur Alford, surveille les alentour aidé en cela de Monsieur Mallaw. La région est moins déserte et il y a des fermes de ci de là qui agrémentent le paysage. Ils arrivent vers dix huit heur à l'auberge de "La dent du Dragon." C'est un petit bâtiment à un étage, avec une cour entouré d'un mur, et d'une écurie. Il est peint en blanc avec des volets bleus, comme beaucoup de maisons dans cette région. Le toit est en tuiles romanes. Ils rentrent dans la cour, pendant que Monsieur Alford discute avec l'aubergiste Tobold étudie le menue. Avec une carte comme cela, l'aubergiste ne peut pas être foncièrement mauvais. Il y a des Huîtres de Lyssa gratiné....


C'est à ce moment là que Tobold demande à l'aubergiste, ce que représentent, le tableau qui se trouve dans l'entré de la salle commune......
" - Cela c'est la dent, la dent du dragon, une étrange pierre levée de huit mètres. Mais on ne peux y aller, elle est situé dans une propriété privé............Il y a un chien féroce, on ne peut pas y pénétrer."

Alford profita de sa discussion avec l'aubergiste pour obtenir les prix que ce soit celui d'un repas, ou d’une chambre, et pour tout avouer c'était plutôt honnête, cela expliquait sans doute pourquoi une crapule comme Porridge avait choisit cet endroit pour cacher une belle partie de son butin. Gorder se dit qu'il ne serait pas une mauvaise idée de passer une nuit ici, l'endroit avait tout sauf l'air louche, le propriétaire était accueillant, et de toute façon il n'avait pas l'air vraiment malveillant. Ouais sans doute que ce serait une bonne idée de passer une nuit ici pensa t-il, sans doute qu'il en parlerait aux autres. Étant le seul garde du lot il aurait pu décider de prendre immédiatement le commandement de la diligence, mais il préférait plutôt en discuter avec eux après tout il ne restait que quelques jours avant de rentrer à Lyssa. Autant ne pas en faire une affaire personnelle donc.

Puis Alford écouta ensuite l'aubergiste expliquait où était la fameuse dent de dragon… Ok pour le coup il restait juste à aller chercher le pactole donc, sans se faire prendre (de toute façon ils ne comptaient pas voler quoi que ce soit dans la propriété), et contourner le problème que poserait sans doute le chien.

Donc du coup Tobold, et Alford se sont donnés rendez-vous devant la propriété, le mercenaire avant d'y aller alla discuter avec le représentant en alcool qui lui donna une bouteille d'un certain breuvage, et Alford acheta ensuite un bout de viande encore saignant à l'aubergiste. Ceci fait il se rendit en premier à la résidence pour constater qu'effectivement le chien posait problème…

Lorsque Tobold arriva le mercenaire lui dit donc avec jovialité.

« Eh Tobold ! Par hasard vous ne seriez pas un mage assez puissante pour user d'une aura rassurante ? Car pour le coup je vous avouerai que ça pourrait nous être utile... » Lui-même était encore un faible mage donc disons que ce n'était pas le genre de magie à sa portée pour le moment…

Sinon Alford montra le bout de viande encore saignant, et la bouteille à tobold…

« Sinon j'ai bien cette viande que je vais aspergé de ce liquide que m'a conseillé le représentant en alcool. Si le chien bouffe ça il va être bon pour une petite sieste, si vous n'avez pas de meilleur idée je pense que c'est un bon plan pour avoir la paix... » Il a même prit une pelle avec lui si jamais y avait besoin de déterrer l'argent...

Tobold fait chut au garde et lui dit de le suivre…..Les deux hommes s’éloignent un peu. " - Il faute être discret Monsieur Alford, sinon…. " Le mercenaire explique son plan à notre homme sans faire attention à ce que ce que celui mange la viande crue et boive l’aquavit ……. " -Merci Monsieur Alford j’avais un peut faim et soif, à c’était pour le chien ? Votre plan n’aurait pas marché, un chien ne boit que ce que lui donne son maître…Ah au faite je suis un faible magicien, mais nous allons pouvoir rentrer, dans la propriété, je me suis renseigné et j’ai donc appris que c’était bien un chien qui était dans la derrière le mur, et ….attendez je vais vous présenter... Miss Esmelda, c’est une chienne battarde pur race, en chaleur. Je l’ai donc légèrement subtilisé à un fermier du coin..." Bientôt des ombres se dirigent vers le mur, parviennent à faire passer Miss Esmelda de l'autre coté du mur à l'aide de la couverture que Tobold sort de ça gibecière.
" - Il n'y a plus qu'a attendre monsieur Alford...." Dit notre homme une e fois qu’il a récupéré la couverture…. Bientôt On entend le terrible chien aboyer…furieusement, avec des gironnements sanguinaires, qui se transforment n gloups, puis en oufffffffff puis en … Bon ce qui se passe ne nous regarde plus…….
Les deux hommes en profitent pour passer le mur, plus loin et se faufilent dans la propriété, La nuit noir les submergent et ils s’approchent de la bâtisse. C’est une grande maison à un étage en pierre. Il y a des fenêtres fermées, on dirait une maison abandonnée, s’il n’y avait une légère fumée qui sort d’un conduit de cheminée. Ils font le tour du bâtiment et trouve aussi fermé une grande porte qui doit conduire à une écurie.... Par terre, Tobold distingue des traces fraîches de plusieurs chevaux, qu'à l'aide de flammèches réduites à un trais faible éclairage............" - Monsieur Alford, trois chevaux sont rentrés, ici, et là vous voyez cette marque de fer à cheval, c'est celle de la patte arriéré gauche de Zenrol le cheval de la Mangouste..... "

Alford regarde un tantinet sceptique le cuisinier qui se mit à boire la bouteille, et la viande saignante, et cru, car c'était un peu dégueulasse à voir à vrai dire à propos de la viande, mais bon. Il écouta ensuite les explications de Tobold qui avaient l'air de se tenir même si d'après ce que savait Alford des chiens ces derniers se goinfraient de tout ce qui était comestible à portée de dents. Après le fait que Tobold soit un faible mage ne l'arrangeait pas par contre, mais le plan de la chienne en chaleur était, disons tout de même assez astucieux, m'enfin il n'y aurait pas pensé tout de suite, mais quand même Tobold venait de voler un chien à son propriétaire… Au pire ils le ramèneraient sans doute, ce qui le faisait rire par contre c'est que la chienne porte le même nom que la princesse impériale, à croire que les fermiers avaient peu d'imagination côté nom…

Dans tout les cas ils mirent ensuite ce plan à exécution, et firent passer la chienne de l'autre côté du mur, Alford se contenta d'attendre patiemment en se demandant si le chien féroce obéirait à ses instinct, et visiblement ce fut le cas heureusement…

Et suite à cela Alford, et Tobold en profiteèrent pour s'infiltrer dans la demeure, bon la discrétion légendaire d'Alford est tout aussi inexistante fit que certain fit gaffe à tout ce qu'il faisait même si il était clair que quelqu'un dans la cour l'aurait facilement vu, visiblement il avait de la chance pour le coup… A part quand ils tombèrent sur les traces de pas de chevaux…

« Ok je crois qu'on a un souci... » Dit-il calmement en prenant son espadon en main, pour le coup le bon vieil acier de cette arme pourrait être utile… Il se rapproche de l'écurie, et dit calmement. « Je vais voir dans l'écurie, puis dans le maison, allez voir en premier là-bas si quelqu'un y est présent, avec un peu de chance on pourra profiter d'un petit effet de surprise. » Dit-il même s'il pensait que comme toute les fois où Gorder tâchait d'être discret ça allait juste finir en mêlée générale… Mais au final ce serait une bonne occasion d'en finir avec la mangouste une bonne fois par toute, et il ne disait pas non à cela...

" - A bon vous voulez rentrere dans la maison ? Vous avez les clefs ? " dit notre homme en jettans un coup d’eau a une ouverture…. " - Et Monsieur Alford regardez ce soupirai, le volet derrière est entrebâillé et le barre de fer tient a peine. " Trois minutes plus tard elle est est dessellée et les deux hommes pénètrent dans une cave, de la, ils passent un couloir ou il y a de la lumière dut à des torches positionnées régulièrement sur les mures. Ils trouvent un escalier en colimaçon, pas un petit escalier, non un immense escalier en pierre, pour que des chevaux puissent descendre et monter…. " - Cela va ou .. ?" dit De Mangroves, les deux hommes se regardent et dissident, comme un seule homme, poussé par la curiosité, à descendre. Et pour descendre ils descendent, les marchent sont de faibles auteur, il n'y a pas de lumière, Tobold lève le bras et il fait apparaître une faible lumiere... Depuis combien de temps sont ils dans le ventre de la terre, ils ne le déterminent pas pas. Il y a un silence glaciale, quand soudain venant du haut ils entendent les claquements de sabots sur le sol en pierres. Des chevaux descendent! Les deux hommes accélèrent leur allures. Cela doit faire dix minutes qu'ils sont dans cette ouvrage d'art. Ils finissent par arriver à la limite d'un couloir, de direction, Nord - Sud. Et coté sud, il y a de la lumière, et pas la lumière du jour. Ils partent dans cette direction et débouche dans une grande caverne naturelle remplit de stalagmitique et de stalactites. Il n'y a personne. Passant au centre de la caverne, coule une rivière. Il y a un débarcadère, avec une barge pontée amarrée. Echos qu'ils entendent leur font comprendre que les chevaux viennent d'attendre le couloir. Ils regardent la grotte, il n'y a pas de cachette..... Alors il se précipitent sur le bateau. Ils voient une trappe et descendent dans la cale ou se trouve des Tonneaux et se ils se dissimulent parmi eux.... Bientôt ils entendent des bruits, On fait monter les chevaux sur le bateau..... Ils perçoivent des ordres, le navire va partir...

« Vrai que ce serait compliqué sans les clefs de rentrer discrètement... » Dit-il, bien entendu que forcer la serrure serait pas très discret après tout, et d'ailleurs c'est avec un certain soulagement qu'il constata lui aussi qu'il y avait un passage possible. « Vous vous avez l’œil messire Tobold. » Dit-il calmement avant de s'occuper avec l'aide de ce dernier d'enlever la barre de fer pour profiter de l’opportunité, et ainsi aller à l'intérieur de leurs objectif, un escalier. Humhum pensa t-il, il devait y avoir un truc intéressant en bas sans doute… Et vu la taille de l'escalier, Alford devînt plus méfiant tout à coup car il sentait que c'était un mauvais coup, cette propriété n'était pas une simple propriété sans problème comme on peut en trouver partout… « Je sais pas, mais on verra bien. » Conclut-il, curieux comme il était il n'allait pas rebrousser chemin après tout, et visiblement Tobold aussi avait l'air de se demandait ce qu'il y avait en bas car il s'enfoncèrent tout les deux dans les profondeurs où menait cet escalier…

Et c'est guider par une petite lumière que les deux hommes descendent, descendent, et descendent encore, à croire qu'ils étaient tombés sur une caverne souterraine, ou quelque chose de ce genre là… Puis fichtre ! Pensa t-il en entendant les bruits de galops, il courut presque pour presser le bas, et éviter de se faire prendre par surprise en compagnie du cuisinier, sinon ils auraient tout deux des problèmes s'ils se faisaient rattrapés.

Au final ils débouchent tout deux dans une grande caverne naturelle, Alford contrairement à son habitude ne prit pas le temps de contempler tout cela, même s'il en avait envie car les circonstances malheureusement ne s'y prêtèrent pas. Ni une, ni deux n'ayant d'autres choix les deux compagnons de fortune embarquent sur le bateau, et se cachent parmi les tonneaux pour ne pas se faire repérer. Visiblement peu après le bateau est sollicité par les cavaliers, et ce dernier commença à avancer, Alford se demanda encore dans quoi il venait de s'embarquer en constatant qu'ils ne savaient aucunement tout deux où menait cette embarcation.

Au passage Alford finit par trouver au cour de ce petit voyage un sabord, une sorte d'ouverture, malheureusement pas assez grande pour passer à travers… En tout cas ce serait pas trop discret, mais au moins il pouvait regarder à travers… Alford au passage en profita pour manger l'une des pommes que Tobold a trouvé, et c'est dans le silence que le voyage se poursuivit pendant 3 bonnes heures avant de finir dans une immense grotte, où des bruits de pics résonnent comme dans une mine...

Puis les ennuis arrivent, le bateau s'immobilise, et Alford entend des voix, et des personnes arriver sur le pont du bateau...

« Faut qu'on se cache dans les tonneaux... » Dit-il calmement à Tobold, prenant un tonneau de vin qui se trouvait non loin, Alford se cacha donc dedans, en profitant au passage du vin à l'intérieur pour pouvoir se dissimuler si quelqu'un essayait de fouiller le tout, bon ça mouillait, et il sentirait le vin après, mais c'était toujours ça… Et c'est au moment où il finit de se dissimuler qu'il entendit le bruit de personnes ouvrant une trappe, avec un peu de chance les gugusses emmèneraient mine de rien les deux compères à l'entrepôt ce qui leurs permettraient d'avoir un instant de calme pour se concentrer, et surtout de se faire plus facilement une idée de la chose...

Ce cacher dans les Tonneaux? Tobold regarde par le sabord et voit une trentaine de gens en haillons arriver, avec des chaines à leur pieds nus. Ils sont sales, dépenaillés....des esclaves, ce sont des esclaves. Par les moustaches crochus de Lorenz! Ils sont accompagnés de deux gardes, un devant la colonne, l'autre fermant la marche qui semblent s'ennuyer fermement...... " - Monsieur Alford......?" Dit Tobold en se retournant, et il voit un tonneau se refermer........ Pourquoi pas, si il veux, ...... Il dispose de quelques minutes..... Il ferme le couvercle du tonneau du garde. Il retire son manteau, met sa gibecière, y retire de la garcette qu'il salie dans la crasse de la cale et a l'aide du nœud de boucle se crée une sorte de chaîne qui de loin peut ressembler à une chaîne, si on ne fait pas attention! Da sa gibecière il y dépose ses chausses. Notre homme retourne son manteau qui est vraiment abîmé, et semblera de loin délabré. Il se décoiffe là sans trop de mal, se salie le vissage, les mains et les pieds.....Juste à temps! Déjà les premiers esclaves arrivent et sont trop fatigués pour remarque que De Mangroves se mélange parmi eux, il ne dépareille pas et notre homme se met à s'occuper d'un certain tonneau qu'il aide à sortie de la cale. Très vite il se retrouve sur le débarcadère, a rouler le tonneau dans lequel se trouve Monsieur Alford. Qu'elle idée de se mettre dans un tonneau, il va être malade...Il entend les coups de pics, des dizaines d'hommes doivent travailler là! Et parmi les esclaves, qui portent, qui roulent des barriques, Tobold pénètre dans un couloir. Il y a des torches qui éclairent un tunnel taillé à coup de pics. Il voit partir à droite et à gauche partir des galeries de mines. Cette endroit est un gruyère, mais que cherchent t'ils? Et tous ces pauvres hères d'ou viennent t'ils? Ils arrivent dans une sorte de réserve. Les gardes les attendent à la sortie en les comptants..... Tobold n'a eu besoin que se se mettre à l'ombre pour passer inaperçue. Les gardes ont leur compte, et la troupe s'en va. Dés le calme revenu, il libère son complice de son tonneau, aïe il l'a ouvert à l'envers.... " - Comment allez vous Monsieur Alford?"

Dans tout les cas Alford vit que son plan semblait marcher a peu près, on ne fouilla pas le tonneau dans lequel il se cachait, en même temps un tonneau de vin… C'était bien le genre de tonneau où on ne s'attendait pas à ce que quelqu'un se cache, et qui ne s'ouvrait pas de toute manière sauf pour être utilisé… Par contre on ne pouvait pas dire qu'il appréciait énormément les roulements du tonneau dans lequel il se trouvait, pas qu'il avait le tournis même si quand même à force ça donner vraiment mal à la tête… Après tout ce n'est pas comme si il s'était déjà retrouvé dans un tonneau auparavant…

Dans tout les cas arriva enfin le moment où le tonneau s'ouvrit, quoique Alford a finit inexplicablement la tête en bas, et était littéralement en train de commencer à se noyer dans le vin quand on le libéra. Il sortit immédiatement avec assez de mal tout de même au vu du fait que le tonneau était à l'envers, et recracha le vin dans sa bouche sur le côté, pour le coup il sentait encore plus fort le vin que le plus appliqué des ivrognes…

« Je vais Bien, on va dire que c'est pas tout les jours quand a à disposition une aussi belle quantité de vin gratuitement... » Conclut-il puis il regarda calmement les alentours pour se faire une petite idée des lieux… Tout ceci était très suspect, visiblement c'était une mine, tenue par des esclaves comme il l'avait vu… En plus elle semblait assez large, et surtout très ouverte, un vrai labyrinthe, un labyrinthe où ils étaient tout les deux des intrus… Il fallait essayer de tirer le fin mot de toute cette histoire… « A ce que je vois vous vous êtes déguisé… C'est une bonne idée. » Dit-il calmement à Tobold en voyant la façon dont ce dernier était vêtit, le mercenaire rajouta donc juste après…

« J'ai une idée… Essayez d'attirer un garde jusqu'ici, je m'occuperait de l’assommer, et ensuite je pourrai sans doute mettre sur moi ses vêtements. Ce sera un bon moyen de pouvoir vous accompagner, nous balader partout, et aussi pouvoir justifier que j'ai le port d'une arme... » Et puis à condition de faire gaffe pour ne pas être reconnu ça devait être sans doute plus facile pour un garde de faire ce qu'il voulait ici que les esclaves portant des haillons…

« Sauf s'il y a un autre moyen d'obtenir des vêtements à ma taille. Vous aviez vu un quelconque baraquement non loin ? Et pas trop garder ? » Acheva t-il de demander, après tout à part une éventuelle révolte d'esclave les gardes ne devaient pas faire attention à grand-chose ici, ce qui était assez logique, les lieux après tout avaient l'air assez isolés en eux-mêmes… Des intrus comme eux ne devaient pas vraiment être très attendu surtout au beau milieu de la mine.

Pendant que Monsieur Alford parle en exposant son plant, notre homme range les tonneaux.
Il prélève des pommes seule chose mangeable, même les harengs salé de Lyssa qu'il a trouvé dans une barrique sont immangeable. La Mangouste ne doit acheter de la nourriture que si le fournisseur lui donne de l'argent. Tobold revient quarante ans en arrière.... Les coups, la mauvaise nourriture, et le travaille qui rend fou, des conditions de travaille épouvantables. Notre homme sait que si il y a une révolte d'esclaves, peut auront la force de ce révolté, et encore moins le courrage de prendre les armes." - Il faudrait connaitre la disposition de cet adroit, et trouver une idée pour libérer ces gents.... Mais j'aimerais bien savoir, ce qui est extrait de cet endroit.... Mais venez ici, Monsieur Alford, a partir de maintenant il faut se fondre dans le paysage, mais votre plan de gardien, prisonnier est bon, on pourra s'en servir quand la situation si prêtera." Tobold sort de sa gibecière, une petite boite qui contiens une pâte coloré et il en enduit le visage du mercenaire, pour le camoufler. " - Nous allons nous fondre dans le décore et nous renseigner....."
Deux hommes circulent parmi les ombres des galeries, heureusement peut de gardes, et ils ne sont pas difficile à contourner. Ils arrivent prêts de la mine, ils voient deux herses l'une derrière l'autre qui empêchent les esclaves de sortir, et le poste de commande de se passage est composer d'une dizaine d'homme bien armer. " - Par les moustaches crochues de Lorenz! On ne peut pas passer. Il ne vaut pas se décourager. Essayons de trouver les habitations des esclavagistes. Nous trouverons peut être ce qu'ils extraient ici." Ils finissent par trouver une grande porte d’airain qui possède des meurtrières. Impossible de passer par là, c'est à ce moment que Monsieur Alford découvre une poterne de bronze entrebaillé........les deux hommes décident d’emprunter ce passage et se retrouve dans un entrepôt remplit de victuailles. Ils sont prêt de la cuisine des gardes.

Libérez ces gens ? Une excellente idée effectivement, Alford lui-même était révolté par les conditions dans lesquelles vivaient ces malheureux, et il avait assez de mal à vrai dire quand au fait que des hommes puissent traiter d'autres hommes de cette manière. Quand à savoir ce qu'ils piochent par ici… Pour Alford c'était un peu moins important, après tout ça pouvait très bien être du fer, et de l'argent que des gens sans remords feraient piocher nuit, et jours aux esclaves pour leurs propres enrichissements.

« Ouais on fera ainsi. Donc prochaine initiative, on va libérer ces malheureux, et découvrir ce qui se trame derrière tout ça. » Si on pouvait croire tout les trucs étonnants sur lesquels il tombait au quotidien, cela en faisait partie à vrai dire…

« Euh ok... » Dit-il légèrement perplexe en laissant Tobold lui badigeonner le visage avec sa crème, la discrétion, et Alford ça faisait bien deux, et ce dernier n'était pas vraiment l'homme le plus discret qui soit… Quoique avec les bruits de pioche alentours, et le fait que la galerie était assez sombre il y avait sans doute moyen de ne pas trop se faire remarquer avec un peu d'effort.

Dans tout les cas ils progressent ainsi dans la mine, et heureusement ne furent pas repérés, visiblement les lieux ne semblent pas trop occuper, et les deux compagnons d'infortune se retrouvent donc devant une herse entre eux, et le poste de commandement, la dite herse étant gardé par une bonne dizaine de garde…

Dans tout les cas ils passèrent par ailleurs, une poterne en bronze passé pour se retrouver dans un entrepôt, Alford réfléchit calmement puis à une idée en tête, d'après ce qu'il savait l'heure du repas était pour bientôt… Il en fait donc part à Tobold.

« Est-ce que vous auriez une sorte de somnifère, ou de substance laxatif sur vous ? Ce serait une idée je pense pour empêcher les gardes de poser trop de souci... » Pour sa part il prit quelques trucs traînant par là pour compléter ses propres provisions, puis il sortit des champignons étranges qu'il avait trouvé dans la caverne, et qu'il avait prit la peine de ramassé au passage...

" - Les faires dormir ? Intéressant Mais … Je n’ai malheureusement pas de Pavots dans ma gibecière, mais j’ai peut être plus rigolo monsieur Alford. " Notre homme renverse part terre le contenue de sa sacoche et prend parmi des sachets, une grosse bourse en cuire. " - C’est de l’Amanita muscaria, de la Fausse oronge, vous connaissez ce champignon sous le nom d’Amanite tue mouche. C’est un puissant hallucinogène. Le plus dure sera de mettre la bourse dans une grosse marmite.......En train de cuire. Il nous faut trouver les cuisines, on ne devrait pas être très loin." Notre homme range sa besace. Les deux ombres se glissent de pièces en pièces, ces locaux sont un vrai labyrinthe, ils travers des entrepôts, des glaciaires, des stokes de pommes. " - Les produits qui sont ici, sont nombreux, varier, et de bonne qualités, Monsieur Alford. Nous sommes dans des réserves, des selliers, mais ou ce trouve la cuisine. En voyant les quantités de nourriture cuisinée, nous saurons combien ils sont......" C'est a ce moment qu'ils entendent du bruit. ils se cachent derrière des étagère. Un homme passe devant eux, il est habillé de blanc avec une toque. L'homme prend une motte de beurre et repart. Les deux amis décident de le suivre. Et ils finissent par sentir des odeurs de cuisine. Ils ont fini par trouver l'endroit ou on prépare a manger. Ils se glissent dans un local très grand et se dissimuler derrière une paillasse, n'est pas très difficile. Trois hommes travaillent et vus la quantité de victuaille, on doit pouvoir nourrir une quarantaine d'hommes. Mais il restent le plus difficile, comment mettre les morceaux d’amanite dans la grande gamelle d'ou ressort une odeur de risotto. Il faut éloigner quelques secondes les trois hommes de la pièce. Tobold sort la bourse de cuire. Les trois hommes sont pendant quelques secondes regroupée, c'est le moment . Notre homme invoque en soufflant dans son poing fermé, une nuée d'insecte, les cuisiniers reculent effrayé dans la pièce à coté. En trois bond De Mangroves arrive prêt de la grande gamelle,souleve le couvercle, il jette le contenue de la bourse dedans, remet le couvercle, puis revient. " - Vite partons Monsieur Alford, la nuée va disparaître, il faut nous cacher....Puis je vous donnerais la recette du risotto, à la Katfaïel, mon vieux Maître. "

Bon dans tout les cas ils étaient tout les deux d'accords, faire dormir les gardes n'était aucunement une mauvaise idée, néanmoins il semblerait que Tobold n'ait pas de pavot, eh bien soit car visiblement l'homme avait plus d'un tour dans son sac, comme Alford commençait à s'y habituer de sa part. « Ouais c'est un excellent moyen de les faire délirer un bon coup, par contre faut espérer que la cuisine ne soit pas trop garder dans ce cas-là s'il faut déposer ces choses à l'intérieur de la marmite où sera préparé les repas. » Autant dire que c'est le genre de choses bien plus faciles à dire qu'a faire, mais après tout qui ne tente rien n'a rien.

Et c'est ainsi que les deux compères s'engagèrent dans les locaux des cuisiniers, assez vastes somme tout. Effectivement il y a là de quoi nourrir une belle troupaille, Alford se dit que les gardes dans cette caverne doivent être sans aucun doute fort nombreux, et que les endormir, ou les faire délirer sera bien le minimum s'ils veulent sortir d'ici avec les esclaves indemnes… Au final à force de trifouiller l'on finit par suivre un homme en vêtement de cuisinier, pour arriver dans la fameuse cuisine où trois assistants de cuisines les attendent. Pour le coup Alford qui n'est pas un spécialiste de la discrétion ne peux que se contenter de regarder, dans le pire des cas il viendra au secours de Tobold si ce dernier se fait avoir, mais dans ce cas-là tout risque de très vite dégénérer…

Mais au final cela ne semble pas forcément nécessaire car le vieil homme se débrouiller admirablement bien en arrivant à faire fuir les cuisiniers, et à déposer les amanites dans la gamelle.

« Ok, laissez-moi deviner il y a des amanites dedans ? » Demanda t-il sur le ton de l'humour avant de courir avec Tobold pour aller se cacher ailleurs, sûr que pour le coup ce qui vient de se passer pourrait paraître fort suspect… Les deux hommes s'engagèrent donc dans le couloir pour trouver un bon endroit pour se cacher en attendant que le tout se calme, et que les gardes se nourrissent avec les plats empoisonnés aux amanites.

« Messire Tobold, je crois que j'ai trouver une bonne cachette. » Dit-il en désignant à ce dernier une porte entrouverte qui mène à une chambre où une femme, et un homme semblent en plein exercice… Ni une, ni deux Alford les dissuadent de crier avec son épée puis les faits ligoter, et fais le nécessaire pour qu'ils ne fassent aucun bruit.. Il jette ensuite un regard à la pièce alentours après avoir fermé la porte alentours.

« A ce que je vois on est commandant de cette partie la garnison hein ? » Conclut-il à l'homme ligoté en voyant la luxure de la pièce, et surtout ses vêtements de fonction assez ouvragés. Alford qui les trouve à sa taille ne se gêne pas pour les enfilés.

« Je suis sûr qu'après avoir mangé vos champignons ils ne seront pas en état de reconnaître leur chef. Cela pourrait nous être utile. » Dit calmement Alford à Tobold, et puis de toute façon il y a un casque qui cache tout les traits du visage, et qui déforme la voix.

« Alors j'ai l'air convaincant ? » Finit-il par demander enthousiaste à son compagnon. Pour le coup dur de deviner qui il était vraiment avec cette tenue qui cachait tout le corps, sans doute que le capitaine devait garder son casque pour être assez intimidant pour ses hommes. Et cela l'arrangeait, car il lui suffirait juste d'être un bon comédien, ce qui serait déjà compliqué à sa façon.

Le temps que Monsieur Alford s’habille, notre homme a pris les vêtements de la gente Demoiselle Gladice. Le grand chapeau à fleur avec le canari jaune Titi, bien en évidence au dessus du ruban rouge, les cheveux bien peigné (pour une fois) sur lesquels notre homme…hème… femme a rependu du pigment ocre. La belle robe à crinoline bleu et blanche, par les cornes rigides de Lorenz que la structure en bois a été dure à mettre. Heureusement la longueur de la jupe lui permet de ne pas mettre les chaussures à talon haut, de vraies échasses. De Mangroves a réussit à nouer le corset avec ses kilomètres de lacets permettant un superbe décoté plongent …plongeant surtout sur la dague en obsidienne bien dissimulé et accessible, installé au creux de son opulente poitrine constitué de deux chemisier en soie, mit en boule. Tobold a empreinté les gants blanc de la jeune femme, qu’il a légèrement déformé avec ses grosse main. Pour camoufler son visage presque imberbe, il y a le magnifique éventail représentant une scène, avec des Nymphéas. Il a trouvé la bouteille "Rêve d'un soir, parfum de Gloria" et en en imbibée son gosier……

C’est a se moment qu’ils entendent frapper délicatement à la porte" Toc, Toc"….Les deux hommes se regardent inquiet . Puis il y ces mots plutôt rassurant " - Je vous amène le plateau, Monsieur, Mademoiselle… " Tobold est le plus prêts de la porte et transformant sa voix dit sans hesiter…. " - Laissez devant la porte, nous somme encore en plaine...... occupation….". On entend des pas décroissant dans le couloir. Quelques instant plus tard notre homme ouvre la porte et il y a bien un plateau avec deux repas complet dont le fameux risotto. " -Monsieur Alford la chance est avec nous nous allons pouvoir l'essayer. Veillez défaire le bâillon de Mademoiselle Gladice." Manger du risotto avec un couteau sous la gorge est très délicat mais la Demoiselle finie par manger une bonne portion du met et bientôt, elle se retrouve le regard vitreux, dodelinant de la tête.......
" - Je pense que cela devrais être bon maintenant Monsieur Alford...."

Il semblerait que Alford ne soit absolument pas le seul à avoir de la suite dans les idées car ni une, ni deux Tobold enfile à son tour un déguisement, de femme pour sa part… Alford n'y cru pas ses yeux pendants quelques secondes en le voyant faire, puis il se dit qu'il vaut sans doute mieux que ce soit Tobold qui se déguise en femme que lui, disons que l'ours qu'était le mercenaire avec ses 1 mètre 90, et ses muscles n'avait aucunement une carrure de femme, et puis les vêtements n'étaient pas du tout à sa taille… De toute façon il fallait noter que pour le coup Tobold avait un certain talent pour le déguisement, en espérant que cela suffise à se faire passer pour ces deux pingres attachés en ce moment même...

Dans tout les cas ceci fait Alford ne peux pas s'empêcher au passage de stresser un peu lorsque quelqu'un frappa à la porte, le mercenaire s'apprêta à répondre lorsque le travestit d'un jour le fit à sa place. Alford se contenta de laisser Tobold faire, ce dernier semble arriver à reproduire à merveille une voix de femme (comment il n'en savait rien), et le serviteur n'insista pas plus avant de les laisser tranquilles. Puis ils prennent tout deux le repas en main pour ensuite l'essayer sur leurs prisonniers.

« Ok. » Dit-il calmement à Tobold, avant de prendre un couteau qu'il utilise normalement à l'occasion pour dépecer des bêtes, il coupa avec ce couteau le bâillon de la jeune femme avant de le lui mettre sous la gorge, cela ne lui plaisait pas forcément d'user de ce genre de méthode, mais ce n'est pas comme s'il avait d'autres choix, il n'appartenait après qu'a la jeune femme de se montrer coopérative.

Et elle se montre assez coopérative, visiblement les effets des amanites semblent prometteur. Alford lui attacha donc un autre bâillon avant de ranger son couteau.

« Ouais ça devrait suffire… Il ne reste donc plus qu'a attendre. » Il regarda calmement la pièce alentours avant d'achever. « Je vous propose que nous fouillons un peu cet endroit histoire de patienter le temps que les gardes aient mangés le risotto puis ensuite nous y allons. » Ceci dit ceci fait Alford procéda à la fouille en bonne, et dû forme du lieu histoire de prendre les bijoux, et l'or environnant avant de ressortir de la pièce en compagnie de Tobold. pendant qu'il agitait un petit trousseau de clé il dit calmement.

"Je propose que nous profitions de ce qui va se passer pour voir si ces clés ne nous permettent pas d'aller fouiller les lieux qui nous intéressent." Ceci dit, Alford se charge de verrouiller la porte derrière-eux avant d'aller se rendre de préférence dans une direction opposé à celle de la cantine.

"Vous vouliez allez voir ce qu'ils piochent par ici?" Demanda Alford avant de conclure ensuite.

"Nous pourrions au passage en profiter pour voir s'il n'y a pas une salle où ils entreposent tout leurs or, et gains, après tout les esclaves auront sans doute besoin d'argent pour repartir d'ici sur des bases saines, et je présume que nous aurons bien le droit à une petite récompenser n'est-ce pas?" Dit-il avec un sourire malicieux, sûr que pour le coup Alford allait ressortir riche de cette histoire à ce rythme...

Spoiler:

Mademoiselle Tobold regard ce qu'il y a dans les papiers du bureau, il y a de l'or, mais l'or n'offre aucun intérêt, cela pèse lourd.... Il trouve quelques feuilles écrites à l'attention de Maitre Augusta Recornique qu'il met dans sa besace ainsi qu'une carte annoté, mais ce n'est pas le moment d'étudier tous cela. Par contre il ne laisse pas le gros rubis non taillé qui au bas mot doit valoir cent fois son poids en or et une fois taillé, milles...... Ils ont un peut de mal à faire manger l'homme, Mademoiselle Tobold à préfère finir par l’assommer puis il a ligotée avec de la garcette les deux prisonniers. L’étrange couple sort dans le couloir, Monsieur Alford referme la porte derrière eux. Ils avancent en rencontrant que quelques gardes le regard hagard. Ils ne prennent pas de risque les attachent et les enferment soit dans des pièces, soit dans des armoires en prenant la précaution de casser la clef dans la porte, qui sert a les enfermer. Mademoiselle Tobold compte le nombre de personnes qu'ils ont neutralisé.....Ils en sont a dix huit. Quand ils atteignent un poste de contrôle ou se trouve trois gardes....Mais ils voit sur une table le repas avec des assiettes froides...Mais pleines. Le couple se regarde. Le chef, celui qui a deux plumes les interpelles, " - Vous êtes qui vous?" Mademoiselle Tobold, sent son cœur s’arrêter, mais il se reprend et dit d'une voix plus ou moins féminine, " - C'est à moi que vous parler beau militaire, je suis la Maîtresse de Maître Augusta Recornique!" dit Mademoiselle De Mangroves son éventail camouflant son beau visage, mais pas l’époustouflant décolleté plongeant. Le garde est un homme, et comme tout les hommes normalement constitué, il se rapproche, il lorgne de ses deux yeux, le gouffre magnifique. Très vite son regard se rétrécit, voyant quelques éléments qui ne devraient pas figurer dans ce tableau. Il lève les yeux étonné et il voit le poing de notre homme arriver directement dans sa figure.....

Dans tout les cas ils avaient a peu près les mains libres maintenant que les deux prisonniers ne pouvaient plus les enquiquiner, et étaient enfermés dans leurs chambres, si les gardes mangeaient les champignons rien n'empêcherait Tobold, et Alford de faire ce qu'ils voulaient dans cette mine. Néanmoins il ne valait mieux pas traîner car les gardes se poseraient des questions quand le choc serait passé, et s'ils trouvaient dans la chambre le capitaine, et la catin autant dire que la présence des deux intrus dans la mine serait révéler aussitôt, et cela commencerait à sentir mauvais pour Alford, et Tobold.

Dans tout les cas sur le chemin les gardes n'offrent quasiment aucun résistance, Alford avec un peu de ruse aidant, et avec l'aide de Tobold les faits a peu près tous enfermer, décidément pour le coup il aurait une chouette histoire à raconter si jamais quelqu'un sur qui il tombait avait l'esprit ouvert à ce genre de chose car pour le goût c'était assez étonnant, mais bon la vie est comme ça… Un flot intarissable de surprise. Même si il est bien mieux quand ces surprises sont bonnes que mauvaises effectivement.

Et malheureusement ils ont tout deux affaire à une bien mauvaise surprise lorsqu'ils tombent sur un poste de contrôle avec visiblement trois gardes qui les attendent, et qui n'ont pas manger leurs rations de champignon, Alford s'apprêta très vite à se présenter en tant que chef de la garde, avant de se rendre compte qu'il ne connaissait pas le nom de ce dernier, Tobold prit les devants, et au final malgré une certaine ruse le tout dégénéra. Alford arriva à sauter sur l'un des gardes avant que celui-ci ne se lève pour cogner violemment sa tête sur le mur pour l’assommer sans grande difficulté, ce qu'il n'eut pas le temps de faire c'est s'occuper de l'autre garde avant que celui-ci dégaine, Alford qui se doute que les lieux ne sont pas idéals pour se battre avec son espadon, dégaine l'épée de capitaine qu'il avait subtilisé, et engagea, le combat après quelques coups d'épées, Alford qui en peut pas vraiment faire dans la finesse en cet instant planta la sienne jusque dans la garde dans le ventre de son adversaire, se dernier tressaute pour voir sa tête se cogner à une cloche qui doit être là pour donner l'alerte. La cloche résonne.

« Bon sang faut y aller ! » Dit-il dans la précipitation à Tobold, il pouvait supposer facilement qu'une petite partie des gardes n'avaient pas mangés de champignon, et pour le coup mieux valait ne pas les attendre ici...

" - Calmez vous monsieur Alford. ne pas s'affoler, ils ne savent pas ce qui ce passe, nous si! Cette cloche peut être là pour n’importe quoi, l’incendie, un accident, si on nous voit courir on sera suspecte. De plus une partis des gens doivent êtres sous l'emprise de l’amanite" Apres avoir achever le dernier des garde avec sa dague en obsidienne, Tobold lui emprunte poliment son casque qu'il pose sur sa tête. Notre homme se penche à une meurtrière et crie d'une voix déformé par cette protection, " - C'est un accident, c'est pas grave le chef à trop but d'alcool de Myrtille et vient de se casser la figure sur la cloche. C'est une fausse alerte." Mais il ne se passe rien. Personne ne bouge. Apres avoir vulgairement camouflé le désastre. Les deux hommes repartent dans les dédales du Labyrinthe. Ils neutralisent encore cinq hommes, qui sont dans un état seconds.... Ils finissent par déboucher dans une étrange pièce avec des cordes, des ballots en l'air, et des poulies....Au fond une pièce grillagée ou se trouvent les lampes.... " - Monsieur Alford, nous sommes dans la salle des lampes, les gardes qui entre dans la mine mettent leur affaires dans les baluchons et avec la corde et la polie ils montent leurs affaires au plafond puis après ils vont chercher leurs lampes et pour finir ils partent dans la mine...... Il suffit de compter le nombres de Baluchons en l'aire pour savoir combien de gardes sont dans la mine. Il y a encore dix sept baluchons en l'aire donc, donc Monsieur Alford il y a encore dix sept ennemies dans la mine..... Et ce passage là est leur entrée particulière, si on le neutralise il restera malheureusement le passage avec les herses, mais allons voir si le lampiste est toujours en état de lampister..........Vous ne savez pas ce qu'est un lampiste Monsieur Alford?"

Alford se calma aux paroles de Tobold, pas qu'il était rassuré, mais il était vrai que s'il se mettait à courir comme un voleur il serait sans doute aucun doute classable immédiatement comme suspect pour les gardes, il valait donc mieux rester calme, dans tout les cas, pour le coup cette histoire n'était pas du tout aussi facile qu'Alford l'aurait désiré à vrai dire.

Et au final visiblement après un autre numéro de comédie de Tobold, personne ne vient contester ce dernier, soit que les gardes se fichent bien de la cloche, ou qu'aucun n'est dans un état qui permettrait à ces derniers d'avoir une réaction à cette alerte. Autant en profiter donc…

Et donc quand tout ceci fut fait, et camouflé Alford, et Tobold repartirent, après avoir en chemin neutralisé d'autres gardes les deux hommes finissent visiblement dans la salle des lampes de la mine comme le dit Tobold.

Dis sept gardes dans la mine ? Erf c'était encore beaucoup, surtout que ces derniers s'ils avaient étaient en état de déposer leurs baluchons ici devaient avoir encore l'esprit assez clair… Alford réfléchit, il est vrai que neutraliser ce passage serait une idée pour ne pas se faire déranger par les dix sept gardes.

« C'est pas l'homme qui entretient des lampes ? » Demanda le mercenaire, après tout il avait déjà vu pleins de personnes comme ça, cela ne l'étonnerait pas qu'une mine comme celle-ci ait un lampiste attitré pour se charger de la lumière car après tout si on entretenait pas la lumière une mine restait un endroit très sombre…

« Je pense que si possible nous devons neutraliser l'entrée particulière, et passer par la passage avec les herses, mais allons d'abord nous occuper du lampiste effectivement…. »

Conclut Alford. Il se rendit donc avec Tobold en direction de l'endroit où se tenait le lampiste, visiblement c'était un peu plus loin, Alford s'y rend donc pour tomber sur un homme assez vieux, et sale qui lui demanda calmement en voyant son uniformes de commandant.

« Que voulez-vous chef ? » Alford réfléchit courtement avant de demander simplement. « Rien rien…. J'aimerai juste que vous me passiez l'une de vos lampes mon cher... » Le lampiste étonné va donc chercher une lampe, Alford en profite du coup pour l’assommer sèchement de façon opportune pour l'attacher, puis il regarda calmement les alentours, et demande à Tobold. « Je pense que neutraliser le passage serait une idée… Voulez-vous d’abord que nous allions voir ce qu'il y a à l'intérieur messire Tobold ? » Après tout Alford se disait que pour le coup ce serait une bonne manière de savoir ce qui se tramait ici...

Notre homme parle tous seule, Monsieur Alford écoute attentif. " - On peut bloquer le passage ici,et partir continuer à les neutraliser dans cette partie de la mine, mais nous ne pourrons tous les avoir. On peut attendre ici, qu'ils viennent de la mine voir ce qui se passe, et on les neutralise, les uns après les autre, mais cela ne peut être valable que pour quatre ou cinq hommes après ils vont se méfier." Passant devant un gros sac de sucre de cane, il montre un chariot prévus pour amener des repas, il ajoute " - On peut y aller, amener les gamelles, il y a plusieurs problèmes si ont amène le chariot, c'est que nous ne savons pas se trouvent la salle ou les salles de repos, de plus ils nous connaissent pas. ..... On ne peut pas rester là, ils nous aurons à la fin. Pour le moment on tourne en rond."..... C'est a ce moment que notre homme remarque une pièce qu'ils n'avaient pas remarquée jusque là marqué "Armurerie". Les deux hommes se retrouvent devant une porte blindé, qui s'ouvre avec ..... " - Vous avez trouvé un trousseau de clef, c'est le moment de l'essayé, Monsieur Alford." Et là miracle la troisième clef l'ouvre. A l’intérieur, il y a ..... notre homme parle tous haut " - une dizaine d'épées courtes, quatre arbalètes, avec une centaine de carreaux, des bougies, Trois gros boucliers, des bouteilles vides et c'est tout, Ce n'est pas avec cela..... Ce n'est pas.....avec .... cela.... Il y a du salpêtre sur les mures,..... j'ai vus un gros sac de sucre de cane dans la pièce à coté, avec aussi du nacron qui sert à blanchir les dents.... Avec les mèches des bougie nous avons de quoi fabriquer des fumigènes............ Monsieur Alford allez chercher le chariot et videz le de tous ce qui est inutile, attaché les bouclier, mettez dessus les épées et armez les Arbalètes, emmenez les carreaux aussi, pendant que je prépare une dizaine de fumigène."

Tobold avait vu juste, mais à vrai dire Alford devinait facilement que neutraliser 17 hommes devrait être assez compliqué après tout, surtout qu'on ne savait pas si ces derniers avaient mangés des amanites, ou non. Et le coup des gamelles aussi semblait hasardeux surtout qu'Alford était habillé en capitaine de la garde, depuis quand un capitaine de la garde amène des gamelles à ses hommes ? Dans tout les Gorder doutait que ça fasse partie des habitudes du capitaine de cette mine, un chef des esclavagiste après tout ne devait pas être du genre aussi gentil selon le mercenaire, et on ne pouvait pas vraiment redire quoi que ce soit à son point de vue à ce sujet.

Dans tout les car par la suite l'on finit par tomber sur l'armurerie, eh bien tiens ! Pour le coup ça semblait être une idée effectivement, le mercenaire sortit donc le trousseau de clef qu'il avait volé, essaya les trois premières clés du trousseau, heureusement que ce n'était pas la dernière qu'il aurait du essayé qui ouvrait l'armurerie car il y en avait une bonne dizaine…

Effectivement l'arsenal dans l'armurerie n'était pas des plus impressionnants, déjà pas d'arme magique… Enfin après c'était pas comme si ils étaient tombés sur l'armurerie d'Elena, il était sûr qu'une mine comme ça n'aurait pas un équipement digne de l'armée… Mais en soit l'idée des fumigènes semblait astucieuse sur l'instant à Alford, ce dernier regarda calmement les alentours, réfléchit à ce que voulait probablement faire Tobold avec son plan, puis alla vider le chariot, prit le matériel nécessaire, et fit un peu de bricolage… Après coup le chariot avait l'air d'une sorte de char de guerre, ceux en bois à vrai dire, mais les lames n'étaient pas sur les roues, mais un peu partout devant, dans tout les cas Alford se dit que ce serait effectivement une idée, la mine était pas vraiment très large, juste la place pour laisse passer le chariot dans certains passages, il ne fait doute que pour le coup les boucliers fourniraient une certaine protection. Et les fumigènes y ajoutaient encore plus...

« Bon du coup je pense qu'on peut y aller... » Dit-il en prenant en main le chariot pour le pousser après avoir armer les arbalètes, enfin maintenant c'était l'heure de voir si ce plan serait vraiment astucieux, ou juste suicidaire. Au pire ils verraient bien. Mais Alford se disait que arriver à passer par dessus 17 hommes resterait très dur... Mais peut-être que le petit stratagème pourrait fonctionner!

" - La charrette est prête, nous allons y allez, si nous arrivons à libérer quelques esclaves, nous aurons une chance de renverser ses messieurs." Tobold vérifie pour la dixième fois son briquet amadou. Ils boivent un peu d'eau, les deux complices sont prêts. Ils ouvrent la porte et avance dans long un couloir. Le premier garde dort, sur une chaise, une bouteille vide a coté de lui. Cet homme est charger de garder une grille. Après l'avoir neutraliser, et ouvert la grille, les deux hommes pénètrent dans la mine proprement dite. Ils entendent maintenant les coups de piques, ils avancent dans une galerie et ils tombent nez à nez avec un homme dans un état épouvantable portant sur sa tête un panier avec de la terre. L'homme ne les remarques pas, tellement il est conditionné par ça condition d'esclave. Tobold essai de lui parler, mais l'homme ne comprend rien, C'est à ce moment la que sortant d'un trou, un gamin au longs cheveux, leurs dit d’arrêter d’embêter le vieux Scarface. " - Bonjour jeune homme, nous ne voulons pas ennuyer Scarface, nous avons quelques armes, et c'est peut être le moment de faire quelque chose si vous voulez quitter cette condition d'esclave...." Le gamin les regarde étonner. "Vous avez des armes?" Il sort de son trou et viens voir les épées courtes, pendant que De Mangroves lui expliques qu'ils ont déjà neutraliser beaucoup de gardes.... "Resterez là je ne serais pas long." dit le Gavroche. Et les deux hommes se retrouvent seules mais cela ne dure pas, et arrivant par petit groupes, des hommes. Ils sont méfiant, mais ils ont dans leurs mains leur instrument de travail, pelles, pioches, pique, marteaux.... Gavroche arrive avec plusieurs esclaves plus dynamique. Nos deux amis leurs racontent leur aventures rapidement et leur indique que les deux grilles conduisant aux bâtiments administratif sont ouvertes...... Les esclaves leur demande à voir.......

Tobold marquait un point, charrette, ou non Alford doutait qu'ils arrivent à deux à triompher de dix sept hommes, même deux vampires, ou deux elfes n'auraient aucune chance d'y arriver de toute manière… L'aide des esclaves serait sans doute salvatrices pour sortir en vie de cette mine. ENfin s'ils arrivaient à l'obtenir, les pauvres bougres étaient sans doute effrayés...

Donc après quelques préparations, et échauffements les deux compagnons y allèrent, déjà un garde endormit de neutraliser sans grande difficulté, Alford qui avait toujours une corde sur lui pour ligoter de potentiels agresseurs en usa pour attacher le garde, puis ils ouvrirent la grille pour rentrer dans la mine. Les premières personnes qu'ils croisèrent à l'intérieur n'étaient aucunement des gardes, mais visiblement des esclaves. Visiblement d'après ce que voyait Gorder l'esclave devait vraiment être très soumis à ses maîtres pour ne pas détourner les yeux de son travail, ce que les conditions de vie de ces pauvres bougres devaient être terribles. Alford n'appréhendait même pas qu'on puisse traiter des hommes d'une façon aussi cruelle, il fallait y remédier au plus vite…

Dans tout les cas un jeune homme vint sans doute apporter une aide bienvenue, après une discussion avec Tobold le gamin repartit, pour ramener avec lui une belle quantité de personnes. Celle-ci étaient méfiantes, mais visiblement leurs aide serait d'une très grande utilité. Alford réfléchit courtement, et décida de mener la troupe. Au pire on verrait après ce qu'ils piochent par ici, si ils pouvaient prendre le contrôle de la mine au plus vite grâce à l'aide des esclaves ils auraient les mains libres par la suite.

Ils sortirent donc avec les esclaves pour se diriger vers les deux bâtiment administratif, après avoir dépouillé les gardes assommés au passage pour que les esclaves puissent avoir arme, et armures supplémentaires, ils entreprirent de s'occuper de la garnison au plus vite, après tout les gardes n'opposeraient sans doute pas beaucoup de résistance après le petit repas aux amanites... Restait juste à voir si un souci ne viendrait pas vite les gênés, mais sincèrement pour le moment le plan se déroulait a peu près bien...

Tobold sait ce qu’il fait… Non, c’est l’inverse, l’improvisation total, car ils sont maintenant coincés, dans cette mine, mine de rien ! Avec pour en sortir tellement d’inconnue, qu’ils ne sont pas sortie de l’auberge ! Pour le moment ils ne rencontrent pas d'opposition et ils sont entrain d’occuper la partie des logements, des cuisines et des bureaux des gardes. Notre homme espère trouver une sortie vers le hauts, mais pour le moment rien….. C’est alors que les mauvaises nouvelles arrivent. Gavroche arrive en leur disant que la sortie principale de la mine est bloqué, celle qui est défendu par le fortin. Et quand il veulent sortir par la porte d’airain, il y a maintenant une barricade….avec deux grosse balistes.
En deux mots : Ils sont coincés. (Ce qui fait trois mots).

" - Il faut s’organiser. Moi je vais au cuisine voir les provisions et l’eau, je m’occupe de faire enfermer….les prisonniers ?" Tobold voit un groupe d’esclaves revenir en tenant triomphalement des scalpes et des têtes coupées. " - Silence !!, nous sommes coincé ici, il faut tenir un certain temps, Il faut avec moi des personnes qui vont faire la cuisine, voir les réserves, et l’eau et vous nourrir. Il faut pouvoir nous compter et aussi savoir le nombre de combattants. Il faut aussi plusieurs petit groupes pour fouiller à droites à gauche, ici et dans la mine pour voir si des gardes sont toujours .. en liberté. Il faut aussi des groupes au différentes sorties connue. Il faut aussi quelques estafettes pour transporter des messages. Je propose que Monsieur Alfort dirige l’organisation d’ici, de la porte d’airain… "
Quand Tobold arrive dans les cuisines, avec cinq hommes, ils trouvent la grande pièce complètement ravagé. Des hommes affamés et privés de tous ce sont mit à manger, éventer les sacs, faire tomber les victuailles, un carnage. Pendant trois heures ils rangent, et nettoie la pièce. Heureusement il reste des conserves intactes de quoi tenir plusieurs jours. Notre homme apprend qu’ils sont environs quatre cents, mais à peine une centaine de combattants, les autres sont malades ou trop faible. Ils se mettent a faire de la cuisine, plutôt léger, simple, et chaud …… Au hasard, les fayots aux lards !

Pour le coup l'idée était audacieuse, mais semblait efficace, les esclaves, et les deux aventuriers prirent heureusement très vite le contrôle d'une bonne partie de la mine, sans doute l'état vulnérable, et le nombre des esclaves aidant. Dans tout les cas les choses se présentaient enfin sous un beau visage, pour le coup cette histoire était vraiment incroyable. Le problème étant néanmoins que prendre le contrôle de la mine est bien beau, mais la porte de celle-ci resta fermement gardée, et la prendre sans risquer de graves pertes risque d'être très compliqué, surtout qu'il est compréhensible que des esclaves pouvant bientôt atteindre la liberté tant espérer n'aient pas forcément particulièrement envie de se montrer suicidaire…

Bon au moins ils ne sont pas dans une situation si précaire que cela, il y a des vivres, et des… En faîte non les gardes sont morts, dommage pour eux. Alford aurait préféré qu'on ne les tue pas, mais il ne pouvait pas décemment les pleurer après ce qu'ils avaient faits. Mais le spectacle qu'offrait les esclaves restait tout de même un peu exagéré…

Dans tout les cas Tobold avait raison encore une fois, pour le coup il faudrait essayer de tenir un peu, et il serait bon d'en profiter pour se reposer aussi avant de tenter quoi que ce soit de potentiellement dangereux, histoire d'entretenir le morale des troupes, troupes qui devraient s'organiser un peu, car là c'était juste une belle bande de civils indisciplinés, ça risquait d'être plus un fiasco qu'autre chose à ce rythme…

De même que l'idée de fouiller la mine, et cherchait les derniers gardes cachés restait assez bonne. Ainsi bien entendu que le fait de protéger les sorties, et de transporter les messages. Dans tout les cas Alford n'était pas contre le fait de s'occuper de la porte d'airain pour sa part avec quelques volontaires.

Et donc pendant que Tobold alla s'occuper des cuisines, Alford pour sa part alla s'occuper avec une dizaine d'esclave d'aller garder les portes d'airain en face des balistes…

Visiblement d'après ce que voyait Gorder à la porte les gardes en faces semblaient préparer quelques choses, il pouvait entendre de là où il était des volées d'ordres même s'il n'arrivait pas bien à les comprendre au vu du fait que les paroi de la caverne déformaient les sons. Tout ceci était très louche dans tout les cas...

Et les balistes étaient préoccupantes… Alford se disait que ces dernières seraient un énorme problème, néanmoins ce genre d'arme de sièges étaient pas aussi facile à manœuvre que des armes jets, il faudrait juste trouver une astuce, peut-être essayer de monter de lourd bouclier en bois avec ce que l'on pourrait trouver dans cette mine… Ce serait une idée pour avoir une certaine protection le temps d'avancer jusqu'aux balistes, mais il fallait que les boucliers soit vraiment gros, et solides…

Et il faudrait peut-être quelques autres objets sans doute pour voir s'il était possible de passer tout ceci sans trop de mal…

Il pensa donc plus tard lorsque son tour de garde était passé à demander aux esclaves chargés des fouilles ce que ces derniers avaient pu trouver d'intéressant, ainsi que d'aller voir ce qu'ils avaient en stock de potentiellement utile.

Pendant deux jours, c'est le statu quo. Tobold a fini par trouver d'autres réserves de nourriture, et ils pourrons tenir encore un certain temps sans problème. Il y a assé de place pour que les hommes puissent se reposer. Alford se démène d'un endroit à un autre pour pour diriger et remonter le morales des anciens esclaves. Les hommes libres c'est comme cela que Tobold les appellent. Pour les occuper, ils ont construit des barricades. Mais la situation ne bouge pas. Ils n'ont pas trouvé de passage secret vers le haut, ils peuvent tenir un certain temps, et tout cela inquiette notre homme. C'est alors que les ennuies arrivent.......

Ils entendent alors le battement de tambours, et le pas cadencé de dizaines d'hommes qui marchent au pas. Dans leurs leurs casemates et sur leurs barricades les hommes de la Mangouste crie de joie surtout qu'à la tête de cette troupe, il y a Cavendish Porridge et aussi le premier garde Thirev. Mais au lieu d'attaquer, ils attendent... la Mangouste aurait'il un plan pour reconquérir la mine? De Mangroves est inquiet, ils ne peuvent résister contre cette troupe. Alford et Tobold ne dispose en tout que de quarante hommes libres pouvant ve battre et encore il n'y a qu'une dizaine capable de se luter efficacement . C'est alors que la deuxième mauvaise nouvelle arrive.... Il n'y a plus d'eau. La Mangouste a fait couper l'eau, De Mangroves avec quelques volontaires, font le tour des réserves d’eau qu’ils le restent et la c'est la catastrophe, ils sont à moins de vingt quatre heures. Dans un jour la Mangouste pourra tranquillement avancer et eux ne pourront rien faire. Tobold fouille les endroits encore et encore, sonde les mures, les écoutes, à la recherche d'eau, il trouve une cave avec des barils de vin, mais donné du vin à des gens qui n'en on pas but depuis des années pourrait être catastrophique, mais coupé avec une peut d'eau de quoi tenir un jour de plus.... C'est à ce moment que ne homme entend un bruit, "ploque, ploque....." un bruit d'eau qui goutte.....

Deux jours à tenir dans cette caverne sans rien, ou presque à manger… C'était joyeux tiens, dans tout les cas vaille que vaille tout le monde tenait même si l'ambiance n'était absolument pas au beau fixe, bien au contraire, mais cela restait tout de même mieux que lorsque les esclaves étaient encore enchaînés dans la mine, au moins là il y avait un peu d'espoir, pour sa part Alford ne perdait pas foi en la victoire, et la liberté prochaine de tout le monde, il le fallait donc ils ne pouvaient pas échouer, pour sa part il préférait mourir libre que vivre esclave dans cette mine. Il se battrait à mort pour cet acquis, cette vertu qu'est la liberté, et qui représentant a peu près tout ce qu'il avait toujours désiré en tant que mercenaire, paysan, voyageur, et aventurier.

Dans tout les cas il s'occupait avec Tobold de superviser le tout, et de motiver tout le monde. Et ce qui devait arriver arriva, qu'est-ce qui arriva ? Eh bien les problèmes pardi ! Les gardes de la porte étaient par dizaine non loin, et semblaient fort enthousiaste. Avec eux leurs fieffés chefs à qui le mercenaire prévoyait de faire un sort si possible, ils ne savaient pas ce qu'ils avaient en tête à attendre ainsi, mais pour Gorder le tout sentait particulièrement mauvais.

Le constat était grave, les réserves d'eau avaient été coupés, ils n'étaient pas en état de résister à un assaut généralise des gardes, quoique il pouvaient faire preuve d'une belle résistance, mais guère plus malheureusement… Il restait un jour à tenir, ils en étaient à devoir chercher de l'eau pour tenir plus longtemps, et tomber sur un ploc-ploc sonore au bout d'un moment… Alford cherche donc d'où ça venait lui aussi…

Et il tomba sur ce qui semblait visiblement être une fuite dans la roche de la mine, pas grand-chose en somme, mais ça pouvait les sauver de la soif… Le mercenaire prudent néanmoins porta un doigt sur le jet pour coûté l'eau, et cracha en sentant le goût ignoble de celle-ci.

« Bon sang c'est de l'eau salée ! » Dit-il vraiment agacé, avant de faire une conclusion logique à tout ceci…

« De l'eau salée ? On n'est pas loin de l'océan ça veut dire... » Pensa t-il avec une sincère réflexion… Qui sait ? Cela pourrait peut-être les sauver… « Si c'est de l'eau salée c'est qu'elle doit provenir de l'océan logiquement, si ça fuit ici c'est qu'on est pas loin du rivage, d'un bras de mer… Il y a donc une sortie à l'air libre si on creuse la roche par là… On pourrait tomber sur une sortie. Le problème c'est qu'il y a sans doute une belle quantité d'eau au dessus… » Et il était probable qu'en creusant ils inonderaient la mine, ce qui ne serait sans doute pas une grande perte… « Ce serait peut-être une idée lorsque les hommes de Porridge arriveront… On casse la roche, et on laisse l'eau faire le travail à nôtre place… Faut juste trouver comment ne pas se noyer avec eux ... » Réfléchit-il avant de rajouter. « Et si on est pas loin d'un bras de mer, il y a peut-être un cour d'eau douce qui se jette dans la mer... » Une maigre chance de trouver de l'eau potable en somme...

De l'eau salé,....... Tobold pense un moment à faire distiller de l'eau salé, mais un simple calcule lui fait comprendre la futilité de se projet. A la vitesse d'écoulement du liquide ils pourraient recueillir vingt litres par jour puis une fois les vapeurs d’eau condensées, ils pourraient en obtenir en final cinq litres.... et en consomment une montagne de meubles...Car c'est tous ce qu’on peut trouver comme bois......Mais si l'eau n'arrive plus, il devait partir, il y a peut être un égout? Et notre homme avec quelques volontaires partent revisiter les bas étages des bâtiments qu'ils occupent. Mais force est de constater qu'il n'y a pas de conduits d'écoulement assé gros pour eux..... C’est en revisitant un chai que De Mangroves remarque réellement pour la première fois ce gros gros baril......Un foudre comme cela s’appelle, il est vide, mais pourquoi avoir construit un tonneau en cet endroit si on ne peut le faire passer par les portes? Cela n'est pas clair. Et si …et si « - Par le crabe aux pinces d’or » en collant son oreille aux planches en bois, il entend comme un frottement, une personne bouge à l’intérieur. Les ennemies pourront passer par là quand ils le décideront, ils attendent que l’on soit à moitié mort de soif….. Ils ne nous attendent pas par là, Mais la première chose est de faire une barricade, et après voir si on a une idée pour utiliser cette opportunité…… Bientôt quatre hommes disposant d’une arbalète, de quelques épées montent la garde derrière des meubles, pour bloquer un couloir menant à la porte d’Airain…… Tobold regroupe Monsieur Alford, gavroche et trois hommes. Il raconte ce qu’il a trouvé. et le dispositif qu’il a déjà, installer. Il demande si on peut l’améliorer, et savoir si quelqu’un à une idée pour utiliser ce passage, il faut comprendre qu’une fois franchit la porte du tonneau, c’est l’improvisation la plus complète qui s’offrira à eux, car cela sera l’inconnu…….

Bon on finit par constater après quelques recherches que cette eau ne mène aucunement à un égout, ouais pour le coup cela ne les avançait pas trop déjà que l'eau était salé, mais Alford se disait qu'il y avait quand même moyen de faire quelque chose avec un peu d'effort… D'ailleurs ils trouvèrent au passage une sorte de tonneau dans lequel il y avait quelqu'un visiblement, décidément ils allaient de surprise en surprise, mais ce n'était pas forcément une mauvaise nouvelle comme le fit remarquer Tobold, restait juste à construire une barricade pour un peu de sécurité, et ensuite réfléchir à comment exploité cette opportunité. C'est donc ce qu'ils firent en disposant quelques hommes non loin de la porte d'airain au cas-où…

Dans tout les cas la découverte du cuisiner semble être une belle opportunité pour eux tous, voir même leurs seule chance de sortir d'ici vivant. Il semblerait effectivement que ce soit bien une idée, utiliser ce tonneau, et la porte dissimulé par ce dernier pour s'enfuir de cette maudite mine… Inconnu, ou pas il restait qu'il valait sans aucun doute mieux tenter le destin que d'attendre ici une mort certaine, enfin c'était son point de vue, la chance sourit aux audacieux après tout. C'était ça, ou se livrer aux gardes, et vivre esclave, non mieux valait mourir libre selon lui...

« Je pense qu'il faudrait d'abord vérifier si ce passage n'est pas dangereux, s'il le faut je me porte volontaire pour ceci. » Commença t-il, Ensuite comment améliorer ce dispositif, et en faire usage…? Il fallait qu'il y réfléchisse. C'était assez compliqué après tout car il fallait faire en sorte que tout se passe pour le mieux, et ce n'est pas vraiment comme si Alford était spécialisé en quoi que ce soit dans ce genre de mécanisme.

« Je pense que ce serait une idée au moment où nous utiliserons ce tonneau d'amorcer l'inondation de la mine histoire que ces esclavagistes ne puissent pas repartir de zéro par la suite, après il faut tâcher de faire une diversion histoire que ces canailles regardent ailleurs au moment où nous userons du tonneau, vous en pensez quoi ? L’inondation je pense fera l'affaire côté diversion, mais après c'est risqué je dois dire... » S'ils jouaient mal leurs coup tout pourrait dégénérer, mais bon c'était leurs seule chance à bien y réfléchir... "Quoique je préférerai personnellement mourir noyé que vivre esclave, à vous de choisir si vous préférez acquérir la liberté à tout prix, ou non." Après tout ce n'est pas comme s'il pouvait obliger qui que ce soit personnellement...

Maintenant les heures s’égrènent, tout vie au ralentie chez les hommes libres. Tobold à essayer de voir si les conduits d’évacuation des fumées pouvaient conduire à quelques choses, mais les conduits se relèvent trop petits. Un petit miracle se produit, des hommes libres on trouvées des conserve de sirops en jus de quoi tenir une journée de plus…. Tobold vient soutenir les cinq hommes qui montent la gardent dans un couloir à coté du faux tonneau. Ils discutent longuement et préparent leurs défenses, et puis c’es le grand silence quand le désespoir vous guettes.... Ils entendent un bruit.. En quelques secondes tous le monde est en alerte. L’arbalète est armée .….et soudain, l’ennemie attaque, ils sont nombreux. A l’aide de la bougie, deux fumigène sont allumés et envoyés, Il procure un certain brouillard qui ne permet pas aux assaillants de voir sur le sol la nappe d’huile très glissante, on entend un bruit de chute et des jurons, Une bouteille d’alcool de myrtille est enflammé et elle est envoyé sur l’huile qui se met à brûler. De l’huile et de l’alcool cela ils en ont trouvés, au contraire de l’eau. Comme De Mangroves a fait fermer la porte derrière eux un violent appelle d’aire entraîne la fumé vers le tonneau, et rare sont les homme qui parviennent à franchir ce passage et ils sont aussitôt cueilli par l’arbalète. Pour le moment ils contiennent l'attaques, mais ils entend au loins dans les hauteurs des bruits furieux, que ce passe t'il à la porte d'airin? Il ne faut pas perdre de temps et notre homme récupère ce qu'il peut sur les corps des assayants. Quelques armes, quelques pieces d'or et surtout une gourde d'eau, cela leur a fait perdre trois carreaux sur les six qu'ils avaient au départ. Les fumigènes et la fumée s’arrêtent maintenant. Le sol refroidit. La deuxième manche devrait bientôt commencer.

Bon finalement il semblerait que le conduit ne mène nul part pour eux malheureusement, erf tout ceci était vraiment enquiquinant, en tout cas l'inondation ne serait pas du tout une bonne idée à ce stade là, sauf s'il fallait essayer d'emporter le plus de personne possible dans la tombe, mais bon cela était un acte déshonorant si c'était uniquement par pur esprit revanchard, quoique ces esclavagistes ne pourraient ainsi plus nuire… C'était une idée à creuser donc.

Enfin au moins on avait à boire c'était déjà, même si ça ne faisait à ce stade là que retarder l'inévitable malheureusement, mais bon tout le monde ici refusait de jeter les bras, et en soit c'était tout ce que Gorder espérait, qu'on se batte jusqu'au bout pour se raccrocher à l'espoir aussi infime soit-il.

Dans tout les cas il était présent à la porte d'airain au moment où l'action commença, arbalète en main car après tout il comptait bien profiter de le protection qu'offrait les barricades pour s'en sortir. Dans tout les cas au début ça se passa a peu près bien avec les fumigènes, l'huile enflammé, et les tirs d'arbalètes, mais il était évident que malheureusement ça avait peu de chance de suffire si l'on se contentait de cela.

Pour sa part la porte d'airain devait tenir, Alford du coup ordonna d'abord qu'on prépare les tonneaux d'huile que l'on fit renverser, puis il ordonna ensuite un premier tir d'arbalète avec des carreaux à bois, rien de bien efficace pour percer les armures, mais l'objectif était tout autre, les carreaux étaient plantés directement vers le sol, leurs empennes pointues bien pointés vers le haut, de quoi gêner les quelques assaillants qui passeraient, après tout il était inconfortable de se battre les pieds ensanglantés, puis on prépara ensuite les fumigènes.

Pour le coup cela se passait assez bien donc pour la deuxième marche, enfin au début.. Ce que n'avait pas prévu Alford par contre c'est que les assaillants ramènent des sortes de cochons sur lesquels était fixé une sorte de veste qu'ils enflammaient ! Bon sang c'était quoi ça ? Enfin il ne se posa pas de question quand il vit plusieurs des cochons enflammés, et hurlant courir vers la barricade en bois sur laquelle les arbalétriers se tenaient. Alford ordonna qu'on les abattre au plus vite car ils n'avaient rien pour éteindre l'incendie, sinon ils seraient contraint de se replier sur une position plus dur à défendre...

Tobold est inquiet car si pour le moment il font jeux égale avec les esclavagistes dans quelques heures si ils ne trouvent pas d'eau ils seront morts...... Soudain il entent des bruits, il se dirige en grande hâte vers la porte , des cochons portant des charges enflammés courts??? Notre homme regarde cette charge étonnante
" - Des cochons, avec des charges enflammés, des cochons mais c'est bon, il faut les abattre, il n'y a pas Asse de bois ici pour que cela puisse faire un incendie. Et si feu il y a, on peut le l’éteindre avec de la terre, et de la terre il y en a ici des tonnes et des tonnes." . Et bientôt les bêtes sont abattue avec les lances, avec des carreaux d’arbalètes, la faim est un puissant élément qui permet de faire des exploits les plus??? Mais soudain du coté des essayant il se passe des choses inattendu, et Tobold comprend mieux ce qui se passe, les esclavagistes sont attaqués à leur tour, il distingue des bruits, de la fureur et.... le Sergent Enguerrant Adlemse, qui n’arrête pas de sonné de son corps, il est entouré par les hommes d'armes de Lyssa, on vient les délivrer... " - Hourra, hardi les gars, on est ici!" au loin il voit Mallaw Nailyk, Nikkadla Sorrovij et Madame Leiëllires Riwoile. Leurs amis de la caravane arrivent à la rescousse. Ils ont du remonter la piste et parvenir jusque ici. " - Messieurs, on vient nous délivrer, c'est le moment de faire une sortie et d'attaquer les hommes de la Mangouste. En les attaquant par plusieurs axes les esclavagiste vont succomber sur le poids du nombre... de notre nombres."
Gavroche, et quelques hommes libres, l'accompagnent pour cette sortie. Notre homme est content, les anciens esclaves vont être bientôt libéré de cette odieuse mine... Odieuse mine? Il faudrait penser à savoir de quel sorte de mine il s'agit d’ailleurs!

Bon l'on pouvait officiellement dire que l'estomac était une motivation comme une autre pour n'importe qui au vue de la fougue que l'on mettait à abattre les cochons, même si entre-temps les gardes en profitaient pour avancer Alford devait avouer que les esclaves y mettait tellement du cœur que ça en était presque impressionnant. Enfin personnellement il se demandait surtout où les esclavagistes avaient trouvés ces cochons… Sans doute une question qui risquait de rester longtemps sans réponse à bien y réfléchir.

« L'avantage c'est que la cuisson nos ennemis la font déjà à nôtre place. » Rajouta t-il au passage en regardant le spectacle ironiquement avant de tirer à l'arbalète sur les esclavagistes au loin. « Par contre je ne sais pas si c'est la meilleure idée au monde de gaspiller nos carreaux d'arbalètes sur ça... » Mais vraiment pas.

A part qu'a bien y réfléchir, et à bien y regarder c'est aussi important que deux, et deux font 4 vu que visiblement la cavalerie semble encore arrivé au bon moment pour les sauver d'une éventuelle impasse, à ce stade là commence à se demander si tout les esclaves de cette mine sont des cocus, et Alford se demande si il a pas une bonne étoile à force, enfin il ne va pas s'en plaindre.

« HOURRA. » Répond Alford à voix haute, et d'un ton plus qu'enthousiaste en réponse au sergent, et visiblement ils sont plutôt bien accompagnés comme quoi le monde est vraiment petit.

Attaqué les hommes de la mangouste par plusieurs axes pour les écraser ? Ce n'était aucunement une mauvaise idée, personnellement Alford était totalement pour, et il prit lui aussi plusieurs esclaves avec lui pour aller à l'assaut. Pourquoi ne pas aller s'occuper d'une de ces maudites balistes ? Quand il y pense. Alford savait donc ce qu'il allait faire, et puis il se demandait comment ça marchait ce genre d'armes, ce serait sans doute occasion d'essayer.

Il décida donc de passer par la porte d'airain, bon bien entendu il n'était pas sot, et entreprit de vérifier si la baliste était occupé, ou non. Et visiblement oui elle était occupé à tirer sur les hommes en armes… Oubliant totalement les esclaves qui devaient être une menace de moindre ampleur pour les esclavagistes sans doute…

Alford se chargea donc de progresser discrètement, enfin si c'était possible au milieu de tout ceci vers la baliste, contournant les quelques combats il arriva avec ses hommes à la tour où se trouvait la baliste, espadon en main il entra à l'intérieur en premier et progressa dans les escaliers où quelques esclavagistes surprit n'attendirent pas pour se défendre…

La progression ne se fit pas sans trop de problème disons que les bougres n'étaient plus trop nombreux pour défendre la baliste vu que là plupart étaient allés affronter les hommes d'armes, et c'est ainsi qu'Alford, et les esclaves purent arriver près de la baliste, et avant de saboter celle-ci le mercenaire eu une petite idée en voyant au loin ce bougre de Porridge sur un cheval…

« Recharger la baliste j'aimerai juste faire une petite surprise à quelqu'un... » Dit calmement le mercenaire, qui s'occupa d'orienter la baliste dans la bonne direction...

" - Chargez, on vas les prendre en revers." Cri Tobold des Mangrove sa dague den obsidienne à la main. Leurs nouveaux alliés sont des "Lanciers Marins de Lyssa" qui interviennent en masse. Ils sont plusieurs dizaines, avec leurs uniformes à marinière, à grand rabats et leurs célébrés pompons rouge. Pompons rouge qui quand on le touche serait porte bonheur. Ils sont armés de la pique-gaffe, mais leurs force contre les hommes de la Mangouste est leur technicité et leurs discipline de combat. La désorganisation des esclavagiste est très vite total est total, car en plus dés que les ennemies semblent avoir un soupçon de réorganisation, ils reçoivent une flèche, de la baliste manœuvré par les hommes que dirige Monsieur Alford. Un détaille chiffonne très vite notre homme mais ou est donc Cavendish Porridge, le bonhomme semble s’être volatilisé….. Il rencontrer le conducteur de la diligence, Mallaw Nailyk, son arbalète à la main qui lui dit qu’ils ont put intervenir, car en cherchant à savoir ou ils étaient, ils ont rencontré, une troupe conduite par le Capitaine de la Caravane, la suite à alors été vite. Ils parviennent à trouver à Lyssa, le Sergent Enguerrant Adlemse courrier Aux Poste Royale de Lyssa qui prend les choses en mains et qui demande l’intervention des Lanciers-Marins de Lyssa. Monsieur
Nikkadla Sorrovij voyageur de commerce de son métier, à juste le temps de lui faire goutter un échantillon de Don-Kohen de derrière les fagots, et Mademoiselle Mathyldaën, montre à Tobold…. [Ceci est strictement confidentiel.] Pendant ce temps les échauffourés s’arrêtent fautes de combattants ennemis encore motiver.
Il s'installe un grand silence frisé car il y a des morts, et des blessés qu'il faut s'occuper. Tobold aide du mieux qu'il peut, pendant que sont regroupés, d'un coté les hommes libre, et d'un autre les hommes de la Mangouste.
C'est à ce moment qu'arrive dans sa chaise à porteur le Vice-Barron, Gonfrand de la Pépinière. Ce brave homme sort de son véhicule; un mouchoir poudré sous le nez. Désignant les hommes libres et les hommes de la Mangouste, ce brave homme dit, d’une voix hautaine et légèrement ampoulé " - Ah fit bien, voici donc nos nouveaux esclaves, joli butin, Messieurs les Lanciers-Marins......"

Héhé ça c'était un beau tir ! Pensa Alford avec satisfaction en voyant le carreau de la baliste faire un joli impact là-bas… Enfin bon ce n'est pas tout, mais il faudrait peut-être la saboter pensa t-il en s'occupant de faire en sorte avec les quelques esclaves à ses côtés que l'engin de guerre ne soit guère utilisable par la suite par qui que ce soit… A part que… En faîte non il avait eu un doute, mais il fit détruire l'arme lourde, puis il redescendit avec ses hommes en bas de la tour pour apporter une contribution plus directe au conflit en cour qui était largement en faveur du camp des hommes libres ceci grâce à l'aide providentiel des soldats de Lyssa…

Et ce qui devait arriver arriva, et les combats s'achevèrent sur une victoire des esclaves, et surtout sur une nouvelle promesse de liberté pour eux. Alford se disait que cela finissait pour le mieux car la vie allait pouvoir reprendre ainsi un rythme meilleurs pour ces hommes, et femmes qui avaient vécus sans doute une vie dur trop dur pendant tout ce temps. Et au moins ceux qui leurs avaient fais subir cela ne pourraient pas échapper à la justice dorénavant…

Que ? Pensa Alford en voyant le baron arriver, et briser les espoirs de libertés de tout le monde en seulement une petite phrase… Bon sang ! Si seulement il avait su… Il y avait… Il pouvait faire quoi ? Humm il n'était pas avec les hommes libres ni avec les hommes de la mangouste à l'instant où il pensait cela, mais un peu à l'écart occupé à entretenir son équipement… Bien entendu il était facile de deviner que s'assurer du bon fonctionnement de son arbalète n'était pas vraiment sa priorité du moment du coup…

Il paria sur le fait que pas grand monde l'avait vu, après tout il faudrait du monde pour se charger de tout les prisonniers, et tenta de s'éloigner discrètement… Oui discrétion, et lui ça faisait clairement deux… Non au final il avait décidé d'observer la scène un peu à l'écart… Il se trouvait derrière un muret non loin de l'une des tours à baliste. Pour l'instant après tout c'est tout ce qu'il pouvait faire. Il chercha d'ailleurs du regard où se trouvait Tobold… Il commençait clairement à penser qu'ils n'auraient pas pu plus avoir la guigne… Qu'est-ce qu'il pourrait bien faire ? Pour le moment autant tâcher de voir comment allait évoluer la situation pour se faire une bonne idée du tout, et réagir en conséquence.

Les quelques esclaves pouvant se révolter sont aussitôt neutralisé. Il semble pour tous le monde d'Armanda que les esclaves soient et restent toujours des esclaves même si ces esclaves sont ceux de l’ennemie, et on participé à la victoire. le Vice-Barron, Gonfrand de la Pépinière est content car c'est a lui, que profite non pas le crime, mais c'est à lui que revient la mine et tous les esclaves.... Tobold réfléchie, et trouve étrange que tous les hommes de la Mangouste, ne bougent pas. De plus la Mangouste à disparue..... Et voici que les gardes du Vice-Barron se mettent à contrôler physiquement tous les esclaves, pour savoir si ils ont marqués aux fer rouge et a qui ils appartenaient avant. Tobold voit avec horreur un braseros avec des braise rougeoyant avec des fers dedans, pour ceux qui n'ont pas de marques...... Seul le Sergent Enguerrant Adlemse des postes hurle son désaccord sur ce qui se passe et le brave homme est proprement assommé. Ces amis de la caravane eux n'ont rien à dire et sont entourés de gardes armés et menaçant. Lui Tobold l'ancien esclave se place parmi les esclaves, même si il n'a pas été fouillé, mais il a encore son mot à dire. Il lui reste deux fumigènes et Gavroche qui se trouve présentement à coté de lui, comprend ce qu'il prépare. Et il y a trois autres qui semblent vouloir participer à l'évasion, quelques hommes libres font signe qu'ils vont tenter de retarder toutes évasions. Alors le plus calmement du monde notre homme allume les fumigènes et il pendant quelques secondes un épais nuage se forme. Et c'est le moment de la pousser et de la cavalcade, notre homme sait ou il se trouve et par il s'enfuit seul pour le moment, par des tunnel vers la rivière souterraine. Il entend soudain le bruit de pas, mais c'est Gavroche qui débouche d'un couloir..... Les deux hommes finissent par atteindre la grotte au bateau. Mais la il y a une escouade de Lancier Marin de Lyssa...........

Eh bien… Finalement il semblerait qu'il y ait une chance d'y arriver pensa Alford en voyant un épais nuage de fumigène se former non loin. Alford en profita donc lui aussi pour prendre quelques libertés, et notamment aller chopper une opportunité. La baron était prit lui aussi dans la fumée, et Alford ait habillé depuis un petit moment en capitaine, certes c'est encore un habit proche de celui des esclavagistes, mais dans cette fumée il n'est pas facilement reconnaissable. Ni une ni deux il choppe le vieillard à la gorge, et ne laisse pas le choix à ce dernier avant de s'enfuir avec lui. Voilà une rançon de choix ! Pensa le mercenaire en essayant ensuite à son tour de rejoindre le bateau avec sa prise…

« Alors baron !? On croyait s'en prendre comme ça à mes hommes ? Cette mine m'appartient ! Et vous allez regretter d'avoir seulement envisager un jour d'y poser les pieds... » Dit le mercenaire d'un ton menaçant en essayant de bluffer, après tout il avait les habits du capitaine de la garde, autant donc faire semblant d'être ce dernier. Enfin bon dans tout les cas il était un peu ralentie par le fait qu'il avait un otage, mais finit à son tour par arriver dans la grotte où se trouvait le bateau.

« Halte là ! Ou je l'égorge bande de chiens ! » Dit le mercenaire d'une voix cruelle, essayant de mimer son mieux l'attitude d'un esclavagiste impitoyable malgré ses faibles talents de comédien, pour jouer en sa faveur il sortit un couteau qu'il mit sous la gorge du baron pour ne pas laisser à ce dernier l'opportunité de trop réfléchir. Il avisa Tobold, et Gavroche avant de poursuivre à l'adresse des marins.

« Vous allez donc gentiment nous laissez passer, ou vôtre baron va personnellement pouvoir savourer la froideur de ma lame... » Il ne voulait pas aller jusque là, et d'ailleurs pour être plus intimidant, et convaincre les hommes il rapprocha plus sensiblement la couteau de la gorge du baron au point de faire perler une goutte de sang sur sa lame…

En espérant que tout se passe bien… Il espérait que le baron ne jouerait pas à son brave… Au pire Alford était prêt à égorger ce dernier dans le pire des cas, au moins il payerait pour tout ses crimes… Ce ne serait que justice pour tout ces esclaves.

Comment allait t'il faire pour s’échapper?
Ce jeter à l'eau était une solution, mais l'eau est froide et notre homme comprend que l'on ne peutpas rester très longtemps vivant dans ce liquide.
Un homme libre arrive à son tour, ils sont trois pour le moment,... Mais que peut ton faire à trois… devant des soldats fortement armés et nombreux. Rien !
Soudain il y a du mouvement Monsieur Alford Gordner arrive en tenant en otage le Vice-Barron, Gonfrand de la Pépinière, a l’aide d’une dague le menaçant de lui trancher la jugulaire. Il hurle il braille le Alford, mais il parvient à avancer en faisant reculer des hordes des Lanciers-Marins de Lyssa. Le Mercenaire fait signe aux quelques réfugier d’aller vers le bateau. Tobold montre a Gavroche et à l’autre homme des tonneaux de pommes. Et bientôt les trois hommes passent entre les troupes ennemies avec un chargement et monte sur le bateau. Pendant que Monsieur Alford arrive à grand geste en menaçant constamment d’ouvrir la carotide du Vice-Baron, et que Gavroche fouille le bateau à la recherche d’éventuelle ennemie, Tobold surveille la grotte, il voit dans la galerie canl par ou ils sont passés àil y a quelques jours un autre bateau qui arrive, et cette embarcation va les bloquer. Mais a ce moment là, sur le débarcadère il sa passe une catastrophe, le Vice-Duc de la Pépinière se prend les pieds dans son épée d’apparat, il tombe dans l’eau en échappant à la lame d’Alford. Et les Lanciers Marins lèvent et projettent leurs lances sur Monsieur Alford et sur le bateau……. Tobold n’a qu’une chose à faire….. En faite deux choses! Couper les boutes qui retiennent le bateau avec sa dague en obsidienne, et lancer dans l’eau un boute de traîne en espérant que le mercenaire plonge dans l’eau et s’agrippe dessus…….
Déjà Tobold se rut sur la barre franche et lance le bateau dans la galerie inconnue poussé par le courant. Gavroche sort d’une porte en disant il n’y a personne, et que le troisième homme, dit " - Il y a votre ami qui vient de se jeter à l’eau ! "
Le bateau lui entre la noire galerie, et le courant semble s’accélérer entraînent 'ambarcation dans l’inconnue………

Alford était satisfait de voir que ces esclavagistes reculaient en le voyant ainsi menacer leurs patrons. Voilà bien une affaire qui l'arrangeait. Voilà que cela s'arrangeait décidément ! Le baron de plus ne semblait pas se montrer suicidaire ce qui était bien pour l'arranger, en espérant que cela se passe bien, il aimait qu'un plan se passe admirablement bien, jusque c'était rarement le cas. Surtout que la situation risquait de se compliquer si jamais il se passait un événement imprévu, mais bon au moins le souci était déjà réglé en partie. Et ils purent donc se diriger vers le bateau pendant que Tobold montait un chargement.

Et… Ce qui devait arriver arriva disons ! Une maladresse de sa part, et de celle du baron, et ce dernier glissait. Alford le laissa choir car il n'avait pas prévu le coup, et les marins qui étaient vigilant n'attendirent que cette occasion pour lui foncer dessus, la poisse ! Heureusement qu'il avait une armure lourde pensa t-il en se retournant pour courir comme un dérate, alors qu'un coup de lance rebondit sur une plaque d'acier de son armure dans faire de dégât, c'est que l'estoc ce n'était pas idéal sur une armure, sauf si l'on vise les points faibles, et Alford ne comptait leurs en laisser le temps ! Alors que quelques lances sifflèrent non loin il s'élança ! Et bondit de toute ses forces.

Et fichtre ! Il avait oublié un bon sang de détail ! L'armure ! Il tomba dans l'eau comme une enclume, et heureusement que cette armure était pas trop serré car il l'enleva en urgence, alors qu'il coulait. Jetant le casque, enlevant les sangles, il bondit en hauteur, et reprit de l'air avec force alors que son visage commençait déjà à être rouge, et il n'attendit pas vaille que vaille avant de s'élancer vers le bateau. Il savait nager, autant en profiter surtout que le bateau avait un peu d'avance...

Et en faîte le danger qui le menaçait n'était pas trop le fait de possiblement couler, mais plutôt celui de percuter un rocher car le courant était si fort… Enfin au moins cela l'aida à rattraper le bateau même s'il dut agripper le câble en urgence pour ne pas partir trop loin…

Et Alford entendit une flèche qui tomba dans l'eau non loin, visiblement un archer les avait pris pour cible, heureusement il devait être assez loin, il aurait du mal à le toucher au moins.... « Mais ils sont sérieux !? » Dit-il avec agacement avant de tenter immédiatement de remonter vaille que vaille, et avant de s'engouffrer dans le tunnel non loin…