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| La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé | |
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InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Jeu 14 Mai 2015 - 17:08 | |
| A partir de ce moment la ce fut de la folie...... Tobold tient la bar franche d'une main pour que le bateau puisse suivre le milieux de la rivière souterraine, sans toucher les parois qui défilent à toute vitesse a quelques mètres, l'autre main est levé et ses flammèches, illumine à peine et pour peut de temps encore, le boyau dans dans lequel ils s’engouffrent. Tépheïne c'est le nom de l'homme qui est parvenu à monter avec eux, s'accroche avec l'aide de Gafroche au boute sur lequel est agrippé Monsieur Alford, et il s parviennent à le remonter peut à peut. Dans la tête de Tobold c'est la panique dans quelques minutes ses flammèches vont s’éteindre, et cela sera le noir total. Il sent le bateau accélérer sa course et il voit le plafond de la galerie descendre peut à peux, et il ne peuvent que continuer, tout cela va très mal finir. Mais notre homme entend les deux ex esclaves sauter de joie, ils ont réussi à agripper un bras du mercenaire et à le faire monter à bord. Les trois hommes sont fatigué de l'effort qu'ils viennent de faire, mais notre homme les houspilles...." - Il faut que vous trouviez un moyen de faire de la lumière rapidement et vite, mes flammèches vont s’éteindre......." C'est Gavroche qui sauve la situation et il entraîne les deux hommes dans la soute, et ils ressortent avec deux lampes à huiles. " - Dans ma gibecière j'ai un briquet amadou, vite. " La lumière magique de Tobold s’éteint et pendant quelques secondes c'est le noir absolut qui les enveloppe,avant qu'une petite flamme apparaît entres les doigts de Gavroche et bientôt les deux lampes à huile émettent une faible lumière, qui leur permettent tous juste de distinguer les parois sur quelques mètres. L'embarcation file dans l’inconnue. Sans aucun bute sans aucune indication, sans savoir ou il vont. Heureusement ils ont des pommes et de l'eau, à ne plus savoir qu'en faire........ Le plafond remonte et le courant semble moins violent De Mangroves sait par magie qu'ils se dirigent vers le sud. |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Ven 15 Mai 2015 - 9:48 | |
| Bateau, bateau ! La dernière fois qu'il avait pu être dans un bateau c'était il y a moins d'une semaine, et s'était pour se planquer à l'intérieur avec Tobold, là on pouvait donc dire théoriquement que c'était sa première fois, et musclé pour une première fois ! Décidément Alford aurait tout fait pendant sa vie à ce rythme, après ce ne serait sans doute pas lui qui manœuvrait le bateau, ah non mieux valait ne pas lui donner cette responsabilité, mais ? Est-ce que quelqu'un ici savait vraiment manœuvrer un bateau en y réfléchissant bien ? Car disons que personne ici n'avait l'air d'être un ancien marin, après il ne savait pas vraiment à quoi ça ressemblait un marin.
Pendant que la bateau était entraîné par le courant à une vitesse inquiétante Alford pu être remonter sur le bateau. Tout le monde fut fatigué par cela que ce soit Alford car il avait dû s'agripper de toutes ses forces, nager, et se hisser, ou les deux personnes qui l'avaient hissés car disons que le mercenaire ne pouvait pas vraiment être considéré comme un poids plume… « Ok, ok. » Dit calmement Alford quand Tobold les prévint qu'il était urgent maintenant de trouver comment faire de la lumière. Ils allèrent de ce pas chercher des lampes à huiles dans la cale sans doute que ceci serait fort utile, et après un moment de flottement géneral dans l'obscurité on pu profiter d'une lumière bien venue, le courant finit par se calmer, et la grotte par être plus large.
« Bon on sait au moins où on va ? Et où on doit aller ? » Demanda calmement le mercenaire car disons que pour sa part il avait un peu du mal avec ces histoires de bateau… Il regarda sur le côté… Vers l'arrière, vers l'arrière !
« Bon sang ! Baissez vous ! » Dit-il calmement alors que deux trois flèches enflammés vinrent siffler non loin d'eux. Alford regarda vers l'arrière du bateau, il ne savait pas comment, mais les lanciers marins avaient trouvés un bateau, et les avaient rattrapés enfin ils étaient encore bien en arrière, mais nul doute qu'ils allaient les rattraper vu leurs meilleurs habilités avec un bateau…
« J'ai vu que ce bateau avait des chargements de vases, et d'huiles. Gavroche, et toi là prenez les vases d'huiles, et préparez vous à les jeter sur la bateau. Quand ce sera fait je tâcherai de tirer dessus avec un carreau d'arbalète enflammé, au pire on devra jeter l'une des lampes. Si cela marche pas on risque d'être obligé de devoir éteindre les lampes pour qu'ils ne puissent plus nous voir le temps que nous sortions d'ici. » En tout cas s'était ce qu'il fallait faire, car il doute que sur le bateau derrière il n'y ait que quatre gugusses comme sur le leurs... |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Dim 17 Mai 2015 - 21:38 | |
| Tobold s'occupe de la barre franche et la lumière des lampes à huile est suffisante pour distinguer la route ou passe l'embarcation. Tenir cet instrument ne pose aucun problème à notre homme, depuis qu'il est arrivé sur la presqu’île des Mangroves, il a apprit à naviguer avec son vieux Maître Katfaïel sur le bateau de pêche. Le canot appelle "le Clapot" est fait huit mètres de long et trois mètres de large, non ponté, un quillard avec un seule mat, il porte une voile latine. Ce bateau permet la pêches à la traîne pour les poissons et la pêche aux paniers pour les crustacés. Tobold a souvent navigué pendant les quarante ans qu'il a passé dans cet endroit. Donc diriger ce rafiots dans cette rivière souterraine ne lui pose aucun problème. Il est plus perturbé par les flèches enflammées qu'il voit passer, il ne peut pour le moment d’éviter ces traits, car cela l'obligerait de donner des coups de barre, et donc de ralentir l'embarcation, au risque que les ennemies qui les poursuivent se rapprochent et les abordent. Il faut au contraire garder une route bien au centre de la rivière pour profiter aux maximum de la vitesse du courant. Notre homme écoute ce qui se passe et il entend que Gavroche et Tépheïne arrivent à éteindre les quelques flèches qui parviens jusqu'au navire, en les prenants par la tige et en les jetant dans l'eau, de plus le mercenaire avec son arbalète arrive avec son arme à faire en sort que les ennemies doivent se protéger pour éviter un de ses carreaux, et donc la trajectoire des flèches est moins précis, il en ai de même pour l'homme qui pilote le navire ennemie qui fait des erreurs de navigation et donc peut à peut la distance entres les deux navires augmentes. Tobold se concentre alors sur sa route, mais peut a peut il entend un bruit, alors qu'au même moment le courant augmente.... Ce bruit s’amplifie...... Notre homme comprend qu'ils s'approchent...... D'une chute d'eau! |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Lun 18 Mai 2015 - 20:42 | |
| Il ne sait absolument pas où Tobold a pu apprendre à manier un bateau car visiblement ce dernier semblait plutôt bien se débrouiller, mais ce n'était pas pour déplaire au mercenaire en tout cas. Sans doute que le cuisinier devait avoir du sang Lyssien dans les veines, ça ou bien dans le feu de l'action il avait prit en main la barre, et visiblement c'était ce qu'il fallait faire …
Enfin dans tout les cas étant donné que c'était Tobold qui manœuvrait Alford, et les deux autres esclaves devaient se charger de faire en sorte que la tâche du vieil homme ne soit pas d'un goût bien trop compliqué pour sa personne.
Dans tout les cas même si la manœuvre du mercenaire n'avait malheureusement point suffit pour mettre l'embarcation ennemie dans de beaux draps il reste que celle-ci finit par s'éloigner peu à peu de la leurs, au moins voilà quelque chose qui les arrangent. Alford souffle un peu conscient que cela leurs permettra sans doute d'avoir un moment de repos.
Enfin finalement il sembla vite que le fait de pouvoir prendre un court répit dans tout ceci n'est qu'une fort belle utopie, car très vite bruit, et regard à l'appui l'on constate que l'embarcation se dirige vers une chute d'eau, il ne fait aucun doute que la chute allait faire très mal… Alford qui voit son sang faire un quart de tour, voit non loin l'ancre de l'embarcation… Sans réfléchit, et voyant que le fond de la rivière est rocheux il jette l'ancre par dessus, celle-ci finit vite par s'implanter, bloquant l'embarcation pendant au moins quelques minutes le temps d'agir…
« Bon sang ! Réfugiez-vous vite dans la cale du navire ! Nous ne pouvons pas faire machine arrière sans retomber dans les mains de ces esclavagistes ! Tentons donc le tout pour le tout ! » Dit-i, après tout s'ils passent cette chute d'eau, en espérant que celle-ci ne soit pas trop sévère la poursuite allait de ce pas être interrompue, et ils seraient sortit d'affaire. C'était un pari audacieux cela ne faisait aucun doute, mais ce pari se tentait tout de même… Et puis dans la cale du navire ils éviteraient d'être jeté par dessus bord au court de la chute car cela aurait été le pire choc possible pour le malheureux hors de la protection du navire... |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Ven 22 Mai 2015 - 10:50 | |
| Tobold est à la barre et soudain il distingue une face sombre sur la parois sur tribord, il semble y avoir un tunnel qui par par là! Alors qu'il va abattre dans cette direction, le bateau stop soudain, et le barreur mal barré tombeNotre homme se retourne et il voit que les trois homme on jeté l'ancre et se ruent dans les cales." - Sortez de là rester dans la cale ne sert à rien.." les flèches se font plus precises mais De Mangrove, se lève, sort sa dague en Obsidienne et coupe le boute de l'ancre l’esquif repart tous doucement montre homme éteins les lampes à huile puis dans le noir le navire prend de la vitesse mais l'autre barge arrive lui à pleine vitesse. Notre homme abat et force son navire à longer au plus prêt du mur tribord, sans toucher la parois. heureusement les trois hommes sortent de cale et s'occupe d’éteindre l'incendie. Les ennemie on prit tellement de vitesse qu'ils les double par bâbord amure, et disparaissent dans la nuit. Ils lancent encore quelques flèches, mais ils semble avoir maintenant d'autre préoccupation,. Tobold lève sa mains et lance alors avec ses flammèche une forte lumière qui ne va durer que quelle secondes asse pour virer dans le gouffre sombre d'un nouveau couloir...... Ils ont de la chance après tout et avant que ses flammèches s’éteignent, ils sentent qu'il sont dans un bras avec un courent lent. Monsieur Alford en jetant l'ancre leur on permis de se débarrasser de leur poursuivant. " - Il faut ralumer une lampe, s'il vous plait." Maintenant le noir est total. Quand la lumière réapparut, ils se trouvent dans un dans un étroit boyau qui permet juste le passage du bateau., ils naviguent tranquillement.
" - Messieurs" hurle Tobold, " - Nous ne savons pas ou nous allons. Alors nous ne pouvons rester debout éveiller tous les quatre. Cela pourrait durer longtemps. Nous allons faire deux équipes, Moi et gavroche. et Monsieur Alford et Monsieur Tépheïne . Pendent que deux serons de quart, deux dormirons, et nous nous relayerons tout les sis heures........Il faut regarder les provisions pour rationner, et aussi mettre quelque devant avec une sonde et un perche en cas de problème......" |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Sam 23 Mai 2015 - 11:20 | |
| Un tunnel ! Ouf c'était sans doute mieux que le plan suicidaire même si audacieux d'Alford, enfin pour cela il fallait arriver au dit tunnel, et ce n'était pas forcément gagner à bien y réfléchir. Surtout que leurs poursuivants qui faisaient preuve d'une bravoure à la dois admirable, et idiote continuaient la poursuite derrière. Dans tout les cas tout se passa très vite, les lumières s'éteignent, les flèches s'abattent sur le pont, le bateau repart assez vire, et l'on croise les doigts, serre les dents pour que ça passe.
L'on tâche de vite retirer les flèches qui percutent l'embarcation, et l'on s'aperçoit assez vite que l'embarcation des soldats marin de Lyssa prit au piège par sa propre vitesse les dépasse pour se diriger droit vers les chutes d'eau. Pas de chance pour eux pensa Alford. Néanmoins ça les arrangeait pour leurs parts c'était déjà ça.
L'on rallume ensuite la lanterne, et l'on poursuit la navigation, évidemment comme le souligne Tobold on ne sait pas où l'on va de un, et il fallait se relayer par équipe de deux pour assurer l'efficacité de tout ceci. Et se rationner le temps d'arriver à faire quelque chose avec ce tunnel.
Et donc le voyage à travers les eaux de ce tunnel se poursuivit calmement, il fait sombre, on a du mal à voir sans une lanterne, ou un sort flammèche, l'on passe même par une ouverture menant par un lac souterrain, mais tout l'équipage est contraint de faire demi tour en voyant que c'est un cul de sac, ensuite sans doute à cause d'un choc avec la paroi de pierre il y a deux trois fuites qui n'arrangent personne. Alford se met d'accord avec le reste de l'équipage pour jeter un peu de la marchandise que contient le navire, surtout des trucs dont il n'ont pas besoin histoire que le bateau aille plus vite. Par la suite un, ou deux des passages à force de manger des fruits finissent par avoir la colique. Autant dire que l'ambiance n'est pas forcément des plus joyeuses. En même temps quelle idée de n'embarquer que des tonneaux de pommes... |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Mer 27 Mai 2015 - 7:52 | |
| La croisière s'amuse..... Tobold voudrait bien mais la fuite d'eau, cinq heures à colmaté la fuite, donné des coups de marteau sur des madriers et des planches pour minimiser l'eau qui ruisselle. Il faut après. ,avec des seaux, évacuer ce liquide et c'est des mètres cubes, et des mètres cubes que l'on rejette, Puis après il faut manger, et vous voyez cela consiste en : Petit déjeuné Pomme Pause de dix heures Pomme Repas Pomme Goutté Pomme Diner au chandelle Pomme Alors on pèche pendant que le bateau navigue doucement au file de l'eau, mais le seule appât qui leur reste c'est des pelures de pommes, et pas une touche, et pourtant ils voient des gros poissons, suivent la lumière de la lampes, et on ne peut pas les attraper. Quand à l'huile Tobold et Gavroche, recherche de l'huile partout et sur le bateau, on est réduit à ne plus mettre en route qu'une lampe par mesure d’économie, il ne reste pratiquement plus rien. Alors que pour une fois notre homme pouvait se reposer..... Paf, ils arrivent dans une grotte immense remplies de stalagmites et de stalactites. Et là c'est terrible, il n'y a plus de courant, ils stagnent, ils n’avancent plus, ils s'enlisent. Au bout d'une heure, ils ont avancé de trois mètres. De Mangroves sort la grande rame, et leurs apprend à godiller. Sur un canote, une petite annexe, godiller est efficace, mais sur cette barcasse, pleine d'eau, c'est pardonnez moi l’expression, c'est une galère, mais le navire avance, doucement, mais surement. Les quatre hommes se relayent et au bout d'un long moment ils finissent par retrouver un courant, et ils quittent l'immense cavité et repartent dans une galerie, Enfin pouvoir ce reposer, mais le sablier que retourne Monsieur Alford, indique que c'est leur quart...... Comme je vous l’ais dit au début du poste, la croisière s'amuse. |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Mer 27 Mai 2015 - 12:43 | |
| Enfin dans tout les cas on ne peut guère savoir si l'équipage préférait les moments où l'on n'avait quasiment rien à faire, et où tout le monde s'ennuyait ferme, ou bien ceux de travail pénible . Enfin dans tout les cas le voyage en bateau suivait son cours, Alford aurait pensé que la chose était plus agréable, après étant donné qu'il faisait cela à 4 au milieu de grotte sous marine, et pas à l'air libre en pleine mer la chose était différente, enfin au moins il a pu voir deux trois trucs sur comment manœuvrer un bateau, même si au final c'était plus bouger la barre qu'autre chose. Qui sait ? Cela pourrait lui-être utile un jour, s'il n'y avait pas quelqu'un de plus compétent à portée…
Pénurie d'huile, pas de pêche… En somme pour le moment ce n'est pas très glorieux, et pourtant la poiscaille ce n'est pas ce qui manque ici, des poissons ici…. Cela veut sans doute dire que la grotte sous marine ait relié à un lac en dehors, ou bien à la mer. Si seulement il pouvait pêcher un poisson… Il ne s'y connaissait pas en poisson, mais peut-être que Tobold, ou un autre pouvait distinguer un poisson d'eau salée, d'un poisson d'eau douce. Au moins cela leurs indiquerait bien vers où tout ce courant souterrain les mènerait, avec de la chance près de Lyssa la Vagabonde…
Et suite à la traversée d'une grotte à stalactite on finit par s'engager dans une nouvelle galerie à courant, le bateau peut ensuite avancer, avec de la chance vers la sortie.
Et c'est là… qu'ils tombèrent sur un passage vraiment très exigu, le courant était fort, et il fallu beaucoup de manœuvres pour s'en tirer sans trop de mal, Alford cru même un instant que le bateau allait se retrouver coincé dans la roche, mais il étaient arrivés à passer de peu… L'air commençait à avoir l'air légèrement plus frais au fur, et à mesure qu'ils avançaient c'était déjà ça !
Au passage ils étaient enfin arrivés à faire des prises, faute d'y arriver avec les cannes à pêches ils avaient usés de sortes de javelots en bois improvisés reliés à des cordelettes trouvés sur le navire. Bon les prises n'étaient pas énormes, mais c'était déjà ça. Et ils purent au moins manger du poisson même si cru au cours de toutes ces galères. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Jeu 28 Mai 2015 - 11:30 | |
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Le voyage continue, des pommes, et de l’eau…..Pour économiser de l’huile, ils utilisent des sorts pour créer de la lumière…..le voyage se poursuit…. A un moment, quand Tobold parviens enfin à dormir, il est réveillé par les hurlements des trois autres hommes…… La bas au loin, il voit de la lumière……enfin de la vrai lumière ! Notre homme se lève et n’en croit pas ses yeux, il y a effectivement de la lumière, et pas n’importe qu’elle lumière …mais de la lumière naturelle celle du jour. L’horloge interne de De Mangroves est complètement décalée, il se croyait la nuit. Pas grave. Le courant très faible les entraine vers cette fabuleuse découverte. Au fur et à mesure il voit le vert de feuillage apparaitre dans un soleil brillant comme celui de midi. Les quatre hommes se congratulent, ils sont sauvés. Le bateau avance tranquillement, et aucun obstacle ne les empêche de parvenir à cette incroyable destination, la lumière du jour. L’ancien esclave se dépêche de découper des lanières de cuire que l’on place sur les yeux munie d’une fente puis faire une protection qui permet d’atténuer considérablement l’intensité des rayons du soleil d’Armanda. Ce n’est pas le moment qu’ils se brulent la rétine, au moment ou la liberté se présente. Le bateau avance est enfin ils débouchent dans la lumière du soleil qui comme par hasard disparait. Ils sont dans un cenote, un aven remplit d’eau et là au dessus ils voient le ciel. Le soleil, jusqu’a ce moment à son zénith, continue sa course et la grotte se retrouve dans une semi obscurité. Une maigre végétation est accroché aux parois, et comble de malchance cette falaise abrupte semble un mur verticale de trente mètres, infranchissable. Tobold manouvre le bateau vers une petite plage……….. Il parvient à l’échouer. A l'aide d’un boute il amarre le bateau à une racine et les quatre hommes regardent leur nouvelle prison!
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| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Ven 29 Mai 2015 - 8:43 | |
| Ils finirent enfin par trouver de la lumière, de la lumière naturelle ! Pour le coup on aurait presque pu croire que le voyage aurait été sans fin. Alford, et les deux esclaves allèrent réveiller Tobold, mieux valait que tout le monde voit cela après tout, la liberté était très proche maintenant pour eux ! Une fois sortie de ce satané tunnel ils pourraient se rendre à Lyssa, et oublier tout ces tracas .
Enfin dans tout les cas l'on constate aussi cela par un courant d'air venant de dehors, brrr effectivement c'était l'hiver ! La saison rude avait commencé de plein pot, et tout le monde savait que l'hiver était particulièrement froid à l'Est du continent, mais cela ne faisait peur à personne car il valait mieux avoir froid que rester dans ces maudites grottes.
Ils aperçoivent même vite du feuillage, avec de la chance ce sont des arbres fruitiers… Ah oui ce serait l'idéal certainement d'avoir ce genre d'arbre à portée de main, pour changer un peu des pommes, enfin ils verront bien…
Bon après revoir ainsi le soleil après un certain temps passé dans l'obscurité fait assez mal aux yeux, sans doute qu'il faudra un temps d'adaptation, mais cette lumière retrouvé est un nouvel espoir pour eux tous. Personnellement Alford ne demande pas mieux, restera ensuite à voir si l'on peut se rendre à Lyssa de la façon la plus belle possible, en bateau ! Ahah la tête que ferons les Lysiens, et pour payer les taxes ils n'auront qu'a abandonner cette embarcation aux percepteur, les impôts Lyssiens sont connus pour leurs cruautés après tout, mais cela étonnerait fort même Alford qu'ils soient aussi élevés…
Une cenote ? Eh zut ils n'ont pas de sortir directe avec l'océan… Mais pas possible d'escalader une paroi aussi haute, et lisse. Eh bien c'est drôle on dirait que le soleil les nargues depuis la faille en hauteur en faîte… Raaah, il fallait trouver un moyen de sortir d'ici, mais bon au moins il y avait un peu de végétation par ici, et de quoi faire une petite pause, le temps de réfléchir. Parce que c'est pas tout, mais voyager en bateau n'est pas forcément des plus agréable. Ils prennent donc sur eux, et vont s'amarrer au plus vite sur une plage non loin pour ensuite regarder calmement les environs, et trouver une solution.
Du coup… Il faut trouver comment sortir d'ici ! Alford remarque d'ailleurs lorsqu'il atterrit sur le sable qu'il touche du dur des bottes, pas du sable en tout cas... Il dégage un peu de sable pour constater qu'il y a plusieurs caisses enterrés, curieux il sort celel-ci, et les ouvre pour y trouver du vin, des parfums, des bijoux!
"Je crois qu'on est tombé dans une cache de contrebandier..." Dit calmement Alford aux autres... Il regarde certain des marchandises, remarque qu'il y a du bœuf séché. "Au moins on a de quoi mangé, après reste que si les contrebandier descendent des trucs ici c'est qu'il y a moyen de les remonter... Regarder si vous trouver par une corde, un défaut dans la paroi, sinon on aura qu'a attendre, certaines de ces marchandises périssent très vite, ce ne doit être qu'une cache temporaire, il est certain que les contrebandiers vont revenir, avec un peu de chance on pourra négocier nôtre remonté, mais je préférerai ne pas avoir à compter là-dessus..." Dur de se fier à des marauds de ce genre après tout. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Lun 1 Juin 2015 - 15:14 | |
| Et pas n'importe quel vin, Tobold sort une bouteille, bien protégé dans sa caisse de bois. Tout cela sans aucune indication de provenance, pas une étiquette. A l’aide de sa dague en obsidienne, il sabre le flacon, et se sert un petit verre. Notre homme étudie la robe à la lumière du jour ! " - Une belle brune. " Il place son nez sur le godet sent et étudie les fragrances subtiles sortant du merveilleux produit, " - Un nez plus jolie que celui de Cléopâtre. ", il goutte, légèrement, délicatement le breuvage des Dieux, " - Une bouche pulpeuse. " Il crache par terre, en fermant les yeux, il étudie les éléments pour évaluer le vin qu’il vient étudier… " - Un rouge, pas soviétique, je dirais un château Kohen, elle a de la cuisse, la Bougresse elle à de la cuisse,….1732. Ce produit est un pur nectar." Alors, Tobold sans se couper, boit au goulot, ce qui reste de la bouteille en quelque secondes et quand il a finit, il dit : " - Il faisait soif et ce n'est pas bien de gâcher!" Il remet délicatement la bouteille vide à sa place. " - Une cache de contrebandier, vous dite, Monsieur, Alford, moi cela me fait penser, a une cache secrète, ou des hommes et des femmes de hautes extraction viennent se réfugier en cas de problèmes. Qui viendraient les chercher ici. Mais si vous regardez bien la parois il y a une sorte de chemin qui cour dans la parois, on l' a creusé en forme de visse, on distingue même des marches, et on a pris soit de le cacher avec de la végétation. Dans haut le chemin doit être invisible." Tobold récupère tous ce qu'il trouve de boute sur le bateau, pour en faire une longue corde. Je vais monter seule par ce chemin puis une fois en haut je vous assurerais pour vous éviter de chuter." De Mangroves se met en route, heureusement l'escalier en colimaçon est plus facile à monter qu'il le craignait, comme si il avait était récemment restauré....... |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Mer 3 Juin 2015 - 18:50 | |
| Visiblement on ne changeait pas une équipe qui gagne, Alford avait remarquer ces quelques dernières semaines de voyage que Tobold apprécié plutôt la boisson, mais bon il n'était pas le seul ici, les non buveurs étaient bien rare après tout, Alford lui-même ne dédaignait pas une bonne bouteille de temps en temps non pas pour se rendre ivre, mais car ça avait bon goût si on savait savourer le vin. Et il regarda d'ailleurs assez amusé Tobold qui se lançait dans sa grande expertise du vin, visiblement il était loin d'en être à son premier verre, Alford ne l'aurait pas cru si fin connaisseur, mais bon Tobold était un homme plein de surprise visiblement.
Par contre il ne savait pas si c'était une bonne idée de boire l'alcool maintenant surtout s'ils étaient amenés plus tard à repartir en bateau, ou autre. Pour sa part Alford s'en abstint, non pas qu'une bouteille n'aurait pas fait du bien, mais bon après il prit quand même une, ou deux bouteille. Pour mélanger le vin avec de l'eau histoire de faire de la piquette, et de ne pas risquer d'attraper la dernière des dysenterie, ça ferait de la boisson en plus au moins.
« Une cache de noble ? Je me serai attendu à vrai dire à ce que leurs cache soit plus luxueuse dans ce cas-là qu'une grotte au milieu de nul part. Enfin si ils ont vraiment pas le choix... » Conclut-il en soupirant, m'enfin cela fairait son affaire.
« Bien visiblement nous avons une bonne étoile! » Dit-il ensuite avec le sourire en contemplant le petit escalier qui devait mener vers la surface, pour le coup cet endroit était bien travaillé, il est presque dommage qu'il ne soit pas très utilisé, mais sachant comment évolué la guerre humano-vampirique ces derniers temps Alford se disait qu'il y avait des chances que cet abri finisse par démontrer toute son utilité.
Ils s'occupèrent donc par la suite de se hisser sur l'escalier ce qui n'est heureusement pas trop compliqué, puis l'on tâcha de remonter calmement à la surface. Et une fois arrivé là haut on constata que l'on arrive pas trop loin d'une plage, et…
« Et vous qu'est-ce que vous fichez-là ? » Une voix retentit non loin, Alford perplexe s'y intéressa.
Visiblement c'était un riche bourgeois de ce qu'il vu, un homme avec un certain embonpoint, et qui semblait plutôt bien vêtit. A côté de lui ses deux gardes du corps avec des lances.
« Eh bien disons qu'on vient de sortir de cette grotte par là car il n'y avait pas d'autre issue. »
Le bourgeois renfrogné dit.
« Dîtes surtout que vous êtes venu me piller, et que vous alliez chercher vos complices bande de manants. » A ces mots les deux gardes se mirent en garde, Aford glissa à l'oreille de Tobold.
« A trois on court... »
Un il recula d'un pas, deux il prit rapidement une poignée de sable fin dans chaque main, trois il en aspergea dans les yeux des deux gardes. Et par la suite ils coururent, après tout cela aurait été bête du tuer ces pauvres bougres pour un bête mal entendu. Et puis Alford n'était pas du tout un fin orateur... |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Jeu 4 Juin 2015 - 9:04 | |
| Les quatre hommes sont entrés dans Lyssa maintenant. Il se trouve que Tépheïne semble connaitre les différents chemins pour entrer dans cette ville, surtout les chemins discrets.
Et pourtant il y a quatre heures ils étaient plutôt dans une mauvaise position quand Monsieur Alford Gorder égale à lui-même avait décidé de foncer dans le tat, pour échapper aux hommes qui les attendait à la sortie du gouffre….. Heureusement, heureusement que le mercenaire n’ai pas voulut les trucidés,…… Il avait jeté de la poussière dans les yeux de deux des hommes, quand enfin il s’arrêta de courir, cela faisait un moment que Tépheïne cryait " - Mais arrêté bande de [Censure] à pattes velues, je les connais, c’est Défrenis mon beau frère, et sa bande….. " Là Alfold se retourna et….revenait sur ses pas d’une drôle d’air. Les sept hommes s’étaient installé et la discussion avait commençait, Ils apprirent beaucoup de chose. Tépheïne avait était arrêté par les gabelous de la ville de Lyssa, quelques moi plus tôt, condamné aux mines de sel et vendu la société Porridge and Co, pour avoir ameneé un chargement de sel de Guarrend, village connue pour ses marais salant. Gavroche raconta alors que le Vice-Barron, Gonfrand de la Pépinière avait attaqué avec ses unité de lancier marin de Lyssa, ce village quelque jours plus tard, car c’était un repère de dangereux trafiquants. Le village avait été détruit, les vannes des barrages de retenus des marais avaient été ouverte pour inondé les bassins, et tous les habitant réduit en esclavages, comme dangereux terroristes. Défrenis leur avait dit d’aller à l’auberge du « Dragounet des Mers » ou ils seraient bien accueilli pour se reposer puis quitter cette ville au plus vite.
Les quatre hommes sortir discrètement des égouts par le conduit de la place au sel, il fallait faire attention aux patrouilles car depuis des mois il y avait un couvre feux. C'est en passant devant un panneau contenant une affiche, que De Mangrove lut que deux jours plus tard, Enguerrant Adlemse allait avoir la tête tranche pour rébellion,…………
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| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Sam 6 Juin 2015 - 8:50 | |
| Lyssa… On y était presque, la ville n'était pas du tout loin, dommage qu'Alford ne puisse prendre un peu de temps pour la contempler car comme d'habitude les imprévus tombaient sur sa tête comme les gouttes de pluie sur un marais des plaines de l'Est…
Ensuite suite au petit malentendu avec les gardes qui mit Alford dans un certain embarras tout se réglait très facilement heureusement, eh bien en parlant de coïncidence, il se demandait bien comment les choses pourraient tourner… En tout cas ils étaient enfin sortit de ces maudites grottes, ils pourraient bientôt se rendre à Lyssa avec un peu de chance, et aussi faire traîner devant la justice toute cette bande d'esclavagiste avant de repartir. Genre en dévoilant l'emplacement de la ville, le fait qu'il y avait des esclaves, et en disant qui gérait tout cela, car baron ou non l'esclavage était illégal dans l'empire…
Quoique au vu de l'histoire qu'on lui raconta ce serait compliqué de pouvoir faire ce qu'il pensait faire surtout en ces temps de guerre, ouais décidément Lyssa était une cité bizarre. Les nobliaux étaient despotiques par ici, bien plus que dans le reste de l'empire, il ne faisait visiblement pas bon vivre pour les honnêtes gens du petit peuple, Alford en conclut qu'il tâcherait de ne pas trop s'attarder ici si possible …
Ils entrèrent donc dans Lyssa sans trop de difficulté, après avoir vu que le pauvre Anguerrant allait se faire exécuter, Alford précisa à tout le monde qu'il se faisait tard, et qu'avant de décider de faire quoi que ce soit il vaudrait mieux trouver un endroit pour se reposer, par exemple une auberge de voyageur pas trop mal famé, quoique avec le couvre feu… Bon l'avantage c'est qu'en rentrant par les égouts ils avaient évités les taxes, et ce n'était pas pour lui déplaire…
« Le port, on pourrait peut-être essayer d'aller dormir dans une auberge de marin, certains navires reviennent assez tard le soir sans doute, et du coup les établissements ne doivent pas avoir encore fermé la porte... » Proposa calmement Alford à la troupe. |
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| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Mar 9 Juin 2015 - 11:21 | |
| " - Monsieur Alford, il faut sauver le Soldat Enguerrant Adlemse. ..." En regardant avec des grand yeux le mercenaire. " - Il faut le sauver, et on a que deux jours." Tobold arrache l'affiche, de rage! Le groupe arrive devant l'auberge « Dragounet des Mers », sans avoir rencontre la Garde Noire, l'unité militaire qui patrouille dans la ville de Lyssa, pour faire observer le couvre feux la nuit. Tépheïne frappe à la porte selon un code. Un œilleton s’entrouvre. Pendant deux longues minutes un œil noir, les scrute. Puis on leurs ouvre la porte. Il entre dans la salle commune vide et sombre. L’homme qui leur a ouvert tient à la main une lampe à huile. Et regard le visage de Tépheïne, puis des trois autres hommes reconnaissant celui de Gavroche. "- Venez par la je vais vous donner à manger à boire et je vous donnerais une chambre. Je vous demanderais de ne pas bouger de votre chambre, ette nuit. "
La cloche de deux heures sonnes, et Tobold ne dort toujours pas. Alors que les trois autres si. Il n’aurait pas du rependre, du saucisson à l'ail, du jambon à l'os, du pâté de lapin, de la rosette de Gloria, ainsi que les deux tranches de saumons fumé de Lyssa...... Il a soif, maintenait! Ne pas descendre, avait dit l'aubergiste, mais il a soif. Doucement notre homme se déplace ouvre la porte et descend. Il trouve un verre et va le remplir d’eau à la fontaine quand il aperçoit une bouteille de Château Kohen 1734….. Il trouve le tire bouchon, quand il entend des bruits de voix, provenant de dessous….. Curieux notre homme trouve une porte qui amène sur une cave, ou se trouve une réunions d’hommes et de femmes. " - ....une dictature, nous avons affaire à une dictature, qui nous pressurise d’impôts, tout en nous volant nos dernières richesse, par des bandits sous leurs bottes. Ils ont avec eux les principale force armé de la la ville, et les pire brigants, que nous restent'il, que pouvons nous faire......" |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Mer 10 Juin 2015 - 20:41 | |
| « C'est ce que nous ferons Tobold, mais il serait plus sage d'aller dormir auparavant, nous sommes fatigués, et on a faim. Sans compter le fait qu'il y a un couvre feu. Et puis au moins on pourra réfléchir à un plan ce soir. » Répondit calmement Alford à Tobold qui semblait assez remonté… Quand même ce serait risqué.
Puis ils allèrent donc à l'auberge, après un petit manège de l'aubergiste ils purent enfin rentrer, un coup de chance ! Une nuit de sommeil ne leurs ferait pas de mal, par chance ils étaient arrivés à ne pas se faire chopper par la garde c'était déjà ça… Alford ne serait pas contre des vêtements par contre qui ne sentent pas l'eau de mer, et le fait pouvoir se laver, mais bon il le ferait quand il en aurait l’occasion…
Mais au moins après un bon repas ils purent se coucher, Alford avait rarement mangé du poisson, disons que là d'où il venait ce dernier était excessivement cher donc autant dire qu'il avait apprécié la chose, et même si l'on était un peu cran il arriva s'endormir. Comme tout bon mercenaire habitué à une vie aventureuse, tout en gardant un œil ouvert comme tout bon mercenaire solitaire qui sait ne pas se faire égorger pendant son sommeil…
Et c'est comme cela qu'il vit Tobold se réveiller, décidant au final de le suivre par curiosité Alford arriva à voir que ce dernier s'intéressait à une cave, se penchant pour écouter avec lui le mercenaire glissa sur le parquet qui était mouillé, et entraîna accidentellement Tobold avec lui dans sa chute dans la cave. Pour tomber devant tout les hommes, et femmes qui s'y étaient réunis, autant dire que pour être discret c'était rappé.
« Euh… Mon ami, et moi on souffre de somnambulisme, désolé pour le dérangement on vient de se réveiller à l'instant ! » Il y avait mieux comme excuse pour dire que l'on avait rien vu rien entendu, mais c'était la seule qu'il avait. Il se demandait encore dans quoi il venait de se fourrer par excès de curiosité...
Dernière édition par Alford Gorder le Ven 19 Juin 2015 - 14:52, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Ven 19 Juin 2015 - 14:36 | |
| Les deux hommes se relèvent, mais avant qu'ils n'aient pus faire quelques chose sMademoiselle Mathyldaën Eonic l'entraineuse au Frou-Frou de Lyssa se jette à leurs cous en riant et en disant..." - Ils sont vivant." Monsieur Mallaw NailyK le conducteur de la diligence de la carave, monte sur une table, en disant " - Voici les deux hommes qui se sont mit a travers du chemin de la Mangouste qui n'est autre que Cavendish Porridge l'homme qui dirigeait l'unique caravane qui reliait Lyssa à Aldéria, et qui se sont échappé aux Lanciers Marin du Vice-Barron, Gonfrand de la Pépinière, l'homme qui dirige les forces armées de Lyssa... On les croyaient mort et voila qu'ils resurgissent et que l’espoir renaît..."[/color] Pendant que le conducteur harangue les gents, Monsieur Nikkadla Sorrovij voyageur de commerce de son métier, sort de sa mallette des échantillons d'alcool de Myrtille et les tend à Tobold qui les goûtes, les évalues et passent commande........ Puis c'est au tour du Caporal Chef Sylvestere Stoulane courrier Aux Poste Royale de Lyssade monter sur la table, " - Ils vont pendre le Sergent Enguerrant Adlemse, mon frère, mon camarade, demain soir, il faut faire quelque chose, je sais que les marins pécheurs, ploient sous les impôts et sont prêt à ce révolter, Les meuniers, les boulangers sont dans le même etat.... " C'est Tournebroche l'Aubergiste et Cespasentierementautomatix le forgeron qui continuent, " - Les Artisans de la rue des fontaines aux ours sont en colères.... - Ouaiiiii! - Il faut faire quelque chose! - Ouaiiii! - Tous de suite - Même que Ouaiiiiii! - Maintenant..." Tobold voit tous cela, en finissant un échantillon, aïe une révolte se prépare, et ils sont beaucoup, ils vont se retrouver, face à des militaires, qui n’hésiterons pas à les massacrer.
Tobold monte sur la table et se met à parler " - Calmons nous les amis, une révolte spontané à toutes les chances de finir dans un bain de sang. Si vous voulez réussir il faut un plan....."
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| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Dim 28 Juin 2015 - 22:03 | |
| Hein ? Il avait mal entendu pensa Alford perplexe… La baron dirigeait les forces armée de Lyssa ? Bah elle voulait sans doute parler d'une partie des forces armées seulement, la plupart des militaires de toute manières comme partout dans l'empire étaient occupés avec la guerre contre les vampires. Quand à leur petit projet d'émeute Gorder ne pouvait qu'être perplexe car ils allaient très probablement se faire massacrer rien que ça. Enfin dans tout les oui ils étaient vivants, et heureusement d'ailleurs avec toutes ces histoires. Car on aurait presque pu croire que ça n'allait plus en finir.
Mais sérieusement cette affaire puait, et il se demandait vraiment dans quoi ces pauvres gens s'embarquaient, certes c'était possible peut-être de libérer le sergent, mais une émeute contre le pouvoir ? C'était probablement la famine causait par la guerre, et les impôts qui les poussaient à cela, mais Gorder doutait que les autorités Lyssiennes fassent preuve de clémence à leurs égards malheureusement…
Et il serait sans doute bien de mettre fin à cela avant que ça n'aille trop loin, ce ne serait bon pour personne après tout, et il était évident maintenant que Porridge finirait par être traduit en justice suite à tout ce qui s'était passé.
Et alors que Tobold allait proposer un plan sans doute, un vieux sage sceptique probablement vînt prendre la parole calmement devant tout le monde.
« Mes braves ce que nous risquons à faire ainsi c'est surtout de provoquer une émeute, nous sommes en guerre actuellement, et l'armée n'hésitera pas à se montrer répressive, et à durcir encore les règles après avoir disperser l'émeute. Cela ne pourra donc qu'empirer les choses ... » A ces paroles tout le monde se calma, visiblement ils venaient de s'apercevoir que l'idée de l'émeute était idiote. Puis le vieux sage parla à Tobold, et Alford.
« Le sergent ne sera pas la seule victime si cela devait arriver, parfois il vaut mieux laisser faire malgré l'injustice de la situation. Quand à vous mes braves le mieux que puissiez faire sans doute, et de repartir de Lyssa au plus vite avant que la situation ne dégénère. Qu'en pensez-vous ? » Finit calmement le sage, Alford s'assombrit en entendant cela, mais finit par répondre amère.
« C'est probablement la seule possibilité qui se présente à nous malheureusement... » Et il avait bien du mal à en dire davantage. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Jeu 2 Juil 2015 - 13:30 | |
| Le vieux sage n'avait pas le charisme ni intelligence de son vieux maître Katfiël , alors qu'il n'y avait qu'une étincelle à mettre pour que la révolte éclate. C'est l'effet inverse qui se passe, Et la révolte se dégonfle, les gens laissent tomber le pauvre Sergent Enguerrant Adlemse, du service des postes. On leur propose à lui et a à Monsieur Alford de les exfiltrer. Tout de suite, là maintenant sans attendre la fin de la réunion, ni dire au revoir à Monsieur Mallaw NailyK le conducteur de la diligence, à Gavroche et Tépheïne les rescapés de la mine, à Monsieur Nikkadla Sorrovij et ses échantillons ni à Mademoiselle Mathyldaën Eonic l'entraineuse au Frou-Frou de Lyssa avec son si jolie [Interdit aux moins de 18 ans] C'est pourquoi ils se retrouvent une heure plus tard dans les marais à deux pas de la route d'Aldaria........ Apres être passé par un passage souterrain..... " - Cette Ville est étrange Monsieur Alford, Ils sont proches de trouver une forme de liberté, mais ils préfèrent rester dans leurs statue quo, tant que c'est leur voisin qui trinquent, ils ne bougeront pas. ils n'y a pas de fumée sans feux disent’ils. Ils se couvrent les yeux. Et la révolte n'a tenue qu'à un cheveu...." Donc Tobold et le Mercenaire se trouvent sur la route à quinze jours d’Aldaria…. " - C’est le petit matin, nous devrions nous mettre en route. Je vous propose ceci, Monsieur Alford, on est à quatre jours de la Wylorel, Montons plein nord et la c’est bien le diable si nous ne trouvons pas une gabare qui nous amènera vers Aldaria en trois jours. Comme j'ai mes bouts de garcettes, je pourrais faire des piégés et nous devrions ne pas manquer de nourriture, vous vous manger du lapin. J'ai remarqué des carottes sauvages, ainsi que des navets. Lapin rôtie, lapin à la poêle, fricassé de Lapin, et filet de Lapins à la De Mangroves..... "Les deux homme décident de prendre le chemin du nord qui est actuellement très peut fréquenté. |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: La caravane. Fin d'Automne 1753 [Alford] Terminé Ven 3 Juil 2015 - 22:51 | |
| Triste histoire, triste affaire, mais au final cela n'aurait guère pu mieux se dérouler, un bain de sang pour sauver une seule personne, voilà ce qui serait arriver. Et Alford était assez malin pour savoir que les responsables de cette révolte auraient étaient durement châtiés. Tout ceci malheureusement ne pourrait pas finir de façon idéale, on était en guerre de plus. La faim, et les impôts étaient tout à fait normal, et tant que la guerre contre les vampires ne serait pas terminé ça ne ferait qu'empirer. Les paysans pour beaucoup avaient trop peur des vampires pour oser cultiver leurs champs, et beaucoup d'hommes, et femmes étaient allés se réfugier dans les cités. Au final c'était surtout la famille qui guettait tout un chacun en ces temps troublés.
Et voilà donc qu'il se retrouvent en dehors de la cité sans tarder, au final ils avaient bien finit par arriver à Lyssa. Dans des circonstances tout autre que celles de départ, mais bon. Qu'allait-il faire maintenant ? Sans doute remonter vers Gloria, c'était bien le mieux qu'il puisse faire au final. Surtout s'il désirait trouver du travail. Oui il retournerait à Gloria pour se réapprovisionner, et il aviserait probablement par la suite.
« La guerre Tobold, la guerre. Et ça ne va pas cesser d'empirer tant qu'il y aura cette guerre je pense. Les gens ont peur, la famine menace, les impôts montent pour financer l'armée. La guerre ne fait au final qu'aggraver la situation. » Dit-il pensif, et amère à cette pensée avant de rajouter.
« Je pense que vous accompagnez jusqu’à Aldaria sera une bonne idée mon ami, mais je prévois surtout si possible d'emprunter la route menant vers Gloria puis vers le Nord après que nous ayons rallier Aldaria. Je pense que le Nord serait un bon endroit pour moi. Disons que ses environs seraient sans doute plus sûr que le reste de l'empire, et de plus je ne devrai pas trop avoir de mal à y trouver du travail certainement... »
Enfin il acheva sur cette note.
« Bon en route vers Aldaria, avant de repartir vers Gloria par le suite je prendrai tout de même le temps de vous payer une tournée au passage mon vieux. » Dit-il en tapant amicalement sur l'épaule de Tobold.
[Hrp : Je pense qu'on va amorcer la conclusion du coup^^. Je m'occuperai des demandes vu que tu part en vacance je crois^^.] |
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