Tobold est depuis trois semaines dans les plaines de la Théocratie. Il est seule et son voyage à deux butes, cueillir des simples, cela est la version officielle en cas de gros problème, l'autre raison c'est de voir ce qui si passe. Il a un faux laissé passé et quelques pièces d'or avec l’avers de Vroag, en cas de rencontre. Mais notre homme va chercher à surtout de ne pas laisser de traces et contourner le moindre problème.
Il a laisse dans une petite ferme de l'autre coté de la frontière dans les terres protégés, sa charrette et son poney, pour pouvoir évoluer dans ce territoire dangereux.
Son équipement est constitué de sa gibecière avec tout le matérielle qu'il a besoin. Un gourde, une couverture, de la garcette, son briquet amadou, un peu de nourriture et sa cuillère de bois. Il a un sac à dos avec les simples qu'il ramasse. Il a bien sur sa dague en obsidienne et un bâton de marche.Il a un une boite en bois, munie d'une grille, dans laquelle se trouve Piou-Piou un pigeon voyageur, qu'on lui a fournit avant son excursion.

De Mangroves à franchit la frontière dans une région tranquille et il est remonté vers le nord sur cinquante kilomètre avant de prendre un cap vers le levant. Jusqu’à maintenant il a fait peut d'observation, une patrouille de quatre hommes, dont il a apprit par cœur l'équipement, armé principalement de la longue lance de trois mètres, et aussi observé un poste et ces cinq gardes. Il a franchit de nuit trois routes. Mais pour le moment la région est calme, peux de circulation. Comme il l'a apprit par son vieux Maître Katfaïel, il ne laisse pas de trace et enterre systématiquement ses feux et ses déchets.
La plupart du temps notre homme progresse de nuit, ou sa vision nocturne lui procure un avantage certain, mais c'est de jours qu'il cueille les simples.
Un beau jour il observe une colonne de poussière au loin. Il distingue bientôt du haut d'un arbre, une troupe nombreuse de cavaliers qui avance, suivit de troupe à pied et de charrette.

3 avril de l'an 5 de l'ère d'obsidienne

« Voyez-vous s'il s'agit d'Impériaux, vieil homme ? »

Une voix respectueuse et calme, au pied de l'arbre, celle d'Aldaron pour ceux qui la connaissait, celle d'un inconnu pour les autres. Voilà trois jours qu'il avait forcé son destrier elfique à faire route sans interruption. Bien qu'il ne lui ait pas demande de galop, le pas seul avait fatigué sa monture. Il n'avait pas eu le choix : les routes étaient dangereuses et il n'avait pas eu le loisir de pouvoir faire une halte convenable. Les petits bois étaient idéaux. Mais ils étaient rares dans cette région devenue trop chaude. Le paysage d'Armanda ne ressemblait plus tant à ce qu'il avait connu autrefois. Ce n'était pas faute de l'avoir parcouru, à des fins marchandes, d'une extrémité à l'autre. La guerre entre les Esprits et Vraorg l'avait défigurée, peuplée de créatures aussi monstrueuses que dangereusement. Il avait du être d'une vigilance irréprochable pour parvenir jusqu'ici sain et sauf. Il avait pu se reposer à dos de son cheval, se penchant sur l'encolure de la monture et s'agrippant à sa crinière. Il l'avait laissé à l'abri pour que l'entier prenne du repos. Pour sa part, il fouillerait les alentours pour cueillir des baies et toute autre plante que son organisme d'elfe raffolait.

Après deux mois de fuite, il avait pu reprendre des forces. Contraint d'avoir eu à manger de la viande de bipède, cannibale, à Morneflamme, son organisme avait eu du mal à se faire à nouveau à des végétaux, mais très vite, il avait trouvé là un renouveau salvateur. Il optimisait son temps entre éveil et sommeil sans se fier au soleil. Ses cheveux s'étaient allongés et dépassait de sa capuche occultante. Il ne fallait pas qu'on le découvre, son visage était un secret à cacher tant son portait était placardé dans toutes les villes. Il avait repris quelques forme et quelques muscle, quittant cette allure squelettique qu'il eut à Morneflamme. Son corps était encore rongé par cette faim radicale. Il doutait même qu'un jour, il puisse recouvrer sa carrure d'antan.

L'elfe n'avait pas reconnu Tobold, rapidement croisé lors de l'Aube Rouge. Il avait juste estimé qu'il ne s'agisse là que d'un vieillard sans défense qu'il pourrait massacrer s'il voulait lui être néfaste. Il avait remarqué cette cavalerie au loin, dans son nuage de fumée. Il voulait être certain qu'il ne s'agisse pas d'impériaux, auquel cas, il lui faudrait fuir à toute vitesse.

Cymbale du haut de l’arbre, regarde en permutant ses différentes visions, la colonne qui avance vers le sud, …. Il doit y avoir un pisteur devant, il ne semble y avoir aucune hésitation, dans la progression des militaires, .pense notre homme.
Il y a dix neuf cavaliers, en uniforme bleu et rouge, avec un étendard rouge à croix noir, un trompette, et ils sont armés de lance de deux mètres cinquante, avec un sabre et une dague chacun. Il y a vingt deux soldats encadrant deux grosses charrettes remplient de tonneaux, et de caisses, un conducteurs et un garde armé d’une arbalète par véhicule. Les militaires sont équipés de lances, parmi eux il y a quatre archets et deux soldats du génie reconnaissable à leurs tabliers en cuire et à leur haches. Cymbale a du mal à trouver le chef et doit user de sa vision grossissante pour distinguer les trois plumes blanches sur le tabard du deuxième cavalier…. Il ne note pas ses informations mais se les répètes plusieurs fois pour les apprendre par cœur. Il vat falloir qu’il se rapproche pour en savoir plus……

Notre homme se pensait bien caché quand une voix l’interpelle, a bas de son arbre. Comme la colonne est très loin il étudie l’être en dessous, dans l’infra rouge. Un Elfe, ces oreilles en pointe ne trompe pas. Les formes du visage lui rappellent un Sylvain qu’il a croisé durant la bataille de l’aube rouge, il y a trois ans. Un visage qui appartenait au camp des rebelles. Notre homme décent et se présente sous son faux nom, il est méconnaissable, avec ses cheveux et sa barbe teint. Je suis « - Je suis Cymbale Païlle, Herboriste, en train de ramasser des simples et la bas ce sont bien des Impériaux »….Le jeune Elfe lui pause des questions ….Oui il examinait des feuilles dans les arbres pour voir leur qualité oui ce sont bien des Impériaux, les couleurs de leurs uniformes ne trompent pas………… " - Mais personnellement, je n’aime pas trop les militaire et l’ordre. " Précise-t-il.
La terre est sèche et le cheval n’a pas laissé de trace.
Cymbale propose au jeune Elfe d’aller dans sa cache pendant qu’il continuera de prélever des simples. Il montre son sac qui commence à se remplir…Le jeune Elfe accepte. La cache est dans une ronceraie, sur un plateau rocheux, ou notre homme à aménagé un passage, qu’on peut obstruer avec une gerbe de ronces manipulable à l’aide d’un long bâton, de l’intérieur ou de l’extérieure. Il y sera tranquille car à quelques mètres se trouve une zone sans ronce avec ses affaires, il y a une source d’eau, de l’herbe pour le cheval , Carottes sauvage et gâteaux sec pour luis. L’herboriste indique qu’il doit continuer sa cueillette, et il reviendra le soir.

Cymbale veut continuer sa surveillance et se dirige vers une bute quand une voix lui demande de s’arrêter……Ce sont deux éclaireures qui sécurisent l’avancé de la troupe…. Es ses hommes l’on surprit, en retournant sur le leurs pas. Pendant que l’un le menace avec son arc l’autre se rapproche et lui pose des questions…… Tobold car c’est bien lui sort le faux « sauf conduit » au nom de Cymbale Paille que lui a préparée Athillë Peldacielillë la Maitresse de chuchotis. Le pisteur écoute les explications de l’herboriste, voit qu’il est un homme en examinant les oreilles, et le militaire demandes ce qu’il fait ici, en répandant par terre le contenue du sac de simples. Il lui demande d’enlever ses chausses, Tobold s’exécute, il les retire et les tends. Pendant qu’il explique qu’il attend encore deux trois jours dans cette région avant de récolter de la sève de bouleau, un remède contre la constipation, un produit attendu avec impatience par ces dames…Les arbres seront à maturités à se moment. Le guide fait une fouille au coprs, contrôle les objets qu’il possède, regarde bizarrement la cuillère en bois. Les deux éclaireurs le quitte sans autre forme de procès, en entendant une réflexion que ce n’est pas un Elfe………..Tobold range ses affaires, attend de voir disparaitre les deux hommes
Bientôt les pisteurs rejoignent la colonne qui oblique maintenait vers l’est, entre la frontière et eux………

Le nuage de poussière devenait inquiétant. Il venait à peine de se poser pour que son destrier trouve le repos et déjà, il se trouvait contrarié par l'arrivée de ses hommes au loin, qui n'annonçait rien de bon. Il aurait tant aimé se reposer, trouver un peu de calme. Il n'avait pu qu'à peine optimiser quelques secondes pour fermer les yeux, parfois, dans un faible sommeil réparateur. Le vieil homme descendit de son arbre. Qui croyait-il tromper avec cette barbe et ces cheveux roux ? Un elfe qui se souvenait fort bien de son odeur peut-être. Aldaron avait vécu 450 ans parmi les humains. Il avait su trouver leur traits caractéristiques, héréditaires. Il était capable de dire que telle ou telle personne était l'enfant d'un autre, et ce, indépendamment de l'âge traçant des ride, ou de la teinte de leur chevelure. Il savait qui il était, mais lorsque l'humain lui donna un faux nom, il ne broncha pas.

« Enchanté Cymbale. Je suis Linaëm Leweïnra. »

Le nom de son père. Son propre nom de famille avant qu'il ne devienne un membre de la Triade. Rares étaient ceux qui le savaient, majoritairement des elfes. Les autres humains l'avaient toujours connu sous son seul prénom Aldaron à l'époque où il n'était pas encore Triade mais où il avait déjà refusé son héritage paternel. Ce faux nom, c'était lui sans être lui dans un même temps. C'était sécuritaire.

Des impériaux donc. Voilà qui ne l'arrangeait pas du tout. Il s'apprêtait à le remercier et se retirer. Il devrait fuir avec son cheval au plus vite, mais la réplique de l'humaine le laissa dubitatif. Il n'aimait pas les militaire et l'ordre. Un fin sourire se dessina sur les lèvres de l'elfe, sous sa lourde capuche noire. Cet humain lui plaisait déjà. Qu'il soit théocrate ou protégé, il n'aimait pas la justice imposé par Vraorg et s'en tenait éloigné d'autant qu'il le pouvait. Il le cacha. Sans aucun motif, sans rien lui demander en échange. Cette bonté humaine faisait tout le charme de cette race. Ils n'étaient pas aussi lent que le peuple elfique pour accorder leurs bienfaits. Il aurait pu se méfier de ce comportement altruiste à son égard, mais le vieil homme lui inspirait confiance. Il accepta sa cachette et s'y dissimula. Il se sentait presque à l'abri derrière tant d'ingéniosité. Il grignotait ses carottes sauvages et paupières se firent lourdes. Pour la première fois depuis de très longs mois de cavale, il se laissa sombrer dans un sommeil profond, non sans laisser préalablement une part de sa conscience dans son cheval pour qu'en cas d'urgence, il soit éveillé. Mais il put dormir. Ou presque.

Les cauchemars de Morneflamme le rongeaient et le réveillèrent plus d'une fois en sursaut. Des reviviscences se faisaient sentir : il œuvrait à les étouffer. Il ignorait qu'à l'instant même Tobold venait de lui sauver la mise face à ces théocrates, il l'avait sorti d'affaire, au risque de sa propre tête d'ailleurs. Le soir, l'elfe sortit de cette cachette et prit son cheval. Un instant, il s’inquiéta pour ce vieil homme, priant les Esprit pour que sa tête ne soit pas tombé. Il revint sur ses pas et le trouva à ramasser des simples.

« Merci Cymbale. J'attendais ce repos depuis bien des semaines, c'est aimable à vous. Je vous suis redevable, que puis-je faire pour vous ? »

L'elfe encapuchonné s'inclina respectueusement devant l'humain, sans rendre la situation trop protocolaire. Il se mordit la lèvre inférieure, hésitant, puis demanda finalement :

« Comment se porte Luna ? »

Il savait Tobold lié à Luna, d'une façon où d'une autre. Il lui avouait ainsi l'avoir reconnu, sans pour autant crier son nom haut et fort. C'était aussi une façon de savoir s'il était ou non un protégé ou était en lien avec eux. En définitive, il y avait beaucoup de sous-entendus derrière cette question d'apparence inoffensive.

Tobold revenait de sa surveillances des troupes impériales en ramassant des simples quand il voit arrivé l'Elfe qui arrive avec sont cheval. Le Sylvain ce présente , mais ce nom ne dit rien à notre homme.
" - Descendez de cheval, et asseyons nous, nous avons à discuter. Vous avez tord de me donner votre nom Monsieur Linaëm Leweïnra, imaginez que je sois capturé et torturé, nous sommes en guerres. Moins j'en sais et mieux je me porte. Bon c'est pas grave. Je viens de me faire arrêter il y a quelques heures par les impériaux, je peux vous dire qu'il ont regardés mes oreilles et d'une façon ou d'une autre ils vous recherchent. Ils m'ont fouillé et regardé mes chausses, et ils ont parus déçus. Je peux vous donner une gourde d'eau, et toute la nourriture que je dispose, c'est pas grand chose, mais cela vous permettra de ne pas en rechercher pour une journée ou deux. J'ai un simple couteau si vous en avez besoin, je vous le donne. Je reviens de la bosse la bas et j'ai pu voir dans la région beaucoup de poussière, si vous voulez joindre le désert d'Esfelia, ce n'est pas le moment, il y a trop de de monde qui vous recherche entre ce lieu et vous. Il vous faut vous diriger vers le sud pour le moment pour les prendre de vitesse puis obliquer vers l'est.
Ce que je fais faire, c'est de partir vers le nord ouest et je vais faire en sorte de me faire remarque cette nuit et à partir de là, laisser une piste, une fausse piste. A vous de profiter de cette confusion, pour passer dans les mailles du filet. Rassurez vous ce n'est pas la première fois que ce fais cela. Cela se passera vers minuit, voici un petit pot, de teinture pour vous foncer le corps au maximum, vous et votre cheval......... Vous ne me devez rien. Je le fais aussi pour moi, créer de la confusion chez l’ennemie me convient.
Quand à Luna si c'est de la même personne que nous parlons, je n'en ai aucune nouvelle de trois ans, quand je l'ai croisé à Aldaria avec cette histoire de perle. Je ne l'ai plus revus....
Le mieux c'est que vous vous reposiez jusqu'à cette nuit. Partez cette nuit direction le sud, surtout n'allez pas vers l'Ouest, voici ma vielle couverture, que vous couperez, que vous attacherez aux sabots de votre équidé pour ne pas laisser de trace ni faire de bruit........Après chacun pour soit et bonne chance!"

Le plan de Tobold est relativement simple, il a repéré à six kilomètres un grand arbre mort. Pendant la nuit il va contourner cette endroit et reviendra vers l'arbre en imprimant sur le sol des traces de chevaux, avec deux empreintes qu'il a taillé grossièrement avec sa dague en obsidiennes, deux empreintes de sabots ferrés imitant ceux du cheval de Monsieur Linaëm qu'il fixera à ses chausses de façons à ce qu'on croit que le cheval de l'Elfe part plein ouest. Quand il atteindra l le tronc du veille arbre, Tobold fera un boutefeux avec une branche et une bougie, qui mettra le feux au bout d'une demie heure à l'arbre. Dans la nuit cette arbre en feux, devrait ce voir de très loin, des pisteurs viendrons, trouverons les traces de sabots, lancerons l'alerte et quand le chasse à l'homme commencera ils encercleront une région vide.... Enfin Tobold l’espère...........

" - Ah si une dernière chose, si vous voyez la Maîtresse des Chuchotis, parlez lui de notre rencontre."

L'elfe descendit de sa monture comme lui indiquait l'humain, pas d'humeur à jouer la rébellion. Cet homme, qui qu'il soit, lui avait permis de se reposer presque en paix quelques heures, et rien que pour cela seulement, il méritait son respect.

« Vous m'aviez donné votre nom également. »

lui fit-il remarqué. Aussi faux nom soit-il d'ailleurs. Le sienne n'étant pas le véritable également, il n'avait rien eu à craindre sur ce point. Il haussa finalement les épaules. Tobold n'avait pas tord : il devrait faire d'avantage attention à la façon dont il abordait les gens. Il était las de cette traque. Il aurait aimé pouvoir se reposer, rentrer chez les siens, dans la demeure de la Triade, entre deux tas de pièces d'or.

Aux explications du vieil humain, Aldaron comprit que celui-ci l'avait protégé ingénieusement des troupes impériales, à ses propres risques. Il se mordit la lèvre inférieure. Il n'aimait pas mettre les autres en danger pour lui même et c'était ce qu'il venait de faire sans vraiment en avoir conscience. Tobold était vraiment très rusé et extrêmement débrouillard, le genre de comportement qu'il aimait à voir chez les humains. Le genre de comportement qu'il avait tant adoré jadis qu'il en avait quitté les forêts elfiques et ce peuple bien trop lent pour lui. L'entendre parler l'amusait : il pensait véritablement à tout, son esprit bifurquait d'un temps à l'autre, un peu comme celui fantasque d'Aldaron.

Il prit successivement une gourde d'eau, de la nourriture qu'il rangea sans les sacoches magiques de son cheval, le couteau qu'on lui tendit, le pot de teinture et la couverture qu'il devrait couper pour mettre au sabots de son cheval. Isilëel ne lui pardonnerait jamais cet écart de la mode... Mais il devait avouer que ce que lui disait Tobold était terriblement efficace. Le plan et la diversion pour traverser se mettait en place. L'elfe notait mentalement chaque partie de la procédure.

« Je vous remercie... C'est extrêmement généreux de votre part. Il est tellement rare de rencontrer une personne prompte à vous aider dans vous avez... »

Une tête mise à prix par le dragon blanc ? Il resta un tant soit peu bouche bée. Tobold n'avait pas croisé Luna depuis trois ans. Depuis la perle à Aldaria... Comme Crissolorio. L'elfe avait eu vent de cette rencontre.

« Elle a répondu à l'appel d'Edwyn, nous avions voyagé ensemble... Mais elle est tombée au combat contre les mêmes loups qui traînent dans toutes les plaines de Sombreval. Edwyn devait la reconduire pour la soigner... J'ignore si elle a plus s'enfuir... Et si elle est en vie... Je ne l'ai pas vue à... »

Morneflamme ? Ce qui ne lui indiquait pas véritablement si elle avait survécu ou non. Par contre, Tobold lui parla d'une elfe qu'Aldaron avait rencontré et qui l'avait surpris par son esprit tolérant.

« Athillë... Elle est en vie ? Comment la connaissez-vous ? Où puis-je la trouver ? »

Il aurait bien aimer la retrouver. Peut-être qu'une fois dans le Protectorat, il pourrait passer plus de temps avec elle et retrouver un peu de calme.

" - Notre rencontre n'est que le hasard, de plus c'est vous qui m'avez surprit, ne l'oubliez pas, Monsieur Linaëm Leweïnra, disons que j'ai confiance en vous car voyez vous vous avez des oreilles pointues, et il me semble vous avoir croisé un certain matin, et comme nous devons être du même coté. Vous ne me devez rien j'ai utilisé la compétence que m'a apprit mon vieux Maître katfaiel,..... La dernière foi que j'ai vu Luna j'étais à Aldaria et loin de l'Est. Il y a trois ans maintenant. Depuis comme beaucoup j'ai du quitter cette ville et j'ai parcourut un long périple pour quitter cette région, en passant par le sud puis en remontant plein nord vers le désert d'Esfalia. Edwyn, j'ai croisé ce drôle de bonhomme une fois, mais je ne sais pas pas pour qui il travail, et j'e pense que ce sont ses propres butes qu'il poursuit. Il me fait un peut peur. J’ai repris là-bas mon travail d’herboriste et comme j’ai plusieurs fois quitter notre nouveau foyer, la Maîtresse des chuchotis, c’est rapproché de moi pour que je lui donne des informations sur ce que je voie, pendant mes ramassages. Je ne sais pas pourquoi il y a de l’animation, dans le secteur, mais les mouvements de troupes sont faibles pour une attaque frontale, de notre foyer….. Et votre présence montre qu’il s’agit d’autre chose… Qui agite la Théocratie. J’ai bien envie d’être un chien dans un jeu de quille, ce qui dispersera un peut plus c’est Messieurs, et peut être permettre à un de nos amis à passer les mailles du filet. Bien il est temps que j’y aille à bientôt Monsieur Linaëm. Et pensez à noter tous ce que vous voyez, cela peut être important. Il en va peut être de notre survit à tous....." Cymbale se lève, pend son simple bâton de marche ses deux sacs et la petite cage contenant un pigeon.....

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C'est une belle nuit sur Armanda, les étoiles brilles sur la voûte céleste . Cymbale est maintenant à quarante minutes du vielle arbre morte ou le boute-feu, une bougie allumé va se déséquilibrer et tomber sur les épines de pains, arrosés d'alcool de Myrtille. Il a laisser quelques belles empreintes de sabots qu'un pisteur trouvera en cherchant un peu, il a grimpé sur un vigoureux arbre montant haut dans le ciel, de ce point de vue il voit loin autour de lui. Il distingue en tous quatre feux de camps, la troupe qu'il a vu hier ne semble pas seule. Il a prit le temps de prendre le petit morceau de parchemin et de noter ce qu'il a vu dans cette journée. Le nombre d'hommes de la théocratie qui progressent, le nombre de feux qu'il distingue dans la région et sa rencontre avec Linaëm Leweïnra. Ceci fait il attache le message à la patte de Piou-piou le pigeon et le lâche, a l'attention de la Maîtresse des chuchotis. Le volatil prend la direction du sud est. Soudain à quelques kilomètres de là, une flamme apparaît et bientôt une langue de feux déchire la nuit. Le vielle arbre brule. Il entend dans la nuit les cors lancer les appelles d'alerte. Cymbale vient de donner un coup de pied dans la fourmilière.
Notre homme descend et prend ostensiblement la direction du nord!
" - C'est a toi de jouer petit Elfe et bonne chance."