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La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).



 
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Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE

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Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Empty
MessageSujet: Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Icon_minitimeVen 12 Sep 2014 - 22:05


Triade (ex Leweïnra) Aldaron


"Mais qu'est ce que c'est que cette camelote ?" ... "Hey ! monsieur ! Venez voir cette arme légendaire !"



© by anotherwanderer
Identité

Spoiler:
  • Race : Elfe

  • Nom : Triade (ex Leweïnra)

  • Prénom : Aldaron

  • Surnom(s) : Alda'

  • Titre : L'Indigne, Le Fugueur

  • Date de naissance : Automne 1213 d' l'Âge d'argent

  • Age réel : 542 ans

  • Age vampirique : /

  • Lieu de naissance : Royaume Elfique

  • Lieu de vie : Aigue-Royale

  • Rang social : Noble

  • Poste/emploi : Membre de la Triade / Marché Noir

  • Guilde : Aucune


Compétences

Spoiler:
  • Alignement : Bénéfique

  • Arme principale : Un arc Elfique avec lequel il a quitté la première patrie et un poignard sagement dissimulé.

  • Autres objets : L'anneau de la rébellion si tant est qu'il soit pour lui nécessaire de le montrer.

  • Caractéristiques : : ici informations pour remplir cette partie

      Physique :
    • Force physique : Moyen
    • Agilité : Bon
    • Furtivité : Moyen
    • Réflexes : Moyen
    • Endurance : Moyen
    • Résistance : Bon
    • Beauté : Très bon

      Mental :
    • Force mentale : Bon
    • Patience/self contrôle : Faible
    • Perception : Très bon
    • Intelligence : Très bon
    • Arrogance : Faible
    • Gentillesse : Moyen
    • Prestance/charisme : Maître
    • Mémoire : Moyen

      Combat :
    • Epée : Faible
    • Dague doubles ou simple : Faible
    • Poignard : Faible
    • Lance : Très faible
    • Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Faible
    • Hache : Très faible
    • Faux : Très faible
    • Fouet : Très faible
    • Art du lancé (poignard, petite hache...) : Faible
    • Art de la parade (bouclier ou arme) : Bon
    • Arc : Très bon
    • Arbalète : Bon
    • Mains nues/pugilat : Moyen
    • Équitation : Bon

  • Totem : Saumon Niveau 2

  • Style de magie principal : Elfique

  • Puissance magique innée : Correct

  • Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.





Physique et caractère

Spoiler:
  • Physique : Aldaron est un jeune elfe et a hérité de traits plus gracieux encore que ceux de son espèce. Il n'a jamais eu de mal à séduire une femme, ce fut son atout et sa déchéance. Quand trop aisé est le chemin de leur chambre, la récurrence de l'acte lui donna mauvaise réputation bien qu'il n'en eut cure. Autrefois, il eut les cheveux longs comme masse d'elfes mais depuis sa vie parmi les hommes, ils sont plus courts, toujours bruns, en bataille. Ainsi il se détacha de son espèce initiale, cherchant à ressembler de plus en plus aux hommes : ses oreilles pointues sont bien camouflées sous cette épaisse tignasse qui donnerait à plus d'un l'envie d'y passer un bon coup de ciseaux.

    Sa mâchoire est anguleuse et marquée, son nez droit casse la finesse de son visage. Certains disent qu'il est le portrait craché de son père : ils n'ont pas tord. Ce visage carré semble être la marque de fabrique des Leweïnra depuis d'honorables générations. Ses yeux d'un vert sombre rappellent la brillance et la froideur d'un émeraude. Lorsqu'il sourit, ils semblent s'éclaircir d'une certain douceur. Le reste du temps, ce regard obscure lui donne l'air non pas d'un tueur, mais d'un adolescent en pleine crise existentielle, sans compter que ses lèvres épaisses lui donne le vilain air de celui qui fait la moue. Ce qui n'est pas loin d'être la vérité.

    Pour ce qui de la taille et la carrure, on retrouve en lui ce qui existe dans le commun des mortels. N'étant pas un acharné du combat, ses muscles ne sont pas beaucoup développés, juste ce qui est nécessaire pour l'esthétisme de l'animal : c'est qu'il faut séduire. Bien souvent, il porte une armure légère et des vêtements coûteux. Sa nature elfique lui donne une gracieuse fluidité dans ses mouvements et une droiture dont pouvait être fier son père (l'unique chose dont il pouvait être fier à vrai dire). On le verra souvent armé de son arc et de ses flèches ainsi que d'un poignard dissimulé dont il ne sait pas spécialement s'en servir mais en cas d'urgence : cela trouvera toujours son utilité.


  • Caractère : Aldaron n'était pas fait pour être un elfe. Si dans sa petite enfance il avait étouffé sa véritable nature dans la crainte du mauvais jugement de son père, il ne put lutter éternellement. Fantasque, il ne tient pas en place. Il laisse libre cours à son imagination, à ses envies et ses plaisirs. Dans l’insouciance, il aime profiter de la vie, à chaque instant. Se brider dans les normes elfiques le dépassait.

    Pourtant il avait bien essayé. Il avait tenté de se concentrer en cours, d'être calme, sage et patient comme chaque membre de sa race. Combien un enfant ne donnerait-il pas pour obtenir les faveurs de son père et son regard approbateur ? Il s'y était efforcé, mais dans sa stupide quête aux applaudissements paternels, il se rendit bien compte que tout ce qui rendait fier son père, c'était ce qui lui était contre nature. Un comble.

    Aldaron aurait du être un homme. Au lieu de cela, les Esprits supérieurs lui donnèrent un corps d'elfe. Était-ce une moquerie de leur part ? Y avait-il un signe ? Une raison ? Il les interrogea et n'eut jamais de réponse. Il était énergique, avait l’œil partout, ne se figeait sur rien. Il était insouciant et immature. Il ne changea pas malgré les 450 années vécues auprès des humains, malgré la rudesse des premiers jours et les difficultés du milieu. Ça ne l'avait pas empêché d'apprendre de ses erreurs et d'éviter bien souvent de ne pas les reproduire, mais lorsqu'il avait une idée en tête, il fonçait sans prendre garde ni aux dommages collatéraux ni aux contre coups.

    Ainsi Aldaron est un humain trans-race elfe qui aime tout et ne s'attache à rien. Il passe d'une chose à l'autre, sans transition ni retour. Y compris avec les femmes. Ce n'est pas qu'il veuille les blesser, car il a bon cœur, c'est tout simplement qu'il n'arrive pas à se fixer. Il en fit d'ailleurs les frais et... Malheureusement, ça ne l'empêcha pas de continuer. Ça ne lui avait pas suffisamment servi de douche froide. Il faut dire qu'entre un elfe et une humaine, il n'y avait pas de risque de reproduction alors pourquoi se priver ?

    S'il s'était suffisamment bien fait accepter par les humains (chose qui n'était pas facile compte tenu des guerres qui opposaient les trois races), c'est parce qu'il avait l'art du langage. Il ne se laissait jamais démonter, avait toujours la formulation adéquate à la personne et à la situation. Il est bien capable de faire passer un mensonge pour une vérité et une vérité pour un mensonge. Cette aisance lui permis de se sortir de bien des mauvaises situations. Et de le fourrer dans bien d'autres.

    Malgré ses apparences d’adolescent en pleine puberté, Aldaron a un bon fond et a l'esprit plus ouvert que bien des gens en ce monde. N'est-il pas le frère d'une humain et d'un vampire ? Sa plus grande valeur réside dans la tolérance, les querelles des peuples le rongent et l'affligent. Au fond, la rébellion n'est pour lui qu'une solution de survie.





Mes liens

Spoiler:

Famille Leweïnra : Son père est un éminent conseiller au Royaume Elfique : rôle qu'aurait du reprendre Aldaron s'il avait suivi ce chemin. Ce qui ne fut pas le cas et cela rend les relations entre lui et son père pour le moins tendues. Néanmoins, Aldaron conserve pour lui et pour sa famille un certain respect. La seule effusion de voix fut lors de son départ lorsque le nouveau majeur explosa tout ce qu'il avait intériorisé pendant son enfance. Son père, malgré l'affront, serait prêt à lui accorder la clémence si Aldaron purgeait sa peine et redorait son blason, ce qui risque malheureusement de ne jamais se produire. Aldaron est fils unique. Sa relation avec sa mère fut relativement limitée : elle mourut peu après sa naissance pour il ne sut jamais quelle raison et se calait, le plus souvent, dans l'ombre de son époux.

Enriel : Jeune elfe pure et innocente qui croisa les griffes d'un adolescent en pleine crise. Elle en tomba amoureuse mais le sentiment ne fut pas partagé. Leur relation pris fin comme beaucoup d'autres mais Enriel tomba enceinte. Elle crut trouver là le moyen de le retenir, mais elle le fit complètement fuir et ce, bien au delà des frontières du Royaume Elfique. Elle éleva son enfant avec dignité même si dans son regard on voyait clairement la sombre mélancolie qui la rongeait depuis bien des siècles. Les elfes, dit-on, n'aiment qu'une fois. Eu égard de son statut de victime de l'Indigne, elle fut bien entourée et soutenue et pourtant inconsolable.

Son enfant : Aldaron ignore tout de lui jusqu'à son nom, si ce n'est qu'il a de ce fait 100 ans de moins que lui. Il a refusé de le voir et ne l'acceptera certainement jamais.

Corinne et Cercëe : Tous forme la Triade et il s'agit là de sa nouvelle famille. Ils sont inséparables. Leur union représente l'ouverture d'esprit dont sont capables les Armandéens s'ils s'en donnaient seulement l'occasion. Ils fondèrent ensemble le marché noir et il est rare de trouver l'un des membres du trio sans au moins l'un de ses compères. Ils sont frères et sœurs de cœur et il serait capable des pires folies pour eux.

Les Kohan et autres personnalités de Gloria : Ayant vécu à la Magnifique, Aldaron eut le temps d'en côtoyer beaucoup et sur plusieurs générations. Il est assez informé de chacune de leur histoire bien qu'il n'ait jamais poussé la curiosité plus loin que ce que cette noble famille lui octroyait de savoir. Il n'est pas voyeur : il s'est simplement fait du blé avec eux et comme avec chacun de ses clients, il faut entretenir une bonne relation.

Korentin Kohan : Son unique et véritable empereur à qui il a juré ses services : le marché noir est sûrement sa plus belle offrande.

Les rebelles : Ils sont devenu son souffle de vie et sa raison (ainsi que l'unique moyen) d'exister. L'alliance avec eux relève peut-être de la survie, néanmoins il trouve leur courage et leur capacité à savoir dire « non ! » très puissante et admirable.

Les autres hommes et les enfants du Néant : Autrefois ses amis pour les premiers, mais depuis l'invasion du Néant, il est devenu l'être magique à exterminer. Quant aux seconds qui exigent le génocide de son espèce, est-ce vraiment utile de préciser que dans ce genre de situation il est difficile de faire naître une amitié ?

Les elfes : Indigne à leur yeux, ils n'en demeurent pas moins sa fratrie première. Quoiqu'il fasse, où qu'il vivre, il ne pourra jamais se défaire de ses oreilles pointues. Il a beau blâmer ce peuple lent, il en est partie intégrante et tout ce qui les touche (comme la disparition des Vieux Bois dans le Néant) l'affecte aussi. Il se pourrait bien qu'il tente des folies pour les aider.

Les vampires : Craints autrefois, il a conservé pour eux une certaine méfiance dans la mesure où il est pour ces créatures de la nuit un bon steak à croquer. Néanmoins, en présence d'un vampire qui ne montre aucun signe d'agressivité envers lui, il engage volontiers une bonne discussion.



Derrière l'écran

Spoiler:
  • Petite présentation : J'ai 23 ans, 10 ans de Rp derrière moi. J'ai joué principalement sur PLR (Bill) et Nescio Vos (Shane).
    Je travaille à la Maaf où je gère les sinistres autos complexes, spécialité "Fraude". J'étudie sur mon temps libre à l'IED Paris 8 : j'entre en troisième année de psychologie.

  • Rythme rp : Je respecte le rythme de ce forum

  • Particularités rp : J'aime les intrigues et sous-intrigues !

  • Comment avez vous découvert le forum : Par des connaissances <3

  • Le code du règlement :








Comment sa naissance aurait-elle pu ne pas être fêtée ? Eu égard des coutumes elfiques et leur faible fécondité, lorsqu'Aldaron vint au monde, il ne lui fallut pas plus d'une seconde pour faire naître le sourire sur les lèvres de ses parents, ses grands parents, et même les voisins alentours. Étrange comme dans une petite histoire débutant dans un hiver glacial, on peut un jour chaleureusement vous désirer et le lendemain vous répudier.

Il n'était pas bon élève, pas un très bon fils, pas un très bon elfe en fait. C'était comme si les Esprits l'avait fait naître au sein de la mauvaise race. Si dans ses premières années Aldaron avait eu un comportement bien elfique, sa vraie nature ne tarda pas à se révéler dès l'adolescence. Enfant, il avait cherché à refouler son caractère fantasque. Il avait suivi sérieusement ses études, tenté d'admirer sa famille elfique et même honoré leurs préceptes. Il se donnait pleinement à l'exercice de la magie, respectait les anciens et contemplait sur le lendemain l'avenir que son père, honorable conseiller, lui avait tracé. Rien n'en fit. Si trop souvent il avait retenu son envie de fuir, si trop longtemps il avait tu ses plaisirs personnels, sa crise d'adolescence fut une pénible épreuve pour son père.

Le jour suivant fut mis à mal. Les lourdes empreintes de son père seraient là où il devrait poser les pieds. Il piétina à côté, et plus loin encore de ce droit chemin qu'on voulait lui imposer. Il ne voulait pas être conseiller. Il aimait les filles. Il batifolait souvent. Si tous les elfes étaient beaux par nature, Aldaron avait cette beauté plus grande encore qui n'avait nul besoin de jouer les charmes pour les faire tomber devant lui. Que leur lèvres étaient tendres, que leur peau était douce, mais elles étaient d'autant plus appréciables qu'elles étaient éphémères. Aldaron ne restait pas en place et aimait ces femmes lorsqu'elles ne l'enfermait pas. Elles étaient ses amies. Tendres amies de jeu et de fruit défendu.

On dit que les elfes n'aiment qu'une seule fois, lui ne l'a jamais fait. Lorsque les griffes d'une hypothétique future famille se refermaient sur lui, il prenait la fuite. Ainsi il était lâche. Plus lâche encore qu'on aurait pu l'imaginer. Vint Enriel. La beauté de cette femme l'avait sûrement séduit. Elle avait des cheveux d'un blond si clair qu'il était hypnotisant. Mais il ne l'aima pas plus que les autres. Elle était une amie, douce amie à qui il caressait la fleur de son visage jusqu'à la voir éclore. Il savait qu'elle ne serait que de passage. Le temps allant en dizaines d'années, en son for intérieur, il sentait peu à peu la peine l'envahir. Il lui semblait qu'Enriel l'aimait et qu'elle le désirait. Si fragile créature. Quelle sombre idée eut elle de confier son cœur à Aldaron ! Il allait trop loin, jusqu'au point de non-retour mais au bord de la falaise ce ne fut pas lui qui sauta, mais elle qu'il précipita sans le réaliser. A peine majeur, il se délecta de sa chair et en récolta les fruits.

Il devait être damné. Les elfes, de part leur faible fécondité, avait le temps de aspirer ardemment à devenir parent. Aldaron ne l'avait pas désiré et il était là. Il n'était pas plus heureux de devenir père que de devenir conseiller. Il avait abandonné Enriel mais lorsqu'elle vint lui annoncer ce qu'elle croyait être le moyen si heureux de le garder près d'elle, il eut le sentiment qu'on le poignardait. Jamais il n'avait élevé la voix contre son père jusqu'à ce jour. On entendit aux maisons alentours ses cris, comme une furie. Non décidément, il n'avait rien d'un elfe. Ni le calme, ni la sagesse. Dans la nuit il partit.

L'indigne, fut-il nommé. Qu'ils l'appellent comme ils le veulent et qu'ils soient maudits. Bien sot il fut de ne partir sans rien. Il avait vécu un peu plus de 100 ans dans ces bois. On lui avait bien appris l'histoire de ce monde mais il n'avait jamais quitté cette forêt protégée. Les elfes n'aiment pas le voyage. Lui pourtant avait au cœur l'envie brûlante de parcourir ces terres. Il avait pris sa jument, quelques vivres et peu d'argent et partait droit vers l'aventure. L'indigne l'avaient-ils nommé. Ils avaient raison : il n'était pas un elfe. Il était un homme.

Né en 1213 de l'âge d'argent, Aldaron avait connu ce temps des illustres dragons. Enfant, il les avait vu survoler les terres d'Armanda. Lorsqu'il fermerait les yeux, bien des années plus tard, il verrait encore ces créatures ancestrales dans les cieux. Il les avait vues pendant 11 années, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'une seule. Dracos Honoris, un pur esprit. Puis des centaines d'années durant, il dut vivre avec ce doux souvenir et l'espoir qu'un jour la magie revienne plus puissante sur Armanda. C'est à ce moment là qu'il délaissa le monde des Elfes.

La vie de voyageur de fortune n'était pas aisée. Fils de noble il n'avait guère par le passé connu des conditions de vie aussi abominables. Fini la cuillère en argent, il était d'usage de manger avec les mains, si toutefois il dégotait de quoi manger. Néanmoins, quand bien même cette vie était amère, il était encore trop elfe et donc trop fier pour refluer penaud chez son père. Alors il encaissa le coup. Les premiers jours il se fit voler sa jument adorée par des coupe-jarrets de bas étage. Il ne comptait plus les fois où il se fit tabasser, piller, humilier. Au fond, Aldaron n'est pas le genre de personnage à qui on apprendra que la vie est féroce. Il a connu, il l'écarte avec le temps, il perd de vue là d'où il vient. Il en est ainsi lorsqu'on croit toujours avoir raison.

L'elfe vagabond avait beau avoir la vie dure, avec sa jolie bouille, il parvenait souvent à se faire consoler par une femme. Des humaines. Son père aurait hurler à en sortir ses poumons s'il avait su ça. Aldaron le vivait bien. C'était d'ailleurs son seul réconfort dans ce monde de brutes. Alors il ne se privait de rien. Blonde, rousse ou brune, mère ou vierge, rien ne lui faisait peur. Il prit conscience de ses capacités de négociation. Il devint un grand menteur et un incroyable commerçant. Mais par dessus tout, les humains le fascinaient. Là où les elfes passaient des années et des siècles à faire la cours à leur dulcinée, avec les humain, il pouvait conclure en une soirée. Les humains étaient plus faciles, plus spontanés, plus directs. Leur vie était courte, ils n'avaient pas le loisir de ruminer la vengeance, ils l'accomplissaient avec une brutale absence de délai. Il avait le sentiment que les hommes expérimentait en peu de temps le condensée d'une immense vie d'elfe. Aldaron voulait vivre à leur rythme. Mais lui sur des centaines d'années. En 440 ans de vie parmi les hommes, il en avait appris plus que bien des elfes en toute une vie. Chaque seconde était importante et le temps allant, le jeune elfe se détacha de plus en plus profondément de ce qui faisait de lui cette race des bois.

De sagesse il n'en avait plus et de patiente non plus. Quant à l'esprit figé, aboli ! La haine des hommes et des vampires, foutaise ! Il était libre comme le vent, changeant brusquement de direction quand bon lui semblait, même si ça devait décoiffer tout le monde. De pauvre mendiant, il devint un riche revendeur. Il se faisait un nom, il se faisait des amis, il se faisait un réseau. Il devenait riche, il était convoité, mais plus que tout, il se donnait une revanche sur son paternel. Indigne qu'il disait ! Qu'il observe d'un peu plus près ce qu'il était devenu !

Il s'établit à Gloria la Magnifique ! Berceau des Hommes, de la richesse et du pouvoir ! Maudits soient ceux qui disent que l'argent ne fait pas le bonheur ! Il avait tout ce qu'il voulait ! Il avait la demeure qu'il désirait, il avait ses services, les biens, les femmes qu'il désirait ! Il était un prince s'il y croyait ! Seulement s'il y croyait à vrai dire. Il était encore loin de sa richesses actuelle, mais lorsqu'on sort de la rue, rien n'est plus beaucoup qu'une nuit d'auberge. Il apprit dignement à monter à cheval. Si durant son enfance chez les elfes, on lui enseigna comment manier la bête, ce fut chez les hommes qu'il se perfectionna auprès d'un maître qu'il payait pour ce savoir. Il était curieux. Il s’intéressait à tout, passait du coq à l'âne, comme si le temps lui manquait comme un elfe qui croyait avoir la vie aussi courte que celle d'un humaine. Il n'y eut que les épées et autres tranchants qui ne l’intéressèrent pas. Il restait attaché à son arc.

Il vit mourir des hommes, des femmes. Il perdit beaucoup d'amis à cause de sa longévité, s'en fit d'autres et ne s'attacha à personne véritablement. Cela dura 430 années. Il put ainsi connaître les familles humaines sur plusieurs générations ! Il partagea successivement le lit de la mère, puis la fille, la petite fille, et l'arrière petite fille d'une même famille ! Elles étaient toutes belles lorsqu'elles atteignaient leur 20e année. Il n'avait certainement pas que des amis. Quand bien même il avait adopté le mode de vie des hommes, ses oreilles pointues étaient vite repérables et ne faisaient pas l'unanimité. On apprenait premièrement à se méfier de lui, ensuite venait le temps où soit on comprenait qu'il était un homme dans un corps d'elfe, soit on le haïssait.

1749 de l'âge d'argent fut un tournant dans sa vie. Sa vie près des hommes le nourrit abondamment de découverte. Les humaines allaient et venaient. Par la mort ils se réincarnaient. Ce n'était jamais les mêmes visages, pas les mêmes forces. Les humaines étaient éphémères. La seule chose qui perdurait loin de lui, c'étaient les elfe. Allez savoir qu'elle acharnée mélancolie le saisit mais il fit route vers le royaume elfe. Ça lui avait pris comme ça, on lui connaissait bien ce caractère changeant, volatile. Il n'était ni ici ni là bas. Il voyait toujours entre deux mondes. Celui des elfes dont il avait le corps, celui des hommes où il avait l'âme. Son esprit vagabondait. Vous auriez ressenti certainement la même chose : celui d'être mal nul part. Trop humain pour être elfe et trop elfe pour être humain. On avait du le maudire mille fois lorsqu'il partit du royaume elfique. Les Esprits les avaient entendu. Qu'ils soient maudit eux aussi ! Dans ces cauchemars il n'avait de cesse de jurer leur mort et pourtant... Il revint sur les terres de son enfance. On le pointa du doigt, on le regard étrangement. Non vraiment, il n'était plus à sa place ici. Il était l'Indigne en ce lieu, le Fugueur. Il haïssait leur regard ! Il leur aurait arraché leurs infâmes yeux avec ses propres mains ! Il n'était cependant pas là pour ça. Il avait mal en son for intérieur. Ces elfes, tous, avaient vu avec estime autrefois en lui le digne conseiller impérial, tel son illustre père. Infâme qu'il était.

Son père accepta de le recevoir, sous couvert de regards noirs, mais aucun d'eux ne parvint à échanger un mot avec l'autre. Ils se comprenaient, malgré leur divergences. Ils savaient qu'au fond, ils n'avaient rien à se dire. Dans son lit, il regarda longuement le plafond. Il se sentait vide. Il se sentait vivre parmi les hommes et mourir en même temps à chaque fois que la vieillesse emportait un de ses amis. C'était comme si une partie de lui s'enfuyait sauvagement avec eux, le laissant de plus en plus dépouillé. Quant à ici, Royaume des Elfes, il n'y avait plus sa place. Son père attendait de lui un comportement exemplaire, pour racheter amplement ses fautes et redorer le blason de son ancestrale famille qu'il avait souillé. Il avait eu le courage de revenir mais jamais il ne serait à la hauteur des attentes de son père. Son séjour ici fut bref, juste le temps que sa monture et lui se reposent. Il se fustigea lui-même. A quoi s'était-il attendu en revenant parmi les « siens » ? Qu'on oublie tout et qu'on recommence ? Il était chez les elfes bon sang ! Les elfes et leur maudite mémoire ! Les elfes et leur méprisable rancœur éternelle ! Qu'ils soient maudits ! Tous !

Tous sauf elle. Enriel. Elle était là, aux écuries, comme si elle avait su qu'il fuirait à nouveau. Elle se jeta à genoux et le supplia de rester. Elle n'avait pas pu le retenir la dernière fois, elle était prête ce jour-ci pour serrer ses poings sur ses vêtements. Les elfes n'aiment qu'une fois, et celle-ci était rongée par la douleur. Elle n'avait jamais trouvé la paix depuis plus de 400 longues années. Les larmes dessinaient sur ces joues rouges les diamants d'une souffrance dévorante. Elle aurait pu le haïr. Elle aurait pu lui en vouloir éternellement. Pourquoi avait-il fallu qu'elle l'aime ? Il se maudissait. Aldaron, même s'il était un peu stupide comme un adolescent, n'était en rien méchant. Il n'avait jamais voulu lui faire du mal, il aurait voulu qu'elle le haïsse, qu'elle lui en veuille. Ç’aurait été plus facile. Au fond, c'était peut-être pour ça qu'il était revenu chez les elfes : pour s'assurait qu'on l'exécrait encore pour savourer son existence parmi les hommes. Mais il fallut qu'il y eut Enriel. Pauvre femme. Il aurait aimé qu'elle découvre la force de surmonter ça. Il l'avait anéantie, elle, tout son avenir. Mais même les remords ne feraient pas de lui un meilleur mari, un meilleur père.

« Je suis incapable de t'offrir ce que tu attends de moi Enriel. Je suis incapable d'être ce que vous attendez tous de moi. Je suis désolé. » Il refusa de voir son fils. Il refusa de connaître jusqu'à son nom. Il le niait. Il n'existait pas. Il s'en fut et son père ne lui adressa pas même un regard.

Sur sa route du retour, il passa par Aldaria où il devait se rendre pour acheter un bel objet qu'on lui avait promis et il espérait débourser le moins. Le cœur serré par son voyage dans sa famille, il avait cette fougue d'adolescent qui le propulsait vers une reprise immédiate des affaires. Nul n'aurait remarqué son absence car beaucoup savait combien il voyageait dans tout l'Empire à la quête d'objet plus fabuleux les uns que les autres : il les achetait à bas prix, les revendait hors et empochait la différence. Ainsi son commerce tenait à de la spéculation avant même l'invention de la bourse. Mais ce jour là, sa vendeuse, ce fut Corinne. LA Corinne qui deviendrait sa sœur et bon sang ! Elle ne lâchait pas un centime ! Pas plus qu'Aldaron d'ailleurs et la scène en devint comique. L'elfe n'avait jamais eu qui que ce soit pour résister aussi bien à ses atroces baisses de prix. Ne parvenant pas un accord, ils se finirent pas s'admettre leurs aisances réciproques. Leur conversation dévia. Ils se trouvèrent beaucoup de point en commun, notamment un enfant qui tombait au moment où ils ne l'attendaient pas, leur goût incroyable pour le commerce ainsi que leur insurmontable désir d'aller toujours plus haut. Ils firent route ensemble vers la Magnifique et commencèrent à faire des affaires ensemble. Si Aldaron fut un bon charlatan, à deux, ils étaient bien plus puissants. Ils s'enrichirent mutuellement et devinrent rapidement comme frère et sœur.

Puis il y eut les premiers œufs. Et tous ceux qui coururent vaillamment après. Pas lui. Il trouva que c'était une folie, il peinait même à croire à ce magique retour. Il avait vu les dragons ancestraux, il avait vécu sans eux pendant plus de 400 ans et voilà qu'ils revenaient. Ce monde prenait un bien étrange tournant. Force est de constater que ce n'était pas des foutaises car en plus d'une première fournée il y en eu un second service. L'idée lui était passée par l'esprit que l'un de ces œufs devrait valoir une fortune. Mais, heureusement pour lui, cette folie fut étouffée par... Cercee. Allez savoir comment il avait rencontré ce charismatique vampire. Aldaron lui-même ne s'en souvient plus, mais il se rappelle très bien Ô combien Cercee lui avait semblé magnifique. Aldaron avait grandi dans la peur des vampires : que ce soit par la guerre ancestrale qui opposait vampires et elfes ou par la crainte d'être croqué des humains. Cercee l'avait-il hypnotisé pour que le duo que formait les deux étranges amis tombe sous le charme ? Qu'importe. Cercee le saurait peut-être. Le fait est qu'ils furent inséparables dès lors et que Cercee fut celui qui le retint de courir après ces œufs de dragons. Ils étaient tant convoités qu'il craignait que rien que faire route vers eux était un tant soit peu suicidaire. Qu'importe la valeur d'un de ces œufs, jamais cela n'apporterait suffisamment d'or pour le ramener à la vie. Et puis d'or, il en eut brusquement plus.

Un soir de fin d'année 1751, il fit un étonnant rêve. Un rêve dont il se souviendrait toute sa vie et qu'il lui arrive de revoir mais en beaucoup plus flou, beaucoup plus lointain. Dans le premier rêve, il avait eu véritablement l'impression d'y être : il avait sentit l'eau fraîche et pourtant douce sur ses pied nus. Il en avait jusqu'aux chevilles et l'eau était très claire, très pure, tellement qu'elle semblait luire. Il devait s'y méprendre mais de toute son existence il n'avait jamais vu une pareille densité. Le ciel était blanc et l'eau s'étendait à perte de vue. Pas un arbre, pas une terre. Il semblait être au milieu de nul part. Son rocher disparut et il sombra sous l'eau. Il crut se noyer, il étouffait, il avait beau se débattre et nager vers le haut : plus il faisait d'efforts et plus la lumière s'éteignait. A bout de force et de souffle, il se laissa sombrer et tout devint obscur comme si les ténèbres l'avait englouti. Il réalisa qu'il n'était que peu de chose : un vulgaire elfe qui se prenait pour un humain. De quoi avait-il l'air ? Que pensaient les Esprits en voyant ce trans-espèce se promener comme un grain de poussière avec cette nouvelle famille ? Un elfe, une femme, un vampire. Trio sans avenir. Il rouvrit ses yeux, mais il n'était pas dans son lit à Gloria. Non, il était toujours sous l'eau mais ça ne semblait pas lui poser de problème. Le décor changea brusquement et il se retrouva sur le pont d'un navire. De l'air pénétra à nouveau dans ses poumons. Il était enfermé dans un filet de pèche qui l'avait sortit hors de l'eau. Il se débattit tant qu'il put et on le libéra. Il se releva. Autour de lui, des hommes qui le regardaient bien singulièrement et qui finirent pas l'appeler « Capitaine » sans qu'il ne comprenne. Il était un pirate. Ils firent halte sur une île qu'il connaissait bien. Armanda. Mais une Armanda bien différente. Elle était couverte d'or et des dragons ancestraux la survolait comme qu'ils étaient les gardiens de ce trésor qu'ils venaient piller. Un rêve à double sens quand on y pensait. Un passé ? Un futur ? Il se sentait à la fois ravi de partir à la conquête de tout cet or, mais en mettant les pieds ici avec ses hommes ils dépouillaient Armanda de son âme et les Dragons partirent au loin sans opposer de résistance. Les hommes investirent les lieux et dominèrent Armanda jusqu'à ce que le néant les engloutisse. Aldaron sursauta et se réveilla à nouveau. Il n'était toujours pas dans son lit à Gloria. Il était cette fois encore dans cette étendue infinie d'eau pure. Là lui apparut son totem. Aldaron seul sait ce qu'il dit ce jour là à ce saumon, mais ce rêve, ses paroles restèrent gravés dans sa mémoire, le troublant parfois quelques soirs de songes. Il avait essayé de donner un sens ce rêve. Il en trouva des centaines et n'en trouva aucun.

Poussé par son totem, Aldaron se découvrit une puissance bien plus grande à obtenir ce qu'il voulait à des prix plus qu'appréciables et à vendre avec une facilité déconcertante. Il mentait avec aisance. Le trio, plus que jamais, décrocha son épingle du jeu et fit fortune pour de bon.

Un dragon fut tué, la Dévoreuse sembla être prononcée sur toutes les lèvres. Le trio quitta la capitale pour aller vers le Sud. De toutes évidences, on voulait enfermer la dévoreuse ici, de sombres événements se préparaient, encore une fois ce fut le sage Cercee qui le pressentit et il n'eut pas tord. De ce qu'Aldaron en sut, cet objet maléfique se retrouva bien à Gloria. L'elfe préférait en être bien loin. Elle l'effrayait. Lui qui était un être magique, cette chevalière était sa destruction pure et simple. Étonnant comme ils furent tant de monde à courir après cette abjecte objet. Voyez comme elle attirait le malheur ! Voilà qu'une nouvelle race, adoratrice du Néant entamait une invasion par le Nord ! Béni soit Cercee de les avoir mis dès le début dans la bonne direction. Elfes et vampires étaient ennemis de l'Empire. Aldaron et Cersee se cachèrent, Corinne seule humaine devint leur rempart contre la désolation qui descendait progressivement dans tout l'Empire. Ils prirent refuge dans Althaïa, craignant de plus en plus que cela ne suffise pas. Ils vivaient cachés, leurs journées étaient longues, il tournait en rond et se sentait pris au piège. Il ne dormit que peu durant cette période. Ce qu'il en sut de ce qui se passa pendant ce temps, il ne l'apprit que bien plus tard lorsque l'information fut transmise. Il demeura dans le néant de l'information. Avec le temps, il sut que les baptistrels convièrent les hauts dirigeants de chaque race pour une alliance contre l'invasion. Les dragonniers combattirent le néant et revinrent vainqueurs. L'empereur mourut et Lucius fut couronné, celant une alliance trop dangereuse pour lui.

La Triade en cella une autre. La rébellion prenait forme dans les abysses d'Althaïa. Leur présence fut réduite au silence et la triade disparut de la circulation. Et ce, jusqu'à ce que Korentin Kohan refasse surface. La triade jura allégeance à Korentin, seul véritable empereur. Elle s'évertua à rendre le combat contre l'Empire plus concret : des armes. Le marché noir vit le jour à la fin de l'automne de l'an 1 d'obsidienne. Pour Aldaron, ce fut une monumentale renaissance. Lui qui avait passé ces derniers mois dans l'obscurité d'un dévastateur avenir incertain, il avait de nouveau de l'espoir et la foi. Les réjouissantes et l'enthousiasme ne furent que de courte de durée. Mars de l'an 2 vint et avec lui la destruction de la Dévoreuse. Si l'anéantissement de cet objet maudit, fruit de sa crainte, aurait pu être une bonne nouvelle, ses conséquences inattendues firent bien plus de mal que prévu. Le royaume elfique se perdit et de nouvelles lois du Prêcheur rendit l'empire loyaliste impropre à l'existence de la magie. Une véritable chasse au sorcière s'engageait alors que les elfes, forcés de quitter leur foyer ancestral, se retrouvait face à une terre hostile à leur essence même. De nouvelles heures sombres se profilaient sournoisement.


Dernière édition par Aldaron Triade le Dim 14 Sep 2014 - 9:24, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Icon_minitimeVen 12 Sep 2014 - 22:07

Bonsoir,
Je n'ai pas encore achevé ma fiche. J'ai principalement écrit l'histoire donc si vous y voyez déjà des incohérences (ce qui ne serait pas étonnant étant donné la complexité de l'intrigue du forum), faites moi signe.
Je poursuis le reste Very Happy
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MessageSujet: Re: Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Icon_minitimeSam 13 Sep 2014 - 20:49

Fiche achevée !
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MessageSujet: Re: Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Icon_minitimeDim 14 Sep 2014 - 0:23

Allez, à nous deux Aldaron. C'est moi qui ai créé le prédef, donc c'est moi qui prend la validation ^^


Identité : ok

Alignement : ok

Arme principale : ok, je considère qu'aucun des deux n'est enchanté puisque pas précisé

Autres objets : ok

Caractéristiques : il faut prendre en compte ses talents de commerçant, le prédef précise bien qu'il est très doué pour vendre des choses donc ça suppose un certain charisme et sans doute aussi une certaine forme d'intelligence. De plus tu peux ajouter le point supplémentaire en prestance/charisme dû à son totem. Il est au minimum maître dans ce domaine ! Je te conseille de le passer maître en prestance et très bon en intelligence. Tu peux aussi faire le contraire, mais la prestance me semble plus cohérente vu le personnage. Et la force mentale, tu es sur que "moyen" suffit pour un mec qui a quand même tout quitté pour vivre à sa façon ? On peut voir comme une lâcheté le fait d'avoir refusé de devenir père, mais il faut quand même aussi de la force pour dire "non" à son peuple et briser un tabou aussi important chez les elfes. A toi de voir comment tu vois ça, un "bon" dans ce domaine passerait sans soucis. Pour ce qui est des armes je n'ai pas encore lu ton histoire donc je m'étonne de voir qu'un elfe ai pu s'entraîner dans si peu de domaines. J'attend de voir plus loin si c'est expliqué, sinon c'est peu cohérent ! Il peut être très mauvais avec la plupart mais avoir au moins déjà essayé de s'en servir ^^

Physique : ok, très sympa

Caractère : attention, il n'y a pas de "dieux" en Armanda. Les Armandéens ne connaissent même pas ce mot donc tu ne dois pas l'utiliser dans tes rps (idem pour tout ce qui concerne les anges, l'enfer et compagnie. C'est une incohérence d'utiliser ces mots ou d'autres de la même famille).
Une faute par là, pas l'habitude de relever les fautes des gens (on a tous droit d'en faire une ou deux après tout Razz) mais vraiment elle me chagrine de ta part : "il ne se laissait jamais démontait", outch !
Ces deux détails mis de côté, c'est parfait Razz

Liens : ok

Rythme RP : t'es sur ? Ce sera pas trop rapide pour toi ? tongue

Histoire : des dieux ? Encore ? Otez moi ce mot que je ne saurais voir è_é
Pas d'incohérence à signaler jusque cette erreur : 1749 de l'âge de fer. Si tu transforme notre âge d'argent en âge de fer ça va sonner tout de suite beaucoup moins bien... Et encore un petit "dieu" qui traîne par là. Un peu plus loin le "même s'il était un peu con" n'est franchement pas agréable à lire. Déjà à l'époque ça n'avait pas ce sens là, et vraiment tu peux trouver mieux...
Encore un détail orthographique plus loin, tu refais le même type de faute. " Ô combien Cercee lui avait semblait magnifique". Bien joué le fait de laisser la main à Cercee pour raconter votre rencontre ^^
Je suis arrivé au bout, tu as parfaitement bien intégré les nombreux événements du forum. Il n'y a pas de véritable incohérences, pas de soucis de chrono. A part les quelques détails signalés il n'y a pas besoin d'édition.


Conclusion : il n'y a pas grand chose à revoir au final. Je te laisse faire le peu d'éditions demandées, revoir particulièrement les caractéristiques. En tant qu'Elfe il a forcément dû s'entraîner au moins une fois avec les armes "conventionnelles". Qu'il ne sache pas utilise la hache, la faux ou le fouet passe encore. Mais la dague, l'épée ? Son père n'aurait pas essayé de lui mettre ça dans les mains au moins une fois ou deux ? Si c'est le cas il ne peut pas n'avoir "aucun niveau". N'oublie pas de poster à la suite quand c'est fait, qu'on puisse terminer la validation ! Bon courage Smile
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MessageSujet: Re: Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Icon_minitimeDim 14 Sep 2014 - 0:48

Ohw *.* Je n'ai jamais eu une fiche avec si peu de choses à modifier o.o
Désolé pour les Dieux et l'âge de fer, j'étais parti sur la mythologie latine Very Happy

Le rythme Rp ne t’inquiète donc pas ! Je gère !

C'est donc modifié !
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MessageSujet: Re: Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Aldaron Triade, Elfe - clan Rebelle VALIDE Icon_minitimeDim 14 Sep 2014 - 15:00

dragon

Sois le bienvenu sur tes terres, fils d'Armanda.
Tu es né avec une puissance magique innée de mage correct et ton entraînement dans le domaine magique t'a permis d'atteindre un niveau mage correct. Tu as d'ailleurs été choisi(e) par le totem saumon dont tu as atteint le niveau 2.

Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu as aussi un profil nénéfique qui pourra évoluer en jeu sur demande.

Pour tenir l'état de tes aventures à jour, tu possèdes une fiche de suivi de personnage qui se trouve en ce lieu. Tu peux y ajouter tes liens, ton inventaire, ton histoire personnelle et ce que tu souhaiteras. Tu peux aussi adresser tes questions ici.


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