Liorah était couché sur les herbes hautes qu’offrait l’arrière de la maison où elle habitait. Elle regardait tranquillement le soleil se levé au gré du temps. Elle savait qu’aujourd’hui elle pouvait se reposer car rien n’allait entraver sa journée commencé depuis déjà deux heures. Elle s’était réveillée dans son lit complètement reposé de sa précédente journée. Bien entendu, elle n’était pas du genre flemmard et elle avait décidé de passer sa journée à communiquer avec la nature qui lui avait manqué après ces heures à travailler ardument. Elle se laissait glisser peu à peu dans les bourrasques de vent venant de l’est. Elle respirait au gré des bruits des animaux venant manger des fruits qu’elle aussi mangeait de temps à autre. Elle souriait d’un sourire à rendre tout cœur de pierre à leur tour pure comme son cœur. Elle se sentait libéré de toutes les tensions qu’elle avait pu amasser lors de ses jours de travail. Elle se redressa et se senti observer par un homme. Elle sentait son instinct de protection devenir tout d’un coup plus fort et se remis debout. Elle regretta sans aucun bruit d’avoir laisser ses armes à l’intérieur de la bâtisse. Elle retenu sa respiration pour mieux entendre ce qui l’entourait. Elle devenu de plus en plus concentré jusqu’à entendre même une respiration étrangère. Elle se retourna et elle vit son supérieur. Il était affublé d’une étrange tristesse qui n’était pas à son habitude. Il était habituellement habillé de son éternel sourire qui faisait croire que sa place n’était pas celle d’un chef mais malgré tout il aimait et gardait son poste coute que coute. Elle fut surprise puis lui pria de rentrer à l’intérieur alors que celui-ci restait sans réponse. Il semblait chercher quelque chose sans vraiment le trouver. Il se trouvait là comme pour être une statue prête à mourir à la tombé du jour. Quand ils furent, tous deux, assis. Il pu sortir quelques mots voir même quelques phrases.

Liorah rougit faiblement. Elle savait qu’elle faisait tout ce qu’elle pouvait mais l’entendre d’une autre bouche que sois même était toujours plus gratifiant. Elle fit signe que oui et lui demanda de poursuivre.

Liorah compatissait avec le vieil homme. Elle savait ce que cela faisait de n’avoir aucune nouvelle d’un être cher et elle allait certainement tout faire pour la retrouver. Elle n’arrêtera pas de chercher avant de savoir le fin mot de l’histoire.

Ce n’était que le lourd silence qui dicta à Liorah que cette conversation était terminée et que son voyage ne faisait que commencer.