Bhétanie, petite ville à deux jours de Aldaria.

Nous étions au petit matin et la rosé matinale venait de déposer l'humidité et la fraîcheur nocturne sur la végétation. Le soleil se levé petit à petit à l'horizon. Une petite ville entouré par des murs d'enceinte en bois se profiler. La petite ville pleine de charme se réveiller au son de coq, de clients de taverne nocturne et des miliciens faisant leurs ronde. Cette petite ville était un point de passage et de repos pour les voyageurs se rendant à Aldaria.

Un petit groupe s'approcher, il y avait là trois cavalier, un chariot tracter par deux chevaux, et un jeune garçons qui marchait derrière assez rapidement pour suivre la cadence. Les Cavaliers étaient respectivement, Yuss Lorius Maîtres des Arènes Clandestines de Gloria et Noble, Bhaal Knort son beau-fils et ancien champion des Arènes, ainsi que le comptable de Yuss Lorius. Le jeune homme à l'arrière n'était autre que Raziel Knort, petit-fils du Noble. Le chariot avait deux hommes à son bord vêtue en armure de cuir et armé. Le père de de Raziel était armée et Raziel avait son épée bâtarde, qui à cette époque n'avait pas été baptisé par le jeune homme.
Le petit groupe pénétra dans la ville, se dirigeant vers l'auberge de la rue principale. Le noble prit soin de prendre 3 chambre. Une pour lui et son garde et beau-fils, une pour son comptable et les deux hommes de main et une dernière pour son petit-fils. Il payait pour quatre jour. Raziel avait courut deux jour et deux nuit derrière le chariot mais il du avant de pouvoir se reposer, décharger ce maudit chariot, soit-disant pour se musclé!
Cela lui prit bien une heure et demie. Vers la fin, sur la place, il remarquait une fille, non une fillette peut-être? Il n'avait pas le temps de trop s'attarder sur les détails, mais il constatait qu'elle l'observait faire ses aller et retours. Il était dans une tenu de combattant d'arène, de gladiateur. Des brassards en fers, des bottes en cuir avec protection de tibia en fer, une jupe en lanière de cuir clouté et des brassards de fer. Rien de plus. Une fois qu'il revint chercher la dernière caisse à destination de la chambre des ses aînées, il s'arrêta un instant. La fille était encore là à l'observer, mais cette fois il remarquait qu'elle n'était pas seule. Il la regardait de ses yeux bleu claire et lui fit un beau sourire. Autre détails, il était déjà chauve à cette époque et bien grand du haut de ses 1 mètre 85.
Il finit par abandonné du regard la jeune fille et rentra dans l'auberge au il dormi jusqu'au lendemain épuiser par les efforts fournit depuis ses deux dernier jours.

Alors qu'il se réveilla enfin, il alla à la chambre de son grand-père. Frappant à la porte il eu la permission d'entrée.

" Grand-père! Bonjour! Pensez-vous que je puis prendre un bain afin de me laver? "

" Bien sur mon enfant! Va demander à la demoiselle en bas. " répondit le grand-père chaleureusement.

Raziel s'exécuta. Il descendit et cherchant la demoiselle en question. Cela lui prit pas loi d'une heure et quand enfin il la trouva son père lui attrapa l'épaule.

"Ton bain tu le prendra après t'être entraîné! Tire-au-flanc!"

Avec une grande déception Raziel dut aller à l'extérieur, son père se positionna face à lui et lui intima de sortir son épée.
Deux heures... Deux heures à s'entraîner à l'épée et déjà l'heure du repas. Raziel observait alors un instant les nuages, laissant son esprit se détendre. Il sentit soudain qu'on l'observait, il se retournait et remarqua encore cette jeune fille de la veille. Il lui fit encore un sourire chaleureux et bienveillant. Son père venant de hurler son nom il fit signe à la jeune fille pour la saluer et se rua à tout vitesse dans l'auberge.
Après son repas il prit enfin son bain. Durant son bain, une petite dispute éclata entre son grand-père qui voulait que Raziel se repose durant l'après-midi et son Père beuglant que son fils devait s'entraîner. Finalement Yuss l'emporta et Bhaal vint annoncer à son fils qu'il avait l'après-midi de libre. Tout heureux il finit de se laver et s'empressa d'aller à l'extérieur. Il trouva un coin tranquille, à l'ombre d'un grand arbre. Il s'assis au sol, dos contre l'arbre. Observant les branches se mouvoir avec le petit vent journalier. Il entendit des bruits de pas, ce qui lui fit baissait la tête. C'était elle, la jeune fille. Il affichait un sourire joyeux.

" Bonjour! "

Se rendant compte que c'était bien peu il continua avec une présentation.

" Je me présente, Raziel Knort, enchanté! "

Oui, de part son grand-père Raziel avait une certaine éducation afin de faire la fierté de la famille.

Cette semaine, les trois soeurs étaient avec leur tante qui vivait à Bhétanie. Leurs parents avaient beaucoup a faire et avait trouver préférable d'éloigner les filles de toute cette activité qui durant journée et nuit. La maison de sa tante était proche d'une petite auberge. L'on pouvait y voir tous gens qui s'y arrêtèrent. Lys aimait bien regarder les gens qui rentraient dans l'auberge, elle s'amusait a leur inventé une histoire, un passer, une vie.

Elle fut très étonnée quand elle vu le groupe de Raziel arrivé. Premièrement, c'était juste des hommes qu'il y avait. Deuxièmement, la personne qui courrait semblait être le plus jeune des personnes présentes, ce qui était tout simplement illogique pour la gamine de 13 ans. Troisièmement, le jeune homme avait des vêtements étranges et des armes. Et pour complet cette étrange situation, c'était le moins vieux qui devait décharger les bagages. Elle se mit donc a le regarda attentivement, pour comprendre qui il était et continuer son nouveau jeu. Il était grand et musclé, plus que Michael. Étrangement, la jeune fleur trouvait que la jupe allait très bien à l'étranger. Lys s'imaginait que Raziel était un gentil prince charmant, comme dans les histoires que sa mère lui racontait.

Durant la nuit, Marie-Lys rêva que Raziel était venu la délivrer des griffes d'un méchant monstre qui voulait la manger. À son réveille, elle était perturber par son rêve plus qu’étrange, mais ce qui la dérangea le plus, c'était que le prince n'était pas Michael ou LUI. Lys se questionna sur tout cela. Au bout d'une heure de méditation, elle réalisa que c'était la couleur de la peau si particulière de l'adolescent ainsi que ses muscles qui avaient fasciner la filette. Elle sortit donc dehors dans l'espoir de revoir le jeune homme. Le bruit d'un combat attira l'attention de la jeune fille. Elle regarda dans la direction du bruit. Heureusement pour elle, Marie ne vit que la fin du combat. Lors que Raziel lui fit un sourire, Lys vira rouge et lui fit un sourire gêner. Elle entendit quelqu'un parler au garçon, puis ce dernier lui fit un signe de la main. Marie, qui fit triste de le voir déjà partir, lui fit "au revoir " de la main

La jeune fleur réalisa durant son repas que son comportement avec le jeune homme était inacceptable. Il était mal poli de dévisager une personne. Du coup, elle se sentit coupable de l'avoir fixé aussi longtemps. Après un soupire, elle prit la décision d'aller s'excuser auprès de lui... lorsqu'il serait seul. Elle sortit de nouveau dehors et le vit sous un arbre. Elle fit un pas dans sa direction... et elle se figea sur place. Et s'il lui en voulait de l'avoir regarder durant deux jours ou qu'il la trouver stupide ou elle ne savait trop quoi. Lys avait peur de se faire critiquer, mais elle savait que si elle restait là à rien faire, cela allait être encore plus impoli et ne lui permettrait pas d'aller de l’avant dans la vie. Elle prit donc son courage à deux mains et se dirigea vers Raziel.

Lors qu'elle arriva proche de Raziel, elle reprit peur. Mais ce dernier se mit à la regarder avec un sourire et à lui parler. Elle regarda Raziel dans ses yeux bleu clair.

"Enchanter Knor, je suis Marie-Lys Beauchemin. "

En cet instant, Lys qui avait 13 ans pouvait passer facilement pour deux ans plus jeune. Premièrement, elle mesurait environ un mètre vingt et qu'elle n'avait pas de formes et secondement parce que la peur du rejet donnait des intonations gamine à sa voie. Elle avait des milliers de questions à poser au jeune homme devant elle, mais avant tout elle se devait de s'excuser.

"Je... Je tenais à m'excuser auprès de vous pour vous avoir regardé aussi longtemps sans votre permission."

Elle marqua un moment d'hésitation, devait-elle se justifier ou partir. Sa curiosité en porta le combat contre sa peur.

"C'est justes que c'est la première fois que je vois un homme porter une jupe... ne le prenait pas mal, cela vous va très bien..."

Comme une idiote, elle se mit à rougir de gêne. Elle se mit à regarder vers le sol pour éviter de partir à courir loin de l'homme qui l'intimidait.

La jeune fille semblait apeurer, Raziel ne comprenait pas trop pourquoi, il était là, assis, ne représentant pas de danger. Elle avait plonger son regard dans le sien et bizarrement il n'arrivait à se détaché de ce regard, si pure et innocent, lui rappelant combien il était monstrueux car lui il avait déjà tué.

"Enchanter Knort, je suis Marie-Lys Beauchemin."

Il fit une petite moue déçue. Knort? Son nom de famille? Il faisait si vieux que cela? Il se repris bien vite affichant une nouvelle fois son sourire rassurant et presque charmeur, il fallait dire que son bronzage naturel avec ses yeux bleu claire ainsi que sa musculature avait de quoi intimidait une jeune fille. Elle était mignonne et semblait bien timide. Ce qui l'amusait un peu finalement.

" Non appelle moi Raziel, ou Raz' si mon prénom sonne faux à tes oreilles! " lança-t-il paisiblement.

La voix de la jeune fille chanter réellement l'innocence et le ton de voix indiquer clairement qu'elle était très jeune. En y regardant de plus près elle n'avait pas de forme particulière. Ce ton presque gamin fit sourire Raziel, mais ses yeux exprimer une profonde tristesse car cela lui rappelait que lui n'avait pas eu vraiment l'occasion d'être si "enfant" depuis la mort de sa mère.

"Je... Je tenais à m'excuser auprès de vous pour vous avoir regardé aussi longtemps sans votre permission."

Départ tout faible, comme un combat intérieur pour s'exprimer suffisamment fort pour être audible. Le combat, voilà un domaine que Raziel connaissait. Peut-être même la seule et unique chose, c'était ce qui régissait sa vie, s'entraîner au combat pour finir dans des arènes pour combattre et faire couler le sang. Cette idée lui déplaisait, il avait déjà retirer la vie à un homme et il ne s'était pas sentie plus vivant ou plus fort pour autant. Juste avant qu'elle ne parle à nouveau elle sembla hésiter. Comme si elle chercher le courage de parler.

"C'est justes que c'est la première fois que je vois un homme porter une jupe... ne le prenait pas mal, cela vous va très bien..."

Il fut très surpris sur le coup, il ne s'attendait pas à ça! Quand Marie-Lys baissa les yeux au sol en rougissant, il se mit à rire. La surprise combiner à la réaction de la jeune fille, il n'avait pas pu se retenir. Il se calma un peu avant de lui répondre. Il s'agissait de ne pas parler en rigolant. Cela n'aurais été que plus impolie.

" Pour commencer, ne t'excuse pas de m'avoir regarder, si j'avais était contrarier, penses-tu que j'aurais voulu te parler? "
Il se redressa, la dominant de toute sa hauteur et de sa carrure sacrément imposante en comparaison. Afin de ne pas l'intimider d'avantage il vint poser un genoux à terre et lui releva la tête délicatement du bout de ses doigts de la main droite. Esquissant un sourire.

" Pour la jupe je peux comprendre, c'est une tenue que vous ne devez pas connaître par ici, c'est certes plus fréquent à Gloria là d'où je viens! Mais en réalité cela s'appel une jupette. Si tu as des questions je me ferai une joie de te répondre, tu n'as rien à craindre de moi, je ne vais rien te faire! Bien au contraire je suis content d'avoir quelqu'un avec qui parler car je n'ai jamais eu d'amis! "

Il laissa alors Marie-Lys user à son bon vouloir de son visage et retourna s'asseoir contre l'arbre mais cette fois il tapotait de sa main droite à sa droite, invitant la jeune demoiselle à le rejoindre.

" Que dirais-tu que nous fassions plus ample connaissance, qui sait peut-être pourrions-nous devenir amis tout les deux, qu'en dis-tu Marie-Lys? "

Il parlait d'une voie très douce et rassurante mais à la fois emplie de confiance. Souriant de bon cœur, content d'avoir trouver quelqu'un avec qui parler, quelqu'un avec qui il pourrait oublier les durs entrainement que son père lui imposait, ses même entraînement qui lui avait offert diverse petite cicatrice, sur les bras comme le torse. Il observait Marie-Lys, n'arrivant pas à détacher son regard d'elle, cherchant désespérément à perdre à nouveau son regard dans celui de la jeune fille pour une raison qu'il ne s'expliquait pas.

Raziel, elle se dit plusieurs fois cece, par ex.: ce problème." nom. Elle trouvait que cela sonnait bien et en plus cela rimait avec ciel... le ciel bleu, comme les yeux du jeune hommes. Définitivement, elle adorait cece, par ex.: ce problème." nom, beaucoup plus que Knort qui sonnait trop agressif aux oreilles de la jeune fille.

Lys vira blanche comme un fantôme lors que Raziel se mit à rire d'elle. Il devait la trouver vraiment idiote avec sa remarque sans rapport. Heureusement, le jeune homme la rassura très rapidement. Le contact des doigts du combattant sur sa peau lui fit le saut. Elle ne s'attendait pas à se faire toucher. Mais étrangement le toucher était délicat, cela la fit sourire.

" Pour la jupe je peux comprendre, c'est une tenue que vous ne devez pas connaître par ici, c'est certes plus fréquent à Gloria là d'où je viens! Mais en réalité cela s'appel une jupette. Si tu as des questions je me ferai une joie de te répondre, tu n'as rien à craindre de moi, je ne vais rien te faire! Bien au contraire je suis content d'avoir quelqu'un avec qui parler car je n'ai jamais eu d'amis! "

Suite à ses mots, Lys lui fit un sourire remplit de sentiment que l'on pouvait aussi voir dans ses yeux : de la joie d'avoir un nouvel ami, de la reconnaissance de l'accepter comme elle était, un peu de tristesse de savoir être la première amie de l'adolescent, une soif de savoir dévorante et une pointe de curiosité. Elle n'avait eu que ses soeurs et Michael comme amis et elle trouvait que c'était peu, mais ils étaient toujours là pour elle. Elle voulait être là pour Raziel, même si elle ignorait pourquoi. Peut-être parce qu'elle comprenait la douleur de Raziel mieux que plusieurs enfants et même certains adultes ou peut-être parce qu'elle voyait le coeur d'or qui battait sous la cage thoracique du combattant. Lorsqu'il tapota l'arbre avec sa main, Marie-Lys n'hésita pas une seule seconde. Elle alla s'asseoir à côté de lui. Elle était assise face à lui, elle était tellement proche que ses genoux touchaient le corps musclé de Raz. Elle voulait lui faire comprendre qu'elle était là pour lui et qu'elle n'allait pas disparaitre de si tôt.

" Que dirais-tu que nous fassions plus ample connaissance, qui sait peut-être pourrions-nous devenir amis tout les deux, qu'en dis-tu Marie-Lys? "

"J'en serais vraiment enchantée."

Elle se mit à penser à comment rendre des livres intéressants pour Raziel et faire plus ample. Elle se mit un doigt sur la lèvre inférieure, dans un signe de profondes réflexions. Elle ne trouvait qu'une seule solution : un jeu!


"Et si l'on jouait? Vous me posez une question, je vous réponds et puis après c'est à moi de vous questionner et ainsi de suite. Cela va être plus drôle que si je vous pose toutes les questions que j'ai dans la tête."

Elle eue un petit rire à la fin de sa phrase. Lys souriait de toutes ses dents tout en regardant Raziel. Puis, elle ne peut s'empêcher de rajouter:

"Au fait, j'aime bien votre nom! Raziel! Cela me fait penser à ciel. Je vous avez l'air aussi doux que les nuages... Un grand nuage tout blanc dans un ciel bleu pale!"

Le vent souffla un peu plus fort et fit bouger les long cheveux de la jeune fille. Comme le vent était dans son dos, l'odeur de Lys pouvait se rendre jusqu'à Raziel. Elle sentait les champs de fleur et le pain. Même si cela fessait des quatre jours qu'elle n'était plus à la boulangerie, l'odeur collait à Lys, comme si elle lui appartenait. Une mèche de cheveux passa devant les yeux de Marie, coupant durant un instant le contact visuel qu'elle avait avec Raz. Lys replace ses cheveux derrière ses oreilles pour ne pas qu'ils lui cachent de nouveau la vu. Une boule de poil blanche tacheté amande et noir s'approcha rapidement d'eux et alla se frotter contre sa maitresse.

"Moka!!!"

Elle prit le chat de 8 ans dans ses bras de façon pour le montré à Raziel pour qu'il puisse le flanttés et que le chat soit confortable. Le chat se mit à ronronner aussitôt qu'il fut dans les bras de la jeune fille. Il se laissa manipulé sans rien faire.

"Raziel, je vous présente mon chat, Moke! il est très gentil et tout doux au toucher."

"J'en serais vraiment enchantée."

Marie-Lys vint alors posé son index sur sa lèvre inférieur comme pour signifier sa réflexion profonde et momentané. Raziel quand à lui fut ravit de la réponse fournit par la jeune fille. Vraiment? Il allait enfin avoir une amie? Lui? c'était comme si ses prières avaient enfin été exaucer, il avait abandonné l'idée d'avoir un ou une ami le jour où il tua pour obtenir des informations dans sa quête de vengeance.

"Et si l'on jouait? Vous me posez une question, je vous réponds et puis après c'est à moi de vous questionner et ainsi de suite. Cela va être plus drôle que si je vous pose toutes les questions que j'ai dans la tête."

Il esquissait un sourire, un jeu. C'était mignon de sa part, les règles était plutôt simple, mais son sourire sonnait faux car en réalité Raziel était que bien peu quelqu'un ayant le droit de s'amuser. Tout du moins plus depuis ses six ans, ce qui remonté à bien loin., c'était que des bribes de souvenirs bien floue dans sa mémoire déjà centré sur le combat. Cadré à devenir un futur champion d'arène car tel étaient les espoirs de sa famille.

"Au fait, j'aime bien votre nom! Raziel! Cela me fait penser à ciel. Je vous avez l'air aussi doux que les nuages... Un grand nuage tout blanc dans un ciel bleu pale!"

C'était un très beau compliment, il n'en n'avait point l'habitude, seul sa mère lorsqu'elle était encore vivant le complimenter. Il se faisait constamment rabroué par son père qui s'énervait bien vite lorsque son fils ne faisait pas ce qu'il lui demander ou qu'il était en retard pour s'entraîner. L'entraînement au combat, c'était ça sa jeunesse! Apprendre à se battre pour pouvoir tuer en offrant du spectacle. Etre sociable, être amical, complimenter, cela lui semblait si anormal dans un sens et pourtant à la fois tellement appréciable, il avait deux éducations, celle de son père et les bonnes manières par son grand-père.

" Merci beaucoup! Tu es très charmante toi aussi! Je suis sûre que plus tard tu seras une femme merveilleuse quand tu seras plus grande! " dit-il tout sourire.

Le vent souffla à nouveau, les cheveux de la jeune fille, son odeur corporel, Raziel sentit cela pleinement et quel odeur agréable et apaisante. Il huma ce parfum si agréable. Durant un instant une mèche de cheveux de Marie-Lys vint rompre le contact visuel entre leur regard. Il ne comprit pas pourquoi, mais il ressentit alors une grande peine, un vide, de la tristesse. Puis elle replaça alors sa mèche derrière son oreille tel une grande dame. Avec délicatesse. Dès lors le regard de Raziel emplie de tristesse suite à cette rupture visuel se retrouva à nouveau emplie de joie et d'émerveillement.

" Ton odeur est si apaisante! J'aime vraiment le parfum que tu dégages! "

Il avait dit cela le plus naturellement du monde, comme si la jeune fille et lui-même se connaissait de longue date, il fut un peu gêné en se rendant compte qu'il avait dit tout haut ce qu'il penser tout bas.
Soudain, une être poilu vint se frotter contre la jeune fille, par réflexes Raziel amena alors sa main droite à la garde de son épée tout en jetant un vif coup d’œil afin de savoir de quoi il en retourner. Un chat. Il se détendit, retirant sa main de la garde de son épée pour la ramenait dans l'herbe.

"Moka!!!"

La jeune fille prit alors le chat, le caressant alors que celui-ci se mit à ronronner.

"Raziel, je vous présente mon chat, Moke! Il est très gentil et tout doux au toucher."

Raziel la croyait sur parole, mais c'était une distraction qu'il n'avait jamais eu alors il ne savait pas trop quoi faire ni comment agir avec cette bestiole. Cela semblait pourtant sympathique de caresser l'animal mais Raziel se disait qu'une si petite chose finirait certainement briser sous sa main et sa force. Il replongea alors ses yeux dans ceux de Marie-Lys et se rappela que d'après ce qu'elle avait proposer dans le jeux, il devait commencer par lui posé une question. Quel question? C'était bien beau tout ça mais que demander? Il finit par se décider.

" Dis moi... Tu viens d'où? Tu es comme moi de passage ici où tu y vie? "

C'était simple, mais pour débuter ce n'était pas plus mal et puis il fallait bien commencé par quelque chose non? Il n'était pas doué pour questionner, il était plutôt du genre à obéir sans parler. Trop habitué à s'entraîner comme un forcené. Malgré le fait qu'il passé un bon moment une voix le sortie de se moment plutôt normal mais tellement magique et hors de son quotidien.

" Allez ramène-toi! Entraînement! "

C'était le père de Raziel, pas le choix il devait y aller. Il salua Marie-Lys et parti en suivant son père.

[TERMINER]