Au sud d'Aldaria la Superbe de nos jours, en d'été.

Tobold est arrivé de bon matin sur le marché libre du petit bourg de Couët Pine.

Ce village est coupé par la rivière Sausseron,ou trône un pont en pierre. Sur la rive droite ce trouve entouré d'une clôture le village, composé de la tour de l'octroi, de la ferme du gros Lomic, de l'auberge de la "Veuve Hilare", l'atelier du maréchale ferrant, du lavoir, et de quelques maisons. Sur la rive gauche, il y a le champ du marché, quelques hangars, une fontaine et un abreuvoir.

Couët Pine est un lieux de passage unique à cause du pont. Si le village compte cent habitants normalement, le jour du marché, c'est dix fois plus. La route est alors encombrée de cavaliers, de charrettes, de brouettes, et de piétons. Ils se rependent à qui mieux mieux sur le champ dans une joyeuse pagaille, sous le contrôle des gardes de l’octroi, qui prélèvent la Dîme

Ce marché n'a lieu qu'une fois par mois et l'on viens de toute la région pour vendre échanger, acheter.....On trouve tous les produits, les animaux, aussi bien les produits manufacturés qu' artisanaux. Une partie de la foire est réservé à la restauration, une multitude de stands apparaissent, du plus petit au plus gros, on mange de tous. Il y a aussi un endroit près du pont on on peut vendre que quelques marchandises ou objets. On peut aussi trouver quelques troubadours, jongleurs, diseuses de bonne aventures

Le jour du marché venant d'Aldaria, le Sénéchal Haltgard accompagné d'une compagnie d’archée viennent assurés la garde.

Tobold trouve une petite place, entre une vendeuse d’œufs et un aiguiseur de couteaux. Il sort de sa besace trois flacons d’hydromel qu'il souhaite vendre. Ce breuvage lui a été donné par un apiculteur, en échange d'éssains de mouche à miel, qu'il a recueilli dans la campagne. C'est Katfaïl son vieux Maître des Mangroves, qui avait apprit à Tobold manipuler les abeilles.

Marie-Lys avait décidé d'accompagner sa mère au marché comme elle le fessait régulièrement. La jeune fille adorait y aller pour découvrir de nouveaux ingrédients pour la confection de ses pains. De plus, elle aidait sa mère à transporter et vendre leurs pains. Mais aujourd'hui Lys n'avait pas le moral pour parler aux gens. Depuis quelque temps, elle avait d'étrange rêves... en fait, cela ressemblait plus à des cauchemars remplient de vide, de la solitude. Sous les yeux de Lys se trouvaient des cernes noires qui contrastaient avec la blancheur de sa peau. Sa robe beige à manche trois-quart bougeait doucement, balancer par les mouvements de la jeune fille et le vent.

Après avoir aidée sa mère à décharger la charrette et monter le kiosque, Lys partie marcher dans le marcher. La démarche de la jeune était à mi-chemin entre la marche lente et le gambadage. Elle regardait ce que les gens avaient à vendre. Elle fredonnait une comptine pour enfants durant ses déplacements tout en évitant de bousculer les gens... ce qui se trouvait être une tâche des plus compliquer pour la jeune fleur.

Elle s'arrêta devant Tobold et regarda les fioles qu'il avait devant lui puis l'homme. Elle eue un sourire lors qu'elle vit le visage de l'homme. Il lui fessait penser à son grand-père.

"Bonjour monsieur!"

La voie de Lys était aussi mélodieuse qu'une chanson. Une odeur de pain et de fleur entourait la jeune fille malgré la poussière qu'il y avait dans l'air. Elle se pencha un peu pour regarder les flacons que l'homme avait. Mais la quitta vite des yeux les trois contenant d'alcool pour regarder de nouveau dans les yeux de l'homme qui se trouvait devant elle. Dans les yeux de Lys, l'on pouvait y trouver de la douceur et de la fatigue, ainsi que cette pointe de mélancolie qui ne la quittait jamais. Elle ignorait pourquoi elle s'était arrêtée là, mais il y avait toujours une raison à tout. Peut-être à cause de l'humain ou bien c'est qu'elle voulait faire changement et sortir de son rôle de gentille jeune fille à maman.

Il est onze heures au soleil.

Il y a beaucoup de monde qui passe, beaucoup ne jette qu’un coup d’œil, d’autre viennent pour marchander, certain passe sans regarder. Mais jusque là personne n’a acheté de flacon, Une personne était venu poser plein de question sur l’hydromel, alors Tobold avait expliqué comment on fabriquait cette boisson à partir de la fermentation de miel que l’on ne peut commercialiser, comme du miel pleins de morceaux de bois ou plein de particules de cire. On dissolvait ce miel dans de l’eau et après on le mettait cette solution dans une cruche fermée et le miracle de la fermentation avait lieu….Bien sur notre homme ne parle pas des levures ou autres produits, qui permettent la fermentation alcoolique, ni des colorants et des fragrances pour l’obtention de la couleur et du gout. L’homme lui retient deux bouteilles qu’il viendra chercher en début d’après midi.


Un peu plus tard une jeune fille s’arrête devant lui. Elle est habillée d’une robe d’été beige. Elle regarde les flacons, puis Tobold. Leur regarde ce croissent

« Bonjour Monsieur », dit la jeune fille.

Elle a son regard fatigué.

Tobold va lui répondre quand un homme venant des hangars s’arrête devant eux, bousculant la jeune fille.

« Combien pour un flacon » dit l’homme habillé comme un dandy, aux vêtements de couleur pastelle, aux gants blancs au bottes et au grand chapeau noir.

Tobold, surpris par la brusquerie du ton, dit un prix un peu élevé, L’homme paye rubis sur l’ongle et part aussi subitement comme il était venue avec un flacon, sans s’excuser, auprès de la jeune fille. Il prend la direction du pont.


En recevant la pièce Des Mangroves à le temps d’apercevoir des trais noirs entre le gant et la veste de l’homme.

« Excusez le, Mademoiselle, cet homme semble pressé……… »

Lys, qui était de nature très maladroite, tomba sur ses fesses lors que l'homme la bouscula. Elle aurait pu être offusqué par un tel acte, mais elle s'en moquait bien, car elle en avait l'habitude. Quoi qu'au fond d'elle, elle maudissait cet homme de l'avoir bousculé, simplement parce que c'était un homme. Les gens passaient à côté d'eux sans s'arrêter ou même regarder. Elle se remit vite sur ses jambes et passa rapidement ses mains sur ses vêtements pour en enlever la poussière.

« Excusez le, Mademoiselle, cet homme semble pressé......... »

Elle fit un doux sourire à Tobold.

"Vous n'avez pas à vous excuser pour cet homme..."

La fleur fini le reste de sa phrase dans sa tête pour rester polie devant le marchant. Elle regarda une nouvelle fois les flacons qu'il y avait entre eux. La curiosité était un vilain défaut s'il est trop présent ou une qualité lors que l'on s'en sert pour apprendre. Malheureusement ou heureusement pour Marie-Lys, elle possédait cette caractéristique.

"Sans vouloir être méchante, il y a quoi dans ses flacons?"

Elle pointa les dit flacons avec son index droit par réflexe... Mais lors qu'elle réalisa ce qu'elle était en train de faire, elle cache sa main dans son dos. Le rouge lui monta aux joues. Lys savait que pointé du point était une chose très grossière. Sa mère passait son temps à lui dire.

"Je suis désolé pour cette grossièreté. Ainsi que ma curiosité."

La Beauchemin n'avait pas l'habitude d'être la cliente. Habituellement, elle se trouvait de l'autre côté du comptoir à servir les clients. Et quand elle magasinait, elle savait toujours se qu'elle devait acheter... Alors c'était fort étrange pour elle d'être devant un comptoir sans savoir se qu'elle voulait. Puis elle eue une hésitation, devait-elle se présenté ou pas. Elle voulait parler avec l'homme, mais cela ne semblait pas être la bonne place pour faire cela... mais l'homme l'intriguait

Tobold a bien vu la jeune fille être bousculé et tombé mais n'a pu rien faire à cause du dandy.

"Vous n'avez pas à vous excuser pour cet homme...
Sans vouloir être méchante, il y a quoi dans ses flacons?"
Pointant les deux derniers flacons la jeune fille rajoute
"Je suis désolé pour cette grossièreté. Ainsi que ma curiosité."

Tobold a un problème,ce n'est pas le geste qu'à fait la jeune fille, mais le fait qu'il a vendu tous ses flacons d'hydromel, les deux derniers sont réservés. D’ailleurs son acheteur arrive et notre homme lui remet ses deux derniers récipients. Il n'a plus qu'à plier bagage.

"Mademoiselle, excusez moi je ne peux plus vous faire gouter de l'hydromel, un breuvage alcoolisé, issue de la fermentation de miel dans l'eau, mais je peux, vous donner ceci......."


De Mangrove sort de sa besace, un très petit paquet qu'il ouvre constitué d'une feuille de chêne qui enrobe une pâte.

"C'est de la propolis, un produit que secrète les mouches à miel, elles s'en servent pour colmater les fissures.. Ce qui est interessant c'est que ce produit à des propriétés antiseptiques. Pour ne pas que des coupures s'infectent, il faut les recouvrir de cette pâte. C'est l'un des quatre trésors des abeilles, avec le miel, le pollen et la gelée royal."

Tobold est prêt à partir, mais il demande à tous hasard à la jeune fille si elle sait ou il pourrait trouver une couverture solide et chaude..... C'est à ce moment qu'un homme se dirige arrive en courant, et franchit le pont en criant : "Ou est le sénéchal? ou est le sénéchal?" Une fois cet homme passé, tous le monde revient à ses affaires. Il se trouve que la jeune fille sait ou trouver une bonne couverture, rapiécée, c'est vrai , mais pas trop cher, mais propre et chaude.

"Allons la voir Mademoiselle....."

"Mademoiselle, excusez moi je ne peux plus vous faire gouter de l'hydromel, un breuvage alcoolisé, issue de la fermentation de miel dans l'eau, mais je peux, vous donner ceci......."

Elle mit un mou à l'entend du mot alcoolisé. Elle n'avait vraiment pas de bon souvenir relier à ce mot. Elle préféra oublier tout cela et était heureuse qu'il n'en possède plus. Quoi qu'elle se demandait si cela aurait été bon dans une recette de pain.

"C'est de la propolis, un produit que secrète les mouches à miel, elles s'en servent pour colmater les fissures.. Ce qui est intéressant c'est que ce produit à des propriétés antiseptiques. Pour ne pas que des coupures s'infectent, il faut les recouvrir de cette pâte. C'est l'un des quatre trésors des abeilles, avec le miel, le pollen et la gelée royal."

Elle fut très étonner de savoir que les mouches à miel était capable de créer cette petite merveille. Elle donna quelques pièces à Tobold en échange de ce merveilleux produit. Elle mit soigneusement l'objet dans sa botte avec sa dague.

"Ou est le sénéchal? ou est le sénéchal?"

La jeune humaine trouvait curieux le fait que l'on avait besoin du sénéchal en se moment, mais ne posa pas plus de questions.

"Je crois en avoir vu un peu plus loin."

"Allons la voir Mademoiselle....."

Durant se court échange de parole, une foule c'était former et poussa les deux vers le champs du Gros Lomic. Les gens autour d'eux parlait d'animal blesser. Il est vrai que circulé avec des cheveux dans les rues du village semblait quelque chose de risquer en se moment, mais pas au point de les blesser. Le sénéchal et de trois archées se firent un chemin à travers la foule, qui avait continuait de grossir, pour aller voir la créature blesser. Lys les salua d'un hochement de la tête lors qu'elle les vit passer prêt d'eux. Lys dépose doucement sa main sur l'épaule de De Mangrove pour qu'ils reculent afin de laisser passer les soldats. Elle connaissait bien ses hommes et savait que tout allait se réglé rapidement, ils avaient vu pire.

"Je pense que nous devrions aller acheter votre couverture et les laisser travail, ils savent se qu'ils doivent faire."

Elle n'avait pas vraiment envie de savoir se qui se passait, ni voir le sang du quadrupède sur le sol. Mais la foule était trop présente pour qu'elle arrive à en sortir. Le passage du sénéchal avait attiré encore plus de curieux. Elle devait donc resté ici jusqu'à se que les gens partent d'eux même. Elle soupiré de découragement, finalement elle n'allait pas avoir sa gentille petite journée calme.

"ou rester le temps que ça ce calme."

Le ton qu'elle avait utiliser était las et fatiguer. Elle voulait un lit depuis que Tobold lui avait parler de couverture. Il était vrai qu'elle avait encore une fois peu dormit cette nuit et qu'une sieste serait la bienvenue... mais elle sourie à l'homme et s'excusa de devoir retarder leur achat.

Tobold refuse les pièces de la jeune fille, en lui disant que c’est un cadeau.

Ils cheminent tranquillement pour aller voir la couverture, en expliquant à la jeune fille comment ont obtient de la gelée royal!
Peut à peut la foule devient compacte et les entraînent inexorablement vers un champ à la bordure du marché. Le champs du gros lomic lui dit’ elle. Ils voient passer dans le même sens qu'eux des archées et selon les rumeurs de la foule le Sénéchal Des Guardes…… D’une personne à coté de lui il apprend que les chevaux sont à une certaine Gloria…..

Le champ descend en pente douce vers la rivière, et la foule se repend autour des formes couchées. L’homme et la jeune fille sont obligés par la pression des gens de s’approcher des bêtes. Mais...oui, les chevaux ne sont pas blessés. Pas de traces de sang, c’est autre chose, et c’est l’ensemble des chevaux qui sont à terre.

La foule à tous piétinée, et même déplacé les animaux.
Tobold s’approche d’un cheval et comprend qu’il est mort. Il le touche, l’animal est sec de sueur, pupille dilatée, mais notre homme distingue nettement des traces de pattes brouillées, comme si l’animal s’était fort agité avant la mort.

"Venez Mademoiselle…"

Tobold s’approche de la rivière ou les animaux vont boire. Il y a dans ce coin peu de monde et il ne constate rien d’anormal. Les traces de patte sont nettes, ….. "si" dit d’il. De Mangroves ce déplace, toujours accompagné de la fille, vers un tas de fourrage, le long de la barrière. Avec un bâton il le fouille, il trouve de l’avoine comme pour rassure les animaux …tient ! il y a une feuille coupée, il y en a même plusieurs, dont une…….Il prend le morceau délicatement et le regarde attentivement, et il reconnait la feuille!

"Permenton" dit notre homme se dessinant dans sa tête la feuille.


Se tournant vers la jeune fille il lui demande….

"Vous connaissez cette Gloria, la propriétaire des chevaux ?"

Lys n'avait vraiment pas envie de voir les animaux morts, mais il semblait qu'elle n'avait pas le choix. Elle regarda le ciel pour éviter de voir les bêtes blesser... et elle fonca dans l'un des archer. Ce dernier la regarda avec duré.

"Je suis désolé monsieur."

Il eu un petit rire et lui dire de regarder ses pieds la prochaine fois. Elle ne se le fit pas dire deux fois.

"Venez Mademoiselle…"

Lys suiva donc docilement Tobold en se disant qu'ils allaient aller acheter la couverture que l'homme voulait. Elle fut donc très surprise de le voir aller vers la rivière.

"si"

Si? Si quoi? Elle eue un petit soupire, car elle venait de réaliser que l'homme voulait jouer au détective. Il est vrai que cela pouvait être drôle... mais d'un autre côté il y avait des animaux mort, donc ils risquaient de tomber sur des trucs pas vraiment agréable, voir dangereuse. Elle eue un sourire en coin, jouer avec le danger ne pouvait que lui faire du bien. Après tout, cela fessait vraiment longtemps qu'elle n'avait rien fait de stupidement dangereux... Elle avait le goût de le revoir... Elle regarda du coin de l'oeil LUI qui n'avait vraiment pas l'air heureux de son choix.

Elle alla donc vers un tas de fourrage, le long de la barrière, à la suite de l'homme. Il prit une feuille dans sa main...Eh... elle avait l'être comme les autres...

"Permenton" dit notre homme.

Puis Des Mangroves se tourna vers elle:

"Vous connaissez cette Gloria, la propriétaire des chevaux ?"

Elle haussa un sourcil à cette question. Un petit rire cristalin lui échappa d'entre les lèvres.... mais elle reprit vite son sérieux lors qu'elle vit la côté sérieux de l'homme.

"Gloria est la ville principal des humains, c'est là où se trouve la famille royale. cette ville se trouve à environ deux semaines de mache d'ici... Il est fort possible que des gens soient venu de là bas sur les cheveux... "

Elle regarda la feuille plus attentivement, puis une question arrive dans son esprit...

"Mais si c'est la cas, où se trouve les propriétaires des bêtes?"

Il était possible que cela soit l'homme qui était partie chercher le sénéchal... mais il était seul et il y avait plusieurs animaux... C'était vraiment étrange...

"Nous devrions peut-être informer le sénéchal de ce que vous avez trouver...."

Empoissonner des animaux, mais pour quels raisons? La seule idée logique qu'elle trouvait était que l'on voulait empêcher mes gens de retourner à Gloria. Les yeux de Marie s'agrandirent lorsqu'elle réalisa la suite de son raisonnement. Les gens qui voulaient aller à Gloria en ce moment étaient des soldats qui voulaient défendre la ville des envahisseurs, donc cela devait être eux qui avaient attaqué les chevaux.... mais elle avait entendu dire qu'ils étaient agressifs... donc ils n'auraient pas perdu de temps à empoissonner des animaux. Ils auraient tout détruit sur leur chemin... Il devait y avoir une autre raison logique. Sénéchal... lui pourrait lui donner une raison normal à tout cela.

"Oui, cela me semble être la meilleure des idées."

Ils se mirent donc en route vers le sénéchal qui était toujours avec les animaux mort. Lys eue une envie de vomir à la vue des bêtes mortes.... Elle n'était vraiment pas fait pour voir des morts.... ou elle en avait trop vu en trop peu de temps. Elles s'inclinent devant l'homme en signe de respect....

"Monsieur le Sénéchal... Monsieur ici présent à trouver de la belladonna dans la nourriture des animaux."

Lys ignorait si elle devait définir les effets de cette plante ou pas. Elle espérait surtout que l'homme ne soit pas en colère contre eux pour avoir mis leurs pattes là où ils ne le devaient pas. Elle commençait à s'amuser à leur petit jeu de cherche et trouve, malgré l'angoisse qui montait en elle. Elle décida donc de parler des effets négatifs de cette plante.

"La belladonna est une plante qui peut entrainer la mort, si elle est prise en grande consommation."

Elle ne dit pas toutes les informations données par Tobold de peur que le Sénéchal commence à se poser des questions sur leur identité.

"Il ne manquait plus que ça... J'avais déjà a réglé le problème de la réserve de nourriture qui a brûlé il y a deux jours. "

"La réserve ne nourriture!? "

Les choses continuaient à prendre une drôle de tournure... et très loin d'être positive. L'inquiétude prenait de plus en plus possession des yeux de la jeune fleur.

"Oui, la nourriture et les chevaux étaient pour une troupe qui devait aller vers Gloria où il y a un siège. "

"Eh.... Bien, merci pour votre temps monsieur. "

Elle s'éloigna rapidement de la place. Elle était en plein cauchemar! Elle ne voulait pas que les Alayiens s'approche de la ville, elle ne voulait pas qu'ils touchent à sa soeur et à son venin... Elle ne voulait pas que son univers soit de nouveau tout brisé. Elle commancait tout juste à reprendre une vie normal... Mais elle ignorait ce qu'elle pouvait faire pour aider à luter contre ses monstres. Elle n'était qu'une simple humaine sans talents particulier... Elle regarda ses pieds avec dégout. Elle n'aimait pas son impuissance et son incapaciter à protéger les gens qu'elle aimait. Elle leva les yeux vers Tobold et le regarda avec espoir? Elle avait déjà entendu dire que c'est des petites choses qui font avancer les choses. Alors, trouver le criminel pouvait aider l'armée.... enfin elle l'espérait.

"Je suis certaine que vous avez déjà compris la suite des choses?"

Elle marqua une petite hésitation...

"Je sais que je ne connais pas grand-chose, mais laisser moi rester avec vous pour apprendre comme faire pour être un détective aussi intelligent que vous."

La jeune fille amène Tobold dans un coin tranquille du marché, et le regarde de ses beaux yeux bleu.... suppliant....?

"Je suis certaine que vous avez déjà compris la suite des choses?"

Elle marque une petite hésitation...

"Je sais que je ne connais pas grand-chose, mais laisser moi rester avec vous pour apprendre comme faire pour être un détective aussi intelligent que vous."

Tobold pense qu'il a bien raison de laissé parler la jeune fille. Il y a beaucoup d’élément qu'il ne comprend pas. Il faut d’ailleurs qu'il explique d’où il vient.

"Mademoiselle, je suis d'Armanda comme vous , mais je viens de loin sur la cote Sud Est de notre continent. Je viens d'arriver. Je n'ai pas tout compris, de ce que dit le Sénéchal.
Il y aurait une guerre? Et contre qui?.....les chevaux et la nourriture devaient faire partie de réserve pour cette ville, Gloria. Il y aurait donc des forces obscure pour contrer.... Notre Empereur? Vous voudriez que l'on enquête sur ces forces?"

Prenant un instant de réflexion en grattant sa barbe, notre homme poursuit.

"Il faudrait déjà savoir qui a perpétré ce et pourquoi pas ces crimes. Savoir si d'autre renforts ne vont pas partir bientôt vers Gloria, et sous quel forme. Il nous faut un début de piste. Mais tous cela pourrait être très dangereux et prendre du temps. Il faudra certainement ce déplacer. Êtes vous prête à affronter le danger Mademoiselle?"

Elle fut surprise que l'homme ne soit pas au courant de la guerre qu'il y avait sur leur continent. Il est vrai que cela se passer encore loin d'Aldaria, mais il était facile de voir les conséquences de la guerre partout autour d'eux. Elle se mit à réfléchir sur comment donné le peu d'information qu'elle avait sans que cela soit chaotique.

"Il y a présentement des envahisseurs qui circulent sur notre magnifique Armanda, pour nous convertir à leur esprit. J'ai entendu des visiteurs en ville en parler. D'après eux, ils seraient des guerriers très redoutable, car ils ont réussie à assiéger Gloria."

Elle chercha dans sa mémoire pour savoir si elle n'avait pas oublier une information qui pourrait être utile. Quoi que toute informations pouvais être utile, si sauf seulement savoir comment l’analyser.

"Ils ont aussi parler qu'ils avaient d'étrange tatouage sur eux... Ils en avaient tous sur le dos de la main... certain allait loin loin que juste la main... Cela doit compliquer leur capacité à être discret. Donc il est possible que ça ne soit pas eux qui soit à l'origine de notre problèmes présentement."

Elle prit un moment pour réfléchir aux paroles de Tobold. Cela pouvais être très dangereux et prendre du temps... Elle ne pouvais rien faire contre le danger, elle était trop maladroite pour être une bonne combattant et elle n'avait aucun réflexes pour se défendre. Il est vrai qu'elle était bonne pour manier ses dagues, mais elle avait de la difficulté à contre-attaquer. Elle risquait donc d'être un poids lourd s'il y avait un combat. Par contre, elle était une fille... donc pouvais se sortir de certaine situation en jouant la comédie. Le temps... c'était une chose qui lui manquait grandement avec la boulangerie. Il est vrai qu'elle pouvait prendre des congés pour une fois... mais elle ne savait pas si c'était le moment .

La tristesse remplie les yeux bleu de Lys devant son impuissance. Elle avait horreur de sa faiblesse et de son impuissance à protégé sa soeur.

"Il est vrai que s'il y a du danger, il serait plus sage que vous soyez accompagner par quelqu'un d'autre. Moi et le combat ça fait deux. Mais j'aimerais quand même aider avec mes faibles moyens. Alors s'il vous plait laisser moi au moins vous aidez a chercher des indices... cela ne devrait pas être trop dangereux et puis, cela va aller plus vite a deux que seuls, vous ne trouvez pas?"

La jeune fille parle, elle donne des information que Tobold arrivant des Mangroves ne connait pas.

"Il y a présentement des envahisseurs qui circulent sur notre magnifique Armanda, pour nous convertir à leur esprit. J'ai entendu des visiteurs en ville en parler. D'après eux, ils seraient des guerriers très redoutable, car ils ont réussie à assiéger Gloria."

Cela serait une guerre Saint? Tobold n'aime pas ce genre d'affrontement, cela conduit généralement à l'extinction d'un des deux belligérants, ou à la domination total d'un des deux camps, déjà que le mots guerre, notre homme ne l’aime pas , mais si c'est une guerre Sainte ?...........

"Ils ont aussi parler qu'ils avaient d'étrange tatouage sur eux... Ils en avaient tous sur le dos de la main... certain allait loin loin que juste la main... Cela doit compliquer leur capacité à être discret. Donc il est possible que ça ne soit pas eux qui soit à l'origine de notre problèmes présentement."

Seule des fanatiques peuvent faire cela....mais c'est vrais, ils doivent êtres repérable facilement..... Mais cela lui disait quelque chose, mais quoi?

"Il est vrai que s'il y a du danger, il serait plus sage que vous soyez accompagner par quelqu'un d'autre. Moi et le combat ça fait deux. Mais j'aimerais quand même aider avec mes faibles moyens. Alors s'il vous plait laisser moi au moins vous aidez a chercher des indices... cela ne devrait pas être trop dangereux et puis, cela va aller plus vite a deux que seuls, vous ne trouvez pas?"

"Vous savez Mademoiselle, la piste va certainement s’arrêter ici, et puis tous cela concerne le Sénéchal, il est au courant, si nous allions plutôt voir cette couverture!"

Ils prennent la direction du marché. Tobold est soucieux, car il sait qu'une information lui échappe, mais quoi, Tabernacle!!!!!!
Ils passent devant un revendeur de boites de flacons, de fioles, vident. Le regard de Tobold batifole, parmi les bouteilles quand soudain il repère le flacon d'hydromel qu'il a vendu il y a à peine une heure. Il avance vers le marchand.

"Monsieur ou avez vous trouvé cette bouteille?"

"C'est mon fils Angérand, qu'il l'a trouvé sur le parking, de l'autre coté du pont, Il vient de me la ramener.Trois sols, pas cher"

"Deux" dis Tobold , Il voit les beaux yeux bleu de la jeune fille et lui sourit. Notre homme donne les pièces et amène la jeune fille un peut plus loin.

"Vous vous souvenez, quand vous vous êtes fait bousculé tout à l'heure? Non? L'homme oui, l'homme habillé en dandy portait des gents, et entre les gants et sa veste, j'ai vu qu'il y avait des traces noires, comme des TATOUAGES!!! , J'ai vu notre homme, nous avons notre piste. Vous n’êtes pas obliger de me suivre, moi je le fais par curiosité, et si je puis aider Armanda....."

Lys avait totalement oublié la couverture. C'est un fait, ils n'avaient que peu d'indices... mais peut-être qu'en marchant ils trouveraient autres choses. Elle trouvait étrange que l'ennemi n'ai pas voulu convertir le monde ou tout simplement attaquer pour tuer tout le monde. Et le fait qu'il connaissait la belladonna prouvait qu'il connaissait les plantes de se continent. Donc cela n'était pas un envahisseur... peut-être un des leurs qui c'était converti... Elle trouvait que l'on devait être lâhe pour abandonner son peuple au profit d'envahisseur. Qu'avaient-ils de mieux à proposer. La paix, impossible puisqu'ils venaient faire la guerre ici. La liberter, elle eue une sourire en coin à cette idée, car seule la mort peut nous libéré de nos chaînes. Le pouvoir, c'était ce que recherche les hommes, mais seulement quelque personnes à le droit d'avoir un totale pouvoir sur tout et même eux veulent toujours plus de pouvoir, donc cela est impossible à donner. Vraiment elle ne comprendrait jamais ses gens là.

Elle était perdue dans ses réflexion quand elle vit Tobold aller vers un marchant, elle le suivit docilement.

"Monsieur ou avez vous trouvé cette bouteille?"

"C'est mon fils Angérand, qu'il l'a trouvé sur le parking, de l'autre coté du pont, Il vient de me la ramener.Trois sols, pas cher"

"Deux"

Elle était très amusé par la tournure des choses. Tobold était passé de détective à acheter compulsif. En le regardant faire, elle pensa à sa soeur... oui, elle était prete à tout pour la protéger... après tout, elle était encore en vie pour elle. Elle eue un doux sourire qui fleurie sur son visage. Puis elle le suivit de nouveau lors qu'il s'éloigna.

"Vous vous souvenez, quand vous vous êtes fait bousculé tout à l'heure? Non? L'homme oui, l'homme habillé en dandy portait des gents, et entre les gants et sa veste, j'ai vu qu'il y avait des traces noires, comme des TATOUAGES!!! , J'ai vu notre homme, nous avons notre piste. Vous n’êtes pas obliger de me suivre, moi je le fais par curiosité, et si je puis aider Armanda....."

Elle chercha dans sa mémoire pour se souvenir de l'homme qu'il parlait. Elle arriva à replacer l'homme assez rapidement. Alors, ce serait lui l'homme qui avait empoissonné les animaux. Il faut vraiment être cruel pour s'attaquer un de pauvre bêtes sans défense.

"Il y a une personne que je veux protéger plus que tout. Je n'aime pas cela qu'ils se soient rapprocher ôtant de notre belle ville, alors si l'on est capable de l'attraper et de le remettre au autorité, alors je vais être très heureuse. Et si l'on n'y arrive pas, alors je avais avoir passé un agréable moment avec vous cher monsieur."

Elle lui fit un sourire remplie de tendresse. Ils se mirent en route vers le stationnement. Il était évident que lors prochaine indices allait se trouver là-bas. Une fois sur place Lys remarqua le nombre important de carrioles et de charrettes. La tâche l'allait pas être simple. Elle chercha des yeux pour voir s'il n'y avait pas une personne qui devait s'occuper de la place. Elle le trouva enfin... cela allait leur permettre de réduire le temps de recherche. Elle pointa l'homme à Tobold:

"L'homme là-bas est chargé de s'occuper de la place. Si vous lui donnez la description de... du... "

Lys ne savait vraiment pas comment décrire le dandy. Elle trouvait important le fait le lui trouver au nom, cela allait faciliter leur compréhension durant ses échanges verbales avec Des Mangroves.

"...Dandy. Le jeune responsable des lieux semble gentil, alors il devrait vous donner les informations, si ce n'est pas le cas, je vais le faire parler."

Les yeux de Lys se mirent à briller d'une étrange lueur sadique. Lys avait apprit avec le temps à se servir de ses charmes pour avoir l'information qu'elle voulait. Les hommes étaient tellement faibles face à un toucher léger d'une fille toute souriante... ou face à une dague.

"Il y a une personne que je veux protéger plus que tout. Je n'aime pas cela qu'ils se soient rapprochés ôtant de notre belle ville, alors si l'on est capable de l'attraper et de le remettre aux autorités, alors je vais être très heureuse. Et si l'on n'y arrive pas, alors je avais avoir passé un agréable moment avec vous cher monsieur."

Elle est inquiète pour une personne pense Tobold, sont amoureux ? Mais de quelle belle ville parle-t-elle ? Aldaria, ou Gloria ?
En parlant, ils ont traversé le pont puis la place du village et ils arrivent près du pré clôturé, qui sert de parking gardé, pour les animaux et les véhicules des participant du marchée. L’espace est un vaste quadrilatère avec le grand coté qui longe un ruisseau délimité par des peupliers.. Si quelques animaux sont entravés, la plupart des animaux sont attaché aux arbres.

"L'homme là-bas est chargé de s'occuper de la place. Si vous lui donnez la description de... du.....Dandy. Le jeune responsable des lieux semble gentil, alors il devrait vous donner les informations, si ce n'est pas le cas, je vais le faire parler."

Notre homme fait une description du Dandy. Il se concentre afin de pouvoir le décrire le mieux possible à la jeune fille. C’est vrais qu’il ne la pas remarqué vraiment, choqué par la brusquerie de cet homme.

"Mademoiselle, il porte un large chapeau noir qui dissimule, par son ombre, son visage. Je suis désolé de ne pouvoir mieux le décrire. Ces vêtements sont beige pastel, avec au moins trois nuances de couleur, ces vêtements paraissent propres et neufs, il a une bourse marron qui dissimule dans sa veste. Il porte des bottes de cuire noir, des bottes pour monter à cheval, et il me semble crottées…..et il a des gants blancs....... Ce n’est pas le genre d’homme à venir en carriole."


L’homme des Mangroves remarque alors l’étrange reflet que porte le regard de la jeune fille……….

"Mademoiselle, il porte un large chapeau noir qui dissimule, par son ombre, son visage. Je suis désolé de ne pouvoir mieux le décrire. Ces vêtements sont beige pastel, avec au moins trois nuances de couleur, ces vêtements paraissent propres et neufs, il a une bourse marron qui dissimule dans sa veste. Il porte des bottes de cuire noir, des bottes pour monter à cheval, et il me semble crottées…..et il a des gants blancs....... Ce n’est pas le genre d’homme à venir en carriole."

Bien alors elle devait jouer la comédie... mais plus elle écoutait parler Tobold et plus elle avait un moue de dégout. L'idée de jouer l'amoureuse d'un homme aussi... en fait, juste l'idée de jouer les fiancés lui levait le coeur. Elle prit une grande inspiration et se mit à penser à sa rencontre avec l'ombre de Gloria. L'eau commençait à lui montrer rapidement aux yeux. Elle fit un sourire en coin à Tobold, puis alla voir le responsable des lieux.

Elle avait la voix qui tremblait et ses joue était mouiller par les larmes.

"Monsieur... auriez-vous vu mon... mon fiancé?"

L'homme fut très surpris de voir Lys pleurer... et comme la plupart des hommes, il n'aimait pas voir les femmes pleuré: il ne sait pas comme les faire arrêter.

"eh... il ressemble à quoi"

Lys renifla avant de continuer

"Il avait un large chapeau noir... avec des gans blanc... des bottes de cavalier noir... et des vêtements bêche... il voulait qu'on... qu'on se ressemble... il venait de les acheter... pour me faire plaisir... il est parti en colère et très pressé... après avoir bu une bouteille d'hydromel"

Les larmes continuaient de couler le longe de joues de Lys. Elle avait de la difficulté à parler à cause des nombreux sanglots qui secouait son corps.

"eh... il me semble l'avoir vu prendre son cheval il y a peu... au gros peuplier avec la cabane à oiseau dessus."

Lys eue les yeux brillan d'espoir et dit avec une douce voix, où l'on pouvait y voir tout la sincérité du monde

"Merci infiniment monsieur."

Elle tourna les talons et marche vers des Mangroves. Arriver proche de l'homme un sourire fleurie sur les lèvres de Lys, elle passa rapidement ses mains sur son visage pour enlever les larmes qui s'y trouvait.

"Vous aviez raison, il est venu en cheval. Il l'a attacher sur le gros peuplier avec la cabane à oiseau dessus."

Dit-elle en pointa du doigt l'arbre en question. Marie était fier de son coup, elle avait réusit à avoir l'information qu'elle voulait sans trop de problème.

Quelle étrange regard ….Pourquoi ce sourire en coin ? .La jeune fille va trouver l’homme qui garde l’entré du champ. Tobold reste dans l’ombre d’un arbre, tout en surveillant les alentours mais personne ne semble réagir au manège de la jeune fille. Mais pourquoi donne-t-elle l’impression de fondre en larmes ? Le gardien lui parle attendrie. Puis elle revient mais son visage maintenant présente un grand sourire

"Vous aviez raison, il est venu en cheval. Il l'a attaché sur le gros peuplier avec la cabane à oiseau dessus."

Katfaïel n’a pas tord, les femmes sont des démons….

Le peuplier avec une cabane à piaf…… cela doit se trouver….. Effectivement ils trouvent l’arbre en question, près de la rivière.

Sil vous plait, Mademoisell, ne bougé plus, que je regarde les traces de sabots près de l’eau.

Tobold sort de sa besace un cul de bouteille, à travers de cette loupe grossière, il regarde faisant attention à ne pas perturber la scène……Tobold scrute le terrain et soudain il se baisse et se relève avec un grand sourire, se déplace puis continue observer

"Voila, arrière droit, le quatrième en partant de la gauche Mademoiselle. Vous rester la. Il ne faut que personne ne vienne ici, je reviens dans cinq minutes."

Il a repéré un artisan sur le marché qui va pouvoir l’aider. En quittant le champ sur un bas-côté de la route il aperçoit ??? Oui c’est les mêmes, il a du ce pousser pour laisser le passage, et il à du…..Oui, c’est cela !
Vingt minutes plus tard Tobold reviens avec un petit récipient remplit d’une pate blanche.

"Excusez-moi, personne n’est venu ? "

Voyant la jeune fille faire non de la tète, l’homme des mangroves s’agenouille dans la boue et verse le produit par terre.

"Il faut ce dépêcher, ce plâtre prend très vite. Je l’ai acheté chez un artisant qui tient un stand sur le marché, le plâtre durcie en cinq minutes."

La jeune fille se rapproche, bientôt, elle voit une empreinte d’un sabot dans les mains de Tobold..


"Regardez, il manque un clou, au deuxième rang à droite. J’ai constaté que ce sabot est fixé sur la patte arrière droite de l’animal. J’ai trouvé ces mêmes empreintes le long de la route qui mène à Aldaria."

Elle se relevait, un gant dans sa main droite, un but dans son esprit. Derrière elle, Diklan baissait la tête avec respect. Elle se tournais vers lui.
"- Allons voir mon chère Peuple !

Il hocha la tête et chargea ce qu'il devait sur l'arrière de son destrier. Elle remontait sur le sien et le lançait au galot. Médolie refit dans sa tête, le trajet qu'ils avaient fait pour en arriver là. Il était seulement partit en balade, tous simplement. Ils avaient laissé le temps au main d'un lieutenant et avaient galopé dans la forêt.

Ils s'étaient arrêté au milieu de celle ci afin de marché un petit peu. Ils n'avaient pas fait quelques pas qu'un bruit avait attiré l'attention de l'elfe. Elle avait aussitôt stoppé son ami. Médolie lui confia les rênes de son étalon et sortit la belle Elihyna, son épée double. Prudente, elle s'avançait dans les bois. Puis, elle le vit au sol. Un des sien. Elle courut jusqu'à lui et siffla brièvement signalant à Diklan qu'il pouvait la rejoindre. Celui ci arriva au moment où elle lançait un peu plus loin son épée pour s’agenouiller au côté du jeune l'elfe. Elle lui prit la tête pour la posé sur ces genoux.
"- Je suis le Capitaine Médolie Ann Ludvig ! Parlé moi ! Qui vous a fait ça ? ( silence...) Monsieur ! Parlez moi ! "
Il respirait avec difficulté. L'humain posa sa main sur l'épaule de Médolie, comme pour lui dire que c'était finit pour le blesser. Elle secoua la tête. C'est ce moment que choisit l'agonisant pour ouvrir les yeux et se redresser. Il se tourna vers sa compère, lui prit la main et la regarda avec peur.
"- Aldaria !"
Puis il s’effondra et Médolie le compris: il était mort. Elle regarda se qu'il avait glissé dans sa main. Un gant ? Elle hocha la tête et se releva.

Après quelques heures de voyage, l'endroit ou ils devaient aller était en vu. Elle décendit de cheval et partit se présentait de ce pas. Apres une longue heure de discussion avec le chef du village où elle était, ils décidèrent ensemble que Médolie ira à Aldaria. Elle retrouva Diklan dehors.
"- Que vas-tu faire à présent ?
- Je vais à Aldaria. Tu vas dirigé le camp pour moi !
-Tu feras attention à toi ?
- Autant que toi ? "
Après une brève étreinte, Médolie se mit en route.

Sa chevauché fut longue et fatigante. Elle ne trouvait pas tous les soirs un endroit dormir. Mais, enfin, sa destination était en vu. Elle talonna sa monture afin que celle ci aille plus vite. Elle y était. Sa mission pouvait enfin commencer !

Tobold voulait qu'elle reste pour surveiller que personne n'allait venir marcher dans le coin. Lys alla donc s'asseoir à côté de l'arbre voisin du leur. Elle regarda le feuillu durant quelques minutes, détaillant chaque détail qui s'y trouvait. Mais l'activité ne prit pas beaucoup de temps avant de l'ennuyer, alors elle se mit à chercher du regard où LUI se cachait. Lors qu'elle le vit en haut d'un arbre, elle LUI sourit doucement. LUI sauta donc en bas des branches pour aller la rejoindre, il s'installa confortablement, le dos calé contre le tronc brun. Lys regarda les alentour pour s'assurer qu'il n'y avait personne proche d'eux. Une fois chose fait, elle lâcha un soupire.

"Tu crois que mon rêve était prémonitoire? Que tout ce qu'il y a ici va finir dans un bain de sang."

Les images macabres du cauchemars défillas dans la tête de Marie. Elle revoyait chaque personne qui avait conter pour elle recouverte de plaie béante et de sang sèche. La première fois, elle s'était réveillé paniquer puis avait vomie tout ce que son estomac avec tellement la scène était réaliste et dégoutant. Tranquillement, ses images avaient commencé à moins lui lever le coeur... mais la peur était toujours présente le matin.

"J'ignore ce que tout cela veut dire... ce que cela veut vraiment dire. Est-ce mon inaction qui va tuer tout le monde ou son contraire... à moins que ça soit moi... ou tout simplement le futur... un futur trop proche."

Une légère brise de vent fit bouger les cheveux blonds de la jeune fille. Ses yeux bleus commençaient à se remplir d'eau, mais elle était encore capable de voir le sol que Tobold lui avait demandé de surveiller. Un sourire sans joie apparu sur le visage de la boulangère.

"Je comment à penser que c'est un message subtile que Draco nous envoye. Un avertissement pour la race humaine, que si l'on ne change pas, alors nous allons tous mourir. Après tout c'est la deuxième races qui s'attaquent à nous. Peut-être sommes-nous que des instects nuisibles et dangereux pour la survie d'Armanda. Déjà que nous sommes des loups entre nous, cela ne me surprendrait guère que l'on soit aussi une menace pour le reste du monde."

Elle plaças ses cheveux derrières ses oreilles afin de mieux voir. Vu ce que cela fessait quelque temps que Tobold était partie, Marie regarda au loin pour voir s'il n'était pas sur le chemin du retour. Elle vit justement l'homme en question qui marchait vers elle. Elle se donna une petite patte sur la joue pour retrouver le contrôle de ses émotions.

"Excusez-moi, personne n’est venu ? "

Marie-Lys lui fit non de la tête.

"Il faut ce dépêcher, ce plâtre prend très vite. Je l’ai acheté chez un artisant qui tient un stand sur le marché, le plâtre durcie en cinq minutes."

Elle s'approcha de l'homme afin de mieux voir se qu'il fesait. Elle trouvait l'idée génial et se dit qu'elle devrait la réutiliser une prochaine fois.

"Regardez, il manque un clou, au deuxième rang à droite. J’ai constaté que ce sabot est fixé sur la patte arrière droite de l’animal. J’ai trouvé ces mêmes empreintes le long de la route qui mène à Aldaria."

"À cette heure-ci il ne devrait plus rester de pain au kiosque de ma mère. Donc si nous allons la voir, je suis certaine qu'elle va se faire un plaisir de nous conduire à Aldaria tous les deux, surtout que c'est là-bas que nous habitons. Le voyage en charrette devrait se faire beaucoup plus vite que de le faire à pied."

Elle lui fit un doux sourire. Elle savait que sa mère était incapable de lui dire non lors qu'elle lui demandait un service, peut-être parce qu'elle ne le ferait que rarement.

"Allez à Aldaria maintenant? Oui bon, mais j'aimerais bien qu'on aille acheter la couverture."

La jeune fille lui indique ou elle a vu la couverture. Par chance elle est toujours là, et comme c'est presque la fin du marché, notre homme arrive à l'acheter, pas trop cher, bon, c'est vrai qu'elle n'est pas très neuve, ni très jolie, avec quelques accros, mais elle est chaude et grande, c'est ce qu'il faut pour passer un hiver dans le centre d' Armanda. Il n'a pas de place pour ranger la couverture dans sa gibecière, alors il la roule par sa grande largeur et l'attache autour de lui de l'épaule gauche à sa hanche droite.

"Je suis prêt maintenant Mademoiselle allons voir Madame votre mère...."

Maintenant le marché touche à sa fin et partout les gents commencent à s'activer pour ranger leurs marchandises invendues. On se bouscule pour faire avancer les chevaux et autres bêtes de somme. Dans cette cohue, Mademoiselle Marie Lys se dirige sans problème en l'entrainant vers le stand de sa mère.

Chemin faisant, Des Mangroves pense à tous ce qu'il sait de cette histoire, la guerre qui se passe loin au nord, entre Alayen et tous les habitants d'Armanda. Ils veulent envahir un continent, mais avec ce qui se passe ici, les Alayens fond une guerre globale, cela veux dire qu'ils ont un plan, une vision d'ensemble de ce qui se passe.
Mais il sait qu'il ne peut faire grand chose, il faut poursuivre cette histoire de clou perdu, peut être qu'avec l'aide de Marie Lys, ils pourrons mieux les comprendre et être le petit grain de sable qui grippera la belle mécanique de l'invasion......

Ha! ils arrivent à destination, cette personne doit être la mère de Mademoiselle Marie Lys.

Bon elle était arrivé mais pas plus avancée. Elle se rendit alors compte qu'elle n'avait aucune de se qu'elle devait trouver, chercher et découvrir. Elle avait finit par trouvé une chambre assez minable pour une bouchée de pain. Elle était tellement fatigué se soir là qu'elle regarda longuement son assiette comme si celle-ci pourrait venir à elle toute seule. Puis elle c'était décidé à manger. Fourbu et fatigué au plus haut point, elle se traîna dans les escaliers menant à sa chambre.

Qu'elle ne fut pas sa surprise quand, le lendemain, alors qu'elle se réveillait, elle se rendit compte que midi était passé. Elle se sermonna longuement seule puis demanda à avoir de quoi se lavé et cela lui fut apporté. Elle fit longuement sa toilette et coupa même ses cheveux qui commençait à devenir trop long. Puis elle s'habilla de façon classique. Un simple haut blanc, un pantalon marron et des bottes furent ses vêtements. Elle laissa la belle Elyhina, son épée double de côté, et passa plutôt à sa taille sa belle rapière elfique. Elle perdit ses pensées dans la contemplation de la poignée de son arme. Puis se secouant, elle descendit les marches d'un pas léger. Elle arriva en bas, commanda un repas et mangea. Une fois son repas finit elle se mit en route après être remonté se drapée de sa cape.

Une fois dehors elle se rendit compte qu'elle était... Perdu ! Totalement perdu. Elle s'avança donc parmi les rues, à gauche, puis à droite. Heureusement que son sens de l'orientation était développé.
"- Bon... Je vais où moi maintenant ?"

Plusieurs passant la regardèrent bizarre. Elle les foudroya du regard et rabattit sa capuche sur sa tête. Elle s'appliqua ensuite à passé par de petites ruelles et s'arrêtait souvent pour écouté les discutions. Elle plongea sa main dans sa poche et en retira le gant. Elle le regarda en se demanda se qu'elle faisait là et qui était l'homme mort. Elle soupira avant de le remettre dans sa poche et de trouvé une échelle menant sur les toits. Elle ne réfléchit pas plus et monta. Elle trouva bien vite sa stabilité la dessus. Et au moins elle y voit. Mais elle voyait quoi ? Et elle devait voir quoi ?

Marie-Lys conduit Tobold à sa couverture, par la suite, ils allèrent voir sa mère. Une fois arriver au kiosque de pain, Lys fit un doux sourire à sa maman. Cette dernière lui rendit son sourire. Les deux filles se ressemblaient par leurs cheveux blonds, leurs yeux d'un bleu envoutant et cette aura de gentillesse qui éradiait d'elles

"Bonjour Mère, comment a été votre journée."

"Bonjour Marie-Lys, c'était une journée bien tranquille... Je vois que tu es accompagner d'un gentil homme."

"Mère, je vous présente Tobold Des Mangroves. Tobold, je vous présente ma mère Marguerite Beauchemin. Mère, j'aurais une service à vous demander, Des Mangroves va à Aldaria alors serait-il possible..."

"Je n'y vois aucun inconvénient. Mais avant Marie-Lys, tu va devoir m'aider à tout mettre dans la charrette."

Lys aida donc sa mère à tout défaire et à mettre de la charrette que la plus âgé était partie chercher avant leur arriver. Cela prit peu de temps, car le pain de la boulangère s'était vendu comme... et bien comme des petits pains chauds. En dedans de 10 minutes tout était fini.

"Merci Marie... Monsieur Des Mangrove me ferez-vous l'immanence honneur de vous assoir avec moi à l'avant de la charrette?"

Marguerite fit un doux sourire remplie de chaleur à l'homme qui avait passer la journée avec sa fille. Lys était en admiration devant le sourire de sa mère et sa politesse. La jeune humaine trouvait qu'elle était encore bien loin d'arriver à la cheville de sa mère, mais se promit qu'un jour elle allait arriver à avoir le même caractère polie et poser que sa maman. Marie monta à l'arrière de la charrette alors que sa mère s'installa à l'avant pour diriger l'animal vers leur ville.


Lys regarda le paysage et se remit à pense à tout se que Tobold lui avait dit. Était-elle prête à risquer sa vie pour un bout de terre? Oui bien sur qu'elle l'était. Elle qui voulait mourir depuis ses 15 ans, c'était le bon moment pour sacrifier sa vie... Et puis cela lui donnerait un but dans la vie. Un but, était-elle supposer en avoir un? Elle qui avait toujours était moins que les autres? Serait-elle capable d'atteindre son but, celui de protégé les êtres qu'elle aimait. Oui, elle devait y arriver et le vieille homme allait être un merveilleux professeur pour lui apprendre comme faire sans mourir trop vite. La fleur fit un doux sourire avant de se tourner vers son professeur secret et lui dire "Merci!"

Maintenant qu'elle n'avait plus de doute sur la ligne de conduite qu'elle aurait, elle devait répondre aux questions qui si relier. Le savant lui avait montrer une emprunte de sabot et lui avait dit qu'il manquait un clou sur se dernier... cela voulait donc dire que l'homme qu'ils cherchaient devait réparé le fer de l'animal avant de continuer... donc allaient devoir passer chez tout les maréchal. Cela risquait de prend d temps et à l'heure qu'ils allaient arriver, tout les forge risquaient d'être fermer... Donc la suite de l’aventure allait devoir continuer le lendemain. Lys regarda sa mère, il était évident qu'elle ne voudrait pas garder un étranger à la maison pour la nuit, donc elle allait devoir trouver une autre place pour que l'homme puis dormir. Lys connaissait une petit auberge pas trop dispendieuse proche de la boulangerie, cela serait l'endroit idéal pour loger son maitre détective.

"Monsieur Tobold, si cela ne vous dérange pas, il y a une petit auberge non loin de chez nous. Vous pourriez y passer la nuit, je vous l'offre.. mais si cela ne vous convient pas, alors je trouverais autre chose."

Lys fit un petit sourire sachant qu'elle était derrière l'homme, donc qu'il risquait de ne pas le voir. Sa mère se demandait pourquoi sa fille voulait payer l'hébergement de leur compagnon de route, mais se dit qu'elle lui demanderait lors qu'elles seraient seules.

Après de longue trajet de plusieurs minutes, Aladaria était enfin visible devant eux.

Merci Marie... Monsieur Des Mangrove me ferez-vous l'immanence honneur de vous assoir avec moi à l'avant de la charrette?"

"Bonjour Madame ainsi vous vendez........." Tobold se met a parler de choses et d'autre, pour faire la conversation, il donna même la recette de confiture melon figue


La Mère de Mademoiselle Marie Lys lui parle, de cette ville qu’ils vont bientôt atteindre. Les différents quartiers, celui des marchands, le centre avec le palais blanc et aussi la grande bibliothèque des Arcanes. Elle continue sur les boutiques de cette villes et les disputes célèbres des magiciens. Il y a aussi les jours de marchés qu'elle indique......... C'est à peine si Tobold entend dans un soupir un "Merci" derrière lui? Quel sombre secret nous cache cette jeune fille.
Tobold aurait bien voulu faire la route à pied, pour savoir si il aurait trouvé d'autre trace du fameux sabot, qui lui confirmerait son histoire, comme la route et très fréquenté, retrouver cela maintenant serait une chance énorme.

"Monsieur Tobold, si cela ne vous dérange pas, il y a une petit auberge non loin de chez nous. Vous pourriez y passer la nuit, je vous l'offre.. mais si cela ne vous convient pas, alors je trouverais autre chose."

"Non, non Mademoiselle ne vous préoccupez pas de moi, je saurais me débrouiller. Il faut que vous me dite seulement ou et quand je dois vous retrouver demain matin......"

Au loin, Aldéria la Superbe se découpe au milieu de la pleine, ils y seront bientôt et la nuit tombera dans trois heures. On a le temps dans faire des choses en trois heures, pense De Mangroves

Vous retrouverez la suite de cette histore dans "Agaricus bisporus" que l'on peut traduire en Armandén "Les Champignons d'Aldaria"