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Abel Lowel [Terminé]

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Abel Lowel
Abel Lowel
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Abel Lowel [Terminé] Empty
MessageSujet: Abel Lowel [Terminé] Abel Lowel [Terminé] Icon_minitimeJeu 27 Avr 2017 - 15:59




Identité

  • Race : Humain
  • Nom : Lowel
  • Prénom : Abel
  • Surnom : Abe’
  • Date de naissance : Février 1738
  • Age réel : 22 ans
  • Age vampirique : -
  • Lieu de naissance : Alentours de Gloria
  • Lieu de vie : Aldaria
  • Rang social : Petit peuple
  • Poste/emploi : Artiste
Caractéristiques (Clic!)


Physique :

  • Force physique : Moyen
  • Agilité : Bon
  • Furtivité : Très bon
  • Réflexes : Bon
  • Endurance : Moyen
  • Résistance : Moyen
  • Beauté : Bon

Mental :

  • Force mentale : Bon
  • Patience/self contrôle : Très bon
  • Perception : Bon
  • Intelligence : Très bon
  • Prestance/charisme : Bon
  • Mémoire : Moyen

Combat :

  • Epée : Aucun niveau
  • Dague et poignards : Faible
  • Armes d'hast : Aucun niveau
  • Armes contondantes : Aucun niveau
  • Hache : Aucun niveau
  • Faux : Aucun niveau
  • Fouet : Aucun niveau
  • Art du lancer : Aucun niveau
  • Art de la parade : Aucun niveau
  • Arc : Aucun niveau
  • Arbalète : Maitre
  • Mains nues/pugilat : Aucun niveau
  • Equitation : Moyen
  • Dressage : Catastrophique



Equipement et magie

  • Arme principale : Pinceau (Arbalète).

    Une longue Arbalète finement sculptée, qui offre une très bonne précision et une très bonne portée. Elle est faite en bois blanc, et composée de pièces de métal claires et mates


Enchantement : Eclosion mortuaire
Draconique

Lorsque les carreaux de l’arbalète perforent leur cible, la chaire autour de la blessure se met à flétrir pour former une rose aux couleurs sanguinolentes, procédé particulièrement douloureux qui, s'il est utilisé directement au niveau du cœur de la cible, provoque une tétanie des muscles et paralyse la victime.

Si la victime meurt, sans avoir pu recevoir des soins adéquats, le reste de la peau se durcit, pour former comme une écorce nécrosée d’une couleur grisâtre, contrastant avec la couleur des fleurs ainsi créées.



  • Autres objets :
    - Une tenue de représentation magnifique, faites de tissu colorés et de fourrure blanche. Très épaisse, ce vêtement à tendance à modifier drastiquement la silhouette du jeune homme.

    - Un masque de cuir blanc qui semble être celui d’une statue, presque inexpressive, si ce n’est un léger sourire gravé dans la matière.

    - Une tenue de ville totalement classique, ainsi que quelques affaires de costumiers et d’acteurs (Maquillage, outils de couture et de cordonnerie…)



  • Style de magie principal : Humain

  • Arrogance : Bon
  • Gentillesse : Catastrophique





Description physique


En temps normal, Abel est un jeune garçon d’une vingtaine d’année aux cheveux noirs et bouclés. Son regard sombre et pénétrant contraste avec son sourire simple et charmeur. Il est d’ordinaire vêtu d’une chemise claire et d’un pantalon en lin beige, ce qui lui donne une impression de simplicité enfantine. Il n’est pas très grand, plutôt svelte sans être maigre, et possède un corps agile et des doigts fins qui lui permettent de tisser facilement ses costumes. Son apparence épurée est engageante, et il dégage un certain charisme naturel, sans non plus être d’une beauté extraordinaire. Il a une voix de ténor plutôt claire doublée d’une excellente diction. Etant acteur, en plus d’être costumier, il maitrise parfaitement ses muscles faciaux grâce à des années d’entrainements sur ce sujet, ce qui fait de lui un très bon performeur lorsqu’il se produit sur scène. Il adopte souvent une posture droite, très guindée malgré ses origines, qui ne parait pas pour autant froide ou condescendante. Malgré une force dans la moyenne, Abel n’a pas non plus un profil sportif. C’est avant tout un artiste, et tout son être le clame.

Lorsqu’il peint ses « tableaux » ou qu’il crée ses scènes, Abel porte un épais costume de Théâtre qui couvre l’intégralité de son corps. Son visage est couvert par un masque qui semble fait de pierre grâce à du cuir teint, lui donnant presque l’apparence d’une statue animée. Abel s’appuie sur une canne pour marcher, simplement pour mieux supporter le poids de l’épais habit qu’il porte, ainsi que pour se donner une apparence et une démarche inoubliable. Sa tenue est composée à la fois de tissu, de cuir et de fourrure aux couleurs harmonieuses, épaississant considérablement son apparence en une masse qui en perd presque sa silhouette humanoïde. Ce costume est l’une de ses créations, dont il est particulièrement fier.



Description mentale


La première chose qu’il faut savoir, c’est qu’étant un acteur, Abel est difficile à cerner. Le plus souvent, lorsqu’il s’engage auprès d’une troupe pour des représentations, que ce soit en tant qu’acteur ou costumier, il adopte une attitude très souriante. Sans se placer en avant, ni en retrait, il s’intègre parfaitement aux groupes dans lesquels il décide de travailler. Un jeune homme sans histoire, talentueux de surcroit, capable de s’adapter avec aisance à chacune des pièces. En réalité, ce n’est pas non plus une attitude feinte, car Abel adore son travail. C’est un artiste né, et il possède une grande sensibilité dans son domaine. Ainsi, il n’a pas vraiment de haine ou de rancœur envers qui que ce soit. Au contraire, il éprouve une grande admiration pour la beauté et l’harmonie, sous toutes leurs formes.

Mais Abel reste un mystère. Très jeune, il a ressenti un manque dans les arts qu’il pratiquait. Il a toujours senti comme un vide, n’appréciant que peu les œuvres simples, que ce soit des peintures ou des pièces de théâtre. Sous sa vraie personnalité se cache un besoin inextinguible de beauté et de perfection. Pour lui, l’art est censé représenter le monde, et ne peut donc être parfait sans qu’on y apporte une touche de cruauté. La vraie beauté, pour lui, se situe donc à cheval entre la violence et l’harmonie pour créer quelque chose d’absolu. Ses œuvres ne sont à ses yeux que perfection, et un cadeau pour le monde. Ce besoin et cette soif ont fait de lui un être à cheval entre le bien et le mal, frontières floues qui ne régissent pour lui pas sa vie. Il ne souhaite qu’une seule chose, qu’on puisse admirer son art si décrié. Il pense arranger le monde vers une entité plus parfaite et harmonieuse.

Un autre trait qui le distingue, c’est une petite obsession pour le rythme quaternaire. Un tic presque névrotique, une cadence à laquelle il tient tout particulièrement. Elle est assez visible, et il s’en amuse volontiers auprès des groupes auquel il s’engage, ventant qu’il s’agit en réalité d’un résultat de sa passion pour les pièces décomposées en quatre actes distincts.

En ce qui concerne les peuples, Abel n’a finalement pas de préférence. Il aime la complexité des humains, la beauté des Elfes et « l’immortalité des vampires ». Ses œuvres représentent d’ailleurs, en quelque sorte, pour lui, cette trinité. Il élève les humains en un dessin parfait, faisant d’eux un tout immortalisé dans la pensée commune.





Histoire


Acte I : Exposition

Edward est né en février de l’an 1738. Sa mère était une intermittente du spectacle qui pouvait proposer aussi bien de la danse que du théâtre. Son père, un mercenaire, avait décidé d’arrêter d’arpenter les chemins pour fonder une petite famille simple, loin de toute la violence qu’il avait pu connaitre en combattant bandits et voleurs à travers le continent, alors en déclin. Edward était donc un enfant parfaitement voulu, qui comblait de bonheur ses deux géniteurs. Certes, la famille n’était pas très aisée, mais il lui suffisait de peu pour arriver à vivre dans ce monde à la dérive. Le père accomplissait de simples tâches manuelles afin de subvenir à leurs besoins, étant donné que, durant les premières années de l’enfance d’Edward, il était bien difficile pour sa mère de se produire sur scène.

Le jeune garçon du donc apprendre rapidement à aider ses deux parents, si bien que, dès son plus jeune âge, sa mère l’initia à l’art de la costumerie. L’enfant avait des doigts agiles, ainsi qu’une bonne compréhension doublée d’une excellente capacité d’apprentissage. Dès sa demi-douzaine d’année, il était capable d’effectuer des travaux basiques, déchargeant ainsi légèrement les tâches qui incombaient à ses deux parents. Mais la maitrise du bambin ne s’arrêtait en rien à de simples opérations manuelles. A la grande surprise de sa mère, il paraissait extrêmement doué et sensible au domaine artistique. Ainsi, il paraissait être né pour être acteur, ou encore costumier, tant il pouvait exceller dans ces deux domaines. Son père, qui voulait lui aussi partager quelque chose avec son fils, entreprit de lui enseigner le maniement des armes. N’étant pas d’une nature physique proche de celle d’un guerrier, Edward révéla presque une incapacité pour la chose martiale. Mais, quand en dernier recours, son père décida de le former à l’art des arbalétriers, le jeune homme révéla une précision et un talent presque d’ores et déjà supérieur aux compétences de son père en la matière. Pour lui, ce n’était qu’une histoire de ressenti et de dextérité, un instinct primaire qui jaillissait naturellement de sa personne au moment où il maniait cet outil, comme lorsqu’il pouvait jouer la comédie ou coudre des costumes. La petite famille grandissait alors dans une sorte de simplicité et d’insouciance harmonieuse. Ils se firent même une petite réputation, engageant quelques autres intermittents pour compléter la troupe et travailler sur des productions théâtrales de plus grande importance, Edward participant même parfois à ces dernières.

L’enfant progressait vite, et semblait promis à un bel avenir dans le milieu. De plus, il semblait avoir une soif inextinguible de connaissance et de progression dans le domaine artistique, ce qui enchantait sa mère et son père, même si ce dernier regrettait un peu que le jeune garçon suive davantage la voie de sa femme que la sienne. La petite compagnie voyageait de villes en villes, de villages en villages, afin de pouvoir gagner sa croute et se faire un peu connaitre à travers le continent. Une vie parfois difficile, mais ô combien exaltante pour Edward.

Acte II : Stagnation


Alors qu’il eut douze années, son père décidé de quitter la famille sans bruit pour retourner à ses occupations de mercenaire. Selon la lettre qu’il laissa à la troupe, son ancienne vie lui manquait beaucoup trop pour qu’il puisse songer à rester davantage parmi eux, et, avec la guerre humano-vampirique fraichement déclarée, il voulait se remettre au service du continent, à sa manière. Sa mère, qui aimait son homme avec sincérité, fut dévastée par cette nouvelle et mit un bon moment à s’en remettre. Toutefois, le jeune Edward ne voyait pas les choses de la même façon. Pour lui, son père n’était simplement pas arrivé à comprendre l’importance de ce qu’ils pouvaient faire avec la troupe. L’art était une sorte d’épicentre censé rassembler les hommes et, pour le jeune garçon, il était à la base de tout. Donc non, Edward ne ressenti finalement rien par rapport au départ de son géniteur. Il se contenta de hausser les épaules, avant de retourner s’adonner à sa passion. Lui et la troupe continuèrent alors leur incessant voyage, tentant de rester loin des zones réputées dangereuses. La mère d'Edward regardait souvent au loin de manière nostalgique, espérant peut être apercevoir son homme qui rentrait à la maison.

Toutefois, sans que ce soit en souvenir de son père ou quoi que ce soit de semblable, il continuait de s’entrainer à l’arbalète sous l’œil admiratif des autres jeunes de la troupe, qu’il choisissait souvent d’ignorer lorsqu’il pratiquait ses exercices. Pourtant, il était vrai qu’il était indéniablement doué. Très doué. On lui prêtait souvent la précision même d’un elfe, même si, bien sûr, ce n’était pas vraiment le cas. Toutefois, les gens qui avaient coutume de l’observer remarquaient un détail particulier le concernant. Il s’entrainait sur une cible à la fois, tirant exactement quatre carreaux sur chacune d’entre elles. Ainsi plantés, ils formaient un losange parfait qui témoignait de la dextérité du jeune garçon. Pour lui, il ne pouvait pas en être différemment. Le premier carreau représentait un début, et le quatrième une fin, comme dans les pièces de théâtre qu’il avait l’habitude de jouer. Il ne pouvait laisser un travail inachevé, aussi, dans les très rares moments où il lui arrivait de manquer sa cible, il recommençait sa besogne depuis le départ.

Plus les années passaient, plus Edward semblait accumuler une lassitude visible sur son visage. L’art ne le satisfaisait plus autant qu’auparavant et il se retrouvait sans réelle passion. Il manquait quelque chose à tout ce qu’il pouvait tenter de créer, que ce soit des costumes, des pièces ou encore des tableaux. Il les trouvait fades, sans vie, et sans saveur, ce qui le plongeait chaque jour un peu plus dans une sorte de dépression. Il observa donc avec un simple regard en biais sa mère tomber malade, sans lui prêter plus d’importance que ça. Lorsqu’elle mourut, épuisée par la fièvre, il ne ressenti pas davantage de vide. Il n’eut qu’une légère prise de conscience sur la futilité de l’existence de sa génitrice. Toute sa vie, elle n’avait fait que recréer ce que des artistes avaient fait avant elle. Elle n’avait jamais rien apporté à son domaine, et à son monde d’une manière plus générale. Et, finalement, Edward se rendit compte que c’était davantage ça qui le tracassait. Il avait envie d’être plus, d’être davantage qu’un simple artiste dont on connaissait le nom. Il voulait être celui qui trouverait la forme d’art absolue, la plus harmonieuse et la plus puissante qui soit. Il voulait que son nom finisse par traverser les âges grâce à ses créations, et que ces dernières restent à jamais gravées dans l’esprit de l’humanité. Il était ambitieux, il le savait, mais il était convaincu qu’il pourrait y parvenir.

Il profita donc, à l’âge de 15 ans, des conquêtes Alayiennes pour rejoindre Gloria et s’y produire, bien loin des lignes de front. Il ne s’intéressait pas vraiment à tout cette violence, puisqu’il se jugeait au-delà de tout ça. Il changea alors de nom, prenant celui d’Abel, afin de tirer un trait sur ce qui le raccrochait à sa vie passée. Il intégra humblement une troupe de théâtre en tant que costumier, attendant patiemment son heure, celle où il parviendrait enfin à trouver l’ingrédient qui lui manquait pour compléter ses œuvres.

Acte III – Illumination.


La réputation d’Abel commença à se développer à Gloria, tout doucement. Ses costumes et les pièces dans lesquelles il pouvait se produire acquirent une grande renommée. Abel Lowe devint donc une petite célébrité dans la grande cité, et les théâtres faisaient souvent salle comble lorsqu’il était sur scène. Mais il y avait toujours un manque, quelque chose de noir qui l’empêchait de prendre l’envol qu’il désirait tant. Il avait le sentiment qu’il ne pouvait pas plus avancer dans l’état actuel des choses et, même en s’enrichissant de la culture Alayienne, il ne trouvait pas l’ingrédient qui lui permettrait d’atteindre son but. C’était d’une frustration sans nom.

Toujours en quête de nouveauté, et sentant que la capitale Glorienne allait bientôt subir les assauts incessants du nouveau despote en puissance, Vraorg, il migra vers Caladon, cité dont il espérait retirer de nouvelles formes d’art et de nouvelles idées. De plus, il pensait que sa renommée avait atteint son apogée à Gloria, et qu’il ne souhaitait pas se cantonner à cette dernière. Il se produisit alors dans la nouvelle Cité, qui lui semblait promise à un grand avenir. Cette découverte l’apaisa un temps, mais n’étancha toutefois pas sa soif. Il fût alors rappelé par un noble Glorien qui souhaitait l’intégrer à sa nouvelle troupe de théâtre personnelle. Plus que par l’argent, Abel était tenté de voir quelles évolutions avaient subies la capitale qui était devenue le siège de la théocratie.

Il fut ainsi logé dans les beaux quartiers de Gloria, bien loin du coupe gorge qu’était la basse ville. A vrai dire, son « employeur », soucieux de garder une telle célébrité dans sa troupe, obéissait presque à chacune des demandes du jeune homme. Mais Abel continuait de perdre sa flamme. Pour s’inspirer, il se rendait dans les autres représentations où il était toujours bien accueilli. Il assistait ainsi à de multiples productions qui s’enchainaient les unes après les autres, sans n’y trouver aucune saveur. Mais, alors qu’il continuait sa recherche inlassable d’inspiration, un incident survint.

Il s’était rendu, comme à son habitude, dans une salle de spectacle pour assister à une représentation banale. La pièce n’avait que pour seul intérêt d’utiliser un certain nombre de mécanismes jugés révolutionnaires pour les décors, légère prouesse du machiniste qui était, elle seule, digne d’intérêt aux yeux du jeune homme. La scène se déroulait de manière tout à fait classique jusqu’à ce que, d’un seul coup, un engrenage sembla défaillir. Une des deux attaches qui maintenait le soleil peint qui trônait au-dessus de la scène céda, et, toujours accrochée de l’autre côté, la pièce en bois, à la manière d’un piège grossier qui se déclenchait, vint percuter la tête d’un des acteurs sur scène. L’une des flammes grossières perfora violemment son œil, le tuant probablement sur le coup. Il y eut un moment de battement dans la salle, suivi d’un grand mouvement de panique. Les gens sortaient en toute hâte, à part les comédiens qui tentaient vainement d’aider leur camarade. Abel lui, se tenait debout, les yeux écarquillés devant la scène. C’était ça. Ça qu’il avait toujours cherché. Bien sûr, le fait que ce soit accidentel pouvait éventuellement entacher l’œuvre, mais c’était indéniablement l’ingrédient qui lui avait toujours manqué pour sublimer son art. La lueur dans ses yeux semblait alors plus vive que jamais.

Mais il devait en avoir le cœur net. Au vu de la situation actuelle de la cité Glorienne, pouvoir essayer sa nouvelle pratique pour la perfectionner ne serait pas dur. Mais il fallait y aller étape par étape. Il cousu alors un masque en cuir épais noir, sur lequel trônait une sorte de sourire comme gravé dans la matière. Dans une tenue sombre, il s’engagea dans les quartiers pauvres de la capitale, armé simplement d’une sorte de coutelas qu’il utilisait pour découper les étoffes. Certes, il aurait pu trouver un mendiant ou un ivrogne dans les rues, mais ils étaient à son sens trop disgracieux. Non. Il devait partir de la plus belle des matières pour pouvoir créer quelque chose d’unique. Il marchait alors dans les rues du coupe-gorge qu’était la basse ville, quand, soudain, il aperçut un jeune couple qui se hâtait visiblement de rentrer. Il était d’ailleurs plutôt étrange de croiser ce genre de personnes à cette heure-ci, compte tenu de la réputation nocturne de cette partie de la ville. Abel les suivit alors, comme une ombre. A sa grande surprise, l’homme laissa la jeune femme devant chez elle. Le travail du garçon allait surement être plus facile que prévu. Il attendit qu’elle rentre chez elle, patiemment, puis, quelques minutes plus tard, il approcha de la porte. Le système de verrou n’avait vraiment rien de compliqué pour les doigts experts et agiles de l’artiste. Alors qu’il pénétrait la pauvre maisonnée, il analysait les lieux. La maison s’étalait sur deux petits étages, et la jeune femme semblait être en haut. Il patienta quelques instants, savourant l’excitation qui l’envahissait peu à peu. Il fit ensuite tomber un ustensile au sol, de manière délibérée, afin d’attirer l’attention de son éphémère collaboratrice. Il entendit alors une voix fluette résonner à l’étage.

« Chéri, c’est toi ? » Abel ne répondit bien sur rien, patientant dans la pénombre, dissimulé dans un coin de la pièce invisible de l’escalier. La jeune femme descendit alors et, sans attendre ni hésiter, le jeune homme planta son couteau dans sa gorge, lui ôtant toute possibilité de crier avec ses cordes vocales tranchées net. L’actrice de sa scène s’écroula au sol, les yeux écarquillés d’étonnement et de terreur. Elle n’avait aucune chance de s’en sortir, ni aucune chance de fuir dans son état. Abel la contemplait de haut, frémissant d’excitation, alors que la victime agonisait à ses pieds, sans défense. Il aurait pu rester à la contempler longtemps, tant le moment lui semblait précieux mais, contre toute attente, l’homme qui semblait l’avoir « abandonnée » refit surface. Une petite erreur de jugement, conclut alors Abel. Le malheureux, témoin de la scène qui se déroulait alors sous ses yeux, sembla comme paralysé un court instant, en voyant la femme qu’il aimait en train de mourir au sol, et son apparent meurtrier, couteau à la main, qui se satisfaisait de ce spectacle. Ce petit laps de temps suffit à Abel pour agir, il se jeta rapidement sur lui, enfonçant son arme dans son abdomen, et perforant son cœur. Lui non plus ne put crier, du liquide écarlate envahissant ses poumons et sa bouche, et il s’effondra.

Abel prit le temps de réaliser ce qu’il avait fait. Il n’éprouvait pas de regret. Mais l’excitation et la sensation de plénitude qui l’avaient envahi n’avaient été que brèves et éphémères. En plus de ça, la scène restait pour Abel encore trop brutale, sans aucun esthétisme. Il était difficile de parler alors d’une œuvre d’art à proprement parler, et encore moins d’une scène qui marquerait les esprits. Abel fit tranquillement le tour de la maison, en réfléchissant. C’est alors qu’il vit un très grand bouquet de roses rouges trôner sur le rebord de la fenêtre. Il eut alors une idée. Il connaissait un théâtre proche d’ici où il pourrait aisément trouver ce dont il avait besoin. Comme avec la porte de la maison, entrer dans le lieu ne lui posa aucune difficulté. Il récupéra alors certains accessoires de décors, ainsi que de la corde, avant de retourner dans la maison. Il estima qu’il devait être environ au milieu de la nuit, ce qui lui laisserait le temps de travailler.

Lorsqu’il sorti de la maison, il était satisfait. Comme une invitation à entrer, il avait disposé le corps de l’homme assis, adossé à la porte qui était ouverte, en travers de l’entrée. Ce dernier semblait avoir été emprisonné par les ronces, et une grande rose rouge sortait de sa blessure, comme si elle y avait toujours poussé. Puis, le chemin qui menait à l’étage était lui aussi couvert de ces fleurs rouges, comme une piste à suivre vers une récompense inconnue. En haut, la scène prenait encore plus d’ampleur. La jeune femme était accrochée, comme crucifiée sur le mur. Comme pour son mari, une rose rouge sortait de sa blessure à la gorge. Son corps était nu, et portait de nombreuses lacérations qui semblaient être dues aux semblant d’épaisses ronces qui emprisonnaient tout son corps. Une rose sortait également de sa poitrine, et trônait là où son cœur aurait dû se trouver. Apportant la touche finale à sa pièce, Abel déposa le cœur encore chaud dans la main de son mari, éternel reconnaissance de l’amour qui avait pu les unir. Satisfait, le jeune homme tourna les talons et rentra dans sa demeure, bien avant que les premiers rayons du soleil ne viennent éclairer sa nouvelle œuvre.

C’est ainsi que commença sa carrière. Fréquemment, il sortait pour créer de nouvelles œuvres, les différenciant par leur mise en scène. Il voulait sublimer ses créations, les rendre immortelles. En un sens, il prenait possession de ses victimes, elle finissait par lui appartenir et lui permettait de former ses scènes qui transpiraient à ses yeux d’une harmonie parfaite. Il put également, durant tous le règne de Vraorg, mettre en exergue ses talents d’arbalétrier pour peindre ses tableaux. Ils lui permettaient d’abattre ses cibles méthodiquement, sans prendre de risques, avant de les rejoindre pour les arranger d’une manière magnifique.

Cependant, sans toutefois retomber dans la lassitude, il sentait que, même s’il avait trouvé l’ingrédient manquant, il lui manquait quelque chose pour parfaire son œuvre. De plus, avec la chute de la théocratie, il lui devenait de plus en plus difficile de créer, si bien qu’il dut drastiquement limiter le nombre de ses créations. Ce n’était pas pour lui un problème particulier, tant que celles qui lui restaient étaient, elles, proches de la perfection. Il continua donc à peindre ses tableaux, forts de sa maitrise de la discrétion et de l’arbalète, ainsi que de son sens aigu de la mise en scène.

Acte IV – Sublimation

Alors que la renommée d’Abel Lowel, l’acteur, restait extrêmement élevée, celle de celui qu’on appellait le Virtuose, le tueur en série, commença, elle aussi, à prédominer au sein de Gloria, atteignant même les oreilles de la cour des miracles. Le jeune homme, qui se satisfaisait jusqu’alors de ces deux conditions, commença à réfléchir à la manière dont il pourrait bien hisser son art encore un cran au-dessus. Après une mure réflexion, il commença à comprendre ce qui le freinait. Gloria était un tableau déjà maculé, sale, et n’avait presque plus aucune saveur. Comment pourrait-il bien différencier son art sur une toile déjà aussi utilisée ? Comment pouvait-il bien trouver le moyen de créer une œuvre parfaite en partant de quelque chose d’aussi imparfait ? Non, il lui fallait trouver quelque chose d’épuré sur lequel il allait pouvoir montrer toute l’étendue et la grandeur de ses œuvres.

Il profita alors de sa renommée pour se faire engager dans une grande troupe de théâtre d’Aldaria, surnommée la lumineuse. Avec les l'or qu'il avait pu gagner en tant qu'acteur, il s'acheta une arbalète enchantée unique auprès d'un enchanteur de la cours des miracles, pour conserver son anonymat, enchanteur qui disparu mystérieusement quelques jours plus tard. Il se procura alors des étoffes d'une qualité supérieure pour créer son apparence finale, puis il quitta Gloria vers la cité Fabuleuse. Une toile vierge et un pinceau pour une œuvre d’une ampleur encore inconnue. Le dernier acte pouvait alors commencer.






Liens


- Gerald Gueldet : Son père, qu’il n’a finalement jamais revu depuis son départ

- Maria Gueldet : Sa mère, morte lorsqu’il avait une quainzaine d'années d’une maladie durant l’hiver. Abel ne l’a jamais trop pleurée, et n’a pas vraiment ressenti un vide avec son départ

- Alphonse de Démal : Son employeur à Gloria. Abel n’a pas hésité un seul instant à lui faire faux bond depuis, en prenant tout de même le temps de le remercier avant son départ.






Derrière l'écran

Petite présentation : C'est Seö !

Rythme rp : Avez vous bien comprit le rythme rapide d'Armanda ? (Clic!) Très bien compris
Particularités rp : Peut-être des scènes un peu difficile pour un public non-avertis (vu le personnage) je mettrais donc des mentions d'avertissement et me fierais aux avis du staff !

Comment avez vous découvert le forum ? : Une révélation divine.

Avez vous signé le règlement ? : (Clic!) Oui !







Dernière édition par Abel Lowel le Mar 2 Mai 2017 - 14:04, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Abel Lowel [Terminé] Abel Lowel [Terminé] Icon_minitimeMar 2 Mai 2017 - 11:44

En avant la musiques les p'tits loups ! La fiche est finie (Je crois) !
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MessageSujet: Re: Abel Lowel [Terminé] Abel Lowel [Terminé] Icon_minitimeMar 2 Mai 2017 - 13:13

Bonjour Abel, c'est moi qui vais m'occuper de ta fiche o/ .

Identité :

Rang social : Met petit peuple, pas prolétariat^^.

Equipement et magie :

Citation :
Lorsque les carreaux de l’arbalète perforent leur cible, la chaire autour de la blessure se met à flétrir pour former une rose aux couleurs sanguinolentes, procédé particulièrement douloureux qui, s'il est utilisé directement au niveau du cœur de la cible, provoque une tétanie des muscles et paralyse la victime.

Est-ce un poison qui provoque cela ? Ou les effets physiques causés par l'enchantement ?

Caractéristiques :

Il y a une erreur dans le code que tu devrais corriger.

Monte dagues/poignard à faible, histoire d'être cohérent avec la scène où ton personnage surine deux personnes^^.

Baisse furtivité à très bon, maître équivaut au niveau en furtivité d'un éclaireur particulièrement compétent ou d'un espion très compétent, en somme de quelqu'un de professionnel dans ce domaine et s'étant énormément entraîné pour cela.

Avec tout cela tu auras correct innée en magie^^.

Description physique :

Je n'ai rien à y redire^^.

Description mentale :

Pareil o/ .

Liens :

Rien à y redire^^.

Derrière l'écran :

Citation :
Peut-être des scènes un peu difficile pour un public non-avertis (vu le personnage) je mettrais donc des mentions d'avertissement et me fierais aux avis du staff !

Soit conscient qu'il faut quand même que cela reste tout public, donc ne pas faire dans le trop gore ou sale^^.

Histoire :

+ Tu n'évoques pas assez la guerre humano-vampirique ayant eut lieu avant l'invasion alayienne et qui a eut des conséquences qui ont forcément affecter la vie de ton personnage, mais aussi l'invasion alayienne que tu devrais évoquer un peu plus, ce même si cette dernière ne semble pas avoir été spécialement tragique pour ton personnage.

Je t'invite d'ailleurs à te relire pour vérifier si tout ceci est bien tout public^^.

Citation :
C’est ainsi que commença sa carrière. Toutes les nuits, ou presque, il sortait pour créer de nouvelles œuvres, les différenciant par leur mise en scène. Il voulait sublimer ses créations, les rendre immortelles. En un sens, il prenait possession de ses victimes, elle finissait par lui appartenir et lui permettait de former ses scènes qui transpiraient à ses yeux d’une harmonie parfaite. Il put également, durant tous le règne de Vraorg, mettre en exergue ses talents d’arbalétrier pour peindre ses tableaux. Ils lui permettaient d’abattre ses cibles méthodiquement, sans prendre de risques, avant de les rejoindre pour les arranger d’une manière magnifique/

C'est assez exagéré de sortir toutes les nuits ou presque pour faire cela, à un moment donné quelqu'un se serait aperçu de quelque chose ou les pauvres se seraient ligués pour se défendre en se rendant compte qu'un meurtrier ayant de telles habitude venait fréquemment tuer des gens. De même le quartier pauvre à cette époque était particulièrement dangereux pour tout visiteur. Un vrai tueur en série laisse un bon laps de temps s'écouler entre chaque meurtre.

Citation :
Alors que la renommée d’Abel Lowel, l’acteur, restait extrêmement élevée, celle de celui qu’on appellait le Virtuose, le tueur en série, commença, elle aussi, à prédominer au sein de Gloria, atteignant même les oreilles de la cour des miracles.

Juste pour la préciser, la cour des miracles n'a pas tendance à apprécier les tueurs en série, elle dispose bien d'assassins en son sein, mais les tueurs en série pour leur part ont le désavantage de fortement attirer l'attention des autorités et de pousser les gens de toute classe sociale à se méfier de plus en plus et à se montrer de plus en plus durs avec les criminels. Ton personnage risque donc d'être contrariant pour eux s'il se fait trop remarquer.

De même, il est probable qu'au stade où tu as acquit une petite célébrité de tueur là-bas (et je dit bien petite célébrité, tu n'auras pas eu le temps d'en avoir une grosse sans te faire pincer à force) il ne vaille mieux pas pour lui que ton perso reste longtemps à Gloria ou y revienne de sitôt, notamment grâce à l'existence de la magie, car il est probable que les gens soient activement à la recherche du dit tueur là-bas. Sans oublier que cela a déjà dû pas mal attirer l'attention des autorités.
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MessageSujet: Re: Abel Lowel [Terminé] Abel Lowel [Terminé] Icon_minitimeMar 2 Mai 2017 - 13:38

Merci pour le retour !

Citation :
Est-ce un poison qui provoque cela ? Ou les effets physiques causés par l'enchantement ?

C'est l'enchantement, les carreaux ne sont pas empoisonnés.

Citation :
Soit conscient qu'il faut quand même que cela reste tout public, donc ne pas faire dans le trop gore ou sale^^.

L'histoire reflète ce que ça sera, et je pense que ça passe. Vu que je parle à la troisième personne mais au subjectif, il n'y aura pas vraiment de gore.

Citation :
Tu n'évoques pas assez la guerre humano-vampirique ayant eut lieu avant l'invasion alayienne et qui a eut des conséquences qui ont forcément affecter la vie de ton personnage, mais aussi l'invasion alayienne que tu devrais évoquer un peu plus, ce même si cette dernière ne semble pas avoir été spécialement tragique pour ton personnage.

Je ne l'évoque pas vraiment, car ça correspond au déclin dont je parlais. Ils vivaient difficilement, tâchant de rester loin des zones dangereuses du mieux qu'ils pouvaient, sans être directement confrontés à la guerre. Je peux Edit si besoin.

Citation :
C'est assez exagéré de sortir toutes les nuits ou presque pour faire cela, à un moment donné quelqu'un se serait aperçu de quelque chose ou les pauvres se seraient ligués pour se défendre en se rendant compte qu'un meurtrier ayant de telles habitude venait fréquemment tuer des gens. De même le quartier pauvre à cette époque était particulièrement dangereux pour tout visiteur. Un vrai tueur en série laisse un bon laps de temps s'écouler entre chaque meurtre.

Bon j'avoue, j'ai abusé. J'ai édité !

Citation :

Juste pour la préciser, la cour des miracles n'a pas tendance à apprécier les tueurs en série, elle dispose bien d'assassins en son sein, mais les tueurs en série pour leur part ont le désavantage de fortement attirer l'attention des autorités et à pousser les gens de toute classe sociale à se méfier de plus en plus et à se montrer de plus en plus durs avec les criminels. Ton personnage risque donc d'être contrariant pour eux s'il se fait trop remarquer.

De même, il est probable qu'au stade où tu as acquit une petite célébrité de tueur là-bas (et je dit bien petite célébrité, tu n'auras pas eu le temps d'en avoir une grosse sans te faire pincer à force) il ne vaille mieux pas pour lui que ton perso reste longtemps à Gloria ou y revienne de sitôt, notamment grâce à l'existence de la magie, car il est probable que les gens soient activement à la recherche du dit tueur là-bas. Sans oublier que cela a déjà dû pas mal attirer l'attention des autorités. (De plus il est déjà étonnant qu'on ne l'ait pas découvert à force s'il agit autant, un vrai tueur en série fait des meurtres sur des laps de temps assez long, pas de manière plus ou moins fréquente.)

Abel n'a aucun lien avec la cours des miracles, aucune affiliation, sa réputation est juste parvenue à leurs oreilles. Et effectivement, il ne reviendra pas à Gloria, pour ça, et l'autre truc !
Pour ce qui est des laps des meurtres, je vais édit. Mais vu que la plupart ont été commis sous la théocratie, dans la basse-ville, ça peut justifier qu'il soit difficile à chopper.
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MessageSujet: Re: Abel Lowel [Terminé] Abel Lowel [Terminé] Icon_minitimeMar 2 Mai 2017 - 13:46

Oky, tout est bon du coup^^. J'attend ton édition pour voir s'il reste à corriger ou si tu peux être validé.
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MessageSujet: Re: Abel Lowel [Terminé] Abel Lowel [Terminé] Icon_minitimeMar 2 Mai 2017 - 13:49

Uala !
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MessageSujet: Re: Abel Lowel [Terminé] Abel Lowel [Terminé] Icon_minitimeMar 2 Mai 2017 - 15:06

Bienvenue sur tes terres, enfant d'Armanda.

Tu es né(e) avec une puissance magique innée de Correct et ton entraînement dans le domaine magique t'a permis d'atteindre un niveau Correct

Tu as d'ailleurs été choisi(e) par le totem Cobra dont tu as atteint le niveau 1.

Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu peux aussi adresser tes questions ici. Enfin, tu dois fournir un avatar de ton personnage d'un dimension de 100px*100px ici

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