La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
Art du lancé (poignard, petite hache...) : Aucun niveau
Art de la parade (bouclier ou arme) : Très bon
Arc : Aucun niveau
Arbalète : Aucun niveau
Mains nues/pugilat : Bon
Equitation : Très Bon
Identité
Race :Vampire Ancien
Nom :Von Drak
Prénom :Konrad
Surnom(s) :l'Exhumé
Titre :
Date de naissance :07/04/652
Age réel :1108
Age vampirique :1069
Lieu de naissance :Avalogne
Lieu de vie : DureRoc
Rang social :Noble
Poste/emploi : Empereur
Equipement et magie
Arme principale :
Spoiler:
- Le Brise-âme : Masse de guerre, forgé en Sombre-acier. L'arme représente la dernière acquisition de Konrad en matière d'armement depuis son éveil. Elle le suis fidèlement sur le champ de bataille et a déjà fendu plus d'une armure sous ses coups dévastateurs.
Enchantements : Secousse.
Autres objets :
Spoiler:
Les marteaux jumeaux : Ces deux marteaux de guerre,forgé en Sombre-acier sont employés par Konrad, lorsqu'il juge que la rapidité de l'adversaire est trop importante.
Enchantement : Retour.
Grand pavois : Il utilise en outre, un pavois en Sombre-acier lorsque la situation l'exige.
Spoiler:
L'armure de Konrad : Une armure qu'il forgea lors de son éveil en 1750, elle est façonné en sombre-acier.
Alignement :Maléfique
Totem :totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff
Style de magie principal :Ténèbre
Puissance magique innée :Carte blanche au Staff
Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.
Physique et caractère
Physique : Lorsqu'on s'attarde sur la description d'un homme comme Konrad, il faut bien prendre en compte le fait qu'il soit un Ancien, rare héritier des premiers vampires d'origine humaine qui frappèrent Jadis le cœur Balbutiant de l'Empire des Kohan. Il détient comme ses confrères des caractéristiques physiques généralement peu présentes chez les autres vampires bien que cela reste principalement des détails esthétiques.
Le Prince Konrad est l'un symbole de la puissance Vampirique. Duc de naissance, chevalier de carrière et Prince de profession, L'Ancien est bâtit pour guerroyer. Mesurant plus de deux mètres pour un poids avoisinant les cent kilos de muscles, Konrad se présente lui-même d'un héritage guerrier mêlant respect des enseignements, aux visions de chevaliers qui lui ont été inculqués. Par conséquent et contrairement à nombre de ses pères au sein des Vampires, Von Drak attache un devoir sacré à l'entretien de son image et de sa personne. Que ce soit lors d'entretiens diplomatiques, de séances d'entrainements ou de scène de guerre, L'Exhumé ne laisse jamais de côté les apparences.
En effet, l'homme a connu différentes crises qui secouèrent Armanda au cours des siècles. Il n'est pas difficile de comprendre les conséquences sur sa personne. Survivant difficilement à travers des successions de conflits de plus ou moins grandes importances. Son corps porte les cicatrices de cette vie de combattant qui lui fut imposé dès sa naissance en Avalogne. Naturellement robuste pour un fils des hommes, il a toute de suite sue que la voie martiale était une évidence pour lui, pousser en cela par la volonté de son père d'avoir un digne héritier pour son duché. Pour ce qui est de son physique, il est Doté d'une forte carrure, n'ayant pas de grandes difficultés à toiser ses interlocuteurs lorsqu'ils ne sont pas Glacernois, des muscles saillants venant s'ajouter à sa grande taille et bien que situer sous une armure qui ne le quitte que rarement, il reste facilement repérable dans la foule comme un Titan en plate, là où la plupart de ses congénères favorisent des armures légères. Cette musculature reste un vestige de son ancienne, son corps ne changeant presque plus depuis sa transformation. Bien entendu, sa présence est souvent remarquée, que ce soit lors de ses déplacements en tant représentant de l'Empire vampirique, ou au sein même du champ de bataille. Il faut dire qu'il ne fait pas vraiment dans la dentelle et bien qu'il fut par le passé un homme discret et subtil, il abandonna peu à peu l'intérêt des actions silencieuses au profit d'interventions marquantes. C'est ce qui explique aussi le nombres de cicatrices sur son corps, provenant des différents duel auquel il participa tout au long de sa vie. Un vétéran garde toujours des marques des précédents champ-de-bataille.
Ce n'est cependant pas seulement sa silhouette qui reste ancrée dans le crâne des quelques personnes qui le rencontrent. En effet, son visage marqué par la guerre reste généralement figé dans l'esprit des rares élus ayant eu l'occasion de voir celui-ci, habituellement caché sous son heaume de guerre forgé jadis. Sa peau est particulièrement blanchâtre, lui valant par le passé le sobriquet Duc anémique, mais il n'en a pas toujours été ainsi. C'est sa vampirisation qui réussit la prouesse d'effacer le ton hâlé de sa personne. Ce qui pourrait être considéré comme de la corruption par le profane, n'est cependant rien d'autre qu'une évolution normale d'un corps après exposition un peu trop poussé au temps et à ses contraintes habituels. Son visage quant à lui est pourvu de trait dur, dégageant une impression de calme sous la tempête, le rendant naturellement froid et distancié vis-à-vis d'autres. Ses yeux sont d'un bleu intense, témoins silencieux de sa longue appartenance à la non-vie. Son regard est perçant, plus particulièrement lorsqu'il évalue le mérite d'une tierce personne, oppressant au point de mettre mal à l'aise, Konrad apporte une attention toute particulière aux effets qu'il provoque sur les autres individus. La peau de son faciès possède quelques rides qui ne se développeront plus, signe de son âge relativement tardif lors de sa transformation, il garde quelques cicatrices de combattants, quelques amis rien de grave. Un nez fin surmonte une bouche des plus standards entourés par une légère barbe naissante, qui ne nécessite pas grand soin, le développement capillaire étant particulièrement lent. Ses cheveux quant à eux sont d'un blanc immaculé, tournant rapidement au pourpre lors d'une mêlée un peu trop soutenu. D'une certaine longueur, il cache partiellement son visage.
Pour ce qui est de son armure, l'homme revêt une armure complète en Sombre-fer, formant son armure de chevalier. D'un poids plutôt lourd, bien qu'alléger par la force de l'homme elle s'avère performante et suffisamment résistante lors des combats. Elle est composée de jambières, qui se prolonge jusqu'au pied, d'une solide cuirasse reliés aux bras jusqu'au gantelet et surmonté d'un heaume à corne. De couleur ébène, elle est enchâssée par plusieurs gemmes, renforçant sa résistance et lui donnant un éclat sinistre. L'armure ne laisse que peu de points découverts, bien que les articulations soient moins protégées que le reste de la surface, bien que lourde elle n'empêche les déplacements lors de duels ou de champ de bataille. Bien que le matériel qui la conçoit soit réputé pour son poids, la répartition stratégique de l'armure sur le corps ainsi que la force physique du Prince lui permette de combattre sans trop d'efforts. Son heaume quant à lui, est son symbole guerrier, il lui permet d'être facilement reconnaissable sur le champ de bataille.
Lorsqu'il est amené à débattre intelligemment autour d'une table, Konrad fait montre d'un grand respect pour la charge qu'il occupe. Toujours affublé de manière digne, il souhaite paraître pour autre chose qu'un simple barbare aux commandes d'un peuple de sauvages. Ainsi, il use de tissu richement décoré et n'a rien à envier aux elfes lors des entretiens diplomatiques. Bien qu'il préfère la sobriété de son armure. Sa démarche est fière et déterminée, inspirant une très haute estime de sa propre personne, ne négligeant jamais l'importance du paraître, il agit de façon distinguée lorsqu'il doit user de diplomatie, troquant son attitude froide et beuglante du champ de bataille pour la douceur des mots. Sa voix passant du tonnerre à la douce brise matinale. Il ne laisse presque rien paraître aux autres, son visage semble de marbre la plupart du temps et les seules émotions qui semblent pouvoir échapper à son contrôle restent quelques colères impérieuses, qu'il garde pour le privé. Il feint cependant très souvent des émotions qui ne l'habite pas lorsqu'il s'entretient avec des inconnus, du rire à la tristesse tout en passant par la déception. Lorsque la situation s'impose, il laisse donc tomber son masque de rigueur pour mieux appâter ses proies.
Caractère : La psychologie d'un vampire n'est pas chose aisée à expliquer. Plus particulièrement lorsque celui-ci fait partie des anciens. S'il est clairement établi que tout être à une vision différente des choses et que par conséquent on ne peut pas mettre tout le monde dans le même panier, il existe cependant des a priori bien souvent difficile à enrayer, les suceurs de sang n'en sont pas exempts. Généralement on se contente de les pointer du doigt, avant de s'exclamer tout haut « ceux-ci sont des monstres, guider par leur tyran à travers leurs traditions barbares, ils ne sont bons qu'à s'exprimer comme des bêtes sauvages. » Voilà l'idée générale qui se dégage lorsqu'on parle des vampires des terres sauvages. Pour ce qui est de Konrad, il est comme toujours à contre-courant.
La soif est mon fardeau, la guerre ma raison d'être, la mort ma délivrance.
En effet le Prince Noir est très loin de ses deux prédécesseurs. Il fut même l'inverse de cette description dans sa vie passée. En effet a l'époque où le jeune Konrad était encore humain, les sentiments comme la bonté, le sens de l'honneur et de la bonté était naturellement inscrit en lui, comme un parangon du preux chevalier. Il n'était pas homme à manquait à son devoir, toujours prêt à répandre la justice et la bonne parole à travers son duché et ses habitants, l’héritier de la famille Von Drak n'était pas dénué de compassion. C'est cette même tolérance envers les autres peuples et ce soupçon d'insouciance qui fut responsable de sa perte. En effet, bien que les règles de chevalerie qu'on lui a toujours enseignées lui valurent le respect et l'amour de son peuple et de sa famille, il attisa les foudres de ses adversaires. Usant de tromperie pour lui arracher tout ce qui comptait pour lui, Konrad sombra bien vite dans un désespoir n'ayant d'égal que la fureur de sa colère. Tout sentiments d'amour et de joie le quittèrent, tandis que sa transformation en vampire acheva ce processus funeste. Une fois son passé recouvert, le chevalier déchu jura d'abandonner tout ce qui l'avait rendu faible et servile. Aujourd'hui encore, son ancienne vie le conforte dans ses idées sombres, lorsque les événements l'imposent. Le souvenir de sa descendance restant encore bien ancré dans son esprit endeuillé.
Vous savez donc pour ce qui est de son passé, mais comment est-il aujourd'hui ? Et bien pour sonder la véritable valeur d'un homme, il faut parfois quérir l'avis de ses plus proches collaborateurs. Aux yeux de ses troupes, Konrad est un chef méritant et respecté. Ne jugeant pas l'usage de châtiment corporel comme moyen le plus efficace de créer l'unité au sein des siens, le prince est en effet connu pour sa proximité au sein de ses forces, de son peuple et de ses conseillers. Bien sur, il ne fait pas pour autant l'unanimité. Et bien qu'il soit le plus souvent considéré comme un homme avisé, son respect strict de la hiérarchie et de différents codes moraux inhérents à son statut de chevalier de sang le fait bien souvent paraître pour quelqu'un de froid et calculateur, chose qu'il ne dément pas. Il porte pourtant un grand intérêt au concept de méritocratie et chaque homme ayant fait preuve de valeur envers lui se voit récompenser. À l'inverse, les rares personnes haut placées présentes dans l'Empire sans avoir contribué à son élévation, sont bien souvent mises de côté. Cette recherche de l'excellence lui a souvent permis, de tisser des liens étroits avec ceux qu'il dirige d'une main de fer. Cette idée d'égalité entre les vampires à travers la recherche de l'élévation personnelle, que ce soit dans la maitrise martiale ou tout autre domaine. Distingue l'Empire vampirique des autres aristocraties où un simple nom ou lieu de naissance suffit à tracer une vie, dans l'abondance ou la décrépitude.
Konrad est lui-même le symbole de cette pensée d'égalité. Ce n'est pas un titre ou un lignage qui lui permit d'atteindre le titre de prince, mais bien sa combattivité et sa maitrise du combat. Cette mentalité de guerrier l'habite depuis ses premières années. Lui qui fut très tôt intégré au sein de ses frères chevaliers découvrit avec les années que le physique et l'adresse ne suffisent pas à un combattant. Le vrai guerrier doit être capable de dompter ses pensées et ses envies, c'est justement ce qu'il s'évertue de faire. Ce code moral très strict, lui impose de respecter les adversaires honorables et de ne sous-estime quiconque, l'apparence n'est que tromperie et le plus doux des visages cache bien souvent les secrets les plus noirs. Ainsi, Von drak cherche à éprouver ses talents de guerrier à travers des duels honorables, tournant bien souvent à des mises à mort lorsqu'il s'agit d'un échange avec un ennemi. C'est d'ailleurs la seule façon de gagner son respect, un homme incapable de combattre étant bien souvent considérer par le prince comme un être faible et par conséquent détestable. Cette haine de la faiblesse fait écho à sa propre quête personnelle, une recherche sacrée de dépassement de soi. Konrad ne vit que pour apprendre et progresser, c'est la raison pour laquelle il ne reste jamais bien longtemps d'en donner lieu à une séance d'entrainement ou de lecture, trouvant dans le fer et les livres la forcent de combattre ses instincts les plus primaires, qu'il qualifie de malédiction. Cette soif qui lui ronge le cœur reste effectivement sa plus grande honte, si le fait de soumettre un être lors d'une chasse lui procure de grand plaisir ce besoin de sang ne lui provoque que dégoût, voyant dans cette nécessité une faiblesse qu'il ne peut endiguer totalement. Il rêve secrètement de réussir à s'en débarrasser un jour.
Si sa transformation et les nombreuses années de lutte ont fait de lui un guerrier hors pair, sachez qu'il n'est pas qu'un simple soldat parer à donner des coups. C'est en effet un stratège ayant souvent usé de ses talents sur les champs de bataille et bien qu'il ne soit pas toujours sortie vainqueur de ses affrontements, Konrad n'en reste pas moins un homme capable de tout pour arracher une victoire. S'il possède un concept d'honneur pour les duels, la stratégie et la tactique qu'il emploie contre ses ennemis en sont généralement dénués. Sa longue vie lui a permis de réaliser que les actes de fourberie sont parfois nécessaires en période de guerre, et qu'il n'y a aucun honneur dans la défaite, alors qu'une victoire même en demie teinte, reste une victoire, qu'importe son prix. Il fait donc preuve d'opportunisme, restant généralement imprévisible dans ses décisions. Bien qu'il puisse être en situation avantageuse, il n'agit que très rarement à la hâte, préférant étudier les différentes solutions qui se présentes, ces longues années à guerroyer lui ont en effet enseigné la patience et la ruse. Tout comme pour les duels, les décisions adverses ne sont jamais prises à la légère et chaque mesure entreprises méritent son attention, même si elles peuvent paraître infructueuses. Pour Konrad, chaque élément à son importance sur le terrain, le lieu, l'origine des forces en présence et les buts de ceux-ci sont à prendre en compte. C'est la raison pour laquelle il est généralement imperturbable, ne se laissant que rarement dominés par ses émotions lors de ses décisions militaires. Il n'en reste pas moins un simple être mortel, capable d'échouer et de se fourvoyer, bien que cela lui provoque généralement de profondes colère qu'il se garde de partager avec les autres, dû à son ego.
Pour ce qui est de son avis sur les autres peuples d'Armanda, Konrad a déjà une certaine opinion d'eux. Sachant parfaitement par son vécu ce qu'il doit attendre des autres peuples, le Prince noir reste plutôt hostile aux étrangers. L'humain est pour lui de nature belliqueuse et bien trop penché sur des intérêts matériels ineptes, à la manière d'un rat œuvrant à ronger le pouvoir qui lui manque à l'aide de perfidies indignes. Les elfes quant à eux, font selon lui preuve d'un trop grand amour-propre en se prenant pour les régents de ce monde pour la simple raison qu'ils furent la première race à y accoster. Ces gestes hautains et supérieurs qu'ils emploient ne font que confirmer cette impression, et bien que tous n'agissent pas de cette manière, Von Drak reste convaincue que cette race ne vit que dans le paraître. Et pour les vampires ? Et bien comme les autres races, ils ne sont pas exempts de défauts. Selon Konrad, les Vampires sont bien trop brutaux et dénués d'une véritable hiérarchie, ce contentant d'obéir servilement à un homme qui ne fait que les dominer par la force. Il déplore ce manque de partage et d'unité qui sévit chez les vampires depuis la nuit des temps. Ainsi, nul peuple ne trouve grâce à ses yeux, pour la simple et bonne raison qu'il ne juge personne selon ses origines ou ses titres. Il existe des parasites parmi tous, être capable de triompher de ces préjugés prouve qu'on mérite d'exister selon lui. C'est pour cette raison qu'il voue par exemple un profond dégout envers Lorenz qui n'était rien d'autre qu'un tyran égoïste, alors qu'il garde du respect pour Korentin Kohan, qui fut capable de tenir bon dans une période sinistre à l'époque de la rébellion. Les préjugés opposés aux exceptions, c'est cet étrange paradoxe qui permet au Prince Noir d'établir des relations saines avec quiconque mérite son respect. Seuls les dragons sont épargnés par son jugement, Konrad les considérant comme majestueux mais en dehors des affaires des bipèdes. Sa loyauté pour son ordre quant à elle, est sans failles. Il serait capable de donner sa propre vie pour veiller à l'accomplissement de leur tâche et considère chaque chevalier comme ses propres frères.
Aussi étrange que cela puisse paraître, cela ne fait pas de lui un simple général. Le Prince est de par son statut et son passé de conseiller un homme façonné aux rouages de la politique. Orateur capable, il sait user des mots pour déclencher l'engouement de la foule et bien que la population vampirique ne soit pas aussi réceptive aux longs discours que la populace humaine, Von Drak sait comment s'adresser à cette rude nation. Très intéressé par la politique l'homme ne rechigne pas à modifier ses manières d'agir, lorsque le besoin s'en fait sentir. Ne démontrant que rarement ses véritables intentions aux yeux des autres, il est parfaitement conscient des codes d'usage au sein de la noblesse, qu'il hérite de son passé de Duc et qu'il du éprouvé au cours des années suivant sa vampirisation. Ne vous attendez pas à rencontrer un homme grossier et rustre, Konrad étant capable d'être distingué lorsque l'usage le demande, bien qu'il ne soit pas friand des faux-semblants. C'est un diplomate qui sait faire preuve de retenue lorsque son intérêt et celui de son peuple sont en jeu, ainsi il n'est pas contre un dialogue calme et construit lorsque l'usage du fer ne peut pas résoudre un conflit directement. Tantôt guerrier impitoyable, tantôt négociant avisé l'homme ne rechigne pas à adapter sa façon d'être en fonction de son interlocuteur, passant d'un homme menaçant et sur de lui au simple dirigeant exerçant son pouvoir avec retenue.
Admirant l'ordre et la sécurité, Konrad reste motivé par l'idée d'une nation unie et indivisible, une façon de créer une véritable union vampirique et non pas un rassemblement de brigand simplement bon à s'entre-tuer. C'est cette recherche de stabilité qui l'a incité à rester en sommeil durant de longues années. Son objectif est finalement devenu avec les années une quête personnelle qu'il place devant tout le reste, ainsi on peut dire qu'il est pratiquement incorruptible à ce sujet, ne souhaitant pas abandonner ses idéaux qui lui permirent de grimper jusqu'au trône. Lorsque la colère se fait sentir, il fait toujours en sorte de ne pas exploser en une myriade d'insultes assourdissantes. Ce caractère glacial lui fournit un masque d'indifférence qu'il porte en permanence, ne souhaitant pas témoigner aux autres ses intentions, il prend garde à ne rien laisser paraître. C'est justement sa marque d'humilité qui lui fait tant détester les courtoisies outrancières que les nobles ont l'habitude d'employés entre eux, bien qu'il puisse agir de la même façon lorsqu'il est entouré.
Sa transformation en vampire l'aura finalement totalement changé. Lui qui était autrefois si patient et compréhensif avec les autres fait aujourd'hui preuve d'une grande cruauté lorsque les besoins s'en font sentir. Impitoyable il réprime avec force les personnes qui se mettent en travers de sa route, bien qu'il accepte d'être contredit en privé par ses conseillers, si cela est justifié. Arrogant et sûr de lui, Konrad reste persuadé que ses intentions sont justes, c'est ce qui lui permet de justifier la plupart de ses actes, malgré la violence ou le manque d'humanité dont il fait part. Ainsi, il pratique une politique de terreur à l'encontre de ses ennemis, usant de technique démoralisante et choquante pour ancrer fermement l'effroi dans le cœur de ses adversaires. Les actes de torture ne sont pas non plus inexistants, que cela appartienne au domaine politique ou militaire, le prince tire souvent le dernier mot de tristes victimes durement accablé par la souffrance. Ces actions sanguinaires ont dressé un portrait de lui plutôt austère. Apprécié de ses hommes et redouté par ses opposants, Konrad fait preuve d'une grande témérité dans l'exercice de ses fonctions.
Mes liens
Ancienne vie :
Alexei Von Drak : Père et figure héroïque de Konrad durant les premières années de sa vie. C'est lui qui lui transmis sans le vouloir la passion pour l'art de la guerre et de l'honneur.
Isabella Von Drak : Fut la mère de Konrad, aimante et proche de lui, elle fut de bon conseil.
Elisa Von Drak : Femme et héritière de la Maison Romanov, Elisa était l'épouse de Konrad lors de son existence humaine, il fut la seule femme pour qu'il éprouva des sentiments amoureux sincères.
Léoric Von Drak : Fils de l'exhumé, Léoric fut un enfant difficile et distant. Ils finirent cependant par se réconciliés peu avant son départ vers des terres inconnus.
Albrecht Von Drak : Petit fils de Konrad et héritier de son Duché, Albrecht était un jeune garçon très proche de son grand-père qui fut inspiré par celui-ci. Il légua à son petit fils la passion, l'honneur et la combattivité.
Xavius Du Bief : Ami, conseiller et second Xavius est sans doute l'homme le plus proche de Konrad depuis ses débuts.
Arhald Sombrecoeur : Ancien ennemie longuement détesté pour ces nombreux crimes.
Depuis l'éveil :
Crissolorio Ostiz : Les deux hommes ont déjà échanger plusieurs lettres après l'ascension de Konrad en tant que prince, ils prévoient d'ailleurs une rencontre très bientôt.
Ombeline Umbrarum : Jeune vampire au service de l'Empire qui déserta après l'arrivé de Kylian, Konrad souhaite en connaitre plus sur elle.
Orfraie Ataliel : Il l'a combattu en 1750 et lui a infligé une cicatrice, mais n'avait aucunes connaissances à son sujet.
Lorenz Wintel : Ancien prince vampirique, lorenz représente tout ce que Konrad déteste chez les vampires. Un égoïste souhaitant accaparé toujours plus de pouvoir aux détriments de l'intérêt commun.
Kylian Wallam : Globalement, Konrad garde une bonne impression de Kylian, il lui reproche cependant d'avoir été trop souple et n'avoir pas réussit à développer une unité vampirique suffisante après le départ de Lorenz.
Derrière l'écran
Petite présentation : Fabien 23 ans, étudiant en droit et fan inconditionnel de l'univers HF - SF. D'Arts Martiaux et d'Esport. Un jeune homme plutôt classique finalement !
Rythme rp : ça dépend du nombre de RP en cours, mais une réponse journalière si je n'ai pas trop à faire.
Particularités rp : Je RP depuis quelques années, j'ai endossé le rôle de modo et d'admins à plusieurs reprise et de MJ à l'occasion. Comme beaucoup de personnes quoi .
Comment avez vous découvert le forum : Grâce à un top site, puis convaincu par Orfraie.
Le code du règlement :
Chapitre I Un Héritage d'honneur et de sang.
À une époque déjà bien lointaine, où les guerres, les dragons et les esprits n'avaient pas entièrement disparu. Vivait une famille noble du nom de Von Drak, situé dans les contrer d'une région aujourd'hui encore membre de l'Empire des hommes, le duché D'Avalogne. La famille Von Drak avait toujours été membre de l'Empire Kohan. Déjà à l'époque du débarquement des humains sur Armanda, l'ancêtre de la famille, pirate de son métier. Avait vaillamment servi la cause de leur premier Empereur, y obtenant son adoubement et prenant le nom d'Estrivan. Ce n'est que bien des années plus tard, à la suite d'un autre ancêtre de la famille à l'époque nommé Alexander « Von Drak » Estrivan, à cause de son blason personnel, une puissante mâchoire de dragon. Ainsi que sa fonction de Dragonnier, que fut fondé le Duché d'Avalogne, à l'est de l'Empire. Le château d'Avalogne devint dès lors le fief ancestral de la famille Von Drak, qui prit ce titre en l'honneur du fondateur du Duché. Nous étions en 643 de l'ère d'argent, et Alexei Von Drak, Duc d'Avalogne, venait tout juste de fêter ses 35 ans, pour l'occasion il avait organisé un très vaste de fête pour célébrer sa naissance, mais pas seulement. En effet, l'homme venait tout juste d'obtenir de l'Empereur Kohan de l'époque la main de sa plus jeune soeur, Isabella Kohan. Il faut dire qu'Alexei était reconnu à travers tout l'Empire comme étant l'un des vassaux les plus loyaux de l'Empereur, celui-ci pour féliciter sa bravoure et sa dévotion lui avait octroyé la main de sa jeune soeur, après sa victoire lors d'un tournoi de Gloria. Sautant sur l'occasion d'unir les deux maisons, Alexei fut rapidement charmé par l'élégance de la jeune femme et il ne fallut pas attendre bien longtemps pour que les deux jeunes mariés ne donnent naissance à 3 jeunes filles et un garçon. L'héritier de la famille Von Drak était enfin né, un jour glorieux pour le duché, celui de la naissance de Konrad Von Drak.
Avalogne avait été fonder sur le sang de rebelle ayant pris les armes contre l'Empire en 343 de l'âge d'argent. À cette époque le fondateur du duché avait dû écraser les Sombrecoeur, famille régnante dans la région. Nobles très puissants mais bien trop orgueilleux, ils sous estimèrent l'avantage d'un dragon dans les rangs de leur ennemi et furent balayés pour cette raison sous un torrent de flammes. Une fois les Sombrecoeur défaient lors de la bataille des plaines oubliées, ils furent graciés par l'Empereur en personne qui jugea la sentence d'avoir perdu leur terre comme suffisante. Néanmoins les Sombrecoeur ne se découragèrent pas pour autant, émigrant au nord dans des terres jusqu'alors inoccupé, la famille dépensa ce qui lui rester de bien et d'homme pour fonder une nouvelle patrie, le Duché d'Arnove venait de naitre et inutile de préciser qu'il ne comptait pas laisser l'affront qui lui avait été adresser sans agir. Ainsi depuis déjà plus de 300 ans, une violente animosité persister entre les deux duchés et leur famille régnantes, chacun considérant l'autre comme indigne de diriger. C'est dans ce climat violent de conflit et de messe basse que Konrad vue le jour, très bien entouré par sa famille et l'éducation stricte mais juste de son père, il fut très vite attirer par l'art de la guerre. Voyant dans son père un héros à nul autre pareil, il fit tout son possible pour lui ressembler. À cette époque, l'honneur, la discipline et la maitrise de soi étaient les maitres-mots de l'ordre chevalier instaurer en Avalogne, les fils du dragon groupent après la mort d'Alexander Von Drak, par le peuple et par respect pour celui-ci. Alexei aperçut rapidement les talents et la prédisposition de son fils pour la maitrise martiale, très heureux de constater que son héritier ferait sans doute un Duc capable pour son peuple, il se décida à le pousser vers cette voie déjà toute tracer. Après toute la noblesse d'épée était régnante en Avalogne et chaque noble devait prouver sa valeur pour espérer obtenir le titre de son père, fut-il duc.
Ainsi la vie douce et tranquille habituellement réserver aux personnes aisées n'était pas le quotidien du jeune Konrad, très tôt il du s'adapter aux leçons difficiles de son père et de ses précepteurs. La guerre n'était évidemment pas le cœur de son apprentissage, des notions de mathématiques d'histoire et de langue lui étaient dispensées en même temps que les recueils de stratégie et les premières passes à l'épée, entre les mains d'un maitre d'armes. Hélas, c'était bien trop de chose à assimiler pour un jeune garçon, et il se retrouva à confronter à l'aigreur de l'échec à maintes reprises. Il fut cependant soutenu dans ces moments difficiles par sa mère et ses sœurs, le félicitant allègrement pour des actions qui n'en méritaient pas tant, son père quant à lui était un peu plus distancié. Il faut dire que celui-ci venait tout juste d'apprendre que la guerre entre Avalogne et l'Arnove venait d'être déclaré par Harald Sombrecoeur, à la suite d'un simple prétexte de droit de succession au duché. Ces événements ne présageaient rien de bon, et bien que soldat émérite, le Duc ne souhaitait pas que ses citoyens souffrent inutilement dans un conflit stérile. Ainsi il du rapidement mettre en place la défense du Duché, laissant par la même occasion et sans le vouloir son fils de côté. Konrad continuait de suivre les enseignements qu'on lui donner à la lettre, mais sans la présence réconfortante de son père. Ainsi, les années passèrent sans que le conflit ne cesse pour autant. Alexei ne pouvait pas rester sans rien faire, et devait donc trouver une solution d'enterrer le conflit le plus vite possible.
Le jeune Konrad y aurait d'ailleurs un rôle important à jouer. âgé d'à peine de 12 ans à l'époque, il dut être utilisé par son père dans une alliance forcée avec la famille Romanov, puissante maison établie en Gloria depuis déjà de nombreux siècles, les Romanov étaient connus pour leur honneur et leur loyauté, le chef de la maison avait justement dans l'objectif de trouver un époux pour son unique jeune fille, la dote était particulièrement conséquent et la promesse d'une union entre le dirigeant et celui qui deviendrait l'époux de la jeune Élisa Romanov était assuré. Alexei vit en cette occasion une manière de trouver les fonds nécessaires à la guerre qui venait de se déclarer. Le Duché d'Avalogne n'avait pas vraiment de quoi armer l'ensemble de la population, les dettes qu'avait accumulées le père d'Alexei avaient provoqué un trou béant dans les caisses du Duché, et c'est avec désolation que le Duc du réfléchir à une potentielle alliance avec le chef des Romanov. Cependant, il n'était pas le seul à avoir flairé le bon filon, la famille Camelin, dirigeante du comté de Camelaan situé non loin des terres d'Avalogne souhaitait elle aussi s'approprier la jeune Élisa. Cependant, la mauvaise réputation du Comte de Camelaan, suffit à rejeter toute proposition de sa part. Le chef de famille des Romanov ne souhaitait pas s'entourait d'opportunistes, c'est pourquoi il vit dans Konrad le reflet respectable de son père. Et après une entrevue entre les deux famille, un accord fut vite trouver. Konrad vit alors pour la première fois l'héritière des Romanov de 5 ans son ainé et pourtant il du se résigner à l'épouser. Un mariage sans amour et purement politique, il se souvint toujours des mots que son père lui proféra quelques minutes avant l'office. « Je sais que tu ne souhaites pas être marié si jeune et que tu ne ressens rien pour ta compagne aujourd'hui, mais vois-tu mon fils parfois, les hommes de pouvoir sont obligés d'avoir recours à des mesures extrêmes pour assurer le bien-être commun. Qu'importent les sacrifices ou la souffrance que cela peut engendrer, c'est ce qu'impliquent les décisions difficiles. » À cette époque, le fils ne saisit pas vraiment les paroles de son père, ce n'est que des années plus tard qu'il prit pleinement consciences de ces mots. Les maisons Von Drak et Romanov officiellement uni, les forces des Romanov quittèrent Gloria pour se ranger officiellement aux côtés des Avaloniens. Le conflit n'était cependant pas près de s'arrêter pour autant, le changement diplomatique des Romanov avait simplement transformé la lutte en guerre de positions, personne n'osant s'attaquer à l'autre sans risquer de perdre du terrain durement acquis. Ainsi le conflit qui devait être résolu par ce mariage forcé commençait tout juste à s'enliser. Plusieurs mois passèrent et Konrad réussis finalement à donner un nouvel héritier à sa famille, bien qu'encore très jeune. Le jeune Léoric venait de naitre, Konrad n'était alors âgé que de 13 ans, mais il n'avait pas eu à attendre plus longtemps pour réaliser le devoir de tout homme. Ainsi, le jeune garçon durant ses premières années fut principalement éduqué par sa mère, son père était présent bien entendu, mais son jeune âge l'empêcher d'être réellement disponible et suffisamment mature pour pouvoir s'occuper convenablement de lui pour la vie de tous les jours et de toute façon, ceci ne faisait pas partie des attributions d'un fils de Duc que de s'occuper d'un nourrisson, il fallut attendre ses 3 ans pour que Konrad alors âgé de 16 ans ne puisse réellement participer à la vie du jeune enfant. De son côté le fils du duc s'était tourné depuis déjà quelques années vers la carrière militaire qui le faisait rêver depuis sa tendre enfance. Quelques mois après la naissance de son fils étaient entrés officiellement au sein des Fils du Dragon. L'Ordre de chevalier le façonna à l'image des siens, et réussit à guider le jeune noble dans la découverte martiale. Konrad avait déjà une forte carrure à l'époque, c'est sans surprise qu'il choisit la masse comme arme de prédilection en faveur de sa grande taille et de sa force. Il fut au au service d'un chevalier durant plusieurs années en tant que simple écuyer, comme les autres disciples de l'ordre et gravit les échelons petit à petit à force de travail et d'efforts personnel. La guerre entre Avalogne et L'Arnove continuait à faire rage et Alexei était dorénavant très peu disponible pour l'ensemble de sa famille. Konrad fut lui-même peu à peu écarter de la ville pour être envoyé sur des missions sur le terrain, aux côtés du chevalier qu'il devait seconder. Ce dur rythme de vie qui se résumer à de l'entrainement, de l'approfondissement des manœuvres tactiques et stratégiques, était rendu un peu moins amère par la présence de sa famille à ses côtés. En effet, s'il avait légèrement perdu de vue son père, le fils du Duc était entouré de sa femme, de ses sœurs et de son jeune fils. De quoi lui redonner un peu de courage lorsque son devoir auprès des chevaliers était trop lourd à porter, et que le moral n'était pas au plus haut.
C'est en 670 de l'âge d'argent, que Konrad alors âgé de 18 ans devient officiellement un chevalier de l'ordre, après avoir réussi lors d'un engagement contre les forces Arnovéenes à défendre la déroute qui était sur le pont de gagner ses hommes à la suite d'une charge héroïque contre les rangs adverses qui réussit à rallier les survivants avec lui. Ce faisant, Konrad était beaucoup plus libre de ses mouvements et avait un emploi du temps réglé en fonction de ses préférences, son père bien que toujours aussi inquiet pour l'avenir du Duché vint le féliciter en personne, pour lui donner le tabard de l'ordre, symbole officiel de son entré au sein de la fraternité du Dragon. L'héritier avait dès lors un emploi du temps bien plus facile pour concilier sa vie de famille. Il avait finalement réussi à éprouver quelques sentiments amoureux à l'égard de sa compagne, bien qu'il pensât que cela était dû au temps qui passe et a ses efforts pour se rendre désirable aux yeux du jeune Duc. Pour ce qui est de son fils en revanche, les choses se passaient bien mieux. Il éprouvait pour lui un réel amour similaire à la passion qu'il avait pour son père lorsqu'il était plus jeune, mais son jeune fils ne semblait pas particulièrement heureux d'avoir un père aussi absent et bien qu'alors âgé de seulement 5 ans, le jeune garçon n'usa pas de faux-semblants pour signifier son mécontentement. Il faut dire que l'avènement de Konrad au poste de Chevalier lui avait aussi octroyé un rôle de Commandant au sein de l'armée régulière. S'il était certes bien plus libre de ses mouvements il lui arrivait de passer plusieurs semaines loin d'Avalogne sans la possibilité de voir sa famille, bloquer sur les champs de bataille. Ce qui ne fit que l'écarter de l'amour de son fils, bien malgré lui. Cependant, il pouvait enfin développer ses talents militaires qu'il avait convoités avec tant de hargne dans sa jeunesse, peu à peu, le fils répéter les erreurs de son père, sans s'en apercevoir.
La vie continua ainsi, Léoric grandit bien rapidement et le fossé qui c'était peu à peu créer en père et fils né put être aisément comblé. Konrad était bien conscient que malgré son amour et son éducation, le jeune garçon n'avait pas totalement pardonné à son père le fait d'être si souvent sur le front, mais les conflits c'étaient peu à peu apaiser, le débuter de maturité lui fit comprendre les raisons pour lesquels son géniteur ne pouvait pas être aussi présent qu'il aurait voulu. Konrad quant à lui avait progressé à grande vitesse dans la hiérarchie militaire, ses talents en stratégie s'étaient affinés avec le temps et sa maitrise de la masse commençait à être clairement visible sur le champ de bataille si bien que les Fils du Dragon lui fournit rapidement une place en tant que Seigneur de l'ordre, aux côtés de 9 autres confrères. Alexei était à cette époque le gardien de l'ordre, et pu être habilement secondé par son fils alors âgé de 26 ans. Tout semblait rentrer dans l'ordre, le conflit au nord avait quelque peu stagné depuis déjà une année et les attaques se raréfier avec le temps, tous pensaient à cessez le feu, mais dans les faits rien de cela n'était encore réellement envisageable. Konrad profita de cette période de calme présumer pour retourner un peu plus vers son fils et sa compagne. Elisa était à présent devenue une personne-clé à sa vie, c'était elle qui lui avait persuadé de continuer ses efforts avec leur fils, sans se décourager. Lui qui avait toujours agi comme quelqu'un d'austère et distant se voyant à présent voué de sentiments affectueux à son égard, lui faisant comprendre par des phrases et des présents l'importance de ses sentiments. Il écouta à nouveau les conseils de son aimée et vint rejoindre son jeune garçon lors de sa leçon de poésie pour lui informer d'une potentielle carrière militaire, comme lui en avait rêvé dans son jeune âge. Il attendit que son précepteur quitte la pièce pour venir lui signifier sa présence à l'aide d'une simple main sur son épaule. Il prit alors la parole d'une voix solennelle.
« -Je vois que la poésie et la musique t'intéressent toujours autant mon fils. Cependant je viens aujourd'hui pour te signifier mon envie de faire de toi mon nouvel écuyer, nous pourrions ainsi être plus proches toi et moi et de plus cela te permettrait d'entamer enfin la carrière militaire qui t'ait destiné en tant que futur héritier de notre famille. »
Lui qui s'attendait à un hurlement de joie fut particulièrement déçu lorsqu'il vit sur son visage le faciès de dégout qui c'était installé sur les traits de son fils. Le garçon hocha de la tête avant de se retourner, oubliant par la même occasion les règles élémentaires de politesse qu'on lui avait inculquée. Il ne voulait visiblement pas devenir comme lui, cette nouvelle fut perçue comme un coup de poignard dans le coeur du jeune Von Drak qui dû garder son calme afin de ne pas témoigner trop vite l'immense déception que venait de lui infliger son fils. Il le laissa rejoindre sa mère,
En effet, le bilan que lui fournit son père était des plus catastrophiques, la guerre avait beau s'être plus ou moins calmés ces derniers mois les blessés et les malades commençaient à affluer en Avalogne, et les quelques mages guérisseurs n'étaient pas aptes à répandre les meilleurs soins à l'ensemble de la population. Konrad suggéra alors le recours à des Baptistrel, ordre qui devenait de plus en plus connu à travers l'Empire des hommes pour leur prouesse médicinale, il était réputé pour leur honnêteté et leur capacité à redonner espoir. Hélas, il ne pouvait pas être convoqué comme de simples sujets, et devait donc être persuadé de l'urgence de la situation, le fils du Duc se proposa alors en personne pour délivrer un message à l'ordre qui devait les convaincre de rejoindre la cité pour y prodiguer soins et réconforts aux citoyens affligés. Alexei accepta avec hésitation la proposition de son fils, il n'était pas vraiment sur de ses capacités en matière diplomatique mais n'avait d'autres choix, lui-même devait diriger les opérations depuis la ville et ne pouvait pas se permettre de voyager inutilement. Konrad partie donc en direction du repaire des Baptistrel. Après âpres discussions qui s'étalèrent sur plusieurs jours, il reçut une réponse positive de sa supplication, un maitre ainsi que plusieurs disciples allez se rendre en Avalogne mais aussi en Arnove pour y prodiguer des soins. Le fils du duc accepta sans regret l'annonce qui lui était faite et retourna au galop avertir son père de la réussite de sa mission.
"- Pars en ce cas mon fils, et que les esprits te soient favorables, nous nous retrouverons durant les fêtes des esprits."
Chapitre II : Une vie de sacrifice.
679 Le spectacle macabre qui se dressa devant lui fut cependant tout à fait inattendu. Konrad venait tout juste de rentrer dans la cité lorsqu'il découvrit qu'une grande partie du peuple était en deuil, entouré par des chevaliers en armure et plusieurs soldats chargés de maintenir l'ordre, des cris et des gémissements suintés de la cité comme d'une plaie purulente. Cela ne présageait rien de bon et en effet, les raisons de ce trouble étaient dues à un événement marquant et fourbe, lié à la guerre qui faisait rage depuis déjà près de 20 ans. Alexei Von Drak, Duc d'Avalogne, Seigneur de l'ordre et chef de famille venait d'être lâchement assassiné il y a de ça plusieurs jours. Les meurtriers n'avaient pas tous été retrouvés et avaient profité d'une fête en l'honneur des esprits pour forcer la garde du Duc durant son sommeil pour l'égorger. Une tentative désespérée qui avait porté ses fruits, peu importe le prix à payer. Les gardes ne purent intervenir à temps, et découvrirent le corps de leur Duc sans vie allongé dans une mare de sang. Les fils du dragon avaient maintenu la cité sous contrôle durant l'absence de Konrad, et des directives du gardien de l'ordre avaient été prises afin que le front contre l'Arnove ne soit pas handicapé de cette disparition brutale. Konrad avait été en voyage depuis 18 jours déjà, et aucune nouvelle ne lui avait été parvenue. La nouvelle tomba comme un couperet sur les épaules déjà vacillantes du jeune héritier. L'esprit branle, l'héritier du Duc défunt se dirigea tout d'abord auprès de la dépouille de son père, il découvrit sur place déjà plusieurs membres de sa famille, sa femme et son fils en faisaient déjà partie. Ce qu'on avait simplement omis de lui dire à l'entrée de la cité, c'est que sa mère avait elle aussi subi le même sort funeste, les assassins n'avaient pas frappé une seule cible ce soir-là et la vie d'Isabella avait, elle aussi était fauchée. Elisa et Léoric avaient visiblement subi quant à eux une tentative d'assassinat mais la présence de chevaliers de l'ordre leur avait sauvé la vie. Rassurer de cette nouvelle bien qu'accablait par la douleur du deuil, Konrad trouva refuge à genoux près de la dépouille de ses parents qu'on apprêtait à bientôt brûler. Elisa était à ses côtés tentant vainement de faire réapparaitre un sourire sur le visage de son époux qui, lui qui était si jovial par le passé en sa présence. Elle ne réussit cependant pas à endiguer la souffrance qu'il subissait. Léoric quant à lui c'était montré très distant, particulièrement choqué de la tentative d'assassinat à son encontre, le jeune adolescent n'avait pas dit un seul mot depuis l'entrée de son père, restant simplement à distance raisonnable le regard vide. Le crime était assurément l'œuvre d'Harald Sombrecoeur, une tentative de terminer la guerre qui faisait rage entre les deux duchés en coupant à la racine la hiérarchie d'Avalogne. Konrad ne comptait pas se laisser faire. Sa période de deuil passé, l'héritier ayant coiffé la couronne Ducale depuis peu était décidé à reprendre les choses en main.
681-685 Bien vite après son ascension au titre de Duc, Konrad se décida à prendre en main la politique militaire et politique du duché, s'entourant rapidement de précieux conseillers rompus aux arts de la guerre, l'homme trouva en Xavius du Bief, confrère de l'ordre une précieuse aide. En effet, le chevalier était déjà à l'époque d'Alexei, un conseiller exemplaire. Il avait été engagé en matière de responsable civile et gouverneur de la cité en absence du Duc. Konrad souhaitait profiter de cette plus grande liberté de mouvement pour obtenir vengeance, et cela commencer en forgeant des alliances pour faire évoluer ce maudit front. Léoric était encore seul et ses talents se limitaient à l'art musical, ses fréquentations douteuses doublées de sa passion nouvelle pour l'alcool et les femmes de petites vertus l'avaient définitivement éloigné de son père en ces temps difficiles. Ne souhaitant pas que sa famille tombe dans l'oubli, le nouveau Duc se décida donc à trouver une épouse de choix à l'héritier des Von Drak. En effet, l'adolescent allait être utilisé par son père dans une alliance forcée avec le comté de Camelaan, région modeste situer à la bordure des territoires d'Avalogne et de l'Arnove. Robert II Camelin était jusque-là resté neutre dans le conflit qui occupe ses voisins, il faut dire que l'homme était réputé pour son opportunisme et chacune de ses actions étaient motivés par des bénéfices personnels. Il était très loin de l'image d'honneur de la famille Von Drak et pourtant il allait pouvoir profiter du conflit pour greffer sa fille en Avalogne. Le jeune Léoric ignorait tout de Lilianne Camelin, de 5 ans son ainé. Un mariage sans amour et purement politique. Inutile de dire que le jeune violoniste explosa de colère lorsqu'il apprit de la bouche de son père qu'il allait devoir honorer son rôle d'héritier plus tôt que prévu. Particulièrement perturbé depuis la mort de son grand-père, le jeune Léoric ne savait plus ou donner de la tête et les mots de son père furent bien trop peu réconfortant pour lui permettre d'accepter son destin. L'adolescent avait fait l'erreur de s'enticher d'une simple artiste présente à ses répétitions, pire encore, il avait eu l'audace de l'avouer à son père. Mais cela fut d'aucun effet sur le nouveau Duc, au contraire, celui-ci était à présent persuadé de faire le bon choix pour sauver son fils qui semblait à la dérive depuis déjà quelques années.
Bien vite l'union fut scellée entre les deux familles, Robert ne comptait pas laisser tomber cette opportunité, lui qui avait raté l'occasion de marier son fils à la jeune duchesse Élisa Romanov, ne souhaitait pas que Konrad rebrousse chemin. Ainsi, Léoric et épousa la fille de Robert contre son gré et sous l'impulsion de sa famille. L'Alliance entre les deux cités fut ainsi proclamé et les troupes de Camelaan se hâtèrent à rejoindre le conflit au nord d'Avalogne, bien qu'ils ne soient pas vraiment pour une invasion aussi soudaine de l'Arnove. Robert n'était pas dénué d'esprit, une intervention militaire directe lui aurait été contre favorable, la guerre qui ravage ses deux duchés voisins lui avait permis de sortir son propre comté du marasme économique. Le nouveau Duc d'Avalogne était bien conscient des fourberies de son voisin, mais se contenta de fermer les yeux sur ses ambitions grandissantes. Il faut dire que les récents récents ne l'avait pas épargné, sa joie de vivre passé l'avait quitté. Son fils était lui aussi en pleine tourmente, toujours épris de la jeune musicienne qu'il avait rencontrée durant sa période d'errances, il n'avait plus adressé de mots à ses proches depuis son mariage. Sombrant peu à peu dans un alcoolisme prononcé, déshonorant publiquement sa maison et sa famille. Konrad n'avait plus de mots pour qualifiés son fils, et Élisa semblait elle-même ne pas le reconnaître. C'est auprès de l'ordre Baptistrel, que le jeune homme finit par retrouver un semblant de salut. Lorsqu'un Cawr vint lui porter réconfort à la suite d'une nouvelle mésaventure dans la cité. Voyant en lui un jeune homme blessé par les événements récents, il décida après une longue discussion avec lui qu'il pourrait devenir un Enwr. Le Duc ne fut pas réellement satisfait de savoir que son fils venait de rejoindre l'ordre sans consentement, mais se ravisa lorsqu'il s'aperçut des progrès effectués par celui-ci. Il avait finit par trouver sa voie, loin des guerres et du tumulte politique, un rôle qui incomber pourtant à un héritier. Ainsi en fin 682 et après une nouvelle incitation de sa famille, il réussit avec sa nouvelle épouse à donner naissance à un nouveau descendant de la Maison Von Drak. Albrecht, Fruit de l'union des maisons Camelin et Von Drak venait de naitre. Des célébrations furent ordonnées en l'honneur de sa naissance, la bonne fortune semblait être enfin de retour en Avalogne.
Dernière édition par Konrad Von Drak le Sam 23 Juil 2016 - 22:32, édité 16 fois
Luna Duruisseau
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (0/10) Xp disponibles: 8
Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Lun 11 Juil 2016 - 20:11
Où en es-tu avec ta fiche ?
Invité
Mon identité Mes compétences
Invité
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Lun 11 Juil 2016 - 20:17
Suite :
Au nord Konrad menait ses forces avec une poigne de fer, déterminé plus que de raison après les actes déshonorant à l'encontre de ses parents, l'homme toujours épaulé par Xavius et son ordre de chevalier avait commencé une campagne mobile contre les forces de l'Arnove, pour la première fois depuis plus de 10 ans, les tranchés qui délimiter les zones de conflits volaient en éclats. Employant sa nouvelle alliance au profit de la guerre, le Duc mena une grande offensive à travers les territoires de l'Arnov, ravageant plusieurs campements, tout en agissant avec les règles de l'honneur et de la bienséance. Les soldats qui se rendaient étaient faits prisonnier et les civiles étaient épargnées ainsi que leur maison lorsque les villages étaient envahis. N'oubliant pas le serment qu'il avait prononcé lors de son entrée au sein des Fils du Dragon. Arhald s'était fourvoyé, il avait cru que la mort d'Alexei sonnerait la fin de la guerre, mais il était sur le point de la perdre. C'est en 684 que le premier revers parvint aux forces d'Avalogne. L'élue de l'ordre venait d'être défait au combat lors d'une embuscade tendue par des escadrons d'Arnove. l'annonce de sa mort ébranlant le Duché qui cessa temporairement son invasion pour reprendre forme de guerre plus stable, en conservant ses nouvelles conquêtes. Konrad en profita pour retourner à son duché pour régler les problèmes qui c'était soudainement accumulés en son absence, la guerre avait de mauvaises répercussions financières pour un homme refusant le pillage. Accompagnés de Xavius, ils promurent le nouveau champion de l'ordre, et ce fut Konrad qui à l'instar de son père à son époque fut choisis comme nouveau dirigeant, à l'âge de 32 ans.
La paperasse et les obligations n'étaient cependant pas les seules surprises pour le Duc qui découvrit que son petit fils avait bien grandit. Le jeune garçon avait en effet quelques années, et son grand-père semblait particulièrement motivé pour exercer son rôle du mieux qu'il lui était possible, conscient qu'il n'avait pas pu faire son maximum pour Léoric. Celui-ci semblait d'ailleurs de plus en plus enfoncé dans la voie des baptistrel, au point de déserter le château familial et sa propre couche pour se dévoué à ses nouvelles obligations. Le changement était saisissant pour son père qui finit par s'entretenir avec son fils pour régler définitivement le conflit qu'il n'avait su refermer. Les vieux démons habitaient cependant toujours l'esprit de l'héritier du Duc qui lui avoua désirait quitter le duché pour se rendre auprès de l'ordre Baptistrel pour y poursuivre sa formation. Après une intervention positive du Cawr et de sa propre femme Elisa, Konrad accepta la demande de son fils au détriment de ses propres convictions. Laissant la jeune Lilianna et son petit fils sans père. Le duc fit cependant la promesse de protéger son petit fils et d'occuper le rôle de tuteur en absence de Léoric. Konrad semblait alors retrouver un peu de sa bonne humeur depuis longtemps disparue, redressant le début d'inflation qui menacé la cité, l'homme s'attela à l'éducation de son petit-fils tout en préparant une nouvelle offensive contre l'Arnove. Xavius fut nommer à cette époque général de son armée, de par ses preuves de loyautés et de compétences sur le champ de bataille. Ensemble, ils préparèrent la suite des événements
686-691 Konrad céda la place de Duc à celui de chef de guerre, laissant Albrecht aux soins de Lilianne. C'est en 686 que reprit les hostilités. En ce début d'année, le fils du Duc Arhald avait été capturé sur le champ de bataille, provoquant une véritable honte pour la famille Sombrecoeur. Très vite un émissaire d'Arnove vint s'entretenir avec Konrad pour débattre d'une rançon, mais le gardien de l'ordre se contenta de rire à ses mots. Lui présentant le corps attacher de l'héritier d'Arhald, il l'encouragea à quitter les lieux en vitesse avec son « présent » pour la famille Sombrecoeur. Xavius lui demanda alors par la suite pourquoi n'avait-il pas fait exécuter le fils de son ennemie. Konrad se contenta de répondre qu'il n'avait nul honneur à vaincre un ennemi désarmé et acculer. Ils ne voulaient pas agir comme ses adversaires. L'invasion se poursuivit alors, les forces d'Avalogne s'enfonçant toujours plus profondément dans les territoires des Sombrecoeur, jusqu'à atteindre les portes de la cité d'Arnove. Le siège allait pouvoir enfin débuter. Konrad n'avait cependant pas prévu les malheurs de sa conquête, les populations locales étaient des victimes collatérales de la guerre, et une épidémie se développa peu à peu au sein de celle-ci. Devant l'ampleur de la catastrophe, l'Empereur en personne somma à Konrad d'être moins téméraire, à travers une lettre qui lui était adressée. Voyant bien qu'il avait presque remporté la victoire, mais que l'attaque finale allait provoquer un vent de chaos à travers la région, le Duc d'Avalogne finit par entendre raison au mépris de ses conseillers qui l'abjuraient de mettre un terme à cette guerre définitivement. Seuls les fils du dragon acceptèrent son choix avec force. Ainsi les forces d'Avalogne soutenue par les troupes de Camelaan finirent par se replier sur leur propre territoire, bien que les Avaloniens ne restent pas à porter de la cité au cas où ceux-ci tenteraient quoi que ce soit. Konrad profité de ce cessez le feu provisoire pour retourner auprès de sa famille et de ses citoyens, reprenant son rôle d'administrateur et de grand-père. Il écrivit d'ailleurs un lettre à destination de l'Empereur, pour lui transmettre ses pensées.
Chapitre III : Le prix de l'honneur.
692 Les hostilités c'étaient peu à peu apaisé et seules quelques escarmouches subsistaient entre les forces adverses, rien qui ne puisse être qualifié de bataille réelle. Ainsi le conflit sembla un instant revenir à son aspect figé, mais Robert II Camelin semblait avoir une autre idée en tête. En effet, l'homme s'était proposé comme négociateur dans un possible achèvement des hostilités. Depuis est entré dans le conflit en la faveur d'Avalogne, le comte avait agi avec mesure n'envoyant que de faibles contingents soutenaient le front nord, une action particulièrement mal vue de la part de Konrad et ses conseillers. C'est pour cette raison que la proposition de celui-ci fut perçue avec d'autant plus de craintes par les dirigeants Avaloniens. Robert n'avait pas très bonne réputation, mais Konrad était plutôt confiant. Après tout Albrecht était son petit-fils et Lilianne sa fille était à présent une Von Drak habitant Avalogne. Il n'aurait eu aucun intérêt à trahir sa propre cause. Sans compter la lettre de l'Empereur suggérant à Konrad d'enterrer le conflit avec son voisin du nord. Toutes ces pensées finirent par mettre à mal le Duc qui était tiraillé entre son besoin de vengeance manifeste et le respect des valeurs que son père lui avait inculquées. C'est finalement l'honneur qui prévalus, les Von Drak allaient accepter l'entrevue avec Robert et Arhald en terrain neutre. Après avoir annoncé cette information à ses conseillers ceux-ci restèrent plutôt silencieux, c'était sans compter le franc-parler de Xavius. Qui n'était absolument pas d'accord avec cette réunion, se souvenant avec aigreur de l'assassinat de son ancien Duc, Alexei. Le conseiller ne tarda pas de faire part de son avis à son supérieur qui depuis ces années avait finit par devenir un ami proche.
« C'est un geste inconsidéré Monseigneur, cela reviendrait à s'exposer en un terrain qui n'est pas le nôtre, nous avons la possibilité d'écraser l'Arnove, les Romanov nous soutiennent. L'Empereur lui-même finira par accepter cette juste cause. » « Je n'ai pas à imposer ma volonté à notre souverain. La guerre a fait bien plus de morts que de raisons, et je ne souhaite pas la prolonger dans une effusion de sang inutile. Arhald est conscient de sa défaite. Et même s'il venait lors de notre entrevue, à avoir une idée folle en tête, je m'occuperais de la lui raccourcir en personne. » Ainsi, Konrad fit préparer une longue escorte et une partie de son armée pour un voyage jusqu'à Camelaan, suffisant pour assurer une protection. Elle n'avait cependant rien de l'armée d'Avalogne situé encore actuellement dans les frontières nord, aux portes de l'Arnove. Attendant d'être démobilisé ou de passer à l'assaut pour prendre la ville. Un cessez-le-feu avait été officiellement déclaré et une date fut fixé. Les Avaloniens ne furent rassurés qu'après la déclaration du Cawr Balian, qui proposa d'accompagner l'escorte pour s'assurer que la paix soit au coeur des négociations à venir. Konrad accepta avec plaisir la proposition voyant là l'occasion de rassurer ses hommes. Ainsi très vite, ils se mirent en route vers l'ouest en direction de Camelaan. Le Duc avait veillé à ce qu'Albrecht soit en sécurité auprès de sa mère. Il s'occupa de doubler la garde en son absence et laissa l'ordre contrôlé le calme dans la cité.Xavius était lui aussi du voyage, bien qu'arrivé tardivement, les deux Chevaliers discutèrent bien en avance des termes de la rédition des Sombrecoeurs et finirent par être d'accord. Enfin, la fin du conflit venait se présenter. Balian le Cawr avait quant à lui pris de l'avance, pour se rendre directement auprès de Robert, une fois les termes de rédition formulé par Konrad.
Le Comte de Camelaan les attendaient devant les portes du comté, entourer de ses hommes d'armes charger de maintenir la sécurité lors de l'entrevue. Il veilla à accompagner Konrad et ses hommes jusqu'aux châteaux, laissant le gros de ses troupes aux côtés des siennes dans la caserne du comté. Seuls les chevaliers eurent l'autorisation d'accompagner le Duc. Comme le voulaient les règles de la bienséance, Xavius décida cependant de rester auprès des troupes, pour s'assurer que tout se passe bien. La petite troupe pénétra rapidement dans la salle de réception qui fit office de lieu de rencontre entre les deux adversaires. Arhald était déjà là, accompagner par quelques hommes. Les deux ennemis se fixèrent directement, Konrad n'avait pas oublié que le meurtrier de ses parents se trouvait juste devant lui à porter de sa masse. Mais il se contenta d'un bref salut de tête, ses chevaliers en revanche restèrent silencieux. Robert brisa rapidement le silence gênant, pour conviés les deux ducs un peu plus loin, accompagné dans le même temps par Balian le Baptistrel. Il présenta les termes de la rédition de l'Arnove, selon les critères que Konrad lui avait transmis. Les 3 hommes étaient déjà au courant de son contenu et ce n'était finalement plus qu'une simple formalité. Le chef Sombrecoeur accepta avec dégoût ce qu'on lui proposer. S'engageant à reconnaître officiellement l'assassinat d'Alexei et d'Isabella Von Drak, à verser une rente d'or au duché d'Avalogne pour les années de guerre qu'il avait provoquée, à concéder le territoire que Konrad avait conquis dans le sud de son duché et enfin, à démanteler la majeure partie de ses forces militaires. Robert intima les deux ducs à se serrer la main pour sceller le contrat qu'il venait de passer, et quitta la pièce en leur demandant de le suivre. Le Duc D'Avalogne prit soin de ne pas s'attarder, suivant de près l'instigateur de la rencontre, accompagner du maitre Balian. Les deux hommes échangèrent quelques mots avant d'assister à une annonce de Robert qui s'adressa aux autres invités.
« - Mes amis, après ces nombreuses années de guerre, célébrons aujourd'hui l'enterrement de ce conflit et la fin de cette triste querelle entre les maisons Sombrecoeur et Von Drak. Tout se terminera après cette entrevue d'ores et déjà réussie. Qu'on amène de quoi trinquer ! »
Ainsi les négociations firent place à un banquet de célébration. La paix était sur toutes les lèvres. Cela ne dérida pas pour autant le visage des chevaliers qui restaient malgré tout sur leurs gardes. Balian semblait être la seule personne de bonne humeur, parlant à haute voix des bienfaits de cette paix providentielle, hélas il finit par être appelé en dehors du château pour annoncer la bonne nouvelle aux hommes qui patientaient encore dans la caserne. Son absence marqua une nouvelle tension dans l'air, qui finit par se dissiper à grandes coupes de vins. L'alcool, la musique et la promesse d'un arrêt des combats finirent par dérider l'ensemble des invités qui s'adonnaient à présent à la franche camaraderie. Seul Xavius, qui venait alors tout juste de pénétrait dans la salle, semblait encore réticent à l'idée de se jeter dans le stupre. Konrad qui avait lui-même finit par boire quelques verres, se rendit compte des peurs de son ami et lui tendit une coupe de vin, l'invitant à boire. Mais celui-ci resta opposé à tout ceci, c'est à l'instant où il s'apprêtait à rejeter l'offre de son Duc qu'il découvrit que plusieurs hommes dans la salle étaient sujets à des convulsions violentes. Des cris stridents remplacèrent les plaisanteries habituelles, et plusieurs Fils du Dragon commencèrent à déglutir du sang. Cette vision cauchemardesque ne fut qu'amplifiait lorsque Xavius observa la même réaction en la personne de Konrad. Il se jeta à son secours, en découvrant qu'ils venaient d'être empoisonnés. C'est dans cette incompréhension générale, que les hommes de Robert frappèrent les victimes de l'empoisonnement de leurs épées. Tuant les blesser sans vergogne dans la stupeur générale. Le comte de Camelaan c'était écarté de la foule pour rejoindre sa place habituelle au centre de la salle de réception, observant sans broncher le massacre de ses alliés tout en buvant une nouvelle gorgé de vin. Les Avaloniens avaient été dupés, Arhald et Robert conspirés à présent tous deux contre Konrad. Dans le vacarme général, le Duc D'Avalogne réussit à reprendre réussit à reprendre suffisamment de force pour hurler à l'encontre du maitre des lieux, souhaitant savoir ce que signifier cette trahison.
« - Votre fin symbolise le début de mon ascension. Comme je l'ai dit un peu plus tôt, notre entrevue sonne la fin de guerre. Lorsque vous mourrez, mon petit-fils sera officiellement nommé Duc d'Avalogne à la suite du désistement de votre fils, et par conséquent ma fille agira en tant que régente du Duché. En d'autres mots, je régnerais sur votre chère cité. »
Konrad n'en croyait pas ses yeux, il avait fait preuve de respect et d'honneur pour finalement être trahie dans une bassesse inconcevable. Sa colère n'arrangea cependant pas son état de santé qui se dégradait rapidement. Xavius était lui-même sous l'effet d'une colère inouïe, il s'empara du corps de son Duc avec une étrange facilité pour son poids. Puis se dirigea à une grande vitesse jusqu'à la porte, suffisamment pour provoquer un étonnement général, quelques gardes tentèrent de l'interrompre mais firent tailler en pièces par mains expertes qui lacérèrent la gorge de ses ennemis à l'aide de ses gants d'acier. Il expédia un violent coup de pied vers la sortie et courut au-dehors, tentant de ne pas s'attarder sur les cris de souffrance de ses frères chevaliers dont le sort était à présent scellé. Dehors, il découvrit un nouveau spectacle macabre. Les soldats qui avaient été amenés dans la caserne étaient actuellement en train de se battre dans les rues de la cité, des corps sans vies étaient disposés de manière chaotique un peu partout, mais heureusement un visage familier arriva jusqu'à Xavius, des Fils du Dragon. Les hommes portaient les marques de sang synonyme d'une lutte pour la survie. Le conseiller leur ordonna de préparer les chevaux pour leur départ immédiat. Les rares survivants accoururent jusqu'aux écuries, qui étaient déjà bien gardées, triompher des gardiens les Avaloniens enfourchèrent leurs montures et traversèrent la cité en proie à la guerre.Sur le chemin,Xavius aperçue Balian au loin et demanda à un de ses frères chevaliers de s'occuper de lui, gardant de bonne distances entre eux. Le Baptistrel joyeux d'il y a quelques heures avait disparu, le dégoût et la colère avaient envahi ses traits. C'est ainsi qu'in extremis, quelques survivants réussirent à s'échapper de Camelaan sans tomber dans les griffes de Robert et de son complot. Konrad devait être ramené d'urgence auprès des siens pour être soigné, et préparer par la même occasion, la défense de la cité qui ne tarderait pas à être envahis. Cette trahison de Robert n'était pas sans conséquence.
692-693 Après plusieurs jours de routes, les fuyards avaient atteint les terres d'Avalogne. Une fois rentrés dans la cité, les chevaliers se précipitèrent pour alerter l'armée et l'ordre de la perfide trahison. Xavius escortait pendant ce temps, le corps du Duc jusqu'à son château, le glissant dans son lit, il fit alors monter le Cawr près de Konrad pour lui prodiguer des soins, Xavius profita de cet instant pour informer l'ordre des événements. Le Baptistrel tenta alors de soigner son empoisonnement, mais le poison avait bien trop progressé depuis ces quelques jours, rendant impossible la guérison. Xavius ne pouvait accepter cette fatalité et demanda aux gardes de congédier l'elfe auprès de son établissement dans la cité.Tout ceci c'était passé si vite... c'est à cet instant que différents membres des Fils du Dragon demandèrent audience auprès de Konrad, pour ne découvrirent que le visage blanchâtre de son plus proche conseiller. Les frères chevaliers, devaient à présent s'entretenir des manœuvres à suivre. L'armée située au nord dans les territoires de l'Arnove avait été pris à partir par les forces de Camelaan, profitant de la signature du traité pour arrêter les soldats en stationnement, avec la trahison comme motif
« - Nous ne pouvons pas laisser notre supérieur mourir de cette façon, sans lui Camelin aura le contrôle complet de la ville par l'intervention de sa fille, il utilisera son petit-fils comme pantin pendant que nous serons chassés de notre terre. Nous devons nous assurer que Konrad reste en vie pour assurer la défense du Duché. » Les deux autres Seigneurs de l'ordre étaient d'accord avec ces mots, mais comment pouvez ils soigner Konrad et les autres Seigneurs de l'ordre, si le Baptistrel n'avait su lui-même, comment vaincre un tel poison.
« - Nous ferons ce qui est juste pour honorer notre serment. Qu'importent les sacrifices, pour peu que l'intérêt commun soit sauvegardé. »
Il ordonna alors à ce qu'on ne le dérange pas et intima à ses camarades de procéder aux mesures de sécurité en attente du siège de la ville. Il retourna quant à lui dans la chambre du Duc, qui était depuis son retour, entouré de sa famille. Sa femme et son petit-fils n'avaient pas quitté son chevet, Lilianne était quant à elle introuvable depuis déjà plusieurs jours. Xavius enjoint les deux individus à quitter la pièce, pour qu'il puisse s'occuper personnellement de la guérison du Duc. Elisa semblait désemparée par sa déclaration mais accepta de laisser son époux entre ses mains. C'est uniquement lorsqu'ils ne furent plus que deux dans la pièce, que Xavius laissa apparaître deux crocs proéminent en dehors de sa bouche. Avant de venir mordre le cou de son Duc, qui réagit promptement pour la première fois depuis déjà quelques heures, se tordant dans tous les sens sous l'effet du venin vampirique de celui dont on avait ignoré jusque-là, la nature véritable.
Chapitre IV : Renaissance sanglante.
693-694 C'est de cette façon que Xavius réussit à sauver les quelques dignitaires survivants d'Avalogne. Au début de l'automne 693 de l'âge d'argent. L'ordre chevalier avait perdu de nombreux soldats lors de l'embuscade, mais quelques-uns avaient été vampirisé à la manière de Konrad, pour survivre aux effets dévastateurs du poison. Bien entendu personne ou presque n'était au courant de la situation, officiellement, le Duc avait été empoisonné et rester dans sa suite, attendant d'être pleinement sortie d'affaire, personne n'avait le droit de lui rendre visite durant sa convalescence, pas même la duchesse. Seuls quelques hommes très haut placés de l'ordre, étaient au courant que Konrad ne faisait plus partie des vivants. Ces chevaliers étaient déjà au courant du vampirisme qui avait frappé jadis Xavius, puisqu'il c'était lui-même confesser auprès d'Alexei de son état. Les rares personnes au courant avaient été vivement contre l'idée qu'il puisse rejoindre leur rang, et pourtant il n'avait jamais failli à sa tâche. Hélas la situation en Avalogne semblait s'obscurcir de plus en plus vite. Les nouveau-nés étaient incontrôlables et bien qu'au nombre de 3, ces hommes n'avaient cessé de vouloir se nourrir, comme leur corps l'exigeait. Xavius avait bien tenté de les en dissuader en leur fournissant une partie de leur souvenir et la possibilité de se nourrir comme lui à travers une jarre de sang, mais rien n'y fit. Ces nouveaux vampires étaient insatiables et bien loin des hommes d'honneur qu'ils avaient été. Konrad lui-même était voué d'une folie meurtrière, ôtant la vie à de nombreux citoyens qu'il avait toujours juré de protéger. Il fut même le triste auteur du décès de son épouse Élisa, un soir ou elle tenta de braver les interdits pour découvrir l'état de son époux. Konrad Amnésique ne se rendit pas compte de qui elle était, et bondit sur elle comme il l'aurait fait face à n'importe qui, la mordant prestement. Devant la difficulté croissante, et le début d'une vague de terreur entourant les disparitions de plus en plus fréquentes, Xavius tenta d'enchainer les forcenés dans les donjon. Une tentative inespéré de calmer leur ardeurs.
Balian le Baptistrel était de plus en plus sollicité ces derniers temps. La population très inquiète par les conflits extérieurs et les cas d'enlèvement interne, cherchant à tout prix du réconfort auprès de leur Duc, mais sa maladie rendait tout échange impossible. Elisa et Xavius étaient les seuls à s'être fait entendre. C'est de cette façon que Balian devint peu à peu, une figure réconfortante. Les hommes affluaient de toute la ville pour quérir ses conseils et l'Elfe faisait tout ce qui était en son pouvoir pour tenter de rétablir le calme dans la cité. Cependant, il n'était pas dupe. Il avait déjà connu des crises similaires par le passé et se doutait que quelque chose d'anormal et de normalement disparut frappé cette ville.Il demanda alors audience auprès de Xavius, pour en apprendre plus sur la situation catastrophique de la ville. Les deux hommes ne se rencontrèrent cependant jamais. Xavius sachant parfaitement les risques qu'il prenait lors d'un rencontre, demanda à l'un de ses hommes les plus fidèle, un Seigneurs des Fils de Dragon de pendre en charge sa requête. Les deux hommes entamèrent une discussion qui tourna rapidement autour de l'état de santé de Konrad. Balian fut alors rapidement mener à réaliser l'ampleur du désastre, le Duc devait être mort à l'heure qu'il est, rien ne pouvait l'avoir tenu en vie depuis tout ce temps, il devait avoir des réponses à ses questions.
« - Je sais que quelque chose d'anormal se déroule ici. Sachez que je ne suis pas là pour vous accuser mais pour mettre un terme à la folie qui s'est emparé de la ville. Conduisez-moi jusqu'au Duc, afin de me permettre de purifier sa tourmente. Sinon j'ai bien peur que les derniers remparts de cette cité ne s'effondrent avant même l'arrivée des forces ennemies. »
Le chevalier se savait percé à jour et du s'absenter pour demander assistance à Xavius, celui-ci finit par lui demander de conduire le Cawr jusqu'au Duc, sachant déjà ce qu'il avait en tête. L'homme de Xavius guida donc Balian à travers les donjons jusqu'aux cachots où étaient détenus les Vampires depuis déjà quelques semaines. Ceux-ci n'étaient plus des nouveaux nés mais la soif les gouverner toujours. À cette vision, une impression de pitié sincère se dégagea du Cawr, lui qui avait été à l'origine convoquer par un homme honorable et honnête, voyer à présent un suceur de sang. Balian finit par demander à obtenir un entretien privé avec les 3 hommes séparément. Usant de sa magie à travers son chant-nom pour éveiller la mémoire des Vampires qui furent particulièrement choqués de retrouver leurs souvenirs de cette façon. Une fois son travail terminé, il laissa le Duc et ses compagnons récupérés. Il s'adressa simplement à Xavius en débutant son trajet de retour. L'informant qu'il ne pourrait pas garder caché un secret aussi important que la transformation du Duc. Évidemment, Xavius tenta de l'en dissuader, arguant que la révélation d'une telle malédiction provoquera bien plus de mort qu'elle n'en protégerait. Mais c'était inutile, Balian était un Baptistrel et il se devait d'être franc et honnête dans tout ce qu'il faisait. Il avait certes développé un attachement profond pour la cité depuis ses années de service, mais il ne put renoncer à ses obligations envers l'ordre et la droiture.
Ainsi, la rumeur se répandit bien vite. Cependant l'action de Balian avait été salvatrice, les chevaliers qui avaient provoqués tant de trouble dans la cité c'était finalement rappelait de leur serment et de leur vie passé. Bien qu'ils n'aient pas la sensation que cela soit réellement partie d'eux, ils étaient conscients que le meurtre des citoyens qu'ils avaient jadis jurés de protéger n'était pas le plus raisonnable. Ils adoptèrent donc la méthode de Xavius et se contentèrent de jarre de sang, provenant des bandits et autres soldats ennemis capturaient. Ainsi les enlèvement laissèrent place au doute et à la crainte. Les rumeurs disaient-elles vrai ? Voilà ce que tous se demander. Konrad encore profondément marqué par sa transformation et l'homicide de son épouse, resta un moment distant de la foule, se contentant de recevoir son petit fils dont il se souvenait enfin. Étrangement, ses actions n'étaient pas aussi mécaniques qu'avec les autres, il semblait presque apprécié le contact de son petit-fils alors que sa manière de pensée avait entièrement changé depuis sa transformation. Toujours est-il que le jeune Albrecht ne réalisa pas la transformation de son grand-père, et continua donc d'éprouver un grand amour envers lui. Il faut dire qu'il n'avait alors que 10 ans.
été 694 La situation commençait à devenir critique. Balian avait été obliger de déclarer à ceux qui l'interrogeait la vérité sur le Duc et ne souhaitant pas créer plus de trouble avait décidé de quitter la cité. Sa décision qui se voulait fédératrice à l'époque, n'avait fait que provoquer un éxode de ses plus proches fidèles, des jeunes gens perdus et inquiet par l'approche des troupes coalisés de l'Arnove et de Camelaan. Konrad ne pouvait pas rester les bras croisés, tandis que son peuple quitter la cité. Il s'entretint alors avec Xavius et les autres Seigneurs de l'ordre pour décider de la suite des opérations, ses plus proches conseillers assistèrent eux aussi à la réunion, mais ils n'avaient plus la même influence auprès du Duc vampire, qui n'écoutaient à présent que les conseils de ses frères de l'ordre, de préférences les autres vampires. Konrad savait déjà que le doute avait pris une partie de la cité, et ne souhaitait pas être à nouveau mis en avant. Ainsi il suggéra a Xavius d'ordonner un conseil dirigeant en l'absence du Duc, mais en son nom ainsi que son descendant Albrecht. Celui-ci serait vu comme la figure dirigeante de la ville en son absence, seconder par l'ordre. De cette façon, une grande réunion fut ordonné près du coeur de la cité. Tout les citoyens étaient invités à s'en approcher pour entendre le discours du Conseiller Xavius. Les chevaliers avaient équipés leur armures pour l'occasion ainsi que leur armes. Les vétérans émérites de l'ordre donnaient ainsi, une impression de discipline et d'ordre, auréolé d'une teinte légèrement sinistre. Xavius s'avança face à la plèbe et parla d'une voix forte et déterminée. « - Citoyens d'Avalogne ! Mes amis. L'heure est grave et je sais que le doute vous étreints. Cependant, ne perdez pas à l'esprit notre ennemi commun qui marche actuellement contre nous, pour renverser notre belle et cher cité. J''ai entendu beaucoup de rumeurs, comme quoi le Duc qui avait juré fidélité était devenu un monstre assoiffé de sang ? Ou sont aujourd'hui les saints patrons qui osèrent jadis accabler sa dignité de cette façon ? Loin de cette cité ! Comme tous les lâches qui les ont suivis. Serez-vous comme eux ? Agirez-vous en lapins apeurés, tandis que nos adversaires marchent dans l'intention de détruire tout ce que nous avons jamais aimé ? Ceux qui non content d'avoir assassiné feu Alexei, votre Duc, ont aujourd'hui réalisé un nouveau forfait en tuant notre duchesse et empoisonnant notre Duc Konrad qui reste aujourd'hui accablé dans son lit, au seuil de la mort. Voilà ce que ces félons nous réserve à tous. Ceux qui sont trop lâches pour se battre sont libres de quitter la cité qui les a vus naitre. Pour ce qui est des braves qui souhaitent défendre la défendre, veuillez me suivre. »
Xavius traversa alors la ville dans un premier temps marqué par le silence, puis plusieurs cris d'encouragement suivirent ses pas. La population galvanisée par ce discours, suivait l'homme qui avait juré de les défendre. La vengeance était à présent sur les lèvres de tous. Les chevaliers de l'ordre s'étaient occupés d'armée la plus grosse partie de la population et de donner Quelques cours sommaires de maniement de la lance et de la masse, ainsi que du bouclier. Des éléments faciles à saisir et à reproduire dans un minimum de temps. Konrad quant à lui, c'était faufiler dans la cité dans l'armure d'un simple chevalier, oubliant son armure de Duc et ses armes habituel pour être considérer comme un simple combattant. Le conseil avait laissé s'échapper les plus inquiets ainsi que les personnes les plus jeunes et les plus âgés, tout en gardant Albrecht à ses côtés, Lilianne n'ayant toujours pas fait surface. Les vampires imitèrent rapidement Konrad, et profitèrent de la situation de crise pour se promener le plus souvent possible en armure, n'exhibant pas leur non-vie aux profanes. Des protections supplémentaires furent développées aux murs de la cité, maigre tentative de renforcer les défenses de la cité face au siège à venir. Dès l'automne de l'an 693, les forces coalisées étaient aux portes de la cité. Édifiant un siège sommaire dans l'intention de prendre la cité. Cependant, la peur des représailles de l'Empereur poussa les assaillants à se hâter. Ne prenant pas le temps d'affamer les assiégés, les coalisés attaquèrent directement les murs d'Avalogne. Robert et Arhald étaient tous deux présents. Lilianne était finalement aux côtés de son père, attendant de pouvoir prendre la régence après la mort de Konrad. Cependant leurs plans ne se déroula pas comme prévu. Guidé par Konrad, Xavius et les autres Fils du dragon, les Avaloniens subsistants étaient voués d'une colère et d'une détermination à toutes épreuves. Bien qu'ils ne soient qu'une réunion d'homme du peuple, ces petites gens tinrent l'assaut et infligèrent par la même occasion une défaite cuisante aux assiégeants.
Hélas, l'infériorité numérique finirait irrémédiablement à vaincre les assiégés. Konrad devait donc trouver une solution de secours, c'est à cette occasion qu'il eut l'idée d'employer les tunnels du château, reliés à une forêt avoisinante, pour fuir dans le cas où la défense s'écroulerait. Il en informa rapidement la population et ses chevaliers afin de préparer ce moment fatidique. Mais l'attente ne fut pas de longue durée. Arhald et Robert ne souhaitaient pas attendre plus longtemps, dans quelques jours les émissaires de l'Empereur seraient là et obligeraient bien vite les deux félons à stopper leur invasion indigne. C'est pourquoi les deux hommes avaient décidé d'employer une méthode des plus lâches, une nouvelle fois. C'est à l'aide d'engins de siège chargés d'amphore d'huile et de pierre enflammé, qu'ils incendièrent la ville. Devant la quantité de projectile et quelques rares points d'eau, le feu était difficilement contrôlable. Pire encore, alors qu'une partie des défenseurs s'était attelée à empêcher la progression des flammes, une nouvelle vague de troupes envahirent les remparts, avec bien plus d'hommes que la première fois. Devant ces vagues interrompues d'assaillants, Konrad à son grand désarroi du proclamer la retraite jusqu'au château. Les Fils du dragon protégeaient les arrières tandis que les hommes guidés par Xavius étaient menés jusqu'aux tunnels. Albrecht hurla lorsque le conseiller le saisit pour le séparer de son grand-père toujours sur le front. Les flammes et le sang laissaient une odeur pestilentielle dans les rues de la cité, naguère majestueuse. Les sentiments de colère et de haines qu'éprouvait Konrad mélanger à ses souvenirs l'avaient presque forcé à rester combattre seul contre tous, mais ses propres chevaliers l'emportèrent contre son gré à travers le tunnel de sortie. Ils fermèrent derrière eux l’immense porte en fer qui sécurisait l'entrée du tunnel, près des cachots et débarquèrent dans la forêt, la nuit froide les accueillants.
Chapitre V : l'Ordre nouveau.
Tout semblait à présent perdu. Avalogne venait de tomber aux mains des coalisés et était à présent en proie aux flammes, il fallait espérer que les conquérants réussissent à éteindre les flammes au plus vite, ou la cité flamboyante de jadis risquait fortement de ressembler à un tas de cendre d'ici quelques heures. Pire encore, une partie de la population qui avait vaillamment défendu la ville, n'avait pas réussi à emprunter les Issus de secours, et se trouver actuellement emprisonner ou simplement morte. Konrad fulminait intérieurement, tous ces événements récents n'étaient pas prévus, la trahison de Robert et de Lilianne, le meurtre de sa femme de ses propres mains, et la perte de sa cité. Sans parler de sa transformation en vampire et du besoin de sang qui l'accompagnait, il c'était transformé en un monstre que ses ancêtres avaient juré de vaincre, une fin des plus ironiques. Il comprit à cet instant que c'était son désir d'honneur et de respect de la noblesse qui l'avait précipité dans sa chute, et se jura de ne plus jamais éprouver pareille faiblesse. Xavius vint à sa rencontre pour quérir des informations de sa part, un campement rudimentaire venait d'être dressé et les hommes étaient en attente. Les villageois semblaient bien moins motivés depuis la perte de leur cité, l'envie de fuir n'avait pas échappé à certains qui avaient déjà pris la route. Ce qui ne leur laissait bientôt qu'une poignée d'hommes, ainsi que tous les chevaliers survivants. Le monde de Konrad était en train de s'effondrer.
« - La perte de notre armée au nord aura sonné le glas de la guerre. J'ai échoué, de simples paysans enrôlés ont finit par anéantir Les Fils du Dragon. Je n'ai plus d'autres choix, je vais réparer mon erreur passée. » Xavius semblait étonné de cette déclaration, et questionna Konrad sur ses projets, une tentative d'invasion était dorénavant impossible, les chevaliers de l'ordre étaient certes encore nombreux, mais ils n'étaient que de simple humain.
«- En effet, des humains ne réussiront pas cet exploit. Mais des nouveaux nés galvanisaient par un festin de sang à venir pourrait nous le permettre. » C'était bien la première fois que Konrad s'exprimer de cette manière, lui qui avaient toujours mise l'honneur et la noblesse au coeur de ses décisions parlait d'une façon glaciale, presque effrayante. Xavius lui demanda d'être plus clair, souhaitait-il réellement transformer l'ensemble de son peuple qui l'avait soutenu jusque-là en une légion de vampire.
« Les fils du Dragon sont morts avec la chute d'Avalogne. Mes précieux villageois et chevaliers finiront par se détourner de moi dès qu'ils auront confirmation de mes nouvelles habitudes alimentaires. L'Empereur quant à lui, mettra sans doute l'armée en marche pour m'écraser après avoir eu vent de ma transformation. Un Duc Vampire ? C'est impensable. » Il ajouta alors« rassemble les hommes, tous ceux qui sont en vie aujourd'hui, mérite d'être nommé chevaliers. »
Xavius encore choqué de ses paroles acquiesça tout de même silencieusement et partit en direction des autres hommes, annoncer la bonne nouvelle... Pendant ce temps Konrad, qui était alors toujours incognito parmi ses hommes. Informa les deux autres vampires de son objectif. Après avoir fêté frugalement la venue des différents citoyens combattants dans la chevalerie, les hommes se mirent au lit. Le Duc déchu profita de ce moment de calme pour saisir Albrecht et l'écartait du campement pour la nuit. Les conflits qui allaient éclater bientôt ne laissaient pas la place à un jeune garçon. Il informa alors un de ses chevaliers de mener le jeune héritier jusqu'à Gloria afin que l'Empereur le garde auprès de lui comme pupille. Il aurait bientôt 13 ans, de quoi commençait une instruction militaire dans le but d'un jour, pouvoir succéder à son grand-père. C'était cependant les désir de Konrad. Il avait agi comme un père envers son petit-fils, et l'avait éduqué en l'absence de figure parentale, malgré sa transformation ce fut un nouveau déchirement pour Konrad. Pendant que le dernier bout d'humanité proche au Duc s'envoler dans les profondeurs de l'Empire, les autres vampires agissaient à travers le camp. Mordant sans vergogne, chevaliers et écuyers. Bien vite, l'ensemble du campement fut sous contrôle. Le somnifère à base de plantes qu'avaient concoctées Xavius avait fonctionné à merveille. D'ici quelques heures, ces humains deviendraient des nouveaux nés et la vengeance du Duc se mit en place. Profitant du calme de la nuit, les 4 Seigneurs de l'ordre se réunirent autour de Konrad, la mine basse. C'est à cet instant que le Duc Déchu déclara la dissolution officielle des Fils du dragon, leur humanité était à présent derrière eux et les citoyens d'Avalogne n'étaient plus leur priorité. À la place, il fonda l'Ordre du Dragon de sang, en hommage aux victimes de la guerre et à la malédiction qui les avaient frappé. Ce changement de nom n'impliqua pas pour autant une modification stricte du code de l'ordre, si ce n'est que la noblesse ne faisait presque plus parti de leur priorité.
696-700 Après quelques mois d'errances et d'entrainement visant à unir les différents vampires, la troupe se dirigea vers le nord en direction de l'Arnove. Les premières semaines fut les plus compliqués, les nouveaux nés au nombre de deux cents, c'étaient entre-tués dans la forêt dans une lutte primaire et désordonnés. Konrad et ses lieutenants réussirent au bout de plusieurs jours à éliminer les fortes tête réduisant l'ensemble à 100 vampires meurtrier prêt à tout pour se nourrir malgré leur encadrement.Ils Pillèrents village et campements à la recherche de sang frais et de moyen d'acquérir de l'expérience pour les néophytes. L'entrainement martial qui était à présent imposé à tous les chevaliers n'était pas forcément suffisant et rien n'avait la force d'un exercice sur le terrain. Bien vite ces petites escarmouches se transformèrent en une politique de terreur qu'appliqua Konrad à travers tout le duché, les rumeurs parlaient d'un retour des vampire pourtant aucune victime n'était transformée et pour cause. Konrad et ses hommes ne cherchaient pas à grossir leur rang mais à créer des réserves. Ainsi ils vidaient les corps de leurs victimes pour les sceller dans des urnes, pour permettre un ravitaillement efficace pour les événements à suivre. Le comté de Camelaan ne fut pas épargné par ces raids. La peur était palpable mais au fur et à mesure des années, des troupes de plus en plus nombreuses furent postés à chaque village, un couvre-feu fit instaurer et les règles de sécurité renforçaient. Xavius ne tolérait que difficilement les décisions de son Duc, lui qui avait jadis toujours agi avec honneur et respect de ses adversaires, ne faisait preuve d'aucune pitié. Cela ne l'empêcha pas pour autant de continuer à le suivre. Ces pillages avaient eu le mérite d'entrainés les vampires de Konrad. Bien que toujours voué d'une folie sanguinaire et d'une soif de sang importantes, les nouveaux chevaliers de Konrad rester plus ou moins fidèle à sa cause.
700-701 La peur et les menaces engendraient par Konrad et ses hommes avaient eu des effets très négatifs sur les forces d'Arhald et de Robert, tous deux avait d'ailleurs brisé leur alliance. Les deux hommes étaient tellement suspicieux qu'ils pensaient que l'un d'entre eux était responsable de ce carnage, qu'ils avaient même lancé leurs forces respectives dans des assauts les opposants. Il faut dire que personne n'avait revu Konrad Von Drak depuis près de 5 ans. C'est au début du printemps de l'année 700 de l'âge d'argent, que les forces de Konrad quittèrent leur tactique de guérilla pour adopter des manœuvres plus audacieuses. Pour la première fois depuis le début du conflit, des batailles en plaine firent provoquer par les vampires, les forces de Camelaan étaient composées principalement de piétaille et dépourvues de chevaliers. Les troupes vampiriques, bien plus expérimenter et lourdement équipés n'eurent aucun mal à triompher de leurs adversaires, malgré l'infériorité numérique. Les déroutes lors des combats n'étaient pas rares au vu de la réputation des chevaliers de sang, et des rumeurs à leur sujet. Les hommes du Duc ne faisaient pas de prisonnier et poursuivaient systématiquement les fuyards. Ils procédaient alors à des exécutions sommaires leur permettant de ponctionner le sang nécessaire à leur survie, les corps étaient alors rassemblés en un monceau de cadavre putride. Les batailles étaient cependant particulièrement sanglante et loin de l'esprit de chevalerie que défendait Konrad, lui et ses hommes agissaient tel des furies dans les rangs adverses, massacrant brutalement et de manière plutôt désordonnés les conscrits qui leur étaient opposés. Ce n'est que lorsque Konrad atteint Camelaan, qu'il rencontra une véritable défense. Les hommes les plus loyaux et courageux du Comte étaient présents dans la ville, attendant impatiemment le début du siège. Des vivres avaient été fait préparer à cette occasion, pourtant les habitants n'eurent pas à en profiter. Effectivement, Konrad n'était plus motivé à procéder à des manœuvres de siège ou quelconque acte impliquant une longue patience. Robert avait provoqué la chute d'Avalogne, et il devait en payer le prix. Ainsi, Xavius et les meilleurs chevaliers de sang firent expédier dans la cité, lors d'une nuit. Profitant du calme apparent, ils réussirent à ouvrir les portes, laissant passer le gros des troupes de Konrad. Silencieux, les gardes furent égorgés avec soin, pour ne pas sonner l'alarme, les vampires se répartirent à l'intérieur de la ville et déclenchèrent alors un immense incendie. Les troupes stationnées dans des campements de fortune, furent pour la plupart brulées vives. Alors que les dernières défenses de la cité se regrouper devant le château des Camelin. Les vampires en armure, fondirent alors sur les défenseurs et les brisèrent en quelques instants. Robert et sa famille furent trainés en dehors de la ville en flamme alors que les survivants du brasier étaient retenues prisonniers devant les murs. Xavius se rapprocha du Duc, fier de sa victoire, le questionnement sur le destin des prisonniers.
« - Crucifiez tous les survivants devant les murs de la cité. Le comte et sa famille passeront en dernier. »
Xavius était abasourdie par une telle réponse et tenta vainement de protester contre cette action exagérée, mais Konrad se détourna rapidement, indiquant aux hommes d'agir selon ses termes. Le Duc déchu semblait animé d'une haine sans limite, et ce n'était qu'à moitié faux. Après sa transformation et la perte de tous ceux qui lui étaient chers, l'homme s'était endurci au point de n'avoir plus aucun respect pour la vie humaine ou la faiblesse, mais plus que pour la force. Une fois les citoyens de Camelaan cloutés sur les croix de bois, les chevaliers de sang quittèrent les lieux du drame, un sourire aux lèvres. Au loin on pouvait apercevoir le corps de Robert et de Lilianne mis en évidence, une couronne d'or trônant sur le sommet de leurs têtes.
701-704 Camelaan à présent vaincue et réduit à un tas de cendre. Il ne restait plus que l'Arnove et Arhald à châtier. La nouvelle des événements en Camelaan c'était vite répandu, et la population du duché de l'Arnove était en proie à une panique générale, ce qui faisait partie des plans de Konrad. Très vite un exode rural put-être observé, les habitants les moins protégés avaient décidé de quitter leurs foyers pour rejoindre des contrés plus proche du centre de l'Empire, pour fuir les conflits à venir. C'était un choix judicieux au vu des troubles qui frappèrent rapidement l'an 702 de l'âge d'argent. Les chevaliers de sang débutèrent une nouvelle campagne de pillage parmi les villages et les campements les plus sensibles. Provoquant par conséquent une réaction d'Arhald qui rapatria l'armée qu'il avait laissée en Avalogne, pour soutenir la traque des chevaliers. Hélas les renforts firent repérer de nuit par les éclaireurs vampires, et tombèrent par la suite dans une embuscade près du pont de Durand, reliant les deux duchés, l'armée coupée en deux fut rapidement taillé en pièces, dû à la marche éreintante imposée par Arhald à son général. Sans ces renforts providentiels, L'Arnove était en position de faiblesse. Suffisamment pour imposé par Arhald à son général. Sans ces renforts providentiels, L'Arnove était en position de faiblesse. Suffisamment pour que Konrad entame une marche contre la cité. Les conflits précédents et la terreur provoquée par la succession de massacre, ainsi que le récit de quelques survivants avait suffi pour créer une hécatombe dans les rangs d'Arhald. Les espions de Konrad l'informèrent de la situation, et il en profita pour dresser le siège de la cité. Hélas, son cousin le nouvel Empereur Kohann avait entendu les histoires concernant la tragédie de Camelaan, c'était trop de souffrances en si peu de temps. Le dirigeant de l'Empire expédia des émissaires en hâte jusqu'au Duc Déchu, pour vérifier les rumeurs le concernant et essayer dans le même temps d'arrêter le massacre.
Hiver 704 Bien vite, les envoyés de l'Empereur se présentèrent à Konrad. Celui-ci affiche la relique lui permettant de passer outre à son statut de vampire aux yeux des profanes. Il fut cependant bien vite déçu, lorsqu'il découvrit le visage de Balian le Baptistrel au sein des messagers. La conversation tourna bien vite aux accusations et au conflit. Le fait que Balian affirme l'origine vampirique du Duc, transforma les pourparlers en menacent. Konrad ne sauta pas pour autant sur les émissaires, bien au contraire il jura sur l'honneur et devant le Bapistrel qu'il ferait cesser le siège au plus vite et que la cité ne serait pas réduite en cendres comme ce fut le cas pour Camelaan. Au vu des antécédents honorables du Duc, l'ambassadeur de l'Empereur accepta les conditions de Konrad, et lui intima de quitter les terres de l'Empire au plus tôt sous peine d'y être chassé par la force. Le Duc déchu affirma son attention de partir très bientôt et fit transmettre à Balian, un présent pour son petit-fils. Konrad ordonna de rompre le siège et demanda à Xavius de mener les hommes par-delà les frontières de l'Arnove. Les espions de Konrad l'informèrent de la situation, etil en profita pour dresser le siège de la cité. Hélas, son cousin le nouvel Empereur Kohan avait entendu les histoires concernant la tragédie de Camelaan, c'était trop de souffrances en si peu de temps. Le dirigeant de l'Empire expédia des émissaires en hâte jusqu'au Duc Déchu, pour vérifier les rumeurs le concernant et essayer dans le m Konrad quant à lui, accompagné par plusieurs chevaliers loyaux, profita de la nuit pour exercer sa vengeance sur les Sombrecoeur. Très tôt le lendemain, les corps de la famille Sombrecoeur étaient exposés aux yeux de tous, mutilés, le corps recouvert dénudé recouvert de neige. D'autres hauts dignitaires avaient subi le même sort. La nouvelle parvint rapidement à l'Empereur Kohan, et bien qu'heureux que le meurtrier de sa tante est enfin subie ce qu'il méritait, n'en resta pas moins courroucé envers Konrad et ses manigances. Il ordonna à un général de mener un corps expéditionnaire contre les vampires subsistants afin d'empêcher toutes nouvelles tentatives de troubles de leur part. C'était cependant déjà trop tard, le Duc déchu et ses frères c'étaient déjà réfugiés loin à l'est, près des montagnes.
Konrad avait obtenu sa vengeance, en réponse à ses actes cruels et sanglants, L'Empereur fit brulé tous les documents traitant de son existence après la chute d'Avalogne. Albrecht serait rétabli Duc une fois la majorité acquise, mais il avait l'interdiction de mentionner le nom de son grand-père, comme tout ceux ayant été confrontés à l'ancien Duc. L'Empereur ne souhaitait pas éveiller le souvenir d'un bataillon de vampire unifié ayant provoqué tant de souffrances.
Chapitre VI : Les Croisades.
706-1027 : Konrad et ses vampires se dirigèrent vers l'est au pied des montagnes, ne désirant plus la vengeance contre les humains, ils se contentèrent de trouver dans un premier temps un lieu simple leur permettant de s'entrainer efficacement et sans provoquer de gêne, la petite troupe de vampire n'excédant pas la cinquantaine, découvrèrent alors une profonde crevasse au pied d'une des montagne, qui leur fournis suffisamment de place pour entreposer ce dont ils-ont besoin, fortifiant sommairement l'habitat, les chevaliers opèrent dorénavant depuis ce souterrain lugubre à l’abri des regards. Le Duc déchu savait fort bien que toute sa vie ne pouvait être vouée à la haine et la vengeance, ainsi il resta un moment reclus, laissant ses chevaliers se nourrir sur le dos de la population alentour, toujours de manière discrète et disciplinés. C'est à cette occasion qu'il prévoit la structuration des Dragons de sang et de ses chevaliers, s'inspirant en partie des règles des anciens fils du dragon, l'ordre obtient une structure, une hiérarchie et un but véritable à savoir le perfectionnement physique et martial. Chaque chevalier part en quête de développement de ses caractéristiques et passe bientôt la majeure partie de son temps à s'entrainer pour améliorer ses sens. Konrad n'échappe pas à cela, et la pratique de la masse lui fournis un passe-temps suffisant pendant de nombreuses années. Les duels entre chevaliers laissent place à des démonstrations de force et de respects, les règles de l'honneur y sont observées et les vampires finissent par tisser des liens d'amitié entre eux. Ils ne sont plus la bande de pillards de jadis et en sont satisfaits. à partir des années 900, les plus talentueux d'entre eux et ceux capable de se contrôler le mieux au sujet de la consommation de sang, se voient confier des missions à l'extérieur des murs de la forteresse souterraine. Agissant comme groupe mercenaire ou comme assassins, ces hommes permettent à l'ordre d'accumuler des richesses qui leur seront nécessaires dans le futur. Konrad lui-même finit par quitter la forteresse, laissant Xavius pour veiller à son fonctionnement. Il était vampire depuis déjà 250 ans et se contrôler plus ou moins dans sa soif. Il rejoint Gloria et agit en tant qu'homme de loi, au service de seigneurs locaux. Développant ses talents de diplomate. Cependant afin de ne pas s'attirer les soupçons de qui que ce soit, ses prestations étaient très souvent très courtes, n’excédant jamais quelques mois de services, il finit par quitter de nouveau le monde des humains après 3 ans de long voyage à travers l'empire des hommes, bien conscient que les mentalités n'avaient pas changé. Il est aujourd'hui révulsé par leur attitude.
1027-1073 Afin de trouver la paix, Konrad et quelques élus, part en direction des terres arides, dans ce lieu marqué par la chaleur et la difficulté à survivre, des entrainements physiques sont exercés et l'exercice de l'arme y est pratiqué. Le but de Konrad est là encore de soudé les officiers entre eux dans l'adversité afin de créer un véritable lien entre eux, bien au-delà du simple vampirisme qui les affectent. Ainsi, pendant plusieurs années, différents groupes de vampires seront envoyés en pèlerinage dans cette zone, avec pour mission d'y effectuer une marche purificatrice. De nombreux morts sont à déplorer, alors que des héros en reviennent auréolés de gloire. Cette action permit en outre de s'assurer que seuls les plus vaillants pourraient rester au sein de l'ordre, forgeant un groupe lié par un seul et même objectif, le dépassement de soi par la perfection martiale. Le Duc Déchu ne souhaitait pas être une icône pour eux, mais un simple exemple. Ainsi et malgré les apparences, une sincère camaraderie commença à émerger entre eux. La fin de l'année 1073 signe la création du nouveau code des chevaliers de sang, qui doivent lui prêter serment.
1073-1212 L'errance dans les plaines déserte et la solitude n'a pas que de bons effets sur le Duc et ses vampires, les humains finissent rapidement par être perçue comme des êtres faibles et lâches, loin des idéaux de paix et d'honneurs qui les habitaient naguère. Konrad lui-même rechigne à vouloir rester distant de l'Empire des humains et commence à projeter de retourner y croiser le fer. Xavius l'en dissuade cependant rapidement, lui rappelant que cette situation impliquerait des représailles terribles pour l'ordre. Hélas, un contingent de l'Empire, alarmé par des déclarations de voyageurs vint jusqu'à la forteresse souterraine, après plusieurs jours de recherche intense dans les réseaux rocheux. Le spectacle des chevaliers en armure s'entrainant au combat provoque rapidement un conflit entre les deux groupes, les hommes sont tous tués et quelques pertes sont à noté chez les vampires. Konrad voit en l'intervention inopinée des troupes impériales, un casus belli providentiel. Il fait réunir l'ensemble des chevaliers dans la forteresse et déclare tout haut, sans l'approbation de Xavius ses intentions. Signalant la création d'une « Croisade de sang » à l'encontre des humains et de leur Empereur. Cela se résume à une succession de tuerie des plus sanglantes à travers les territoires humains, les soldats qu'ils rencontrent sont rapidement vaincu et les rares combattants émérites rejoignent les rangs des vampires.L'Empereur ne reste pas sans rien faire et fini cependant par envoyer un général célèbre pour sa grande estime de lui-même ainsi qu'une vaste armée rétablir l'ordre dans les territoires de l'Empire, après une succession d'escarmouches majoritairement remportées par les vampires, ceux-ci finissent par connaître une importante défaite dès le premier engagement d'envergure. L'écart numérique trop important les affaiblit bien plus que de raison. Le deuxième engagement est effectué de nuit, alors que les forces de l'Empire sont au repos dans leur tente. Malgré les mesures de sécurités mis en place par le général adverses, les sentinelles chargées de mener la garde sont exécutées et les hommes sont rapidement pris à partie dans leur sommeil, grâce à l'habileté surhumaine des vampires vétérans qui ont acquis après plus de 300 ans de vie de la discipline. Un chaos sans nom envahit rapidement le campement alors que le général humain meurt d'un coup de masse, porter par Konrad. Le Duc sonne finalement la retraite en voyant que les forces ennemis se rassemble. Les chevaliers fuient à travers la nuit afin de retourner dans leur montagnes d'antan, la première croisade est considérée comme une réussite malgré les lourdes pertes de l'ordre. Cet événement marque le début d'une désillusion auprès des chevaliers qui réalisa que le manque d'unité qui était autrefois marqué chez les humains semble se réduire au fil des années, la figure impérial réussit peu à peu à s'imposer à la volonté des grands Duc de L'Empire. Les humains ne se laisseront dorénavant plus faire aussi simplement que par le passé. Les forces de Konrad sont réduites à une quarantaine de chevaliers, malgré les nouveaux écuyers récoltés durant les divers affrontements.
En 1124, la mort du dernier Dragon provoque un sentiment de gêne chez les vampires qui ont l'impression d'être coupé brutalement de leur magie, les conséquences sont néfastes, mais la plupart des hommes sont dotés de solides capacités physiques et ne sont donc pas les plus touchés par ce phénomène, en ce qui concerne l'art du combat tout du moins. Cela force Konrad à évaluer les stratégies de manière différente en prenant en compte la disparition de l'utilisation de sortilèges dans les affrontements. Le Duc déchu voue dès lors une intérêt certain pour les armes de sièges.
1212 – 1340 : La semi-victoire Pyrrhique de l'ordre laisse place à la joie et la fierté des chevaliers. Les combattants les plus vaillants se voient devenir les nouveaux Seigneurs du sang. Gagnant leur promotion par leur efficacité sur le champ de bataille ou durant les manœuvres stratégiques. Ils forment ainsi les nouveaux stratèges et champions de l'ordre. Le groupe est alors bien plus réduit qu'avant la première croisade, mais les hommes appartenant à celui-ci sont tous de fidèles serviteurs de sa doctrine guerrière. Bien vite, le besoin de bataille et de guerre se fait ressentir, les vétérans des guerres se voient dans l'obligation de dépenser leur énergie et bien vite des troubles se font ressentir dans la région comme auparavant. Konrad ne peut pas tolérer des actes de guerre si futiles, il prévoit donc une nouvelle croisade, cherchant une nouvelle cible de choix fournissant un intérêt suffisant pour lui et ses hommes. La perte des dragons avait été un coup dur pour l'ordre qui sentit la perte de leur magie, et bien que le groupe soit principalement constitué de guerrier utilisant avant tout la force physique et le maniement des armes. Cette disparition reste handicapante. C'est Crassus, un seigneur du sang qui fournira finalement le prétexte de la seconde croisade de sang. En effet, lui et ses chevaliers furent pris à partie par des elfes, alors qu'ils étaient en train de sillonner la région à la recherche de recrus potentiels. La disparition du Seigneur provoque la déclaration de la croisade ayant pour but de le secourir et venger son honneur. Konrad mène l'expédition avec une partie de ses frères chevaliers. Comptant utilisé le vampirisme pour créer d'avantages de vampire sur les prisonniers. Hélas l'expédition tourne rapidement au désastre, les elfes semblent être des ennemis bien plus redoutable que les humains, et réussissent à tenir en échec les chevaliers à plusieurs reprises. Konrad découvre à cette occasion que tous les elfes ne sont pas transformés suite aux morsures, s'inquiétant de ce que cela signifie, le Duc souhaite terminait au plus vite son aventure en ces lieux boisés. Après avoir repérer sa localisation à l'aide d'espion, Konrad est en mesure de secourir Crassus qui était jusque là retenu prisonnier avec ses hommes dans un campement fortifiés, à la lisière de la forêt. Ensemble,ils retournent jusqu'à la forteresse souterraine de l'ordre, ne souhaitant pas croisé le fer plus que de raison avec les oreilles pointues. Sachant parfaitement que les elfes ne sont pas à prendre à la légère sur leur propre terrain.
1340-1448 Les actions des dragons n'ont pas été sans conséquence, et bien que les deux croisades aient été un succès relatif, les chevaliers savent à présent que les elfes ne pourront plus gonfler leur rang, pire encore. Des éclaireurs semblent chercher activement les repères de l'ordre et la forteresse finit par être découverte, Konrad et ses seigneurs savent parfaitement ce que cela signifie, bientôt des légions d'humains seront en train d'assiéger la forteresse. Les vampires se préparent à la confrontation, ralentissent au maximum les troupes qui leur sont envoyées, mais un siège finit par les clouer sur place. Gonfler par un sentiment de haine et de courage sans précédent, les troupes de l'ordre finit par effectuer une sortie presque suicidaire, qui leur permet d'échapper à une fin atroce. Les survivants menés par Konrad Crassus et Xavius sont amenés par-delà les montagnes près des terres sauvages. Les Chevaliers y établissent alors un campement fortifié près d'une zone boisée, laissant une occasion à leurs chevaux de pouvoir se mouvoir sans trop de difficultés.
Dernière édition par Konrad Von Drak le Sam 23 Juil 2016 - 23:11, édité 16 fois
Luna Duruisseau
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (0/10) Xp disponibles: 8
Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Mar 12 Juil 2016 - 16:31
N'oublie pas que tu as jusqu'à jeudi inclus pour l'envoyer
Invité
Mon identité Mes compétences
Invité
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Ven 15 Juil 2016 - 14:35
Suite et fin, je m'excuse d'avance pour la longueur et mon retard. J'ai fournis quelques précisions par MP.
1448 – 1552 Konrad qui avait jusque-là souhaité garder ses distances avec les vampires sauvages, se décida à partir à leur rencontre.Réduit à une trentaine de chevaliers vétérans des précédents conflits, Konrad Use de nombreux éclaireurs pour trouver leur repaire. Tandis que les chevaliers de sang s'habituent à ce nouveau lieu de vie difficilement. L'entrainement reste un passe-temps acceptable, tandis que les premiers retours se font entendre. Konrad a pour projet d'unir ces vampires sans foi ni loi à sa cause pour créer une véritable nation vampirique. Désir qui naquit après sa défaite contre les humains. Il par déceler leur repaire. L'ordre se met en marche, fermement décidé à rassembler les vampires à leur cause. Les premiers échanges sont brutaux, chacun des deux partis souhaitant pleinement se battre jusqu'à la mort, pour la première fois les enrôlés de l'ordre sont basés sur la croyance d'un ordre nouveau et non pas sur un vampirisme à la suite d'un duel contre un chevalier. Les élus sont rares, les vampires étant bien souvent des bêtes sauvages, Konrad réalisa qu'il n'existait aucune unité entre eux et que seule la quête du pouvoir personnel les domine. Fermement décidé à voir ce qu'il en est, il pénétrera dans les longs tunnels qui les abritaient, il y découvrit un repaire de brigands désordonnés et incapables. La recherche se termina en un combat souterrain, contre plusieurs petits seigneurs locaux, Konrad accepte le duel et réussit à battre plusieurs vampires sauvages mais se refuse à dominer cette bande désordonnée pour en faire de vrais combattants. Accompagné de ses hommes, le Duc se met en quête de trouver un nouveau tunnel pour ancrer profondément leur ordre dans autre chose que simplement un campement à ciel ouvert. Les chevaliers finissent par trouver une simple montagne solitaire, abritant un tunnel occupé. Les vampires déjà sur place y sont chassés, l'ordre bâtit un semblant de tombeaux et Konrad décide de rejoindre le sommeil pour faire le vide, accompagnés par Crassus et un autre de ses proches lieutenants. Il laisse Xavius comme gardien de l'ordre en son absence et lui permet de recruter les nouveaux fidèles. Attendant que le jour de son retour soit officiellement prononcer. Soit deux cents ans plus tard.
Chapitre VII : Une nouvelle ère
1750-1755 La montée de Lorenz au pouvoir provoque le réveil de Konrad par Xavius, celui-ci préoccuper par la venue d'un tyran semble en effet suivre les ordres de son supérieur qui avait demandé qu'ont le réveille le moment venu. Konrad n'est pas déçu, en effet la venue d'un tyran misant uniquement sur la terreur et la force le confirme dans ses premières pensées, les vampires ne sont que des chiens soumis qui combattent sans objectif réel. Attendant impatiemment de voir venir la ruine de son peuple avant de l'en sortir, Konrad réveille ses lieutenants et décide de trouver de nouveaux chevaliers pour remplir l'ordre dans son moment de gloire propice, il ne rejoint donc pas les rangs de Lorenz et combat même ses sous-fifres. Il effectue cependant des missions en tant que simple soldats auprès des forces de Lorenz, afin de pouvoir mieux connaître son ennemie. À cette occasion, il affrontera en duel l'elfe Orfraie Ataliel et lui laissa une cicatrice, d'un coup de poing ganté, lui provoquant une déchirure. Konrad était bien conscient que l'attitude belliqueuse de Lorenz signerait sa perte et celle des vampires à ses côtés, mais il profita de cela. Jugeant que les vampires n'avaient pas encore subi les foudres de leur division, l'Exhumé souhaitait attendre le moment propice pour prendre la tête de son peuple. Attendant impatiemment qu'il se brise une première fois, pour mieux le façonner par la suite, un changement radical de la pensée des vampires, impliquait une patience à toute épreuve et surtout, un plan solide. C'est au cours de son éveil qu'il découvrit le retour de la magie et des dragons en Armanda, une nouvelle qu'il s'empressa d'utiliser son avantage, les vampires étant naturellement plus touché par sa disparition.
1 – 2 de l'âge d'Obsidienne le débarquement des Alayens change la donne, Konrad y voit là l'occasion parfaite de mettre à l'épreuve ses nouveaux chevaliers tout en réussissant à incorporer de nouveaux arrivants et d'affaiblir le pouvoir de Lorenz. Ses chevaliers sont d'une aide cruciale lors de la bataille des bois sombres. Lui et ses hommes restèrent jusqu'à la fin de la guerre de profond opposants aux envahisseurs, n'acceptant guère leur incorporation dans le royaume humain. Depuis ces événements, le vampire voue une haine farouche envers les Alayens. Konrad resta neutre dans le conflit entre Korentin et Fabius Kohan, bien qu'il soit profondément contre la politique de Fabius. Considérant ce conflit comme uniquement réservé aux humains. Les Chevaliers de sang combattirent cependant à la bataille de l'aube rouge.
5 de l'âge d'Obsidienne à l'avènement de Vraorg, Konrad et ses chevaliers luttèrent ensemble contre les intentions du dragon blanc. Fermement désireux de garder leur indépendance et leurs libres arbitres, les vampires qui étaient alors considéraient comme renégat par Lorenz, participèrent à de nombreux conflits, aux côtés des protégés. Il accepta à cette époque un entretien avec Kylian, qu'il finit par soutenir par la suite lors de la défaite de Vraorg et de Lorenz, auquel il participa lors de la bataille de Sandur. Aux côtés des protégés.
6 – 7 de l'âge d'Obsidienne : Lors de sa disparition de Kylian, Konrad comprends qu'il n'aura pas de moment plus propice à sa monté au pouvoir, il décide alors de vaincre les quelques opposants sur sa route. La guerre civile. Cela fait déjà quelque temps qu'elle frappait de plein fouet l'Empire vampirique. Le manque d'informations au sujet de l'expédition menée par Kylian n'avait pas tardé à provoquer des troubles au sein de la capitale. Bien évidemment le conseil Vampirique avait brièvement tenté de dissuader les seigneurs les plus importants de se livrer la guerre, mais comment convaincre des êtres faits pour semer la mort de se conduire en gentilhomme ? D'autant plus que quelques traitres attisés les conflits. Les vampires ne comprennent que la violence et ils ne respectent par conséquent que ceux capables de l'administrer la plus effacement. Ainsi DureRoc n'échappa pas à la règle, théâtre de nombreux règlements de comptes entre petits seigneurs locaux, les prétendants affluèrent rapidement en l'absence de leur jeune prince pour s'emparer du trône vacant. C'est ainsi qu'une fois encore, malgré les temps difficiles, les vampires en étaient réduits à s'entre-tuer, dans une lutte stérile. Alors que les ruelles de la cité semblaient chaque jour un peu plus lugubre que la veille, on vit une silhouette imposante mais étrangement silencieuse se déplaçait au sein de celles-ci. Konrad Von Drak n'était pas une personnalité connue des vampires les plus récents et pour cause. Il avait connu pendant plusieurs années une période de sommeil imposé selon ses propres souhaits, suite à de très graves problèmes de santé. Cependant, les plus anciens avaient pour la plupart eu vent de ses actions dans les terres du nord, sa réputation n'avait pas failli auprès d'eux. Réapparaissant peu avant le début de la première année d'obsidienne, le général avait rapidement pris ses distances de Lorenz, rassemblant autour de lui quelques-uns de ses anciens fidèles pour mener sa propre lutte il avait finalement participé à la mort de Vraorg lors des derniers événements ayant ébranlé la surface d'Armanda. C'est seulement après la nomination de Kylian en tant que nouveau Prince que Von Drak Décida de rentrer auprès de son peuple. Ses pas étaient assurés alors qu'il se dirigeait calmement à l'une des séances du conseil vampirique, sachant parfaitement que son retour avait provoqués de nombreuses questions, il avait pris pour habitude de traverser les méandres de la ville sans attirer les regards sur lui. Il ne voulait pas créer de plus grands troubles et bien que la mort de plusieurs autres prétendants avait réaffirmé ses intentions princières, il ne restait pas moins une cible potentielle d'autres vampires hauts placés, aux dents longues. Vêtue de riches atours propres à son statut d'ancien noble, il émanait de celui-ci une détermination à toute épreuve.
Comment Kylian avait pu se laisser embarquer dans une mission pareil ? Il avait certes réussi à rassembler un puissant contingent capable de vaincre bon nombre d'obstacles, mais il s'agissait là d'une tout autre cible... Lorenz était un fou dangereux, bien qu'il soit à présent dénué du soutien de l'armée, il n'en restait pas moins un ennemi redoutable à ne pas sous-estimer. Une expédition menée à l'aveuglette dans une forêt lui laissant l'occasion de préparer une embuscade ou pire encore revenait à une mission suicide, des forces dont les vampires manquaient cruellement venaient de se diriger vers une mort certaine. Quel beau gâchis, il fallait cependant reconnaître que le prince rebelle et son conseiller dragonnier avaient apporté un semblant de stabilité à l'Empire après la décadence orchestrer par Lorenz qui ne voyait que son propre intérêt dans toutes formes de luttes. Après le départ du tyran, ce vent de renouveau bien que discutable avait été perçu comme une bénédiction, le second prince semblait être capable de mener son peuple sur d'autres chemins que celui de la guerre. Aujourd'hui hélas, son absence ne pouvait être liée qu'à une grave mésaventure, pour ne pas dire une mort certaine. Il faudrait attendre encore quelques semaines avant que des bribes de son expédition ne refait surface, mais pour l'heure, il fallait agir. S'il eut été un espoir pour son peuple, le dragonnier des tempêtes l'avait précipité dans le chaos après sa disparition.
Konrad quant à lui ne comptait pas laisser ses frères vampires à la dérive, munie d'une volonté inflexible pour donner un âge d'or à sa race, il prit l'initiative de s'entourer de plusieurs vampires reconnu, les ralliant à sa cause et devenant ainsi l'un des principaux prétendants au trône de DureRoc. Bien sur cela ne se fit pas en un jour, et il du user de forces mais aussi d'esprit pour convaincre les quelques individus réticents à son retour au sein de l'Empire. Cela ne l'empêchait cependant pas d'avoir encore et toujours quelques ennemis disséminés au sein de la population. Ces excès d'égoïsmes étaient l'unique cause de la déchéance des vampires. Chacun souhaitait ardemment soumettre son voisin et s'accaparer son pouvoir, oubliant par la même occasion que chaque concurrent tuer revenait à la mort d'un sujet futur, plus la lutte pour le titre de prince duré, plus les vampires seraient affaiblis. Ainsi Konrad était persuadé que la violence n'était pas l'unique solution pour régler ce conflit. Certes, la mise à mort avait ses avantages, mais il fallait aussi être capable d'unir l'ensemble du peuple, et devenir un nouveau tyran n'était pas dans ses projets. L'unité vampirique, voilà ce que Von Drak cherchait à obtenir. L'unité et la fierté d'un peuple qui avait toujours eu tendance à agir de manière égocentrique, il faudrait du temps pour que les consciences changent, mais il parviendrait sans doute à améliorer cet esprit de cohésion, chose qu'il avait déjà réussi à obtenir auprès de ses fidèles. C'est au détour d'une nouvelle ruelle sinueuse qu'il fut interrompu dans ses pensés par deux individus armés de dagues particulièrement tranchantes. Konrad se raidit alors, déjà habitué à ce genre de traitement au sein de son peuple et attendit que l'un des hommes avance sa lame un peu plus près de sa gorge, pour mieux connaître ses intentions, celui-ci lui chuchota alors quelques mots d'une voix d'outre-tombe.
- Le Seigneur Priam Delaust vous suggère vivement de revoir à la baisse vos désirs quant à la prétention au trône. Il sait de source sûr que vous êtes un homme raisonnable et que par conséquent...
Von Drak ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase, alors que l'assassin s'était emporté dans son petit discours, Konrad avait profité d'un moment d'inattention de sa part, pour lui saisir le bras, faisant alors pression afin de lui briser. L'attaque avait été fulgurante, et c'est seulement lorsque la dague qu'il tenait tomba à terre, que son comparse tenta de venir à son aide. Trop tard, le prétendant c'était déjà saisi de l'arme de son agresseur pour lui trancher la carotide, des gerbes de sangs éclaboussant son visage de par la violence de son geste. Pris de panique, l'assassin tituba avant de s'écraser sur le sol dans sa propre mare de sang, le couteau enfoncer fermement dans sa gorge. À cet instant, le deuxième agresseur assena plusieurs coups de lame à l'intention de Konrad, celui-ci esquiva non sans mal les nombreuses frappes de son adversaire, puis attendit à nouveau le moment propice pour contre-attaquer. Saisissant sa propre lame poser à sa hanche, il para une nouvelle attaque puis sectionna la main du sous-fifre. Un cri aigu déchira alors le calme apparent de la cité, alors que Konrad expédiait un coup de pied dans la cage thoracique de son opposant, l'envoyant valdinguer contre le mur. Il le rejoignit alors d'une démarche étrangement calme, s'abaissa légèrement pour être à l'auteur de l'infirme puis le saisit par la gorge pour le soulever en l'air. Sa voix tonna dans un élan de fierté.
- Tu diras à ton maître, que Konrad Von Drak n'est pas une putain de Gloria. S'il souhaite me faire taire, qu'il cesse d'envoyer des émissaires et vienne me défier publiquement. Dans le cas contraire, je me ferais une joie de tuer quiconque s'adresse à moi en son nom.
Il le laissa alors tomber brutalement sur le sol, faisant fi du sang qui venait entacher ses vêtements luxueux et se contenta de reculer de quelques pas. - à présent hors de ma vue insecte.
C'est ainsi que Von drak reprit sa route, comme si rien ne c'était passé. Sa tenue tâchée de sang, comme seule preuve d'une altercation récente. Encore une démonstration décevante de la mentalité Vampire, certes Konrad ne souhaitait pas devoir régler tous les conflits dans le sang, mais il savait fort bien que nombres de ses opposants n'étaient pas du genre à discuter sagement autour d'une table. Lors de quelques occasions, la démonstration de force brute était l'unique moyen de débattre avec ces animaux. Cette marque de sévérité servirait de leçon à ceux qui souhaitent imposer leurs idées par la fourberie et la couardise, le titre de prince nécessitait bien plus que cela. Konrad était un adepte de l'adage « combattre le feu par le feu ». Et réservait par conséquent un traitement funeste à ceux qui oseraient lui manquer de respect, pour les autres un dialogue était le choix à favoriser. Il se rendit donc comme prévu à la réunion du conseil, bien déterminé à faire valoir ses droits et rappeler aux dirigeants provisoires la gravité de la situation. Passant devant les gardes qui protéger l'entrée de la tour blanche, il grimpa les marches qui le séparaient de ses homologues. Et fut bien vite rendu juste en face des solides portes menant jusqu'au conseil qui présidait en ses lieux depuis la disparition du prince et de son conseiller Lewyn. Il se fit alors connaître et pénétra dans la salle, faisant face aux conseillers. Konrad s'adressa à eux sans prendre en compte les différentes remarques dues aux taches de sang présentes sur le haut de son corps et les traces évidentes de lutte qu'elles impliquaient. Des regards intrigués l'épiaient alors qu'il débutait son monologue. D'une voix forte et glaciale, il s'adressa à eux en se désignant des deux mains, pointant les marques sanglantes.
- Voici la raison pour laquelle notre race est faible. Voici la raison pour laquelle, malgré notre force, nos capacités à tuer et notre instinct nous avons été réduit à l'état de simples pantins durant ces dernières années. Il n'est pas étonnant que les humains et les elfes puissent nous dénigrer aujourd'hui. Que sommes-nous devenus ? Des bêtes sauvages dénué de toutes raisons. Ceux qui jadis avaient peur de croiser notre route, nous imposent aujourd'hui le silence. Est-ce là votre notion de fierté ? Je n'ai pas patienté durant des années dans un tombeau pour assister aujourd'hui à la perte de toute notre nation. Les vampires les plus hauts-placés se livrent une guerre sans merci et usent de fourberie indigne de notre peuple, les conseillers chargés de garder l'intégrité de DureRoc se sont eux-mêmes laissés aller à la corruption et c'est un geste qui ne saurait être toléré. La disparition du Prince Kylian impose une intervention du conseil et l'avènement d'un nouveau guide pour notre peuple.
Le plus âgé des conseillers s'éclaircit alors la gorge. Luther était connu pour avoir servi successivement sous le règne de Lorenz et de Kylian, c'était un homme sans honneur qui avait réussi à se faufiler entre les mailles du filet pour garder son rang. Il profita de la pause de Konrad, pour prendre la parole à son tour, réagissant aux propos alarmistes du prétendant, avec un flegme presque irritant.
- Nous ignorons encore si Kylian est bel et bien mort...
Konrad sourit alors, comprenant parfaitement ce à quoi il faisait allusion, en l'absence de prince, le conseil vampire possédait un grand contrôle de l'Empire, cet homme venait simplement de prouver qu'il n'était rien d'autre qu'un parasite grignotant des bribes de pouvoirs, sur un royaume en désuétude.
- Nous ne laisserons la guerre civile emporter notre royaume, si Kylian venait à revenir parmi nous, il devra défier son successeur. Inutile de devoir passer par des rébellion inutile, l'unité de notre nation est notre objectif à tous.
Ce fut au tour de Luther de sourire, laissant même échapper un petit rire suffisant. Qui eut le don d'accroitre la tension générale.
- Et j'imagine que vous vous voyez déjà comme nouveau Prince. Personne ici ne souhaite d'un nouveau Lorenz... Et ce n'est pas vos menaces qui...
Von Drak savait de source sûr que Luther était un traitre, les dernières semaines lui avaient permis de conforter son pouvoir sur le conseil, qu'il dirigeait à présent d'une main de maitre. Le vampire n'était cependant qu'un simple opportuniste incapable de réclamer dignement le titre de prince, c'est la raison pour laquelle il avait profité d'attiser les conflits entre les prétendants, pour limiter la casse. Une telle lâcheté ne pouvait être pardonnée. C'est pourquoi Konrad s'était précipité devant lui pour le saisir par la gorge, le mordant violemment au cou dans une étreinte mortelle. Le conseiller hurla alors qu'il essayait vainement d'échapper aux griffes de son agresseur, il était cependant trop tard. Le prétendant venait tout juste de lui briser la nuque, le tuant sur le coup. Les autres conseillers n'avaient pas bougé d'un poil, bien heureux de récupérer leur influence avec la mort du despote. Konrad relâcha sa prise et laissa le cadavre de son opposant retomber sur son fauteuil. Le corps couvert d'un sang noir et épais.
- Assez de boniment pour aujourd'hui. Ceux qui souhaitent favoriser la discorde et la guerre civile doivent dès à présent se lever de leur siège et venir encourir la justice du sang. Quiconque s'oppose à la discipline et à l'ordre sera exécuté.
Les autres vampires présents dans la salle, qui n'avaient pas parlé jusqu'à présent se contentèrent de se lancer quelques regards interrogatifs. La plupart d'entre eux en avant assez des effusions de sang, et ils soutinrent alors la proposition de Von Drak avec insistance.
- Parfait en ce cas, veuillez signaler aux rares prétendants encore en vit que les duels pour le trône s'achèveront cette semaine. Ceux qui renonceront à leur prétention au titre seront graciés, les autres devront mourir par ma main. Me suis-je bien fait comprendre ?
L'ensemble de la salle acquiesça silencieusement, le chaos serait bientôt terminer et la paix fragile qui subsister entre les elfes, les hommes et les vampires serait sauvegardée. Dans ces heures sombres, Konrad ne pouvait décemment pas diviser ses rangs. Bien qu'il n'est guère d'affection pour les autres races, il était conscient que cette stabilité récente était le moment idéal pour réformer les structures archaïques de l'Empire. Si les autres dirigeants se contentaient de régler leurs problèmes internes sans interférer dans ses plans ni ceux de son peuple, il resterait pacifique. Dans le cas ou son honneur où celui de son peuple venait à être bafoué publiquement, il serait cependant sans pitié envers ses détracteurs.
Ce royaume venait de s'effondrer, mais de ses cendres allait naitre un ordre nouveau, une renaissance de la nation Vampire. C'était du moins son plus projet le plus ambitieux.
Les jours qui suivirent ressemblèrent à une succession de duels et de défi. Konrad fut au cœur de ceux-ci comme plusieurs autres vampires. À la fin, il ne restait finalement plus aucun prétendant valable, les autres s'étant soit rallier de leur plein gré, ou ayant été vaincu en duel. C'est ainsi que le Duc déchu, devint officiellement Prince Vampirique. Arrivé à ce poste, l'Exhumé décida qu'il était grand temps pour lui d'accomplir ses objectifs, ainsi il débuta ses projets. L'unification des vampires autour d'une culture commune et le rejet de l'individualisme ne se réaliserait sans doute pas en un jour, mais les premières décisions de Konrad se positionner dans ce sens. Ainsi, les chevaliers de sang accueillaient de nouveaux disciples. Agrandissant la taille de l'ordre et imposant une hiérarchie aux citoyens vampiriques, Konrad usa de ses chevaliers comme d'une police politique et d'une image nouvelle pour la nation. L'idée que les vampires puissent être uni autrement que par la haine, mais par le respect d'un idéal, à travers une noblesse d'épée. Il entama en outre des relations diplomatiques avec les autres Empires et s'investit à rénover le territoire Vampirique laisser à l'abandon.
Dernière édition par Konrad Von Drak le Sam 23 Juil 2016 - 23:10, édité 5 fois
Orfraie Ataliel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 3
Administratrice Capitaine Lame Ecarlate Garde personnelle de Luna Dragonnière
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Lun 18 Juil 2016 - 22:53
Bonsoir monsieur le vampire ! Me voici avec l’étude de ta fiche. C’est parti !
Identité : → Age : Si Konrad est né en 652, il a 1108 ans. → Rang social : Noble, pas Prince.
Equipement : → L’acier spécial des vampires (qui est seulement plus sombre) s’appelle sombre-acier et non sombre-fer. → Enchantements : Tu en as trop. Tu peux garder « secousse » sur Brise-âme et « Retour » sur les marteaux jumeaux. Tu devras acheter les autres avec les ingrédients nécessaires (que tu peux gagner en intrigue, loterie etc…). Tu devras également mettre ton armure dans ton équipement, sinon nous considérons que tu n’en as pas.
Caractéristiques : De bonnes caractéristiques, peut-être trop. Voici ce que nous souhaitons te voir diminuer car nous jugeons que cela ne concorde pas avec ton personnage/ta fiche. Avec ces modifications, ton niveau de magie sera très faible ou faible. Si tu souhaites un bon niveau, comme correct, il te faudra tout revoir à la baisse.
→ Agilité : A passer à Faible. Tu joues un Vampire, donc de facto tu restes plus agile qu’un humain, mais tu restes un vampire en armure lourde, grand de 2 mètres et pesant 100 kg. Tu te déplaceras toujours moins agilement qu’un vampire axé sur cela, surtout pour un homme aussi baraqué que Konrad. Pour rappel :
Citation :
La capacité à l'acrobatie, l'escalade et les postures et mouvements de combat nécessitant une certaine souplesse corporelle. Elle est très utile aux voleurs, aux assassins, et aux guerriers légers.
→ Reflexe : A passer à Moyen. Tu joues un personnage tout en muscle, bourrin, équipé d’armes lourdes, tu es donc forcément un peu long. → Force mentale : A passer à Bon.
Physique : → Kohan et non Kohann
Caractère :
Citation :
Aujourd'hui encore, son ancienne vie le conforte dans ses idées sombres, lorsque les événements l'imposent. Le souvenir de sa descendance restant encore bien ancré dans son esprit endeuillé.
→ Si tu parles de sa vie humaine, sache que Konrad ne peut s’en souvenir totalement. Pour cela, un vampire doit faire la quête de son identité (généralement vers ses 200-300 ans, quand il se contrôle parfaitement) en retournant en des lieux qu’il a connu en étant mortel. Il pourra revoir certains souvenirs précieux, mais pas tous et toujours de manière assez limitée. Cette quête prend des années, uniquement consacrée à cela (car difficile de se souvenir de quelque chose dont on n’a absolument aucune idée).
Histoire :
Le plus gros morceau, celui qui va demander le plus de travail. Faire un premier personnage aussi vieux était un pari risqué. Dans l’ensemble, Konrad nous plait mais il y a des choses à revoir. Nous restons à l’écoute en cas de questions.
Chapitre 1 :
Citation :
quelques médecins civiles n'étaient pas aptes à répandre les meilleurs soins à l'ensemble de la population
→ Les Armandéens n’ont pas de médecin, mais des mages guérisseurs.
Chapitre 2 :
Citation :
d'une fête en l'honneur des dieux
→ Il n’y a pas de dieux en Armanda, seulement des Esprits. → Tu fais plusieurs fois mention de « pays », toutefois il n’a jamais été fait références à des pays sur Armanda. Duchés correspond bien mieux. → Pour plus de praticité, nous considérons que les Empereurs de cette époque n’avait pas encore assez de puissance pour forcer les ducs à la paix. Prend cela en compte pour le reste de ta fiche. Ceci n’est, bien entendu, plus le cas à l’époque du forum.
Chapitre 3 :
→ Il faut expliquer pourquoi ce vampire nommé Xavius a été au service de Konrad et de sa famille pendant si longtemps alors qu’il était vampire. A force de ne pas vieillir, ils s’en seraient rendu compte, d’autant qu’à l’époque vampire et humains ne sont pas du tout copains, les humains ayant presque anéanti les vampires des siècles plus tôt. Ce Xavius avait-il déjà des projets pour Konrad ? Nous voudrions en savoir plus.
Chapitre 4 :
Citation :
Ces chevaliers étaient déjà au courant du vampirisme qui avait frappé jadis Xavius, puisqu'il c'était lui-même confesser auprès d'Alexei de son état.
→ Comme je te l’ai dit plus haut, Hommes et Vampires ne sont pas du tout amis à l’époque (et toujours pas aujourd’hui d’ailleurs). Comment explique-tu donc que les Chevalier n’aient pas simplement dénoncé/tué/éviscéré Xavius ? Ce n’est pas logique sans une très très solide explication. → Tu parles d’un Elfe Baptistrel qui met du temps à deviner que le conseiller du duc est un vampire. Ceci est absolument impossible s’il s’agit de l’un des 12 Maître Baptistrels, qui l’aurait deviné sur le champ en entendant les chants-noms. Il pouvait s’agir que d’un apprenti, un Ewnr, pour ne pas découvrir immédiatement le pot au rose. Les apprentis n’ont pas les pouvoirs des Cawr et donc pas la faculté d’entendre et lire les chants noms.
Citation :
La situation commençait à devenir critique. Balian avait été obliger de déclarer à ceux qui l'interrogeait la vérité sur le Duc et ne souhaitant pas créer plus de trouble avait décidé de quitter la cité.
→ Nous souhaitons une explication très solide pour comprendre comment les citoyens ne se sont pas révoltés alors qu’ils se doutent (ou savent) que le duc est un vampire. Ce n’est pas un discours qui va convaincre des humains de suivre des vampires, même aujourd’hui, alors à l’époque où les vampires sont un peu les « démons » d’Armanda, c’est tout simplement irréaliste. Pour en revenir au Cawr, de par son serment de vérité celui-ci a forcément dû parler de l’état du duc à certain habitants. Et les rumeurs vont vite, surtout de ce genre. Pour conclure, à moins que ces humains soient des esclaves, ils ne seraient jamais restés obéissant. Jamais. De plus dans ce contexte, c’était la guerre totale contre les vampires, donc très improbable voir impossible.
Chapitre 5 :
Citation :
Bien vite, l'ensemble du campement fut sous contrôle. Le somnifère à base de plantes qu'avaient concoctées Xavius avait fonctionné à merveille. D'ici quelques heures, ces humains deviendraient des nouveaux nés et la vengeance du Duc se mit en place.
Ce nombre important présente trois problèmes principaux :
→ Un problème de discipline tout d’abord, car les nouveaux nés sont des bêtes assoiffés de sang, sans réelle logique. Les nouveaux nés ne sont pas connu pour leur esprit de groupe. S’ils reconnaissent la loi du plus fort, ils ne sont pas fidèles pour autant, seulement soumis et désorganisés. → Le second problème est de nourrir tous ces vampires sur le long terme. Autant de vampires, nouveaux nés qui plus est, laisse des traces. Il est impossible que l’armée humaine n’ait pas débarqués en ayant vent de multitudes de morts, de massacres, de bains de sang et j’en passe. → Enfin, nous jugeons qu’une armée de vampire est bien trop puissante. Tu parles d’un Ordre de Chevalier, pour nous une dizaine, maximum une trentaine, serait le grand maximum (c.f au dessus).
Citation :
Pour la première fois depuis le début du conflit, des batailles en plaine firent provoquer par les vampires,
→ Comme je te le dis plus haut, une telle armée désorganisée ne passerait pas inaperçue et aurait été anéantie par les humains. Le fait qu’elle soit composée de nouveau nés rend ensuite le contrôle de cette armée absolument impossible. → Il est donc impossible d’assiéger une cité avec une armée qui n’écoute pas… ou alors la ville ne doit pas avoir de fortifications plus forte qu’une palissade de bois. → Enfin, une armée de vampire désorganisée ne pourrait pas venir à bout d’une armée humaine d’un duché, disciplinée et ayant l’entrainement adéquat (il faudrait plus d’un millier de vampire, et comme je te l’ai dis nous ne pouvons te laisser qu’au maximum une trentaine de vampires avant que cela soit trop visibles). → Pour information, les vampires évitent les batailles rangées. Ils attaquent plutôt de nuit (là où leur magie n’est pas altérée) puisqu’ils voient dans le noir, et ils préfèrent les escarmouches rapides.
Chapitre 6 :
Citation :
Konrad et ses vampires se dirigèrent vers les montagnes de l'Est, ne désirant plus la vengeance contre les humains, ils se contentèrent de rejoindre un vieux fort désert pour établir une suite à leur quête initiale.
→ Vit dans ces montagnes les Glacernois, de très grands humains. Ils sont des chasseurs de vampires, Konrad et les siens n’auraient donc pas fait long feu.
Citation :
Bien vite, les plus talentueux d'entre eux se voient confier des missions à l'extérieur des murs de la forteresse. Agissant comme groupe mercenaire, assassin ou gardes, ces hommes permettent à l'ordre d'accumuler des richesses qui leur seront nécessaires dans le futur. Konrad lui-même finit par quitter la forteresse, laissant Xavius pour veiller à son fonctionnement. Il rejoint après un siècle, Gloria et agit en tant qu'homme de loi, au service de seigneurs locaux. Développant ses talents de diplomate et politiques. Après quelque temps à ce régime, il finit par quitter de nouveau le monde des humains, bien conscient que les mentalités n'ont pas changé. Il est aujourd'hui révulsé par leur attitude
→ Les jeunes vampires se contrôlent mal, une goutte de sang et ils peuvent partir en vrille, c’est donc très limite qu’ils puissent s’intégrer aux humains pour mener à bien leurs missions. → Pour ce qui est de la forteresse dans les montagnes, c’est impossible, les glacernois seraient vite venu vous déloger et vous massacrer. Des grottes ou galeries, pourquoi pas, mais attention ! pas une fourmilière ! Et à condition de rester très discrets.
Citation :
L'errance dans les montagnes et la solitude n'a pas que de bons effets sur le Duc et ses vampires, les humains finissent rapidement par être perçue comme des êtres faibles et lâches, loin des idéaux de paix et d'honneurs qui les habitaient naguère. Konrad lui-même rechigne à vouloir rester distant de l'Empire des humains et commence à projeter de retourner y croiser le fer. Xavius l'en dissuade cependant rapidement, lui rappelant que cette situation impliquerait des représailles terribles pour l'ordre. Hélas, un contingent de l'Empire, alarmé par des déclarations de voyageurs vint jusqu'à la forteresse abandonné. Le spectacle des chevaliers en armure s'entrainant au combat provoque rapidement un conflit entre les deux groupes, les hommes sont tous tués et quelques pertes sont à noté chez les vampires. Konrad voit en l'intervention inopinée des troupes impériales, un casus belli providentiel. Il fait réunir l'ensemble des chevaliers dans la forteresse et déclare tout haut, sans l'approbation de Xavius ses intentions. Signalant la création d'une « Croisade de sang » à l'encontre des humains et de leur Empereur. Cela se résume à une succession de tuerie des plus sanglantes à travers les territoires humains, les soldats qu'ils rencontrent sont rapidement vaincu et les rares combattants émérites rejoignent les rangs des vampires. L'Empereur ne reste pas sans rien faire et fini cependant par envoyer un général célèbre ainsi qu'une très vaste armée rétablir l'ordre dans les territoires de l'Empire, après une succession d'escarmouches majoritairement remportées par les vampires, ceux-ci finissent par connaître une importante défaite dès le premier engagement d'envergure. L'écart numérique trop important les affaiblit bien plus que de raison. Le deuxième engagement est effectué de nuit, alors que les forces de l'Empire sont au repos dans leur tente. Les sentinelles chargées de mener la garde sont exécutées et les hommes sont rapidement pris à partie dans leur sommeil. Un chaos sans nom envahit rapidement le campement alors que le général humain meurt d'un coup de masse, porter par Konrad. Le Duc sonne finalement la retraite en voyant que les forces ennemis se rassemble. Les chevaliers fuient à travers la nuit afin de retourner dans leur montagnes d'antan, la première croisade est considérée comme une réussite malgré les lourdes pertes de l'ordre.
→ Que Konrad ait une aussi grande armée et soit capable à ce point de mettre en difficulté les armées de l'empire humain avec son Ordre de Chevalier est impossible. L’empire humain a la plus grande armée à l’époque. De plus ce sont les vampires qui se font écraser et non l’inverse. Bien sûr, il peut y avoir quelques batailles que les vampires ont remportées, cependant il ne faut pas oublier qu’ils ont perdu la guerre.
Citation :
à partie par des elfes, alors qu'ils étaient en train de sillonner la région à la recherche de recrus potentiels. La disparition du Seigneur provoque la déclaration de la croisade ayant pour but de le secourir et venger son honneur. Konrad mène l'expédition avec une partie de ses frères chevaliers. Comptant utilisé le vampirisme pour créer d'avantages de vampire sur les prisonniers. Hélas l'expédition tourne rapidement au désastre, les elfes semblent être des ennemis bien plus redoutable que les humains, et réussissent à tenir en échec les chevaliers à plusieurs reprises. Konrad découvre à cette occasion que tous les elfes ne sont pas transformés suite aux morsures, s'inquiétant de ce que cela signifie, le Duc souhaite terminait au plus vite son aventure en ces lieux boisés. Après avoir repérer sa localisation à l'aide d'espion, Konrad est en mesure de secourir Crassus qui était jusque là retenu prisonnier avec ses hommes dans un campement fortifiés. Ensemble, ils retournent jusqu'à la forteresse de l'ordre, ne souhaitant pas croisé le fer plus que de raison avec les oreilles pointues.
→ Pour l’époque, il est tout à fait improbable qu’une armée vampirique vienne à bout d’une armée elfique + humaine. Ils se feraient tout simplement laminer. D’autant que Konrad n’est pas le Prince noir et n’a pas l’autorité pour régner sur autant de vampires. Ensuite, passé une certaine période, les elfes délaissent les humains, les laissant seul face aux vampires et se cache dans leur forêt et sont protégés par la lisière. Il s’agit d’une barrière magique totalement infranchissable. Mais une chose est sûre : Des vampires qui s’aventurent dans la forêt elfique, peu de chance qu’ils en ressortent vivants. Les elfes ont toujours été invaincus sur leur territoire.
Chapitre 7 :
→ Tu parles de neutralité pendant la guerre avec les Alayiens, mais où se cachait Konrad ? Une chose est sûre, même en se déclarant neutre, Konrad ce serait fait taper dessus par les envahisseurs…
Voilà, nous sommes à la fin ! Si je devais résumer, je pense que tu surestime beaucoup les moyens dont ton perso a pu se doter. Quand j’ai lu ta fiche la première fois (en grosse diagonale donc), j’ai cru que l’Ordre de Chevalier en était un, genre un petit groupe d’une trentaine de personnes maximum… Et c’est de là que découle la majorité des soucis de ta fiches. De plus, si Konrad avait eu une telle armée si tôt, il aurait pu devenir le prince bien plus tôt également. L’armée de Konrad était quasi aussi puissante que celle de Lorenz à son époque (en 1750 et dans ces eaux là). Si j’ai un conseil, à titre personnel, ce serait de revoir l’âge de Konrad à la baisse pour rendre l’écriture de sa fiche plus facile. Pour un premier personnage, s’attaquer à plus de 1000 ans de chronologie déjà plus ou moins bien détaillée, c’est chaud.
Dans tous les cas, bonnes chances pour les modifications et nous restons là en cas de questions.
Invité
Mon identité Mes compétences
Invité
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Mar 19 Juil 2016 - 0:18
Bonsoir ! Déjà merci pour la réponse rapide . Bien j'ai lu le petit commentaire dans son entièreté et je tiens donc à répondre à ces quelques points dérangeant Alors je tiens à préciser d'avance, que ma vision des choses n'est pas supérieur à la votre et que je ne fais pas ça dans le but de me justifier cependant, j'estime que quelques points ont été légèrement incompris, je vais donc faire en sorte de m'expliquer :
→ Les Armandéens n’ont pas de médecin, mais des mages guérisseurs.
D'accord, je pensais que c'était un synonyme employer par la population, mais si ce n'est pas le cas, je modifie.
→ Il n’y a pas de dieux en Armanda, seulement des Esprits.
Je pensais l'avoir déjà modifier dans ma fiche après avoir moi-même lu l'erreur, j'ai du fail dans mon CC CV.
→ Il faut expliquer pourquoi ce vampire nommé Xavius a été au service de Konrad et de sa famille pendant si longtemps alors qu’il était vampire. A force de ne pas vieillir, ils s’en seraient rendu compte, d’autant qu’à l’époque vampire et humains ne sont pas du tout copains, les humains ayant presque anéanti les vampires des siècles plus tôt. Ce Xavius avait-il déjà des projets pour Konrad ? Nous voudrions en savoir plus.
Difficile de raconter deux histoire dans une même histoire sans partir dans un scandale total, sans compter qu'il y a un très grand nombre de personnage dans la dite histoire. Je serais parfaitement dans la capacité d'expliquer le pourquoi du comment Xavius est présent à ce poste, mais j'aimerais savoir s'il était possible de faire ça en dehors de ma propre histoire, comme une sorte de résumé ?
→ Comme je te l’ai dit plus haut, Hommes et Vampires ne sont pas du tout amis à l’époque (et toujours pas aujourd’hui d’ailleurs). Comment explique-tu donc que les Chevalier n’aient pas simplement dénoncé/tué/éviscéré Xavius ? Ce n’est pas logique sans une très très solide explication. → Tu parles d’un Elfe Baptistrel qui met du temps à deviner que le conseiller du duc est un vampire. Ceci est absolument impossible s’il s’agit de l’un des 12 Maître Baptistrels, qui l’aurait deviné sur le champ en entendant les chants-noms. Il pouvait s’agir que d’un apprenti, un Ewnr, pour ne pas découvrir immédiatement le pot au rose. Les apprentis n’ont pas les pouvoirs des Cawr et donc pas la faculté d’entendre et lire les chants noms.
Pour ce qui est de l'explication je m'en occupe pour le Cawr de même, cependant si les deux personnages ne sont jamais rencontrés, il n'est pas impossible qu'il ignore l'identité de tel ou tel conseiller, après tout à la base le Cawr en question est là pour soulager les victimes de la guerre.
→ Nous souhaitons une explication très solide pour comprendre comment les citoyens ne se sont pas révoltés alors qu’ils se doutent (ou savent) que le duc est un vampire. Ce n’est pas un discours qui va convaincre des humains de suivre des vampires, même aujourd’hui, alors à l’époque où les vampires sont un peu les « démons » d’Armanda, c’est tout simplement irréaliste. Pour en revenir au Cawr, de par son serment de vérité celui-ci a forcément dû parler de l’état du duc à certain habitants. Et les rumeurs vont vite, surtout de ce genre. Pour conclure, à moins que ces humains soient des esclaves, ils ne seraient jamais restés obéissant. Jamais. De plus dans ce contexte, c’était la guerre totale contre les vampires, donc très improbable voir impossible
Pourquoi les citoyens ne se révoltes pas : Konrad n'est pas avéré comme Vampire, le Cawr à dévoiler l'information à quelques personnes qui ont crée une rumeur, cependant ces personnages ont fuient la ville peu avant le siège. Une rumeur n'est qu'une rumeur, de plus à l'époque l'ordre Baptistrel très récent, il concerne principalement les elfes, et quelques hommes, (ordre nouveau) par conséquent la puissance de persuasion de l'ordre n'est pas censé être le même qu'aujourd'hui. Surtout dans des contrés éloigner de la capitale (Avalogne n'a jamais connu de Baptistrel avant l'arrivé de Balian). À côté de ça, la famille Von Drak c'est toujours montré comme membre d'honneur et de noblesse du duché, ils en sont d'ailleurs les créateurs. Il n'y a pas jamais eu de bavure et les citoyens ont été témoins de l'assassinat de l'ancien Duc et Duchesse, ainsi que la femme (propagande) de Konrad par les duchés adverses. En toute logique, il est tout à fait normal pour une population particulièrement lié à son foyer de croire en la bonne foi de leur dirigeant, sachant que celui-ci utilise un collier à cet instant lui permettant de masquer sa maladie. À cet instant rien ne laisse croire que Konrad est un vampire. les personnes croyant l'inverse ayant fuis la cité (Cf l'histoire).
La guerre contre les vampires est quand même déjà terminer depuis près de 300 ans, on parle de leur présence uniquement près des terres sauvages, ainsi que quelques enlèvements. Sinon le terme « retour des vampires » en 1750 n'aurait pas de sens
→ Un problème de discipline tout d’abord, car les nouveaux nés sont des bêtes assoiffés de sang, sans réelle logique. Les nouveaux nés ne sont pas connu pour leur esprit de groupe. S’ils reconnaissent la loi du plus fort, ils ne sont pas fidèles pour autant, seulement soumis et désorganisés.
Je parle de pillage et de massacre par la suite, il n'y a pas mention à cet instant de discipline, ce n'est qu'au bout de 5 ans que Konrad considère son armée comme relativement disciplinés.
→ Le second problème est de nourrir tous ces vampires sur le long terme. Autant de vampires, nouveaux nés qui plus est, laisse des traces. Il est impossible que l’armée humaine n’ait pas débarqués en ayant vent de multitudes de morts, de massacres, de bains de sang et j’en passe. → Enfin, nous jugeons qu’une armée de vampire est bien trop puissante. Tu parles d’un Ordre de Chevalier, pour nous une dizaine, maximum une trentaine, serait le grand maximum
Je n'ai jamais fait mention « D'armée vampire » à cet instant, en réalité j'évoque le massacre de la ville et le fait que très peu d'homme aient réussis à survivre, une armée n'aurait pas réussis à logé dans un simple campement de fortune. De plus, il ne s'agit pas simplement de chevalier, mais de citoyens dans le lot, les chevaliers ayant majoritairement péri durant la défense de la ville. Je peux cependant préciser pour des chiffres plus léger, mais je n'aurais pas parler de d'escouades et de pillages si je voulais parler d'une armée
→ Comme je te le dis plus haut, une telle armée désorganisée ne passerait pas inaperçue et aurait été anéantie par les humains. Le fait qu’elle soit composée de nouveau nés rend ensuite le contrôle de cette armée absolument impossible.
Le statut de nouveau né n'est pas définitif, les événements qui atteste d'une réel coopération date de 5 ans plus tard, soit le moment ou les vampires ne sont plus des nouveaux-nés
→ Il est donc impossible d’assiéger une cité avec une armée qui n’écoute pas… ou alors la ville ne doit pas avoir de fortifications plus forte qu’une palissade de bois.
Avant la cité de Camelaan, les forces de Konrad n'attaque que des villages, pas de cité fortifié.
→ Enfin, une armée de vampire désorganisée ne pourrait pas venir à bout d’une armée humaine d’un duché, disciplinée et ayant l’entrainement adéquat (il faudrait plus d’un millier de vampire, et comme je te l’ai dis nous ne pouvons te laisser qu’au maximum une trentaine de vampires avant que cela soit trop visibles).
La première "armée" qui est opposé à Konrad, est une armée de conscrit. Les forces de Camelaan subissent de lourdes perte de troupes dans la guerre contre le duché de l'Arnove, et l'attaque sur Avalogne qui a saigné ses rangs. Ces conscrits ont été confrontés à la rumeur d'attaques répétés de vampire par des survivants et des scènes de saccages omniprésent dans leur territoire, on considère donc que c'est la peur qui domine des jeunes recrues n'ayant pas été confrontés aux vampires comme leur aïeux. De plus, dans le contexte, c'était à la base prévu pour obtenir dans les 100 / 150 vamp. Hors ces personnages ne sont pas clairement identifiés comme vampire sur le champ de bataille car opère justement de manières différentes des vampires sauvages autrefois vaincu. (Port d'armure lourde / formation militaire / relative cohésion). À côté de ça, les conscrits sont mal équipés, peu entrainé et forme une piétaille relativement médiocre. Il s'agit là d'un comté après tout, ils n'ont pas les moyens d'un Duché et souffre de problème économique (CF fiche), ce qui explique la perfidie de Robert.
→ Pour information, les vampires évitent les batailles rangées. Ils attaquent plutôt de nuit (là où leur magie n’est pas altérée) puisqu’ils voient dans le noir, et ils préfèrent les escarmouches rapides.
Ça encore une fois, à cette époque, les vampires de Konrad ne vont pas dans ce sens, et c'est justement cette différence qui posera problème par la suite. Les manœuvres militaires de Konrad lui ont été enseigner lors de son humanité et par conséquent, l'emploi des stratégies et des tactiques en sont affectés.
→ Vit dans ces montagnes les Glacernois, de très grands humains. Ils sont des chasseurs de vampires, Konrad et les siens n’auraient donc pas fait long feu.
La chaine montagne est gigantesque et les Glacernois ne sont présent que sur Glacern et ses environs à l'époque, je doute qu'il contrôle entièrement la montagne d'après ce que j'ai lu, mais si ce n'est pas le cas, alors je peux modifier.
→ Les jeunes vampires se contrôlent mal, une goutte de sang et ils peuvent partir en vrille, c’est donc très limite qu’ils puissent s’intégrer aux humains pour mener à bien leurs missions.
Ce ne sont plus des jeunes vampires, les vétérans de 704 ont dans les alentours de 250 ans lorsqu'ils voyagent vers les territoires humains, à cette époque ils ont un contrôle minimum de leur émotions, si je ne précise pas de date, c'est simplement parce que le départ dépend des chevaliers en questions. Mais je peux modifier pour que ce soit plus clair.
→ Pour ce qui est de la forteresse dans les montagnes, c’est impossible, les glacernois seraient vite venu vous déloger et vous massacrer. Des grottes ou galeries, pourquoi pas, mais attention ! pas une fourmilière ! Et à condition de rester très discrets.
Là encore même problème qu'au dessus, les Glacernois sont ils censés contrôler l'intégralité de la chaine de montagne ? Ce qui serait relativement énorme comme superficie, Si c'est le cas je modifie.
→ Que Konrad ait une aussi grande armée et soit capable à ce point de mettre en difficulté les armées de l'empire humain avec son Ordre de Chevalier est impossible. L’empire humain a la plus grande armée à l’époque. De plus ce sont les vampires qui se font écraser et non l’inverse. Bien sûr, il peut y avoir quelques batailles que les vampires ont remportées, cependant il ne faut pas oublier qu’ils ont perdu la guerre.
J'ai justement précisé que c'est une demie victoire et que la plus grande partie des vampires ont rendu l'âme, les chevaliers considèrent que c'est une victoire uniquement car ils ont été capable de tendre un piège au général adverse et le décapiter. La nuit et durant un grand manque de cohésion générale. Je ne les aurais pas fait fuir vers les montagnes s'ils avaient gagnés là encore, je peux préciser pour être plus clair.
→ Pour l’époque, il est tout à fait improbable qu’une armée vampirique vienne à bout d’une armée elfique + humaine. Ils se feraient tout simplement laminer. D’autant que Konrad n’est pas le Prince noir et n’a pas l’autorité pour régner sur autant de vampires. Ensuite, passé une certaine période, les elfes délaissent les humains, les laissant seul face aux vampires et se cache dans leur forêt et sont protégés par la lisière. Il s’agit d’une barrière magique totalement infranchissable. Mais une chose est sûre : Des vampires qui s’aventurent dans la forêt elfique, peu de chance qu’ils en ressortent vivants. Les elfes ont toujours été invaincus sur leur territoire.
Je parle de désastre justement et d'expédition, pas d'armée. Les pertes sont énormes là encore chez les chevaliers et si les chevaliers considèrent que c'est une victoire, c'est simplement car ils ont été en mesure de récupérer l'un de leur seigneur. Ils n'ont pas eu l'avantage un seul instant chez les elfes, la récupération de Crassus étant relativement peu détaillé (Je parle d'une intervention de Konrad et d'un espion, donc opération de furtive.). Je ne vois pas ou je précise une victoire des vampires dans ce chapitre ^^
→ Tu parles de neutralité pendant la guerre avec les Alayiens, mais où se cachait Konrad ? Une chose est sûre, même en se déclarant neutre, Konrad ce serait fait taper dessus par les envahisseurs…
J'ai précisé que Konrad deteste les alayens et les combats, je voulais parler du conflit entre fabius et Korentin quand je parle de rebellion et de neutralité. Lorsque les Alayiens sont présents, Konrad et ses hommes sont présents contre les envahisseurs.
Enfin je précise une dernière chose, si Konrad (INRP seulement hein soyons précis) n'est pas prince plus tôt justement, c'est parce que lui et ses nouveaux frères (Vampires ayant survécu à divers conflits et donc pas des nouveaux-nés) considèrent les vampires sauvages comme une bande de barbare incapable et voué uniquement aux pillages, ils ne sont en rien un peuple pour lui. C'est la principale raison pour laquelle Konrad s'enfonce dans son sommeil. Il juge la situation bien trop handicapante et n'agit réellement qu'après la mort de deux princes (Deux grosses désillusions pour les vampires en somme.) ce qui était justement son plan à la base. Konrad et ses chevaliers ne souhaitent pas simplement diriger une bande de brutes, mais édifier une nation. Et au moment du sommeil de Konrad, les chevaliers ne sont plus qu'une simple poignée : Les conflits contre Elfe / humains / vampires : les ont presque exterminés. C'est justement pour cette raison que Xavius est chargé de recruter de nouveaux éléments pour l'ordre.
Voilà pour mon petit commentaire, si je pouvais avoir plus de détails ce serait génial, je précise encore une fois que mon message ne remet pas en question vos commentaires, mais y apporte de légères précisions, voilà tout .
Orfraie Ataliel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 3
Administratrice Capitaine Lame Ecarlate Garde personnelle de Luna Dragonnière
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Mar 19 Juil 2016 - 2:02
Je vais tenter de t’apporter le plus d’éclaircissements possibles mais il n'est pas impossible que l’un de mes collègues passe derrière moi. En effet, je suis une jeune Armandéenne et ne maîtrise pas aussi bien qu’eux l’histoire de notre forum. Si je ne comente pas certain point, c'est que c'est OK. Concernant le pourquoi du comment Konrad ne se fait pas tuer par son peuple quand il découvre que c'est un vampiche, je le transfert en staff.
Citation :
→ Il faut expliquer pourquoi ce vampire nommé Xavius a été au service de Konrad et de sa famille pendant si longtemps alors qu’il était vampire. A force de ne pas vieillir, ils s’en seraient rendu compte, d’autant qu’à l’époque vampire et humains ne sont pas du tout copains, les humains ayant presque anéanti les vampires des siècles plus tôt. Ce Xavius avait-il déjà des projets pour Konrad ? Nous voudrions en savoir plus.
Difficile de raconter deux histoires dans une même histoire sans partir dans un scandale total, sans compter qu'il y a un très grand nombre de personnage dans la dite histoire. Je serais parfaitement dans la capacité d'expliquer le pourquoi du comment Xavius est présent à ce poste, mais j'aimerais savoir s'il était possible de faire ça en dehors de ma propre histoire, comme une sorte de résumé ?
→ Tu peux nous fournir un texte explicatif en fin de fiche. Nous ne validerons pas sans comprendre ce point, qui sera aussi à valider bien entendu. Pas besoin de partir dans une myriade de détails, va à l’essentiel.
Citation :
→ Comme je te l’ai dit plus haut, Hommes et Vampires ne sont pas du tout amis à l’époque (et toujours pas aujourd’hui d’ailleurs). Comment explique-tu donc que les Chevalier n’aient pas simplement dénoncé/tué/éviscéré Xavius ? Ce n’est pas logique sans une très très solide explication.
→ Tu parles d’un Elfe Baptistrel qui met du temps à deviner que le conseiller du duc est un vampire. Ceci est absolument impossible s’il s’agit de l’un des 12 Maître Baptistrels, qui l’aurait deviné sur le champ en entendant les chants-noms. Il pouvait s’agir que d’un apprenti, un Ewnr, pour ne pas découvrir immédiatement le pot au rose. Les apprentis n’ont pas les pouvoirs des Cawr et donc pas la faculté d’entendre et lire les chants noms.
Pour ce qui est de l'explication je m'en occupe pour le Cawr de même, cependant si les deux personnages ne sont jamais rencontrés, il n'est pas impossible qu'il ignore l'identité de tel ou tel conseiller, après tout à la base le Cawr en question est là pour soulager les victimes de la guerre.
→ A l’instant où me Cawr se retrouve en présence de Xavius, il découvrira sa nature par le chant nom. Ça lui sautera en pleine face. Après, temps qu’ils ne sont pas en contact, il ne le saura pas bien entendu. ^^
Citation :
→ Un problème de discipline tout d’abord, car les nouveaux nés sont des bêtes assoiffés de sang, sans réelle logique. Les nouveaux nés ne sont pas connu pour leur esprit de groupe. S’ils reconnaissent la loi du plus fort, ils ne sont pas fidèles pour autant, seulement soumis et désorganisés.
Je parle de pillage et de massacre par la suite, il n'y a pas mention à cet instant de discipline, ce n'est qu'au bout de 5 ans que Konrad considère son armée comme relativement disciplinés.
→ Il faut plus de 5 ans à un vampire pour pouvoir parfaitement résister à l’attrait du sang sans aide extérieur, j’entends par là pour rester parfaitement stoïc devant l’hémoglobine. Le strict minimum est d’au moins 30 à 50 ans si on considère que Konrad les prend tous en tuteurât, donc qu’il s’en occupe tous individuellement pendant plusieurs mois/années individuellement. Avant cela, un vampire sera toujours dérangé par le sang et sujet à des crises de folies (qui s’espace avec les années). On considère qu’un vampire se contrôle parfaitement vers 200-300 ans.
Citation :
→ Le second problème est de nourrir tous ces vampires sur le long terme. Autant de vampires, nouveaux nés qui plus est, laisse des traces. Il est impossible que l’armée humaine n’ait pas débarqués en ayant vent de multitudes de morts, de massacres, de bains de sang et j’en passe. → Enfin, nous jugeons qu’une armée de vampire est bien trop puissante. Tu parles d’un Ordre de Chevalier, pour nous une dizaine, maximum une trentaine, serait le grand maximum
Je n'ai jamais fait mention « D'armée vampire » à cet instant, en réalité j'évoque le massacre de la ville et le fait que très peu d'homme aient réussis à survivre, une armée n'aurait pas réussis à logé dans un simple campement de fortune. De plus, il ne s'agit pas simplement de chevalier, mais de citoyens dans le lot, les chevaliers ayant majoritairement péri durant la défense de la ville. Je peux cependant préciser pour des chiffres plus léger, mais je n'aurais pas parler de d'escouades et de pillages si je voulais parler d'une armée
→ Pour notre compréhension, des précisions seraient bienvenues.
Citation :
→ Comme je te le dis plus haut, une telle armée désorganisée ne passerait pas inaperçue et aurait été anéantie par les humains. Le fait qu’elle soit composée de nouveau nés rend ensuite le contrôle de cette armée absolument impossible.
Le statut de nouveau né n'est pas définitif, les événements qui atteste d'une réel coopération date de 5 ans plus tard, soit le moment ou les vampires ne sont plus des nouveaux-nés
→ C.f mon commentaire plus haut.
Citation :
→ Pour information, les vampires évitent les batailles rangées. Ils attaquent plutôt de nuit (là où leur magie n’est pas altérée) puisqu’ils voient dans le noir, et ils préfèrent les escarmouches rapides.
Ça encore une fois, à cette époque, les vampires de Konrad ne vont pas dans ce sens, et c'est justement cette différence qui posera problème par la suite. Les manœuvres militaires de Konrad lui ont été enseigner lors de son humanité et par conséquent, l'emploi des stratégies et des tactiques en sont affectés.
→ Comme je le dis, c’est à titre d’information.
Citation :
→ Vit dans ces montagnes les Glacernois, de très grands humains. Ils sont des chasseurs de vampires, Konrad et les siens n’auraient donc pas fait long feu.
La chaîne montagne est gigantesque et les Glacernois ne sont présent que sur Glacern et ses environs à l'époque, je doute qu'il contrôle entièrement la montagne d'après ce que j'ai lu, mais si ce n'est pas le cas, alors je peux modifier.
→ Tu peux modifier. Si tu reprends l’idée de petites galeries et que Konrad se fait TRES discret, il y a moyen qu’il passe (avec un petit nombre) entre les mailles du filet. Il serait bon de bien chiffrer le nombre de vampires/personnes avec lui à chaque fois.
Citation :
→ Les jeunes vampires se contrôlent mal, une goutte de sang et ils peuvent partir en vrille, c’est donc très limite qu’ils puissent s’intégrer aux humains pour mener à bien leurs missions.
Ce ne sont plus des jeunes vampires, les vétérans de 704 ont dans les alentours de 250 ans lorsqu'ils voyagent vers les territoires humains, à cette époque ils ont un contrôle minimum de leur émotions, si je ne précise pas de date, c'est simplement parce que le départ dépend des chevaliers en questions. Mais je peux modifier pour que ce soit plus clair.
→ Sur une histoire aussi longue avec autant d’informations la datation est importante. Précise le, car tu vois bien que nous l’avions compris de travers.
Citation :
→ Que Konrad ait une aussi grande armée et soit capable à ce point de mettre en difficulté les armées de l'empire humain avec son Ordre de Chevalier est impossible. L’empire humain a la plus grande armée à l’époque. De plus ce sont les vampires qui se font écraser et non l’inverse. Bien sûr, il peut y avoir quelques batailles que les vampires ont remportées, cependant il ne faut pas oublier qu’ils ont perdu la guerre.
J'ai justement précisé que c'est une demie victoire et que la plus grande partie des vampires ont rendu l'âme, les chevaliers considèrent que c'est une victoire uniquement car ils ont été capable de tendre un piège au général adverse et le décapiter. La nuit et durant un grand manque de cohésion générale. Je ne les aurais pas fait fuir vers les montagnes s'ils avaient gagnés là encore, je peux préciser pour être plus clair.
→ Tu peux préciser.
Citation :
→ Pour l’époque, il est tout à fait improbable qu’une armée vampirique vienne à bout d’une armée elfique + humaine. Ils se feraient tout simplement laminer. D’autant que Konrad n’est pas le Prince noir et n’a pas l’autorité pour régner sur autant de vampires. Ensuite, passé une certaine période, les elfes délaissent les humains, les laissant seul face aux vampires et se cache dans leur forêt et sont protégés par la lisière. Il s’agit d’une barrière magique totalement infranchissable. Mais une chose est sûre : Des vampires qui s’aventurent dans la forêt elfique, peu de chance qu’ils en ressortent vivants. Les elfes ont toujours été invaincus sur leur territoire.
Je parle de désastre justement et d'expédition, pas d'armée. Les pertes sont énormes là encore chez les chevaliers et si les chevaliers considèrent que c'est une victoire, c'est simplement car ils ont été en mesure de récupérer l'un de leur seigneur. Ils n'ont pas eu l'avantage un seul instant chez les elfes, la récupération de Crassus étant relativement peu détaillé (Je parle d'une intervention de Konrad et d'un espion, donc opération de furtive.). Je ne vois pas ou je précise une victoire des vampires dans ce chapitre ^^
→ Nous ne l’avions pas compris ainsi comme tu peux le constater. Il serait bon de l’expliquer davantage. Concernant les Elfes, il est impossible de pénétrer leur forêt temps que la barrière est levée (à partir de l’instant où les Elfes laisse les Hommes en solo). Ce qui se passe chez les Elfes doit se passer à la lisière de la barrière.
Citation :
→ Tu parles de neutralité pendant la guerre avec les Alayiens, mais où se cachait Konrad ? Une chose est sûre, même en se déclarant neutre, Konrad ce serait fait taper dessus par les envahisseurs…
J'ai précisé que Konrad deteste les alayens et les combats, je voulais parler du conflit entre fabius et Korentin quand je parle de rebellion et de neutralité. Lorsque les Alayiens sont présents, Konrad et ses hommes sont présents contre les envahisseurs.
→ Une mauvaise compréhension de ce qui est écrit, donc. Tu peux tenter de rendre la chose plus claire ?
Tu peux commencer tes modifs. Si un collègue a quelque chose à rajouter/éclaircir, il le fera rapidement.
Crissolorio Ostiz
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 7
Modérateur Régent de Gloria
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Mar 19 Juil 2016 - 8:49
Bon je vais tâcher d'aider aussi^^. Alors en dehors des commentaires d'Orfraie, voici les miens.
Citation :
Je parle de pillage et de massacre par la suite, il n'y a pas mention à cet instant de discipline, ce n'est qu'au bout de 5 ans que Konrad considère son armée comme relativement disciplinés.
5 ans ça reste effroyablement peu, même Lorenz n'avait pas une telle discipline aussi aisément de la part de son armée, et il avait une politique de dictateur fachiste avec ses troupes (et charisme exceptionnel) pour obtenir une certaine discipline tout de même, et encore elle n'était pas absolue. A 5 ans tes vampires sont encore très contrôlés par leurs instincts, d'ailleurs cela ne m'étonnerait pas qu'une bonne partie d'entre-eux décide de faire faux bond à ton armée pour aller voir ailleurs si le sang est plus rouge dans une autre contrée.
Comme Orfraie le précise donc il faut beaucoup de temps, d'ailleurs elle est souple car elle dit que ton perso peut les prendre en tuteur, mais ce n'est pas vraiment possible vu qu'il est aussi un jeune vampire (et qu'il devrait autant avoir de mal à se contrôler que les autres, et devrait sans doute beaucoup laisser parler son instinct, il devrait être aussi sauvage que les autres, et incapable de donner des cours pour contrôler cela) donc pour ta part ce serait plus les 200-300 ans qui serait possible, et il est extrêmement difficile de garder aussi longtemps des vampires dans la même armée, surtout très jeune.
De plus je signale que le côté stratégie humaine de Konrad n'est pas du tout censé marcher avec des vampires, surtout jeune. Les humains sont arriver à un tel résultat en se basant sur des soldats disciplinés, et fidèles entraînés plusieurs longues années pour adhérer à un esprit de groupe solide où ils n'hésitent pas à mettre leurs vies dans les mains de leurs autres camarades soldats. Une chose déjà très difficile à avoir avec quelques dizaines de vampire normaux, et impossible avec des jeunes vampires de moins de 200 ans qui ont plus tendance à se méfier des autres vampires, encore davantage que les plus âgés qui ne brillent pas déjà par leurs confiances envers les leurs (alors confier sa vie à un autre vampire comme les humains le font à l'armée? Très dur à envisager), et à céder à leurs instincts qu'autre chose.
Sinon pour les montagnes j'appuie ce que dit Orfraie, les glacernois surveillent très bien leurs montagnes, et ils patrouillent sur toutes les montagnes (et remarquent facilement l'absence d'un des leurs), ton vampire peut aller se cacher dans les galeries dans les montagnes avec un petit nombre de vampire, mais là se posera le problème de la nourriture. (et il vaut mieux éviter d'aller boire des glacernois pour plusieurs raisons, notamment car ils s'en rendront compte très vite)
Citation :
Ce ne sont plus des jeunes vampires, les vétérans de 704 ont dans les alentours de 250 ans lorsqu'ils voyagent vers les territoires humains, à cette époque ils ont un contrôle minimum de leur émotions, si je ne précise pas de date, c'est simplement parce que le départ dépend des chevaliers en questions. Mais je peux modifier pour que ce soit plus clair.
Les vampires ne sont pas forcément non plus tous capables d'ainsi s'intégrer chez les humains en tel nombre sur le long terme, que quelques-uns y arrivent d'accord (ils sont doués pour cela, et ce sont entraînés, et surtout ne se font pas remarquer au sein des humains en usant par exemples d'enchantements magiques spécialisés pour cela, et n'oublient pas de changer de lieu de vie de temps en temps), mais les autres non (ce sont pas des exceptionnels en furtivité comme Kylian Wallam et encore lui il avait aussi du mal de ce que m'a dit l'ancien staff à ne pas se faire repérer sur le long terme). Encore moins avec ton Konrad qui devient homme de loi pendant plusieurs années (il aurait forcément dû venir manger à une banquet, une fête, une soirée, et l'excentricité sociale imposée par l'existence de vampire se remarquerait sur le moyen terme pour un homme de si haut rang), sans oublier que les humains ont quand même deux trois moyens magiques de s'apercevoir que quelqu'un est un vampire même s'ils ne sont pas utilisés systématiquement. mais ils peuvent être utilisés en cas de soupçons par exemple. (Et en comparaison avec ton perso, Orfraie qui est une ancestrale (les vampires d'origines elfiques se contrôlent mieux), et avec un tuteur donc une vampire se contrôlant beaucoup mieux que les autres et bonne en furtivité donc bien meilleur pour s'intégrer chez les humains sans se faire remarquer, il y a déjà des rumeurs circulant sur elle après plusieurs mois à Aldaria. Je laisse le soin à cette dernière de le confirmer, ou non d'ailleurs vu que je la prend pour exemple^^)
Citation :
J'ai justement précisé que c'est une demie victoire et que la plus grande partie des vampires ont rendu l'âme, les chevaliers considèrent que c'est une victoire uniquement car ils ont été capable de tendre un piège au général adverse et le décapiter. La nuit et durant un grand manque de cohésion générale. Je ne les aurais pas fait fuir vers les montagnes s'ils avaient gagnés là encore, je peux préciser pour être plus clair.
Là encore vaut mieux préciser, et franchement je pense que si tes vampires ont fait montre de leurs capacités physiques supérieures avant pendant d'autres combats (ce qui est très probable, car les vampires ne vont pas se battre en limitant leurs capacités contre des humains en surnombre, disciplinés, et balançant des boules de feu et des malefeu sur eux ce serait suicidaire), les humains ce seraient forcément doutés de quelque chose, et auraient particulièrement fait gaffe de nuit avec des dispositifs d'alarmes, et pièges magiques nombreux par exemple (après tout c'est ce moment que les vampires privilégient pour attaquer, et ils ne sont pas connus pour leurs honneurs, surtout dans les légendes qui circulent chez les humains).
Et pour les elfes je confirme ce que dit Orfraie.
Et je précise que tes 100/150 vampires ça reste trop surtout pour l'armée d'un jeune vampire. Sans oublier qu'il est impossible d'obtenir une véritable cohésion militaire encore une fois de la part de vampires de moins de 200 ans, et même après cela ne rivalisera jamais avec la discipline des armées humaines (ou pas pour plus de 20 - 30 vampires d'élites totalement fidèles à ton perso). Et ta raison inrp pour ne pas devenir prince veut donc dire qu'il aurait pu devenir prince s'il avait voulu, justement c'est aussi cela le problème. Il n'aurait pas dû être en moyen de faire qu'il le veuille, ou non à cette époque. D'ailleurs il n'était même pas un ancien à l'époque donc incapable de vraiment fédérer beaucoup de vampires autour de lui comme aujourd'hui vu que pas mal de vampires plus anciens l'auraient vite surpassés en force. Et c'est la force qui compte chez les vampires pour obtenir l'obéissance.
Orfraie Ataliel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 3
Administratrice Capitaine Lame Ecarlate Garde personnelle de Luna Dragonnière
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Mar 19 Juil 2016 - 21:04
Bonsoir,
Je reviens pour ce dernier point très important :
Citation :
→ Nous souhaitons une explication très solide pour comprendre comment les citoyens ne se sont pas révoltés alors qu’ils se doutent (ou savent) que le duc est un vampire. Ce n’est pas un discours qui va convaincre des humains de suivre des vampires, même aujourd’hui, alors à l’époque où les vampires sont un peu les « démons » d’Armanda, c’est tout simplement irréaliste. Pour en revenir au Cawr, de par son serment de vérité celui-ci a forcément dû parler de l’état du duc à certain habitants. Et les rumeurs vont vite, surtout de ce genre. Pour conclure, à moins que ces humains soient des esclaves, ils ne seraient jamais restés obéissant. Jamais. De plus dans ce contexte, c’était la guerre totale contre les vampires, donc très improbable voir impossible
Pourquoi les citoyens ne se révoltes pas : Konrad n'est pas avéré comme Vampire, le Cawr à dévoiler l'information à quelques personnes qui ont crée une rumeur, cependant ces personnages ont fuient la ville peu avant le siège. Une rumeur n'est qu'une rumeur, de plus à l'époque l'ordre Baptistrel très récent, il concerne principalement les elfes, et quelques hommes, (ordre nouveau) par conséquent la puissance de persuasion de l'ordre n'est pas censé être le même qu'aujourd'hui. Surtout dans des contrés éloigner de la capitale (Avalogne n'a jamais connu de Baptistrel avant l'arrivé de Balian). À côté de ça, la famille Von Drak c'est toujours montré comme membre d'honneur et de noblesse du duché, ils en sont d'ailleurs les créateurs. Il n'y a pas jamais eu de bavure et les citoyens ont été témoins de l'assassinat de l'ancien Duc et Duchesse, ainsi que la femme (propagande) de Konrad par les duchés adverses. En toute logique, il est tout à fait normal pour une population particulièrement lié à son foyer de croire en la bonne foi de leur dirigeant, sachant que celui-ci utilise un collier à cet instant lui permettant de masquer sa maladie. À cet instant rien ne laisse croire que Konrad est un vampire. les personnes croyant l'inverse ayant fuis la cité (Cf l'histoire).
→ Après discussion, nous n'acceptons pas qu'un vampire ait été à la tête d'humains, nous continuons à ne pas trouver cela logique/probable et te demandons donc d'en changer. Pour l'anecdote, Konrad se retrouve à quelque chose près dans la position actuelle de mon personnage, Orfraie. Princesse et Générale des Rôdeurs Elfique (l'élite de l'armée et gardiens du royaume tout de même), ancienne conseillère et Maître Baptistrelle.. Cela n'a pas empêché son peuple de la renier, la haïr et certain Elfe de vouloir la faire assassiner ! On ne rigole pas avec les vampires en Armanda, ni maintenant et surtout pas autrefois où la haine des vampires était bien plus intense qu'aujourd'hui.
Bonne continuation, nous restons disponible pour tes questions.
En vertu du règlement, tu as 4 jours pour procéder aux modifications de ta fiche. Il te faudra par ailleurs signer ce règlement
Invité
Mon identité Mes compétences
Invité
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Mer 20 Juil 2016 - 7:09
Merci pour ces réponses rapides, j'aimerais cependant avoir quelques nouvelles réponses au sujet de détails qui me rende légèrement perplexe. Je tiens à préciser que j'édifie mon avis en fonction du topic Vampire actuellement présent dans l'onglet « Monde » du fofo. Par conséquent ce que j'avance n'est que le fruit de mon interprétation et non pas une vérité absolue. Pour répondre généralement, j'ai bien compris que le trop grand nombre de vampire était un problème et je compte modifier ça rapidement dans ma fiche pour ne pas laisser entendre l'existence d'une armée réel. Ainsi que d'une discipline de fer dans les premières années. Il reste cependant quelques points sombres.
Citation :
5 ans ça reste effroyablement peu, même Lorenz n'avait pas une telle discipline aussi aisément de la part de son armée, et il avait une politique de dictateur fachiste avec ses troupes (et charisme exceptionnel) pour obtenir une certaine discipline tout de même, et encore elle n'était pas absolue. A 5 ans tes vampires sont encore très contrôlés par leurs instincts, d'ailleurs cela ne m'étonnerait pas qu'une bonne partie d'entre-eux décide de faire faux bond à ton armée pour aller voir ailleurs si le sang est plus rouge dans une autre contrée.
Alors, j'ai bien compris que 5 ans c'était faible pour la discipline, mais c'était pas précisé dans le topic en question, je ferais donc en sorte de mettre en avant des bêtes sauvages, plutôt qu'une armée coordonné si c'est ce qui pose problème. En revanche, je pense qu'il faut dès à présent cesser la comparaison avec l'armée de Lorenz (déjà car Konrad ne possède pas d'armée à cet instant de l'histoire, ni par la suite d'ailleurs) puisqu'il y'a deux points majeurs qui modifie totalement le contexte.
1 : L'armée de Lorenz était une armée fédéré autour d'un chef proclamé à la suite d'une succession de lutte interne, des morts, des conflits et une preuve de supériorité sur des vampires qui étaient déjà à l'époque conscients et individualistes (je parle pas des transformations qu'il y a eu par la suite). Il est forcément logique que des individus individualistes n'étant lié à quiconque puissent être revêche et montre de l'insubordination, malgré la poigne de Lorenz à l'époque. On efface pas des centaines d'années de lutte interne en un claquement de doigt.
2 : Le groupe de Konrad n'a rien à voir avec des vampires sauvages classiques, et pour cause. Ici il ne s'agit pas de vampiriser quelques individus et de les laisser derrière, comme des chiens fous. Au contraire, les vampires sont encadrés et guider vers un but. Cela ne signifie pas pour autant qu'ils sont directement disciplinés, ça signifie simplement qu'ils sont plus ou moins guider et qu'ils ne sont pas dans la situation de solitude propre aux autres vampires. On part du principe qu'une poignée d'individus ont oubliés leur souvenirs et sont à présent guidés par une seule chose, la soif de sang. Ce stade qui n'est définitif reste contrebalancé par le fait que contrairement à la plupart des autres vampires, les hommes de Konrad sont mis au courant de leur transformation et on leur explique par la même occasion l'origine de celle-ci. On y glisse d'ailleurs une notion de recherche de vengeance qui signifie par la même occasion une possibilité de se nourrir. Si on considère qu'un individu est amnésique, mais qu'il est conditionné pour agir dans un sens (Tuer ceux qui l'ont rendu ainsi, et assouvir sa dépendance au sang) il est très peu probable qu'ils soient contre le projet et qu'il décide de s'enfuir dans un monde qui lui est étrangé (ce qu'un vampire classique est obligé de faire). Les vampires sont prédateurs, régit par la rationalité et le besoin sanguin. Seulement Konrad et ses lieutenants fournissent ces deux besoins : Vengeance et Sang via les pillages.
Les troupes de Konrad et Lorenz sont véritablement différentes, à la fois par leur nombre, mais aussi leur nature. Les vampires ont beau avoir certains très héréditaire, ils ne peuvent pas être tous loger à la même enseigne, de mon humble avis.
Citation :
De plus je signale que le côté stratégie humaine de Konrad n'est pas du tout censé marcher avec des vampires, surtout jeune. Les humains sont arriver à un tel résultat en se basant sur des soldats disciplinés, et fidèles entraînés plusieurs longues années pour adhérer à un esprit de groupe solide où ils n'hésitent pas à mettre leurs vies dans les mains de leurs autres camarades soldats. Une chose déjà très difficile à avoir avec quelques dizaines de vampire normaux, et impossible avec des jeunes vampires de moins de 200 ans qui ont plus tendance à se méfier des autres vampires, encore davantage que les plus âgés qui ne brillent pas déjà par leurs confiances envers les leurs (alors confier sa vie à un autre vampire comme les humains le font à l'armée? Très dur à envisager), et à céder à leurs instincts qu'autre chose.
Je pense que c'est surestimé la puissance d'un comté de très loin. On parle de piétaille là encore une fois et des explications ont été donner inrp précisément pourquoi les forces adverses sont affaiblis. Je ferais en sorte d'expliquer le déroulement de la guerre à la manière d'une guérilla désordonné cependant encore une fois, il ne s'agit pas de la fine fleur de l'Empire, mais de simple conscrits armés pour défendre une terre après une succession de troubles. Humain ou non, ils reste pour la plupart des néophytes dans l'art de la guerre et le maniement des armes sans compter que le général de l'armé (le Comte en place) est dans l'incapacité de mener les forces sur le terrain.
Pour ce qui est de la méfiance des vampires, une fois encore il n'est pas utile de comparer les vampires individualistes n'ayant jamais connu de semblant de fraternité, et des forces qui sont habitués à piller, saccager et se nourrir sous la forme d'une confrérie. Des loups sont indisciplinés mais agisse tout de même en meute, et ils ne sont pas connus pour leur honneur pour autant. Là encore, il s'agit de différencier les méthodes et les manières qui ont amenés les hommes de Konrad à se développer psychologiquement. Un Vampire est généralement abandonné à son sort, rejeter de tous et fini sa vie dans les tunnels ou il devient le jouet d'autres vampires plus expérimenté que lui. La raison principale de la méfiance et de la haine des vampires envers les membres de leur propre race est donc d'origine social et non racial. Si on se base sur le topic vampire on lit très clairement ceci :
Citation :
Le vampire est un prédateur par nature. Prétendre le contraire serait une bêtise, nous avons vu dans leur description physique et nous verrons à nouveau dans les détails sur leur organisme que leurs corps sont adaptés dans le seul but de tuer le plus efficacement possible. Mais leur esprit aussi !
Terriblement différent de celui des autres races, l'esprit vampirique n'est que rationalité pure. Ils possèdent une capacité logique assez effrayante et d'autant plus impitoyable qu'elle laisse peu de place aux sentiments. En situation normale le vampire fonctionne en trois temps extrêmement courts. Recueil des informations captées par ses sens surveloppés, froide analyse de ceux-ci, et réaction immédiate. Réaction qui peut se montrer d'autant plus impitoyable que la créature n'a pas prit le temps de faire passer tout ceci par le filtre de sentiments ! C'est certainement ce mode de fonctionnement si particulier (et tout à fait involontaire, leur cerveau fonctionne ainsi !) qui a donné aux vampires cette réputation de créatures parfaitement insensibles.
Rationalité et capacité logique, traits de caractères hérité de la morsure. Traits, très opposé à l'indiscipline et la haine/ peur du voisin, qui provient d'un facteur social (la haine des autres – le rapport de domination chez les vampires.) Puisque Konrad est ses hommes ont été entourer par des êtres dur mais suffisamment souples pour les encadrés et leur fournir un but commun, leur socialisation a été différente et par conséquent ils ont moins tendance à commettre des trahison entre eux, puisqu'ils appartienne à une communauté réduite mais fanatisé. Si à la base ce ne sont que des nouveaux-nés attirer par la mort, le sang et la vengeances. Ils deviennent par la suite et force d'actions communes des membres d'un ordre guerrier au même idéal. La guerre et les batailles sont leur moyen de s'exprimer, on est loin du concept de lutte interne lié à la politique inhérant aux vampires souterrain, et on connait tous l'efficacité d'un dogme sur des êtres vivants lorsqu'on le mêle à la guerre et aux promesses. L'indiscipline est d'ailleurs souvent lié à la soif de sang, mais si c'est en effet un problème dans le début de l'ordre (je le préciserais). Ça reste globalement deux problèmes totalement différents. Un être indiscipliné (qui refuse l'ordre et les règles de vie en communauté) pourra par la suite faire preuve de contrôle dans ses pulsions et inversement.
Citation :
Et je précise que tes 100/150 vampires ça reste trop surtout pour l'armée d'un jeune vampire. Sans oublier qu'il est impossible d'obtenir une véritable cohésion militaire encore une fois de la part de vampires de moins de 200 ans, et même après cela ne rivalisera jamais avec la discipline des armées humaines (ou pas pour plus de 20 - 30 vampires d'élites totalement fidèles à ton perso). Et ta raison inrp pour ne pas devenir prince veut donc dire qu'il aurait pu devenir prince s'il avait voulu, justement c'est aussi cela le problème. Il n'aurait pas dû être en moyen de faire qu'il le veuille, ou non à cette époque. D'ailleurs il n'était même pas un ancien à l'époque donc incapable de vraiment fédérer beaucoup de vampires autour de lui comme aujourd'hui vu que pas mal de vampires plus anciens l'auraient vite surpassés en force. Et c'est la force qui compte chez les vampires pour obtenir l'obéissance.
à l'époque ou il rejoint les vampires, Konrad est âgé de plus ou moins 850 ans, c'est justement vers ces eaux là qu'on considère qu'on est ancien il me semble. Honnêtement inrp qu'est ce que ça change puisque l'idée de devenir chef de ce groupe ne l'effleure même pas à la base, même avec 1000 vampires avec lui, un titre de prince ne s'obtient qu'après un duel avec les autres concurrent, le nombre de collaborateurs ne change rien ou presque dans ce contexte : Il permet d'être reconnu aux yeux des autres et d'être par conséquent éligible à une ascension. Dans tout les cas, ils ne sont pas 100 / 150 à la fin, encore une fois je parle de perte très importantes dans l'avant dernier chapitre, mais je préciserais des chiffres pour faciliter la vision. Et j'imagine qu'en 1500 années d'exil sous terre, il y'a forcément eu des vampires capable de prendre le pouvoir, et qui ne l'ont pas fait pour X raisons. Dans tout les cas, ce n'était pas dans les projets de Konrad et mis à part ses propres capacités physiques plus ou moins médiocre si on le compare aux précédents princes, pour le coup c'est plutôt Konrad qui est surestimé à cet instant. Il n'avait pas plus de soutiens qu'un autre, surtout qu'il est plutôt vue comme un étranger à cet instant, avec ses motivations et ses règles différentes des vampires des tunnels.
Citation :
Là encore vaut mieux préciser, et franchement je pense que si tes vampires ont fait montre de leurs capacités physiques supérieures avant pendant d'autres combats (ce qui est très probable, car les vampires ne vont pas se battre en limitant leurs capacités contre des humains en surnombre, disciplinés, et balançant des boules de feu et des malefeu sur eux ce serait suicidaire), les humains ce seraient forcément doutés de quelque chose, et auraient particulièrement fait gaffe de nuit avec des dispositifs d'alarmes, et pièges magiques nombreux par exemple (après tout c'est ce moment que les vampires privilégient pour attaquer, et ils ne sont pas connus pour leurs honneurs, surtout dans les légendes qui circulent chez les humains.
La magie n'existe plus à cette époque, les combats se résume au maniement de l'arme, ce que les Chevaliers de Konrad pratique depuis désormais 200 ans, sans parler de force physique ou de début de discipline, il y'a forcément une supériorité technique face aux très grand nombre d'humains sur le terrain. Qui ne nécessite pas vraiment l'utilisation d'une force exacerbé, sans compter que les premiers échanges avec l'Empire ne les opposent pas à l'élite de la nation, comme toujours lors d'un début de campagne, on est opposé à des forces locales, loin de l'efficacité des vétérans d'une armée. Pour ce qui est de la tactique, là encore il s'agit d'une préférence de Konrad et ses troupes, l'attaque de nuit reste l'unique attaque des vampires de nuits durant le conflit, donc je ne vois pas pourquoi les humains seraient nécessairement omniscients ^^ Sans compter qu'une défense n'est jamais infaillible face à un petit nombre.
Citation :
Les vampires ne sont pas forcément non plus tous capables d'ainsi s'intégrer chez les humains en tel nombre sur le long terme, que quelques-uns y arrivent d'accord (ils sont doués pour cela, et ce sont entraînés, et surtout ne se font pas remarquer au sein des humains en usant par exemples d'enchantements magiques spécialisés pour cela, et n'oublient pas de changer de lieu de vie de temps en temps), mais les autres non
Un chevalier en heaume et armure ne peut pas être affilié aux vampires s'il offici en tant que mercenaire pour une durée limité et différents employeurs, je ne précise pas ces faits car ils sont plus ou moins évidents Pour ce qui est de Konrad il est lui même équiper d'un collier lui permettant de se fondre dans la masse, à une époque (encore une fois) ou aucun vampire ne pratique la dissimulation parmi les hommes. Je peux cependant raccourcir le temps et préciser qu'il voyage dans différents lieu mais son rôle de diplomate permet déjà ça de base, ce n'est pas un Lord qui reste bloquer sur la même zone pendant 10 ans. Dans tout les cas, si tu le préfère je m'en occuperais.
Citation :
→ Après discussion, nous n'acceptons pas qu'un vampire ait été à la tête d'humains, nous continuons à ne pas trouver cela logique/probable et te demandons donc d'en changer. Pour l'anecdote, Konrad se retrouve à quelque chose près dans la position actuelle de mon personnage, Orfraie. Princesse et Générale des Rôdeurs Elfique (l'élite de l'armée et gardiens du royaume tout de même), ancienne conseillère et Maître Baptistrelle.. Cela n'a pas empêché son peuple de la renier, la haïr et certain Elfe de vouloir la faire assassiner ! On ne rigole pas avec les vampires en Armanda, ni maintenant et surtout pas autrefois où la haine des vampires était bien plus intense qu'aujourd'hui
Alors encore une fois je trouve que c'est légèrement surestimé l'influence d'une rumeur vis à vis d'un pouvoir en place, Konrad était absent et personne d'autre que le Cawr a pu attesté à quelques rares individus la transformation du Duc en place. La réapparition de Konrad, s'enchaine d'ailleurs par une déclaration publique et une vision de sa propre personne dénué de marque lié aux vampires (grâce au collier que lui prête Xavius visant à supprimer les effets du venin, par l'effet de l'Exaltation de la nuit éternelle ). Ainsi lorsqu'il est visible, rien ne laisse croire que Konrad a été vampirisé et il y'a des raisons solides expliquant son absence provisoire (empoisonnement), sans compter le fait qu'en tant que chevalier maitre de son ordre et dirigeant de son duché, il est forcément écouté et respecté de ses citoyens, il ne s'agit pas d'un Paria qu'on brulerait directement sur un buché au moindre doute.
La ressemblance avec Orfraie est donc déjà mis à mal, puisque la transformation s'effectue en secret et non au cours d'une bataille pour lui sauvé la vie. De plus on connait la haine viscérale des elfes pour les vampires. Enfin, point le plus important à mettre en lumière. Si Orfraie subis sa déchéance à l'époque ou les vampires sont officiellement présents dans la scène géopolitique, ce n'est pas le cas de Konrad. Celui-ci est vampirisé 613 ans après la disparition officiel des vampires, par conséquent les situations de transformations avéré dans les cités les plus importantes sont bien plus rare et invraisemblable qu'en 1760. Les vampires frappes plus généralement près des territoires proche des tunnels, et pas dans des cités aussi lointaine. Les vampires dans ce contexte des années 693 sont plutôt des légendes du passé, qu'on évoque encore pour quelques cas gênants, mais jamais d'une manière aussi forte qu'en 1752.
Citation :
Cette période, et celle qui la précède, est très sombre pour le peuple vampirique. Vaincus par ceux qui n'étaient à leurs yeux que des proies, ils ne pouvaient que plier sous peine de disparaître tout à fait. C'était difficile à accepter pour leur peuple si fier, et ils n'étaient pas non plus faits pour s'entasser dans des espaces restreints. Les souterrains faillirent signer leur perte, tant ils s'éliminèrent entre eux pour des broutilles plus ou moins importantes. Conscients du danger, ils évitèrent tout de même l'éradication totale et ne laissèrent pas les quelques humains et elfes inconscients leur causer grand mal dans ce labyrinthe obscur qui les protégeaient si bien. Ils patientèrent...
Je dirais qu'au contraire, un ennemie qu'on ne voit presque plus n'est pas vraiment plus détesté qu'en 1752 là ou les vampires pullulent et on participer grandement à l'avènement de Vraorg. En 695, les vampires sont plutôt un souvenir qui sert d'avertissement, un fléau disparu. Ainsi, j'imagine difficilement comment un événement aussi rare qu'une transformation (aucun cas avéré de vampirisme dans les alentours, on parle simplement de disparition mais aucun corps n'est retrouvé). Puisse faire force de loi. Un membre d'un ordre récent d'une race différente ne devrait pas en toute logique pouvoir renverser un gouvernement par une rumeur, surtout si celle-ci est contredite par l'accusé en personne face à toute une foule lors d'un discours. Les Baptistrel de cette époque n'ont pas la force et la réputation d'aujourd'hui, de la même façon, les cas de dissimulations de vampires (via des enchantements) ne sont pas aussi présent, puisque les vampires ne sont pas présents dans les grandes villes et hante simplement les alentours des marais sauvages.
Cependant, si c'est votre dernier mot je m'y plierais et modifierais ma fiche en conséquence, je voulais simplement préciser les grosses différences contextuel entre 700 de l'âge d'argent et 1752, mais je ne vous apprends rien Voilà, j'ai déjà débuté les modifications, il me reste simplement à chiffrer et modifier l'attitude des vampires de Konrad après 700, et modifier les présences de Xavius de l'histoire ainsi qu'une explication de sa présence au Duché, ce que je devrais rendre dans la journée. Merci encore pour votre rapidité
Crissolorio Ostiz
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 7
Modérateur Régent de Gloria
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Mer 20 Juil 2016 - 9:05
Je dirai plutôt que pour le comté ça ne me posait pas de souci, mais pour le duché par contre c'était bien différent, et si on en revient au fait que ton perso aura pas du tout 150 vampires, mais plutôt 30, un comté restera quand même un morceau honorable à attaquer. (il auront au moins entre 500, ou 1000 voir plus de soldats même si des conscrits pour se défendre selon la richesse du comté)
Et ce n'est pas d’ailleurs parce que Konrad les encadre que les vampires seront aisément disciplinés en effet, ce n'est pas qu'un effet de socialisation leurs comportement (tu oublie leurs instincts de prédateurs), c'est leur nature, comme celles de certains prédateurs dans la nature est d'être solitaire. Tu peux à la limite arriver à encadrer 20-30 vampires ainsi à l'époque, mais sûrement pas une centaine. Et pour les vampires te suivant ils te suivront certes pour la soif de sang au début mais il ne faudra pas leurs demander d'adopter des formations de bataillés rangées très strictes, pas avant les 200-300 ans, pour une trentaine au grand maximum et si tu t'es consacré longuement à chacun d'entre-eux pour gagner sa confiance.
Et certes tes vampires pourront t'êtres fidèles, mais comme je le disais avant, pas plus d'une vingtaine-trentaine. Je ne suis pas contre en effet que ton groupe de vampire soit soudé s'il ne compte que 20, 30 membres, mais pas s'il en compte plus. Que tu soit arrivé à ce résultat avec une vingtaine, trentaine de vampire en y consacrant une grande partie de ta vie vampirique, ok. Mais pas pour plus de vampires.
Quand à ce que j'avance pour la nature vampirique, je ne le retirerai pas. Certes le comportement de ton perso aurait pu permettre d'adoucir cette dernière pour 20-30 vampires, mais pas plus. Tes vampires seront soudés entre-eux, et pourraient se faire confiance mais ce serait une petite confrérie de 20-30 chevaliers et cela t'aura prit un certain temps pour avoir ce résultat.
Quand au combat cela passe largement pour la supériorité technique faces aux forces locales remplies de pas mal de conscrits (encore qu'à 20-30 vaut mieux éviter les batailles rangées, mais après tout tu te bat de nuit), mais tu dit que le général de l'empire est célèbre, cela en fait donc un grand stratège. Après tu garde un avantage vu qu'il n'est pas habitué sans doute à affronter des vampires, mais un général célèbre est souvent du genre à savoir faire preuve d'une certaine prudence face à son ennemi donc cet avantage ne fait pas tout.
Quand au général de l'empire qui dit célèbre, dit grand stratège qui dit génie, ou homme très expérimenté et compétent dans son métier. Sachant donc que cet homme doit être très compétent tu n'es pas non plus censé t'en débarrasser aussi facilement (là dans ton histoire il se fait avoir assez aisément tout de même, par une bête attaque de nuit alors qu'il aurait dû être sur ses gardes). Quand à la magie elle existe encore sur Armanda mais assez faible (sinon les vampires ne pourraient pas survivre), reste qu'elle n'a pas disparu.
Citation :
Un chevalier en heaume et armure ne peut pas être affilié aux vampires s'il officie en tant que mercenaire pour une durée limité et différents employeurs, je ne précise pas ces faits car ils sont plus ou moins évidents Razz Pour ce qui est de Konrad il est lui même équiper d'un collier lui permettant de se fondre dans la masse, à une époque (encore une fois) ou aucun vampire ne pratique la dissimulation parmi les hommes. Je peux cependant raccourcir le temps et préciser qu'il voyage dans différents lieu mais son rôle de diplomate permet déjà ça de base, ce n'est pas un Lord qui reste bloquer sur la même zone pendant 10 ans. Dans tout les cas, si tu le préfère je m'en occuperais.
Non c'est déjà très limite que ton vampire ait un tel rôle chez les humains sans se faire remarquer, si ce n'était pas un poste aussi élevé encore ça irait. Le fait d'officier en tant que mercenaire pendant une période limité ok, mais une position d'importance chez les humains pendant des années, et même en se déplaçant et avec le collier, non.
Et ce sera mon dernier mot, je ne reviendrai pas sur ce que j'ai dit auparavant en dehors de ce que j'ai pu dire là (et je ne suis pas vraiment revenu sur ce que j'ai dit auparavant).
Orfraie Ataliel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 3
Administratrice Capitaine Lame Ecarlate Garde personnelle de Luna Dragonnière
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Sam 23 Juil 2016 - 1:33
Pour rappel, tu as jusqu'à demain 23h59 pour nous soumettre l'édition de ta fiche selon nos commentaires.
Luna Duruisseau
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (0/10) Xp disponibles: 8
Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Sam 23 Juil 2016 - 21:39
N'oublie pas de poster quand les modifications seront faites.
Invité
Mon identité Mes compétences
Invité
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Sam 23 Juil 2016 - 22:01
Modifications faites, fiche de Xavius envoyé.
résumé :
Kohan : corrigé.
âge : corrigé.
caractéristiques : modifiés
Pays - Médecin - Sombre-fer : corrigés
armure : posté
enchantement : modifiés
Le reste des modifications sont en brun sur la fiche.
Orfraie Ataliel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 3
Administratrice Capitaine Lame Ecarlate Garde personnelle de Luna Dragonnière
Sujet: Re: Konrad Von Drak, Vampire Ancien. Sam 23 Juil 2016 - 23:04
Sois le bienvenu sur tes terres, fils d'Armanda. Tu es né(e) avec une puissance magique innée de faible et ton entraînement dans le domaine magique t'a permis d'atteindre un niveau faible. Tu as d'ailleurs été choisi(e) par le totem du cef dont tu as atteint le niveau 3.
Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu as aussi un profil qui pourra évoluer en jeu sur demande.
Pour tenir l'état de tes aventures à jour, tu possèdes une fiche de suivi de personnage qui se trouve en ce lieu. Tu peux y ajouter tes liens, ton inventaire, ton histoire personnelle et ce que tu souhaiteras. Tu peux aussi adresser tes questions ici.