La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
« Il n’est description pareille en difficulté à la description de soi-même. » Montaigne
Physique : Oeuf : Comme une pierre, noire comme la nuit, plus même, comme si elle absorbait toute lumière. Plus sombre que le néant, plus lumineux que la pleine lune, le réceptacle d'Aïasil n'a pas changé, il a la même forme qu'autrefois, telle une pierre d’onyx sculptée par le maître de l'art. exposant, homologue à la nuit étoilée, de petites tâches de lumière blanche, dont une, telle la lune, surplombait tout les autres, mais dont les contours brumeux étaient brouillés par un lent dégradé vers la noirceur absolue. De petites lignes avaient été tracée par la main de la nature, dans la coquille dure, et si l'on y passe la main, on peut en sentir ces multiples cavités, on peut en sentir les mouvements, en rouleaux, tels des serpents, chacun étant la continuité de l'autre, encerclant l’œuf de canaux semblables a ceux d'une empreinte digitale. Un œuf des plus symboliques, plus petit que la moyenne mais pas moins imposant, car on peut en sentir la présence de la dragonne, la magie à l’origine de sa résurrection, la magie œuvrant pour la naissance d'un dragon, réagissant aux petits mouvements de l'enfant s'y reposant. Un œuf de dragon est bien une pierre mythique, magique, a ne jamais regarder sans en avoir le temps, car le sombre abîme que représente celui-ci ne pourra que vous happer sans que vous ne puissiez jamais plus en détacher le regard.
Dragonnet : Si l’œuf est magnifique alors son contenus l'est tout autant. En son creux réside ce qui va devenir une petite bête féroce, qui, a l'image de son réceptacle, disposerait d'un corps sombre d'une taille réduite, mais d'immenses ailes, parsemées de veinules argentées simulant des éclairs zébrant le ciel nocturne, qui lui apporteraient le pouvoir d'apprendre et de dompter le vent plus vite que n'importe quel autre dragon. Elle serait alors décorée d'une séries de piques partant de son museau et parcourant toute sa colonne vertébrale, des épines d'ivoire, d'une longueur croissante jusqu’à la base de son cou, qui s'en retrouve privé pour éviter les risques d'auto-mutilation lorsque la bête l'arquera. La jeune dragonne dont les écailles seront d'un noir profond, a également une tête allongée, semblable a celle d'un gros lézard, à l'exception prêt que deux piques d'argent, similaires a ceux parcourant son dos, seront visibles a l 'emplacement des cornes, et au fur et a mesure qu'elle grandira, deux autres feront leur apparition pour les encadrer. Aïasil a également un regard perçant, d'une sclérotique et d'une pupille plus noire encore que ses écailles, mais d'une iris argentée et lumineuse comme la lune en temps découvert, représentant là le portrait naturel de la nuit elle-même, figé dans l'éternité. Les écailles bordant ses yeux seront plus claires que les autres, marquant un éternel contraste avec ses yeux sombres précédemment décrits.
Dragon : Une fois qu'elle aura atteint son âge adulte, Aïasil sera, comme tout les dragons a cet âge, une redoutable machine a tuer, ses piques auront atteint une taille allant de la trentaine au cent-cinquante centimètres dès sa première année. Elle aura également une rangée de petites piques supplémentaires de chaque cotés de son cou, longeant la partie ventrale. Ses cornes auront également pris de l'ampleur, notamment les deux plus grandes. Son crâne se sera également allongé avec le temps, lui donnant une forme plus draconique, et de manière à laisser place à de nombreuses petites cornes supplémentaires qui orneront ses mâchoires, qui elles aussi, auront gagné en puissance. La dragonne sera toujours plus petite que ses compères, et moins hautes car en dépit de son long cou, elle possédera des pattes fines et petites ce qui handicapera quelque peu sa combativité au sol, mais ses ailes noires auront alors atteint une taille gigantesque par rapport à son corps, les veinules seront moins visibles mais plus nombreuses. Ces ailes apporteront a Aïasil une maîtrise exceptionnelle du combat aérien et une vitesse de déplacement vertigineuse, et dépliées de toute leur splendeur dans l'air nocturne, elles feront d'elle la reine de la nuit. Mais sur terre et au soleil, elles handicaperont les déplacements d'Aïasil et la rendront de par leur couleur plus facilement repérable. Ses sombres griffes auront également pris de la taille et sa longue queue effilée sera affublée d'écailles protectrices solides dont elle pourra également se servir pour empaler ses petits ennemis du bout de sa queue, ou l'utiliser tel une lame en le hérissant.
Aïasil est vive, rapide, brutale, elle est, comme chaque membres de son espèce, un chef d’œuvre organique et magique, capable de se rendre invisible en pleine nuit, d'user de son esprit pour porter un coup systématiquement en plein cœur. Elle est d'une agilité extrême et est d'une grande souplesse , capable de se faufiler en toute discrétion dans des recoins aux premiers abords inaccessibles tout en lacérant ses ennemis de ses écailles et griffes acérées. Elle se mouvoie avec grâce, fluidité et rapidité. Aïasil est l'exemple type de la perfection que représente l'espèce draconique.
Caractère : Aïasil a hérité de la plus sombre nuance de noir que l'on puisse trouver sur les écailles d'un dragon, elle a aussi hérité des stéréotypes qui en découlent. Notamment une agressivité, aussi bien par ses actes physiques que verbaux ( et lorsqu'il faut rabaisser ses pairs, elle sait manier sa langue ) rare, et elle est toujours d'une extrême franchise. Elle déteste ceux qui ne vont pas droit au but, ce qui pour elle, est un signe de faiblesse. De manière générale elle déteste le faible, ce qui est faible n'est là que pour être écrasé sous sa propre puissance, ce qui est faible n'est là que pour faire briller ses yeux lumineux parmi la masse d'êtres incapables, elle ne pardonne la faiblesse physique et mentale, à personne, et encore moins a ses frères dragons, emblème de puissance brute, elle tient a l'image que son peuple, et surtout elle-même, laissent dans la conscience collective. Vivant d'une arrogance totale et assumée, elle sait cependant faire preuve de respect envers-ceux qui se démarquent par leur force de caractère ou physique. Elle n'obéit, en quelque sorte, qu'à la loi du plus fort.
La valeur de l’individu ne se résumant qu'a sa force, qu'importe la forme, elle est capable de partager son feu pour réchauffer ceux qui ont gagné son respect, mais elle ne sera jamais contre un échange continuel de flammes, qui ne viserait alors pas a réchauffer mais a détruire, elle aime en effet le danger et les défis, plus que personne elle se perd dans le feu dévorant du combat, qui la ronge et la force a toujours repousser ses limites sans jamais pourvoir s'arrêter, Aïasil donnera continuellement le meilleur d'elle même, pour le meilleur ou pour le pire, et jamais ne fera les choses à moitié, la perspective de perdre n'étant même pas envisageable tant l'idée même l'insupporte. Facilement irritable, elle peut rapidement devenir dangereuse et réagit promptement aux provocations, cela dépendant surtout de la valeur de l’individu qui y est a l'origine, mais elle fait toujours savoir qu'elle est la plus forte et que ceux qui diront le contraire s'en languiront tant sa colère balayera leurs vies insignifiantes. L'éclat d'obsidienne est également jalouse et possessive, en ce qui concerne ses biens ou son/sa lié(e). Et elle ne prêtera son cœur à personne, personne d'autre que celui ou celle avec qui elle choisira de partager son âme. Aïasil est un gigantesque nuage noir dont les zébrures de ses ailes, visibles lorsqu'elle les ouvre, représentent les multiples éclairs, voir cette foudre est synonyme de mort imminente, car dans la plupart des cas cela signifie que vous vous trouvez sous ce nuage. cependant le tonnerre peut être maîtrisé, sa foudre apprivoisée, si l'on sait siffloter un air correctement, et un moyen facile de monter dans l'estime de la dragonne est effectivement de savoir manipuler le deuxième plus grand art après celui du combat : la musique. Notez que, capricieuse comme elle est, elle exigera souvent une petite mélodie avant de s'endormir, alors si vous la rencontrez, vous avez intérêt a vous munir d'un peu de savoir faire...
En dépit de cette petite éruption de personnalité, la dragonne noire, farouche et dérterminée, a toujours été promise a un avenir des plus glorieux. Mais toute puissante qu'elle fut, Aïasil manqua de périr sous le chagrin lorsqu'on lui retira son identité, elle perdit sa petite étoile, sa lune, qui ne pouvait alors plus l 'éclairer, perdue et esseulée dans la nuit, sans Enetari, elle ne peut différencier les nuages de ses écailles, la roche de son cœur. La mort de sa liée entraînera la blessure la plus douloureuse que jamais armandéen n'avait ressentit, une de ces blessures que même les millénaires d’existence, longévité accordée aux dragons, ne peuvent effacer. Aïasil, au fond de son œuf, est perdue et ne pourra jamais plus retrouver son chemin, a moins qu'un jour, quelqu'un tente de combler l'abîme creusé au fond d'elle, elle ne guérira jamais totalement, le chagrin la reprendra fréquemment, mais dans un dernier appel, un dernier secours, la bête demandait pardon, demandait de l'attention, faible et perdue, elle veut retrouver la lumière du jour, éclairée par la lune ou par le soleil, qu'importe, enfermée dans son œuf, la dragonne attend patiemment que l'on vienne lui rendre cette partie d'elle effacée, qu'elle puisse voler a nouveau, et reconquérir le monde en souvenir de sa tendre et bien-aimée...Et peut être aussi, pour la venger.
Mes liens
Spoiler:
«L’amitié, c’est gérer les affinités. L’amour, c’est concilier les différences. »Anonyme
peuple draconique :
-Salaraë et Atalos : Ses parents, l'empreinte qu'ils ont laissés en elle grandit lentement au fur et a mesure que sa mémoire lui revient, Aïasil est en grande admiration pour sa féroce mère et lui en est éternellement reconnaissante pour avoir veillé sur elle malgré la douleur qui la submergeait. Elle espère pouvoir lui faire honneur en devenant aussi forte combattante qu'elle l'était.
-Kaalys : Son frère, elle n'a jamais réellement pu lui adresser la parole, encore trop petite pour s'expliquer clairement lors de leur première rencontre, elle n'a pas établit de relation claire.
-Lothilith : sa soeur, elle ne l'a jamais rencontrée
-Alkhytis : Dragon estropié, cloué au sol, elle le pense faible et eux deux n'ont jamais été proches, ils se lancent continuellement des piques, et elle prend plaisir a s'acharner sur lui. Aïasil ne peut s'empêcher de se sentir supérieur, quand bien même leur différence de taille et de puissance prendra un cou net a cause des conditions de se résurrection.
bipèdes :
-Enetari Terendul : Son ancienne liée, sa grâce et sa beauté n'avait d'égal que son amour pour elle, et la dragonne le lui rendait en triple. Elles étaient en état de fusion tellement intense qu'y repenser lui dévorera la joie de vivre à tout instants.
-Luna Duruisseau : amante de son ancienne liée, elle a éprouvé à son égard une grande jalousie, maintenant elle ne peut que compatir à leur douleur partagée.
Derrière l'écran
Spoiler:
« Il y a des visages plus beaux que le masque qui les couvre. » Jean-Jacques Rousseau
Petite présentation : Dc Arak :p
Rythme rp : cf Arakjörn Nygdmer
Particularités rp : cf Arakjörn Nygdmer
Comment avez vous découvert le forum : cf Arakjörn Nygdmer
Le code du règlement :
I-L'oeuf d'obsidienne
Le dragon d'or et l'étoile blanche se sont rencontrés dans la deuxième année de l'âge d'obsidienne. Suite a diverses aventures, impliquant un combat contre Verith en ce qui concerne Atalos, ce dernier parviens ainsi à la séduire et de leur amour naissant furent conçus trois œufs durant le sixième an qui s'écrasait en Armanda. Si cet amour semblait robuste et éternel, il cessa cependant lorsque l'ultime blessure fut infligée a Silaraë, à la mort d'Achroma dans une ultime bataille sous le règne de Vraorg, le chagrin de la dragonne était tel qu'il entraîna la disparition du dragon d'or et de son lié. Résistant à la mort qui l'attirait avec l'appât du chagrin et du désespoir vers l'autre coté, Silaraë s'occupa tendrement de mettre au monde ses fils et filles, prenant soin de caresser les œufs de son esprit, même devant la chaleur de ce nouvel espoir , la mort de son lié raisonnant dans son corps et effaçant peu à peu son âme, elle laissa l'océan mettre fin a ses tourments en défiant son immensité. Probablement que son squelette est maintenant toujours bercé par les flots.
C'est donc de cette couvée, après l'ultime preuve d'amour que Silarae ai pu leur porter, que naquirent Aïasil, Kaalys et Löthilith. Les œufs ayant été récupérés par Dawan, devenus baptistrel, ce dernier les rapporta au domaine, en sécurité. Les trésors vivants furent protégés, mais certains étaient à même de les voir, et c'est ainsi que la petite dragonne flottant dans son univers vit entrer dans son paysage, l'étoile qui éclairera sa vie.
II-Écaille nocturne
Le petit être a l'intérieur de l’œuf appréciant alors tranquillement l'étroitesse de son univers, celui-ci s'élargit merveilleusement lorsque l'être divin s'empara d'elle, de sa carapace. Elle sentit alors la présence de sa sœur d'âme : Enetari Terendul. Incarnation de la beauté elfique, de son bonheur, de sa joie. Sa coquille se craquela, se scinda pour elle, Aïasil était entrée en résonance avec l'elfe, elle savait qu'elle incarnerait son unique but, chacun alors en quête d'une part de soi la trouva au sein du cœur de l'autre, par le lien de la magie de l'âme.
Une fois née, Enetari lui apprit vite sa place dans le monde, lui apprit a être la dominante, lui apprit à être elle même. Grandissant tranquillement dans ce monde remplit de proies pour elle, Aïasil montra bien vite une certaine animosité a tout ce qui n'était pas Enetari, et évolua tranquillement jusqu’à pouvoir découvrir la joie de voler, puis de combattre, et de tuer. Quelques jours a peine après sa naissance, elle rencontra Alkhytis, avec qui elle commença par se chamailler avant que cette relation évolue par la suite en une bien plus tendue. Elle y rencontra brièvement son frère, Kaalys, et le grand Verith qui ne manqua pas de l'effrayer, tant le rapport de taille était énorme.
Par la suite Enetari entreprit un long voyage jusqu’à Aldaria pour y prendre le nouveau poste de garde personnel de Luna Duruisseau, la régente du royaume humain, avec qui elle entretenait une relation épanouie. Aïasil l'accompagna alors à la cité des lumières pour en faire son nouveau territoire, ressentant les émotions de sa liée envers l'humaine, elle ne pouvait s'empêcher de sentir affleurer une pointe de jalousie, mais elle n’eut jamais de réel contact avec l'humaine pour le lui faire ressentir, se gardant bien de décevoir sa liée. Elle grandit alors paisiblement dans la cité, ou elle sentira petit a petit venir a elle la connaissance, mais la sagesse ? Oh non ! Le caractère bornait qu'elle assumait jusqu’à exhiber fièrement lui valut finalement de partir en expédition dans l'Est, sans réellement se douter de ce qu'elle y rencontrerait…
III-Le néant d'une nuit absolue.
En compagnie de sa liée mais aussi de nombreuses figures du peuple humain. L'expédition a rapidement tourné au massacre, si elle-même jouissait de sa puissance contre des loups affamés de sang, et plein d'une énergie obscure et inconnue qui les rendaient particulièrement coriaces, ce n'était de ce fait pas le cas des bipèdes l'accompagnant, mais fidèle à sa liée, ils gravirent les cadavres jusqu’au moment fatidique.
Il faisait frais cette nuit là, l'odeur du sang flottait en l'air, particulièrement aux alentours de la forêt. Était-ce son imagination qui trompait son sens olfactif, ou peut être était-ce celui des loups qui recouvrait maintenant son museau. Elle suivait tranquillement sa liée, confiante mais pas moins sur ses gardes. Ils s'aventuraient maintenant dans les plaines, à la recherche des disparus, dont le ridicule bipède qui avait soigné sa liée et de nombreux soldats qui auraient fait un excellent plat de résistance. Le terrain devenait rigide, sec et anguleux, des crocs de pierre émergeant de la terre. La dragonne n'aimait pas cela, elle soupçonnait une attaque depuis les hauteurs : ils s'enfonçaient dans un petit terrain entre deux collines, en file droite, ils seraient vulnérable.
Elle fit part de ses inquiétudes a Enetari qui la rassura sans pour autant démentir ses doutes quant au passage non approprié, elle lui proposa de prendre de la hauteur pour vérifier les alentours, mais malgré son camouflage naturel, la possibilité qu'elle soit repérée était envisageable, aussi lui dit-on de calmement suivre le groupe… que de mauvaises idées…
Car une fois au milieu de l'étroit passage, certaines formes obscures sous le clair de lune bougèrent, les rochers se déplacèrent et se mirent a arborer en premier temps yeux rouges, puis crocs et fourrure. Les loups vampiriques étaient sur eux.
Ce fut un combat sanglant, elle voulu s'envoler pour avoir une meilleure vision et inverser l'avantage de hauteur dont les embusqués disposaient, mais elle ne pouvait abandonner sa liée, elle se défendit comme elle put, en tua un, en brûla un autre, mais il y en avait trop…
Et elle la vit, majestueuse, plus massive, plus féroce que ses congénères, les crocs à découvert et les yeux fous. La louve au pelage sombre sauta au milieu du champ de bataille, renversant sa liée au passage. Aïasil sentit le brusque éclat de peur saisir son coeur, et s'élança au secours de sa liée, ses pattes se ramollirent, et elle s'effondra quand elle sentit les crocs de la louve s'enfoncer dans son coeur, le perforer, le déchiqueter, elle pouvait sentir la vie commencer a s'en échapper. Étendue au sol, la pupille de son œil d'argent se dilatant, elle fixait sa liée, qui tendait la main vers elle, le cou perforé par les mâchoires de la louve, qui secouait maintenant la gueule dans le but de déchirer le plus possible le cou de l'elfe. Le temps ralentit, que faire au sein de ce tourbillon de l'agonie ? Elle implora la vie de sa moitié d'âme de ne pas quitter son corps, mais c'était alors au tour de son âme de quitter le sien, car sinon elle se perdrait dans la nuit noire.
Sans celle qui lui avait tout apprit, sans Enetari, sans la lune de ses nuits
Elle ne verrait jamais plus la pointe de ses ailes, dans le noir absolu de ce futur sans elle.
Ainsi elle se perdit dans l'obscurité absolue, elle se retrouva acculée dans ce monde pauvre qu'elle avait déjà connus, repliée sur elle même, dans la solitude absolue, certes elle avait autrefois apprécié cette situation, sous la chaleur de sa mère, dans son berceau à elle, mais cette fois c'était différent, car seule la nuit lui tenait compagnie, sans lumière pour créer les reflets de ses écailles il n'y avait que le vide, l'absence, le regret, la mort.
L’œuf trônait maintenant parmi les cadavres des loups et des hommes, comme vainqueur de la tragédie Sous les hurlements déchirants des plaintes de la nuit La petite dragonne s'était endormie
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Dernière édition par Aïasil le Mar 28 Juin 2016 - 16:11, édité 5 fois
Aïasil
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Assistant Dragonne presque-liée
Sujet: Re: Aïasil, dragonne d'obsidienne [terminée] Sam 25 Juin 2016 - 23:25
A priori fiche terminée. Je compte sur vous pour corriger mes probables et nombreuses erreurs ^^".
Luna Duruisseau
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On abandonne "Aïasil, dragonne d'onyx" pour "Aïasil, dragonne d'obsidienne" ?
Identité: Date de ponte: An 6 de l'ère d'obsidienne. Date d'éclosion: Ne rien indiquer ici. Ce sera la date de ta nouvelle éclosion . Lieu de naissance: Ne rien indiquer ici (sauf si tu la connais déjà)(sauf si tu le connais déjà). Ce sera le lieu de ta nouvelle éclosion.
Caractère: Il manque la mention qu'elle déteste perdre et qu'elle adore la musique.
Lien: Alkhytis serait à ajouter étant donné que vous vous êtes déjà rencontrés (et que c'est mentionné dans ton histoire ).
Histoire:
Citation :
durant le septième an qui s'écrasait en Armanda.
La ponte se fait en l'an 6.
À part ça, l'histoire me semble bien ^^ Je dois vérifier avec Aegnor si l'histoire concorde bien avec ce qui se passe dans l'intrigue.
Et Il va falloir faire un choix de lié
Aegnor Evanealle
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Assistant Dragonne presque-liée
Sujet: Re: Aïasil, dragonne d'obsidienne [terminée] Mar 28 Juin 2016 - 16:24
Citation :
On abandonne "Aïasil, dragonne d'onyx" pour "Aïasil, dragonne d'obsidienne" ?
Peut être est-ce pour casser avec la Aïasil de Saemon ? Je ne sais pas, c'est plus laid je trouve, je peux rechanger si tu veux ^^ "d'ébène" c'est peut être plus joli
Identité : Corrigé
Caractère : mis à jour ( + correction de phrases qui ne veulent rien dire )
Liens : Luna et Alkhy ajoutés
Histoire : Correction effectuée au niveau de la date
Citation :
Il va falloir faire un choix de lié
*réflexion intense*
Luna Duruisseau
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Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu as aussi un profil neutre qui pourra évoluer en jeu sur demande.
Pour tenir l'état de tes aventures à jour, tu possèdes une fiche de suivi de personnage qui se trouve en ce lieu. Tu peux y ajouter tes liens, ton inventaire, ton histoire personnelle et ce que tu souhaiteras. Tu peux aussi adresser tes questions ici.