La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
Arme principale :L’épée familiale hérité de son père qui lui-même l’avait hérité de son père. Il s’agit d’une épée possédant une longue lame en acier sans la moindre beauté, les artisans de l’époque mettaient en avant la capacité à tuer plutôt que la beauté de leurs créations. Le pommeau de l’arme est fait de lanière de cuir et d’une garde où est gravé le nom de la famille, seule chose faisant de cette épée autre chose qu’un simple bout de métal.
La seconde particularité de cette lame est qu’elle n’est pas symétrique, un côté de la lame est lisse et tranchant, tandis que le second est ciselé et déchirant. Cette partie, formée en véritable dent de scie, permet un style de combat très particulier où frapper d’estoc prend tout son sens.
Autres objets :Epée courte : Attachée horizontalement dans le bas du dos, elle est basique et principalement constituée d’un acier robuste et d’un pommeau fait de lanières de cuir
Boulier : Un simple assemblage d’acier forgé dans le but de défendre et d’encaisser les coups. Une lanière en cuir à été rajoutée pour permettre à son porteur de le porter au dos. Matis n’est pas un grand partisan du combat épée-bouclier, mais l’utilité d’un tel style est plus que prouvé dans certaine condition.
Armure d’officier de l’armée : L’armure de Matis est celle de l’ensemble des officiers de l’armée même si celui-ci y a apporté quelques petites modification au fil des combats. Celle-ci recouvre les bras, les mains ainsi que les jambes du jeune homme par de longue plaque d’acier. Son corps est couvert par une cotte de maille ajouté à l’armure de plaque. Cette dernière est recouverte d’un tabard d’un bleu azur où se trouvent les armoiries de sa famille. Des épaulières d’acier sont présentes et un faucon est gravé sur l’épaulière de droite pour finaliser le tout.
Chevalière familiale : Une bague représentant un faucon prenant son envol.
Collier porte « chance » : Il s’agit d’un collier acheté par ses deux petites sœurs dans le but de protéger le jeune homme de la malchance. Bien entendu il ne s’agit que de croyance et le jeune homme ne pense pas que le collier ait un quelconque pouvoir. Mais l’avoir sur lui permet de ne pas oublier pourquoi il se bat. Offert à Autone dans ce rp
Totem :totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff
Style de magie principal :Humaine
Puissance magique innée :Faible
Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.
Physique et caractère
Physique : Matis, même s’il est un homme relativement grand, mesurant un peu plus d’un mètre quatre vingt pour quatre vingt kilo, garde une silhouette foncièrement commune. Ses cheveux, de couleur marron -châtaigne sont relativement longs et ne sont jamais coiffé. L’art de la coiffure n’étant pas quelque chose d’important pour lui, il ne prête que bien peu d’importance à cela. C’est donc son lit qui s’occupe de le coiffer chaque matin et durant chaque nuit.
Son visage, où se trouve quelques cicatrices dues à des entrainements ou à la guerre, est celui d’un homme ayant vu et vécu des horreurs durant sa carrière. Il possède des yeux marron qui semblent inspirer la confiance aux soldats sous ses ordres mais ne sont pas très particulier ni d’une extravagante beauté. Une large barbe qu’il taille, étrangement, avec beaucoup d’application et de patience agrémente son visage martial. Mais, dans son ensemble, son visage est tout ce qu’il y a de plus banal, rien ne sortant de l’ordinaire, rien d’extravaguant.
D’un physique somme toutes banales, il n’en reste pas moins musclé. Ses années d’entrainement et une constitution relativement robuste en font un véritable combattant. De ci de là on trouve des cicatrices qui, comme celles de son visage, son principalement dues à son métier qu’est la Guerre. L’un des rares traits qui le représente serrait son tatouage sur la main droite. Celui-ci, comme sa chevalière, représente un faucon. L’animal, qui tient entre ses griffes une longue épée, est le symbole même de sa famille et c’est pour cela qu’on le retrouver tatoué sur son corps.
Ayant été « préparé » durant toute sa jeunesse pour rejoindre l’armée impériale, Matis possède une excellente forme physique. Les nombreuses randonnées et entrainement dans toutes les conditions possibles et par tous les temps on forgé son esprit et son physique. En le mettant régulièrement à l’épreuve, son père a fait en sorte que le jeune homme se fabrique des automatismes de défenses. Premièrement pour survivre, mais aussi pour montrer l’exemple aux autres soldats.
Caractère : Matis est d’un tempérament très peu patient pour plusieurs raisons. La première étant qu’il est extrêmement exige envers lui-même ou les hommes sous son commandement. De fait il supporte très mal d’attendre ou de faire attendre les gens, avec lui tout doit être fait dans les temps et rien d’autre. Cette patience, qui lui fait défaut, l’empêche parfois d’être crédible auprès de ses supérieurs ou officier du même rang, voire même avec sa propre famille. Néanmoins il reste assez ouvert d’esprit et écoute chaque proposition provenant de ses subalternes pour voir si cela pourrait servir l’Empire.
S’il y a bien une chose que Matis tient à cœur c’est le bien être de ses hommes. Il veille à ce qu’ils ne manquent de rien, qu’ils s’entrainent assidument. Il ne connaît peut être pas les noms de tous, mais il prend comme un devoir de connaitre le nom de l’ensemble des officiers et sous-officier de sa compagnie. Cela lui prend un temps fou, mais son credo est de prouver à ses hommes qu’il est capable de les mener à la victoire, et pour cela il doit se montrer comme un père pour eux. Certains peuvent le prendre pour un fou, mais il pense foncièrement que cela aide ses hommes dans les heures les plus sombres.
Son style de combat va de paire avec son manque flagrant de patience et de contrôle, et les cicatrices qui couvrent son corps le prouvent une fois de plus. Certains officiers commandent de loin, d’autre d’un peu plus près, d’autres encore courent sur la ligne de front pour donner leurs ordres. Matis, quant à lui, mène ses hommes au combat, il s’est débrouiller pour mettre en place une chaine de commandement compacte et efficace pour faire passer ses ordres d’un front à l’autre tout en restant face à l’ennemi. Mais, souvent, son aide de camp est obligé de le sortir du front pour commander d’une manière plus « globale ». Son intellect, affuté par les nombreux problèmes et exercices que lui imposait son père, lui permet d’étudier en détail une stratégie avant la bataille. Et c’est bien le seul moment où le jeune homme arrive à rester suffisamment calme et patient avant une bataille. Peut être que le fait de devoir mettre en place un plan pour perdre le moins d’homme possible prend le dessus sur son comportement.
L’ensemble des combats qu’il a vécu et les nombreuses morts ont fini de forger l’esprit, déjà bien préparé, du jeune homme. Il fonctionne parfois comme une machine et n’abandonne le combat uniquement quant il n’y a plus le choix. En combattant quoi qu’il arrive, à faire ce qu’il faut pour ses hommes et pour atteindre ses objectifs, le jeune homme se veut une source de motivation pour ses soldats. Etre réputé ou être bien vu par ses supérieurs est loin d’être sa priorité, ce qui compte c’est d’être suivi par ses soldats. Car généralement on ne charge pas avec un général ou avec un commandant. Mais bien avec ses soldats. Les nombreux tués, que ce soit contre les vampires ou contre les envahisseurs, on souder les survivants et chacun compte désormais sur l’autre. Les promotions sont tombés rapidement car le manque d’effectif vétéran était largement visible, et même s’il ne souhaitait pas devenir capitaine, du moins pas de cette façon, il fera ce qu’il faut pour faire honneur à ses hommes.
Dans la vie de tous les jours il est hyperactif, il n’arrive pas à rester quelque part à ne rien faire. Il n’arrive pas, ou très rarement, à se calmer et profiter d’un paysage. Il trouve toujours des excuses pour ne pas se reposer, prétextant d’étudier des plans ou des cartes. Mais, malgré tout cela, il n’est pas contre des discussions longues et enflammés sur des sujets variés et différent de l’armée. Néanmoins les derniers mois de guerre ont commencés à altérer le comportement du jeune homme. Là où Matis faisait valoir un humour léger et décalé, il met en avant un humour nettement plus noires et crues. Les nombreux cauchemars issus principalement de la bataille de Feusacré et de la traque des vampires finissent d’altérer ses nuits déjà courtes. Mais il est loin d’être le seul dans ce cas…
Matis n’a pas de problème avec les gens dit de « classes inférieures », lui-même ne faisant partie que d’une famille noble de second rang a parfois subis les mots et les moqueries des familles nobles plus importantes. Quoi qu’il en soit et quelque soit les origines de chacun, une fois dans le feu de l’action, dans la boue et l’horreur des combats les hommes sont égaux. Son père lui a toujours apprit à apprécier les gens non pas pour leur statut social mais pour ce qu’ils sont véritablement. Et depuis il fonctionne ainsi, il n’est donc pas rare de le voir partager un verre avec des soldats de base. L’armée et la proximité avec la mort rapproche les gens parait il.
Depuis le début des combats contre les envahisseurs et les défaites successives, il s’est encore plus rapproché de ses hommes. Beaucoup ont perdus la vie durant ces dernières semaines, et de nouvelles recrues ont prit leurs places. Parmi les braves qui ont données leurs vies, il y avait des amis, des frères d’armes, des gens qu’il avait connu dès son entrée dans l’armée. Aujourd’hui ils ne sont plus que des noms sur des feuillets venant agrandir jour après jour l’interminable liste des morts de l’Empire.
Aujourd’hui, alors que l’Empire est envahit et qu’il vit ses heures les plus sombres, il a le devoir sacré de défendre sa famille, sa civilisation et faire en sorte que ses hommes s’en sortent en vie. Mais il sait que tous ces objectifs ne seront pas remplit, et le cela le remplit de haine et de tristesse.
Mes liens
Famille Falkire :
Andrei Falkire (Père de Matis) : Andrei est un homme exigent, surtout avec son ainé. C’est lui qui a tout apprit à Matis et qui lui a offert son épée car il est devenu trop âgé pour combattre au nom de l’Empire. Matis et lui entretienne une relation très soudée qui s’est renforcée à la mort de la mère du jeune homme et ce malgré le fait qu’il se soit remarié.
Violette Falkire (Mère de Matis / Décédée) : La mère de Matis est morte de maladie durant la jeunesse du jeune homme. Malgré que sa mort ait attristé l’homme, il garde de sa mère de doux souvenirs. Ceux d’une mère aimante qui fut toujours là pour lui.
Julia Falkire (Belle Mère de Matis) : Julia est à peine plus âgée que Matis et à épousée son père au il y a quinze ans. Il ne sait pas trop quoi penser de cette femme qui tente de prendre la place de sa mère. Il ne la déteste pas, mais l’indifférence marque leur relation. Ce qui le dérange surtout c’est qu’elle soit entrée dans la vie de son père quelques mois à peine après la mort de sa mère.
Raphael Falkire (Frère de Matis / Disparu) : Cadet de sept ans de Matis, le jeune homme s’est lancé dans le commerce avant de disparaitre brutalement lors de l’invasion des Alayiens. Très proche de son frère cadet, il fait tout ce qu’il peut pour avoir des informations à son sujet mais ne doute pas qu’il soit tombé sous le contrôle des envahisseurs.
Yolande et Satie Falkire (Demi-sœurs de Matis et Sœurs jumelles) : Ces deux sœurs de quinze ans sont les enfants de son père et de sa belle mère. Mais contrairement à cette dernière, il éprouve plus d’amour à leur égard. Peut être est-ce due au fait de les avoir vu grandir. Quoi qu’il en soit il essaye d’être présent à chacun de leurs anniversaires, surtout depuis la disparition de son frère.
Autres :
Thomas Andersi (Lieutenant / Aide de camp) : Thomas et Matis se connaissent depuis leur enfance, leurs parents étant amis très rapidement les deux enfants se mirent à jouer ensemble. Au fil des années, et alors que les deux semblaient prendre la voie militaire, une amitié solide et durable s’installa entre les deux jeunes hommes. Aujourd’hui, Matis ne se déplace plus sans Thomas devenu son aide de camp et premier lieutenant.
Derrière l'écran
Petite présentation : Yop à tous et à toutes votre (futur ?) serviteur va se présenter plus en détail. J’m’appelle Anthony, j’ai 22 ans et je suis de Toulon. Je suis un lecteur assidu de SF et de fantaisie et un amateur de série dans le même style. La musique est aussi une passion, mais n’arrivant pas à utiliser mes dix doigts correctement je me suis résous à l’écouter. (C’est déjà pas mal non ? :p)
Sinon je suis un tout doux petit nounours et je ne mords pas, ou presque. Donc voila j’espère RP avec vous et contribuer à cet univers par ma modeste plus (ou plutôt clavier).
Voila voila j'espère avoir tout bien respecté, pas déformé la réalité du forum et que je ne fais pas de bêtise dans mon histoire et tout ce qui va avec. Voili voulou.
Rythme rp : Connexion une fois par jour minimum et réponse sous deux jours après réponse. (Quatre au plus tard) Grossièrement je peux prétendre à trois – quatre réponses par semaine. En général j’aime bien répondre dès que c’est à moi, mais je n’en ai pas toujours le temps. Hélas.
Particularités rp : Rien de particulier, Je fais du RP depuis deux – trois ans, j’ai testé plusieurs univers et j’adore cela. Je fais tout ce que je peux pour m’améliorer jour après jour et j’espère produire une qualité qui n’altérera en rien celui du forum.
Comment avez vous découvert le forum : Google est mon ami !
Le code du règlement :
Matis vit le jour dans une petite famille de noble dans la grande ville d’Elena. Nommée la Robuste, cette ville fut le berceau de son enfance, et c’est là que son père lui apprit ce qu’appartenir à la noblesse voulait dire. Malgré tout ce qu’on pouvait croire, les nobles n’étaient pas tous des gens hautains qui n’aimaient qu’eux même. Son paternel et ses instructeurs apprirent à Matis à manier les armes dès qu’il eu dix ans. Epée en bois en main, ils commençaient déjà à faire son éducation. Mais il ne fut pas qu’entrainé à manier les armes, sa mère lui apprit à parler et à écrire comme quelqu’un de son rang. Son père l’emmenait dans les forêts et dans les terres bordant la ville pour l’endurcir et le former à sa future vie de soldat. Dès son plus jeune âge, son père le préparait à suivre ses pas car dans la famille, l’ainé donnait toujours sa vie pour l’Empire au travers de l’armée. Matis accepta sans broncher car c’était son devoir et celui de sa famille, et il ne couvrirait pas de honte sa famille. Son paternel le testait continuellement, tant physiquement que psychologiquement, sa mère n’aimait pas cela, mais elle comprenait.
Son enfance fut bercé par son amitié naissante avec Thomas, la naissance de son petit frère sur qui il veillait mais aussi la mort de sa mère et l’arrivé de sa belle mère.
A cette époque, il avait déjà quinze ans, sa mère venait de mourir de maladie et elle laissait derrière elle un grand vide qu’il aurait du mal à combler. Mais il ne se laissa pas abattre car elle n’aurait pas voulue le voir ainsi. Il se lança donc à corps perdu dans les entrainements et les formations pour intégrer l’armée impériale comme son père avant lui. Malgré le temps qu’il passait à s’entrainer et le fait qu’il n’appréciait pas sa belle mère, il voulait rester proche de son père. Celui-ci, père de deux nouvelles petites filles, lui montrait toujours son amour et le poussait à se surpasser. Mais ce qui était difficile pour le jeune garçon, c’était de montrer du respect pour une femme qui n’avait que quelques années de plus que lui. Elle était devenue sa belle mère, mais malgré tout cela elle ne représentait rien pour lui. Et aujourd’hui encore ce sentiment n’a que peu évolué.
Finalement il parvint à intégrer l’armée et à se lancer dans une carrière militaire. Il commença doucement en tant que sous-officier, ne tentant pas de mettre en avant ses origines, mais comptant uniquement sur ses capacités. De toute façon, sa famille étant si petite dans le vaste Empire, il n’aurait pu que très peu compter sur elle. Là il se lia d’amitié avec des soldats de tout rang et gravit peut à peu les échelons en finissant lieutenant après cinq longues années de service. Il n’y avait, en ce temps, pas grand-chose à craindre pour les vastes armées de l’Empire.
Mais tout changea dès l’année 1750.
Durant cette année les problèmes commencèrent. Des rumeurs faisaient états d’un retour des Dragons des légendes et la magie, qui faiblissait chaque jour un peu plus, retrouva une puissance perdue. Au fond de lui, et surtout après quelques petits soucis, Matis sentis la puissance en lui. Elle n’était pas énorme, mais elle était bien là, tapie en lui. Attendant son heure. Il ne comprenait pas tout cela mais tenta quand même d’appréhender puis de maitriser cette force qui sommeillait en lui. Mais comment un soldat, sans formation particulière, pouvait maitriser une chose pareille ? Ce fut extrêmement compliqué, mais des connaissances de son père, plus érudites, partagèrent leurs savoirs. Et aujourd’hui il possède une maitrise limité de ce qu’on appelle la magie. S’il souhaite améliorer sa maitrise il n’y aura pas trente six solutions. Il devra aller voir un véritable mage…
Mais avant qu’il n’ait le temps d’aller voir un expert magique pour apprendre, les mauvaises impressions qu’il avait se confirmèrent durant les mois qui suivirent. La guerre, dans sa brutalité la plus bestiale, reprit ses droits avec l’attaque d’un village côtier par les forces vampiriques. Cette année, 1751, fut l’une des plus dure qu’il eu jamais connue, et pourtant ce n’était qu’un avant goût de ce qui allait suivre. Le Seigneur Vampirique tenta d’assassiner un conseiller de l’Empire pour mettre à bas l’alliance entre Hommes et Elfes puis il lança ses troupes dans une guerre de terreur. Des villages entiers réduits en cendres, des centaines de personnes retrouvées mortes sans qu’on sache réellement ce qu’il s’était passé. L’horreur commençait à prendre vaguement forme.
Mais l’Empire ne se laissa pas faire si facilement.
L’armée, qui se lança à la poursuite des créatures de la nuit, avait du mal à protéger l’ensemble des terres de l’Empire. Cette organisation qui faisait la fierté de l’Empire était tournée en ridicule par une bande de suceur de sang mal luné, s’était du moins ce que pensait Matis. Les nuits étaient terribles et la peur se trouvait en chaque cœur, nul ne savait s’il passerait la nuit et s’il serait toujours en vie au matin. Dans cet état d’esprit la guerre et le sang furent présent en quantité, et malgré toutes les bonnes volontés, l’armée ne parvenait pas à forcer les vampires à une confrontation directe. Matis, quant à lui, faisait ce qu’il pouvait pour sauver ses hommes et sa propre vie, et à de nombreuses reprises il ne fut pas loin d’y rester. Cette année là lui offrit une expérience de la guerre qu’il ne souhaitait à personne de connaitre…
Mais l’horreur prit clairement son visage lors de la bataille de feusacré en 1752. L’armée impériale s’y massa et affronta les vampires. Vampires qui, pour une fois, ne s’enfuient pas à la vue de l’armée de l’Empire. Matis s’y trouvait, comme de nombreux autres soldats, mais il aurait souhaité se trouver ailleurs. Soldat anonyme dans cette vaste confrontation qui prit rapidement des allures dantesque avec les dragons et toute la magie qui en découlait.
Il ne sut pas combien de temps la bataille dura, mais les centaines de morts qui en résulta prouvèrent à eux seuls de la violence des combats. Les vampires étaient de dangereux combattants , et ne parlons pas de leur magie. Les dragons, qui malgré leur faible taille et leurs cavaliers s’affrontaient dans un balais aussi beau que mortel, et leurs puissances faisaient de Matis et des autres rien de plus qu’un amas d’insecte. Bon il est vrai qu'ils n'étaient que de petite taille mais tout même. Voler sur une créature avec de si grosses dents semblait vraiment dangereux... Surtout que ces créatures savaient pertinemment s'en servir de leurs dents.
Ce jour là l’homme vit de nombreux amis mourir dans des formes abjectes et incroyables. Mais tous ces morts n’entrainèrent qu’une chose : le repli de l’armée. Une bonne partie de cette armée avait été massée dans ce village pour combattre les créatures de la nuit. On leurs avait parlé de courage, de rage et tout autre chose susceptible de les rendre plus confiant et volontaire. Et tout ça pour quoi ? Pour finalement se replier en quatrième vitesse. Pendant un temps il fut habité par la colère à cause de cette bataille dont les origines et les raisons lui échappaient. Il n’avait pas toutes les cartes en main et n’avait pas de vision d’ensemble de la guerre. Pour lui on avait simplement envoyé à la mort des centaines de soldat dans le but d’obtenir quelque chose ou de défaire l’armée adverse. Mais rien de tout cela n’avait été réalisé d’après ce qu’il avait vu. Et ce n’est qu’à cause de son Capitaine qu’il ne se rebella ouvertement pour obtenir des réponses. « Les ordres étaient les ordres, l’empereur nous envois remplir des missions dont nous ne sommes pas au courant. Et nous n’avons pas besoin de tout savoir pour faire notre boulot. Et si notre boulot et de mourir pour défendre l’Empire alors qu’il en soit ainsi. » Voila ce qu’il lui dit. Après tout il devait se considérer chanceux d’avoir survécu à pareille bataille…
Il ne fut pas non plus mis au courant de toutes les actions qui découlèrent directement ou indirectement de cette bataille, mais des rumeurs circulaient. Pendant ce temps, et alors que les gouvernants et les Héros menaient leurs quêtes, lui retrouvait le front pour continuer à combattre les vampires et protéger la population.
C’est à peut près à ce moment là que les cauchemars commencèrent. Il se revoyait sur le champ de bataille, à tuer ennemi après ennemi mais ne pouvant rien faire pour sauver sa patrie. Chaque nuit ce spectacle recommençait encore et encore, sous des formes différentes, mais sans jamais changer de sens. C’est aussi à ce moment là que son père lui offrit sa lame, l’épée de la famille. Il ne l’avait qu’aperçue dans la maison sans jamais avoir l’autorisation de la toucher. Visiblement son père avait été fier, et heureux, de ses capacités de survivants et de soldat car il ne voyait aucune autre raison poussant son paternel à se séparer de sa lame.
Mais en cette 1753e année, une nouvelle menace fit son apparition sur le continent. Une de plus, comme si les vampires ne suffisaient pas… Et de la plus violente des façons qu’il soit possible d’imaginer. Cette nouvelle menace prit la forme d’une invasion dictée par le fanatisme religieux et une fois de plus l’Empire y envoya son armée. Hélas, contrairement à la guerre contre les vampires où l’armée arrivait à tenir bon, elle fut littéralement anéantie. Le groupe de Matis avait été envoyé avec tant d’autre combattre cette nouvelle invasion, mais ils ne purent rien faire à part compter les morts dans leurs rangs et le nombre de ville qui se rendait ou qui était rasée.
Défaites après déroutes, retraites après replis, nul n’arrivait à contenir le fanatisme des nouveaux arrivants vénérant le Néant. Ces gens ne faisaient que peu de prisonnier et uniquement humain, ils massacraient elfes et vampires sans distinction. Si l’on résistait ils se montraient sans pitié et brulaient des villes entières. Les combats faisaient rage, et Matis faisait ce qu’il pouvait pour contenir cette menace, mais lors d’une escarmouche tout tourna au drame.
Son groupe fut prit en tenaille par l’envahisseur, et tandis que son capitaine faisait ce qu’il pouvait pour permettre à ses hommes de se replier une nouvelle fois il fut tué. Un bon nombre de vaillant soldat le suivit dans la tombe ainsi qu’une bonne partie des officiers du corps. Assez rapidement il entendit sonner la retraite et dû utiliser le sacrifice de certain pour permettre au plus grand nombre de rester en vie. Ce fut la rage au cœur que ce qu’il restait de son groupe dû se retirer une nouvelle fois du combat. Et durant ce nouveau repli, nombreux furent ceux à se demander ce qu’ils pouvaient encore faire. Matis essaya de les remotiver, mais même lui n’y croyait plus vraiment. Néanmoins il parvint à se ressaisir quand il pensa à la vie de tous ces soldats qui étaient encore sous ses ordres.
Plusieurs jours après, et alors qu’il se trouvait à Gloria, il apprit qu’il venait d’être promut Capitaine. Mais qu’est ce que ce grade lui apportait ? Des honneurs ? De la gloire ? Une augmentation ? Il n’en avait que faire… Sa famille était loin et bloquée en pleine ville d’Elena. Son frère avait disparu et était peut être mort. Une grande partie de son groupe avait été tué par l’envahisseur. Néanmoins il comprit qu’il devait se calmer, il avait maintenant la vie de nombreux soldats entre ses mains et une volonté de fer pour sauver l’Empire. Sans attendre il demanda des renforts de conscrit pour reformer son groupe et se mit à attendre les ordres de son commandant ou d’un de ses supérieurs, direct ou non.
Alors que la guerre fait rage dans tout le continent il apprit qu’une tentative de trêve allait peut être trouvée entre les trois races pour défaire les envahisseurs. Il ne savait pas trop quoi attendre de cela, mais il restait à l’affut de nouveaux ordres. « Les ordres sont les ordres, et nous devons tout faire pour mener à bien nos objectifs et protéger l’Empire. » Voila ce qu’aurait dit son Capitaine, et voila ce qu’il pensait au fond de lui.
Dernière édition par Achroma Seithvelj le Jeu 16 Oct 2014 - 20:20, édité 1 fois
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Sujet: Re: Matis FALKIRE Sam 9 Nov 2013 - 13:00
Héritage (Feuilletage à l'Iridium): Héritée de son père qui lui-même l’avait hérité de son père. Il s’agit d’une épée possédant une longue lame en acier sans la moindre beauté, les artisans de l’époque mettaient en avant la capacité à tuer plutôt que la beauté de leurs créations. Le pommeau de l’arme est fait de lanière de cuir et d’une garde où est gravé le nom de la famille, seule chose faisant de cette épée autre chose qu’un simple bout de métal.
La seconde particularité de cette lame est qu’elle n’est pas symétrique, un côté de la lame est lisse et tranchant, tandis que le second est ciselé et déchirant. Cette partie, formée en véritable dent de scie, permet un style de combat très particulier où frapper d’estoc prend tout son sens.
Forgeage : On recouvre l'arme d'une fine feuille d'iridium, permet à cette arme une meilleure durabilité et résistance. L'arme est plus résistante à la magie, de sorte qu'elle résiste mieux aux sorts qui l'agressent. Extrêmement rare en raison du métal utilisé. Très cher. + Durabilité augmentée (grande) + Résistance augmentée + Résistance à la magie augmentée (grande)
Enchantement Héritage : L’emploi de base de l’enchantement nécessite une utilisation mineure de l’énergie du porteur mais de manière continue. Le premier palier d’utilisation permet d’infliger des brulures mineures sur les armures ainsi que sur la peau. Le second palier, nécessitant plus d’énergie et laissant le porteur dans un état second, permet de laisser des traces bien visibles et profondes dans l’armure et les armes. Le troisième et dernier palier conduit l’utilisation aux portes le mort mais permet de trancher arme et amure de métal sans difficulté.
L’utilisation trop fréquente de l’enchantement entraine des douleurs et des séquelles physiques proportionnellement importantes à la puissance réclamée. A chaque utilisation, la main du porteur subit aussi les brulures de la lame même si elle est atténuée par la force mentale et physique du porteur. Ainsi il n’est pas rare de voir des brulures de forme diverse sur le bras tenant l’arme lors de son utilisation.
Nexus du cœur (offert par Autone) :
Pierre d'opale montée en pendentif, en forme de gouttes d'eau, finement cerclée d'argent, dont la couleur est changeante. Ce petit bijou est destiné à permettre de garder un "lien" constant avec un être cher, en gardant un oeil sur son état. En effet, une fois le lien entre l'objet et l'être cher fait, lien qui s'établit en versant une goutte de sang de l'être cher sur la pierre, la pierre d'opale varie de couleur en fonction de la situation et/ou de l'humeur de l'être ainsi lié. Cette pierre fonctionne quelque soit la distance une fois le lien créé. Voici les différentes teintes pouvant être prises et leur signification : blanc : état vif et alerte, en pleine santé ; jaune : humeur radieuse, irradiant de bonheur et de sérénité ; orange : anxiété ou stress tangent ; rouge : colère, l'intensité du rouge montrant l'intensité de la colère, un rouge sombre carmin peut signifier aussi une blessure plus ou moins grave. Plus le rouge se teinte de gris ou de noir, plus la blessure est grave. ; bleu : peine, détresse, l'intensité du bleu signifiant l'intensité de la peine ou de la détresse ; vert : perplexité, curiosité ; gris : peur, danger important, risque de mort ; noir : mort de l'être aimé.
Les couleurs peuvent se mélanger entre elles, montrant toutes les nuances d'humeur possible et de situation. A noter que pour les vampires les teintes sont toutes très sombres, l'être vampire étant déjà mort... Une fois le lien créé, cette pierre ne fonctionnera que pour la personne ainsi liée : la liaison ne pourra être défaite ni s'établir avec quelqu'un d'autre. Il vous faudra racheter une pierre pour une autre personne.
Broche aux oiseaux Est une broche d'argent ou s'entrelacent finement deux oiseaux qui prennent « vie » un instant afin de mettre en fuite en battant des ailes devant un assaillant, quand son porteur passe son index dessus.
Epée de justice (offerte par Achroma) : Une épée flamboyante qui instille la peur dans l'esprit de personnage à alignement mauvais.
Gant de fauconnier (Offert par Achroma)
Graine de l'esprit des ombres (offert par Achroma)
La chaîne de l'esprit
Pendentif en onyx noir, attaché à une chaîne d'argent fine et résistante. Portée autour du cou, elle est un parfait et beau bijou, serré au creux de la main, la pierre confère un rang de plus en force mentale. Enchantement : Mental d’acier – Asbeth.
Chevalière familiale : Une bague représentant un faucon prenant son envol.
Pièce en Or : Offerte par la Princesse Esmelda Kohan, elle lui donne accès à une entrevue privée avec un membre de la famille Impériale. Cela fait six ans qu'il la possède et il la garde précieusement comme un porte chance. Qui sait quand elle pourrait servir ?
Pendentif des longs voyants (offert par Kylian) : Petite amulette couleur d'ambre sur laquelle est monté un pendentif figurant un oiseau. Augmente le champ de vision la journée, permet de voir à peu prêt la nuit, prend de l'énergie à son porteur.
Fourreau d'ivoire noir (Offert par Esmelda) : Fourreau cousu dans un cuir noir ou blanc et renforcé par une gaine extérieur d'ivoire noir gravée à l'image de dragons et portant des filigranes d'argents. Rend une arme indétectable par quelqu'un d'autre que son propriétaire légitime tant que celle ci reste dans le fourreau.
Bouclier méduse
Foulard mutalen vert
Armure d'Everelle (Offert Par Fabius) : Les armures crées par l'elfe Everelle, elles permettent de se rendre invisible mais coûtent une fortune.
Une fleur des larmes
Poignet brassard en cuir pour archer
Bottes résistantes
Tunique bien coupé
Pantalon bien coupé
Armures en mithril enchanté
Epée courte : Attachée horizontalement dans le bas du dos, elle est basique et principalement constituée d’un acier robuste et d’un pommeau fait de lanières de cuir
Boulier : Un simple assemblage d’acier forgé dans le but de défendre et d’encaisser les coups. Une lanière en cuir à été rajoutée pour permettre à son porteur de le porter au dos. Matis n’est pas un grand partisan du combat épée-bouclier, mais l’utilité d’un tel style est plus que prouvé dans certaine condition.
Armure d’officier de l’armée : L’armure de Matis est celle de l’ensemble des officiers de l’armée même si celui-ci y a apporté quelques petites modification au fil des combats. Celle-ci recouvre les bras, les mains ainsi que les jambes du jeune homme par de longue plaque d’acier. Son corps est couvert par une cotte de maille ajouté à l’armure de plaque. Cette dernière est recouverte d’un tabard d’un bleu azur où se trouvent les armoiries de sa famille. Des épaulières d’acier sont présentes et un faucon est gravé sur l’épaulière de droite pour finaliser le tout.
Tout récemment, et à cause du froid, Matis a ajouter à son armure un long manteau de cuir à capuche. Ce manteau, tout de cuir et sans grand charme, permet au jeune homme de rester au chaud. Ce long manteau permet aussi d'évoluer de nuit avec un petit plus de discrétion puisqu'il permet de cacher les reflets de son armure. Les armoiries de sa famille sont incrustées dans le dos, indiquant à tous d'où il vient.
Armure du Traqueur noir (Offert par Esmelda):
Armure des guerriers vampiriques, de cuir et de mailles légères, elle permet au porteur de se fondre dans les ombres et absorbe les sorts de bas niveaux. Matériel : cuir. Enchantement 1 : affinité des ombres – élémentaire. Enchantement 2 : absorbe les sorts de bas niveau (faible et très faible) – Draconique.
Melodia (Offert par Alauwyr:
Une belle boîte à musique, en bois foncé. L'intérieur est tapis d'un épais tissu rouge foncé. En son centre un personnage (différent suivant la boite) tourne et produit une douce musique mélodieuse. Effets: La musique a le don d'adoucir les tensions dans une pièce fermée.
Dernière édition par Matis Falkire le Ven 17 Juin 2016 - 20:35, édité 16 fois
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Sujet: Re: Matis FALKIRE Sam 9 Nov 2013 - 13:03
Histoire récente
Chapitre Premier, De la guerre vampirique aux début des invasions Alayiennes
Spoiler:
L’histoire récente, et qui convient d’être conté, de Matis Falkire Capitaine rebelle, commence avec la guerre vampirique ainsi qu’avec une toute première rencontre vampirique. La première du genre et sans doute celle qui le marqua le plus.
A cette époque le jeune trentenaire n’était que simple lieutenant et devait mener une opération de reconnaissance dans un village perdu dans l’Ouest de l’Empire. Une mission qui se voulait simple en apparence, mais rien n’est jamais simple quand on combat de nuit les vampires. Car vampire il y avait dans la région, la ligne de front était toute proche et de nombreuses disparitions avaient eu lieux tout autour du village. Les habitants et citoyens de l’Empire étaient effrayés par la possibilité que des vampires se soient installés là ou tout du moins opéraient dans la région. C’est pour résoudre cette potentielle menace qu’en envoya le groupe de Matis, se rendre sur place et résoudre le problème le plus rapidement et le plus simplement possible.
Mais rien n’aurait pu les préparer à ce que les soldats impériaux virent cette nuit-là.
Le village était désert. Effectivement il n’y avait aucuns humains dans les parages mais il ne fallut pas chercher bien loin pour tomber sur un groupe de soldat vampire composé en grande partie de jeunes créatures de la nuit. Le combat débuta donc en pleine nuit, et rapidement Humains et Vampires s’affrontèrent pour rester en vie et essayer de protéger leurs camarades. Dans ce genre de combat à mort les objectifs, la formation, les ordres ou même la stratégie n’avaient plus cours. Dans ce genre de combat ce n’était que reflexe, mécanisme de défense et instinct de survie qui servaient, le reste n’était que de la poudre aux yeux servant à enjoliver des histoires macabres. De ce combat il n’en sortit que trois survivants du côté humain, en effet, si les soldats auraient pu gérer des fantassins vampires, ils ne faisaient pas le poids contre une conseillère et sa magie.
Capturés, réduit à l’état d’épave et d’esclave dans un des camps de rétention de vampire, les trois humains survivants essayaient tant bien que mal de survivre sans savoir que le pire restait encore à venir. Ce camps était le lieu de toutes les horreurs, l’utilisation d’esclaves humains avaient cours tout comme l’utilisation de ceux-ci comme simple nourriture. Mais Matis n’avait pas le temps de s’inquiéter pour ses semblables car la conseillère vampire la torturait jour et nuit. Elle brisait tout autant son corps que son esprit, n’hésitant pas un seul instant à utiliser sa magie pour marquer son corps. Son esprit errait, sur un fil entre la vie et la mort, mis à mal par le poison, la magie, le manque de nourriture ainsi que la fatigue. Heureusement pour lui il réussit à s’enfuir non sans emmener avec lui plusieurs de ses semblables. Après des jours, peut-être même des semaines passés sous la torture, il avait pu saisir sa chance et s’était enfuit. C’est à partir de ce moment-là qu’on commença à le connaitre sous le nom de Survivant.
La suite de cette année se finit dans le village de Feusacré. La guerre atteignit alors son paroxysme et comme une grande partie des soldats de l’Empire, Matis se devait de prendre place au cœur même de la bataille. Et s’il se battait c’était pour plusieurs raisons. La première était qu’il cherchait à retrouver la conseillère qui l’avait brisée pour la traquer et la tuer. La seconde était qu’il devait se battre pour protéger l’ensemble des citoyens de l’Empire telle que la princesse Esmelda Kohan. Il avait rencontré la jeune femme quelques années plus tôt à Elena, l’impression qu’elle lui avait fait ainsi que le présent qu’elle lui offrit était là une nouvelle source de motivation pour protéger la famille impériale. Et ce n’est que quelques années plus tard qu’il comprendrait réellement à quel point son engagement pour la jeune femme allait être important.
A la sortie de cette bataille, qui ne fut qu’un carnage sans nom, il ne se retrouva pas dans le repos du guerrier. A l’inverse, une toute nouvelle menace approchait d’Armanda alors même qu’Humains et Vampires s’entretuaient copieusement.
Les Alayiens approchaient d’Armanda, et une toute nouvelle sorte de guerre allait voir le jour sur cette terre.
Chapitre Second, Les Guerres Alayiennes
Spoiler:
Qu'elle est la chose que l'homme fait de mieux ? L'amour ? L'art ? La philosophie ou la poésie ? L'amitié ou la fraternité ? Non, dix fois non. Milles fois non. C'est la guerre. La guerre est le premier des actes qu'a commis l'homme. Des origines à la fin des temps, l'homme se battra contre son prochain pour l'amour d'une femme, pour la richesse d'une terre ou la folie d'un dieu. C'est pour ces raisons là qu'on ne pourra jamais changer l'Homme malgré tout ce que l'on pourrait essayer.
La guerre, à peine calmée, entra dans une nouvelle phase avec l'arrivé sur Armanda de nouveaux adversaires aux "pouvoirs" étranges et puissant. Il y avait eu tant de carnage et de mort durant les actions contre les vampires et aujourd'hui ils devaient remettre le couvert contre d'autres hommes ? Venus d'on ne sait où, ces derniers n'étaient là que pour une seule et unique raison : mettre à bas l'Empire humain d'armanda, exterminer les vampires et les elfes ainsi que les dragons. Ne pas oublier aussi la partie religieuse de cet acte de folie. Les Alayiens, c'était leur nom, voulaient imposer leur religion à tous et à toutes sans distinction. Le Néant. C'était leur dieu, leur unique, celui qui les avaient conduit ici pour rameuter de nouvelles recrues au culte de l'Unique.
Avec de tels objectifs, la discussion ne pouvait pas avoir lieu, les Armandéens devaient donc repousser l'ennemi et l'anéantir si besoin. C'est à cet instant et dans ce contexte que le régiment de Matis, alors premier lieutenant, fut envoyé sur le nouveau front qui venait de s'ouvrir. Et durant cette marche, qui dura plusieurs jours, ils eurent tout le temps nécessaire pour panser les plaies ouvertes par les vampires, ainsi que tout le temps nécessaire pour appréhender leur nouvelle guerre. Après tout, ils ne pouvaient pas se plaindre. Ils étaient l'armée impériale, le bras armé de l'Empereur et là où son regard se posait, les soldats impériaux venaient apporter la juste fureur de l'Empire. La guerre était leur métier. La mort était leur compagne.
Et jamais ils n'auraient cru devoir la côtoyer de si près.
La guerre leur tomba dessus, ils avaient beau s'être préparé du mieux qu'ils pouvaient, ils s'étaient préparé à un conflit classique. Sauf qu'il s'agissait là d'une toute nouvelle façon de faire la guerre. Une façon qu'aucun d'entre eux n'aurait cru possible, surtout pas le commandement. Ils auraient dut mener leurs troupes à la victoire, mais il n'en fut rien car ils employèrent des techniques éculées et dépassées. L'ennemi, en face, était tenace, bien ordonné, fanatisé et équipé d'arme et amure repoussant et annulant les effets de la magie. Les combats étaient d'une violence sans nom, des moments qu'il n'avait connu qu'à Feusacré. Et pourtant, ils avançaient toujours. Une inexorables avancée vers la capitale Humaine en anéantissant tout ce qui se trouvait sur leur chemin et qui faisait mine de résister.
Le régiment de Matis constituait l'arrière garde de la glorieuse retraite vers Gloria. Là où beaucoup essayait de sauver leurs peaux, Matis et les siens devaient ralentir l'avance Alayienne et permettre aux civils de fuir. Ce cas de figure où son régiment, sous équipé, sous ravitaillé et dans la noirceur de la nuit, devait ralentir l'ennemi dans une localité obscure s'était répété à de trop nombreuses reprises. Et plus il se réalisait, plus la liste des amis du jeune homme diminuait tout autant que son tableau de chasse augmentait.
Des semaines à reculer, des semaines à combattre un ennemi qui n'en finissait plus de grandir et de devenir violent. Et pourtant il fallait tenir, tenir pour permettre à l'armée du nord de venir les aider. Mais jamais elle ne vint. Du moins, pas lorsque Matis et les siens en auraient eu le plus besoin. Car un nouveau combat les attendait à chaque ville et village sur la route de la capitale. Il avait apprit par coeur la carte qui allait de l'Océan à Gloria pour la simple et bonne raison qu'il avait combattu dans chacun des villages et des villes présentes. Il avait rencontré le pire et le meilleur des l'Humanités. Il avait combattu des fanatiques tel que Lyra du Néant et survécu. Il devait maintenant tout faire pour permettre aux siens d'atteindre la capitale en vie.
Un dernier combat à quelques kilomètres à peine de Gloria lui ôta toute chance de survie. Mener dans le but de sauver la vie d'une centaine de villageois, ce combat termine d'achever un régiment qui avait vu ses effectifs grignoté depuis plusieurs semaines. Mais cette fois c'était différent, au dernier moment, alors que tout semblait perdu, son supérieur l'envoya à Gloria avec ses escouades. Matis n'avait pas voulu quitter son officier depuis qu'il servait dans l'armée, mais il ne lui avait pas laissé le choix. Une vingtaine d'hommes quitta le régiment pour escorter les derniers villageois vers Gloria, et tout ce qu'il vit de ses amis encore en vie ce fut le dernier carré. Le dernier bras d'honneur venant de vétéran que tous avaient abandonné, que Matis avait abandonné. Il l'avait vu mourir, son capitaine, ses amis, ses frères et ses soldats. Et eux étaient encore en vie ? Et pour quoi ? Pour continuer un combat perdu d'avance à cause d'officier trop occupé à faire de la politique et pas la guerre.
C'est à ce moment là que la haine du jeune homme pris deux nouveaux visages. Le premier était évident car il avait pour nom Alayien, et le fanatisme qui les avaient poussés à détruire un royaume, à ôter des vies pour rien et qui salissaient la terre de ses ancêtres. Le second était plus difforme, c'était les échelons supérieurs de la société et de l'armée. Ceux qu'il tenait pour responsable de la défaite et de la mort. Mais il ne pouvait pas se permettre de se mettre à dos le système de l'armée et des castes même si lui même était des "échelons supérieurs" de la société. Il ne se reconnaissait plus dans cette société qu'il devait protéger, et qu'il avait même jurer de défendre jusqu'à la mort.
Alors oui, on l'avait promu capitaine et oui, on lui avait confier un nouveau régiment principalement composé de nouvelle recrue. Mais cela ne ramènerait pas ses amis car de cent cinquante soldat, ils n'avaient été qu'une vingtaine à s'en sortir. Et s'en sortir pour quoi ?
Pour vivre le siège de Gloria.
Chapitre Troisième, Le Siège de Gloria
Spoiler:
Le jeune homme n’avait jamais vécu un siège d’une pareille ampleur et, pour tout dire jamais il n’aurait cru qu’il se trouverait dans les rangs des défenseurs. Mais de toute manière il n’aurait jamais imaginé la venue des Alayiens, ceux-là même qui assiégeait les murs de la capitale de l’Empire Humain. La cité qui représentait le cœur vibrant d’un Empire qui ne semblait trouver aucune limite sur cette terre dans son expansion. A la vérité, les Alayiens étaient la seconde plus grande menace que l’Empire ait rencontré. Mais, contrairement aux Vampires, les Alayiens étaient maintenant aux portes de la Capitale, ils étaient arrivés bien plus loin que les incursions vampires et en beaucoup moins de temps.
L’histoire retiendra sans doute que la Chute de Gloria fut celle de l’Empire Humain dans sa forme actuelle et que les soldats qui s’étaient battu sur ses murs furent les derniers protecteurs d’un Royaume en décomposition. Matis ne cru jamais voir ce jour arrivé, et pourtant en arrivant dans la cité assiégée il ne pouvait que s’y résoudre. Personne ne semblait croire encore à la victoire, que ce soit dans la population ou dans les maigres forces qui lui restaient encore.
De toute manière il n’eut pas le temps de se plaindre puisqu’à peine arrivé il changea de commandant et fut rattaché à une jeune femme qui le promu directement Capitaine et lui laissa la charge d’une centaine de jeunes recrues. Une centaine de jeunes gens qui n’avaient jamais vu la guerre et ses horreurs qui devaient se trouver formé par une quinzaine de vétéran qui, bien qu’à peine plus vieux, avaient vécu des choses affreuses qu’ils ne pouvaient même pas imaginer. Que pouvait il faire d’autre qu’apprendre à ces jeunes gens des moyens efficace pour ne pas mourir trop vite ? Il n’avait rien d’autre à faire car dans cette cité en état de guerre il n’y avait rien à faire d’autre.
Les jours passaient et rien ne bougeait dans la cité. Enchainant les jours d’entrainement, les patrouilles de nuits dans les quartiers chaud de la capitale, combattant sur les murs, il ne voyait pas la fin et à plus d’une occasion il eu envie d’en finir avec toute cette guerre. Mais il ne se laissa jamais sombrer car il avait trop à perdre, tellement de gens comptait sur eux, trop de soldat et d’Homme comptait sur lui pour qu’il se laisse aller de la sorte.
Heureusement il fit des rencontres importantes pour son futur, des personnes comme Rebrylla ou Alford entrèrent dans sa vie comme des personnes sur qui il pouvait compter. Rebrylla était une elfe, une sorte de rebelle qui ne se laissait jamais faire, une âme flamboyante qu’il recruta car elle semblait volontaire et passablement désœuvré. Le second, Alford était différent. C’était un homme droit, robuste avec un humour plus que précaire qui, en plus de cela, n’avait pas le moindre succès avec les femmes d’après ses dires. Mais c’était un solide combattant, un homme courageux qui ne demandait qu’à faire ses preuves au combat contre les Alayiens. Matis et lui se lièrent d’une amitié qui n’arrive que lorsque des Hommes partagent les mêmes souffrances, les mêmes peurs et les mêmes espoirs. Le jeune capitaine ne pouvait l’avouer à personne, mais après avoir tant partager, Alford devint le frère qu’il avait perdu quelques mois plus tôt. Un frère de sang sur qui il pouvait compter et à qui il confierait sa vie sans l’once d’une hésitation.
L’arrivé d’Alford dans son unité et dans son cercle d’intime lui permet de moins souffrir du siège, mais les Alayiens perdaient sans doute patience car les assauts se firent de moins en moins sporadique. C’est à ce moment là que l’Empereur mourut, soit disant assassiné par son Cousin Korentin Kohan. Le capitaine avait des doutes sur la version officielle donné par le tout nouveau dirigeant et futur Empereur, Fabius Kohan, un autre cousin un peu obscur de cette immense famille. Matis, tiraillé entre le doute et son devoir de soldat Impérial ne savait pas à quel Cousin se vouer. Mais un évènement lui permit de choisir.
Cet événement ce fut le couronnement de Fabius Kohan.
Le jeune capitaine avait été prévenu par sa hiérarchie qu’il allait être responsable de la sécurité de la cérémonie et n’avait emmené avec lui que ses vétérans, laissant à Alford le soin de gérer le reste de leur compagnie. Lorsque les vétérans se retrouvèrent dans ce lieu de débauche alors que le peuple crevaient littéralement de faim, leurs sangs ne fit qu’un tour et à plusieurs occasion Matis se fit remarqué par la garde rapprochée de l’Empereur et l’Empereur lui-même. Mais cela n’avait aucun intérêt pour le jeune homme car il pu juger de la « Grandeur » du nouvel homme fort de l’Empire. A peine couronné il fit entrer dans le palais les Alayiens et expliqua qu’il aller signer la paix avec les envahisseurs.
Pour des gens comme les soldats et leur Capitaine qui avaient souffert de la guerre, il n’était pas question de se prosterner devant pareil souverain. C’est un événement inattendu qui lui permit de quitter la pièce car, en plus d’une bataille déclarée devant et dans la cité, un Nordique déterminé pénétra dans la pièce et s’en prit directement à l’Empereur. Ce dernier fut protégé par sa garde et, sentant le nordique en difficulté, Matis lança ses soldats le défendre.
Après une dure bataille pour sortir du palais et sortir de la cité avec ses hommes, Matis entra dans une phase de sa vie qu’il n’aurait jamais cru possible. D’officier respectable de l’armée impériale, il venait de devenir un rebelle et un fugitif triplé d’un traitre… Une nouvelle vie s’annonçait à lui, une vie de fuite et de combat face à un ennemi bien supérieur en homme et en matériel…
Les graines de la rébellion venaient d’être plantées.
Dernière édition par Matis Falkire le Ven 29 Mai 2015 - 20:33, édité 43 fois
Il le connait depuis presque une année maintenant, mais cela fait tellement longtemps par les temps qui courent. Avec tout ce qu’ils ont traversés ensemble il semblerait presque qu’ils se connaissent depuis une éternité. Ensemble ils forment une sorte de couple étrange, toujours fourré ensemble que ce soit dans la boisson ou les combats. C’est un être simple et gentil, qui n’attend pas forcement qu’on lui offre quelque chose. Il est bon est assidu à la tâche. C’est pour cela que Matis a tant confiance en lui, parce qu’il ne profite pas de sa situation pour faire souffrir les autres. Et en ce moment, c’est bien ce qu’il manque à l’Empire.
C’est un rebelle et, bien qu’il ne fasse plus partie de l’unité de Matis, il reste quand même là pour l’aider, le soutenir et prendre conseil. Comme tout est réciproque, l’Homme est fier de pouvoir le compter parmi ses intimes.
Il a trahit. C'est par ces quelques mots qu'on mit au courant le capitaine des actes de son amis et frère d'arme. Bien sûr il ne les avait pas cru, il avait douté de ce qu'on pouvait lui dire à son sujet. Et pourtant, il avait dû se faire une raison. Il avait bel et bien trahit. Tenter de tuer Korentin, même s'il n'était pas le plus grand de ses fans, c'était un acte de trahison des plus grave. Avait il pensé à la discussion qu'ils avaient tout deux partagés ? Sans doute, mais c'était lui qui avait arrêter Matis dans ses noires pensées, et aujourd'hui c'était lui qui menait à bien ce qu'ils avaient imaginé devoir faire ?
Il n'avait plus qu'une seule chose à faire. Lui mettre la main dessus et tout savoir à son sujet, et s'il avait bel et bien tourné sa veste alors... Alors tout prendrait fin une bonne fois pour toute.
De sa prison, Matis apprit qu’Alford avait rejoint les forces de Vraorg et qu’il était devenu une sorte de sous-fifre sanglant qui passait son temps à traquer les ennemis du régime. Il n’a pour l’instant aucune idée de la raison qui la poussé à rejoindre un tel monstre et ne sait pas s’il l’a fait de son plein grès. L’image du jeune homme débordant d’énergie et d’envie de liberté à terriblement changé au cours des quatre dernières années. Une chose est sûre, si Alford a rejoint Vraorg de son plein grès, Matis le tuerait de ses propres mains ou mourrait en essayant.
Esmelda Kohan, La Véritable Princesse
Il l’avait rencontré dans sa jeunesse lorsqu’il n’était encore que simple lieutenant à la cours du duc d’Elena. Déjà à l’époque la jeune princesse avait montré son comportement humaniste ainsi que sa façon de voir le monde. Il avait eu énormément de respect à son égard à cette époque et il avait gardé près de lui le cadeau qu’elle lui avait fait. Dans les moments les plus sombres et les plus mélancoliques de sa vie il serrait la pièce d’or qu’elle lui avait offerte en se disant qu’il y avait des gens qui comptait sur lui.
Aujourd’hui la jeune princesse est elle aussi une rebelle et se trouve à la cours de son cousin Korentin. Bien que princesse de naissance et vouée à occuper de grande responsabilité dans la rébellion, elle a choisi de se battre pour son peuple. C’est Matis qui lui a donné quelques cours de maniement de l’épée et qui assure sa sécurité quand il le peut. De par la même occasion il en apprit beaucoup sur elle, bien plus qu’il ne l’aurait souhaité mais cela ne fit que confirmer sa conviction. Esmelda devait vivre car elle incarnait le renouveau de l’Empire Humain.
Matis n’a aucune idée du devenir de la princesse sous la coupe de Vraorg, il espère juste qu’elle ne souffre pas trop du tyran.
Crissolorio Ostiz, La Voix de l’Ennemi
Quand il était jeune il avait rencontré cet homme droit et honorable dans les rues d’Elena. À l’époque il n’était qu’inspecteur des finances publiques, un simple fonctionnaire qui prenait à cœur son métier et qui faisait tout pour que tout un chacun respecte la loi. Bien que loin d’apprécier cet homme, Matis avait du respect pour lui et son travail. Mais tout changea lorsque Fabius monta sur le trône. Il devint, par des intrigues politiques et des choses plus ou moins honnête, un conseiller de l’Empereur Fabius. Il s’occupe désormais des intrigues d’état, de la propagande ainsi que du trésor impérial. Sacré promotion pour un être tel que lui.
Matis ne le déteste pas, il a du respect pour un homme qui arrive quand même à rester intègre, mais aujourd’hui c’est son ennemi et comme chacun de ses ennemis, il devra se rendre ou mourir. Surtout depuis qu’il aurait lâché des assassins contre lui. Maintenant que cela était fait, il ne lui reste plus qu’à s’en prendre à sa famille et ils seront quittes. Crissolorio est désormais une affaire personnelle de Matis, et si la rébellion souhaite sa mort, ce sera Matis et personne d’autre qui s’occupera de lui.
Le capitaine semble avoir entendu parler du nouveau poste d’Ostiz mais cela est bien flou. Et de toute manière, l’ensemble des propos qu’il avait entendu tenait plus de l’obscure rumeur qu’autre chose.
Althaïa Actaaë, L’âme Damnée
Tortionnaire de Matis durant la guerre vampirique elle s’est avérée être sans pitié, cruelle, inhumaine et tout ce que l’on pouvait dire de plus concernant une vampire qui prenait à cœur son métier de conseillère du Prince vampirique. Mais, après l’avoir traquée, détestée, haïe, voulue sa mort et prié les Esprits pour qu’elle souffre jusqu’à la fin des temps, il la retrouva. Sous une autre forme, mais c’était bien elle. Il mit le temps pour la reconnaitre, on peut même dire que c’est elle qui se déclara à lui, pourquoi d’ailleurs ? Que cherchait-elle à obtenir de lui en faisant cela ? Il ne le savait pas, mais beaucoup chose changèrent depuis cette nuit-là. Aujourd’hui encore il se demande comment cela avait pu se passer, et comment cela aurait pu en être autrement.
Elle n’avait pas cherché à le maltraiter, à le torturer ou à quoi que ce soit d’autre. Elle voulait parler. Elle voulait lui expliquer, elle voulait partager sa souffrance, sa peine et son histoire. Passé, présent et futur n’avait plus eu cour lors de cette soirée, comme si rien n’avait plus d’importance qu’elle. Mais pouvait il oublier tout ce qu’elle lui avait fait subir ?
Hyrriena Moledvina, La Vampire peu loquace
C’est par une froide nuit dans Gloria durant le siège de la cité que Matis la rencontra. C’était une vampire d’une agilité et d’une beauté sans commune mesure. Il n’avait pas voulu lui faire peur, l’inquiéter ou quoi que ce soit d’autre. Elle s’était montré à lui tel qu’elle était, elle n’avait presque pas cacher sa nature et lui-même avait été assez ouvert d’esprit en l’écoutant. Ils prirent tous deux un moment pour discuter, se parler de tout et de rien avant que leurs routes ne se séparent. Depuis lors il espère la revoir pour continuer cette discussion sans qu’ils puissent être dérangé par qui que ce soit.
Aaron Dessay, Le Garde Loyaliste
Le chef des gardes de l’Empire, un homme qui tenait plutôt le rôle de chien de guerre de Fabius premier du nom. Matis n’appréciait pas le personnage quand ils étaient dans le même camp, alors maintenant qu’ils sont ennemi il ne l’apprécie pas plus. Il ne connait pas le personnage dans le détail, il suppose même que bien peu en savent sur son compte. Il avait entendu parler de sa famille et s’y était intéressé histoire d’avoir un moyen de pression sur lui. Mais s’en prendre à sa famille s’était comme essayer d’attaquer Fabius de front, c’était impossible et suicidaire. Matis n’appréciera sans doute jamais l’homme, mais respecte le soldat car lui aussi défend ardemment une Kohan, c’est au moins une chose qu’ils ont en commun.
Autone Summer, La femme de sa vie
S’il y avait des gens qu’il ne s’attendait vraiment pas à rencontrer et à connaitre dans le détail, Autone en ferait sans doute partie. Tout ou presque les opposent, que ce soit de leur vie de tous les jours, leurs métiers ou leurs façons de voir le monde, et pourtant ils sont plus proche qu’ils ne peuvent ou ne veulent le supposer. C’est par une nuit froide, dans Gloria occupée, qu’il la rencontra et découvrit son métier. Il vit en elle une douceur et une gentillesse inestimable mais qui avait vécue des choses si horrible qu’elle en avait été changée, à jamais. Elle est néanmoins très vive d’esprit, assez ouverte aussi et surtout, surtout, elle possède un humour bien plus tranchant et vif que celui du capitaine. Quoi qu’il en dise, il voit en elle quelqu’un qu’il connait, même s’il ne veut pas faire de comparaison hâtive, il sait qu’il la voit ainsi. Elle est comme une petite sœur à protéger, mais une petite sœur qui est plus indépendante qu’aucune autre femme.
Si l’on avait dit à Matis qu’il finirait pas s’éprendre d’une fille durant la guerre jamais il ne l’aurait cru tant il se croyait immunisé à ce genre de chose. Et pourtant… Et pourtant il avait succombé au charme, à la répartie et à l’esprit de la jeune femme. Une nuit mémorable les avait tout deux liés à jamais et il espérait qu’il pouvait la protéger.
Néanmoins il n’avait su la protéger de la prison dans laquelle tous deux survivent depuis trois longues années. Mais ils finirent pas s’échapper de cette maudite prison qu’était MorneFlame, malheureusement ils durent se séparer par la force des choses.A ce jour Matis n’espère qu’une seule chose, que la jeune femme est toujours en vie et qu’elle a pu rejoindre les terres Rebelles en vie et en meilleure santé qu’elle n’avait quand elle quitta la prison.
Tout ce qu’il sait c’est qu’il l’aime, il l’aime comme il n’avait jamais aimé quelqu’un avant elle. Il ferait tout pour elle, espérant juste ne pas la faire souffrir.
Christan Weren, L’Alayien
Matis n’a passé que très peu de temps avec cet Alayien compulsif. Il représente tout ce que les Alayiens ont de mauvais et de méprisable, mais en plus de cela il est atrocement stupide et arrogant. Il ne sait pas quoi penser de lui si ce n’est qu’il souhaite le voir mort comme tout bon Alayien. A son sujet, il n’y a rien de plus à ajouter.
L’Alayien qu’il ne pouvait voir en peinture serait devenu un membre important de « l’armée » des esprits en prenant en charge les Alayiens. Il ne savait pas quoi penser. Il l’avait combattu à de nombreuses reprises, il connait et respecte les compétences martiales de Christan mais il ne peu se faire à son fanatisme religieux… Mais, après trois années de lutte contre Vraorg, peut être a il changé ? Matis savait qu’il ne serait pas capable de devenir ami avec cet homme, mais s’il arrivait à travailler avec lui se serait déjà un grand pas… Et il avait trop de soucis pour s’en ajouter de nouveau ou se créer de nous ennemis. Il fallait qu’il s’adapte.
Fabius Kohan, L’Empereur Illégitime.
Être méprisable. Empereur par le sang. Tyran par les actes et par le tempérament. Il est celui qu’il souhaite abattre depuis le premier jour où ses yeux ont croisés les siens lors de son couronnement. Oui il aurait dû y assurer la sécurité, mais qu’auraient bien pu penser les siens s’il avait fait comme cela ? Il aurait trahit tout ce pour quoi il s’était battu durant des années. Il se serait trahit lui-même ainsi que la mémoire de ses ancêtres. Il n’y a rien à accepter de lui ou à pardonner dans ses actes. Ce qui a été fait est fait et quoi que l’on dise on ne pourra pas revenir en arrière, il n’y a donc plus qu’une seule chose à faire. L’attraper, le juger, et mettre fin à ses jours.
Tout comme ses anciens ennemis, Fabius a rejoint les Esprits et semble être le responsable des Humains encore libre. Quand on sait que c’est en partie de sa faute que tout cela est arrivé…. Matis ne pourra jamais reconnaitre cet homme comme étant son Empereur, cette place était déjà prit par Korentin, il sait qu’il va devoir travailler sous ses ordres indirectement.. Il espère qu’une fois échappé, c’est Korentin qui prendra les commandes.
Havard Svenn, Le Patron
Un nordique à la poigne de fer, un homme juste et dur, un soldat dans l’âme et un politique de l’épée. Un homme comme Matis les aime, un homme comme il en faudrait plus dans la rébellion et l’Empire. Il a fait de Matis un soldat comblé en l’intégrant à ses unités mobiles de combat, il lui a confié une escouade de soldat, il lui a fait confiance pour mener le combat dans les rangs ennemis. Matis lui doit beaucoup, et il fera tout pour honorer cette confiance en combattant en son nom les ennemis de la rébellion. Oui il a un peu de mal avec le fait qu’il ne s’exprime pas beaucoup, qu’il ne semble pas beaucoup avoir d’humour mais cela n’est pas grave. Il y a bien pire dans la vie. Et puis comme il s’agit de son chef, il n’a pas besoin d’avoir de l’humour tant qu’il sait mener ses hommes sans être trop imbu de lui-même.
Le nordique a quitté la rébellion. Il l'avait appris des soldats qu'il lui avait lui même confié, et la tristesse et la rage c'était lut sur leurs visages. Qu'allaient ils devenir sans leur chef ? Et qu'allaient faire les nordiques maintenant que leur chef était parti rejoindre l'ennemi ? Le capitaine ne le savait pas mais continuerait de garder un oeil sur eux car il se doutait bien de ce qui l'avait fait quitter le navire. Et ce quelque chose avait un nom. Vampire.
Jack Leroy, L’Étrange Loyaliste
L’homme est étrange, honnêtement Matis ne sait pas quoi en penser. Il fait part d’une étonnante liberté de pensée et d’expression tout en étant partie prenante de la propagande de l’Empire. Alors que penser de lui ? Il semble être soldat de talent sans pour autant être exceptionnel, meneur d’homme sans pour autant être un officier vétéran. Alors que dire à son sujet ? C’est un homme sans doute sur le point de renier l’Empire et son Empereur à la première erreur de ce dernier. Alors est ce qu’un petit cours rapide sur « Comment l’Empire est partie en vrille ? » serait bon pour lui ? Cela reste encore à déterminer, mais ce serait déjà un bon début dans leur relation naissante. Quant à savoir ce qu’il allait faire de lui… ça c’est une autre histoire.
Kylian Wallam, L’Amant Vampirique
Il ne le connait pas depuis très longtemps et pour le coup il n’a pu lui parler qu’une seule et unique fois, au moment où il le retrouva en train d’entrainer Esmelda. Le vampire ne fut pas le plus ravis de la voir manier l’épée et qui plus est avec un autre homme. Il essaya de montrer sa puissance et sa jalousie mais cela ne changea rien. L’homme était d’une jalousie extrême et intense, il n’en restait pas moins quelqu’un de puissant et de sans doute pas trop stupide. Peut-être vaudrait-il mieux retourner aller le voir et prendre plus de temps pour apprendre à le connaitre. Il n’était pas question de se faire un nouvel ennemi vampirique. *
Tout comme son amante, Matis n’a aucune nouvelle du vampire. Il a seulement entendu des rumeurs le liant à la garde Sombre de Vraorg mais nul n’a jamais pu lui confirmer cela.
Luna Duruisseau, La drôle de Demoiselle
14 ans et déjà une sacrée jeune fille la Luna. Il ne savait pas quoi dire à son propos à part le fait qu’elle était tout ce que lui-même avait été à son âge. Téméraire, pas discret pour un sous et toujours prêt à discuter de tout et de rien. Elle est adorable et il lui a déjà sauvée la vie, il sait qu’elle lui saura toujours redevable mais il ne veut pas qu’il en soit ainsi. La jeune femme a encore beaucoup de chose à vivre dans sa vie sans pour autant penser à prendre soin d’un homme comme lui. De plus elle fait presque partie de la famille à Matis puisqu’elle est une très bonne amie à ses deux sœurs. Que dire de plus ? Luna sera rapatriée à Aigue Royale où Matis suivra son évolution et fera en sorte que tout ce passe bien dans sa vie.
Sa jeune protégée, une combattante en herbe qui aurait beaucoup à apprendre à bien des soldats. Matis n’a aucune nouvelle de la jeune femme qui a du bien grandir en trois ans, il espère juste qu’elle est encore en vie et qu’elle combat Vraorg. La connaissant, il sait que c’est ce qu’elle ferait, il espère juste pouvoir la revoir avant de mourir… Une motivation de plus pour rester en vie sans doute.
Maude Ebraïk, L’Étrange Alayienne
Maude est une jeune femme trouvée par les soldats de Matis dans une zone de désolation et de mort. Dans la forêt sombre, il y avait eu la mort et la désolation d’une grande bataille entre elfes et Alayiens, et il ne savait pas quoi penser d’elle au début. Mais rapidement elle lui expliqua être une Alayienne, pas n’importe quelle Alayienne, une ayant choisi de renier son armée et son ordre car elle pensait que cela était contraire à sa religion. Oui ce qu’il lui dit sur le coup ne fut pas très inspiré, mais tout de même, devait-il subir sa colère de la sorte ? Sans doute que oui car trop obtus qu’il était dans sa démarche, il n’avait su voir son histoire. Aujourd’hui il ne sait pas ce qu’il a pu advenir d’elle, tout ce qu’il espérait c’est qu’elle soit encore libre, et capable de vivre comme elle le souhaite.
Tobold Des mangroves, Le Sage
Tobold est un homme âgé mais doté d’une très grande sagesse. Matis ne le connait que peu car il n’a eu affaire à lui qu’une seule fois, mais il n’en reste pas moi que cette seule fois la beaucoup marqué. En même temps il n’eut aucun mal à se faire apprécier et accepter… Il garde de lui un souvenir appréciable de sa nature discrète et instruite, néanmoins il n’a pas pu rester très longtemps avec lui car leurs routes se sont séparées bien trop vite. Mais après tout, le monde est petit, et il espère pouvoir de nouveaux partager sa route avec lui.
Veren Sarjaa, La serveuse vampirique
Matis ne sait presque rien à son sujet, si ce n’est qu’elle est vampire se faisant passer pour une humaine faible et sans défense alors que c’est loin d’être le cas. Alors pourquoi fait-elle cela ? Pourquoi se cache-t-elle de lui et des autres sans se montrer sous son vrai jour ? De quoi avait-elle peur pour devoir agir ainsi ? Ou alors n’avait-elle aucun amour les humains et ne souhaitait-elle que leur destruction pure et simple… La situation était compliquée à comprendre si tant est qu’il puisse la comprendre un jour. Mais il souhaitait réellement pouvoir avoir la chance de lui parler de nouveau et d’éclaircir quelques points d’ombres la concernant.
Ambre Orétoile, la guérisseuse
Cette jeune femme est ce qui pourrait se rapprocher le plus d'une gente dame d'après l'expérience qu'il avait. Vue alors qu'il était au fond du trou, littéralement autant qu'en image, elle était resté près de lui pour le remettre sur pied. Victime d'une maladie qui ne portait pas de nom ni de séquelles physiques visibles, il avait dû passer du temps dans l'une des infirmeries d'Aigue. C'est en partie grâce à cela qu'il l'avait rencontré et qu'il avait pu discuter ouvertement avec elle. Hélas, il n'apprit que peu sur elle si ce n'était qu'elle était orpheline depuis des années. Les siens avaient été tués il y a des années, mais elle ne lui avait pas dit comment elle avait survécu seule dans ce monde de folie.
C'était là un mystère qu'il lui faudrait résoudre. Un de plus.
Korentin Kohan, le véritable Empereur des Hommes :
Un cousin de l’Empereur accusé d’avoir tué ce dernier. Un homme, soit disant traitre qui n’aurait mérité que la mort la plus horrible d’après le pouvoir en place. Et pourtant, Korentin était loin d’être tout cela, il était un meneur, quelqu’un qui avait du faire fi des défis pour construire quelque chose de grand. Il fait partie du groupe à l’Origine de la Rébellion et, même si le capitaine y avait participé il n’avait pas le même impact que Korentin Kohan.
Matis a combattu à ses côtés durant l’Aubre rouge et a continuer de le servir durant les trois années de prisons à MorneFlamme. Il n’avait pas été là tous les jours pour lui, mais il espérait que l’avoir aidé à s’enfuir allait pouvoir prouver à l’Empereur qu’il lui été resté fidèle. Korentin était l’espoir pour Matis de construire quelque chose de grand et de différent de l’Ancien Empire.
Aegnor , l’Empereur des Elfes:
Matis rencontra le seigneur Elfe durant un duel qu’il perdit dans la cité Rebelle d’Aigue Royale. Cela ne lui posa aucun problème de perdre contre un soldat aussi efficace et entrainé qui aurait pu le ridiculiser à plus d’une occasion.
A la suite de ce duel, il engagea la discussion avec l’Empereur des Elfes et fut étonné de la facilité avec laquelle ils pouvaient tout deux discuter. Il n’irait pas jusqu’à dire qu’ils partageaient les mêmes point de vue mais il n’était pas rare de leur trouver des points de concordance.
S’il y avait une rencontre importante à faire à Aigue s’eut été celle-ci.
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Dernière édition par Matis Falkire le Lun 21 Déc 2015 - 18:25, édité 18 fois
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Sujet: Re: Matis FALKIRE Mer 25 Déc 2013 - 17:25
Monture :
Destrier Noir (offert par Achroma) :
Max, car c'est son petit nom, a été parfaitement dressé pour la guerre et la bataille. Matis et lui se sont "rencontré " à l'issue d'une bataille et depuis ils servent ensemble l'Empire. Il y a une relation un peu spéciale entre le cheval et son cavalier, le premier étant fier et n'hésitant pas à mordre le second qui le prend toujours à la rigolade. Ils ont connus quelques batailles ensemble, ce qui a forgé entre eux une étrange relation de confiance. C'est cela que doivent vivre chevalier et monture de guerre. Matis en est fier de son canasson, en tout cas il l'aidera à protéger son Empire.
Equipements :
Selle Nordique Selle spéciale dont les habitants de Glacern se servent, elle est extrêmement confortable et adaptée pour les longs voyages et les randonnées en montagne autant qu'en combat.
Armure pour chevaux Pour protéger sa monture lors des batailles, mais c'est lourd !
Compagnon à plume :
Faucon de chasse
Magnifique oiseau aux plumes brunes plus souvent qu'autrement. Le faucon est dressé pour abattre le petit gibier, comme les lièvres, mais aussi les pigeons voyageurs qui passeraient trop près... Pratique pour intercepter un message ou se nourrir en foret. Si son maître est attaqué, l'oiseau utilisera ses serres acérées pour le défendre, quitte à en perdre la vie. Nécessite un gantelet en cuir au minimum afin qu'il puisse s'y poser.
Dernière édition par Matis Falkire le Jeu 1 Jan 2015 - 12:39, édité 1 fois
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Sujet: Re: Matis FALKIRE Sam 23 Aoû 2014 - 20:37
Pnjs
Odélie & Kyran Falkire
Spoiler:
Race : Humaine Nom : Falkire Prénom : Odélie & Kyran Age : moins d'un an Type de lien Enfants Alignement : Neutre
Histoire récente
Ses deux petits anges ou démons, à dire vrai il ne sait pas encore dans quelle catégorie les classer ces deux là. Ils n'ont pas encore une année et pourtant ils sont déjà un grand bouleversement dans la vie du jeune homme et de sa jeune épouse, une beauté dans un monde violent. De nouvelles responsabilités lui incombent désormais et il espère s'en sortir convenablement.
Andrei Falkire
Spoiler:
Décédé sous le règne de Vraorg Race : Humain Nom : Falkire Prénom : Andrei Age : 59 ans Type de lien Père Alignement : Neutre
Physique :
Andrei est un homme de haute stature et encore assez large d’épaule pour son âge. Des années de combat, d’entrainement et de commandement au sein de l’armée impériale on fait de cet homme un vétéran tant sur le plan physique que psychologique. Ses cheveux sont, depuis quelques années maintenant, parsemé de blanc et de gris de telle sorte que le noir originel de ceux-ci a presque disparu. Son visage dur et marqué de quelques cicatrices, ses yeux d’un vert profond lui permettent de faire passer beaucoup de ses idées sans prononcer le moindre mot.
Dans l’ensemble il est un homme de forte carrure, habillé de manière sobre mais toujours propre sur lui. Sa place au sein de la rébellion et avant cela, en tant que conseiller militaire du Duc d’Elena, l’on néanmoins forcé à prendre quelques codes de la noblesse à laquelle il appartient.
Caractère :
A la différence de son premier fils, Andrei est un homme d’une patience sans fin, mais il n’en est pas moins doux ou gentil avec ceux qui l’entourent. Il est quelqu’un de relativement dur, poussant les gens à donner le meilleur d’eux même en les forçant par la parole ou la force si nécessaire. Il n’a peut être jamais dû employer la force pour se faire respecter mais il n’hésiterait pas un seul instant à l’utiliser.
La mort de sa première épouse, la mère de ses deux premiers fils, l’a profondément marqué et fait souffrir quoi qu’il ait pu laisser paraitre. Son ainé pense sans doute que cela n’a rien changé pour lui puisqu’il changea presque aussitôt d’épouse pour en prendre une plus jeune, mais ce n’était pas le cas. Hélas, et comme il n’est pas connu pour sa douceur, il n’en a jamais parlé avec ses enfants. Voila peut être une chose que l’homme regrette. Malgré tout cela, il n’en reste pas moins un père aimant pour ses filles et son second fils ainsi qu’un mari attentionné pour sa nouvelle épouse. La relation qu’il entretient avec Matis reste quand même compliqué pour la simple et bonne raison qu’il attend de son fils qu’il se donne tout entier à la cause.
Le devoir avant la famille. C’est ainsi que l’homme voit la vie.
Histoire récente
Peut de temps après le couronnement de Fabius Kohan et la paix signée avec les Alayiens, Andrei à enjoint le duc d’Elena de faire quelque chose contre l’Empereur, mais il ne le suivit pas. Du moins pas au début. L’homme n’avait néanmoins pas de temps à perdre vu l’action menée par son fils, il se mit donc en route vers les villes du nord avec l’ami de toujours de Matis ainsi que sa propre famille. Une fois là-bas, l’homme essaya de faire ce qu’il pouvait pour la rébellion et pour celui qu’il considérait comme l’Empereur légitime, Korentin. C’est ainsi qu’il finit par partir pour Aigue avec ses deux filles, ses assistants et sa femme.
Après un long et dangereux périple, il continua d’œuvrer pour la rébellion et rejoignit le conseil de l’Empereur. Pour l’instant sa place n’est encore que provisoire mais il fait en sorte d’être important au sein de la rébellion, surtout depuis qu’il a apprit la mort de la fille du Duc d’Elena ainsi que la capture de celui-ci.
Thomas Andersi
Spoiler:
Race : Humain Nom : Andersi Prénom : Thomas Age : 36 ans Type de lien Capitaine / Meilleur ami Alignement : Bénéfique
Physique :
Thomas est un homme de taille moyenne et complètement roux de cheveux. Il ne porte pas, comme son ami, une longue crinière mais plutôt une coupe courte qu’il aime tenir propre et d’une certaine longueur. Son corps musclé est encore épargné par les cicatrices de la guerre même s’il combat depuis des années. Par chance, il possède aussi une constitution assez exceptionnelle qui lui permet une grande forme physique. Il est donc très athlétique et entretient sa forme de toutes les façons possibles et imaginable. Dans le civil, Thomas aime beaucoup se parer de lourdes et riches étoffes de tissus. Il ne donne pas dans la sobriété car il pense devoir profiter au maximum de sa vie.
Caractère :
Il est calme, posé, serein et toujours présent pour aider et assister ses amis et ses subordonnés. Il a une attitude, avec ces derniers, très paternaliste surtout depuis qu’il est père d’une petite fille. Dans l’ensemble il n’hésite pas à se lancer dans la bataille même s’il pense devoir rester en vie pour s’occuper des siens et leur éviter de souffrir pour rien. Il n’en reste pas moins un grand combattant qui ne rechigne pas à faire le travail et à mener à bien tout ce qu’on lui demande de faire.
Sa vie a pris un tournant au moment où il s’est engagé à suivre Matis dans son combat, il savait qu’il mettait en danger sa jeune épouse et son enfant encore à naitre. Mais il savait aussi que s’il ne faisait rien, son enfant naitrait dans un monde totalement différent de celui que lui-même avait connu. Pour son futur et celui des siens il ne pouvait pas rester sur le côté à ne rien faire.
Histoire récente
Présent lors du couronnement de Fabius Kohan, Thomas suivi Matis dans la voie de la rébellion et de la guerre. Il ne s’attendait sans doute pas à la fuite qui suivi ainsi qu’à tout ce qui suivi, mais une fois à Aigue Royale, il prit le commandement d’une unité de rebelle et fut envoyé non loin d’Elena. Promu Capitaine, il se sépara pour la première fois de son ami et ancien supérieur.
Aujourd’hui il se bat dans le nord de l’Empire en espérant que sa femme et sa petite fille sont en sécurités à Aigue Royale.
Après avoir combattu Fabius et son Empire, le capitaine Andersi à poursuivit le combat de son ami en suivant Korentin Kohan et les protégés. Gravement blessé après une bataille il passa le reste de la guerre à former les nouvelles recrues et devint un capitaine respecté pour ses convictions et son potentiel formateur.
Aujourd'hui, alors que la guerre à trouvée son terme, l'homme essaye de reprendre gout à la vie avec sa femme et ses deux enfants. Il poursuit son combat auprès de Matis et de Korentin Kohan mais il n'est plus capable de poursuivre la guerre, il doit se contenter de la formation de nouveaux officiers. L'envie de reprendre l'épée et de retrouver le front est toujours présent, mais la guerre étant fini il espère connaitre un peu de paix. Comme de nombreux autres il a connu la guerre pour toute une vie, voire même plus.
Julia Gaunt
Spoiler:
Race : Humaine Nom : Gaunt Prénom : Julia Age : 25 ans Type de lien Lieutenant aide de camp Alignement : neutre tendance bénéfique
Physique :
Julia est une jeune et très jolie jeune femme. Ses cheveux, d’un blond fin et dorés son coiffés en chignon pour lui permettre de les garder dans leur longueur et pouvoir en profiter lorsqu’elle ne combat pas. Son physique général est assez sec, grande et quelque peu musclée elle fait beaucoup d’émule auprès de ses frères d’armes ; chose qui a tendance à agacer les autres femmes de son unité. Son visage semble doux au premier abord même s’il est rarement couvert d’un sourire, et le bleu profond de ses yeux en a perturbé plus d’un.
Comme elle est soldat depuis peu de temps, elle n’est pas encore « marquée » par la guerre. Aucune cicatrice n’est présente sur son corps et la situation qu’elle avait dans son ancienne vie fait qu’elle n’avait pas à travailler les champs. Du coup son corps a été, pour le moment, épargné des affres de la vie. Elle n’en reste pas moins tatouée, comme une grande partie de son unité. Son tatouage, fait à l’encre bleu et noir, est présent sur l’intégralité de son bras gauche. Là où son supérieur fait dans la provocation avec ses tatouages, elle préfère orner sa peau d’une véritable œuvre d’art.
Caractère :
Depuis sa mésaventure avec des Alayiens et le fait qu’ils aient tués l’intégralité de sa famille tout en la violant, la jeune femme n’est plus la même. Jadis elle n’est que douceur et gentillesse, mais aujourd’hui elle ne vit plus que pour venger sa famille et tuer tous les Alayiens qu’elle pourrait croiser. Par la même, elle a beaucoup de mal à faire confiance aux hommes, et répond à toutes les avances par des menaces, il lui arrive même de s’en prendre physiquement à eux. La haine qui l’habite est encore très présente, malgré le fait qu’elle en parle à ses amis.
Son capitaine, qui l’a sauvée d’un sort funeste aux mains des Alayiens, représente beaucoup pour elle. Il est en quelque sorte le grand frère qu’elle n’a jamais eu et représente pour elle tout ce qui reste de sa famille. Elle ferait n’importe quoi pour lui et lui est à jamais reconnaissante de l’avoir accepté et pris sous aile. Néanmoins elle n’en reste pas moins vigilante et ne le laisse jamais seul plus de quelques heures. Comme si elle avait peur qu’on ne lui enlève ce nouveau membre de sa famille à présent décimée.
Histoire récente
Peu de temps après que Fabius Kohan monta sur le trône, la jeune femme et sa famille quittèrent Gloria avec tout ce qu’ils avaient pu emmener. Malheureusement pour eux ils tombèrent dans un piège des Alayiens et ceux-ci mirent un point d’honneur à détruire les « infidèles » et à piller tout ce qui pouvait l’être. Après des heures de torture et de vice, alors que la jeune femme n’attendait plus que mourir comme le reste de sa famille, elle vit débarquer plus d’une centaine de soldat impériaux. De douleur, elle s’évanouie sans réellement comprendre ce qui lui arrivait.
A son réveil, elle se trouvait dans un lit de camp, sous une tente et entre les mains d’un homme âgé qui s’occupait d’elle. Derrière lui se trouvait un homme, un home qu’elle avait vu mener la charge contre les Alayiens. Ce fut plus fort qu’elle, elle voulu remercier l’homme qui l’avait sauvée, mais elle lui en voulait aussi pour ne pas être intervenu plus tôt et sauver sa famille. Néanmoins, quelques temps après elle se mit à son service et il la prit sous son aile.
Depuis lors elle le suit dans toutes ses aventures et ne le laisse pas la quitter plus de quelques heures. Même lorsque celui-ci essaya de la dissuader de le suivre avec la princesse Esmelda.
Maintenant la guerre contre Vaorg terminée, la jeune femme aide Matis de son mieux et essaye de reprendre le goût de la vie même si elle doit côtoyer ceux qu'elle combattit avec tant de rage et de haine. Matis la suit de près et fait tout pour qu'elle évite de sombrer à nouveaux dans les affres de la haine mais le combat est loin d'être simple par moment.
Satie Falkire
Spoiler:
Race : Humaine Nom : Falkire Prénom : Satie Age : 21 ans Type de lien Sœur Alignement : Bénéfique
Physique :
Grande, élancée, physique avantageux et une longue crinière blond. S’il ne fallait que quelques mots pour décrire la première des deux jumelles, ce serait ces mots là, mais bien sûr, une description ne se limite pas à ces quelques mots. Ses yeux sont verts et son visage est toujours ouvert sur les autres en un sourire ou une malice.
Habillée par sa mère et ses dames de cours, elle porte souvent de belles robes ou de beaux bijoux, mais ce qu’elle préfère c’est la simplicité des tenues de la ville. Hélas, et de par la position que veux prendre sa mère, elle ne peut faire cela.
Caractère :
Ouverte sur les autres, elle chercher souvent à comprendre la douleur des gens et essayer de l’apaiser. Elle a aussi hérité de la fouge de son père, sa volonté de partir à l’aventure et de toujours se battre pour sa liberté. Bien sûr, rien n’est jamais simple et elle doit se battre contre l’avis de sa mère tout en faisant ce qu’il faut pour ne pas la faire souffrir. Alors parfois elle préfère que sa mère ait le dernier mot plutôt que de l’affronté de front. Mais, contrairement à sa mère qui cherche à la « placer » avec un bon parti, elle a trouvé l’amour en la personne d’un fils de forgeront. Et ce n’est qu’avec le support de son grand frère qu’elle a pu poursuivre son histoire. Son frère, il représente beaucoup pour elle car il la protège, la soutien et est toujours présent pour elle depuis des années. Aujourd’hui qu’il vit une vie compliqué elle fait en sorte de l’aider à aller de l’avant et fait ce qu’elle peut pour l’aider à vivre une meilleure vie.
Histoire récente
La jeune femme, comme sa sœur et sa mère, a suivi son père entre le nord de l’Empire et Aigue Royale. C’est d’ailleurs dans cette ville qu’elle rencontra Luna qui est maintenant pour elle une amie très proche avec qui elle fait les quatre cents coups.
Mère depuis quelques années déjà la jeune femme travaille main dans la main avec son mari qui reprit le commerce de forgeron que tenait son père avant la guerre. Aujourd'hui elle tente de mettre sur pied une organisation commerciale conséquente et il lui arrive souvent de travailler avec Autone et la guilde des marchands dont elle fait partie.
Yolande Falkire
Spoiler:
Race : Humaine Nom : Falkie Prénom : Yolande Age : 21 ans Type de lien Soeur Alignement : Neutre tendance Bénéfique
Physique :
Copie conforme de sa sœur jumelle, Yolande est une jeune fille de seize ans grande et élancée aux longs cheveux blonds. Son visage est peut être moins ouvert ou gentil que celui de sa sœur, elle n’en reste pas moins une jolie jeune femme qui attire beaucoup de regard sur elle.
Caractère :
Son caractère, contrairement à celui de sa sœur, est un peu plus proche de celui de sa mère, mais à peine. Elle a comprit qu’il lui faudrait trouver un mari important pour pouvoir changer les choses dans ce monde, mais cela ne l’empêche pas de vivre sa vie de la façon dont elle l’entend. Elle n’est pas femme facile à dompter et n’hésite jamais à dire ce qu’elle pense au fond d’elle, même si cela va blesser certaines personnes.
Elle est très proche de son frère ainé qu’elle considère un peu comme son protecteur ou un second père quand celui-ci n’est pas là. Elle compte aussi beaucoup sur lui pour qu’il l’aide à lui trouver un mari et non pas suivre sa mère dans ses lubies de princesse. Elle est très réaliste sur son futur et sur ce qu’elle devra faire pour que le nom de sa famille reste important. Si Satie est encore une enfant sur certain point, Yolande ne l’est plus et essaye de prendre son destin en main.
Histoire récente
La jeune femme, comme sa sœur et sa mère, a suivi son père entre le nord de l’Empire et Aigue Royale. C’est d’ailleurs dans cette ville qu’elle rencontra Luna qui est maintenant pour elle une amie très proche avec qui elle fait les quatre cents coups.
Malgré tout ce que Matis aurait pu lui dire ou lui faire comprendre, la jeune femme refusa la moindre aide concernant son avenir. Qu'elle ne fut pas sa surprise de savoir que la jeune femme avait rejoint l'armée sans qu'il le sache. Mais, maintenant qu'il est au courant il ne peut s’empêcher de garder un œil sur sa jeune sœur histoire d'éviter qu'il ne lui arrive le moindre problème. Heureusement pour lui, elle n'y ait pas en tant que soldat, mais bel et bien en tant que médecin en formation. Un bel avenir s'ouvre à elle.
Julia Falkire
Spoiler:
Décédée sous le règne de Vraorg Race : Humaine Nom : Falkire Prénom : Julia Age : 33 ans Type de lien Belle-mère Alignement : Neutre
Physique :
Julia est une belle femme de taille sommes toutes normale. Ses long cheveux roux encadrent un visage poudré et maquillé de manière a toujours la mettre en valeur, ses yeux marron sont aussi un moyen d’attirer l’attention puisqu’elle n’hésite jamais à s’en servir. Elle fait en sorte d’user de son physique avantageux pour arriver à ses fins dans le domaine politique. Ses robes d’une grande finesse et beauté sont là pour montrer l’importance et les moyens de son mari tout autant que pour combler son narcissisme.
Caractère :
Psychologiquement parlant, venant d’une famille pauvre de Gloria, elle a tout fait pour combler ce qu’elle n’a jamais pu avoir à l’âge de ses filles. Depuis son mariage avec Andrei elle joue une sorte de double jeu, essayant d’être une mère parfaite, une épouse comblée et une politicienne aguerrie. C’est à cause de ce dernier point qu’elle essaye d’user de ses filles et de son beau fils comme d’une monnaie d’échange pour acquérir du pouvoir. Ne vous y trompez pas, elle aime son mari ainsi que ses filles, nettement moins son beau fils, mais elle veut faire en sorte que ses filles ne connaissent jamais la misère de la rue.
Ce qu’elle veut par-dessus tout c’est gagner en influence au près de l’Empereur Korentin et essayer de gagner du pouvoir. Pour elle d’abord, mais aussi et surtout pour son mari. Elle aspire à bien plus que la vie de femme de conseiller militaire. Pourquoi pas duchesse lorsque son mari aura participé à la libération de l’Empire ?
Histoire récente
La jeune femme a suivi son mari lorsqu’il quitta Elena et les emmena, ses filles et elle, à Aigue Royale. Depuis cet instant elle ne cessa de se faire bien voir de la cours impériale rebelle et d’essayer d’en faire partie. Chose qu’elle parvint à obtenir au bout de quelques temps, le poste de son mari l’aida en ce sens. Et depuis cet instant elle essaye tout ce qui est possible pour avoir une plus grande responsabilité et se faire bien voir de l’Empereur légitime.
Raphaël Falkire
Spoiler:
NB : Personnage disponible pour utilisation par un joueur, voir avec moi pour son utilisation
Race : Alayien Nom : Falkire Prénom : Raphaël Age : 30 ans Type de lien Frère Alignement : Maléfique
Physique :
Grand et robuste comme son père, regard vif et esprit perçant comme sa mère, Raphaël est un homme de stature qui en impose par sa seule présence, et ce, d’autant plus depuis sa conversion. Avant il était marchand, mais ça c’était avant comme dirait l’autre, aujourd’hui il était sous-officier de l’ordre d’Obsidienne, farouche combattant de l’Unique et cela se voyait au premier regard. Là où son frère s’était fait tatouer des provocations morbides, lui laissait la marque du Néant prendre place en son cœur et sur sa chair. C’est d’ailleurs une des principales raisons, avec ses capacités, qui ont fait de lui un soldat Alayiens. Un parfait converti comme dirait beaucoup.
Il possède des yeux bleus d’une profondeur océanique mais le regard qu’il sert est loin, très loin d’être doux comme avait pu l’être celui de sa mère. Son visage est carré et marqué par les cicatrices tout autant que par la marque de l’Unique. De cours cheveux noir sur la tête finissent de le différencier totalement de son frère. Car il ne veut plus jamais être comparé à lui, l’infidèle et l’hérétique.
Caractère :
Depuis sa conversion il est devenu un parfait fanatique de sa cause, l’Unique est la chose à laquelle il pense en se levant le matin et en se couchant le soir. Il fait tout pour se faire accepter par les Alayiens à sang pur, et pour cela il est près à tout. Absolument tout. Dès lors il s’est engagé dans la traque des propres membres de sa famille, père, sœurs, belle-mère et surtout son propre frère dont il a promit la tête à son supérieur. Pour lui, ils ne sont que les reliquats d’une vie dont il ne veut plus entendre parler et à laquelle il compte mettre fin avec l’élimination pure et simple de ces hérétiques.
Histoire récente
Après sa capture au tout début de l’invasion Alayienne il se fit convertir au culte du néant. Depuis lors il sert l’armée en tant que converti et gagne peu à peu du galon pour attendre son but, éliminer les derniers membres de sa famille. La chasse et la traque qu’il donne aux rebelles, vampires et autres hérétiques n’est qu’un moyen pour lui de monter en puissance au sein de l’armée Alayienne.
Aujourd'hui il suit les ordres de Weren, un Alayien brutal qui fait partie de la même armée que Matis. Heureusement pour lui, ils ne sont pas du même rang et ne se croisent jamais. De toute manière, l'homme n'est plus un Falkire et il peut bien mourir seul dans une flaque que cela ne lui ferait ni chaud ni froid.
Dernière édition par Matis Falkire le Mar 22 Déc 2015 - 19:10, édité 2 fois
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Sujet: Re: Matis FALKIRE Dim 5 Oct 2014 - 9:45
La Magie
Puissance innée : Faible Niveau magique : Correct
Sort de mage en cours de maitrise
Type Défensif :
Délivrance, Très faible, Pas de geste clé, il s'agit d'utiliser la force de son esprit pour annuler l'immobilisation de l'adversaire.
Type Offensif :
Lumière vive, Très faible, Paume ouverte vers l'adversaire avec pouce rentré
Type Contrôle
Flammèche, Très faible, Porter la main en question devant son visage (pas trop près évidemment), les doigts bien écartés les uns des autres.
Télékinésie, faible, Paume vers le haut tendre la main vers l'objet Type Soin
Type Autre
Fendoir, correct, Frapper sa lame sur le sol en concentrant son énergie à l'intérieur
image emprunté à Armanda, partie Livre de magie Humaine
Dernière édition par Matis Falkire le Jeu 23 Oct 2014 - 18:50, édité 1 fois
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Invité
Sujet: Re: Matis FALKIRE Ven 29 Mai 2015 - 20:36
Note de mise à jour
Mise à jour en cours avec le bond ! A bientôt pour de nouvelle aventure !
Dernière édition par Matis Falkire le Lun 21 Déc 2015 - 18:24, édité 1 fois
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Invité
Sujet: Re: Matis FALKIRE Ven 11 Sep 2015 - 19:47
Caractéristiques (MAJ) :
Physique :
Force physique : Très bon Agilité : Moyen Furtivité : Catastrophique Réflexes : Bon Endurance : Très bon Résistance : Bon Beauté : Moyen
Mental :
Force mentale : Grand Maître (Avec collier Chaine de l'esprit) Patience/self contrôle : Très faible Perception : Faible Intelligence : Bon Arrogance : Catastrophique Gentillesse : Très bon Prestance/charisme : Très Bon Mémoire : Moyen
Combat :
Epée : Très bon Dague doubles ou simple : Très faible Poignard : Très faible Lance : Très faible Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Moyen Hache : Moyen Faux : Aucun niveau Fouet : Aucun niveau Art du lancé (poignard, petite hache...) : Moyen Art de la parade (bouclier ou arme) : Bon Arc : Très faible Arbalète : Aucun niveau Mains nues/pugilat : Bon Equitation : Bon