Douze heures, douze heures que les soldats de l’école interarmes des sous officiers cuisaient à petit feux sous le soleil d’été, ce jour anniversaire de l’Impératrice. Il y avait eut au levé de soleil le rassemblement des cinq unités sur l’immense terrain de manouvre, unités constitue de l’unité des soldats de l’école avec leur uniformes uniforme et des quatre unités constituées des élèves venant de toutes les différentes régions de l’empire Elfique. Et la ce n’était plus qu’un chaos indescriptible de couleur et de forme. Chaque homme portant l’uniforme d’appart de son corps. Il y avait eut la longue inspection des hommes, avant le grand défilé, ou une foule elfienne se rassemblait, venant de toute la région pour profiter de ce spectacle réputer.

Enfin lorsque le soleil fut au plus haut, le défilé put commencer, au sont des trompettes et des tambours de guerres. Il n’y avait pas une grand distance à effectué, mais même pour un elfe l’épreuve est difficile, le temps d’attente, la déshydratation la chaleur du soleil et le faite de porter un uniforme flamboyant mais chaud, faisait tombé des soldats comme des mouches. Les Elfes qui tombaient étaient aussitôt évacuer en brancards. Les rangs avançaient majestueusement dans une présentation impeccable. Comme armement, ils leur avaient été donner la lance d’apparat avec le fanions de leur école respectives. Arrivé devant la tribune impériale, la ligne tournait d'un quart de tour, en signe de respects de la personne président la parade à la place de l’impératrice. Ce jour c'était le "Lord Maire de la City"*

Le Caporal lahére Gwïngwën était heureux de ne porter que son uniforme d’apparats des Rôdeurs. Comparée aux autres il était simple et composé de cinq nuances de vert qui mettait en valeur ses yeux verts. Comparer avec ceux des unités de la garde ou des grands régiments impériaux, avec leurs plumes, de toutes les couleurs, son uniforme paraissait fade et terme, mais il était pratique et frais à porter. De plus le petit système discret qui permettait de pouvoir boire par simple aspiration, était le bien venu, Il était normal pour un Rôdeur de rester statique pendant des heures en observation. Mais quelle idée pour l’Impératrice d’être né en été.

L’épreuve passé, à un ordre donné les Elfes se disloquaient pour rejoindre leur différents bâtiments.
" - Tu te pousses le Plouc……. !, ou tu prends racines. "

* Lors de mon service militaire à Berlin j'ai été réquisitionner comme beaucoup d'appelés pour remplir le stade olympique de cette ville, à l'occasion de l’anniversaire de la Reine d’Angleterre ce que je raconte ci dessus, et une adaptation pour le monde d'Armanda de ce que j'ai pu voir ce jour là.

L’Elfe se retourne, et il voit une dizaine d’elfes de sa promotion, dans des uniformes chamarrés de différente unité prestigieuse, tous enfants de grands personnages du royaume. Lahére fait deux pas en arrière, il ne faut pas céder à la provocation. Il laisse passer la délégation, la tète un peux basse. Mais que faire contre dix !

Dans trois heures, le soldat, doit être présent avec son paquetage pour la grande épreuve de course d’orientation en solitaire, un grand moment, plus de trois cent kilomètres sur cinq jours dans l’immense foret protégé magiquement au milieu du royaume. Cela fait longtemps que Lahere à compris, vu les note obtenue jusque là, qu’il ne passera pas Sergent pour cette session, mais c’est normal vu que le tôt de réussite est de neuf pour cent, pour une première fois. Il se fait une raison, comme il a le droit de passer l’épreuve tous les vingt deux ans, il finira bien par le décrocher ce galon. Pendant qu’il range dans sa chambré l’uniforme de parade et prépare son sac et ses armes, le Caporal songe aux multiples brimades que lui et d’autre Elfes subissent, heureusement la hiérarchie interviens pour faire en sorte que cela ne dégénère pas. En temps que Rôdeur il devrait récupérer des points, mais l’épreuve est difficile, on est lâché seule dans un endroit inconnue, avec un lieu de rendez vous. Apres il faut compter sur les dénivellations et les obstacles qui peuvent doubler la distance et tripler la fatigue : crevasse, rivière, escarpement, lac…..Gwïngwën dans une cour a aperçu des wagons, ce sont de grands chariots bâchés, tirés par des chevaux. Notre Elfe à compté vingt deux véhicule ou ils seront au moins douze. Cela fera, deux cent cinquante elfe lâchés dans la nature, il sait qu’il y aura de tout dans cette épreuve, organisé deux fois par ans, il n’y aura pas que des elfes de sa promotions, mais des personnes qui l’ont déjà passés plusieurs fois. Il faut être près et avoir son matériel complet et en bonne état, car tout peux servir. Mais l’une des rares choses l’être aux oreilles pointu ne sait pas, c’est comment cette épreuve est noté, il y a depuis toujours un mystère que flotte. Son Sac prêt il part aux magasins de l’intendance prendre deux paquets de rations supplémentaires, comme ils ont tous droit.
Le soldat magasinier lui donne ses deux rations et lui en propose d’autre, en lui disant qu’ils sont peut à venir en prendre, préfèrant la nourriture envoyé, par colis de leurs familles. Notre Elfe accepte de bonne grâce. La nourriture en plus, c’est du temps a perdre en moins à la chercher.

Après avoir remplit sa gourde d’eau, le Caporal Gwïngwën se dirige vers la cour pour le rassemblement. Pour le moment il y a peut de monde mais l’ Adjudant Tëe Frëes de l’école Militaire est déjà là pour noter les présent et indiquer le wagon qu’il faut prendre. Cette formalité effectué, Lahére trouve son véhicule et s’installe avec son sac au fond. De toute façon il ne sert à rien de rester prés de la porte, puisque le voyage se fait bâche fermé. Autant dormir au fond. Il y a un Caporal du génie, cela se voit à son herminette de combat. Sa tenus de travail de couleur marron n’est pas de première jeunesse comme son propriétaire. Notre elfe ne l’a jamais vue, et discute deux minutes avec lui. Il est là pour repasser des épreuves. Mais il est visiblement fatigué du défilé du matin. Il ne souhaite qu’une chose dormir. Peut a peut le wagon se remplit, La belle Gwenlgöuine dans sa tenue d'infirmière, avec son nom calligraphié bien en évidence,s’installe à coté de Tobold et s’endort aussitôt. A ce moment là, la porte en toile claque et six homme des Impériaux dans leurs uniforme jaune canaris à liseré rouge , pénètrent bruyamment, en disant. « Debout les bouseux , poussez vous dans le fond, il nous faut de la place » Gwenlgöuine, grommelle, "Il sont passés, les six jours de préparations et la journée du défilé à l'infirmerie, et je les retrouve là!..." le véhicule est complet et bientôt il part cahin-caha. Dans la partie arrière c'est la fête, pendant de dans la partie avant on essaye de se reposer. Il faut l'intervention de Tëe Frëes pour calmer les fêtards. Le voyage est long, très long presque douze heures, quand le rideau le véhicule s’arrête, que le rideau se lève et qu'un nom claque. Un Elfe se lève sort puis le wagon redémarre. A partir de se moment là de quart d'heure en quart d'heur, il y a un départ.
Il ne sont plus que trois quand on l’appelle, il quitte le wagon, et regarde ou il est, L'adjudant Tëe Frëes, lui donne un azimute et un nom. Le nom est : Camp provisoire Terendul. Le véhicule démarre pendant que le Sergent détermine sa route.

Le wagon disparaît, le Caporal est seul. au bord d'une route sinueuse border des deux cotés par une foret. Il n'a pas le choix. l'azimute lui donne une direction droit dans la foret, trois cent kilomètres à courire, cela ne lui fait pas peur. Ce qui l’inquiète ce sont les gros nuages légèrement très menaçant et le faite qu'il en ai pour que quelque heures de jours. Lahére équilibre son paquetage puis se met à courrier, aux petit trop, il faut avancer régulièrement ne pas se fatiguer inutilement et ne pas se perdre. En quelque pas il franchit la lisière et s'enfonce dans un sous bois encombré de ronces.

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Il pourrait courir plus vite, mais la foret est sombres et il y a des pièges, comme lorsqu'il il a faillit tomber dans un ru. Kilomètre après kilomètre, le chemin se fait escarper, il faut monter pour aussitôt redescendre et pas un chemin ne s'offre dans la bonne direction. La nuit et l'orage arrivent en même temps et c'est un déluge terrible. Le problème c'est qu'il n'y a aucun abris, se réfugier sous un arbre ne sert à rien, tellement l'eau s'infiltre partout, Lahére choisit de continuer de courir. La pluie tombe en bruine. Une chose lui mais du baume au cœur, c'est que les autres subissent la même épreuve. Un éclaire lui sauve la vie, alors qu'il s'engage sur un terrain surplombant un précipice. Prudemment il avance dans une descente chaotique au milieux d'un enfer, un lieu ou des rochers sont empilés les uns sur les autres. Toujours pas d’endroit sec pour se reposer. C'est au sommet d'une bute qu'il voit une lumière blanche blafarde. Gwïngwën n’hésite pas et prend le cape de la lumière. A peine dix minutes plus tard il s'aperçoit qu'il est sur une route, et fini il par atteindre un mur protégé magiquement. Qui dit mur dit porte pense le Caporal. Il suit donc le mur et finie par arriver à une port monumentale marqué camp de l'intendance n°7 "Général Serillëiel, fermé! Il fini par trouver une petite poterne discrète qui elle est ouverte. Lahére s’engouffre dans le passage et se retrouve dans la cour de bâtiments militaires. Il n'y a personne. Il s’approche des bâtiments, ce sont des granges des entrepôts, mais toutes les portes sont fermées, et il n'y a pas de fenêtre. La pluie redouble. L'espace est lugubre avec ces étranges lumières pale. De plus il est perdu dans le dédale des constructions. C'est a ce moment qu'il distingue un wagon bâché. Le Sergent s'approche et soulève la toile d'entée, malgré la faible lumière, il perçoit un intérieur encombré de ballots, mais sec. Il rentre dans le wagon et trouve un endroit sec et confortable. Après avoir légèrement mangé il se déshabille et il s’endort dans sa couverture comme un bienheureux. Dehors c'est la tempête qui reprend. La pluie tambourine sur la toile du véhicule.

Il est très fatigué par des conditions de l'épreuve. Dormir au sec quand il y a la tempête au dehors, est un bonheur. Il rêve de l'infirmière Gwenlgöuine fasant un grand sourire resplendissant, elle est effacée par Elouwïne Tiredaile, la belle apparaît aux milieu d'une mer d'arbre, dans un silence reposant environné de soleil. La couleur de la foret se change progressivement en bleu, et le rêve du Rôdeur se transforme. Il est maintenant sur un bateau, le roulis le berce, il y a un rayon de soleil qui, qui le ......... gène?
Gwïngwën ouvre les yeux il est toujours dans le wagon qui roule en cahotant., il soulève l’ouverture en toile, et il voit avec effroi qu'il est sur une route inondée de soleil. En quelques minutes il range ses affaires, vérifie qu'il à bien tous. A ce moment le véhicule ralentie, et le Caporal en profite pour sauter.....
Mais cela va vite et notre Elfe doit se réceptionné par un roulé boulé qui le propulse dans les fourrés. Le temps de se relever, le wagon disparaît dans un virage.....
"Par les moustaches du vieux, Nounours" hurle t'il de désespoir. Il est sur une route desserte, au milieu des bois, au milieux de nul part. Au soleil qui l'inonde il est 11:00, mais plus graves il ne sait pas ou il est, il ne peut que marcher vers le nord, le véhicule filant plein sud. Il faut trouver des renseignement.
Bon cela pourrait être plus grave. Le sol est encore mouillé et il voit que cette route n'est pas fréquenté, car les seules trace qu'il distingue sont celle du wagon et de ses animaux de traits. il prend son sac à dos et s’apprête à partir, quand il voit, un petit panneau, fixé à un arbre. Il est marqué "le Port". Il y a peut être plus de monde. D'un bon pas il part par un petit sentier qui très vite se met à descendre........

La descente est raide au milieu des arbres, mais elle ne dur qu'un quart d'heur. Lahére aperçoit entres les arbres, les reflets argentés d'un court d'eau brillant au soleil. il débouche sur une route. En face de lui il y a une auberge, avec une terrasse et un débarcadère. C'est réellement bucolique. Assit à une terrasse un Elfe en blanc qui prend une collation, pas très frugal. Notre Elfe se dirige vers lui. "Tient, notre bonne vielle armée Elfique en goguette..." dit l'Elfe en faisant signe de s'asseoir. "Vous prendrez bien quelque chose?" Lahére s'assoit devant un petit déjeuné copieux. "Avez vous besoin de quelques chose?" Alors le Caporal raconte toute son histoire. Au fur et a mesure du récit, l'aubergiste, soulève un sourcille, a un petit sourire en coin. "Oui sacrés temps cette nuit, Camp provisoire Terendul vous avez dit ….. " Il se lève et reviens rapidement avec plusieurs cartes, les étales et les regardent sans s'occuper, du Caporal " Oui ....Camp provisoire Terendul...voila, c'est là. C'est à coté de l'entrée principal, à environs trois cent kilomètres à vole d'oiseau." Il montre sur une carte à moindre échelle, l'endroit ou ils sont et surtout le Camp Provisoire Terendul, ou il trace une croix avec un crayon gras rouge. Gwïngwën aperçoit sur la carte, une autre entrée à soixante kilomètres.........et commence à calculer son azimute. Apercevant cela l'aubergiste dit "Non, non, il y a un moyen d'aller à l'entrer principal, vous y serez demain dans la mâtiné, finissez de manger, vous avez encore vingt minutes, je vais vous préparer à manger." L’Elfe se dirige vers un mat et fait monter trois fanions de couleur différent, puis part vers sa cuisine. Le Caporal a fini de manger quand l'aubergiste reviens avec un panier, remplit de victuaille, du pain et une bouteille de vin de noisettes. Venez Caporal, l'aubergiste se dirige vers le débarcadère avec aussi la carte à la croix, et a ce moment là apparaît une barge. Ils sont sur une rivière, il demande la carte et là il voie que ce court d'eau se dirige vers le camp militaire et le contourne presque que jusqu'à son entrée principal………

La barge dans le courant est très rapide et au signe l'aubergiste le bateau se dirige vers l'embarcadère, qu'il longe à toute vitesse. Le Rôdeur n'a que le temps de sauter avec toute ses affaires dont la carte et il se repend sur le pont de l'embarcation.

Avec difficulté le Caporal se relève. Le batelier a déjà adroitement remis la barge, a l’aide du safran, dans le courant laminaire de la rivière à l’emplacement ou le courant est la plus rapide. Lahére voit défiler les arbres. Il se dirige vers l’Elfe qui dirige l’embarcation. "Voilà notre bonne armée Elfique mené en bateau !, Que puis je pour vous ?" Gwïgwën raconte son histoire et montre la carte de l’Aubergiste. "Effectivement je peux vous déposer vers huit heures demain matin dans cette région" Le Sergent s’assoit prés de l’Elfe, et l’écoute. Il met trois jours à descente la voie navigable, et six jours à la remonter à l’aide des deux voiles latines pour le moment rangé. Il navigue tant qu’il y a de la lumière, mais jamais quand la nuit est tombée. Ce qu’il transporte ? Tout et rien et puis cela dépend des saisons, cela peut être des tonneaux de blé, de pommes, de froment, de fromages, de salades, de poires, d’alcool de Myrtille, de réglisses, de câpres, de biscuits, d’oranges, de vis, de clous, de boulons, de tissus, de plâtres. Il apprend au Sergent comment diriger le bateau, puis laisse sa place à notre Elfe. Quand on ne dirige pas de voiles, ne descendre le courant est aisé et Lahére apprend très vite à diriger le navire. Et s’il croisse un bateau ? Très simple se mettre à droite et faire le signe que tous vas bien. Le batelier en profite pour faire une sieste, et laisse au Sergent la responsabilité de la navigation. Il y a peux de circulation, et comme le court d’eau est bien entretenu, tous ce passe bien.
Lahére, voit le batelier se réveiller dans le milieux de l’après midi et reprend la barre franche. Notre Elfe prépare à manger avec les provisions que lui a donné l’aubergiste. Il reste encore plusieurs heures avant la nuit. Notre Elfe profite de la navigation, quand la nuit commence à tomber le batelier se rapproche du bord et s’accroche à un coffre. Le militaire s’endort, sur le pont dans un lit de cordage, confortable, sous un ciel constellé d’étoiles. Il est réveillé vers huit heures le lendemain, par le batelier, cela fait déjà longtemps que le navire est repartis, mais le brave Elfe l’a laissé dormir, le plus longtemps possible. Le temps de ranger ses affaires, il voit déjà le débarcadère arrive. Le Caporale saute du bateau et en quelque pas à rejoint une petite route. Il se retourne pour faire signe que tout va bien, l’embarcation à déjà regagné le milieux de la rivière. Il déploie la carte, n’est plus qu’à quinze kilomètres de l’entrée principale du camp d’entraînement.

La Caporale marche d'un bon pas vers l'entré principale, quand il voit une charrette avec une roue déboité. Le charretier commence à décharger son véhicule pour pouvoir le réparer. L'Elfe voit Lahére et lui dit : "Tient, notre armée en manœuvre!." Notre Elfe propose ses services et bientôt la roue peut être remit à sa place et une goupille verrouiller le dispositif. Pendant qu'il range la charrette, le charretier annonce qu'il sera à temps au marché qui se tient à coté du terrain de manœuvre. Notre Elfe demande si il peut le conduire à cette endroit et pour passer le temps il raconte son histoire. Le charretier s’arrête quand Lahére parle du "Camp Provisoire Terendul". "Hé mon gas le camp il est à trois Kilomètres juste derrière le mure magique de protection, tu as plus vite fait d'y aller par là" Joignant le geste à la paroles le charretier indique une direction. Gwïngwën fait signe qu'il ne comprend pas. Le charretier rit et annonce que cela ne lui prendra que cinq minutes, il fait accélérer son cheval et prend un petit chemin bien entretenue. Ils passent devant une auberge au doux nom de "La belle de la Forêt". Pourquoi ont'il laissé cette lampe rouge allumé, pense Lahére?

"Allez vient mon gas, c'est juste là."

Ils atteignent le mur et la camouflé dans les fourrés se trouve une double échelles passant au dessus de l'enceinte magique.

"Là mon gas tu peux passer sans problèmes. En soiré ce passage est très fréquenté par tous nos braves militaires qui non pas de permission et qui veulent se détendre à l'Auberge. Tu fais cent mètres de l'autre coté de l'autre coté et tu tombes sur une route. Tu la remonte mains gauche, puis tu prends à main droite au prochain croisement et tu tombes sur le camps c'est facile à trouver, mon gas."

Après avoir remercier le charretier, le Caporal franchit l'obstacle.

P.S. Dans toute bonne caserne ce genre d'endroit était connue de tous, lors de mon premier jour à Berlin, j'ai franchit le mur de la caserne de cette façon, car le cinéma était juste derrière, alors que j'aurais du faire un bon kilomètre. Juste devant moi se trouvait un Adjudant Chef usant des même commodité pour rentrer chez lui.

Effectivement le « Camp Provisoire Terendul » n’est pas loin. Il le trouve avec son grand panneau calligraphié en belle lettres Elfique. Cela fait à peine une heure qu’il a quitté le charretier. Et il se trouve devant une porte fermée. Le camp semble vide. Il appelle, mais personne ne répond. Lahére remarque que les fenêtres des hangars sont fermées et que l’immense cour est et pleine de feuilles morte. Le militaire se pose des questions, mais que doit’ il faire ? Il ressort de son sac la carte. Y a-t-il plusieurs camps provisoires ? Ce serait il trompé quelques part ? Il prend le temps de longer le camps qui est un grand carré de cent mètre de coté, protégé par une haie de noisetiers infranchissables.. Mais à part l’entrée du camp il n’y a pas d’autres ouvertures. Doit-il franchir la porte ? Ce qui semble facile car il ne ressent aucune magie en ce lieux.
Il s’apprête à lancer ses affaires dans le camp quand il entend un bruit. Il porte alors son regard vers le bout de la route et remarque qu’un wagon…… Non ! Qu’un convoi de wagons se dirige vers lui.

Le mieux est d’attendre, et notre soldat attend et profite du spectacle. Une colonne de véhicules arrive majestueusement, tirée par des chevaux de trait, magnifique. Leurs allures est rapide. Les wagons arrivent à son niveau et s’arrêtent devant la porte. Sur le siège à côté du conducteur Gwïngwën remarque l'adjudant Tëe Frëes.
Le sous officier, descend de sa place, passe devant Lahére en lui demande gentiment de se pousser et d’attendre. L’Adjudant ouvre la porte, pour faire entrer le convoi dans le camp.
Le Caporal voit alors passé devant lui tout le convoi.
Comme par miracle en quelques minutes tous le camp devient une ruche, l’Adjudent Frëes hurle des ordres, Les véhicules s’arrêtent, les chevaux sont dégréés et emmené en dehors, Des soldats ouvrent les portes et les fenêtres, pendant que l’on balaye la cour et que le fourneau de la cantine de campagne est activé……Lahére regarde cela les yeux agrandis…. Personne ne semblant s’occuper de lui !

Les Soldats sortent des wagons des tables et des chaises qu’ils installent en long derrière la grande porte. Puis les officiers s’installent sur leur chaises, et soudain notre Elfe à l’impression que tous les regarde convergent vers lui. L’Adjudant Frëes arrive devant lui, et le salut réglementairement. En disant "Veillez me suivre Caporal." Ils s’arrêtent devant la première table ou un lieutenant attend un stylet à la main. "Le convoi est arrivé à 8:45 comme prévus, le Caporal Gwïngwën attendait devant la porte fermé. " Merci Adjudant Frëes, vous pouvez passer à la table suivant Caporale." Alors sans dire un mots Lahére se présente devant une table ou un guérisseur l’ausculte puis continue, on lui demande le contenue de ses sacs, le nombre de ses armes, la quantité de nourriture qui lui reste.... Il finit la rangé et se retrouve seul de l'autre coté. Des soldats le prennent en main et lui demande si il a faim, a soif, si il veut prendre une douche et dormir. Il se retrouve bientôt après avoir prit une douche devant un copieux petit déjeuné. Il remarque que l'on prépare un wagon, il apprend que ce véhicule par chercher des provisions à l'école militaire. Quand il a finit, l’Adjudant Tëe Frëes vient le voir et lui annonce qu'il a une permission de dix jours, qu'il peut partir avec lui dans cinq minutes avec le wagon. Ils se retrouvent bientôt sur sur la banquette de conducteur. Le Caporal propose de diriger les chevaux. "Non seulement, vous avez participé, a la course, mais en plus vous avez de l’énergie pour conduire. Et c'est vous qu'ils vous traitaient de plouc."

C'est grâce à cette course que le Caporal réussit à décrocher le nombre de points minimales pour devenir Sergent, quelques jours plus tard. Longtemps plus tard il appris qu'il était le septième à arriver avant le convoi, et notre Elfe vu heureux d'apprendre qu’il n'était une exception.