"- Pourquoi veux-tu y aller ?
- Ne me suis pas s'y tu ne veux pas mais là bas je trouverais bien une personne qui voudra m'aider. Je dois le retrouvé tu entends !
- Ne t'énerve pas ainsi ! Je n'aime pas te voir avec se visage là...
- De quoi ?
- Je veux dire, tu es fermé et tu hurles une vengeance que...
- Chut ! Réponds moi juste ! Tu viens avec moi ou pas ?
- Je ne voudrais pas que tu fasses une bêtise !

Diklan ponctua sa phrase d'un sourire au quel Médolie répondit. Elle devait joué la carte de la discrétion. Aussi, pas de tenue de capitaine pour notre jeune elfe. Elle partit se changer d'un pas léger. Lorsqu'elle revient son ami la regarda en souriant. Elle se lui demanda se qui avait et il lui répondit simplement " un homme parmi les hommes. ". Elle était en effet habillé en palefrenier, un poignard que seul les avertis pouvaient voir dans une de ses bottes. Un carré de tissu retenait ses cheveux courts et cachait des oreilles. Elle n'avait qu'a parler un forçant un peu sur sa voix et elle devenait un humain parmi tant d'autre. Ne pouvant y aller à cheval, ils s'avancèrent tranquillement.

Il fut convenu que Diklan entrerait le premier suivit plus tard de Médolie. Il surveillerait de loin son amie. Diklan poussa la porte en poussant un sifflement signalant qu'il y avait du monde. Cela lui valu quelques regards. Il se mit dans un coin stratégique ou il aurait tous le monde en vu. Le tarvernier lui servit une biere et c'est se moment que Médolie choisit pour entré brusquement. Un sourire aux lèvres devant tous se beau monde, elle se dirigea droit vers le bar. S’accoudant à celui-ci, elle lança un regard à l'homme qui le tenait.
"-A boire ! Et du fort !
- vous êtes sur de pouvoir payé ? "
Elle sortit d'une petite bourse dissimiler une pièce qu'elle donna au tavernier à la voix forte. Celui-ci, au drame de Diklan, servit un verre à Médolie qui n'avait pas l'habitude de boire. Il avait peur des conséquences.

Médolie avala le verre d'un trait et manqua de s'étouffé avec. Puis, retirant son bandeau qui lui rendit son petit air féminin et dévoilà ses oreilles d'elfes , elle regarda l'assemblé. Elle prit la parole haut, fort et clair.
"- Je cherche une personne capable de me donner des information rapidement, j'ai de quoi payé !"

Elle laissa la foule digéré l'information et observa les réactions sur les visages. Elle adorait ça. Elle croisa le regard de son ami qui lui fit comprendre qu'elle devait faire attention. Un sourire bizarre anima le visage de la jeune elfe.

Finalement pour Alford cela n'avait pas été une mauvaise idée de faire une halte à Gloria! Le dernier travail qu'il avait fait l'a exténué, normalement les escortes de marchand ne sont pas vraiment les boulots les plus dangereux... Sauf quand le client s'est attiré les foudres d'un autre marchand assez riche, qui a profité de son or, pour envoyé des bandits a ses trousses. Mais au final la mission s'est ben déroulé, et le marchand rival s'est fait arrêter pour le bien des deux deux réchappé de la tentative de meurtre....

Maintenant il était en repos, et il se remettrait sans doute à chercher du travail demain. Après tout il pouvait se le permettre car sa bourse était bien remplie, et il alla ainsi de reposer dans cette taverne donc il n'a même pas noté le nom par précipitation. Il s'est très rapidement commander à boire, et a manger quand il fut assit, mais pas grand chose pour éviter de déclencher une bagarre par accident. Il pouvait faire de gros dégâts involontairement, et n'avait pas envie de s'attirer les ennuis auprès des autorités. Son statut de mercenaire ne voulant pas dire forcément qu'il ne devait pas respecter la loi, et il n'avait pas encore mauvaise réputation pour l'instant, alors autant ne pas troublé ce statut.

Du coup il se retrouvait a cette table bien au fond de la taverne, avec pour ne pas lui déplaire aucun partenaire de boisson. Il était agréable parfois de pouvoir être tranquille, et détendu. Même si il n'était pas vraiment la personne la plus discrète de la taverne... Le patron de l'établissement lui avait bien entendu demandé de lui confier ses armes, pour qu'il les pose dans une autre pièce. L'homme avait été fortement impressionné de la taille de l'espadon d'Alford, et ce dernier a du l'emmener lui-même à la réserve car le gérant n'arrivait pas à la soulever, et encore moi a la transporter. Par contre, et heureusement le mercenaire s'est arrangé pour pouvoir gardé son armure complète sur lui, et cela valait mieux car il se sentait nu quand il ne la portait pas, et les ivrognes déclenchaient des bagarres très facilement, et il valait mieux ne pas être blessé lors d'une bagarre de bar, car cela ne faisait pas crédible, pour un solide gaillard comme lui.

Bientôt après son arrivé il vit arriver ce qui sembler être un homme sifflotant, et qui ensuite alla s'asseoir dans un coin de la pièce. Alford lui jeta un petit regard interrogateur comme beaucoup de clients, et en conclut vite que celui-ci devait être simplement de bonne humeur. Mais ce n'était sans doute pas cela... Car une autre personne débarqua très vite par la suite, et de manière à se faire remarquer le plus possible... C'était Une jeune femme a ce qu'il voyait, même si elle n'avait pas vraiment de poitrine pour confirmer cette impression, et pouvait ammené à croire que c'était un homme. Elle demanda à boire une boisson assez forte au tavernier, et le paya d'avance.

Alford regarda sa réaction lorsqu'elle but la boisson, et visiblement elle avait pris un alcool un peu trop fort. Ensuite celle-ci révèla qui elle était une elfe... Une elfe! Cela intéressa fort bien le mercenaire qui écouta avec attention à sa demanda, qui intéressait Alford qui après quelques instant se leva, et se dirigea vers l'elfe au sourire excentrique. Il dit au tavernier très vite avant de s'adresser à elle.

La même boisson, mon brave!

Pendant que l'homme alla satisfaire sa commande. Il se tourna vers l'elfe qu'il dépassait d'environ une tête, et lui dit d'un ton jovial, mais rendu grave par le casque qu'il avait sur la tête...

Mademoiselle, je me prénomme Alford Gorder fils de paysan, et mercenaire de son état! Vôtre proposition m'intéresse. Et j'aimerais savoir si je pourrais vous venir en aide si cela vous conviens bien entendu.

D'un regard curieux il s'empressa pendant qu'il disait cela d'approfondir l'examen de son interlocuteur. Elle fait un peu garçon manqué avec son manque de poitrine, et ses cheveux courts de couleur roux! Mais elle était plutôt jolie sinon, même si sa tenue de palefrenier n'aidait pas, elle n'avait pas l'air de quelqu'un de hautement désagréable... Donc pouvait être potentiellement de bonne compagnie.

Elle fut agréablement surprise quand, juste après avoir fait son annonce un homme en armure se leva pour venir la voir. Il commanda la même boisson qu'elle mais elle se garda dans faire de même. Une fois suffisait et si elle devait rependre une boisson celle-ci ne serait pas au gout des personnes ici. Il se présenta comme étant " Alford Gorder fils de paysan, et mercenaire de son état !". Son vasque rendait sa voix grave mais les oreilles habitué de l'elfe ne firent guère gaffe au ton. Elle ne fit guère plus au regard examen qu'il passait sur elle. Elle avait la salle habitude de sentir se regarde sur elle. c'était à chaque fois la même chose.
"-Je suis Médolie. (Plus bas) Capitaine Médolie Ann Ludvig ! Allons nous asseoir. "

S'en attendre de savoir s'il la suit elle s'éloigne du comptoirs pour aller poser ses fesses sur une chaise de bois un peu plus loin et plus proche de Diklan qui la suivait des yeux jusqu'à prendre le risque de se faire remarquer. Une fois assise elle détailla à son tour l'homme devant elle. Grand. Dans une boite de conserve. Il pourrait au moins enlevé totalement son casque, quel toupet. Et puis zut, elle pouvait bien passé la dessus, elle allait lui donner un rôle important à jouer. Tant pis pour la manière dont il était habillé. Elle allait prendre la parole quand elle se perdit dans ses pensées.

Elle se revit, si jeune. 118 ans. Destiner à être une grande harpiste. La harpe... Cela faisait plus de faisait plus de 120 ans qu'elle n'avais pas pris un instrument. Cela lui faisait tellement bizarre de pensé à cela maintenant. Elle sentait encore et de nouveau les cordes sous ses doigts. Puis on frappait à la porte et sa mère partait ouvrir. Triste lettre ! Pourquoi as-tu existé ? Elle voulait tellement repartir dans le temps, le retenir. Elle ne pouvait pas.

Un bruit sourd d'un verre qui se brise la fit sursauté et la remmena sur terre. Elle cligna des yeux déstabilisé et se fit la moral. Elle pencha machinalement la tête vers la droite. Son visiga devient sévère.
"-J'ai besoin de vous pour retrouver l'assassin de mon frère. Pour cela je n'ai que pour information qu'il était dans la division de Messire Leschy et qu'il est mort tué par un Vampire en l'an 1621. Vous aurez 25 pièces d'or de suite si vous acceptez, 25 de plus quand vous aurez l'information. Et je vous devrais n'importe quelle faveur. "
Son visage fermé et grave prouvait qu'elle était sérieuse. Elle sentit dans son dos e regard fixe de Diklan sur elle.

La capitaine elfe a ce qu'il entendait lui demanda de venir s'asseoir avec elle. Une capitaine! Il était assez surpris de rencontrer un gradé elfique, mais la surprise n'était pas déplaisante, même si du moins elle ne portait pas les habits représentatifs de son grade. Sans doute pour être discrète. Elle le devança très vite pour aller s'asseoir, et il la rejoignit une fois que sa boisson fut servit, et s'assit juste en face quoique la chaise grinça notablement, sans doute a cause du poids de son armure! Elle semblait par contre ne pas être très contente après quelle l'est inspecté, sans doute son casque! C'est vrai que cela était impolie, et mieux valait éviter de la froisser inutilement. Surtout si elle lui proposait du travail.

Ah excusez moi je vous en prie mademoiselle. Si cela vous vexe que je porte mon attirail complet sur moi, y compris mon casque. Mais nous autres humains ne sommes pas tous gracieux comme vous devez y être habitué dans vôtre royaume. Et je ne suis pas très bien lotie de ce point de vue là, car ma trogne m'a déjà valu quelque moquerie, et sarcasme, donc comprenais que je n'ai pas le désir de la montrer au milieu d'une taverne, ou beaucoup sont ivres, et ou une bagarre éclate si vite.... Dit-il avec un peu de gêne dans la voix. Il se rappelait de sa dernière bagarre dans une taverne quelconque, pendant laquelle il avait failli être blessé, et il devait avoir assommé 6 personnes à lui seul, un joli score...

Quelques instant après la capitaine semblai assez pensifs comme si elle se souvenait de quelque chose d'important pour elle, par politesse il la laissa faire, et en profita pour boire on alcool en prenant soin de ne pas relever son casque plus que de nécessaire. Effectivement la boisson était forte, mais il avait déjà bu pire. Soudain son interlocutrice renversa son verre par maladresse, cela était étonnant pour une elfe à ses yeux.

Elle lui fit ensuite part très vite de sa future mission. Alors elle recherchait l’assassin de frère! Et elle le paye la moitié de la récompense d'avance si il acceptait de l'aidait, intéressant! Il réfléchit un instant puis sortie l'un de ses trophées, une dague qu'il avait récupéré sur le cadavre du premier vampire qu'il eut tué, et la posa sur la table. Il se prononça ensuite sur un ton calme, et honnête.

Je vois cela semble être honnête, et je serais heureux de vous aidez! J'accepte vôtre travail, j'ai déjà eu affaire a des vampires, et j'en suis ressorti vainqueur d'un combat contre l'un d'entre-eux de peux comme peut en témoigner cette dague. Je sais ce que ces monstres sont capables de faire, et même si je n'ai jamais perdu un proche a cause d'eux pour l'instant. je vous comprend! Acheva-il avec une touche d'empathie dans sa voix.

Néanmoins débutait une enquête avec aussi peu de détail risque d'être ardu, il faudrait que je trouve un début de piste, d'abord par exemple. Où est cette division fameuse en ce moment? Sous les ordres d'un certain Leschy a ce que vous me dîtes. Il faudra aussi que je sache où vôtre frère est mort, et quand. Pendant une bataille?

Il semblait néanmoins assez enthousiaste a cette tâche, et dit ensuite.

En tout cas sachez que je le ferai, et peut-être que je m'occuperai du cas de vôtre assassin si je le peux... N'auriez-vous pas plus de détails, pour m'y aider? D'ailleurs vôtre ami n'a rien à dire sinon?

Il indiqua d'un regard la personne qui la fixait, sans doute une relation à elle, ou juste un curieux....

Bien qu'il se soit excusé pour l'armure, elle se demandait quand même ce qui avait sous cette armure. Elle était comme une gamine. Aussi ne pouvait-elle s'empêcher de regarder jusqu'à le fixer lorsqu'il buvait. Bien vite elle se reprit. C'était impoli. Pourquoi se comportait-elle comme une gamine de 50 ans ? Il acceptait. Il acceptait ?! Aussi facilement ? Elle ne pu se retenir de sourire. De plus, il avait déjà eu à faire des vampires, rien de mieux. C'était la personne idéal et elle l'avait trouvé en une seule fois. La chance légendaire que lui disait certains de ses hommes était peu-être finalement vrai. Qui sais ? Comme le disait l'homme, la tache allait être ardus. Mais perdu dans ces pensées, la jeune femme n'y faisait pas attention. Ce fut la question qui la fit se reconnecté à la réalité. " D'ailleurs vôtre ami n'a rien à dire sinon?". Diklan ? Il devait sans doute encore être en train de la fixer. Elle lui fit signe de ramener ses fesses tous en réfléchissant à certains points. La chaise crissa sur le sol salle pleins de sable. Diklan venait de s'asseoir. Les réflexions de Médolie venait d'aboutir.
"- Pardonnez moi Sieur Gorder, je préférais qu'il soit là. Sieur Gorder, voici Diklan Nack. Dik, le Sieur Alford Gorder. Je vais partir avec le Sieur Gorder, Diklan je te confie les Hommes."

Diklan, qui était partit pour tendre la main à l'homme en armure quand il se ravisa pour regarder Médolie droit dans les yeux, oubliant une nouvelle fois qu'elle était son supérieur.
"- Quoi ?
- Je m'en vais et tu gardes le camp ! Fin de la discutions !(Elle avait dit cela en se levant. Tournant la tête vers Alford) Et pour vous cela n'est pas discutable. Je viens point !"
Elle avait ses paroles à Diklan en faisant les gros yeux pour qu'il ne réponde pas. Elle avait adoucie son regard en parlant à l'homme en fer. Son visage était pourtant toujours sévère.
"-Sauf si vous y voyez un inconvénient retrouver nous demain à l'angle de la rue à la première heure. ( retirant la bourse de la table) Vous aurez votre or à se moment. Pas que je n'ai pas confiance mais on n'est jamais trop prudent. Sommes-nous d'accord ? Vous aurez toutes les informations qu'il vous faut à ce moment là. "
Elle sourit. Un sourire doux s'affichait sur son visage. Cette expérience ne pouvait être que bénéfique ou mortelle. Dans les deux cas elle valait, pour Médolie, Le coup d'être vécu. Les deux mains bien appuyé sur la table, elle surplombais se qu'elle pouvait appeler sa petite assembler.

Alford s'aperçut vite que Médolie le regarder fixement lorsqu'il avait parlé de son visage assez laid, elle s'était repris rapidement, mais cela fit naître un petit sourire sur les lèvres du mercenaire derrière son casque. Elle sembler bien curieuse, et cela pouvait se révélait autant une qualité qu'un défaut, mais cela lui fit plaisir, et il pensa d'ailleurs à lui montrer son visage plus tard peut-être pour satisfaire sa curiosité. Elle ne devait pas être le genre à juger sur les apparences, alors bon...

Après qu'il eut répondu promptement à l'affirmative à la proposition de l'elfe, celle-ci sembler contente et cela rassura le mercenaire il allait avoir le boulot, et avec un client elfique, ce qui est peu commun! Elle paraissait néanmoins être assez vite plongée dans ses pensées pendant qu'il finit de dire ce qu'il devait dire, ne refaisant surface que quand il parla de son ami au fond.

Bien sûr elle demanda à ce dernier de venir, et il se joignit à leurs conversation. La capitaine fit les présentation bien entendu, et elle donna vite ses directives au moment ou le fameux Diklan tendit la main à Alford. Au moins cela avait le mérite d'être direct, et franc quoique aussi subtile que la façon donc Gorder se bat ivre avec une chaise, mais ils semblaient être proche tous les deux, donc bon....

Il ne voyait pas d'inconvénient a ce qu'elle vienne avec lui par contre. Au contraire même si cela pouvait être un peu dangereux. il pourrait au moins fréquentait une elfe de près ce qui pourrait s'avérer être une bonne expérience, même si seulement pendant un temps... Donc il acquiesça avec enthousiasme.

Bien entendu! Le client est roi. Je tacherai de faire en sorte que nous en sortions intacte bien entendu! Pour que vous puissiez me payez! finit-il avec entrain, et un peu d'humour dans la voix.

Très elle lui parla du lieu de rendez-vous de demain ou elle entrerai plus dans les détails, et lui verserai le premier paiement, et il accepta, cela était prudent effectivement, et une bonne idée sans doute.

Donc nous nous reverrons demain. Moi je vais aller dormir même s'il est un peu tôt, car il vaut mieux être en forme pour la tâche que vous me confirez... Et je suis un peu fourbu depuis mon dernier travail.

Et il partit se coucher mais bien entendu il n'oublia pas de récupérer la dague trophée, et de serrer la main de l'humain Daklin en lui disant amicalement.

Ravie de faire vôtre connaissance à vous aussi. J'espère que nous pourrons plus approfondir cela demain. Bonne fin de journée à vous deux!

Il partit juste après se coucher. Il était assez fatigué effectivement de sa dernière mission, et le lit une fois arrivé dans la chambre ne semblait pas si mauvais. Il s'empressa donc de de s'affaler dessus, et il n'enleva même pas son armure d'ailleurs, de toute façon il avait l'habitude de dormir à la belle étoile avec, alors ce n'était pas vraiment gênant.

Le lendemain il se leva 3 heures à l'avance environ, après avoir passer une demi-heure à s'extraire de son lit sans y avoir laisser une trace notable. Il alla se laver bien entendu (sans son armure biens sûr) ensuite, même s'il dut prendre une bonne vingtaine de minute pour pouvoir le faire, car le tavernier ne semblait pas habituer à des clients faisant attention à leurs hygiènes de façon aussi soigneuse. Puis après avoir mangé il attendit au point de rendez-vous une heure à l'avance, avec son attirail complet sur lui cette fois-ci.

Les passants d'ailleurs semblaient lui lancer des regards interrogatifs, ou craintifs. Se demandant sans doute ce qu'il attendait là, et qu'elle force un colosse comme lui devait avoir pour manipuler un espadon de cette taille (1m50).

Lorsque sa cliente arriva avec son subalterne il s'empressa de les accueillir jovialement, mais avant retira son casque par politesse, et pour faire plaisir à Médolie, heureusement qu'il n'y avait pas trop de monde pour le voir.

Bonjour, alors mademoiselle comment vous portez-vous? Sinon pour revenir au sujet plus professionnelles, où en étions-nous? Finit-il avec un sourire sincère, mais peu habituelle au vu de la façon donc il l'arborait.

"Le client est roi. ". C'est avec ces paroles en tête que Médolie suivit de Diklan sortirent de l'auberge après que l'homme en ait eu finit d'eux. Médolie en pouvait plus, elle attrapa son poignard afin de jouer avec. Elle le lançait et le rattrapait. Elle était habile. Elle était même heureuse. Heureuse au point qu'elle ne passa pas voir si tous ses hommes s’entraînait comme elle le faisait couramment. Voir tout le temps. Elle fila directement sous sa tente ou elle se changea. Elle remit sa peau de capitaine. Elle entendit quelqu'un arriver devant sa porte. Elle demanda qui c'était et Diklan lui répondit. Elle lui dit d'entré.

"- Oh ! Tu perds pas de temps. Je dois te parler Médy... S'il te plait !
- Pour me dire quoi ? Je ne reviendrais sur aucune décision.
- Je ne comprends pas... Pourquoi ?
- Mon frère est mort Diklan !
- Tuer par un Vampire je sais !
- Non tu ne sais pas ! Tu crois que ça a été une pure partie de plaisir ? Tu crois que le monde à toujours été souriant pour moi ? Tu crois...

Sa voie se brisa en un sanglot terrible. Elle avait attrapé Diklan par les épaules pour lui faire front mais là c'était Diklan qui la tenait parce que sinon elle se ferait effondré. Il la tient contre elle pendant qu'elle pleurait. Les larmes roulaient sur les joues de l'elfe pensant qu'elle que repensait à son enfant.
119 ans. Elle avait décidé de partir, elle avait fraquacé sa harpe. Elle avait pris la broche offert par son frère, son arc et s'était enfuit. Elle avait jamais rien connu d'autre en suite que cette foutu forêt ! Elle avait construit une petite cabane, elle était allé chercher les embrouilles dans des villages humains autours. Elle avait trouvé une épée. Elle se nourrissait principalement des plantes que lui offrait son nouveau chez elle. Elle n'avait trouvé des sous qu'en défiant des hommes, se qui a fait qu'elle est devenu forte pour se battre. C'est en se temps là que la longue cicatrice à fait place son mon bras. Sauf que la fièvre qui allait avec avait failli l'emporter. L'infection prise à la légère avait fait un dégât irréparable sur sa peau lisse.

Elle s'était endormit en sanglotant dans les bras de son ami. Diklan la prit dans ses bras et la coucha sur son lit. La couvrant du regard, il la regarda dormir un moment et sortit en suivant. A son réveil, la jeune elfe se sentait beaucoup. La faiblesse de la veille fit partie d'une petite discutions avec Diklan. Ensuite Médolie opta pour une tenue détendu, elle donna la dague a Diklan, passa à sa ceinture sa fidèle épée et glissa dans son dos jet de feu. Elle partit en suite scellé sa monture et demanda a Diklan de dans préparé une pour l'homme en fer. Il le fit. Au moment de partir Diklan la retient.
"- Je t'accompagne !
- Non ! J'ai besoin de toi ici !
- Juste au rendez-vous. S'il te plait !
- D'accord ! ( Elle lui sourit ) Ne t'inquiète pas !"

Bien qu'ils arrivèrent en avance, Alford était déjà présent. Il les salua. Et enleva même son heaume. Elle avait vu pire et le lui dit. Elle prit les rênes du cheval de Diklan et les tendit à Alford.
"- Pour en revenir au sujet professionnel, j'espère que vous savez galopé. Je vous raconterais ça en vous menant à l'endroit de la mort d'Aaron. Oh fait ? jolie arme !"
Elle sourit. Elle dit au revoir a Diklan qui partit après lui avoir fait promettre de revenir en vie. Elle lui avait promit et il était partit l'air triste. Elle aimait pas le voir ainsi et devoir se passé de lui. Elle tendit également un petit paquet lier d'une cordelette fine. Les 25 première pièce d'or. Elle pencha la tête vers la droite.
"- En route l'homme de fer. Nous avons de la route.

Lorsque la capitaine, et son subalterne arrivèrent, les salutations furent agréable quoique courte, mais la remarque sur le fait qu'elle avait vu pire fit très plaisir à Alford qui ne put s'empêcher de sourire. Cette elfe lui était aimable décidément. Ensuite dans un bon ton pratique il revinrent sur les sujets plus sérieux, et elle lui demanda si il savait monter à cheval? Oui il le savait même si il était ni bon, ni mauvais. Il était capable de monter sur un cheval, et de ne pas déclencher d'accident, ou de chuter juste après. Elle complimenta son arme aussi bon point! Même si les ennemis du merenaire auraient aimés que l'espadon soit moins puissants bien entendu.

Merci, même si mes adversaires n'ont pas tendance à faire la même remarque lorsque je les cogne avec. Dit-il avec un peu d'humour noir. Vos armes aussi semblent bien efficaces je dois le dire. C'est un style de combat tout aussi valable. Même si je ne suis pas un grand manieur d'arc, je me débrouille bien avec ça.

Il récusera son arbalète qu'il avait posé dans coin. Celle si était assez lourde, et envoyé des carreaux très dur à encaisser, même pour une armure épaisse. Néanmoins le défaut était le temps de rechargement de plus de 10 secondes, même avec la poignée. Peu par contre pouvait de vanter de pouvoir d'encaisser cela, et d'être encore capable de sa battre. il la tendit d'ailleurs à l'elfe pour que celle-ci s'en fasse un avis.

Ne me tirez pas dessus avec par contre, car sinon il me faudra un très bon soigneur. Plaisanta t-il, même si il se détourna un peu par prudence.

Il en profita d'ailleurs pour étudier plus en détails les armes de Médolie d'un regard de connaisseur. Une épée à deux mains qui semblait d'assez bonne facture, et eut-être enchanté contrairement aux siennes. Et un arc long de facture elfique donc très beau, et très bien taillé sans doute une arme fiable.

Pour en revenir au cheval je pense pouvoir ne pas vous faire honte, mais ne me demandez pas de faire des figures acrobatiques dessus. sauf si vous me donner une prime de risque conséquente. Finit-il avec humour.

Ainsi les deux nouveaux compagnons partirent, après avoir dit au-revoir à Diklan, bien entendu Alford avait remit son casque, et était arrivé à monter sur le cheval du premier coup, même si il se demandait comment le cheval pouvait supporter son poids. Il prirent alors le chemin vers le dernier lieu de repos du frère de Médolie, et il ne put que répondre au surnom qu'elle lui donnait.

Bien entendu, après vous! Ne vous inquiétez pas je vous couvre, et je sais viser!

Il désigna alors son arbalète chargé, et prêt à être utilisé, puis il relança vite la conversation.

Alors sinon cette histoire que vous devez me racontez? Même si cela peut attendre une future halte, cela me ferait plaisir d'apprendre à vous connaître plus en détails!

D'ailleurs comment avez vous fait connaissance avec Diklan? Il me semble être de bonne compagnie.

"Ne me tirez pas dessus avec par contre, car sinon il me faudra un très bon soigneur. "
Une arbalète prêté par Alford dans les mains, la jeune elfe sourit à la remarque. Décidement son partenaire lui plaisait beaucoup. Afin de la testé. elle visa un volet de bois sur une maison plus loin. Elle visa et eu un recul au moment ou la flèche partit. Elle ne put retenir de crie de joie. Bien qu'elle ne l'utilise pas, elle aimait les arbalètes. Et celle-ci était, un... Comment dire ? Beau joujou ? on peut dire ça comme ça ! Elle lui rendit en lui certifiant qu'il avait la une bien belle.

Puis il lui affirma qu'il pensait ne pas lui faire honte sur un cheval tant qu'elle ne lui demandait pas de faire des cabrioles. Elle sourit une nouvelle fois. Risqué d'avoir du mal à s'asseoir à la fin du voyage. Pour sa part monté à cheval ne lui faisait pas peur. Encore moins qu'en elle montait sur le dos de Soleil qui était au fil du temps devenu sa monture s'en l'être vraiment. Elle sauta d'ailleurs sur son dos. L'étalon ayant l'habitude, il ne broncha même pas attendant le coup de rêne qui lui dirait d'avancer. Elle le mit au trot, vérifiant que son compagnon de route suivrait.
Comme il lui avait dit, elle passa devant. Les flèches de son arc était accroché sa scelle au qu'a ou elle aurait besoin de se défendre à cheval. Ces deux armes étaient légères et donc facile à manier. La voie de Gorder la ramena sur terre.
Sa rencontre avec Diklan. Oui bien sure. Un nouveau sourire apparut sur ses lèvres. Cela devenait vraiment une habitude ! Il fallait que ça s'arrête !

"- Diklan. Il est de bonne compagnie et surtout c'est un homme de confiance. je l'ai rencontré avant de devenir Capitaine et il m'a toujours soutenu. C'est lui qui m'a offert Elihyna. ( montre l'épée ) On peut dire que c'est un peu à lui que je dois d'être ici ! Il me connait lui... Il est un peu mon grand frère... Bien que ça soit moi la plus agé. "

Cela la fit rire. Il était vrai que son visage lui donner l'age humain d'environ 25 ans alors qu'elle en avait 250 tout rond. Mais avait cette air fragile et doux.
"- Pour en revenir à notre affaire... Je n'en sais pas plus que de que j'ai entendu. J'espérais qu'au fur et à mesure nous pourrions en apprendre plus. Il faut accélérer et nous pourront y être pour une heure après que la nuit soit tombé. On trouvera une auberge là bas. "

Elle avait dit ça d'un ton tranquille mais une tension venait en arrière plan de sa voie. Elle avait peur de ne pas réussir. Médolie lança sa monture à pleine vitesse. Enfin presque ! Sinon elle avait peur que son homme de fer ne suive pas. Où du moins pas du haut de sa monture.

Medolie semblait enthousiaste à l'idée d'essayer l'arbalète, et cela fit plutôt plaisir à Alford. Celle-ci arborait un sourire assez attendrissant, il commençait d'ailleurs à bien l’apprécier. Elle visa avec la grande arbalète un volet de bois, et sembla plutôt bien encaissé le recul lorsque le carreaux partit. Le volet de bois ne pu pas en dire autant, et la pointe du carreaux le traversa de part en part. Celle-ci cria de joie ce qui surprit un peu le mercenaire, mais lui fit décrocher un petit sourire derrière son casque. Puis la jeune elfe lui rendit son arme en bonne état, et s'en avoir causé d'accident comme lui la première fois qu'il l'avait utilisé. Il se rappelle encore de ce poulet qu'il avait abattu par pur maladresse, et du porc qui a du se souvenir de lui pendant un bon moment...

Il ne put que répondre aux compliments de Medolie sur son arme.

Merci! J'ai eu ce petit bijou après avoir protégé des civils alors que leurs convoi se faisait attaquer par quelques vampires. La belle époque pour tout dire! Par chance l'un des civils ma donné en récompense un modèle de mon gabarit, pour l'exploit donc je vous avez parlé.

Juste après la capitaine voulu faire une petite démonstration de son agilité, et sauta sur le dos de son cheval avant de partir quand Alford était prêt. Les deux compagnons se mirent donc en route à faible allure, et très vite Médolie répondit aux questions de Gorder.

Si vous étiez une humaine j'aurais dit que vous paraissiez avoir 20 ans seulement. Il dit ça même si il savait que côté beauté il n'était pas un grand spécialiste. Il le pensait néanmoins, et cela se devinait au ton de sa voix. Puis il reprit C'est une belle lame je dois l'avouer, même si ce n'est pas mon style de combat, cela doit aller avec celui de quelqu'un d'agile comme vous. Moi j'ai toujours préféré la force, et la polyvalence. Pour Diklan ce que j'ai compris donc c'est une sorte de frère pour vous? Eh bien cela me semble être plutôt justifiable il a l'air de quelqu'un de fort amical ma foi...

Oui effectivement celui-ci lui avait d'ailleurs rappelait un peu son vieil ami Jerôme, mais bon les deux hommes c'étaient perdus de vue lorsqu'Alford a choisi la voie du mercenariat. Il lui arrivait dès fois de regretter cette vie de paysan paisible, et simple à son hameaux natale, mais au final il savait qu'il avait fait le bon choix. Il resta plongé dans ses pensées quelques instants jusqu’à ce que les parole de Médolie le réveille.

D'accord je vous suis de près.

Le rapide galop que l'elfe fit faire à sa monture surprit Alford qui eu du mal à la suivre au début dans la tentative de ne pas trop fatiguer la sienne, mais il du se résoudre très vite à lancer la sienne au galop. Les deux compères sortirent très vite de la cité à cette vitesse, même si Gorder était à quelques mètre derrière la capitaine il maintenait le rythme. Finalement ils arrivèrent à destination plus tôt que prévu, et le mercenaire s'empressa de faire la seule chose qu'il avait en tête à ce moment... Descendre de sa monture, car son mal à l'arrière train commençait à être insupportable. Puis il se reprit, et sembla attendre les ordres de sa cliente.

"Si vous étiez une humaine j'aurais dit que vous paraissiez avoir 20 ans seulement. ". Elle dissimula son sourire. Se rendant compte qu'elle avait encore sourit, elle se mordit la langue. "Arrête " se sermonna-t-elle. " Pourquoi tu fais ça ? Quoi, le sourire ? oui, le sourire ! Et bien... Il est gentil. ". Elle soupira. Parfois elle se dépitait. Puis son homme de fer lui dit qu'en gros Diklan jouait un peu le rôle de grand frère. Elle prit le temps de réfléchir. Oui ! C'était son frère.

Après un long moment galop, Ils arrivèrent enfin. Elle vit la tombe de son frère. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'y était pas venu... Elle était toujours sur le dos de sa monture, comme figer devant le monticule de terre. Elle avait rien a posé dessus. Pas une fleur, pas un objet. Elle battit des paupières. Elle vit que Alford était déjà a terre. Elle eu pitié de lui. Elle aurait du faire une pause en pensant à lui. Elle en fut désolé.

Médolie finit par descendre de Soleil. Elle s'approcha du mercenaire et lui tendit les rênes en lui demandant de bien vouloir lui tenir son cheval et de l'excusé un moment. C'est presque tremblante mais chamboulé au plus haut point qu'elle s'approcha de la tombe de son frère les larmes aux yeux. Elle mit un genoux à terre, baissa la tête. Une larme solitaire roula sur sa joue. Elle murmura:
"- Aaron. Pardon mon cher frère, je t'ai même pas apporté un pétale de rose. Mais j'ai une pomme. Une de ses pommes que tu aimais tant. Oh... Aaron ? qu'est ce que je dois faire ? Je suis sur les traces de ton assassin et je sais même pas se que je dois faire ensuite. Je fais une bien piêtre capitaine. Je ne devrais pas être ici... Tu me manques. Oh... Excuse moi... Je ne t'ai pas présenté mon homme de fer. C'est le Sieur Alford Gorder. Il m'aide et je lui ai promis de lui rendre service par la suite en plus du payement. Je vais te présenté. Dit moi se que je dois faire...

Elle se releva et prit une pomme dans son sac de provision.
"- Sieur Alford Gorder ? Je vous présente se qu'il reste de mon frère Aaron Aan Ludvig. (va posé la pomme sur la tombe et revient en étant sur le point de pleurer) Allez l'homme en fer. Prenez votre gourde et de quoi manger et marchons en nous restaurant. "

Quoi qu'un peu violemment, elle reprit les rênes de sa monture et se mit en route à grand pas. Elle fit en sorte de rester devant pour ne pas qu'il voit qu'elle pleure. Elle n'avait pas mangé depuis le matin même et son corps commençait à le faire sentir. Elle prit sa gourde et avala quelques gorgées qui lui assurèrent au moins de ne pas mourir de soif.
Après une bonne heure de marche ou elle n'avait rien dit, ils arrivèrent au petit village où elle voulait se rendre. Elle trouva même l'auberge qu'elle voulait. Il y avait une petite écurie. Elle prit les rênes du cheval de son partenaire une fois que celui fut descendu. Elle était retranché dans ses souvenirs et se dit que si elle devait être là c'était à cause d'un salle vampire dégeulasse et moche. Elle ammena les chevaux dans les écuries et sans occupa elle même. Puis elle rejoint Alford dans la salle et toucha à peine à son dîné. Elle devait sortir de cet état là. Cela ne pouvait pas duré une seconde de plus.
Elle frappa un grand coup dans la table et fit tombé les verres et la carafe. Elle se souvenait d'une des lettres de son frère. Un elfe devait vivre dans se village. Il avait une main en moins, coupé lors d'une bataille. Quel était son nom ? Séré.. Séro.. Stéros Mandil !
Enfin le visage de Médolie se détendit:
"- Je sais où nous devons aller demain ! Montez vous reposez et détendre vos muscles. Je payerais la note, mangez en fait si vous voulez encore. Enfin fait comme bon vous sembleras ! "
Elle avait dit la dernière phrase en montant les escaliers jusqu'à sa chambre. Elle ne dormit quasiment pas de la nuit.

Médolie confia les chevaux à Alford pendant qu'elle se rendait à la tombe de son regretté frère, le mercenaire acquiesça, et prit les rênes des deux chevaux, il regarda cependant en silence de loin ce que faisait la capitaine. Elle avait l'air fortement triste, et tremblait même lorsqu'elle s'approche de la tombe de son frère. Il n'entendit pas ce que semblait dire la jeune elfe à son frère mort, mais il devina sa peine. Cela bizarrement lui fit penser à sa mère qu'il n'avait jamais connu étant trop jeune pour s'en souvenir du moins. Cella-ci étant décédé de la peste quelque mois seulement après l'avoir mis au monde. Il aurait aimé la connaître, mais il n'avait pas eu cette chance, et c'est son père qui a du l'élevé seul. Il était aussi fils unique, et n'a que comme seul lien avec son hameau natal son ami Jerôme, et son vieux père, et il doit beaucoup aux deux.

Il arrêta vite de penser à cela, et fut ramener à la réalité par Médolie quand celle-ci lui désigna le tombe de son frère. Ensuite elle revient vers lui, et semblait se retenir de pleurer. Elle l ordonna ensuite le départ, et le mercenaire se munit très vite de ses affaires dans son sac, et remonta sur sa monture après deux, ou trois essais raté à cause de sa douleur au derrière toujours présente.

Il laissa la jeune elfe ouvrir la marche sans doute pour ne pas montrer ses émotions au mercenaire ce qu'il comprenait, il fit en sorte de maintenir l'allure du cheval de Médolie. Sur le chemin il vida entièrement sa gourde d'eau, et grignota quelques morceaux de pain sec qui ne suffirait sûrement à le rassasier longtemps son corps musclé, et sa profession guerrière nécessitait des rations de nourriture très conséquent par rapport à celle d'un citoyen normal sinon il aurait dû mal à manier ses armes.

L'heure de voyage se déroula dans un certain silence les deux compagnons étant peu bavard a ce moment, et le silence pesant n'étant dérangé que par le clic-clac insistant de l'armure d'Alford. Il arrivèrent finalement dans ce qui semblait être un petit village fermier. Les deux voyageurs s'arrêtèrent dans un établissent assez bien lotie a ce qu'il voyait, et le mercenaire s’avança à l'intérieur pendant que son employeur décida de mettre elle-même les chevaux à l'écurie. Il s'assit à une table dans un coin tranquille, et commanda des boissons, et de la nourriture à l'avance. Bien entendu comme il laissa à Médolie lorsqu'elle arriva le soin de choisir son repas qu'elle ne finis pas entièrement d'ailleurs, pendant que lui se fit servir un repas assez conséquent avec beaucoup de saucisse de pain, et quelques pommes de terres et légumes de différentes sortes.

Il allait entamer ses plats quand Médolie frappa brusquement la table faisant tomber quelques ustensiles, et partit dans sa chambre en lui disant de faire ce qu'il voulait vu qu'elle payait la note. Il ne put que répondre.

Passez une bonne nuit!

Lorsque qu'elle fut remonter il commença à s'empiffrer, prenant soin de se nourrir pour prendre des forces le plus possible. Quand il eut finit en homme en capuche s'assit à le même table que lui, et lui dit.

Bonjour guerrier vous me semblez quelqu'un de robustes, et d'avoir beaucoup d'adresse. J'aimerais vous proposer un petit jeu.

Lequel?

L'homme prit l'un des couteaux à table le jeta en l'air après l'avoir élégamment fait tourné dans sa main, et commenca à planter sa lame entre ses doigts assez vite une dizaine de fois. Donc il voulait jouer au couteau rapide! Soit Alford prit le sien de couteau, et ne s’embarrassant pas de faire du jonglage avec le sien il fit la même chose frénétiquement une dizaine de fois, mais en un peu plus vite, mais bien entendu vers la fin par mégarde il s'entailla légèrement le pouce, et une goutte de sang perla. Il resta néanmoins stoïque, et répondit.

Vous avez gagner!

Bon dans ce cas-là vous me payez quelques bières!

Bien sûr c'est le minimum.

Et c'est ce qu'il fit il quitta le type quand celui-ci fut bien beurrer, et alla s'affaler dans son lit dans la chambre à côté de celle de sa cliente. Le lendemain matin il se réveilla avant la première heure, et alla attendre sa cliente avec une bouteille de vin à côté de lui. Attendant les ordres du jour. Soudain l'homme d'hier se ramena, et lui dit.

Bonjour, je suis venu prendre de vos nouvelles. Vôtre main va mieux?

Après avoir examiné la petite coupure cicatrisé Alford répondit avec calme.

C'est rien ne vous inquiétez pas! Vous m'avez l'air de quelqu'un qui pourrait m'aider néanmoins, et j'aimerais savoir si il n'y aurais pas des choses intéressants à savoir sur ce village.

Oh vous savez c'est un petit village ici. Je pourrai juste vous dire qu'il y a un marchand de fourrures qui cherche de la marchandise, et vous paierez bien pour cela, et la présence d'un elfe qui n'a qu'une main je crois qu'il s’appelle Stéros. Si vous voulez je peux vous emmenez chez l'un des deux je vous dois bien ça.

A son réveil et malgré son peu d'heure de sommeil, elle était parfaitement reposé. Elle descendit lentement une fois qu'elle se soit lavé et habillé. Elle trouva le Sieur Alford dans la grande salle. Une bouteille de vin l'accompagnait déjà. Elle s'approcha de lui en lui disant que se n'était pas bon de boire ça dès le matin. Puis un homme que Gorder devait apparemment connaitre s'approcha d'eux. Il lui demanda si sa main allait mieux. Elle regarda la table puis la main. Couteau rapide. Il avait du perdre. Elle se rappela le temps où il lui arrivait de gagné quelques pièces grâce à ça. Et de nombreuse blessure également ! Alford lui dit que sa main allait bien. Ensuite l'homme leur proposa de les mené à un marchand de fourrure qui répugna l'elfe rien qu'à l'idée ou à un elfe amputer. Aussitôt elle fit un pas en avant. Elle lui demanda de le mener à un cet elfe.

L'homme à capuche les mena donc à la petite maison. Mais avant qu'il ne parvienne à la porte Médolie sentit un mauvais présage. Elle rebouta d'y aller. Ils n'avaient pas leur chevaux n'étant pas très loin. Elle frissonna et se fit violence. Elle avança. Elle frappa. Un elfe vient lui ouvrir.
'- Bonjour Messire Stéros. Voici Alford Gorder. Je me présente, je suis le Capitaine Médolie Ann Ludvig, la soeur de Aaron !
- Comment en être sur ?
- Il a du vous parlez de ça."

Elle attrapa un objet épinglé sur sa tenue mais caché. Elle lui tendit. Il le prit.
"- La mésange... C'est comme ça qu'il vous appelait. Sa mésange.
- Ah ? Je suis venue parce que j'ai besoin d'une information.
- La quelle ?
- Savez vous si vous si mon frère à un ennemi parmi les vampires ? Je veux dire... Quelqu'un qui lui en voulait particulièrement ?
- Vous cherchez son assassin ? Malheureusement je ne peux rien vous donnez comme information. Je suis désolé.
- Je vous remercie. Pardonnez mon dérangement. "
Elle salua le vieille elfe et après avoir repris et remit en place sa mésange.

"- Il faut se rapprochez d'eux. Vous êtes partant pour de l'action ? "
Son sourire était tellement large qu'il en devient sadique. Ils repartirent chercher leurs montures et se remirent en route.

Ils falluent un certains nombres de jours avant de trouver se qu'elle cherchait. Une embuscade vampirique. Elle sortit directement son épée et sauta au sol.
"- Laissez en un en vie. Pour la suite ? Pas de quartiers !
Ils étaient 15, elle les avait compté en parlant. 15 ? Non ! le premier venait de passé sous sa lame. Elle se plaça devant un deuxième. Le combat fut plus long. il reussi même à la blesser à la joue. Une profonde entaille qui signa. Cela réussi a lui arraché plusieurs grimaces de douleurs. Finalement elle le tua sans pitié, la rage animant tous ses gestes. Elle laissait le soin à son homme de fer de choisir celui qui aurait le droit de ne pas mourir pendant un faible instant. Elle était complètement métamorphosé. Son coté obscure était tous à fait présent et elle ne perdrait pas. Elle envoya son talon dans le plexus d'un vampire ce qui pour effet de l'envoyé plus loin. Elle hurla avant de se jeter sur une de ses ennemi. Ils furent bientôt trois autour d'elle.

Alford ne que put répondre à Médolie lorsque celle-ci lui dit que ce n'était pas bon de boire aussi tôt le matin. Elle n'avait pas tort après tout, mais bon il en avait envie

Bah juste un verre, ou deux vous n'allez pas me dire que ça va me tuer, et puis ça me détend un peu.

Ensuite lorsque l'homme en capuche arriva, et lui parla de ses petites propositions. Médolie lui demanda qu'il les emmène chez l'elfe. Le joyeux luron dit bien entendu.

Bien entendu, je vais vous y mener de ce pas. Vous le connaisez d'ailleurs madame?

Ensuite ils le suivirent jusqu’à la maison du vieil elfe, Alford ce demandait pourquoi Médolie voulait-y aller, mais il ne jugea pas bon de faire la remarque. Il aurait la réponse bien assez tôt après tout, et préférer laissait Médo gérer cette affaire.

Bon moi je vais vous laisser, a plus.

Au revoir, et merci!

Il avait vu que Médolie semblait être réticente a aller chez l'elfe, mais il l'encouragea néanmoins, et il entrèrent finalement dans la maison. Médolie prit vite la parole, et se présenta elle, et Alfor, puis posa ses question à l'elfe. Elle n'eut néanmoins pas les réponse qu'elle espérer, et c'est assez déçu que les deux compagnons durent partir de la résidence de l'elfe. Après lui avoir dit au revoir bien entendu.

Le mercenaire répondit ensuite avec un mauvais pressentiment à la demande de Médolie à propos d'un futur combat. Cela risquait de ne pas être une bonne idée, mais il ne fit pas part de son mauvais pressentiments à sa collègue.

Bien entendu quand vous voulez, permettez juste que j'aille me préparer puis nous repartirons bien sûr quand vous voulez!


Il repartit ensuite vers la taverne ou il comptait récupérer ses dernière affaires, ce qu'il fit vite, mais bien. Il affûta son épée, vérifia sa sacoche de carreaux, et son arbalète, puis ajusta son armure, et mit ses provisions dans son sac. Lorsqu'il alla rejoindre Médolie il aperçu en chemin l'inconnu en capuche qui lui dit.

A ce que je vois, vous allez bientôt partir. Je ne suis pas venu vous dire que au revoir d'ailleurs mon ami. Comment te le dire? J'ai écouté ce que vous disiez chez le vieil elfe. Je sais cela ne se fait pas d'écouter aux portes, mais a ce que j'ai entendu vous allez avoir affaire à des vampires, et j'aimerai vous donner quelque chose qui pourrai vous aider.

Il prit deux objet dans son sac, et le tendit au mercenaire. Un Olifant le genre d’instruments utiliser pour la guerre, et un pendentif qui devait être un porte bonheur. Alford les mits dans son sac, et remercia très chaleureusement le généreux inconnu, et lui dit qu'il lui revaudrait ça. Ensuite il repartit avec Médolie du village vers une destinations qu'avait choisi la jeune elfe.

Au bout de quelques jours il arrivèrent près de ce que semblait être une embuscade tendue par les vampires à un détachements de l'armée qui allait bientôt arrivait. Alford vit Médolie se jetait au combat contre les vampires horriblement nombreux! 15 vampires non. A première vue, et à la façon dont il réagissaient ce n'étaient pas des vampires, mais de simples humains, des bandits habillés comme les soldats de l'armée vampirique sans doute intimider... Néanmoins même si ce n'étaient que des bandits ils allaient se faire charcuter si ils les combattaient à deux. Il n'avait pas d'autres choix que d'essayer appeler à l'aide. Peut-être que le détachements impériale qui est normalement la cible de l'embuscade pourrait leurs venir en aide? Il sortit son Olifant, et souffla dedans. Un son très grave en sortit, et se répandit sans doute à des kilomètres à la ronde. Pendant qu'il faisait cela son employeur avait pourfendu un bandit non sans mal. Lui pendant le peu de temps qu'il avait prit son arbalète, et tira sur l'une des malfrars qui s'apprêtait à attaquer Médolie. Celui-ci reçut de peu le carreaux d'arbalète en plein de le front, et cette partie de son crâne se fracassa sous ce choc très violent, débarrassant sa cliente d'un gêneur.

Ensuite il sauta vite de son cheval quand un bandit l'agressa à la dague. Il para de peu le coup avec son épée, et débuta un duel avec lemalfrat qui fut vite énervant car ce dernier se refusa à s'approcher du mercenaire. Par chance pendant que ce duel durait, et que Médolie semblait avoir tué un deuxième bandit.

Les renforts tant espéré arrivèrent! Plus de 30 soldats impériaux étaient là pour leurs venir en aide, et il semblait que d'autres allait les suivre. Ceux-ci engagèrent les bandits qui n'était pas en plein combat, et allèrent soutenir l'elfe qui était encerclé. Pendant que la situation s'inverser à la défaveur des bantis. Alford profita d'un moment d'inattention, et de stupeur de son adversaire pour lui trancher la main maniant sa dague. Le mercenaire ensuite frappa violemment avec la garde de son espadon sur la tête de son adversaire qui fut étourdit. Puis il se jeta sur lui, et la matraque de nombre de coups de poing jusqu'a ce qu'il fut assommé, après avoir reçu assez de coups de gantelet qui auraient depuis longtemps assommer bien des gars solide!

Quand il eu assommer celui-là, le nombre de bandits dorénavant ne s'élevait plus qu'a 7. Les autres s'étaient soit fais massacrer par les soldats en supériorité numérique, soit s'étaient enfuis face aux renforts qui arrivèrent juste après. Il avaient néanmoins déjà pris le vie de plus de 8 soldats. Alford en colère de cela, et avec une discipline impressionnante aller s'engager contre ce qui ressemblait au chef de ce groupe de bandit.

Rp combat (avertissement c'est très long...) :

Le bandit qui semblait être le chef du groupe, n'ayant aucun adversaire se mit à l'écart des combats, et fit un geste de défi au mercenaire qui y répondit en l’attaquant. Son adversaire esquiva, et essaya de lui couper la gorge, mais il para le coup avec le plat de la lame de sa lourde épée à deux mains, et poussa avec force le bandit qui recula de quelques pas. Puis ensuite ils s'entrechoquèrent leurs lames plusieurs fois d'affilés. Alternants chacun parades, coups, et esquives pour le bandit qui tenta très vite un cou d'estoc qui rata, mais fut accueillit d'un swing dangereux du mercenaire que le bandit esquiva de peu avec une adresse surprenante quand même.

Ensuite Alford fit un coup plongeant vers le bandit qui le dévia avec adresse. Alford ne lui laissa pas profiter de cela et fit des coups bas de gauche à droite avec son espadon qui obligèrent le bandit à se baisser et à les parer difficilement avec son épée. Ce dernier au troisième coup du mercenaire poussa fortement Alford en se relevant brusquement, et ce dernier dut reculer de quelques pas pour reprendre l'équilibre. Maintenant le bandit avait l'initiative, et arrosa le mercenaire de coup que ce dernier para avec habilité, mais difficulté. Au dernier coup il tenta d'aller dans le dos de l'homme en fer qui dut faire une balayette faiblarde avec son espadon pour l'en dissuader.

Ensuite Alford lui asséna un coup à l'horizontale très puissant, le chef des malfrats se releva à quelques mètres d'Alford, et esquiva les coups rapides de celui-ci, et esquiva le dernier swing d'Alford avec un saut arrière très agile. Le vampire coupe-jarret tenta ensuite de décapiter Alford qui esquiva le coup en baisant la tête sur le côté, et la lame frôla de très près son cou. Ensuite les deux combattants refirent un échange de coup variés, et s'éloignèrent l'un de l'autre après une dizaine de secondes d'enchaînements qui ne menaient à rien. Alford néanmoins insista, et après quelques échanges qui ne mirent aucun des deux en avantage, il fila un coup d'épaule rude au bandit qui dut bien le sentir passer, mais l'humain qui était un solide gaillard se reprit très vite, et se remit en garde en face de Gorder.

Alford attaqua plusieurs fois encore, mais le bandit n'arrêtait pas d'esquiver, ou de parer. Evidemment le combat commençait à traîner en longueur! Il lui faudrait y mettre un terme vite, sinon il risquait de trop s'épuiser.

Cette fois-ci le bandit se lança sur lui, et cala son épée sur l'espadon du mercenaire pour le repousser de quelques pas, et lui envoyer plusieurs coup de points dans la figure auquel le mercenaire répondit par un coup de boule sans finesse. Le coupe-jarret lui envoya un coup de pied dans les côtes qui le fit tomber au sol lui faisant faire un bruyant Cric-Crac a son armure. Le mercenaire se releva vite pour pouvoir parer le coup en traître de son adversaire redoutable. Celui-ci d'ailleurs essaye de lui asséner un coup qui lui fendrait la gorge. Alford lâcha son espadon, et lui attrapa de peu sous le coup du stresse les deux bras, et le leva pour le lancer derrière lui. Cela ressemblait bizarrement à une prise d'art martiaux qu'il eut fait sans le savoir.

Les deux adversaires redémarrèrent un échange de coup vifs, et le mercenaire fit un bond en arrière lorsque son ennemi fit un dernier coup qu'il n'avait pas le temps de parer. Il attaqua ensuite le bandit avec un coup horizontale faible qui fut bien entendu parer, et en profita pour lui filer un coup sous le menton violent, le coupe-jarret recula déstabiliser, et fila un coup de pied par surprise dans le casque du mercenaire, qui lui répondu par un coup hésitant pour le dissuader de profiter de son avantage.

Ensuite dans une tentative d'en finir il fonça sur son ennemi lorsque celui-ci allait l'attaquer. Il dévia le coup avec son épaulière, plaqua son espadon sous le cou du vampire, et l'égorgea violemment ce qui fit que la tête de son adversaire ne tenait plus que par un bout de tendon maintenant, et sa carcasse s'écroula à terre. Ensuite le mercenaire ne voyant qu'il ne restait plus d'adversaire pour s'opposer à lui dans l'immédiat, se laissa tomber au sol complètement épuisé.

Un carreau tua un des vampires qui allait lui sauté dessus. Médolie tourna la tête pour voir son homme de fer arbalète à la main. Elle para ensuite un coup violent. Celui-là la fit reculé. Les renforts furent bientôt là. Elle ferma les yeux pendant deux secondes. Un bruit sur la droite. Elle leva son épée et para le coup qui la fit de nouveau reculé. Elle perdait du terrain. Un jeune garde, qui lui rappela Diklan plus jeune, vient lui prêté main forte. Elle failli lui dire qu'elle avait besoin d'aucune aide mais finalement elle se mit dos à lui préparant le prochain assaut qui n'aurait su tarder. Elle se campa fermement sur ses jambes et plaça son épée comme un bouclier devant son visage. Elle se concentra comme jamais.

Elle vit le premier vampire bouger et avec la vitesse d'un éclair elle para un coup normalement mortelle. S'en suivit une espèce de dance en Médolie associé au jeune soldat et les vampires. Dès qu'un pas en avant était fait, un pas en arrière corrigeait l'espace. La dance mortelle était assez jolie a joué. Un autre vampire tomba sous sa lame. Soudain, l'un d'eux réussi a la désarmé. Elle se baissa alors pour évite le coup de lame qui lui entailla quand même l'épaule et coupa certains cheveux. Elle plaça, par réflexe, sa main sur la plaie saignante. Puis elle attrapa une dague qui se trouvait la ceinture d'un des monstre sanguinaire et se releva le tuant. Elle sauva ensuite la mise au jeune soldat en plantant la dague dans le coup d'un vampire qui allait la mordre. Médolie poussa un cri et se jeta en avant. Elle recupéra son arme et eu tous juste le temps de paré un coup se qui tira sur son épaule lui arrachant une plainte. Un des soldat tua son assaillant et l'aida à se remettre debout. Elle le remercia et c'est la qu'elle le vit. Il était au sol. Elle le crut mort. Elle ne pouvait plus bouger. Elle vit le monde autour d'elle comme s'il était au ralentit. Elle se précipita vers lui en courant. Un vampire la suivit. D'un mouvement de rage elle lui trancha la tête. Du moins en partit. Elle tomba à genoux au coté du mercenaire. Elle posa une main sur lui. C'est alors qu'il ouvrit les yeux et la regarda. Il était en vie. Médolie cacha sa joie.
"- Ne me refaite jamais ça ou je vous étrangle. "

Elle le foudroya du regard et se releva. Son épaule lui faisait mal. Un vampire approcha. Elle partit a sa rencontre. Sauf que cette fois il eu rapidement l'avantage sur elle. Elle tourna la tête vers Alford.
"- Je ne refuse pas de l'aide !"
Le vampire tapa un coup violent sur son épée se qui la fit souffrir. Elle recula et tomba sur les fesses. Le vampire leva son épée et elle mit bêtement la sienne devant son visage bouclier. S'en aide c'était la mort assuré.

Alors qu'il se reposait un peu par terre vu que maintenant la situation était tout a fait sous leurs contrôle, et qu'il était fatigué. Il entendait des pas légers dans sa direction, et entendit quelqu'un s'approchait et s'asseoir à côté de lui. Il ouvra immédiatement les yeux quand il senti une main douce sur lui... Il vit Médolie qui semblait le foudroyé du regard de lui avoir fait peur, et lui dire de ne pas refaire cela. Il était encore confus à ce moment là, se laisser tomber par terre quand on pèse aussi lourd n'est jamais une bonne idée, il avait était bien sot de faire cela. Néanmoins il reprit rapidement ses esprits, et vit la sale situation dans laquelle était son amie elfe, et entendit sa demande d'aide. Il commença à se relever et bondit sur la vampire avec l'énergie du désespoir quand il vit que celui-ci aller achever Médolie. En gueulant.

Médolie, non!

Il n’allait pas la laisser se faire tuer, alors que c'est à cause de lui qu'elle se retrouver dans cette mauvaise situation! Il était tout a fait enragé, et bondit sur l'adversaire de Mélodie avec l'énergie du désespoir Le faux vampire fut surpris par a manœuvre inattendu, et les deux adversaires roulèrent à terre désarmés à quelques mètres de là. Les deux adversaires étaient collés l'un à l'autres, et au coup de poids répondirent les coups de pieds, et même une tentative de crevage d’œil du bandit qui ne se concrétisa pas.

Lorsque les deux s'étaient biens frappés pendant quelques dizaines de secondes dans une sorte d'étreinte mortelle. Il se relevèrent tous les deux et se battirent à mains nues. Alford encaissa un coup dans le ventre heureusement amortie par son armure, et fila un coup de pied dans les parties avant de filer un enchaînement d'uppercut dans la tête de son adversaire. Le bandit arrêta le dernier coup et envoya un coup de pied dans le casque, et qui fit voler celui-ci un peu plus loin. Le mercenaire au visage maintenant découvert y répondit par le coup de tête du millénaire, et le bandit eu la bonne idée de faire de même. Du coup le bruits des deux crânes s’entrechoquant fit tourner vers-eux les regards des soldats ayant quasiment tués les derniers malfrats.

Les deux adversaires reculèrent de quelques pas en sa tenant la tête. Alford en ressortirait avec une magnifique bosse sans doute, il n'y voyait presque rien pendant quelques instants, mais son adversaire était à peine mieux lotie. Le bandit tenta de mordre le mercenaire qui évita de peu l'attaque en lui brisant la mâchoire avec les gants. Profitant de la distraction que la douleur devait causé à son ennemi, Alford agrippa ses deux mains sur son cou. Il fit tomber son adversaire à terre qui tentait de se débattre, et foutu un cou de pied dans les reins d'Alford, mais celui-ci ignora la douleur ignoble, et resserra peu à peu son étreinte. Il la relâcha seulement quand il entendit le bruit des os de la gorge de son ennemi craqué, et il se releva, puis alla chercher son casque pour le remettre sur la tête.

Quand il l'eut fait, il analysa la situation alentours, et il semblerait que tous les bandits ait étaient tué, ou se soit enfuis, et les soldats de l'empire s'en étaient sans étonnement plutôt bien sortie, sans doute grâce à leurs entraînements, Médolie, et à leurs supériorité numérique. Alford d'ailleurs alla la jeune damoiselle elfe, et lui dit chaleureusement.

Le vampire que nous cherchions est celui à la main amputé là-bas. j'ai l'impression que le groupe de bandit l'avait attrapé, et ne l'avait pas tué pour une raison quelconque... Dit-il en indiquant du doigt le buveur de sang à terre qui était encore bien dans les vapes mais pas inconscient après tout un vampire ne peut pas être inconscient, mais avant que les deux compagnons y aillent. Il lui dit encore en lui tenant amicalement les épaules.

Mon amie si vous me permettez de vous appeler comme cela. Vous êtes vraiment a ce que j'ai vu pendant ce combat "une dame gracieuse à la lame mélodieuse." J'espère sincèrement que nous allons trouver ce que vous cherchez depuis tant de temps. Dit-il avec un soupçon d'émotion dans la voix, cela lui arrivait rarement de faire de la poésie, mais ce moment était plaisant, et il avait était inspiré. Il était bêtement assez fier d'avoir trouvé cette double rime élaboré.

"Médolie, non!". Elle entendis cette phrase et avant qu'elle n'est eu le temps de se dire qu'elle était morte, elle vit Alford se placer devant elle. Elle fut surprise qu'il est crié ainsi son nom. Elle se releva cherchant ses esprits. Elle trouva des flèches et un arc. Elle se prépara à défendre le mercenaire de loin et plusieurs elle manqua de tiré mais filament, il se défit rapidement de son adversaire. Il revient vers elle. Elle sourit un bref instant. Elle eut presque envie de le serré dans ses bras. Il plaça ses mains sur les épaules de Médolie. Elle failli se plaindre à cause de la douleur mais ne fit rien paraître et le laissa parlé.
"- Vous n'avez sauvé la vie, vous avez gagné le droit de m'appeler votre amie plutôt deux fois qu'une. ( lui prend la main qui repose sur son épaule blesser pour qu'il arrête de lui faire inconsciemment mal ) Allons voir ce vampire que vous m'avez gardé. "
Je vis le jeune homme qui m'avait aidé et avec qui j'avais combattu et lui fit signe de nous rejoindre. Il vient. Tous les trois nous dirigeâmes vers le vampire. Je demandais au jeune soldat de lier les mains du vampire. Elle prit une dague sur le sol et se posta à coté du vampire. Elle le regarda et posé l'arme sur son cou. Il reprit ses esprits.
"- Répond moi et tu ne souffriras plus ! Connais-tu le nom de celui qui a tué Aaron Ann Ludvig ?
- Pourquoi vous le dirais-je ?
- Mauvaise réponse ! ( Elle lui planta la dague dans le corps ) Son nom !
- Je... Je ne connais pas !"
Pendant une dizaine de minutes elle n'arrêta pas avec cette question. Elle brisa le mental du Vampire qui finit par lui dire le nom temps attendu.
"- Zéleph Andérick ! c'est celui que vous cherchez..."

Sans aucune forme de pitié, elle lui trancha la tête. Puis elle jeta l'arme plus loin. La bataille, la blessure à la joue, celle à l'épaule et le fait qu'elle n'est pas vraiment mangé depuis un certain temps trop occupé par son esprit de vengeance fit que quand elle se releva sa tête lui tourna et elle attrapa le bras de Alford pour ne pas tomber. Cela ne le faisait pas vraiment pour une capitaine. Elle s'était vraiment laissé aller. Elle porta une main à sa tête.
"- Je crois que j'ai du mal à tenir debout. "
Cela la fit presque rire. Le jeune soldat l'attrapa afin de la mener un peu plus loin ou un autre jeune homme pratiquait des soins à des blessés. Il arriva en courant en la voyant. Après avoir traité les deux blessures, ils choisit de ne mettre un pansement que sur celle de son épaule. Il lui sourit en lui donnant un morceaux de pain, de la viande séché, une pomme et sa propre gourd d'eau.

Après une petite heure, elle se sentit mieux. Médolie se leva et alla retrouvé Alford.
"- Excuse moi pour tout à l'heure. Ça va toi ? Tu n'es pas blesser ? Je te remercie encore, sans toi je ne serais probablement plus ici ! Pardonne si mon étourdissement ta fait peur."
Depuis quand elle avait prit la décision de le tutoyé ? Elle n'en savait rien. Mais la bataille, le pensait-elle, avait renforcer le lien qui les jours avaient instauré. Il était temps qu'ils se tutoye.

Voir la mine enjoué de Médolie lorsqu'il lui parla mit Alford de bonne humeur, au moins ils s'en étaient tirés sans trop de mal tout les deux. Et ils s'avaient quasiment accomplis ce qu'ils voulaient tous les deux faire. Ils ne manquaient plus qu'a faire cracher les informations au vampire qui n'avait plus qu'une main, et ensuite à régler quelque dernière modalités. Il était aussi content d'avoir sauvé la vie de capitaine, et de ses performances lors de ce combat, même si il aurait pu faire mieux sans doute.

Il était touché lorsqu'elle lui dit qu'il avait le droit de la considérer comme une amie. Cela était plutôt agréable, et surtout c'était la première fois qu'il était ami avec une elfe! Cela ne devait donc être la chose la plus commune qui soit. Il en était assez fier du coup.

Bah je suis sûr que vous auriez fait de même, et puis c'est la moindre des choses que je pouvez faire pour vous.

Elle enleva ensuite la main qu'Alford avait posé sur son épaule, et ils s'allèrent tous les deux, ou plutôt tous les trois vers le buveur de sang. Alford, et un jeune soldat lièrent la seule main restante du vampire a un pieux planté au sol, et attachèrent ses deux jambes pour qu'il ne bouge pas. Ensuite le mercenaire détourna son regard pendant que Médolie extrayez les informations de la bouche du vampire. il n'aimait pas voir ce genre de choses, et ne ramena son regard que lorsque sa cliente lui agrippa la bras pour qu'il l'aide à se relever. ce qu'il fit sans aucun commentaire, et il ajouta, après que Médolie est parlé de ses difficultés à rester debout.

Je pense que vous devriez aller vous reposer un peu, après tout nous nous sommes bien battus, c'est donc normal que vous soyez fatigué, moi d'ailleurs je vais aller piquer un petit roupillon tant que j'y pense.

Pendant que Médolie alla se faire soigner, et se reposer. Lui il s'éloigna un peu du camp après avoir adressé quelques remerciements sincères aux soldats pour leurs interventions. Il alla s'asseoir sur une souche d'arbre abattu depuis peu, et commença a faire l'examen de son équipements, et de son état physique. Il était intacte a part sans doute quelques bleus, et une future bosse sur la crâne qui avec chance ne rendrait pas pendant un temps le port de son casque inconfortable. ensuite ses armes avaient juste besoin d'un petit entretien qu'il fit, et comme il le prévoyait. Il commença a dormir un peu pour se reposer.

Il fut réveiller une heure plus tard en douceur par son amie elfe qui semblait vouloir s'enquérir de son état. Il fut content de cela, et répondit calmement.

Cela n'est rien, tu étais juste un peu fatigué c'est tout. Je vais bien ne t'inquiète pas, et je m'en suis juste tiré avec quelques bleu, et une future bosse. Je suis heureux en tout cas que vous soyez maintenant en pleine forme.

Puis il tourna son regard vers le récent champ de bataille a quelques dizaines de mètres seulement. Sereinement il continua.

Bon maintenant que vous avez eu ce que vous voulez, je pense que nous allons bientôt nous dire au-revoir. Voulez-vous que je vous raccompagne à Gloria avant que vous me payer mon amie? Comme ça nous nous quitterons dans de meilleurs circonstances. Et je vous paierai peut-être un verre de la boisson que vous avez semblé appréciez là-bas? Dit-il avec une pointe d'ironie.

D'ailleurs plus sérieusement ma cher, que prévoyez vous de faire ensuite?

"Et je vous paierai peut-être un verre de la boisson que vous avez semblé appréciez là-bas? ". Elle ne put s'empêché de rire. Il allait avoir une bosse lui dit-il. Elle lui dit de ne pas s'inquiété et avec une pointe d'ironie elle ajouta que ça irait avec son look initial. Loin d'elle l'idée de se moqué de lui. C'était pour lui donner le sourire. Elle s'assit à côté de lui.
"-Rentre avec moi à Gloria. Ta compagnie est agréablement et je ne souhaite pas rentrée seul. Reposons nous la fin de cette journée. Pour se que je vais faire en suite.... Je suis Capitaine ! J'ai une armé à faire tournée. Mais vient un jour si tu le souhaite, je t’accueillerais à bras ouvert. Et je pense que Diklan ne refusera pas un duel, il adore ça. "
Elle fit bougé son épaule blessé afin de savoir si celle ci allait bien. Le repos lui faisait du bien. Toute fois elle bailla et sans excusa de suite. Elle ordonna a Alford de se reposé et alla voir le capitaine de la petite division.
"- Je suis le Capitaine Médolie Ann Ludvig. Je vous remercie pour le coup de main.
- Je suis Stéfen Linder. Nous étions pas loin et en entendant le clairon nous n'avons pas réfléchit et avons de suite fait route dans votre direction.
- Sans indiscretion, que faisiez vous par ici ?
- De la surveillance principalement.
- Vous voulez bien m'excusé ?

Elle venait de se rendre compte que les montures n'étaient plus ici. Heureusement que soleil la connaissait et qu'elle était habitué a Médolie. La jeune elfe fixa l’horizon et se mit à siffler. Un sifflement aiguë et long. Au bout de longue seconde, un hennissement lui répondit et bientôt les deux chevaux revienrent en galopant. Elle les rejoint et attrapa leurs longes, les guidant fait un endroit où ils seraient tranquille et commença à s'en occupé. Le jeune soldat s'avança.
"- Vous ne vous reposez pas ? Vous devriez.
- Je suis jamais les conseils. enfin presque jamais.
- Voulez-vous de l'aide ?
- Je ne refuse pas ! Je me nomme Médolie.
- Konrad. "

Il lui raconta sa vie et elle l'écouta. La fin de la journée arriva vite. Le soir, un des garde sortit une harpe. Médolie l'écouta jouer un long moment puis, à sa propre surprise, demanda à prendre l’instrument dans ses mains. L'homme accepta et lui donna. Les doigts de l'elfe se placèrent automatique et elle commença à pincer les cordes. Elle se revit plongée dans son enfance, jouait la mélodie sur le quel le garde avait frappé. Elle jouait. Elle n'avait plus joué depuis si longtemps. Elle commença même a fredonner. Le reste de la soirée se passa sur le même ton.

Alford s'enleva le casque, et toucha sa bosse naissante. Il ne put que confirmer en rigolant ce que disait Médolie. Il lui donna une tape sur l'épaule amicalement, puis lui dit d'un ton calme, et serein.

Qui sait peut-être que des cornes vont pousser sur mon front? Enfin plus sérieusement je sens que je vais avoir mon crâne bien serré dans mon casque. Est-ce qu'il n'y aurait pas un remède elfique pour cela? Finit-il en n'y croyant pas vraiment. En tout cas il y avait peux de chance que la capitaine se trimbale avec ce genre de choses sur soi, mais qui sait? Puis cette dernière lui demande de venir avec elle pour le voyage de retour à Gloria.

La compagnie de la capitaine elfe aussi lui était agréable quand il y pensait. Il était d'accord pour retourner à Gloria avec elle, au moins il aurait un peu de compagnie sur le chemin du retour. Il nota aussi le penchant pour les duels de ce fameux Diklan, cela pouvait être amusant, et puis il en ferait sans doute un avec la capitaine si il le peut.

Dans ce cas-là nous rentrerons tous les deux ensembles puisque vous voulez que je vienne, décidément je ne peux rien refusé aux demoiselles. Dit-il avec humour, et bonne humeur. Sinon merci de cette proposition de me faire entrer dans vôtre armée. Cela n'ait pas vraiment ma priorité pour le moment, mais qui sait! Un jour quand j'en aurais assez de voyager par le monde, si ça arrive... Je serais content que vous m'acceptiez dans vôtre unité. Ne vous inquiétez pas sinon pour Diklan je ne le frapperais pas trop fort. D'ailleurs vous aussi, vous pourriez faire un petit combat avec moi je pense, cela me ferai plaisir. Finit il en rigolant de bon coeur, puis il remit son casque sur sa tête.

Effectivement celui-ci commençait à lui serrer un peu, mais bon il y survivrait, et ça lui apprendra à foutre un coup de tête à un bougre de cette stature. Au moins il s'en était sorti sans trop de dommage cependant, et il pouvait être content que son sang n'est pas coulé pendant ce combat.

Juste après Alford alla se reposer pendant que Médolie appela les chevaux, et conversa avec ce qui semblait être le capitaine de l'unité de soldat. Il se contenta d'écouter les conversations pendant la fin de l'après-midi, et la somptueuse mélodie que la capitaine elfe joua à la harpe pendant la soirée. Il n'avait pas entendu souvent quelqu'un aussi bien joué de la musique. C'est pour cela qu'il resta attentifs pendant un bon moment, et complimenta sincèrement Médolie pour sa performance de musique assez impressionnante.

Il alla ensuite dormir, et passa une assez bonne nuit. La forêt était silencieuse, et paisible. La présence des soldats juste à côté devait aussi aider a ce qu'il s'endorme sans trop d'inquiétude, et le lendemain il se réveilla en pleine forme donc, et un peu après Médolie pour une fois.

Après être aller s'enquérir de l'état de sa cliente bien entendu. Il alla préparer les deux montures, et fit ses adieux à la troupe militaire qui était elle aussi sur le point de lever leurs camps. Il ne lui restait plus qu'a attendre Médolie, et ils partiraient à Gloria, pour finir cette mission, et dire au revoir bientôt à Diklan, et Médolie. Ils se reverraient sans doute un jour. Alford ferait aussi sans doute un duel avec Diklan pour s'amuser il avait envie de voir ce que valait ce vieil homme, et cela devait être réciproque sans doute.

Hrp : Bon je pense que l'on peut conclure là. Je te laisse finir, et aller ajouter ce rp à la chronologie (j'irai réclamer les xp pour nous deux)?

La musique avait plus a Alford au grand plaisir de l'elfe. Elle finit par rendre l'instrument et confia a son nouvel ami qu'elle n'avait pas joué depuis bien avant sa naissance. La différence d'age entre les hommes et les elfes troublait parfois Médolie.

A son réveil, qu'elle ne fut pas sa surprise en se rendant compte que le sieur Gorder dormait encore. Elle alla voir celui que l'avait soigné afin qu'il refasse le pansement. Elle alla manger un morceau et ft rejoint par Konrad puis par le mercenaire. Elle lui donna alors les 25 pièces d'or qu'elle lui devait. Il fit lui même les préparatifs du départ.
Médolie alla voir le capitaine Linder et le remercia une nouvelle fois pour son aide et sa gentillesse. Il lui dit que l'entraide était une chose qu'il fallait faire sinon le monde se fracasserait sur de grand rocher pointu. Elle sourit. Puis elle alla voir Konrad. Elle lui donna une de ses flèches elfiques en lui disant qu'il devrait apprendre à se servir de ça. Il hocha la tête et la remercia. Le retour fut tranquille.

Arrivé au Gloria elle rejoint ses troupes. Enfin avait-elle mis un pied dans le camp que tous le monde était déjà au courant. Elle vit de loin Diklan venir en courant. Il se stopa juste devant elle et inspecta la blessure en fin de cicatrisation sur sa joue. Puis il sourit, un sourire qui rechauffa le coeur de Médolie et Il la serra dans ses bras.
Le soir, elle fut de corvé d'histoire et raconta donc se qui c'était passé. Elle était de retour à la maison. Et elle avait un ami sur qui, elle le savait, elle pouvait compté.