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| La famille avant tout [pv Aliorën] | |
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InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: La famille avant tout [pv Aliorën] Lun 25 Nov 2013 - 4:45 | |
| Anaviel avait horreur de se trouver dans cet endroit... Le domaine de Rhapsodie était la maison des Baptistrels. Ces derniers lui avaient volé son père... Elle eue un soupire de découragement et de colère en regardant la porte d'entrée devant elle. Son père était présentement aux négociations avec leur autre peuple d'Armanda. Elle avait voulu être au côté dans son père pour le protéger contre les vampires, ses êtres imprévisibles et dangereux, mais Alio n'avait pas voulu d'elle. Elle tournait en rond, tel un lion pris en cage. Ana était en manque d'actions, elle voulait se rendre utile... ou au moins faire quelque chose autre qu'attendre la fin de la réunion. Elle soupira de nouveau avant d'aller s'assoir à terre. Pour passer le temps, elle fit l'inventaire de ce qui se trouvait sur elle. Dans son carquois se trouvait ses flèches de soie d'araignée, ainsi que quelques flèches normal. Toutes les pointes semblaient être en bonnes états. Elle eue un frisson de dégout regardant la pointe d'une de ses flèches. Elle espérait ne pas en avoir de besoin aujourd'hui, mais elle n'était pas tranquille avec la présence des vampires. Elle regarda par la suite si elle avait ses dagues à sa ceinture et son arc. Tout était à sa place, il ne lui restait juste à regarder dans son sac.
Alors qu'elle commença le mouvement pour enlevée son sac à dos, le sol de mit à trembler. Elle posa ses mains sur le sol, de chaque côté d'elle, pour éviter de tomber. La colère qu'elle ressentait était partie pour faire place à la peur. Elle avait peur pour son père qui était à l'intérieur du château. Là où elle se trouvait, il ne pouvait pas lui arriver grand-chose, elle était assise au sol, donc si elle tombait elle ne tombait pas de haut et elle était à l'extérieur, donc le toit ne risquai pas de lui tomber dessus. Ce n'était pas le cas de son père qui se trouvait à l'intérieur, sous un toit qui pouvait tomber, ou un sol qui s'effondre et puis il y avait les vampires, s'il quelqu'un qui se blessait, ils risquaient d'être incontrôlable. Ana fit tiré de ses pensées par une douleur au niveau de son coeur, puis de tout son être. Elle ne se sentait pas bien, elle avait l'impression que quelque chose était en trait de lui être volé... mais elle ignorait quoi. Elle se laisse tomber sur le dos dans l'espoir de se calmer. Ce geste eu un effet bien différent de ce qu'elle voulait, car lorsque ses yeux tombèrent sur elle ciel, elle le vit noir et la lune était rougeâtre. La peur pris plus de place dans le corps de la jeune elfe. Il se passait quelque chose de vraiment malsain en ce moment. Lors que la terre eue enfin fini de trembler, elle reprit en vitesse toutes ses choses et se leva. Elle regardait la porte une fraction de seconde, son père ne voulait pas qu'elle rentre à l'intérieur, elle chassa vite les paroles de son père et se mit à courir vers la porte. Elle la poussa de toutes ses forces.
Ana regarda les lieux avant de repartir à courir dans une direction qu'elle espérait être la bonne. Elle ignorait complètement où se trouvait son père. Elle se fiait à son instinct qui lui avait rarement fait défaut. Plus les secondes passèrent, plus la panique s'empara du corps de la jeune fille. Elle s'arrêta un bout de moment, son souffle était rapide et saccader. Elle fit de son possible pour prendre un bouffé d'air avant de crier le plus fort qu'elle, le pouvait:
"Aliorën!!!"
Elle regardait autour d'elle espérant le voir, mais il n'était pas là. Elle se maudit de s'être arrêter inutilement, cela lui avait fait perdre de précieuses secondes. Elle se remit donc à courir et criant le nom de son père à chaque intersection qu'elle croisa. |
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| Sujet: Re: La famille avant tout [pv Aliorën] Dim 1 Déc 2013 - 13:14 | |
| Le malaise l’avait étreint si violement. Il avait été désorienté, surpris, puis frappé d’une admiration sans borne quant à la présence des esprits. Mais s’ils avaient été d’abord merveilleux, très vite, leurs révélations avaient plongé Aliorën dans une sourde peur, une colère terrifiée. Anaviel était ici, non loin, si proche ! En danger ! Avec violence, il se rendit compte que rien d’autre n’existait dans cette pièce pour lui, désormais. Le devoir, la paix, l’harmonie, le sacrifice ! Rien du tout. La seule chose qui comptait était sa survie et sa protection. Sa douce Anaviel. Dès qu’il le put, il sortit de la pièce. Nauséeux, il avait perdu une grande partie de sa magie, et il craignait de ne pouvoir être d’une aide quelconque. Son angoisse le saisit à la gorge, coupant sa respiration l’espace d’une seconde. Il refusait, IL REFUSAIT qu’il lui arrive quoi que ce soit. Il sortit dès qu’il le put, et cavala quelque peu maladroitement dans les couloirs, la tête lourde de cette perte soudaine de puissance.
« Anaviel… ANAVIEL ! » appelait-il.
Il la savait proche de lui. Il n’avait pas voulu d’elle aux négociations, trop dangereux. Il ne lui avait pas interdit si fermement, mais elle avait obéi car elle était sa fille. En un sens, il était content, car si elle se trouvait justement à l’extérieur, elle n’était probablement pas écrasée sous un quelconque décombre. Mais dehors… dehors les Alayiens attaquaient. Il ne supporterait pas de la perdre, il ne le supporterait pas ! Et puis, soudain, il vit la lumière. Pas au sens propre, bien qu’il ne fasse pas sombre. Mais il l’entendit. Il bondit dans le sens de sa voix, guidé par la perception. Sans le sentir, il faisait appel à son élément. Air ne l’abandonnerait pas.
« Anaviel ! » Cria-t-il enfin en l’appercevant. Il était derrière elle, il courrait vers elle.
Arrivé à sa portée, il l’enlaça comme si c’était la dernière fois qu’il la voyait. Son cœur battait frénétiquement, son souffle était rapide, anxieux. « J’ai eu si peur… » murmura-t-il doucement. Puis, il se fit un devoir de la mettre au courrant. Les deux mains sur ses épaules.
« Ecoute-moi, Anaviel, ma douce. Nous sommes attaqués. Le Néant tient le Dracos en échec, les dragonniers sont partis le sauver. La magie d’Armanda est en péril. Tu as du le sentir, au fond de toi. Notre force s’éteint douloureusement. Pire encore, les barrières protectrices sont levées. Les Alayiens attaquent. Il faut faire vite. Certains sont partis chercher des armes, d’autres combattent déjà. Il nous faut trouver de l’aide, de quoi soigner ceux qui tombent, de quoi abriter ceux qui ne peuvent se battre. »
Il se retint de lui dire ce qu’il avait entendu. Que les Esprits les avaient tous enjoints à se battre jusqu’à la mort. Et qu’elle viendrait, presque avec certitude.
« Anaviel, je t’aime tellement, je t’interdis de mourir, tu m’entends ? Ne va pas au cœur des combats, ils maitrisent la guerre mieux que nous, surtout sans notre magie. Reste avec moi, trouvons notre place. Nous allons soutenir l’effort. »
Il commençait à se ressaisir. Elle était là, au bout de ses doigts, indemne. Il se rassurait à son contact. Il ne l’avait pas perdue, pas du tout. Il embrassa son front. Peu à peu, la tornade bouillonnante qui l’avait secoué se calmait. Il ne restait bientôt plus qu’une douce brise calme dans son cœur. Malgré le tumulte qui résonnait à ses oreilles, bribes des affaires qui se passaient tout autour. Malgré tout. Il était heureux et calme.
« Et appelle-moi Père… s’il te plait, ma Estel. [Espoir] » |
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| Sujet: Re: La famille avant tout [pv Aliorën] Jeu 5 Déc 2013 - 3:31 | |
| Le coeur d'Anaviel battait la chamade. Elle voulait revoir Alio et elle devait le revoir. Elle ne voulait pas le perdre, elle l'aimait trop pour cela. Depuis qu'elle avait perdu sa mère, il ne lui restait qu'Aliorën, bien sûr, elle avait Chess et les animaux comme amis, mais ce n'était pas la même chose. Ils n'étaient pas de sa famille, de son sang, ils ne pouvaient pas ressentir ses douleurs et ses joies, comme le faisait son père. Elle s'imaginait le retrouver mort, vidé de son sang à cause d'un vampire, ou pire encore, enterré vivant sous les murs du château.
« Anaviel !»
Elle entendit un bruit derrière elle, une douce et merveilleuse mélodie. Cette voix, elle était capable de le reconnaître entre des millions : c'était celle de SON Baptistrel. Elle commença à ralentir la vitesse de son pas pour faire s'arrêter en douceur. Une fois que cela fut presque fait, elle se retourna enfin de voir l'être qui composait tout son univers courir vers elle. Ana fut grandement surprise lors qu'elle sentit les bras masculins autour d'elle et encore plus en l'entendant murmurer.
« J’ai eu si peur… »
Ana ne savait pas si elle avait rêver se murmure rempli d'amour ou s'il était vraiment réel. Elle répondit à l'étreinte en y mettant toute l'amour et l'admiration qu'elle avait envers l'elfe. Elle lassa passer entre ses lèvres une soupire de soulagement de le voir en un seul morceau et sans blessures graves. Puis les mains d'Alio se posèrent sur ses épaules. Ce mouvement lui rappela qu'elle n'était pas en lieux surs et qu'elle devait rester sur ses gardes.
« Ecoute-moi, Anaviel, ma douce. Nous sommes attaqués. Le Néant tient le Dracos en échec, les dragonniers sont partis le sauver. La magie d’Armanda est en péril. Tu as du le sentir, au fond de toi. Notre force s’éteint douloureusement. Pire encore, les barrières protectrices sont levées. Les Alayiens attaquent. Il faut faire vite. Certains sont partis chercher des armes, d’autres combattent déjà. Il nous faut trouver de l’aide, de quoi soigner ceux qui tombent, de quoi abriter ceux qui ne peuvent se battre»
Le coeur d'Anaviel rata un battement. Par Dracos, comment pouvait-il avoir perdu face au Néant. Qu'allaient-ils leur arriver maintenant que leur protecteur n'était plus là pour eux. De plus, leur monde, qui était lié avec la magie, courait un véritable danger et rien de semblait être en mesure d'arrêter se fléau. La seule vraie protection qu'ils avaient contre les alayiens venait de disparaitre et les mages étaient tous affliger d'une terrible douleur causer par l'absence de la magie. Le découragement commença à envahir le corps de la jeune elfe, seules les mains du plus âgée semblaient l'empêcher de s'effondrer. Ana ne savait plus quoi faire, elle voulait protégé son géniteur, mais si Dracos n'avait pas réussi, comment le pourrait-elle?
Puis Aliorën parla du fait qu'ils devaient aider les blessés et mettre à l'abri les non combattent. L'homme avait encore espoir en leur survie, cela redonna un peu de courage à Ana. Elle ne devait donc pas abandonner tout de suite. Elle lui fit un doux sourire et se dit pour elle-même qu'elle laisser au doyen des Idrisyl la tâche de s'occuper des blessé pendants qu'elle irait se battre pour le protégé.
« Anaviel, je t’aime tellement, je t’interdis de mourir, tu m’entends ? Ne va pas au cœur des combats, ils maitrisent la guerre mieux que nous, surtout sans notre magie. Reste avec moi, trouvons notre place. Nous allons soutenir l’effort. »
Dans les yeux bleu clair de la jeune fille, on pouvait voir de la douleur face au doute du blond en ses capacités. Elle était capable de se battre et puis elle serait loin de l'ennemie avec ses flèches... mais il n'avait pas confiance en elle. Mais cette douleur disparue aussi vite qu'elle était arrivée. Il voulait rester avec elle, Anaviel avait donc une place dans son coeur et il la pensait capable de soigner les blessés. Même si elle aurait préféré le combat, soigné était son métier et c'était là qu'elle était meilleure et plus rapide.
Elle ferma les yeux par réflexes lors que le grand mage s'approcha de son visage. Le doux contact contre son front la fit sourire encore plus. Elle tombait toujours dans un état de béatitude lors qu'Alio lui démontrait son affection, cela la réconfortait dans ses peurs et ses craintes. Il tenait à elle, ce simple fait le fit encore plus s'élargir son sourire. Elle ouvrit les yeux pour admirer le visage en face du sien.
« Et appelle-moi Père… s’il te plait, ma Estel. [Espoir] »
Père... elle avait toujours eue de la difficulté à utiliser ce mot pour désigner l'elfe en face d'elle. Ce n'était pas dû à un manque d'amour, car elle l'aime plus que tout, mais les longues absences de l'homme faisaient qu'elle ne savait pas comment identifier cet homme. Elle avait toujours eue l'impression qu'elle n'était qu'un poids pour lui, une chaîne à une vie qu'il ne voulait pas. Et elle ne se trouvait pas à la hauteur pour être sa fille, la fille d'un grand et puissant Baptistrel.
Elle retira ses bras d'autour de corps chaud et vivant de son père et les mit en V dans son dos. D'un petit mouvement d'épaules, elle fit glisser son sac le long de ses bras et l'attrapa avec sa main droite. Elle tendit le sac au puissant soigneur.
"Il y a des produits de base pour soigner. Je vais vous couvrir pendant que vous soignez les gens que l'on va croiser sur notre chemin... père"
C'était un compromis entre son envie de combat et le désir d'Alio de voir se fille en sécurité. Si les alaiyens attaquaient le domaine de la Rhapsodie, ils devaient en premiers lieux évacuer les gens qui étaient présents durant les négociations. Par la suite, ils devaient trouver des renforts pour empêcher les priants du Néant d'avancer plus loin dans leur très chère forêt. Ana savait qu'il y avait de puissants combattants présents, mais la majorité était des êtres magiques, donc très vulnérables face aux armes ennemies. Il y avait bien quelques humains, mais ce serait lâche de demander à ses fleurs fragiles et éphémères de se battent à leur place. Il ne restait que les dragons, mais ils devraient être partis avec leur lié pour sauver Dracos. Elle eut un petit soupire de désespoir face à leur vulnérabilité. Puis une idée bien étrange lui traversa la tête. Et s'ils utilisaient une magie bien différente de celle que les envahisseurs connaissaient, une magie connue que par les elfes: les animaux. Elle savait que cela allait mettre les bêtes en danger, mais s'ils étaient capable de diriger l'attention de leurs ennemis dans une autre direction durant quelques minutes, cela leur donnerait le temps pour se mettre en sécurité et faire un plan solide et sécuritaire pour tout le monde.
"Je sais que c'est très dangereux, mais pensez-vous père que les animaux seraient capable de nous venir en aider? Je suis persuadée que leur intervention créerait un effet de surprise qui détournerait le regard de l'ennemie vers une autre direction. Nous aurions besoin que de quelques minutes... Les animaux auraient le temps de partir avant de se faire attaquer."
Elle aurait aimé trouver mieux comme idée pour les protégés, mais rien d'intelligent ne lui venait en aide. C’est durant ces moments-là qu'elle se demandait à quoi ça lui servait de lire ses livres remplie de connaissances, s'ils ne lui étaient d'aucunes utiliser lorsqu'elle avait vraiment besoin d'une solution rapidement. Si elle avait plus de temps et de moyen, elle serait capable de trouver un moyen de créer une fausse magie pour faire croire aux alayens que leur esprit les avait abandonnés...
"Et si l'on neutralisait leurs armes avec de la cire? Pensez-vous que cela pourrait nous protéger de leur magie."
Ana avait entendu parler que les armes noires aspiraient leur magie, elle se demandait donc quel effet cela aurait s'ils les recouvraient avec quelque chose. Elle savait que l'idée était très farfelue, mais elle préférait paraitre étrange que de ne rien essayer. Elle devait garder espoir en ses temps sombres... elle devait continuer d'avoir confiance en son père et en Dracos, les esprits étaient là pour les protéger contre la destruction totale d'Armanda. |
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| Sujet: Re: La famille avant tout [pv Aliorën] Mar 17 Déc 2013 - 12:07 | |
| Il sentit en elle le découragement, et la douleur. Pensait-elle qu’il ne pouvait avoir confiance en elle ? Non, non bien sûr. Elle n’était que peinée. Oui. Mais il avait confiance, Aliorën avait confiance en elle plus qu’en quiconque… il ne la voulait juste pas au milieu des combats. Les Esprits leurs avaient promis une mort glorieuse. Il ne voulait pas qu’elle y succombe. Tant pis pour la gloire, cette dernière n’avait jamais nourri personne. Elle lui donna sa besace, et il lui sourit en comprenant ses mots. Ils allaient marcher et aider ceux qu’ils croiseraient. Puis il l’écouta donner le reste de ses idées, acquiesçant uniquement pour dire qu’il l’entendait, alors que ses pas le guidaient droit devant. Ils allaient devoir sortir des décombres ceux qui étaient sous les bâtiments les plus sensibles au moment du tremblement de terre. Et cela n’allait pas être une partie de plaisir, se dit-il, quand il sentit de plus belle sa magie malade en lui. Comme un affaiblissement général de son être. Quand à sa dernière idée… si farfelue… elle lui arracha un sourire au milieu de la douleur de ce qui l’entourait. Oui, elle était encore une belle et jeune enfant. Naïve et attachante.
« Les animaux sont une bonne idée. Ils seront en danger hélas mais… mais ils pourraient nous aider. Nous nous rapprocherons du combat et nous essayerons de les appeler… d’accord ? »
Il enjamba une poutre au sol et souleva une porte qui était au milieu du chemin.
« La cire ne sera pas notre alliée, bien trop fragile, le moindre coup la désolidariserait. Et comment pourrions-nous l’appliquer sur leurs lames sans nous faire découper ? »
Il avança, et lança un très sonore : « Il y a quelqu’un ? » au travers de la pièce désertée. L’écho apporta sa voix au reste de la pièce, et il entendit un faible « au secours ! » lui répondre au loin.
« Anaviel, il y a un blessé là-bas, peut-être d’autres, peux-tu les voir ? »
Il montrait le fond de la pièce, où les meubles s’étaient tombés les uns sur les autres. La secousse avait eu raison d’eux, et un elfe ou un homme s’était probablement retrouvé pris au piège dans les morceaux de bois qui jonchaient désormais le sol.
« Nous devons atteindre l’autre côté. Ils ont besoin d’aide. Nous sortirons par là-bas. » Il montra une fenêtre qui était ouverte et atteignable facilement. « Et nous nous rapprocherons des autres, où nous soutiendrons l’effort de guerre, d’accord ? »
Son souffle se faisait déjà court, affaibli. Il se sentait à moitié existant, à peine. Le chemin fut hasardeux, mais ils eurent la chance que rien d’autre ne leur tombe dessus. Sur les dernièrs mètres, ils durent ramper entre deux planches tombées en travers, mais ils purent atteindre les… trois blessés. Deux inconscients, une femme et un jeune homme, et le dernier, un elfe, semblait… oh oui, il avait une jambe cassée, et il était coincé sous un meuble. Il grimaça.
« Tenez bon, nous vous sortons de là. Je vous le promets. Vous avez confiance en moi, n’est-ce pas ? Anaviel, ma douce, vient de ce côté. »
Il lui indiqua un côté du meuble. Ils allaient soulever le gros du bois et sortir l’elfe de là. Un morceau de bois chûta sur son épaule et le blessa légèrement, mais ils purent sortir le blessé de sa prison douloureuse. A deux, ils se chargèrent de soigner les trois blessés, avec le matériel de base qu’ils avaient – et quelques morceaux de bois comme attèle. Ils ne parvinrent pas à rassembler assez de magie pour les remettre tous les trois sur pieds entièrement. Mais ils purent au moins les réveiller. La femme se montra suffisament forte pour aider le plus blessé à marcher, mais le jeune homme était terrifié.
« Bien, nous passons par la fenêtre maintenant, nous ne serons pas plus en sécurité, mais nous aurons plus de chances de nous en sortir : si quelqu’un entre ici sans bonnes intentions, nous serons prisonnier des décombres et nous nous ferons massacrer. »
Mais quelques pas après avoir franchi la fenêtre… ils furent face à un groupe d’Alayiens… |
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| Sujet: Re: La famille avant tout [pv Aliorën] Ven 3 Jan 2014 - 20:13 | |
| « Les animaux sont une bonne idée. Ils seront en danger hélas mais… mais ils pourraient nous aider. Nous nous rapprocherons du combat et nous essayerons de les appeler… d’accord ? La cire ne sera pas notre alliée, bien trop fragile, le moindre coup la désolidariserait. Et comment pourrions-nous l’appliquer sur leurs lames sans nous faire découper ? »
Anaviel écouta attentivement son père. Il avait raison, la cire était fragile, elle allait donc devoir chercher comment la rendre plus solide lors qu'ils seraient hors danger. « Il y a quelqu’un ? »
« au secours ! »
Au loin, on pouvait entendre une faible voix répondre à Alio. Cela voulait donc dire qu'il y avait plus que juste les baptistrels qui travaillaient ou venaient ici. Ana ne savait pas comment réagir à cette nouvelle. Vu la situation, elle se dit qu'elle y repenserait plus tard.
« Anaviel, il y a un blessé là-bas, peut-être d’autres, peux-tu les voir ? »
Elle regarda dans la direction que son père lui montrait. Ana n'arrivait pas à voir combien de personnes se trouvaient dans le fond de la pièce, car il y avait trop de ruine qui bloquait sa vue.
"Malheureusement j'en suis incappable père. Nous devrions nous approcher pour mieux voir."
« Nous devons atteindre l’autre côté. Ils ont besoin d’aide. Nous sortirons par là-bas. Et nous nous rapprocherons des autres, où nous soutiendrons l’effort de guerre, d’accord ? »
Elle suiva sagement son père. Ana était inquiètte pour les être vivant qui étaient blesser. Elle n'aime pas savoir que des gens souffraient, c'était une des raisons qui l'avaient pousser à devenir soigneuse.
« Tenez bon, nous vous sortons de là. Je vous le promets. Vous avez confiance en moi, n’est-ce pas ? Anaviel, ma douce, vient de ce côté. »
Anaviel alla aider son père a lever le meuble. Une fois fait, ils commençaient à soigner les blesser avec ce qu'il y avait dans son sac et des morceaux de bois trouver sur le sol. C'étaient des soigne de bases et sans magie. Cela laissa donc les blesser mal en point, mais ils étaient tout de même cappable de bouger. Ana vit un doux sourire aux blessées pour leur donner de courage. Ensemble ils allaient réussir à se sortir de ce cauchemar.
« Bien, nous passons par la fenêtre maintenant, nous ne serons pas plus en sécurité, mais nous aurons plus de chances de nous en sortir : si quelqu’un entre ici sans bonnes intentions, nous serons prisonnier des décombres et nous nous ferons massacrer. »
Ils franchirent la fenêtre à pas de tortue à cause des blessé, mais ils réusirent tout de même à se sortir du bâtiment. Une fois dehors ils n'eurentle temps que de faire quelque pas avant de tomber sur les alayiens. Le cauchemar prit donc des teins encore plus dangereuse. Anaviel prit aussitôt son arc en main, mais ne tira pas, car les alayien ne semblaient pas encore les avoir remarqué. Ana ne voyait qu'une solution pour leur survie, se replier. Retourner sur leurs pas était du suicide, car ils seraient bloqué à l'intérieur et ne pourraient plus se défendre. Il fallait donc se cacher derrière des débris pour protégé tout le monde et permettre d'avoir un angle d'attaque sécuritaire. Malheureusement Ana n'avait pas assez de flèches normal pour tous les tuer... surtout que leur amure les protégeaient de la plus part des attaque.
« "Part ici!"»
La femme avait trouvé un tas de roche un peu plus loin sur leur gauche qui leur permettrait d'être à l'abri des armes Alayiens pour quelques secondes.... Au moins de là-bas Ana allait pouvoir tirer sur ses monstres sans trop se mettre en danger. Les blessées se mirent à courir vers l'abri. Courait à reculon pour tenir l'ennemie dans la ligne de tire, au moins mouvement, elle était prête à tirer. Elle n'eue pas le temps de faire plus que trois pas que les Alayiens les repérèrent et se mirent à courir vers eux. Ana leur tira une flèche dessus, la flèche toucha la jambe de l'un des soldats... cela réussit à le ralentir un peu. Ana se tourna pour mieux courir... tiré de l'arc et courir à reculon n'était vraiment pas facile.
"Nous y sommes presque!"
Une fois caché derrière les roches, Ana reprit une de ses flèches et la tira vers l'ennemie. |
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