|
| Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] | |
| Auteur | Message |
---|
InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Ven 27 Déc 2013 - 19:57 | |
| Elle plaça sa paume vers le ciel et créa une boule lumineuse. La nuit était déjà tombé et c'était plus Diklan que pour elle. En lévitation devant elle, l’ordre montrait le chemin devant eux. Soudain l'homme eu envie de parler d'un drôle de sujet. "- Tu n'as jamais pensé avoir une famille ? - Que... Quoi ? Diklan ! Tu crois que c'est le moment de parler de ça ? - Répond moi Médy ! - Si tu me dis que tu es tombé amoureux de moi... - Non ! Non. - Alors sujet clos."
D'un geste, elle le rendit muet. Diklan regarda son amie. Visiblement il avait touché un point sensible. Même quand il se rendit compte qu'il pouvait de nouveau parler, il se tut. Ensuite, il fallut la joué fine. Elle ordonna à Diklan et ses troupes de resté aussi loin que possible. Elle regarda son ami, mit sa capuche sur sa tête devenant une partie de la nuit. Elle finit disparaître la lumière. Elle attrapa son arc et se prépara à tirer au cas ou cela se passerait mal. Elle avait quitté Aldaria avec ces soldats depuis quelques nombreux jours déjà. Elle voulait rejoindre seule Gloria pour prévenir qu'ils étaient à l'exterrieur.
La nuit l'aidait à ne pas se faire voir. Elle courut pour ne pas se faire détecté. Elle trouva alors une porte non loin de où était un des camps ennemie. Comme elle s'y attendait, la porte était verrouiller. Elle entreprit donc de crocheté la serrure se qui lui demanda pas mal de temps. Quand enfin se fut ouvert, elle entra précipitamment et vit une ombre dans la rue. Elle ferma la porte. Elle s'enfonça dans les rues. Il n'y avait absolument personne. Pas un garde, pas un rat. Elle s'avançait prudemment. Soudain, un éclat de voix se fit entendre: "- Là ! Tirer ! Vite !"
Elle entendit plusieurs sifflement qu'elle essaya d'évité. Puis une vive douleur dans l'épaule droite. Elle tourna la tête alors qu'elle tombait en arrière pour voir une flèche planté dans son épaule. Elle était maintenant sur le dos et vit alors ceux qui lui avait tiré dessus. Enfin elle les devina dans la nuit. Elle rejeta sa capuche. Elle voulu se redressé mais en s’appuyant sur le mauvais bras elle ne réussit qu'a se faire mal de nouveau. La vague de douleur la transperça. Elle les entendit dire de tiré de nouveau. Elle hurla alors: "- Non ! Je suis de votre côté ! Je suis la Capitaine Médolie Ann Ludvig ! Stop !"
Elle créa vite fait plusieurs boules de lumières afin de montré qui elle était. La flèche état contre son muscle, cela ne faisait que lui faire plus mal d'avoir créé de quoi être vu. Elle respira profondément afin de pas tomber dans les pomme sous le coup de la douleur. Elle se laissa totalement tombé sur le dos. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Ven 27 Déc 2013 - 21:15 | |
| La soirée était belle, calme et sans bruit. Pour une fois qu'il n'y avait pas de problème Matis en avait profiter pour se reposer sur le Mur Extérieur. Drôle d'endroit pour se reposer, mais il n'y avait pas un coin avec une plus belle vue sur le camps ennemi de toute façon. Et puis comme il était l'officier référent cette nuit, il devait ne pas être très loin du front dans le cas où les ennuis commenceraient. Avec lui se trouvait son premier lieutenant, et avec les événements qui se passaient au palais il était nerveux. Matis l'était aussi car les affaires des Kohan quant à la succession étaient vraiment étrange.
Dans sa main il tenait la pièce d'or que lui avait offerte Esmelda Kohan il y a six ans. A cette époque l'Empire était en paix, il y avait un autre Empereur, et il n'avait pas peur pour la survie de l'Empire. Aujourd'hui tout était différent, et il avait peur. Dans son grand manteau de cuir il alla cacher son visage, le froid en cette période de l'année était mordant. Et sans grande surprise son second fit de même, il avait fait équiper l'ensemble de ses hommes de manteau similaire. Pour les protéger du froid mais aussi pour les différencier du reste de la troupe, c'était une fantaisie qu'il se permettait et que le commandement autorisait par son silence. Mais finalement ce fut son premier lieutenant qui mit fin au silence en faisant part de ses inquiétudes à son officier.
Matis. Avec ce qu'il se passe au palais je ne sais pas quoi penser. Je sais qu'on doit obéir à l'Empereur et au commandement mais quand même. Il aurait tué des gens après la mort de son cousin ! Et ensuite on se retrouve avec le fils d'une obscure branche à la tête de l'Empire ? l'homme souffla et mis les mains dans ses poches avant de poursuivre. Comme si on avait pas assez d’emmerde...
Matis acquieça. Thomas avait, en quelque mots, résumé la pensé collective de ses soldats et d'une grande partie de l'armée. Alors oui il y avait toujours des lèches botes et des opportunistes qui avaient déjà juré allégeance au nouvel futur empereur. Fabius Kohan. Nom qui lui était inconnu car il n'était pas dans la partie proche du pouvoir à la base. Mais ça c'était avant. Et l'ancien régent était maintenant en prison d'après ce qu'il avait entendu. Sans procès ni rien ? Il y avait quelque chose qui clochait. Et ça mettait Matis en rage. Rien que d'y penser... Non il faudrait qu'il en soit sur, cette pièce que lui avait offert la jeune princesse pouvait sans doute servir. Et il avait quelques dettes à faire honoré par les gardes du palais.
Je le sais Thomas. Et franchement je ne sais pas quoi en penser et...
Il entendit crier non loin de là, des soldats couraient sur le mur, des torches s'allumaient et des flèches volaient vers une des portes de sortie du mur. Que pouvait il bien se passer là bas. Matis attrapa ses épées ainsi qu'une dizaine de ses hommes pour se rendre sur le lieu de l'incident. Il n'entendait pas grand chose à part une jeune femme hurler de ne pas tirer.
En observant plus dans le détail il pu apercevoir que la jeune femme était une elfe et qu'elle s'éclairait avec une orbe de lumière. Une magicienne Elfe ? Mais comment ? A ces côtés se trouvait un soldat, son escorte ? Les renforts Elfes ? Il y avait quelque chose à éclaircir. Et heureusement que ses hommes étaient intelligent car comprenant ce qu'il se passait ils avaient cessés leur attaque. Et Matis courait toujours, il descendit l'escalier du mur pour se rapprocher des deux intrus. La première était blessée, le second trop occupé à s'occupée d'elle pour faire quoi que ce soit.
Il voyait qu'elle souffrait, elle s'était prit des flèches et elle tentait de ne pas tomber à la renverse. Rangeant ses épées il parla rapidement à son lieutenant.
Va dire à Nikolaï de préparer son officine, et explique lui qu'il va devoir s'occuper d'une elfe.
Le vieil homme allait commencer à croire qu'il servait d’alibi pour que Matis aborde de belle jeune femme... S'il savait réellement ce qu'il éprouvait dans ce genre de situation.
Je suis le capitaine Matis Falkire, responsable de cette section du mur. Je vais vous mener à mon officier médical sur le champs. Vous pouvez marcher ou je vous porte jusqu'à l'infirmerie ? Elle n'est pas loin d'ici ! Ensuite vous m'expliquerez pourquoi vous entrez comme des voleurs dans la citée. Nous autre Humain avons un sens de l'hospitalité légendaire quand on frappe avant d'entrer, par contre quand on entre sans prévenir... Disons qu'on l'est un peu moins.
Blagues à part il faut qu'on se dépèche.
Bon la bonne nouvelle c'était que les hommes de Matis savaient enfin se servir de leurs arcs, était ce grâce à Rebrylla ? Peut être. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Ven 27 Déc 2013 - 22:05 | |
| "Vous pouvez marcher ou je vous porte jusqu'à l'infirmerie ? ". Elle avait déjà été surprise que Diklan l'est suivit jusqu'ici alors l'humain posa la question elle manqua de le mitraillé du regard. Elle frappa Diklan alors que celui-ci essayait de voir les dégâts de la flèche. Elle lui jeta un regard lourd de reproche. Elle ordonna à Diklan de l'aidé à se relevé. Elle regarda l'homme. "- La seule flèche qui m'a touché est celle dans mon épaule. Donc oui, je peux marché ! Pour se qui est de frappé, m'auriez vous vraiment ouvert si je l'avais fait et que je vous aviez dit que j'étais une capitaine elfe ? Je devais faire ça dans la discrétion. Mais vos hommes ont eu de la chance et m'on vu !"
Une fois debout et s'en savoir vraiment où elle devait allé, elle partit devant plantant sur place Diklan et Matis. Elle était fatigué, fourdu, elle n'avait pas dormit depuis longtemps, elle venait en paix et elle se retrouvait avec une punaise de flèche dans l'épaule. Elle aurait du resté à Aldaria, elle n'aurait pas finit blessé au moins. Diklan se tourna vers le Capitaine et lui tendit la main: "- Je vous demande pardon de sa part. Je suis Diklan Nack et en quelque sorte son bras droit. Veuillez l'excusé je vous pris. Elle n'a pas vraiment dormit depuis que nous avons quitté Aldaria et je crois qu'elle n’apprécit pas la flèche dans le bras. Cela dit, vos hommes sont de bon tireur même si Médolie soutiendra surement le contraire. Allons la rattrapé si nous n'y voyez aucun problème. Je ne voudrais pas qu'elle se fasse de nouveau tiré dessus ou elle pourrait bien s'énervé et passé ses nerfs sur vos garcs. "
Il sourit et se mit à courir après Médolie. Ils suivirent ensuite le Capitaine qui les mena à celui qui devait soigné l'elfe. Cette dernière, toujours de mauvais poil, avait décidé de sermonné Diklan pendant tout le long du chemin, lui reprochant de l'avoir suivit et d'être venu avec elle ou encore d'avoir laissé les soldats seuls dehors. Celui ci avait écouté et pris les reproches s'en même laissé voir une pointe d’irritation. Sans doute par habitude.
A présent assise, elle se reconcentra sur le capitaine en créant des boules lumineuses pour se passé les nerfs. "- Comme je l'ai hurlé tout à l'heure, je suis la Capitaine Médolie Ann Ludvig. J'ai 258 hommes qui sont capable de se battre hors de la ville, à l'est. Et environ 125 un peu plus au sud. Je suis venue ici pour vous prêté main forte. (se tournant vers l'homme qui devait la soignée) Bon ? vous la sortez cette flèche ?
La dernière phrase fit soupiré Diklan qui leva même les yeux au ciel et s'excusa une nouvelle de la part de l'elfe. Médolie devait avoir déjà créé une 20ème de boules de lumières et en créait encore de nouvelle. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Sam 28 Déc 2013 - 0:28 | |
| Cette capitaine Elfe était... C'était une elfe quoi, enfin elle semblait épuisée, elle venait de se faire tirer dessus par des amis. Bref pour la faire simple ce n'était pas sa journée, et c'est pour cela que Matis laissait couler. Mais faudrait pas pousser le bouchon trop loin non plus. Elle semblait avoir un humour proche du niveau zéro, mais une répartie assez cinglante tout de même. En tout cas pas une personne à ennuyer trop longtemps, Matis souris, il semblait pouvoir bien l'aimer cette bonne femme.
Ho ça vous savez, la chance ça va ça vient. Quant à savoir si je vous aurais ouvert, et bien je pense que la réponse nous la connaissons tout deux non ? Je vous aurait pas ouvert tout de suite. Way, tant pis, maintenant vous êtes là autant s'occuper de vous.
La jeune femme partie en trombe devant le regard incrédule des soldats de Matis. D'un geste il envoya ses soldats à sa poursuite tandis que l'aide de camp de l'Elfe vint le voir pour s'excuser. Il n'avait pas une vie simple et il comprenait parfaitement la réaction de la jeune femme, dans des conditions similaire il aurait même fait bien pire. L'homme semblait vraiment désolé, à le regarder il s'imaginait ce que pouvait vivre Thomas car il pouvait se mettre dans des situations identiques. Halala, quoi qu'on puisse en dire les deux capitaines avaient un caractères similaire dans ce genre de situation.
Aussi il regarda et serra la main du soldat en souriant.
Y'a pas de soucis. Après tout on a besoin de toute l'aide disponible même de d'une elfe et de son aide de camp qui tentent de s'introduire dans la cité de cette manière. Quoi qu'il en soit il faudrait la rattraper rapidement, mon officier médical n'est pas homme à se laisser faire et je crains qu'il ne lui mette un coup de burin pour la soigner...
Il exagérait à peine. A peine seulement, si ce n'était pas un coup de burin se serait un coup de matraque. Durant le trajet, court heureusement pour Diklan, le jeune homme pu assister à une remise en place en bonne et due forme du soldat. Il ne disait rien mais n'en pensait pas moins, elle devait vraiment être crevée pour en arriver à ce point car les reproche qu'elle lui faisait n'était pas d'ordre hiérarchique. Enfin c'était un peu étrange, bon il ne dit rien car lui aussi commandait de façon étrange d'après les critères de l'armée.
Arrivé à l'infirmerie il pu voir que la jeune femme s'assit sur une table d'opération tandis que Nikolaï, l'air renfrogné à peine réveillé regardait la jeune femme d'un air incrédule. Jetant un regard désabusé à son supérieur, qui aussa les épaules, il simula le choc d'une matraque sur sa main avec un air de questionnement. Matis fit non de la tête et le médecin soupira. Il venait d'échapper au pire, enfin au pire... C'était encore à prouver.
Elle expliqua combien d'homme elle avait avec elle et Matis souri à ses informations, s'il pouvait arriver à faire entrer plus de trois cents soldats en une nuit ce serait une bonne nouvelle pour le commandement. Rapidement il donna donc ses ordres tandis que Nikolaï prenait plaisir à enlever la flèche de l'épaule de la jeune femme. Il lui proposa une gourde en métal histoire qu'elle se taise un instant et oublie la douleur. Le vieux médecin ne pouvait travailler dans une telle pagaille.
Lieutenant débrouillez vous avec Diklan pour me trouver ses hommes. Vous me ramenez tout le monde ici le plus rapidement possible on ne peut pas laisser nos amis dehors avec autans de touriste, vous savez à quel point ils s'aiment. Vous essayez de faire le moins de bruit possible, il ne faut pas que les Alayens ne nous remarque. De plus n'allez pas chercher Alford, il revient de mission et s'occupe de son unité, je ne veux pas le voir impliqué pour le moment. Il regarda Diklan avant de poursuivre. Vous pouvez rameuter vos troupes rapidement ? Combien de temps, de quoi et de qui avez vous besoin. Il faut qu'on boucle cette histoire rapidement avant que le soleil ne se lève même si on a de la marge.
Il écouta avec attention la réponse du soldat et laissa son aide de camp partir accomplir sa mission. Finalement, il vint s'asseoir sur la table non loin du capitaine Elfe et entama une discussion plus posée. Nikolaï soignait la blessure et ce dont la jeune femme avait le plus besoin c'était de repos, pas de repartir au front.
Vous vous sentez un peu mieux? Heureusement pour vous qu'on nous équipe pas de flèches des touristes, sinon bonjour les dégâts. Je vous remercie de l'aide que vous nous apportez, on était un peu juste en ce moment. Et je suis désolé que notre premier contact se fasse au travers d'une flèche. Le point positif c'est que je sais que mes gars savent se servir de leurs arcs. Il l'observa un instant avant de poursuivre. ça fait combien de temps que vous ne vous êtes pas reposé ? Quarante huit heures ? Soixante douze ? Je pense qu'une fois que vos hommes seront ici je vous trouverais un coin pour vous permettre de vous reposer... C'est le moins que je puisse faire actuellement non ?
Et puis travailler de concert avec un officier de l'armée Elfique était toujours bon à prendre. Mais elle arrivait dans la ville à un moment plus que critique, il avait toujours en tête le début de conversation qu'il avait eu avec son premier officier. Cette histoire des Kohan et de la succession... Il chassa ses pensées de son esprit, pour le moment cela ne devait pas parasiter sa conversation et la récupération de Médolie. Pour le reste... Et bien il verrait plus tard, rien ne pressait. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Sam 28 Déc 2013 - 14:46 | |
| Le médecin lui tendit une gourde. Elle en fit sauté le capuchon et but plusieurs longues gorgés avant de se rendre compte que la boisson avait vraiment un gout dégelasse. Elle avala néanmoins la dernière gorgé et tilla au moment où il parla d'un Alford. Cela ne pouvait pas être le Alford qu'elle connaissait. Son homme de fer. Elle entendit Diklan prendre la parole. Elle fit attention à ces paroles. "- Il me faudrait trois hommes. Un avec moi et deux sur l'autre camp. Je leur donnerais les indications précise. Il nous faudra de une à deux heures pour que tout le monde soit là. Nous devrions y allé de suite. Et il faudra qu'ils se réchauffent et mange mais sinon pour dormit un grand espace suffira."
Diklan avait jeté un coup d’œil à Médolie puis était partit. Sa blessure était enfin soignée et bandé, elle s'assit avec l’étui en fer à la petite table. Elle remercia le médecin. Les boules lumineuses s'éteignirent au moment où Matis prit place en face d'elle. Il lui parla. Il parla des archers et un faible sourire ne durant que quelques instants s'installa sur son visage. Le temps de sommeil vient ensuite dans la discussion. Depuis combien de temps elle n'avait pas dormit ? Elle en fit le calcule. "- Vous avez raison. Je suis épuisée. Je n'arrive plus à savoir quand j'ai fermé les yeux pour la dernière fois. Je vous demande pardon pour ma petite scène de tout à l'heure. Je vous remercie pour l'accueil bien qu'il faut euh... Épineux !
Elle but une gorgé et fit une grimace. Cette boisson était vraiment atroce, elle devait arrêté ! à tout prix. Le médecin qu'elle croyait partit, regarda vite fait une nouvelle fois le plaie. Elle s’accouda à la table et mit sa tête dans sa main. Elle but, bien qu'elle avait décidé du contraire, une nouvelle gorgé. "- C'est vraiment dégelasse cette chose ! Y'a quoi la dedans ? (soupir)Pour se qui est de dormir, je ne refuse pas votre proposition. Je crois que j'en ai bien besoin. Espérons que Diklan s'en sorte alors les soldats. Vous les humains vous êtes parfois têtue et ils vous arrivent de ne pas écouté. "
Elle reprit une gorgé en écoutant de l'homme. La dernière gorgé. Bêtement elle retourna la gourde et la secoua vers le sol. En faisant se geste, elle se rendit compte qu'elle devait être vraiment crevée. Elle soupira et s’excusa pour " le geste débile ". |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Sam 28 Déc 2013 - 15:41 | |
| Le soldat acquiesça aux paroles du second de l'Elfe et déjà trois hommes dont Thomas étaient sortis du rang pour accompagner le soldat. Ils étaient tout trois équipés des longs manteaux de cuir et d'arme à distance ainsi que de petites lames courtes sans grande beauté mais efficace au combat. Il demanda de quoi manger et se réchauffer mais cela était normal et quant il reviendrait avec ses gars tout cela attendrait non loin de là. Quant il partit il montra à quel point il semblait inquiet à propos de sa chef, et il comprenait parfaitement, la jeune femme avait prit un sacré coup dans l'épaule. Même s'il ne s'agissait "que" d'une flèche, Matis avait fait en sorte de s'équiper de flèches barbelées autant dire que s'en prendre une était tout sauf un plaisir.
Ne vous en faite pas, allez chercher vos gars, les miens seront prêt à vous couvrir en cas de pépin. Quant à votre capitaine, elle est entre de bonne main, donc vous pouvez partir tranquille.
Il se retourna vers la capitaine et observa que Nikolaï observait toujours sa blessure, en même temps elle se l'était prit de plein fouet et cela avait traversé l'armure. Le point positif était que ses armes fonctionnaient plutôt pas mal. Et ça, ça rassura Matis. Pour la suite il la vit en train de calculer combien de temps elle n'avait pas dormit, et cela devait faire plus de trois jours ou tout comme. Elle reprit quand même ses esprits, et Matis mit à un trait à ses excuses d'un simple geste de la main.
Il n'y a pas mort d'homme, donc ne vous inquiétez pas. Et c'est un plaisir de voir que l'armée elfique se porte volontaire pour tester mes nouveaux prototypes d'armes. J'en ai encore quelques unes à tester si vous êtes toujours d'attaque.
Il la regarda boire la bouteille et sourit, pourquoi ? Parce qu'il savait clairement ce qu'il y avait dans la bouteille. Nikolaï avait tendance à la donner à ceux et celles qui faisaient trop de bruit. Elle avait du mal avec mais la fini quand même, après tout cela l'aidera à dormir, et pendant longtemps d'après ce qu'il pensait et savait. En tout cas elle voulait savoir ce qu'il y avait dedans avant de poursuivre en montrant ses inquiétudes pour son second. Elle mettait en avant le caractère des Humains. Voila une excuse complètement stupide. Matis avait connu des elfes encore plus têtue.
Alors dedans nous avons, de l'alcool à brûler, des plantes médicinales d'Elena, un zeste de citron, une pointe d’oignon et vu votre tête je parirais qu'il y a aussi un soupçon de morue... Humm délicieux n'est ce pas ?
Il observa le regard réjoui de son médecin. Pour le coup il attendait de voir la tête qu'allait faire l'officier. Mais ce qui l'étonna c'est qu'elle avait tout fini... Elle devait vraiment avoir soif.
Blagues à part, et je ne me fais pas trop de soucis pour vos gars on les aura bientôt ici. Mais j'aimerais savoir d'où vous venez. C'est le commandement Elfe qui vous envois ? Ou c'est une volonté personnelle de venir en enfer ? Car si on ne vous a pas prévenu de la situation je peux, si vous le souhaitez vous faire un point rapide sur la situation.
La situation était ce qu'elle était mais elle n'était pas encore totalement perdue d'avance. Du moins pas encore. Avec un peu de chance ils pourraient encore s'en sortir, Matis y croyait, et nombreux étaient ceux parmi ses hommes qui le suivraient et le croyaient aussi. Rien n'était encore perdu et tout restait à faire. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Sam 28 Déc 2013 - 18:40 | |
| Le médecin avait guéri son bras mais ma douleur était toujours la. Enfin non plus tellement. Elle ne savait plus trop où elle en était. Il lui dit le contenu de la mixture. Plus il lui en disait, plus elle se décomposait. Puis elle crut comprendre que c'était une sorte de blague entre le Médecin et le Capitaine. Elle jeta la gourde un peu plus loin. Elle croisa les bras sur la table et mis sa tête dedans. Elle écoutait ce qu'il lui disait. Elle pencha la tête vers la droite pour le voir et bailla sans vraiment de retenu. Elle n'en était plus à sa près après tout. Elle était crevé, dans un état semi second et avait du mal a ce concentré sur plus d'une chose à la fois. "- Je suis venu la sans commandement. J'ai pris ma décision seule et c'est un peu mon point faible. Mais comme ça je suis sure que personne ne sait où je me trouve et je sais que ne ferait pas attaqué par un ami qui aurait décidé de pensé dans le camp des ennemis. "
Elle se perdit un long moment dans ses pensées. La seule chose qui prouvait qu'elle ne dormait pas c'était qu'elle avait les yeux ouverts. Elle décida de se bouger quand elle se rendit compte qu'elle se répétait en boucle la même phrase: Dors pas et attend les ! Dors pas et attend les ! Elle se leva d'un coup se qu'il lui fit tourné la tête. Elle se retrouva sur les fesses à s'appuyé sur ses bras, dont celui blessé. La douleur, cet fois ci, n'était un trop bizarre dans du brouillard. Elle ne cria pas mais les traits de son vissage le firent pour elle. Elle s'en mordit la langue pour "occupé la douleur". Elle se releva en pestant. Elle ferma les yeux un instant et décida de resté debout pour ne pas s'endormir avant que ces hommes n'arrivent la cité. Elle repensa à se que lui avait dit le Capitaine. Un point sur la situation ? D'accord ! "- Raconté moi tout. Je ne connais que se que j'ai vu en arrivant, entendu et... C'est tout ! Alors vous avez une heure et demi de parlote devant vous Capitaine Falkire. Je veux même le plus petit des détails. Et... Si possible... De quoi grignoté. Si possible.
Tu te répète. Ce fut sa remarque. Elle soupira. Elle se mit à faire les cents pas pour ne pas dormir. Elle eut une petite pensée pour Diklan qui pour une fois, n'avait pas été dirigé par elle même. Elle sourit toute seule et bêtement. Elle se mit à fixer le Capitaine attendant qu'il parle. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Sam 28 Déc 2013 - 19:26 | |
| Quand elle comprit ce qu'il y avait dans la bouteille elle fit une tête assez spéciale, un peu entre celle qui voulait te tuer et celle qui te suppliait d'indiquer que c'était une blague. Mais ce n'était ni l'un ni l'autre, il ne cherchait pas à la tuer, seulement à la calmer un peu et sous peu l'effet des plantes serraient assez fort pour qu'elle sombre dans le sommeil réparateur qu'elle méritait. Peut être encore vingt ou trentes minutes avant qu'elle ne sombre, alors Matis lui tournait autour sans rien laisser transparaître. Il ne voulait pas qu'elle se blesse plus que nécessaire. En tout cas le fait qu'elle soit venu ici sans commandement était une nouvelle moyenne, cela voulait dire que les Elfes ne s'occupaient pas de Gloria ? Qu'attendaient ils pour leur venir en aide, avaient ils trop de problèmes eux aussi ? Sans doute.
La jeune femme se leva et tomba tout aussi vite, le jeune capitaine laissa son officier médical aider l'officier Elfe à se lever avant de l'écouter plus en avant. Elle voulait de quoi manger et elle voulait des informations. Matis devait la tenir éveiller encore un peu avant qu'elle ne sombre définitivement. Oui elle lui en voudrait, mais cela n'était pas bien grave car il ne voulait que son bien. Après ce n'était sûr que ça marche car ce n'était pas une humaine mais une elfe... C'était pas dit que le médicament ai le même effet sur un humain que sur un elfe. Quoi qu'il en soit Matis demanda à l'un de ses hommes d’amener de quoi manger et dit aux autres de reprendre leurs quarts. Il les menaient d'une main de fer, mais il y avait du paternalisme dans ses gestes et ses paroles. Peut être que Médolie comprenait cela.
Avant d'aller plus loin je dois vous demander de vous tenir tranquille un petit moment. Le médicament qu'on vous a administré à tendance à endormir les gens et je ne voudrais pas que vous vous cassiez quelque chose en tombant.
Il claqua dans ses mains et entreprit de répondre aux questions de la jeune femme. Enfin jeune d'apparence car elle devait être bien plus vieille que lui... Un peu comme Rebryla en fait. Mais il y avait tellement de chose qui différenciait les deux femmes.
La situation est critique. Ne cherchons pas midi à quatorze heure, les Alyens ont l'avantage mais on ne lâche rien. Pour faire un résumé de la situation je vais vous dire cela, ils sont arrivés très vite à la capitale en écrasant tout sur leur passage. Mon régiment se trouvait sur la dernière ligne de défense avant Gloria, et quant on a vu débouler l'ensemble de l'armée des touristes on n'a pas pu faire grand chose. Sur les quatre cent soixante huit membres de mon régiment on ne fut que trente trois à s'en sortir vivant.
J'ai donc ramené les soldats encore en vie vers Gloria et je ne fut pas le seul officier à faire de même. Je ne saurais vous dire combien on fut à s'en sortir cette nuit là, mais ce qui est sûr c'est que maintenant on est bloqué ici.C'est sur cette fuite que j'ai reçut ma promotion de capitaine.
Matis resta un petit moment silencieux à repenser à cette fuite. Les cris dans la nuit, le sacrifice des arrières gardes pour permettre au gros de la force de fuir. Sa tentative d'en faire partie mais l'expulsion par son capitaine. C'était à ce moment là qu'il lui avait confié le commandement des soldats encore en vie de son unité. Depuis il a juré de le venger, mais il y avait tellement de gens à venger... Y parviendrait il ? Il l'espérait.
Il y a quelques mois, au début du siège, l'armée n'était plus que composée en grande partie de bleu tout juste recruté. Mais depuis les choses ont un peu évoluer, dans le bon sens heureusement. La chaine de commandement a été remaniée et beaucoup d'officier subalterne, comme moi, ont été promu à des postes supérieurs. Depuis on a évacué en grande partie les quartiers pauvres et mis en place barricade et muraille pour ralentir l'ennemi.
J'ai recruter des mercenaires que j'ai intégrer à mon unité et qui m'aident à former les troupes. Si mes hommes savent si bien tirer c'est en partie grâce à l'une de vos compatriotes. Tandis que les compétences martiales de la majorité on été améliorer par un ami du nom d'Alford Gorder.
Pour en revenir à une situation plus politique, notre empereur est mort il y a peu. Et des dissensions ont émergées entre deux branches de la famille Kohan. Le régent a été mis en prison il me semble et un nouveau futur empereur semble partit pour prendre le dessus sur les autres membres de la famille.... Comme si on avait pas assez de problème, les alayens semblent entrer dans une activité débordante. Nous avons déjà du repousser deux assauts cette semaine, et de nouvelles machines de siège arrivent chaque jour.
Quoi qu'ils nous préparent ils semblent entrer dans leurs derniers préparatif alors vous et l'ensemble de vos hommes sont les bienvenus.
Le soldat précédemment envoyé revint avec du pain, une noix de jambon et des cruchons d'eau. Il posa tout ça sur la table et salua les deux officiers. Matis le remercia et l'homme repartit prendre son poste sur le mur. Montrant la nourriture d'une main il invita Médolie à en profiter.
Ce n'est certes pas grand chose, mais je vous en pris. Vous avez sans doute grand besoin. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Sam 28 Déc 2013 - 23:15 | |
| "Tandis que les compétences martiales de la majorité on été améliorer par un ami du nom d'Alford Gorder. ". Cela retenue son attention mais elle attendit qu'il est finit. Une fois que le point sur la suitation fut fait, un garde leur apporta à mangé et de quoi boire. Elle remercia l'humain et mangea quelques morceaux. Elle sentait les effets de la potion dans son corps. Pourquoi elle n'avait pas arrêté de boire cette boisson ? "- La situation est critique mais pas totalement désespéré. Je suis heureuse de vous apportez mon aide. Enfin votre... votre... Truc est en train de me... me... M'empêche de me concentré comme... Je le voudrais. "
Elle secoua la tête comme pour refaire au moins un bref instant surface. Elle se leva, mais pas trop vite cette fois ci. Elle marcha un peu mais elle commençait à voir trouble et à se sentir vraiment bizarre. "- Quand à Alford Gorder... Je Je... Je le connais ! Il m'a aidé également une.. Deux.. Plusieurs fois. Enfin je l'ai aidé, il m'a aidé... On sait aidé... Et je viens de me perdre... Je voulais dire quoi ? Oui... L'homme de fer ! Il est gentil et relativement... Drôle ! Et son arme est carrément... Farfelu. Et... je viens encore de me perdre. Il faut que j'arrête de parler mais j'ai l'impression que c'est la seule chose qui me maintenant encore réveillé. "
Médolie marchait en long, en large et en travers. Elle écoutait tout les sons mais les sons lui provenaient de totalement loin et étaient creux. Elle avait la tête qui lui tourné. Alors quand elle sentit que ces jambes ne la tenaient plus du tous elle tourna la tête vers le Capitaine. Elle savait qu'elle tomberait avant que ces hommes n'arrivent. Elle espérait que les humains et les quelques elfes qui composaient sa petite armée seraient tous en pleine forme. Elle mitrailla Falkire du regard. "- Là... ça... ça va... plus... (Elle tombe au sol.) Je... Je... crois qu'on va bien sentir... Euh... S'entendre... Parce que... Que.. Je crois que... JE... Je... Je... vous... déteste... "
Elle avait enfin finit par s'endormir, oubliant tout le monde extérieur et c'est problème pour se retrouvé face à son frère pourtant mort depuis si longtemps. Elle entendit un sifflement. Une mésange. La voilà mélangeant le passé et le présent. Et peu être même le futur. Elle en savait rien ! Elle était bien là malgré qu'elle était sur qu'elle c'était effondré devant le Capitaine. Même dans son songe étrange, elle était sure que ce Capitaine n'était pas un mauvais bougre. Elle le trouvait même un brin sympathique. Enfin.. Pour le moment elle était avec son frère et sa mésange et elle rêvait. Alors qu'elle rêve ! |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Dim 29 Déc 2013 - 9:11 | |
| L'effet sur la jeune elfe commençait à être assez imposant, mais il n'y avait pas que le médicament qui jouait la dedans. La fatigue et la blessure du capitaine y jouait aussi beaucoup, alors quant elle commença à divaguer il se mit non loin d'elle pour l'attraper et effectivement elle tomba rapidement au sol. Heureusement pour Matis elle lui tomba quasiment dans les bras, pour une fois qu'il faisait tomber une femme... Bon ok elle était droguée donc ça ne comptait pas. Il sourit à la petite phrase de la jeune femme et ne résista pas à y ajouter un petit mot.
Je le sais capitaine. Mais moi aussi je vous aime bien.
Et elle sombra dans le néant. D'un geste de la main Matis indiqua, à ses soldats interloqués de voir l'officier elfe au sol, de la mettre sur un brancard. C'est donc assisté par l'officier médical que les soldats mirent, non sans mal, la jeune femme dans le brancard pour la conduire là où elle pourrait enfin se reposer. Matis indiqua qu'il fallait la mettre dans ses quartiers, là où ils étaient cantonné, là bas la jeune femme serait tranquille un moment et son second pourrait veiller tranquillement sur elle. Le temps qu'il rentre, une aide soignante la surveillerais, il ne voulait rien laisser au hasard.
La "caserne" des hommes du Capitaine n'était pas loin de l'infirmerie et n'était, à la base, pas du tout prévu pour accueillir autant de soldat. Il s'agissait d'une ancienne taverne qu'ils avaient réhabilité pour la transformer en caserne le temps du siège. Elle avait servit à d'autre unité, et depuis quelques jours s'était le point de chute de celle de Matis. Elle n'était pas parfaite, mais sa grande cour permettait un entrainement en extérieur, tandis que la grande salle avait été emménagée pour loger les soldats. A l'étage se trouvait les bureaux des officiers dont celui de Matis. Il n'y avait là aucune richesse, un grand bureau, un lit tout simple mais assez confortable et une vue sur la cour par une grande fenêtre. C'était donc là que Médolie fut mise le temps qu'elle se repose, peut être un voire deux jours à dormir.
En pensant à cela il sourit car il imaginait dès maintenant ce qu'allait lui faire la jeune femme quant elle reviendrait à elle. Oui oui, elle allait lui hurler dessus, lui faire passer un sale quart d'heure, peut être même tenterait elle de le tuer qui sait. Mais il s'en foutait, car il prenait soin des soldats avec qui il travaillait, même si s'était souvent contre leur volonté. Et là nous étions bien devant un cas d'école.
Deux heures après son départ, Diklan revint avec les soldats de la capitaine. Et il est très compliqué de faire passer presque quatre cent soldats sous le nez des Alayens et dans un silence de cimetière. Mais à coeur vaillant rien d'impossible comme dit le dicton. L'homme s'inquiéta de ne pas voir son officier, mais Matis le rassura, ou pas, en lui expliquant où elle était et comment elle y était arrivée. Ensuite il emmena les nouveaux défenseurs de Gloria vers les bâtiments en face de la taverne où il logeait.
Il y avait quelques travaux à faire pour combler les trous et que tout cela soit correct, mais Matis avait mit son intendant sur le coup. Et une partie de ses hommes, qu'il avait fait former, se mettrait rapidement au travail pour réaliser les réparations nécessaires. Dans la foulée il avait envoyer un messager au commandement pour indiquer la situation et l'arriver de ces renforts, voila qui ferait plaisir à Meyhl... Il n'en doutait pas un instant. Mais comme il sentait les combattants elfes épuisés, il les envoya se reposer. Une partie dans la taverne-caserne, l'autre dans leur nouveau casernement dans les parties non endommagées tout du moins. Pour la faire simple il se la jouait chef d'orchestre, car c'était ça un officier après tout. Maintenant il est vrai que le décors de son chef d'oeuvre n'avait rien d'un opéra.
Le surlendemain, alors que Matis s’entraînait dans la cour avec ses hommes il pouvait apprécier les efforts réalisées par ses hommes et ceux de Médolie. Les baraquements des elfiques seraient bientôt intégralement opérationnels tandis que les soldats avaient fait un tour du mur extérieur pour voir ce à quoi ils avaient échappés. Et il y avait de quoi être fier et heureux car arriver à faire passer autant de soldat sans soucis était un exploit auquel le commandement eu un peu de mal à croire.
Le second de la capitaine elfe était resté au chevet de cette dernière à la surveiller, sans doute s'en voulait il se l'avoir laissé seule avec un gars comme Matis. Mais il comprendrait, elle comprendrait aussi, s'il avait agit ainsi s'était pour son bien.
Au bout d'une petite heure d'entrainement à l'épée, une des aides soignantes de Nikolaï vint le chercher. L'elfe venait de se réveiller et il fallait vite monter la voir. Oui effectivement il faudrait que Matis y aille vissa s'il ne voulait la voir se jeter sur lui et tenter de l'étrangler. Montant rapidement les escaliers il s’arrêta devant la porte car il entendait les voix de Médolie et de son second. Il choisit donc de leur laisser quelques temps histoire de réfléchir à une question importante. Pourquoi Alford ne lui avait pas fait part de sa connaissance d'un officier de l'armée elfique ? Que pouvait il bien se passer dans sa tête parfois.. Il faudra qu'il ait une longue discussion un de ces quatre. Qui sait ce qu'il lui cachait encore...
Finalement il entra dans la pièce et avant même d'avoir pu prononcer le moindre mot il se retrouva nez à nez avec un oreiller. Comment était il arriver là ? La physique n'était pas son fort, mais il y avait fort à parier que cela venait de l'elfe. En enlevant délicatement l'oreiller, histoire d'être sûr que ce ne serait pas la table de nuit le prochain projectile, il parla doucement à la capitaine.
Capitaine Médolie. J'espère que vous allez mieux maintenant que vous avez fait un gros dodo. J'imagine que Diklan vous a un peu expliquer la situation non ? Sinon laissez moi le faire, après si vous le voulez je vous laisserez me faire la peau. Je vous demanderez juste une petite longueur d'avance car je ne cours pas très vite. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Dim 29 Déc 2013 - 13:03 | |
| Médolie dormait si bien que lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle crut qu'elle dormait encore. LA première chose à laquelle elle pensa c'était de tuer ce capitaine de malheur. Elle vit alors Diklan qui parlait avec une jeune femme. Quand elle leur demanda se qui se passait et pourquoi ils envahissaient son rêve, la femme partit en courant. Médolie pencha la tête et Diklan lui sourit. Elle se mit debout. Elle chercha avant tout à savoir si ces soldats étaient tous ici et en pleine forme. Son ami la rassura immédiatement et lui affirma qui la petite mission nocturne avait été une fière victoire. Pas un blessé de leur côté ! L'elfe applaudit et le serra dans ses bras. C'est alors que la douleur lui fit un coucou, se qui l'obligea à brisé l’étreinte. "- Médolie ? ça va ? - Oui ! Ne t'en fais pas. Ne le dit à Messire Falkire mais je suis grandement étonné que les humains de sa division soit de si bon tireur. Pour que l'un d'eux est pu le touché... Il faut qu'ils se débrouillent vraiment bien. Heureusement qu'ils ont aussi de bon soigneur ! Enfin... Il y a un point qu'il va regretté. - Médy... - Il m'a drogué ! Il n'a même pas attendu que toi et les autres soit de retour. Il m'a endormit ! Il a brouillé mon esprit. Il... Je vais le tuer !! ( attrape un coussin )On ne me drogue pas sens conséquence ! - Arrête s'il te plait !"
C'est se moment là que la porte choisit de s'ouvre. A peine eu-t-elle vu qu'il s'agissait du capitaine, que le coussin partit. Elle eut de la chance car, comme se n'était habituellement pas son bras de lancé, elle avait eu peur de la loupé. Ce pauvre truc de plume qui n'avait pourtant rien demander de plus que d'être un coussin un temps soit peur moelleux, atterrit pile dans la fasse du Capitaine. Et s'y Diklan n'avait pas arrêté le geste de sa capitaine sans aucun doute que la cruche en terre encore pleine d'eau aurait suivit le même chemin. Elle attendit tout de même qu'il est finit de parlé. Mais, à la surprise de Médolie, la dernière phrase de Matis fut dites avec tellement de sérieux qu'elle se mit à rire. Diklan lui lâcha la main et reprenant son sérieux la Capitaine s'approcha de Matis. Elle se mit sur la pointe de ses pieds nus et parla calmement: "-Ne me drogué plus jamais où oui, vous devrez apprendre à courir. (s'éloignant de quelques pas et se retournant ) Mais oui, je vais mieux. Et oui, Diklan m'a dit. Vos hommes ont fait du bon boulot. Je suis heureuse que la mission fut une victoire totale. Je crois que nous sommes un peu partit du mauvais pied hier soir. Merci pour la chambre. Je vous propose de repartir du bon pied. J'oublie la flèche et un petit peu la boisson. Et vous me faites visité. ( Se tourne vers Diklan, choppe un coussin et lui lance) Et toi, tu vas dormir ! - Avec plaisir !"
Diklan salua le Capitaine et s'en alla. S'en aucun doute allait-il la où ils logeaient. Médolie tourna la tête vers le Capitaine. Elle ne pouvait plus se servir de son arc, ni de son épée double pour le moment, mais sa rapière elfique pouvait toujours être utilisable. Toujours pieds nus elle le rejoins. Une question lui vient. "- Où sont mes armes ? Je veux dire Jet de feu et Elihyna ? Euh... Mon arc et mon épée ? Enfin vous avez compris ! " Elle sourit. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Dim 29 Déc 2013 - 16:28 | |
| En effet la jeune femme lui en voulait, et c'était le moins que l'on puisse dire. Bon mine de rien elle avait reprit du poil de la bête et essayait déjà de reprendre son commandement. Elle le pouvait, si elle avait été en armure ou en forme, pour l'instant elle était en chemise de nuit et pieds nus. Autant dire qu'elle attirera plus l’œil de ses soldats qu'autre chose. Matis était en train de ranger le coussin tandis que l'elfe ordonnait à son second de prendre sa place dans le lit, il était crevé et cela se voyait. Aussi il n'hésite pas à prendre un peu de repos bien mérité.
Et avant que Matis ne puisse faire quoi que ce soit elle l’engueula bien copieusement, il avait redouté ce moment mais finalement ce n'était pas si difficile à vivre que cela. Après tout il comprenait pourquoi elle était dans cet état alors il écouta sans broncher, non pas pour se laisser faire, mais pour que sa coule sur lui. Ce qu'elle voulait c'était qu'il lui fasse visiter la place, alors il hocha la tête.
Va pour vous faire visiter mais avant je vais vous laisser vous préparer car si je vous sors dans cet état dehors... Et bien je pense que vous attirerez plus l'oeil de mes gars qu'autre chose. Quant à vos armes elles sont là, sur le bureau. Il montra le bureau et salua l'officier. Sur ce, je vais vous attendre dehors, retrouvez moi quand vous serrez prête.
Et Matis sorti du bureau, direction la cour centrale où ses soldats s’entraînaient encore. Une fois en bas il s'assit sur un banc et étudia les rapports d'activités que venait lui transmettre ses sous officiers. Ce n'était pas toujours la procédure dans toutes les unités mais Matis essayait de normaliser tout cela même si cela n'était pas du goût de tout le monde. Après tout, l'information c'était le nerf de la guerre, et les éclaireurs étaient là pour fournir un maximum de données aux soldats.
Quel était la situation ? Il y avait des milliers de soldats de l'Empire dans Gloria, mais une grande partie d'entre eux étaient des bleus, sur les cent cinquante et quelques de Matis il y en avait pour bien cinquante pour cent. Quant aux autres unités ce n'était pas mieux. Les rares unités encore épargné par les combats et les morts étaient les lames noires ou d'autres régiments affectés à la protection des huiles et des nobles. Et une grande partie d'entre eux n'était pas bien vu car c'était des soldat de parades, pas de véritable combattant. Mais ils n'auraient bientôt plus le choix.
En analysant les rapport de la nuit il pu se rendre compte de l'avancé de cette bataille de Gloria qui tournait en leur défaveur. Comme le reste de la guerre d'ailleurs. Il y avait eu en tout, trois tentatives d'assauts mineurs sur le mur, toutes repoussés au prix de quelques pertes. Trois de ses hommes étaient mort, dont un de ses sous-officiers. Jour après jour la liste des morts s'allongeait toujours un peu plus, les trois soldats étaient mort avec les honneurs, c'était sur le papier. Mais en réalité ils étaient mort avec souffrance, sans savoir si les autres réussiront à les battre, le tout avec des flèches dans le corps.
Matis secoua la tête en reposant les feuillets sur le banc. Les rapports s'ajoutaient aux autres et jour après jour il regarderait les mêmes listes. Mais il gardait le moral, son esprit veillait sur lui et il sentait ses soldats. Il partageait leur souffrance et leurs peurs et il les mènerait à la guerre. Il reporta son regard aux alentours et pu voir arriver Médolie. Dans son uniforme elle faisait plus soldat qu'elfe, c'était une certitude.
Capitaine, vous voila déjà prête. On va faire un point sur la situation avant d'aller plus loin. Vos gars sont dans les bâtiments en face, avec une partie des miens qui sont en train de les transformer en petit nid douillet. Vos gars sont les bienvenus et le commandement vous fait savoir que vous êtes un soulagement ainsi que tout un ensemble de mots tout ça tout ça. Enfin bref, tout cela pour vous dire qu'on vous accepte.
Matis sortit ses documents et les tendit à la jeune femme pour qu'elle les étudie.
Ici vous avez des informations toutes fraîches sur la situation, et c'est pas franchement génial mais on fait avec. J'ai cru comprendre que vous connaissiez Alford, il est pour l'instant pas disponible car il se trouve avec une de mes unités spéciales. Si vous le connaissez comme je le connais, vous savez à quel point il est... Efficace.
Bon, par quoi vous voulez commencer ? Le mur ? Les armes ? Les soldats ? |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Mer 1 Jan 2014 - 22:31 | |
| La réflexion sur ses habits étaient en effet... Juste. Aussi, quand il la laissa après lui avoir indiqué les armes, elle prit son armure et trouva une salle d'eau. Elle se débarbouilla vite fait. En enfilant son armure elle se demanda se que dirait sa mère ou son père. Voilà bien longtemps que la jeune femme avait tourné le dos à ses parents. Une crainte lui sera alors le coeur. Et si... Il était mort ?Elle chassa l'idée de son esprit. Levant la tête elle vit un miroir. Elle observa ses cheveux et essaya de les rejoindre en une couette. Impossible. Ils étaient trop court. Elle décida qu'elle les laisserait poussé juste se qu'il faut pour les attaché. Elle regarda les botes puis ces pieds nus. Elle fit non de la tête et les ramena dans la chambre. Elle vit Matis de la haut et prit quelques secondes pour l'observé.
Puis elle descendit les marches en faisant bougé son épaule blesser. Elle arriva au moment ou Matis levait la tête. Il trouvait son temps pour se changer rapide. Et elle apprit où logeaient ces sodats. C'est draves petits hommes. Matis lui tendit les nouvelles fraiches et Médolie les prit et les feuilleta faisant de drôle de mimiques. Si Diklan avait été là, un coup d'oeil lui aurait suffit à comprendre se qu'il y avait sur les papiers. Mais il dormait. Elle lui rendit le feuillé et écouta les informations qu'il avait sur Alford.
"- Alford ? Oui ! J'ai eu droit de voir des jolis combats. Et surtout assez efficace en matière de... Nettoyage. ( elle rit ) Je voudrais commencer par mes soldats. Si vous n'y voyez aucun inconvénient. Enfin si vous me posé la question c'est que cela ne doit pas vous dérangé. " Elle entra donc dans le bâtiments. Les soldats la remarquèrent tout de suite et bientôt l'un d'eux se présenta devant elle. Elle reconnu Nathaniel et lui sourit. Elle les rassura sur son état de santé. Et sur celui de Diklan car ils s’inquiétèrent de ne pas le voir au côté de la capitaine. Elle piqua une chaise et grimpa dessus. Elle poussa un long sifflement qui amena le calme dans ses troupes.
"- Mes amis ! Je suis heureuse de vous ici aujourd'hui. Que ceux qui sont blessé par voir le Sieur Nikolaï, mais qu'il se méfie de la boisson s'il vous la propose. Que ceux qui sont installé aide les autres à s'installé également. Faites des petits groupes pour patrouillé dans la ville avec les autres soldats. Reposé ! Je ne veux pas qu'un seul d'entre vous ne s’entraîne. Et pour une fois, écouté moi ! Vous avez beaucoup marché et vous êtes tous fatigué, vous risqueriez de vous blessez. Demain vous pourrez reprendre l'entrainement au côté des hommes du capitaine Falkire. Reposez vous ! " Elle descendit de sa chaise et salua certain soldat. Elle portait le surnom de Capitaine Les-pieds-nus parmi ses soldats. Et pour cause, rares étaient les fois où ils l'avaient vu avec des chaussures hors des champs de batailles.
Elle rejoint ensuite son collègue et lui demanda à visité les hauts de rempart de la ville. Elle prit la rapière d'un de ses hommes avec la permition de celui ci bien évidement. Elle la passa à sa taille en attendant de trouvé la sienne. Une arme et elle ressemblait à ses hommes. C'est se qu'elle voulait. Elle était leur superieur mais également leur égal. Elle attrapa le bras de Matis et avec un sourire se mit en route avec lui. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Jeu 2 Jan 2014 - 10:30 | |
| L'elfe fut rapide dans sa mise en uniforme, du moins plus vite qu'une partie des humaines non soldat qu'il connaissait. Il savait qu'il touchait à une corde sensible ou qu'il évoluait en terrain miné, mais il fallait quand même avouer que, certaines femmes étaient d'une longueur affligeante dans ce genre de situation. E va y que je me brosse, et tant qu'on n'y est pourquoi ne pas cette robe là ? Ha bha non elle ne va avec mon teint etc... L'ensemble de chose que Matis détestait voir, et surtout subir. C'est vrai quoi, la véritable beauté ne se présente pas avec une couche de quarante centimètre de verni sur le visage. Et encore moins avec une robe qui l’empêche de se déplacer mais bon.
Il secoua la tête pour permettre à ses idées de se remettre en ordre de marche, voyant la tête que faisait la capitaine quant il lui passa les écrits il se demanda s'il y avait un problème. Il ne voulait pas s'attaquer à son honneur sachant qu'il l'avait déjà bien entamé il n'y avait pas si longtemps. Alors il ne dit rien et récupéra ses écrits rapidement et il écouta les propositions de la jeune femme. Elle voulait aller voir ses soldats, il hocha la tête car il trouvait cela tout à fait normal. Et il se serait posé des questions si elle n'en avait pas émis le souhait.
Bien entendu, c'est même tout à fait normal. Suivez moi je vous pris, nous allons faire route vers vos soldats, ils ne sont pas très loin de toute façon.
Alors qu'il conduisait son invitée au près de ses hommes il passa devant deux de ses sous-officiers. D'un geste rapide il les invita à les suivre et à venir avec eux. Les deux soldats saluèrent respectueusement la capitaine, et restèrent un peu bête à la voir sans chaussure. Il était vrai que Matis n'avait pas réagit non plus, en même temps il avait vu tellement de chose bizarre dans ce bas monde qu'un officier sans chaussure était devenu presque normal. Si l'on comparait leur deux tenues on pouvait clairement voir la différence de style entre humain et elfe,mais aussi entre deux personnes. L'amure de Matis était aux couleurs de l'Empire, d'une simplicité affligeante mais renforcée de plaque d'acier composite et de côte de maille. Elle était bardée d'éraflures et d'impact plus ou moins récent. Les épaulières, masquée par le long manteau de cuir sombre, représentait l'emblème de sa famille d'un côté, et celui de l'Empire de l'autre. Quant à l'armure de Médolie, là où les humains cherchaient l'efficacité, les elfes avaient sans doute réussis à lier efficacité et esthétisme. Elle était finement ciselée, épousait parfaitement les courbes de sa porteuse et semblait neuve. Ou tout du moins de n'avoir pas subit les affres du temps et des combats.
Et cette vision il la vit aussi quant il pénétra dans le bâtiment qui avait été attribué à ses invités. Bon ils ne portaient pas tous leurs armures pour travailler, cela n'aurait pas été facile non plus. Mais il émanait d'eux une aura de sagesse. Ses deux sous officiers et lui écoutèrent avec attention les paroles de la capitaine, et elle semblait avoir une relation d'égal à égal avec ses soldats. Il appréciait particulièrement les officiers qui traitaient de la sorte leurs hommes car il s'y reconnaissait. Mais il y avait tout un monde entre les soldats elfiques et les soldats humains. Il l'avait bien vu au travers du conflit qui les avaient opposés aux vampires. Une fois que Médolie eue finit, il lui sourit et hocha la tête à ce qu'elle venait de dire. Il lui ferait parvenir les informations nécessaires à la mise en condition de ses hommes, mais bientôt ils se retrouveront sur le front avec les humains.
Puis ils se mirent en route, la jeune femme d'apparence vint prendre le bras de Matis et lui sourire tandis qu'ils se dirigeaient tout deux vers le mur extérieur. Les hommes allaient jaser, mais il n'en avait cure car c'était bien le moindre de ses soucis. Et si cela pouvait leur permettre de penser à autre chose qu'à la guerre. N’empêche qu'entre Nausicaa, Scylla et Rebrylla, il en avait ramené de belle jeune femme devant ses hommes. Peut être qu'une réputation était en train d'émerger. Mais ce n'était pas son problème, du moins pour l'instant.
Vous parlez bien à vos hommes capitaine. C'est un point positif que je peine à trouver de nos jours. En tout cas ils sont, pour l'instant, à l'abris des Alayens. Je ne sais pas trop comment va évoluer le siège, mais ça fait rudement plaisir de vous voir à nos côtés.
A ce propos, et comme nous manquons cruellement d'information, seriez vous au courant de l'évolution des négociations entre les trois races sur le territoire des Baptistrels ? Tout ce que je sais c'est que notre délégation a à peine réussie à évacuer Gloria et non sans mal. Donc si vous avez des informations je suis preneur.
Matis se demandait bien ce qu'il y avait à attendre de ce genre de réunion, mais il ne désespérait pas de voir l'ensemble des dirigeants prendre leurs tripes entre les mains et discuter enfin des choses utiles. Mais comment réagiraient ses soldats s'ils réussissaient à se mettre d'accord et que les vampires devenaient des alliés ? Et lui ? Après tant d'années et de batailles arriveraient t'il à ne pas leur transpercer le crâne avec ses lames ? Il en doutait, mais il devrait respecter les ordres, et il devrait montrer l'exemple, expliquer à ses hommes. Bref jouer au prof'. Et les esprits en soit témoins, il détestait faire cela. Mais en tant qu'officier il n'avait sans doute pas le choix.
Pendant cette petite réflexion et alors qu'il écoutait toujours la réponse de l'officier, ils montèrent les marches menant au mur d'enceinte. Des soldats étaient en faction et il les salua avec attention, serrant les mains qu'on lui présentait et n'hésitant pas à placer une petite boutade à chacun. Montrant le décors à son invitée il lui expliqua de vive voix la situation.
Mélodie, je vous présente ce à quoi vous avez échappée. Une armée complète de psychopathe, de sociopathe et d'autres trucs en athe. Ce qui est certain c'est que s'ils avaient mit la main sur votre minois je doute que même Alford aurait pu vous sauver. Certes il l'aurait tenté mais bon. Blagues à part, les touristes tentent, chaque jour, de percer nos défenses, mais rien de bien méchant pour le moment. On dirait qu'ils essayent seulement de trouver un angle d'attaque pour nous faire mal sans se brûler les plumes. Mais, mes gars et moi, on se rappelle à leur bon souvenir et puis on ne va pas leur faciliter la tâche n'est ce pas ? Et c'est pour ça que vos hommes seront utile sur le mur et ailleurs. Je ne me fais guère d'illusion, le mur tombera surement sous les coups de ces pecnots. Alors pour éviter qu'on en souffre trop on a mis en place des barricades et des unités spéciales pour ralentir l'ennemi le temps d'évacuer sur les autres murs.
Comme vous n'êtes pas d'ici et que vous allez avoir besoin, sans doute, d'un coup de main les premiers temps, je vais vous confier deux de mes sous-officiers. Ils feront la liaison entre nos deux groupes et vous présenteront la stratégie globale ainsi que les plans qu'on a déjà mis en place. Ils vous guideront dans la cité pour vous repérer sur la carte. Cela me permettra d'être sûr qu'il ne vous arrive rien de regrettable dans le coeur de la bataille. De toute façon nous devrions rester non loin l'un de l'autre puisque votre unité à été rattaché à mon régiment. Temporairement du moins. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Sam 4 Jan 2014 - 0:27 | |
| Aïe... Sujet fâcheux que celui là. Elle n'avait pas d'information. Non aucune. Elle ne savait pas où cela en était. Elle en avait juste aucune idée. Elle lui fait part.
Elle avait vu depuis longtemps, en fait depuis qu'il leur avait fait un geste, qu'ils étaient suivit par deux personnes. Matis les mena au mur et il montre à l'elfe se à quoi elle avait réussi à échappé, elle et ses Hommes. En voyant ça, elle fit demi tour. Elle resta en haut du mu mais lui tourna le dos, signe évident qu'au moins pour un instant, elle voulait fuir la réalité. Elle ferma les yeux puis se tourna de nouveau vers l'espace devant elle. Elle vit toute les tentes, tout les vampires qui étaient là lorsqu’elle les rouvrit. En effet, elle avait eu de la chance d'être encore en vie. En fait sa vie était basé sur la chance. Seulement sur la chance. Il fallait qu'elle tourne et la flèche dans l'épaule arrivait finalement dans le coeur ou la tête. Pouf ! Plus de petite elfe. Et qui se souviendrait d'elle ? A qui elle manquerait ? Principalement à des Hommes. Des Humains. Elle n'avait plus grand monde chez les elfes. Elle se tira de ses sombres pensées.
Il lui dit qu'il lui prêtait deux de ses hommes. Ils feraient un peu les pigeons voyageurs. Pigeon ? En parlant d'oiseau. Elle en avait perdu un. Elle demanda quelques instants à l'homme et émit un long et net sifflement. Comme elle l'avait prédit, un petit point noir fonça bientôt sur elle. Elle fit signe à Matis qui tout allé bien et tendit la main gauche au ciel. Moins d'une demi minutes plus tard une jolie petite mésange se posa sur son doigt. Elle avait répondu. Elle se tourna qu'à se moment là, l'oiseau sur la main, vers les deux hommes derrières Matis.
"- Je ne me présente pas messieurs, je sais que vous savez qui je suis. ( se tournant vers Falkire) Par contre, à vous, je vous présente Lady Azita. Vous aurez peu être l'occasion de la voir venir pour portez de petit message. Tout ce que vous aurez à faire quand elle sera c'est lui donné des graines de tournesol. " Elle observa le visage de Matis et se mit à rire. Elle savait pertinemment qu'il n'y avait plus de graine de tournesol par ici depuis longtemps.
"- Prend juste le message et laisse la se débrouillé, elle a l'habitude. Plus sérieusement. J'accepte votre aide par le biais de c'est deux drôle de zigotos. Avez vous encore du temps à me consacré aujourd'hui ? Je voudrais voir les barricades et postes d'observation mis en place et peu être même avec votre accord, y apporté ma petite touche. Je suis contente que vous acceptiez mon aide. Et celle de Azita." Médolie siffla et sa mésange lui répondit. Elle avait dit tout cela avec sérieux mais avait ajouté une pointe d'ironie lorsqu'elle avait parlé de son oiseau. Elle attendit la réponse du capitaine en tournant une nouvelle fois au camp vampirique comme pour vouloir lui échappé.
Elle vivait sur la chance et tournait le dos à se qui devait arriver. Elle fit un petit geste de doigts mais Azita n'avait pas envie de partir. Elle la fit alors grimper sur son épaule afin d'avoir les deux mains de libres. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Sam 4 Jan 2014 - 12:25 | |
| L'officier ne savait pas trop quoi penser de la jeune elfe. Enfin jeune, il le disait souvent mais on ne pouvait pas dire qu'un Elfe était jeune. Ils en avaient l'apparence mais ils devaient bien avoir au moins cinquante ans de plus que Matis, et c'était un minimum. Mais il ne savait pas trop quoi en penser, elle semblait insouciante, peut être pas trop mais juste de quoi déstabiliser le jeune homme. Serait il resté trop longtemps dans l'horreur pour ne plus arriver à penser comme elle ? Quoi qu'il en soit la jeune femme avait sous la main un oiseau qui serait utile pour faire transiter des petits messages, mais quand elle parla de lui donner des graines, Matis souris sans rire. Il y avait bien longtemps qu'il n'avait pas mis la main sur ce genre de denrée. Déjà que leurs rations étaient calculées au gramme près. Ce qui chagrina le capitaine c'était qu'elle ne savait rien de la situation des négociations. Il ne se faisait pas d'illusion mais il aurait aimé avoir des nouvelles. Même de simple commérages sur les amourettes, un signe de vie indiquant que les négociations étaient en train d'avoir lieux. Quelque chose pour remonter le moral de la population, de ses hommes et de lui même. Il n'abandonnerait pas, mais s'ils étaient seuls face à l'ennemi. Il se posait des questions quant à l'avenir de la cité, le futur empereur était là certes, mais qu'en serait il de la population si l'ennemi passait les portes et les murs extérieurs ? Lui et les siens étaient sacrifiables et il le gardait à l'esprit, mais les milliers de citoyens ? Pouvait on décemment les laissés aux mains des fanatiques ? Tandis que Médolie expliquait tout à ses deux soldats, Matis observait une nouvelle fois l'armée en face de lui. Elle avait eu une drôle de réaction en les voyant, mais en y repensant il savait pourquoi. Elle s'était sans doute imaginée ce qu'il se serait passé s'ils lui avait mis la main dessus. Des milliers de fanatiques à qui on a hurler la gloire de leur Néant. Que pouvait on en tirer ? Rien, tout simplement rien du tout. Si on lui avait laissé l'occasion il les alignerait tous un par un et ferait jouer la baliste. Il n'avait jamais été un partisan des actes brutaux envers l'ennemis, même contre les vampires il tentait toujours de prônait la modération. Il les avait combattu de toutes ses forces et son âme, mais ils restaient des créatures "vivantes" d'Armanda et au fond de lui il espérait pouvoir s'entendre avec eux. Il devait bien être un des seuls dans cette situation mais peu importe, il en avait rencontrer des humains mauvais, et il espérait rencontrer des Vampires bons. Mais leur mode de vie était il compatible avec les Humains ? Il en doutait. Finalement, et alors que la jeune elfe voulait continuer la visite. Alors Matis hocha la tête avant de répondre. Bien sûr, j'accepte volontiers ton aide ainsi que celle de ton pigeon de combat. Sûr qu'avec vous deux on fera fuir les Alayens du trou d'où ils sont sortit. Pour la visite il n'y a pas de problème, on passera même voir Alford, je pense qu'il doit être sur une des barricades non loin d'ici.
Mais avant cela il faudra qu'on règle un problème dès maintenant. Tes Hommes, ont il connu le feu et la mort où est ce des bleus ? As tu une totale confiance en eux ? Je ne met pas en doute leurs compétences ou les tiennes, mais il faudra être sûr de tous quand nous seront face à l'ennemi. Je sais comment ils se comportent avec les elfes, et sache que je ne laisserais aucun des tiens tomber entre leurs mains, toi y compris. Je t'en fais ici le serment. Vous êtes venu nous aider et je ferais ce qu'il faut pour que vous vous en sortiez tous en vie, comme si vous étiez mes propres soldats. Ma propre famille. Après avoir écouter la réponse de son homologue elfique il lui tendit le bras et indiqua les barricades non loin de là. Es tu prête à y aller ? Je pense que cela fera plaisir à Alford de te voir en vie. Malgré le fait que tu sois bloquée avec nous derrière ces murs. Hrp : Je te laisse répondre et ensuite on intègre Alfy ? Je vais lui demander son avis |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Sam 4 Jan 2014 - 17:34 | |
| Elle ne chercha pas à le reprendre quand il parla de pigeon et non de mésange. Elle fit un grimace mais laissa glisser. Elle regarda une nouvelle par dessus son épaule et hocha la tête... Un peu pour rien ! Elle se pencha sur la réflexion de ses soldats. Elle posa bien le pour et le contre. Elle regarda Matis et lui répondit calmement: "- Mes Hommes... Malheureusement la plus part des soldats ne sont pas expérimenté. Leur seule bataille était celle de Aldaria. La plus part viennent de là bas d'ailleurs. Beaucoup sont mort à cause de leur inexpérience. Et d'autres pour avoir essayé de les protégés. "
Elle se perdit un bref instant dans ses pensées. C'était à cause d'un de ses jeunes soldats que son petit protégé était mort. Bien qu'elle s'en veuille toujours elle avait fait son deuil à sa manière. Elle passa une main dans ses cheveux et attrapa le bras de Matis pour commencé à descendre les marches. Elle continua alors sur ses soldats: "- Quand à ma confiance en eux, elle n'est que total. Car tous m'ont écouté alors que j'en menais plus d'un vers leur mort."
La mine de Médolie était sombre à se moment là. Pour la première fois depuis assez longtemps elle pensa à zéleph Anderick. Et s'il était de l'autre côté ? "- Je ne doute pas de mes hommes. Aucun d'eux nous trahira. Je le jure sur ma vie. Et si je leur demandais d'arrêté se qu'ils font pour venir défendre la ville de suite ils le feraient, je le sais. Comme vous le dites, nos soldats et compagnons sont nos familles. "
Elle partit donc accroché au bras de Matis visité les barricades. Elle avait sourit quand il avait mentionné Alford. Elle était bien contente de savoir que cette armoire à glace en armure était encore en vie et de ce côté ci du mur.
Après avoir observé quelques endroit en silence, elle vit de loin l'arme caractéristique de son ami au loin. Aussitôt elle bifurqua, Matis toujours à son bras, en direction de l'homme en fer. Elle finit par lâché le bras du Capitaine et sa mésange toujours sur son épaule, elle se plaça au côté de l'armure humaine. "- Bonjour l'homme de fer !"
Elle avait juste dis ça, laissant Alford se rendre compte qu'elle était là. Azita en profita pour sifflé un petit air et s'envola, se qui fit sourire Médolie. |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Dim 5 Jan 2014 - 14:04 | |
| L'entraînement se passait bien. L'équipe que Alford formait commençait à plutôt bien se débrouiller, et le vétéran que Matis lui avait confié l'aidait bien dans sa tâche. Il en avait même profité pour montré quelques pirouettes aux autres soldats, et leur faire rentrer dans la tête l'utilité des gardes, des parades, et la force qu'on met dans ses coups selon son approche tactique du combat. Un concept que malheureusement pas tout les soldats, même non-humains arrivaient à se faire rentrer dans la tête comme l'utilité de laisser une ouverture pour forcer l'ennemi à se montrer imprudent, ou l’intérêt d'un combat d'endurance, et de varier ses passes lors d'un combat.
Enfin bon au moins ils avaient tous bien avançaient, et l'unité constitué de 2 archers, 2 arbalétriers, 4 épéistes donc 1 vétéran, et 2 soldats maniant des hallebardes commençait plutôt à bien se distinguer du reste de la troupe, à la fois sur les galipettes que Alford leur forcés à apprendre, et surtout l'approche du combat. Ce matin par exemple près des barricades il avait trouvé que ce serait une excellente idée d'emprunter quelques planches en bois traînant par ci par là, et des objets trouvés dans le coin. Et voilà un parcours du combattant ardue après quelques dizaines de minutes d'organisation.
Il y avait des poutres à un mètre du sol qu'il fallait escalader avant de sauter de l'une sur l'autre pour ensuite faire une roulade en tombant au sol, escalader une maison en ruine, pour ensuite descendre le plus vite possible par une corde. Ensuite il fallait sauter par dessus un trou remplie de boue qui faisait 2 mètre de large, mais peu profond pour éviter les accidents idiots, et ensuite il fallait escalader un arbre, et prier pour que les barres de bois sur lesquels il fallait s'agripper avec les mains pour traverser deux mètre de longueur avec 2 mètre de hauteur ne cède pas sous le poids des soldats en armure, sinon le mercenaire les faisaient recommencer à zéro car il tenait à affûter leurs agilité pour pouvoir mieux se mouvoir dans les rues de Gloria.
Bien entendu ce n'était qu'un échauffement, et il imaginait déjà l'entraînement pour plus tard, mais il jetait quand même quelques cailloux sur ses soldats pour mimer les projectiles ennemis, et les encourager à accélérer, bon il était gentil, et en jetait des petits pour l'instant....
L'un des soldats au bout de 20 minutes d'entraînement, un arbalétrier qui s'appelait Jacob lui demanda.
Pourquoi sergent Alford vous ne passez pas vous aussi d'ailleurs?
Bonne question, même si il aurait pu s'en passer.
Parce que je dois vous surveiller, et vous encourager pendant que vous vous exercer.
Pourquoi ne pas nous faire une petite démonstration juste pour montrer l'exemple, vous pouver laisser vôtre second Jacques nous surveiller pendants ce temps.
Euh... Ok, je passerais dans quelques minutes.
Et voilà maintenant il devait lui aussi passer, sans doute qu'il allait se vautrer en beauté, car il doute que cette assemblage supporte son poids, mais quand il s'apprêtait à y aller il entendit une voix familière.
"- Bonjour l'homme de fer !"
Homme de fer? Il ne connaissait qu'une seule personne qui l'appelait comme cela... Il se retourna vers la où il avait entendu ses paroles. Il vit Médolie Ann Ludvig il était étonnamment surpris, que faisait-elle ici? M'enfin ce n'était pas important, il était tellement content de la revoir. Il serra Médolie dans ses bras sans s'en rendre compte, et s'arrêta quelques secondes après en voyant qu'il était en présence du capitaine Matis.
D'abord il s'adressa à la jeune elfe très joyeusement.
Médolie cela fait très plaisir de te revoir! Cela doit faire depuis un peu avant l'arrivé des Alayens que nous ne nous sommes revus. Comment va tu ma chère amie?
Puis il revint vers Matis toujours aussi content.
C'est une bonne nouvelle que tu me rapporte là Matis. Puis-je savoir si il y une autre raison de te venue? En tout cas je suis content qu'elle soit encore en vie. Vous avez faits connaissance? Sinon l'entraînement avance bien.
Cela l'avait vraiment mit de bonne humeur de revoir Médolie, et il attendait de savoir ce qu'allait lui déballait Matis sur le fait qu'il ne lui avait pas parler de elle, en plus de beaucoup de choses.
Dernière édition par Alford Gorder le Dim 5 Jan 2014 - 15:13, édité 2 fois |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Dim 5 Jan 2014 - 15:09 | |
| La jeune elfe avait confiance en les siens, le contraire l'aurait étonné mais il avait voulu en être sûr. On ne pouvait pas faire la défense d'une ville assiégée dans ces conditions, enfin on ne pouvait pas. En fait si, mais c'était pas très conseillé si l'on souhaitait rester en vie. L'important était qu'elle se portait garant pour ses soldats, et cela rassura quelque peu Matis qui ne savait plus trop à qui se confier sur ce genre de question. Ce n'était pas qu'il n'avait pas confiance en elle, mais il n'avait pas encore combattu à ses côtés et ne savait pas encore réellement se qu'elle valait sur le terrain. Mais pour le moment en tout cas elle semblait les tenir avec une sacrée poigne. En serait il de même devant l'ennemi et sous les flèches qui tombaient ? Il ne le savait pas mais ne voulait pas mettre en doute les compétence et la volonté de Médolie. Mais il garderait un oeil dessus, comme il le faisait avec Alford et Rebrylla... Du moins quand cette dernière était encore là.
Il conduisit donc la jeune elfe vers l'endroit où semblait se déroulait les préparatifs de la section qu'il avait confiée au mercenaire. Et tandis qu'ils évoluaient dans les rues dévastées de la capitale Humaine, jadis florissante et pleine de vie, il ne cessait de penser à ce qu'il pouvait bien se passer là dehors. Loin de la capitale, dans les clairières des terres Elfiques des émissaires de paix tentaient de recoller les morceaux entre les divers peuples d'Armanda. A leurs places il utiliserait des méthodes bien plus percutantes diront nous.
Je me demande quand même s'ils vont réussir à recoller les morceaux. Nos supers émissaires de la paix auront intérêt à être efficace sous peine de nous mettre dans la mouise. Bien plus qu'aujourd'hui.
Il avait dit ça tout haut, ses pensées étaient sorties comme ça, sans filtre. Ça arrivait parfois, encore que là il était resté poli. Mais avec la fatigue il craignait de ne pouvoir rester concentrer plus longtemps pour sortir des phrases sensées. Mais, alors qu'il fini par arriver là où se trouvait Alford et ses soldats, il resta stupéfait devant l'ampleur de l'entrainement qu'il infligeait à ses hommes. Bon d'accord ça leur permettait de rester en forme, mais tout de même. Un parcours du combattant en pleine ville ? Où diable avait il était formé ?
Il préféra ne rien dire car les retrouvailles entre son subalterne temporaire et son invitée tout aussi temporaire avait lieu et il ne voulait pas gâcher cela. Car cela faisait un moment, semblait il, qu'ils ne s'étaient pas vu. Et quant il demanda s'ils avaient tout deux fait connaissances il sourit avant de raconter l'histoire.
Si nous avons fait connaissance ? Bien sûr, un de mes gars lui a envoyé une flèche dans l'épaule, je l'ai droguée et mise dans mon lit avant de la voir en petite tenue le sur-lendemain. Après dis comme ça c'est sûr que ça fait gros pervers vicelard. En même temps l'avait qu'à pas s'introduire en voleuse dans ma cité. Mais c'est vrai. Petite remontée de sourcil avant de poursuivre. Sinon je l'ai conduis ici pour que tu lui parle de la situation, et je me suis dit que ça te ferait plaisir de la voir aussi. Puisqu'elle m'a dit que vous vous connaissiez.
Ha l'ironie quant tu nous tiens. Il se demandait quand même si le mercenaire allait croire la stricte vérité qu'il venait de lui énoncer ou s'il penserait qu'il s'agissait d'une blague potache. L'avenir lui dirait, mais il ne s'inquiétait pas outre mesure. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Mar 7 Jan 2014 - 0:01 | |
| Lorsque son armoire à glace de d'ami se rendit compte de sa présence, la jeune elfe eut droit de manqué de se faire brisé les os dans une amical étreinte. Il lui demanda de ses nouvelles et elle lui dit que tout allait bien ou presque. Mais vient la question fatal. Celle qui demandait si Matis et Médolie se connaissaient. Le Capitaine alors la vrai histoire et en l'entendant la jeune elfe se sentit... Rougir. Elle pencha la tête sur le côté en fermant les yeux et pinçant les lêvres tout le long du récit. D'un geste simple mais discret, elle montra à Alord le pansement sur son épaule. Elle avait d'ailleurs l'impression que son épaule était moins douloureuse. Mais elle en voulait a Matis d'avoir dévoilé l'histoire comme ça avec l'ironie dans la voie et dans les paroles. Ces bonnes manières et sa raison passèrent après son esprit vengerèsque. C'est donc avec un large sourire moqueur qu'elle frappa Matis à l'épaule. Elle avait bien sur frappé avec le bras gauche. "- Tu aurais du te taire ! Tu saurais pour la prochaine fois !"
Elle savait qu'elle ne lui avait pas fait mal car c'est normalement avec le bras droit qu'elle aurait du frappait. Mais depuis le début que sa la démangeait, ça faisait du bien. Elle éclata d'un rire clair presque innocent.
Elle se pencha alors sur le parcourt de son ami en fer. C'était fort intéressant. Elle eu envie de prendre place parmi ceux qui faisait le parcourt. Cela devient même une très imposante envie. Elle fit bouger son épaule blessée et sourit satisfaite. Toujours pieds nus, elle s'avança de quelques pas vers le parcourt. "- Mes amis ? Je vous demande de m'excusé, mais ce parcourt m'appel et j'ai besoin de savoir si cette blessure va résisté aux combats à venir. Elle s'inclina de façon ironique. Si Diklan avait été là, il lui aurait probablement interdit mais fort heureusement, il dormait du sommeil dont il avait tant besoin. Elle se redressa et doubla les hommes de Alford qui furent, elle crut, surprit.
Le jeu des poutres fut un jeux d'enfant pour l'agilité de l'elfe. La roulade fut une chose simple également. Les choses commencèrent à se compliqué et à réveillé la douleur de l'épaule de Médolie lorsqu'elle escalada la maison de bois. Elle décida de déscendre la corde la seul force de ses bras et faillit lâché plusieurs la corde car la douleur se faisait de plus en plus présent. Elle prit un peu d'élan pour pouvoir traversé le trou de boue sans se salir. Se fut de justesse qu'elle manqua de salir les pieds avec de la boue. Escaladé l'arbre fut encore mieux qu'un jeu d'enfant pour l'elfe vu qu'elle venait des arbres. Ou presque. Le plus était à présent. Elle vit sous ses yeux, l'épreuve finale. Se hissé jusqu'au bout deux mètres environs de morceaux de bois dans les airs, accroché au une corde. En tant normal, elle n'y aurait vu aucune difficulté bien particulière mais cette fois ci... Il en fut différent. Au bout du troisième morceau de bois, elle avait si mal qu'elle voulu lâcher mais se l'interdit. Mais avant d'arrivé, elle sentit la douleur trop présente engourdir ses sens et ses doigts. Elle comprit qu'elle tournait de l'oeil à cause de son épaule bléssé. Un coup d'oeil flou à celle ci lui affirma que la blessure c'était ouverte. Ces doigts fuirent le bout de bois et se fut la chute vers le sol. Elle resta que quelques secondes allongé au sol. Elle réussit à se relevé sans appuyé sur son bras qui la faisait atrocement souffrir. "- Pitié ! Pas la boisson, dit-elle au forme flou qu'elle croyait voir à côté d'elle. " Elle resta là assise, la tête lui tournant, les yeux dans le flou, le souffle court, mais elle ne sombra pas dans l’inconscient. Elle avait fait une bien bel bêtise en essayant de faire se parcourt. Capitaine inconsciente serait un surnom qui lui irait, elle le croyait, à ravir. |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Mar 7 Jan 2014 - 12:19 | |
| La façon donc Matis, et Médolie s'était rencontré surprenait un peu Alford, et ce dernier avait du mal à croire cela jusqu’à ce que Médolie confirme. Il réfléchit quelques secondes en regardant le capitaine dans les yeux, et il dit avec un un peu d'humour.
Ah bon vous n'êtes pas un pervers vicelard capitaine? Plaisanta t-il en parlant d'un ton faussement étonné. Moi contrairement à vous toutes les femmes ne tombent sous mon charme, si j'en ai un ce donc je ne suis pas sûr. Alors je tiens a ce que vous ne touchez pas à mes quelques amis si vous voyez ce que je veux dire. Dit-il avec bonne humeur.Bon par contre du coup je ne sais pas comment réagir. Dois-je te féliciter d'avoir pensé à me faire part de ses nouvelles. Ou dois-je te filer mon poing dans la figure pour l'avoir blessé?Prononca t-il avec humour, mais aussi un peu de sérieux dans la voix. Désolé d'ailleurs de ne pas t'en avoir parler plus-tôt. Il y a beaucoup de choses que j'ai oublié de te dire Matis.
Il continua à réfléchir quelques instants, puis nchaîna.
Par exemple j'ai rencontré Aldakkin du Néant en personne lors du début de l'invasions,e t malheureusement je ne l'ai pas convaincue d'y renoncer. Nous avions eu une longue discussion ou chacun de nous deux argumenter ses points de vue. En fait il a même faillit me convaincre un instant de les rejoindre, mais je n'ai pas cédé. Le prêcheur n'a pas su me faire douter de la légitimité de ma cause. Je ne bats peux-être pas pour les esprits, mais je bats au nom d'Armanda, et de tous ses peuples, et je le ferai jusqu'au bout.
Maintenant qu'il avait déballer cette grosse surprise sans doute pour le capitaine. Il revint vers Médolie, et lui répondit.
Nous parlerons de tous ça plus tard au milieu de vos soldats. J'aimerais savoir ce qui s'est passé pour vous au début de l'invasion par exemple...
Dit-il encore avec enthousiasme. Puis il écouta la réponse de ses deux interlocuteurs avec attention. L'homme de fer fut ensuite étonné lorsque Médolie alla essayer son parcours. Ses hommes qui n'avait pas à rougir de leurs talents en agilité avaient étaient distance, même si ils étaient très fatigué Médolie était sans doute d'un niveau au dessus sur ce point là. Elle exécuta avec perfection toute les figures, et traversa vite le parcours du combattant. Malheureusement lors de la dernière partie du parcours son bras lui fit défaut, et elle chuta de deux mètre de haut.
Inquiet Alford se précipita vers elle, et l'écouta implorer de ne plus lui faire boire la boisson. Quel boisson? Celle que Mats avait utilise rpour la droguer? Mais bon il était concentré sur l'instant, et assez inquiet le mercenaire la souleva, et la prit dans ses bras, pour aller l'amener se reposer sur une couchette proche vu qu'elle s'était bien fait mal sans doute. Il dit à son amie elfique qui était encore un peu dans les vapes a cause de la chute.
Eh bien dis donc ma chère Médo tu viens sans doute te montrer tes prouesses en agilité à tous, mais tu n'aurais pas du faire la dernière étape ton bras est encore assez endolorie. Repose-toi un peu ça ira mieux très vite ne t'inquiète pas. Tu peux être fière de ta performance.
Il en profita aussi pour dire à ses moments.
Prenez une demi-heure de pause, vous l'avez bien mérités!
Ceux-ci allèrent du coup se détendre un peu plus loin comprenant qu'il ne valait mieux pas déranger.
Il dit ensuite à Matis calmement tout en regardant comment se porte Médolie.
Tu n'as pas quelques chose pour atténuer la douleur capitaine? |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Mar 7 Jan 2014 - 19:06 | |
| Matis s'était attendu à ce genre de réaction venant de la jeune elfe, et il l’accueilli sans frémir. A vrai dire il s'était attendu à bien pire qu'une "simple" bousculade d'épaule, même s'il y avait l'excuse du mauvais membre. En tout cas il sourit devant cette attaque en simulant une blessure et en frottant vigoureusement sa main sur son épaule soit disant déboîtée. Et quand il écouta la réponse d'Alford il sourit encore plus, il savait que le jeune homme était tiraillé par l'envie de garder la main sur l'elfe tout en restant courtois avec son officier. A sa place, Matis ne savait pas s'il serait resté du calme olympiens dont il faisait preuve. Mais cela n'avait pas d'importance car ce n'était pas la situation actuelle.
Ho bha je pense que tu peux me remercier de l'avoir sauvée. On ne sais jamais sur qui elle peut tomber dans ce genre de quartier. S'aurait pu être pire, elle aurait pu tomber sur des lames noires, et je ne sais pas s'ils auraient étés du même niveau de réponse. Souriant bêtement à son ânerie il poursuivit. Mais que je suis bête, les lames noires ne montent jamais la garde sur le mur extérieur.
Dans sa voix il y avait de l'ironie, mais il y avait aussi un fond de vérité. Un gros fond même. Les gens semblaient vénérer les lames noires pour leur absence de défaite mais en même temps, si l'on ne combat jamais on ne peut pas perdre. Il y avait de la rancœur, mais il savait que certaines Lames n'étaient pas mauvaises, enfin... Il l'espérait. Il n'y pas si longtemps encore il parlait avec l'une d'elle et il semblait avoir trouvé quelque chose dans cet être couvert d'une épaisse armure. Mais aujourd'hui c'était différent. Il en était à combien de semaine de siège ? Après trois semaines il avait cessé de compter car cela ne servait à rien. Ses hommes et lui n'avaient que rarement le droit à un repos mérité sur les "lignes" arrières et il serait curieux de connaitre les conditions des lames noires ? Dans l'armée Impériale, comme dans l'Empire il y avaient qui sortaient toujours gagnant. Il n'aimait pas dire cela, mais les Lames Noires étaient bel et bien la Noblesse de l'armée. Et pas forcement dans le sens où on l'entendrait.
Il revint rapidement à la réalité quant Alford lui fit part de sa discussion avec un général du Néant. Le regard de Matis changea du tout au tout. Cette révélation ne devrait pas avoir lieu en dehors du cadre privé, nul ne devait en entendre parler. Il se rapprocha du mercenaire et passa un bras autour de son épaule pour lui parler en privé. Il baissait la tête pour que personne d'autre que lui et Médolie ne l'entende.
Alford, tu es un ami alors je vais te le dire clairement. Ce genre de chose, tu le garde pour toi. Je ne veux pas qu'un fondu de l'administration ou un inquisiteur à ses heures perdues ne te croit hérétique, corrompu ou un autre adjectif pas agréable. Tu es un bon élément et il est hors de question qu'on te mette en taule. Tu me fera un rapport complet plus tard sur cette question car ça m’intéresse. Mais pour le reste, que ça reste entre nous.
Lachant le soldat il reporta son attention sur Médolie qui partait tenter le parcours du combattant mis en place par le mercenaire. Elle était compétente il n'en doutait pas un instant, mais il avait des doute quant au fait qu'elle le termine. Il était en fait assez dur et elle n'était pas en état de le faire, mais il ne dit rien, préférant regarder et se taire. Quant elle tomba au sol il se rapprocha en secouant une gourde en acier en hochant la tête avec un regard de braise. Alors quant elle cria qu'elle n'en voulait pas il s'approcha en lui agitant le conteneur sous le nez comme pour la torturer. Alford avait couru bien vite pour arriver à son chevet et l'aider, c'était... Suspect. Les regardant tout deux il osa une question.
Oui j'ai de quoi, mais va savoir si elle acceptera... Mais dites moi... Entre vous... Y'a ... QUelque chose de suspect en cour non ? |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Mer 8 Jan 2014 - 23:36 | |
| Encore totalement sonné, elle vit une masse grise suivit par une autre masse dans vraiment de couleur définie. Elle se sentit soulever et d’après le froid qu'elle sentit, c'était Alford qu'il l'avait attrapé. Elle entendit le plic plic d'un liquide qu'on secoue dans un étui en aluminium. Non... Pas la boisson... Elle se sentit avancer. Enfin elle sentit qu'elle bougeait. Puis qu'on la posait sur un lit. Elle se retrouva allongé. Mais Elle se redressa. Elle avait mal. Si mal. Mais elle refusait de tomber une nouvelle fois dans le coma que la boisson proférait. Elle leva la main gauche et posa ses doigts sur sa blessure. Elle sentit le liquide poisseux du sang. Elle passa ses doigts les un contre les autres. Elle frappa dans la bouteille que Matis agitait sous son nez. On parlait autour d'elle mais elle ne comprenait, entendant juste son coeur battre dans ses oreilles à cause de la douleur. Assise sur le bord du lit elle fit une technique qui avait déjà porté ses preuves. Elle regarda le sol fixement, en respirant doucement. Elle se concentrait sur sa respiration pour oublié et faire passé la douleur. Petit à petit elle se sentit mieux. Quand elle vit enfin clair et que t'entendre redevient un truc normal, elle releva la tête. "- Pardon tout les deux, je ne voulais en aucun vous faire peur. Mon but était de testé la résistance de mon bras en vu d'un futur combat et les résultats sont désastreux. Et Matis, si tu me mets une nouvelle fois ta gourde pleine de chose dégelasse sous le nez c'est pas un coussin que ton petit visage va se mangé. On s'est bien comprit ? Bon.. Autre chose. J'ai pas compris se que vous avez dis, vous me faites un rapide bilan ? Sauf si c'est des reproches. Vous les gardez pour vous, j'aurais bien assez avec ceux de Diklan quand il va savoir ça ! "
Elle sourit. puis elle ajouta que part contre si le Capitaine avait de l'eau, et elle précisa pure, dans le coin elle était preneuse. Et elle jeta un regard foudroyant à l'homme qui lui avait fait boire la mixture au cas où l'idée lui aurait traversé de mettre dans son erre un autre truc pour la réduire au silence. "- Il faudra que je retourne voir ton ami Nikolaï mon chère Matis !" |
| | | Alford Gorder Modérateur Mercenaire
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Jeu 9 Jan 2014 - 18:00 | |
| La réponse de Matis avait fait rire un instant Alford, mais celui-c reprit son sérieux très rapidement. Le moment de plaisanter était finit pour l'instant! Et le mercenaire apprécier moyennement que le capitaine est blessé son amie Médolie, surtout si celle-ci aurait pu en mourir... Mais bon il allait prendre des gants quand même car Matis était un ami pour lui, ou du moins quelqu'un a qui il devait une tournée. Il allait quand même mettre les points sur les "i" pour plus tard. En espérant que le capitaine n'en ferait pas qu'a sa tête, même si cela avait l'air assez vain d'y croire pour quelqu'un d'un minimum sérieux.
Bon heureusement donc que ce n'était pas des lames noir qui l'ont surpris, mais néanmoins j'aimerai que la prochaine fois que cela arrive si ça devait arrivait encore, que tu exerce l'art de parler avant de tirer, ou du moins d'utiliser des flèches à boulet pour assommer. Je l'aurai apprécier moyenne si vôtre archer avait mieux visé... Surtout qu'ils n'étaient que deux, et au pire si ils avaient étaient des alayens cela aurait permis de les avoir sous la main pour un éventuel futur interrogatoire. Après que vous soyez d'accord ou pas avec moi ne regarde que toi. Je voulais juste souligner cela Matis.
L'opinion du capitaine sur les lames noir ne regardait que lui, mais le mercenaire avait compris le sous-entendu, lui ne préférait pas juger les lames noir pour l'instant, car il ne les avaient pas vu se battre, et le mercenaire tenait à avoir son propre avis sur la question, un jour peut-être... Il avait bien envie de rencontrer une lame noir personnellement d'ailleurs, cela pourrait sans doute l'aidait à se faire une vraie idée de leurs mentalités, et surtout de leurs valeurs. Là seul fois ou il en avait vu de vraiment près après tout c'est lorsqu'on l'avait emmener devant Korentin Kohan pour subir un procès, mais cela était une autre histoire...
Ensuite le mercenaire s'aperçut qu'il s'était montré imprudent à parler du prêcheur ici, heureusement que Matis le rappela à l'ordre de manière diplomatique. Il comprit les propos de Matis, et ne put que répondre à celui à voix basse en étant parfaitement d'accord avec le capitaine.
D'accord je tâcherais de faire plus attention à l'avenir... D'ailleurs ton rapport, tu le veux à l'écrit? Car cela risquerait d'être bien long à raconter...
Il était totalement sérieux sur ce point là. Qu'il savait lire, et écrire, et aussi que ce serait sans doute bien long à raconter même pour un rapport détaillé.
Ensuite lorsqu'il déposa Médolie sur le lit, après avoir stoppé ce que Matis tentait de faire. La remarque de ce dernier troubla le mercenaire qui ne put que répondre sur un ton assez gêner.
Comment ça un truc louche? Nous sommes juste ami Matis, c'est pas parce que tu veux tenté le coup avec toute les femmes que tu rencontre, que je fais forcément de même. Dit-il avec un peu d'humour dans la voix, puis il rajouta. Et puis bon vu comment c'est partit, je ne risque pas de me marier avant 40 ans, si j'ai de la chance de moins... Il ne préféra pas réfléchir a ce qu'il venait de dire, et reporta son attention sur Médolie.
Ne faisant pas trop confiance à Matis pour cela, il passa sa gourde d'eau à Médolie, et lui demanda.
Mieux vaut ne pas prêter attention à ce donc nous conversions ma chère Médolie, après tout tu connaît l'humour de Matis, et cela n'était pas très subtile, comme d'habitude... Dit-il avec une ironie de bon cœur à l'adresse des deux capitaines. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] Ven 10 Jan 2014 - 19:55 | |
| L’homme prenait mal le fait que la jeune femme ait été blessée, comme si cela était de sa faute à lui. Ce n’est pas de sa faute si l’elfe se la jouait voleuse du dimanche aussi non ? Il ne dit rien à la réplique du mercenaire car il n’avait rien à dire sous peine de s’énerver pour rien. Heureusement qu’il l’avait à la bonne le petit Alford, sinon il aurait déjà fini sa course en haut du rempart attaché par les pieds et servant de cible aux Alayens. Mais il ne pouvait pas se permettre de se débarrasser d’un élément si proactif. Alors il allait faire avec.
Les deux hommes portèrent donc l’Elfe dans des quartiers où elle pourrait se reposer et se remettre doucement. Il fallait le dire, elle avait été stupide de faire ce parcours, mais ce n’était pas à Matis de dire cela car il aurait sans doute fait de même. Alors il ne dit rien, préférant réfléchir calmement à la situation et observer les mouvements du mercenaire sur la capitaine. Il avait beau dire qu’ils n’étaient qu’ami, Matis sentait quelque chose, alors il sourit.
Néanmoins ce qu’il avait à l’esprit était nettement moins joyeux. Que le mercenaire ai survécu à une rencontre avec un des Généraux du Néant était loin d’être commun, qu’avait-il bien pu se passer pour qu’il en arrive là ? Il ne le savait pas mais il ne tarderait pas à le savoir car le mercenaire semblait disposer à en parler. Mais avant tout il allait prendre ses paroles dans l’ordre et repartir du début.
Premièrement, mes gars réagissent normalement à chaque tentative d’enfoncement de nos lignes. Passer en pleine nuit avec des gars qui sont sur les dents n’était pas trop indiqué. Je prends note qu’il aurait fallu les assommer avec des flèches incapacitantes mais on est un peu à court de ce genre d’engin. Après je peux toujours aller faire les courses au bazar du coin… Quoi qu’il en soit je n’étais pas là pour surveiller sur cela, je suis arrivé alors qu’elle était déjà blessée donc bon.
Pour la suite, on parlera au calme de ta rencontre avec ce fou furieux. Mais pour le moment occupe-toi de ton amie. C’est une forte tête et j’ai pas vraiment envie de la voir se balader dans la ville sans être complètement remise de ses blessures.
Matis le bouscula gentiment avant de les regarder tous les deux.
Allez c’est pas grave. Prenez du temps pour vous parler moi je vais aller résoudre des problèmes récemment tomber entre mes mains. Alford on se voit plus tard, quant à vous Médolie, faite ne serrait ce qu’un mouvement pour sortir de ce lit et je jure que je vous attacherais à un pilori. En sachant que la seule mixture que vous aurez à boire sera celle que vous aimez plus que tout.
Matis prit le chemin de la porte et salua rapidement.
Sur ce. Une bonne journée à vous, vous savez où me trouver si vous avez besoin. Ce fut un plaisir de vous rencontrer Médolie. Alford, mon humour est à la candeur ce que tu es. Si cela ne te touche pas qu’importe, j’en ferais une arme et je pense pouvoir tuer pas mal d’Alayens avec ça. Me faudra juste un volontaire mais ils sont pas trop entreprenant en ce moment… Et il sortit, laissant les deux soldats parler et se raconter comment leurs vies avaient évoluée. Lui avait d’autres problèmes en cours…
[Hrp] Je vous laisse parler entre vous ça été un plaisir !
|
| | | Contenu sponsoriséMon identité Mes compétences
| Sujet: Re: Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] | |
| |
| | | | Arrêt sur image et zoom ! [PV: Matis] | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |