Marie-Lys avait travaillé cette nuit pour la septième nuit d'affiler. Lors que la boulangerie ouvrit ses portes, sa sœur adorée Jeanne-Iris lui rappela qu'aujourd'hui et demain elle avait congé et que leur mère allait travailler cette nuit afin que Lys puisse se reposer. Lys fut toute heureuse de savoir qu'elle avait enfin ses jours de congé. La jeune fille ne sentait plus la fatigue, mais c'était autre chose pour son corps qui fessait comprend en la fessant bailler.

Elle rentra donc chez elle pour aller se reposer quelques heures. Elle se réveilla peu avant midi, heure qu'elle devait rejoindre Callie. La jeune fleur prit les premiers vêtements qu'elle trouva : une robe longue blanche en lin aux manches longues, une toge de couleur bleue à manches courtes lacer sur les côtés et en avant, ainsi qu'un ceinture brune (HJ voici ce qu'elle porte Ici) Après s'avoir habiller, elle continua ses habitudes qui consistent à faire son sac avec des vêtements et de la nourriture pour 2 jours, ainsi que son violon. Puis elle laissa un mot sur la table pour prévenir sa sœur qu'elle dormait à l'hôtel. Lys avait commencé cela depuis 2 ans, lors qu'elle avait congé de nuit elle partait de la maison pour laisser sa sœur et son beau-frère seul pour avoir un enfant. Lys préférait payer pour être loin plus tôt que de risque de tomber sur son beau-frère sans vêtements. En dernier, l'humaine mit ses bottes brunes qui lui arrivent à mi-mollet à talon haut et elle prit une cape bleu pâle chaude pour ne pas avoir froid. Elle se diriga vers la pertes, mais se souvenu à la dernière minutes qu’elle n’avait pas ses dagues. Elle alla les chercher et le mit dans ses bottes. Puis Lys ouvrit la porte qui conduit à l'extérieur.
Le soleil, qui était presque à son zénith, fit cligner les yeux de Lys. L'air frai de ce début d'automne caressa la peau pâle de la jeune fleur. Le bruit des gens qui s'activaient dans les rues fit une douce musique dans les oreilles de Marie. Tout cela fit sourire la jeune humaine, un sourire où se mélangeaient le bonheur des petites choses simples et la tristesse de voir la chaleur partir lentement.

C'est donc d'une démarche rapide que Lys se dirigea vers la porte de l'entrée de la ville. Lys voulait aller jouer de la musique et profiter du beau temps. Elle arrive à l'entrée un peu avant que le soleil soit à son zénith... environ 5 minutes... Cela avait pris plus de temps que prévu à Marie pour se rendre à la porte, car il y avait beaucoup de monde dans les rues. Heureusement pour Lys, elle n'était pas tombée une fois, et ce, malgré la foule. Le souffle de la Fleur était rapide, car elle avait dû faire de la marche rapide.

Elle sortie de la ville et alla dans un petit champ de gazon proche des mur de la ville, mais assez loin pour qu'il n'y ai pas trop de monde. Après avoir vérifier qu'elle était seule, elle sortie son violon et se mit à jouer "Concerto pour deux voix" sans faire les aaaaa

Plusieurs journées s’étaient passées depuis sa séparation avec Mignon, son antilope adorée. Shëri ne s’en souvenait pas du tout, en fait, mais cela reste un évènement inscrit dans la ligne du temps de la réalité. Cette réalité était d’ailleurs bien cruelle avec le petit Shëri qui ne savait plus du tout où il se trouvait, maintenant qu’il avançait un peu à l’aveuglette à la recherche de la grande masse d’arbres que sont les vieux bois. Oui, Shëri trébuchait sur un sol inconnu, maintenant (évidemment, cela n’est qu’une métaphore puisque le sol peut être considéré le même peu importe où on se trouve sur un même continent, toutefois, à cause de raisons de perceptions géographiques, on peut avoir l’impression que l’on ne foule pas le même sol lorsque l’on se retrouve loin de chez soi dans un environnement inconnu (pas si loin que ça, dans le cas de Shëri, mais il ne le sait pas, alors ça lui semble très loin!))

Le jeune elfe avait marché vers l’avant, puis vers derrière, puis vers la gauche et vers la droite… Aucune direction n’était la bonne! Il ne retrouvait pas du tout son chemin! Il revenait même à l’endroit de départ! DAH! Il décida donc de suivre son intuition, et puisque celle-ci n’est pas très efficace, Shëri s’éloignait évidemment de plus en plus du royaume elfique. Il se dirigeait vers Aldaria, à son insu, qui se situait au sud-est du royaume elfique et de la masse d’arbres qui était pourtant immanquable au repérage. Comment faisait-il pour être aussi désorienté? Nul ne peut le savoir, puisque lui-même n’en a aucune idée. Il s’était approché d’Aldaria sans trop savoir que c’était Aldaria et il restait à l’extérieur de la ville, parce que les gens, ça l’intimidait. Comme on peut le deviner, Shëridan va retrouver Marie-Lys à un moment donné, mais la question alors : Comment?!

Shëri pourrait, par exemple, être en train de se laver dans une étendue d’eau et, attaquée par un alligator géant, il pourrait s’enfuir, apeuré, et percuter la jolie violoniste lors de sa course fesses en l’air. Il pourrait aussi tomber d’une branche d’un arbre par-dessus la petite dame, en essayant de voir au loin, et lui casser les bras ainsi que le violon! Il pourrait néanmoins apparaître de façon romantique et sauver Marie-Lys alors qu’elle se fait attaquer par un yéti abominable sorti d’un trou dans la terre… ou de façon moins romantique, en sautant dans les bras de Marie-Lys et en criant d’une voix intolérablement aigüe, parce qu’il a été effrayé par un hamster sauvage.

Nul doute que ces façons de rencontrer la dame sont décidément trop loufoques! Shëridan n’allait tout de même pas être effrayé par un hamster… quoique… une souris pas de queue, c’est quand même assez bizarre. MAIS! Sérieusement. Comme tout être vivant, Shëridan avait faim après un si long périple et se devait de manger. Sans ustensiles ni vaisselles, il décida donc de manger les feuilles à même les arbres, arbustes, et de brouter de l’herbe à même le gazon. À chaque petite bouchée de végétal qu’il ingurgitait précédait ses remerciements profonds envers ces plantes. Alors qu’il machouillait une feuille particulièrement raide, il entendit au loin une mélodie issue d’un instrument à corde. C’était magnifique! Il ne pouvait s’empêcher de s’approcher de la source sonore, tout en restant subtil et silencieux. Il vit au loin une jolie p’tite humaine qui jouait du violon. À pas de loup, il s’approcha de la jeune femme habillée de bleu et de blanc pour l’écouter.

Malheureusement, la subtilité n’étant pas inscrite dans la liste des compétences du petit Shëri, bien sûr, il trébucha sur un caillou coquin et s’étendit de tout son long devant la demoiselle. Avec tout ça, oui, Shëri machouillait encore sa feuille ardue.

Le bruit cause par la chute de l'elfe fit faire des fausses notes à Lys avant que le son ne s'arrête complètement. Elle qui pensait être seule, elle se retrouvait avec un étranger étaler de tout son long sur le sol et pire que ça, il s'agissait un homme... Elle regarda la masse étaler au sol. Elle ne savait plus quelle émotion prendre. Elle était en colère qu'un intrus la dérage, mais avait honte de ne pas l'avoir remarqué plus tôt. Et il y avait aussi de l'inquiétude pour l'état de santé de ce dernier.

La jeune fleur éloigna l'archet du violon et le prit dans la même main que celle qui tien le violon. Elle s'approcha de l'elfe d'un pas doux et lent. Elle se pencha un peu vers l'avant pour mieux regarder l'être vivant. Oui oui, c'était bien un homme et il avait une feuille dans la bouche! Elle réifia une nouvelle fois pour être certaine qu'elle n'avait pas halluciné la verdure qui se trouvait entre les lèvres du maladroit. Sur le visage pâle de la jeune boulangère, on pouvait y voir de l'étonnement suite à la découverte de la feuille dans la cavité orale du perturbateur de son calme. Elle prit une grande bouffée d'air pour ne pas rire des malheurs de cet individu. Puis Marie-Lys réalisa qu'elle devait dire ou faire quelque chose. Ce curieux personnage avait beau être un male, elle ne pouvait pas rien faire, car c'était contre sa nature. Mais elle ne voulait pas l'aider à se lever, elle le trouvait trop étrange, surtout avec cette couleur, ou plus tôt celle absence de couleur de cheveux. Il était contre nature d'avoir les cheveux blancs... peut-être était-il un grand mage ou avec pu un poison...

"Vous aller bien?"

Lors que la Beauchemin parlait, elle donnait l'impression de chanter une douce berceuse pour enfant. Sa voix était mélodieuse, un peu enfantine et d'une grandeur douceur. Lys ne savait pas quoi dire de plus à cette créature. Elle continua de l'observer. À première vue il n'y avait rien de briser et l'absence de flaque de sang prouvait que s'il avait des blessures, elles étaient minimes. Puis, elle eut une idée logique, du moins plus que la réalité, qui lui traversa la tête. Peut-être que la feuille qu'il avait dans la bouche était arrive là lors de sa chute.

"Vous savez, vous avez une feuille dans la bouche!"

C’est certain, il allait la trouver idiote de dire des évidences, mais elle ne savait que faire face à ce vieillard. Oui c’était cela la raison de ses cheveux blancs, il était vieux… mais les traits de son visage ne semblait pas si vieux que cela…. Lys prit une grande bouffée d’air pour arrêter de se poser toutes ses questions sans importance. Elle se devait d’être une gentille petite fille parfaite vu que le soleil était encore dans le ciel… Elle c’était promit d’être elle-même seulement lors le soleil n’était plus dans le ciel bleu…

"Avez-vous besoin d’aide ? "

La journée s’annonçait chaude et le soleil était déjà bien haut dans le ciel. Luna avait quitté son groupe de voyage, la Horde et Jeönyr, il y avait de cela à peine quelques heures et voilà qu’elle se retrouvait seule. Mais quel était ce sentiment qu’elle ressentait…? Était-ce de la joie? La joie d’être enfin arrivée saine et sauve à destination, c’est-à-dire à Aldaria la Superbe. Était-ce de la mélancolie? La tristesse causée par l’éloignement de Sire Jeönyr et par sa promesse rompue: celle de visiter la grande ville en sa compagnie. Ou était-ce de la peur? La frayeur d’y mettre les pieds et d’y apprendre que son maître avait failli à sa parole. C’était un mélange d’un peu tout cela en fait. Machinalement, perdue dans ses pensée, elle se dirigeait vers sa destination.

Ce n’est qu’une douce mélodie qui extirpa la fillette de treize ans de son état. Un air de violon attira son attention et elle ne put s’empêcher de s'en approcher. Cet air lui rappelait vaguemenent quelque chose, mais elle était trop loin pour discerner correctement les notes. Ce n’est qu’à quelques mètres qu’elle réalisa qu’il s’agissait de la chanson « Concerto pour deux voix ».

- Aaa hmm. Hmmm… fredonna-t-elle sans s’en rendre compte.

Autrefois, c’était son père qui créait ces notes de son violon. Autour d’un bon feu, sa mère, ses frères et elle chantaient gaiement – et faussement- les « AH » en cœur. Aujourd’hui, c’était une jolie demoiselle à la chevelure dorée et d’une stature délicate, vêtue d’une robe blanche, qui jouait. Rien à voir avec son défunt père!

Elle remarqua alors la présence d’une grand être svelte à la chevelure presque blanche comme la neige. Mais?! Que faisait-il? Venait-il tout juste de s’emparer de feuilles de l’arbre et de les engloutir? Eeuuuh…? Était-ce du gazon qu’il mangeait, comme le bétail le faisait à SinClinclin? Mais qu’est-ce qu’il faisait au juste? Cet homme avait décidément attiré sa curiosité.

Toutefois, la déception se lut sur le visage de l’archère lorsque l’homme aux habitudes étranges trébucha devant la boulangère qui cessa son récital. Enfin, elle ne put empêcher un petit rire face à la situation, rire qui ne durant qu’un bref instant, car elle reprit son sérieux aussitôt. La violoniste avait pris la situation en main en s’assurant que le maladroit ne soit pas blessé. Luna n’avait plus rien à faire ici et elle devrait se remettre en marche vers la cité qui lui était inconnue. Faisant un pas vers l’avant, elle se prit les pieds sur une roche et tomba [XD J’espère que tu m’en veux pas de te copier ^^’’ XD], se protégeant le visage avec ses bras.

- AAHH! s'écria l’enfant en tombant.

Décidément, la place était dangereuse!

À quoi ressemblait-elle? Sa chevelure d’un blond presque fantomatique était sale et sa peau, normalement pâle, était parsemée de terre ici et là, la rendant brune. Elle avait gardé les mêmes vêtements durant tout le voyage et donc, portait toujours son haut en cuir souple verdâtre ainsi que son pantalon brun fait de lin. À son dos se trouvait un carquois rempli de flèche et son arc. À sa jambe saillait une dague dans son fourreau. Enfin, de longues bottes en cuir recouvraient ses pieds et cachait une autre dague.

Marie-Lys a écrit:

Vous allez bien?

Eh bah ça alors! Quelqu’un parlait à Shëri !?!

Nah mais, je répète : quelqu’un a parlé à Shëridan Emläyfeull.

Non mais… sérieusement, même si on s’y attendait, ça fait quand même un choc, non?

Vous, lecteurs, réalisez-vous ce que cela signifie pour l’elfe? Non? … Bah, allez lire son histoire, vous comprendrez. MAIS ! Vous devez savoir que cela dépasse tous les vœux qu’il croyait réalistes dans sa vie. Oui, Shëri y a déjà rêvé… Mais qu’un rêve devienne ainsi réalité… WOUAW.

Nul ne peut mesurer la joie immense qui submergea le jeune elfe étendu de tout son long par terre. Il était tellement heureux qu’il cessa de machouiller sa feuille et garda la bouche entrouverte avec un air béat et niais. La jeune femme l’observait curieusement, et lui, il l’observait aussi… Mais seulement en apparence, parce que en fait, il était parti dans sa tête remplie de nuages multicolores, d’arc-en-ciels étincelants et d’anges qui lancent des confettis dans tous les sens en dansant le jive. Pour Shëri, le monde explosait de bonheur et toutes les particules de son existence étaient en fête! Sa joie transparaissait maintenant sur son visage, qui affichait un sourire rayonnant d’euphorie. De ses yeux maintenant un peu plissés par l’expression de son bien-être coulait un flot de bonheur. (D’accord, bon, je dis flot pour en ajouter un peu, mais disons que c’est un flot quand même subtil… comme une ou deux larmes… mouais.)

Marie-Lys a écrit:

Vous savez, vous avez une feuille dans la bouche!

Oh.ciel.

ELLE LUI AVAIT REPARLÉ!

Cette fois, Shëri n’en pouvait plus, il était tellement content qu’il se mit à rire. Un petit rire tout mignon… mais de l’angle de l’humaine, il y avait des possibilités que cela ait l’air très inquiétant. En tout cas, Shëri, lui, ne se rendait pas du tout compte que son comportement était très inadapté à la société. Il s’appuya sur ses avant-bras jusqu’aux coudes pour faire mine de se relever (comme dans la position du cobra en yoga), mais au lieu de se redresser, il tappa le sol de ses mains ouvertes et en poings, comme quand on rit d’une bonne blague et qu’on tape sur la table pour montrer qu’on trouve ça drôle. Mais dans le cas de Shëri, il était heureux et abasourdi et cela était son moyen de montrer qu’il ne savait pas quoi faire d’autre.

Marie-Lys a écrit:

Avez-vous besoin d'aide?

Bon, cher lecteur, vous commencez à être blasés des réactions bizarres de Shëri à chaque fois que l’humaine lui adresse la parole? Eh bien pas moi. Shëri non plus, il n’en revient pas encore! Alors il se mit à sangloter en hoquetant, et cela, tout en souriant, riant, et en tapant le sol de ses mains. Il voulait bien répondre à la belle dame, mais il ne l’avait pas vu le saluer?! Il ne pouvait pas adresser la parole à quelqu’un si cette personne ne le saluait pas?

Certes, un elfe normal comprendrait que les humains ne connaissent pas cette règle de politesse elfique. De toute façon, un elfe pourrait s’évaluer de famille plus prestigieuse que les humains et leur faire le salut eux-mêmes, en premier… Toutefois, Shëri, se considérant comme étant tout au bas de l’échelle sociale, ne put envisager l’idée qu’il était possible de saluer quelqu’un en premier et encore moins qu’il était normal pour d’autres êtres de ne pas être obligés de faire un salut pour parler.

Cela allait virer vraiment bizarre pour Shëri qui était en crise émotionnelle et qui n’osait pas parler à cause qu’il n’y avait pas eu de salut elfique dans l’histoire et pour l’humaine qui semblait vouloir aider l’elfe étendu, mais qui pouvait possiblement ne pas comprendre le comportement particulier et un peu déviant de ce dernier. Une chance que la situation fut sauvée par…

Luna a écrit:

AAHH!

… une petite fillette qui trébucha elle aussi et qui tomba par terre pas trop loin de l’emplacement de l’humaine et de l’elfe [je t’en veux pas du tout, c’est vraiment drôle XD].

Décidément, c’était le jour du gros lot pour Shëri : Une personne lui parle et une autre s’avère, de toute évidence, aussi maladroite que lui! Il cessa ses sanglots et observa la petite au loin, les yeux encore brumeux, mais pleins de compréhension et de sympathies. Il affichait un large sourire émotif, mais empathique.

Heu? Se lever pour aider la petite? Ha bon… Ouais, c’est une bonne idée… Mais on dirait que ça ne passe pas du tout par la tête de Shëri. Pour lui, tout ce qui compte dans le moment est de savourer sa joie de se faire adresser la parole et de compatir avec la petite humaine qui avait l’air maladroite comme lui. Quand même, faut excuser Shëri, hein, ça a déjà été précisé que ses neurones ne roulaient pas très efficacement…

Marie-Lys fut très surprise de la réaction de l'elfe. Elle ne savait pas comment réagir ou comprendre les réaction de l'être étrange. Il avait peut-être de le difficulté à respiré, ce qui pouvait expliquer... mais les rires démontré qu'il était encore capable de respiré... alors peut-être qu'il était empoisonnée ou qu'il trouver l'humaine vraiment stupide. Cela blessa la jeune fille, un parfait inconnu riait d'elle alors qu'elle voulait l'aider.

- AAHH!

Un crie d'enfant suivit d'un boum fit tourner la tête de Lys. Elle vu alors Luna étendue à terre elle aussi. Décidément, la place était dangereuse. Marie esita à marcher vers la petite pour ne pas tomber elle aussi, mais elle ne pouvait laisse un enfant à terre. Elle regarde de nouveau Sheri. Elle ne trouvait rien à faire qui pouvait l'aider et s'éloigner de cet homme pouvait seulement faire du bien à Lys.

"Vu que vous sembler bien, je vais aller aider cette enfant."

Sur ses douces paroles, Lys se mit à marcher rapidement, mais regarda où elle marchait pour ne pas finir à terre comme les deux autres. Arriver proche de le jeune fille, Lys lui tendit la main tout en lui souriant de façon chaleureuse.

"Vous allez bien mademoiselle?"

Elle regarda attentivement le jeune fille pour s’assuré qu'elle n'avait aucune blessure. La jeune fille semblait avoir passer de dure épreuves ses dernier temps. La fleur se qui qu'une bon bain ferait le plus grand bien à Luna ainsi que du repos pour éviter qu'elle ne tombe de nouveau. De la tendresse et une pointe d'instinct maternel passa dans les yeux de la fleur. Elle remarqua ensuite les armes que le jeune adolescente avait sur elle. Lys fronça légèrement les sourcil à cette vu. Elle trouvait la gamine bien trop jeune pour avoir de telle chose sur elle. À cette age là, elle ne devrait que penser à quelle robe elle allait mettre pour la prochaine fête du village... mais il est vrai que les temps était rendu trouble, quand ce n'était pas les voleurs qui attaquaient, c'était des envahisseur venu d'on ne sait où.

La main de Lys était toujours tendu vers la jeune fille et aucune vibration négatif ou dangereuse ne venait de la violoniste. Il se dégageait d'elle seulement une grande douleur et un peu de mélancolie.

La chute avait semblé brutale à Luna. Elle n’était généralement pas maladroite, en temps normal, son agilité et ses réflexes lui auraient permis de reprendre l’équilibre. Que s’était-il passé? Elle mit cela sur le compte de la fatigue. Elle n’avait pas eu une vraie bonne nuit de sommeil depuis quelques jours depuis qu’elle se réveillait d’un cauchemar. Étrangement, depuis qu’elle n’était plus aux côtés de Jeönyr, elle n’arrivait plus à aussi bien dormir. Était-ce une sorte de magie?

Son instinct de chasseuse lui fit faire d’abord le point sur sa situation. Elle était à terre, en mauvaise position pour se défendre, avec les avant-bras légèrement écorchés par la chute. À proximité se trouvait deux personnes : debout, il y avait la demoiselle à l’allure fragile, et parterre, il y avait aussi l’homme qui était tombé et qui semblait quelque peu cinglé à rire tout seul. Il n’y avait personne d’autre. Le seul danger imminent pouvait venir de la demoiselle, mais l’archère écarta cette possibilité. Elle ne semblait pas armée, bien que probablement qu’elle tenait une dague dissimulée à quelque part, sûrement dans sa botte ou sous sa robe. De plus, elle tenait un violon dans sa main et franchement, qui voudrait se battre avec un instrument de musique?

"Vous allez bien mademoiselle?"

Sa voix était douce et mélodieuse. La fillette ne ressentit aucune trace d’agressivité dans son ton. Luna s’aida de ses mains pour s’agenouiller et remarqua alors la main tendue de la boulangère. La méfiance lui fit longuement hésiter. Après tout, tous ces mois passés avec son maître l’avait rendue quelque peu paranoïaque et lui faisait évaluer le danger de toutes situations. Si elle prenait sa main, elle se rendait vulnérable et ouverte à toutes attaques. Elle hésita donc longuement et finit par tendre sa main droite à la demoiselle, hésitante. Elle avait finalement accepté, car on lui avait également inculqué les bonnes manière et refuser son aide serait un manque de respect. Toutefois, elle avait déjà formulé un plan si les choses tournaient mal, c’est-à-dire que si la jeune femme faisait un geste brusque, elle aurait suffisamment de temps pour s’emparer de sa dague et de réagir. Donc, elle saisit la main de la violoniste de sa main droite, dont l’annulaire et l’auriculaire était manquant. Elle se releva doucement et fut soulagée que sa mise en scène ne se produit pas.

- Merci. Prononça gentiment Luna.

Elle était sincère et soulagée d’avoir face à elle une personne qui ne lui voulait pas de mal. Avec les temps qui courent, on ne pouvait jamais être certain de intentions de qui que ce soit.

- Vous jouez très bien du violon. Complimenta-t-elle.

Un rire s’éleva dans les airs et son attention fut attirée par l’homme. Elle posa son regard sur lui et fronça les sourcils. Était-il sain d’esprit? Représentait-il un danger?

- Est-ce qu’il va bien… ? chuchota-t-elle à dame qui l’avait aidée.

Elle remarqua alors ses oreilles pointues qui dépassaient de sa chevelure blanche. Mais qu’est-ce qu’un elfe faisait ici? Elle s’approcha de lui, mais garda une distance de deux à trois mètres.

- Euuhm… M’sieur. Avez-vous besoin d’aide? Est-ce que ça va? Êtes-vous perdu? Lui demanda-t-elle.

Luna ne s’attendait pas à une réponse. S’il continuait simplement de rire, elle comptait le laisser là. Elle voulait bien aider les gens, mais elle n’aimait pas qu’on lui fasse perdre son temps.

La première humaine le quitta pour aller au secours de la deuxième humaine qui ne sembla pas trop mal en point. Shëri, pour sa part, s’était redressé durant ce temps, mais il restait assis sur place, les jambes entrecroisés, en « indien ». Ha oui, et il riait aussi, même si, en pratique, il avait arrêté. Mais juste pour respecter la cohérence des messages précédents, Shëri s’était remis à rire tout seul. Et puisqu’il est question de pratique, alors du côté pratique, lorsque la violoniste et la petite fille parlaient entre elles, Shëridan eut le temps d’avaler sa feuille primairement mâchée, mais tout de même délicieuse! Tous ces détails restent, cependant, sans importance, alors enlignons-nous plutôt vers l’essence même du déroulement de l’histoire :

Shëri ne pouvait pas répondre à ces deux demoiselles!

Mais quoi?! Elles n’avaient pas fait le salut elfique! Shëri ne pouvait aucunement leur parler! Que faire, alors? Bon, pour commencer, il fit un large sourire à la petite fille et à la violoniste pour démontrer sa joie immense. En réalité, sans aucune inhibition, il se serait jeté sur elles pour leur donner un câlin ferme et plein d’amour! Mais sachant tout à fait que cela était insensé (pour une fois qu’il reconnait que certaines actions puissent être bizarres…) il ne fit qu’arborer son sympathique sourire.

On cesse l’histoire un petit 30 secondes pour faire une description rapide du petit Shëri. Il est blond-blanc, oui. Il a des yeux turquoises étonnants, oui. Mais ciel! C’est un elfe et il est beaaaaau! Il est beau à la base en étant de sang elfique… mais en plus, il est au-dessus de la moyenne des elfes en terme de beauté! Les fleurs s’ouvrent sur son passage tellement il est beaaaauuu! Allez, gentes féminines, réagissez un peu à son charme, même s’il se comporte comme un idiot… DAH!

Voilà, poursuivons : L’état de Shëri n’était pas vraiment mieux que celui de Luna. Ayant couru dans les bois à la recherche de son beau Mignon, ses habits étaient assez gravement abîmés. Il avait un peu de terre sur son visage, ses mains et ses vêtements… Parce que c’est ce qui arrive quand on broute de l’herbe par terre. Toutefois, lorsque la fillette lui demanda

Luna a écrit:

- Euuhm… M’sieur. Avez-vous besoin d’aide? Est-ce que ça va? Êtes-vous perdu?

il commença par cesser de rire… Parce qu’il avait arrêté et recommencé, vous vous en souvenez, n’est-ce pas? Alors bon, après avoir repris son calme et refait son sourire d’innocent joyeux, il fit signe que oui-non pour la première question en hochant bizarrement la tête, il fit clairement signe que oui pour répondre à la deuxième question et fit une autre fois, mais avec plus de vigueur, signe que oui à la troisième question. Puis il se remit à sourire en observant la réaction de la petite fille et de la violoniste. En tout cas, idiot peut-être il est, mais menaçant… pas du tout! (juste épeurant XD)

Lys remarqua du coin de l'oeil les bout de doigts qui manquaient à la jeune fille. Elle eue une vague de sentiment protecteur et maternelle envers la jeune fille. Elle voulait la protégé... mais il n'y avait pas de danger et ils ne se connaissaient pas. Alors Lys ne fit que l'aider à se remettre sur ses jambes.

- Merci.

Marie-Lys lui répondit avec un grand sourire de bienveillance.

- Vous jouez très bien du violon.

Le rouge monta aux joues de Lys. Elle n'aimait pas que l'on l'écoute jouer du violant, car elle était certaine de n'avoir aucuns talents pour cela. Et là cette jeune fille toute mignon venait de lui dire qu'elle était bonne! Lys lui dit de façon mal assuré:

"M-Merci!"

- Est-ce qu'il va bien... ?

Elle regarda l'elfe avec découragement, elle se posait la même question depuis qu'il avait commencé à rire.

"Je pense qu'il s'est cogné la tête... ou qu'il est fou."

Il avait vraiment des questions à se poser sur son état de santé mental. Il n'est pas normal que l'in se met à rire quand une personne nous adresse la parole et encore plus étrange de faire une crise bacon pour cela. Lors que la jeune fille se mit à marcher vers Sheri, Lys la suivi pour la protéger et savoir ce qui se passait dans cette tête aux cheveux blancs.

- Euuhm... M'sieur. Avez-vous besoin d'aide? Est-ce que ça va? Êtes-vous perdu?

Peut-être l'elfe serait plus enclin à répondre à la fillette. Lors qu'elle le vit bouger la tête, Marie compris qu'il était muet. Cela allait leur compliquer la tâche. Lys n'avait pas compris la réponse à la première question, mais compris le reste. Donc il allait bien et il était perdu.

"Alors vous êtes muet! Ça explique bien des choses. Vous êtes proche d'Aldaria la Superbe."

Lys donne le nom de la ville. Peut-être cela allait aider l'homme à se replacer géographiquement. Elle remarqua enfin les oreilles de l'homme. L'on pouvait clairement voir les points d'interrogation qui se trouvait dans les yeux de la fleur. Elle n'avait pas l'habitude de voyager et c'était la première fois qu'elle rencontrait un elfe, donc ignorait que c'était un elfe. Il y avait un blanc dans sa tête. Elle cherchait à comprendre où venait ses oreilles étranges... ou quel horrible sort avait eu cet être vivant. Elle eue une moue de douleur à la penser de la douleur qu'avait vécu l'homme pour avoir ses oreilles là.

"Alors vous étes muet! Ça explique bien des choses. Vous étes proche d'Aldaria la Superbe."

Lys donne le nom de la ville. peut-être cela allait aider l'homme à se replacer géografiquement. Elle remarqua enfin les oreilles de l'homme. L'on pouvait clairement voir les points d 'intérogation qui se trouvait dans les yeux de la fleur. Elle n'avais pas l'habitude de voyager et c'était la premiere fois qu'elle renvontrait un elfe, donc ignorait que c'était un elfe. Il y avait un blanc dans sa tête. Elle cherchait à comprendre où venait ses oreilles étranges... ou quel horrible sort avait eux cet être vivant. Elle eu une moue de douleur à la penser de la douleur qu'avait vécu l'homme pour avoir ses oreille là.

Luna attendit patiemment une réaction quelconque de l’elfe. Elle cacha toutefois sa main meurtrie de sa main gauche. Le regard que lui avait fait sans le vouloir la boulangère l’avait affectée. La petite n’aimait pas sa main. Elle lui rappelait de mauvais souvenirs et elle ne voulait pas qu’on prenne pitié d’elle. Elle n’y avait pas pensé lorsqu’elle lui avait tendu sa main, elle était droitière après tout. La violoniste pensait qu’il s’était cogné la tête ou qu’il était fou. Était-ce réellement le cas? Ou était-ce dans les habitudes des elfes d’agir d’une façon aussi étrange? Heureusement, il avait cessé de rire et il lui avait répondu qu’il n’avait pas vraiment besoin d’aide, que ça allait et qu’il était perdu.

"Alors vous êtes muet! Ça explique bien des choses. Vous êtes proche d'Aldaria la Superbe."

Il était muet… C’était plausible et une bonne explication à son silence. Il lui avait répondu par des hochements de tête après tout. Ou était-il gêné d’être en la présence d’humaines?

- Ah! Ça doit être ça… Il doit être muet... Mais... Il est vraiment bizarre… dit-elle tout haut, sans penser qu’elle pourrait offenser l’homme.

Que devait-elle faire maintenant? Devait-elle les laisser tous les deux là et continuer sa route jusqu’à la grande ville? Ou devait-elle s’arrêter pour aider ce pauvre elfe étrange qui avait visiblement besoin d’aide même s’il disait le contraire. Que ferait son maître dans une telle situation? Il passerait son chemin sans même donner la moindre attention à personne et tout d’abord, il ne serait pas tombé et il n’aurait pas attiré l’attention. Mais à quoi bon penser à lui? Il était parti en mission chez les elfes et n’allait revenir que dans quelques semaines. Il le lui avait promis.

Se tournant vers la demoiselle, Luna remarqua les points d’interrogation dans ses yeux. Son regard se déplaça de l’humaine à l’elfe pour revenir à l’humaine. Elle comprit que c’était la vue de ses longues oreilles qui la mettait dans cet état.

- C’est un elfe. Répondit-elle à sa question muette. Ils se trouvent dans leur forêt d'habitude... Je ne sais pas ce qu'il fait ici... continua-t-elle.

Elle n’en avait jamais vu en vrai non plus. Elle avait toutefois lu quelques trucs sur eux dans les livres d’Ombre. Pourquoi était-il ici? Y avait-il une façon de communiquer avec lui?

Cachant toujours sa main droite avec sa main gauche, Luna s’approcha de quelques pas encore et s’inclina légèrement afin de vérifier si l’elfe avait des blessures sur le corps [Tu peux considérer ça comme le salut elfique si tu veux]. Si c’était le cas, elle aura pu le soigner avec un peu de magie. Heureusement, il n’y avait rien de majeur; seulement quelques écorchures ou quelques ecchymoses ici et là, mais sans plus. Il n’y avait rien qui ne demandait une intervention. L’archère resta toutefois sur ses gardes parce que même avec des allures inoffensives, une personne « folle » pouvait être dangereuse autant à soi-même qu’aux autres.

[ Désolée, j'ai oublié de répondre, ces derniers jours... Et vu que je n'arrive pas â répondre dans les bons délais, je crois que je vais terminer l'aventure ici. Je vous souhaite beaucoup de plaisir =D Je vous adore et j'espère que j'aurais le temps de reprendre un forum RP un bon jour... Bonne fin de session à toutes! ]

Shëridan ne savait pas du tout ce qu’était Aldaria la superbe? Une bonne femme? Alors il était chez quelqu’un? Et ces deux humaines, elle habitaient là? Et tous les autres gens aussi? Eh bien ça alors! Elle a une sacré grande maison et un grand terrain, Aldaria! Et puis, ces deux personnes pensaient qu’il était muet. Mais non, mais! Il ne pouvait juste pas parler sans salut! Qu’est-ce qu’elles ne comprenaient pas là-dedans?! L’une le trouvait bizarre, mais cela ne dérangea aucunement Sheri, puisqu’au moins, elle lui parlait. Il était éperdument heureux que les deux humaines lui adressent la parole!

C’est quand Luna se pencha vers Sheri que ce dernier pensa enfin qu’elle le salua… Youpi! Il peut parler! Au moment où il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais il ne savait même pas quoi, un bucheron sortit de la ville et passa près d’eux en s’écriant :

« Hoooo! Un elfe! Que fais-tu loin de ta forêt, elfe? Tu ne devrais pas aller par là rejoindre le royaume elfique? » dit l’homme en pointant un point à l’horizon.

Puisque ce dernier n’avait pas fait de salut elfique, Sheri ne lui parla pas, mais fit un expression de surprise, en mimant qu’il voulait aller à la forêt. Pour ce faire, il se pointa, puis pointa le point qu’avait désigné le bucheron.

« Tu veux aller aux vieux bois? Mais suis-moi, petit. J’allais voir, justement, si le royaume était détruit ou si je pouvais encore couper des arbres là-bas. »

Sheri hocha positivement la tête et fit un signe de salut aux deux humaine lorsqu’il s’éloigna avec le bucheron.

Il était vraiment ravi de les avoir rencontrées, mais il avait vraiment envie de retrouver ses parents! Sheri disparu donc à l’horizon vers la forêt avec le bucheron qui était en fait un tueur d’elfe en série sanguinaire qui les transformait ensuite en viande pour le vendre au marché. Mais ça, personne ne le savait, et surtout pas Sheri!

[ Bises, les filles, je vous aime! Désolée de faire un fin aussi sèche! ]

Mais d’où sortait ce bûcheron? De la ville d’Aldaria, nécessairement. Mais sa présence était du n’importe quoi, vraiment… Il s’était approché de l’elfe tout bonnement et lui parlait comme si ça faisait des lustres qu’il le connaissait. Il semblait assez louche de lui proposer de le suivre et le pire, c’est que l’elfe accepta! Ils ne se connaissaient même pas! Comment pouvait-il lui faire confiance aussi facilement? Était-il fou ou quoi?! N’avait-il pas réalisé que l’homme était un bûcheron et qu’il comptait couper des arbres… ?

Luna voulut placer un mot, mais Sheri était déjà parti, gambadant aux côtés de l’homme. Décidément, cette rencontre avait été des plus étranges. Est-ce que tous les elfes étaient aussi cinglés ou était-ce qu’un parmi tant d’autres?

Estomaquée, la petite se retourna vers l’humaine. Elle garda la bouche ouverte pendant un petit moment, ne sachant pas trop quoi ajouter.

- Euuh… Ok… C’était bizarre. Marqua-t-elle, fronçant les sourcils.

L’archère trouva la situation inconfortable, ne sachant pas trop comment interagir avec la violoniste. De base, elle n’était pas quelqu’un de bavard et elle n’avait aucune idée si elle devait parler ou non. Et si elle parlait, de quoi parlerait-elle? D’ailleurs, pourquoi discuterait-elle avec une inconnue qu’elle ne croisera probablement jamais?

- Euuhm… Bonne journée! Finit-elle par dire.

Elle avait utilisé un voix douce et lui avait souri par la même occasion. On lui avait inculqué les bonnes manières et donc, il était normal pour elle de saluer la demoiselle avant de partir. Ne pas l’avoir fait aurait été un flagrant manque de respect.

Ainsi, suite à ces mots, Luna partit en direction d’Aldaria la Superbe.

« Hoooo! Un elfe! Que fais-tu loin de ta forêt, elfe? Tu ne devrais pas aller par là rejoindre le royaume elfique? » dit l’homme en pointant un point à l’horizon.

Depuis quand il y avait un bucheron dans le coin.... en plus il avait l'air étrange. Marie regarda l’homme de haut en bas… elle ne se souvenait pas de l’avoir déjà vu… et il y avait un truc de louche avec lui, mais elle ne savait pas quoi….

« Tu veux aller aux vieux bois? Mais suis-moi, petit. J’allais voir, justement, si le royaume était détruit ou si je pouvais encore couper des arbres là-bas. »

Puis elle vu l'elfe partir avec l'homme. Elle trouvait cela vraiment curieux.... il est vrai que le bucheron savait où habitait les elfes... mais il semblait être trop familier avec... quoi qu'elle avait agi de la même façon... mais son cation lui semblait être moins louche que de suivre un bucheron dans les bois. Elle les regarda marches ensemble. Cette rencontre était vraiment étrange et hors du commun.

- Euuh… Ok… C’était bizarre.

Oui cela résumait très bien cette rencontre. Lys regarda la jeune humaine. Elle ne savait pas quoi lui dire. Il est vrai qu'elle pourrait l'inviter à prendre un bain ou lui demander si elle savait où dormir... mais Sheri l'avait tout simplement traumatisée. Elle le savait plus comment penser... ou penser à autre chose qu’à cette situation étrange déstabilisante.

- Euuhm… Bonne journée!

"Oui, passer une belle journée jeune lady. "

Lys la regarde partie, puis elle regarda son violon. Elle n’avait vraiment plus envie d’en jouer. Elle préféra aller… elle ignorait, mais son coin calme lui semblait étrangement dangereux. Elle reprit donc tous ses effets et alla faire les boutiques. Elle allait peut-être y trouver des armes pour se protégé de cette étrange sensation. Elle sortir de la boutique avec une épingle de chaleur.