Marie-Lys était arrivée à la boutique vers minuit pour faire le pain.  Elle s’était amusée à faire plusieurs pains différents en plus de ceux qu’elle savait, avec le temps elle connaissait les habitudes des réguliers. Après avoir mis les pains au four, elle alla se changer, car elle devait faire un double chiffre aujourd’hui. Elle se mit une robe blanche-beiche simple avec des manches trois-quarts et qui se termine aux chevilles. Elle défit ses cheveux pour se faire deux petites-moyennes tresses de chaque côté de la tête qu’elle attache dernière sa tête.  Suite à tout cela, il était rendu cinq heures et demie. Lys alla sortir les pains du four et les mit dans les paniers du présentoir.  

La boutique était, une petite maison de trois étages en comptant le sous-sol. Au sous-sol se trouvait la partie cuisine et chambre froide, au premier se situe la boutique et au deuxième la maison de ses parents. Les murs du premier étage sont blancs et le sol est fait de planche de bois. Lors que les gens rentrent dans la boutique, ils peuvent soit aller à la droite où il y a le pain, soit à gauche où se trouver la viande. Si nous allons à droite, nous pouvons voir un présentoir de deux étages avec les différents pains et du côté le plus près du centre de la pièce, se trouve les Viennoises. Le présentoir et en diagonale avec le mur, car derrière se trouve l’escalier pour aller au sous-sol. Au centre fond de la pièce se trouver un bureau avec la caisse et des morceaux de pain a déguster pour découvrir les nouvelles variétés de pain. Au centre centre de la pièce, se trouver une table avec plusieurs paniers remplis de baguettes de pain de différentes sortes. Sur le dernier comptoir en diagonale se trouvent les saucisses et terrines faites par le père de Marie-Lys.

Lys plaça les pains à leur place dans le présentoir. En premier elle mit tout au bout du présentoir, proche du mur extérieur, sur la tablette du bas : les miches de pain blanc, puis à côté ceux aux son, ensuite les miches au levain, celui au fromage et enfin de pain mystère (aujourd’hui, c’est noix de grenoble).  Sur la seconde tablette, la fleur dispose les pains suivant : le pain de seigle, le pain au thym et enfin les viennoises (chocolatine, brioche et les doigts de dame)  par la suite, elle mit les baguettes de pain blancs et celle au pain brun.  L’humaine eu un sourire lors qu’elle vu que son père avait déjà placé saucisses et les terrines à leur place.  Tout était enfin prêt, il ne restait plus qu’à ouvrir la porte pour que la journée commence.  

Lys prit une grande inspiration, elle aimait son métier, mais un double chiffre c’était toujours épuisant.  Elle regarda une dernière fois LUI en lui fessant un sourire puis elle ouvrit la porte. Dés que la porte s’ouvrit, l’odeur du pain frai sortit de la petite boutique.  La boulangère fit un pas à l’extérieur pour sentir un peu l’air frai.  Puis elle se dirigea d’un pas léger vers la caisse en fredonnant  un air qui lui était familier (HJ voici l'air qu'elle fredonne Ici ). Tranquillement, les clients rentraient dans la boutique.  Lys se faisait un point d’honneur de dire bonjours à tous les gens qui rentraient dans sa boulangerie.

Après quelques minutes, Willa rentra dans la boutique, alors que Marie-Lys faisait payer le seul autre client dans la boutique.  La fleur fit un signe de la tête à Willa en lui dit "Bonjours!" d’une voix à mit chemin entre le parler et le chanter. Lys regarda la jeune fille, mais elle ne semblait pas l’avoir déjà vu. La fleur vit du coin de l’œil que LUI semblait l’avoir remarqué lui aussi.  Lys observa plus attentivement la nouvelle tout en souhaitant une bonne journée à son client qui quittait la boutique.  Il était vrai que Willa était belle, cela découragea Lys, elle se trouvait tellement insignifiante face à la beauté de la cliente. Marie-Lys se dirigea de sa démarche volatil vers Willa.

"Bonjour, mademoiselle, pourrais-je vous aider? "

[Vraiment navrée pour le manque de contenu de mes textes :/ je manque de pratique ^^' Il faut que je me remette dans le bain ^^']

(HJ: LUI n'est visible que par Lys, alors ne fait pas attention à se qu'il fait)

La fleur répondit au sourire de sa cliente avec un sourire. LUI se tenait devant la porte en regardant dehors, comme c'était habituel, Lys ne lui prêta aucune attention. Marie-Lys écouta attentivement Willa. La nouvelle arrivante se trouvait à la bonne place vue ce qu'elle voulait... mais elle n'avait pas précisé ce qu'elle voulait. Pour pouvoir bien servir sa cliente en lui proposant le bon pain, Lys se mit à observer la jeune fille. Elle avait une robe de voyage simple, ce qui sous-entendait qu'elle revenait peut-être de voyage donc avait besoin de quelque chose de consistent. La simplicité de sa robe démontre qu'elle n'avait pas l'air d'aimer les choses avec trop de fioritures. Ensuite, Marie regarda le visage de Willa... elle apprit donc que la jeune dame faisait attention à elle. Bref, Lys devait trouver quelque chose de nourrissant, simple et bon pour la santé.

"Pour la miche de pain je vous propose de prendre une miche de seigle, mais si vous préférer autre chose, vos n'avait qu'a le dire. Toutes les miches de pain, ainsi que le reste sont frais fait. Si vous voulez, vous pouvez déguster l'une de nos recette maison, c'est du pain aux noix de grenoble."

Lys montra du doigt le petit panier à côté de la caisse qui contenait les morceaux de pain pour déguster. Avant de répondre à la deuxième question à sa cliente, Lys prit le temps de regarder l'argent que Willa avait mis sur la table et que la fleur n’avait toujours pas toucher. Le fait d'avoir mis l'argent directement sur la table pouvait démontrer que la personne devant elle avait beaucoup d'argent ou cela montrait qu'elle était affamée. Lys se fit une carte dans sa tête pour trouver les auberges qui convenaient pour l'une ou l'autre des situations.

"À l'entrée du village, se trouver une jolie petite auberge. Les repas que l'on y sert y sont bons et l'on peut y rencontrer toute sorte de monde. Si vous voulez quelque chose de plus tranquille, à quelque rues à l'ouest d'ici, vous trouverais une auberge plus simplette où vous pourriez passer quelque nuits, comme elle n’est pas sur l’une des rues principal, ils y a moins de monde qui y va. "

Lys continue de lui sourire. La jeune boulangère adorait son métier, cela lui permet de rencontré plein de monde et d'en apprend plus sur les autres cultures et peuples. Une légère brise rentra dans la boutique et fit bouger les cheveux des filles. Ce simple fait fit sourire encore plus Marie. Elle passa ses mains sur sa robe pour enlever les plies qui auraient pu y avoir. Elle continue sur le ton de la conversation joyeuse qu’elle avait avec sa cliente.

"Je vous conseille d'éviter le centre de la ville, les mages y font souvent des duels dans les rues. Puis-je savoir pourquoi vous êtes en ville, cela va m'aider à mieux vous aider en vous indiquant une auberge proche de la raison de votre visite."

LUI s’approche des jeunes filles soudainement intéressées par ce qu’elles pouvaient dire. Cela fit très légèrement plisser les sourcils de Lys. Ce n’est pas qu’elle était jalouse, c’est juste qu’elle était extrêmement possessive avec LUI. Et le LUI en question tournait un peu trop autour de Willa…

Marie-Lys vit du coin Willa prendre entre ses doigts délicats les deux morceaux de pain, mais ne s’en occupa plus qu’il le fallait, après Willa avait déjà mis de l’argent sur le comptoir.  Une once de peine pour le sort de la brune passe dans les yeux de Lys.  Mais si elle ne pouvait comprendre ce que vivait Willa, car elle ignorait tout de sa cliente, Marie savait ce que c’était de fuir son passer.  Willa continua de parler et elle marqua une pause, avant de dire : “Merci dame…? “ L’humaine ne savait pas si elle devait dire son nom ou pas.  Willa.  Bien que dire son nom était une information anodine, Lys avait de la difficulté avec cela depuis ses 15 ans… le soir elle allongeait son nom par plaisir et le jour, les gens avaient la mauvaise idée de diminuer son nom à Marie et elle avait horreur de cela.  Malgré tout, Lys devait être professionnel, elle répondit donc rapidement et avec une voix douce à Willa :“Marie-Lys“

Elle continue d’écouter la femme devant elle.  Si elle résumait ce qu’elle avait eu comme information : Willa avait dû quitter sa ville natale à contre-cœur pour quelque temps, c’est pour cela qu’elle était ici, avec peu d’argent.  Donc, Willa avait besoin d’un toit, chose qu’elle trouverait à l’auberge; de nourriture, chose qu’elle pouvait trouver un  peu partout dans la ville;  et d’argent pour tout payer… donc, elle aurait besoin d’un emploi.

“Si vous voulez, je peux vous aide à vous trouver un emploie pour le temps que vous passerez ici, comme cela vous auriez une plus grande aisance financière.  Mais pour cela, j’aurais besoin de savoir en quoi vous êtes bonne.“

Comme Lys avait grandi au deuxième étape et même depuis qu’elle était partie, elle passait beaucoup de temps dans le coin, donc elle connaissait tout le monde et c’était réciproque.  Donc si quelqu’un avait besoin d’aider dans son commerce, elle allait pouvoir indiquer à Willa où aller.  La jeune fille se tenait toujours debout de son côté de comptoirs et ses mains été dessus.  Cette position ne la déranger pas, car elle en avait l’habitude.  Par contre, elle commençait à avoir des crampes dans les joues à force de sourire.  Cette action lui demandait toujours un énorme effort.  Elle qui aimait la nuit qui lui donnait le droit d’être elle, le jour était une lutte continuelle pour rester professionnelle et montrer son personnage de gentille petite fille.
Lys réalisa soudainement qu’elle faisait se qu’elle détestait que les gens fassent, elle prenait les devants et se mêlais de se qui ne la regardait pas.

“Je suis désolée d’être aussi entreprenante, peut-être que vous ne désirer pas qu’une étrangère se mêle de vos affaires. “

LUI trouvait les réactions de sa fleur drôle et il le montrait. Cela a eu pour effet d’énerver Lys. Elle savait très bien qu’elle était dans le tord, elle n’avait pas besoin que son esprit personnelle de lui démontre. Cela fit en sorte que Lys fronça légèrement le sourcil durant quelque seconde. Aujourd’hui il était vraiment un boulet pour son côté professionnel. Elle se força à reprend son sourire… Parler de pain, cela devrai l’aider à rester professionnel.

“Nous devrions peut-être commencer par remplir votre ventre. Nous aurons tout le temps après pour parler de votre futur ici. “

[Navrée la belle, j'ai eu un gros soucis de box à la maison... ça fait depuis mercredi que j'ai ma réponse écrite --' mais IMPOSSIBLE de la poster :'(]

Lors que Willa regarda dans les yeux de Lys, elle pouvait y lire de la gentillesse et une absence absolue de malices.

“ Disons que je n’ai pas de talent très particulier, mais peut-être pourriez-vous me dire à qui m’adresser pour… l’immobilier en ville? Sinon en attendant peut-être pourrai-je me renseigner auprès d’une auberge s’il recherche quelqu’un pour la cuisine ou peut-être auprès d’une guérisseuse où j’ai plusieurs notions en terme d’herboristerie.”

Lys regarde la jeune fille devant elle. Elle l'imaginait plus comme serveuse que comme cuisinière vu son physique. Mais bon, Willa devait savoir ce qu'elle voulait, même si elle trouvait que c'était du gâchis de cacher une si belle beauté. Bon, elle voulait être cuisinière, c'était impossible dans l'auberge que Willa voulait aller, car elle était trop petite et les commerçants du coin préfèrent fait eux-mêmes la cuisine pour ne pas dévoiler leur recette et s'assurer de la qualité. Il restait donc les restaurents.... emplacement que Marie-Lys ne connaissait pas, car elle préférait cuisinée. Donc, elle ne pouvait pas l'aider dans ce domaine.

Puis Willa lui montra une petite fiole avec des fleurs. Malheureusement, la fleur savait que peu de chose sur les potions, alors elle ne savait pas si ce que tenait Willa était bénéfique ou maléfique. Par contre, elle savait très bien que pour faire une potion on devait suivre les étapes, comme avec une recette. Lys se dit qu'elle pouvait peut-être revoir ses précédentes penser... peut-être connaissait-elle quelqu'un qui cherchait un aide en cuisine.

“ Cela n’a rien à voir avec de la guérison bien entendu… mais je suis capable d’en faire autant… “

Le fait qu'elle soit capable de soigner ouvrait quelques portes à Willa... la jeune fille pouvait s'ouvrir un comptoir pour soigner des gens ou bien aller offrir ses services aux mages.

Après une trentaine de secondes de silence, Lys prit la parole:
"Malheureusement les gens dans le coin sont méfiants et ne veut pas prend des inconnues en cuisine de peur qu'ils leur volent leur recette. Mais vous pouvez toujours prend une chance en proposant tes services au boucher… il aime bien avoir de la compagnie. Mais j’ignore s’il va accepter de prendre une personne si peu musclée… sans vouloir vous offenser. "

Elle prit une grande inspiration pour se donner du courage pour continuer. Lys n’aimait que peu donner des informations aussi floues. De plus, Lys était une personne très pacifique, donc parler de l’actualité l’angoissait.
"Vu ce qui se passe en ce moment sur les terres d’Armanda, il te serait très facile de t’ouvrir un petit comptoir de potion de soin. Beaucoup de gens aimeraient avoir avec eux des potions qui pourraient les guérir en cas de problèmes. "

Elle regarda Willa dans les yeux. La fleur voulait savoir s’il y avait une once de folie, de courage ou de sagesse avant de lui proposer d’aller aider les sorciers… Mais Lys était nulle pour cela donc elle préféra garder cette information secrète. Elle enchaine avec une idée qu’elle avait eue.

"J'ai entendu dire que l'hôtel à l'entrée de la ville cherchait une serveuse, je sais que c'est loin de ce dont vous avez parlé, mais cela vous permettrait d'avoir de l'argent et de vous faire connaitre par les propriétaires. Peut-être qu'après ils accepteront de vous prendre. Par contre, je ne dispose d'aucunes information sur les logements, je vous conseillerais de vous renseigner aux prés du responsable de l’auberge où vous irez dormir."

Lys fit un sourire d’excuse à Willa pour son manque de renseignement.

LUI, qui était tranquille depuis quelques minutes, se remit à vivre. LUI s'approcha de Lys et il regarda vers le délicat cou de la boulangère, plus précisément, la cicatrice de la fleur. Oui, elle connaissait les guérisseurs dans Aldaria vu que c'était grâce à eux qu'elle pouvait encore respiré. Le regard de LUI sur cette marque blanc coupa le souffle de Lys. Elle ferma ses yeux lentement et revécu cette journée... Durent se temps, elle porta sa main sur la base de son cou. Lors que ses doigts touchaient sa peau douce, Lys ouvrit les yeux. Elle regardait LUI et elle comprit tout de suite qu'il trouvait cela possitif qu'il puisse y avoir plus de soigneur ici pour la garder en vie.

"Il y a à mi-chemin entre ici et l'entré une boutique de soigneur... c'est deux frère qui la possède. Je sais qu'ils sont occupés depuis qu'il y a les envahisseurs dans Armanda, alors un peu d'aide serait le bienvenu. Les deux utilisent des potions pour les aider ainsi que quelques sorts. Ils sont très gentil et d'un certain âge, alors ils n'y a aucun risque à travailler avec eux."

Les derniers mots qu'elle dit la fit sourire. L’âge des deux soigneurs, c'était bien ce que permettait à Lys de les apprécier... Ils ne risquaient pas de choisir une personne sur sa beauté ou parce qu'elle était plus jeune... Lys n'aimait pas les garçons qui avaient environ le même âge qu'elle. Puis Willa parla du fait qu'elle n'était amarrée à un seul et même quai. Cela pouvait donc ouvrir les possibilités à l'infinie... mais est-ce que c’était vraiment sécuritaire de voyager en ce moment...peut-être Lys était mal informer de la situation à l'extérieurs des murs de sa ville. Elle regarda une nouvelle fois sa cliente de la tête aux pieds... Willa n'avait pas l'aire d'avoir rencontré de combat durant son voyagement jusqu'ici.... Marie-Lys allait devoir en parler avec son beau-frère... qui sait peut-être que ce dernier lui mentait.

"Si vous avez envie de voyager et que les envahisseurs qui circulent sur les belle routes d'Armanda ne vous dérange pas. Vous pouvez toujours aller voir les Baptistrels. J'ignore s'ils ont besoin d'aider, mais si vous rester avec eux vous allez apprend beaucoup sur la prodiguassions des soins et cela va vous permettre de vous trouver plus facilement un emploi par la suite. De plus ils sont souvent sur la route, donc peut-être aller vous découvrir une place que vous aimerez assez pour vouloir y rester."

Marie regarda le nombre de pièce qu'il y avait sur le comptoir : neuf plus celle que Willa tenait dans ses mains. Donc Lys pouvait lui en donner 4 pour ce prix, mais vu que la nouvelle en achetait plusieurs, elle pouvait lui faire un prit de groupe et lui en donner un de plus. Lys alla vers les miches de seigle et en prit 5 qu'elle mit dans un sac brun. Après cette action, il ne reste plus qu'un seul pain de seigle dans le panier, Lys le prit en note et se dit qu'elle irait en faire d'autre lors que sa mère serait là pour l'aider. Puis elle retourna un comptoir en marchant d'un pas dansant. Lys déposa le sac avec les pains sur le bureau et elle prit l’argents qui s’y trouvait. Il restait donc la pièce que Willa avait dans sa main.

"Donc 5 pains pour 10 pièce, cela vous semble-t-il raisonnable?"


Willa remercia Lys pour les informations, donna l'argent puis elle partie. Marie retourna à ses occupations.