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Max Varence [humain jetable] [TERMINE] VALIDE

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Max Varence [humain jetable] [TERMINE] VALIDE Empty
MessageSujet: Max Varence [humain jetable] [TERMINE] VALIDE Max Varence [humain jetable] [TERMINE] VALIDE Icon_minitimeMer 5 Nov 2014 - 20:53


Varence Maximilien


Restons simples, vous pouvez m'appeler Votre Gracieuse Majesté ou Votre Altesse Sérénissime, à votre convenance.



Compétences


    Caractéristiques (clic) :
    Physique :
  • Force physique : Bon
  • Agilité : Maître
  • Furtivité : Catastrophique
  • Réflexes : Maître
  • Endurance : Bon
  • Résistance : Faible
  • Beauté : Moyen

    Mental :
  • Force mentale : Moyen
  • Patience/self contrôle : Faible
  • Perception : Bon
  • Intelligence : Faible
  • Arrogance : Très bon
  • Gentillesse : Très bon
  • Prestance/charisme : Faible
  • Mémoire : Moyen

    Combat :
  • Epée : Aucun niveau
  • Dague doubles ou simple : Aucun niveau
  • Poignard : Aucun niveau
  • Lance : Aucun niveau
  • Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Moyen
  • Hache : Aucun niveau
  • Faux : Aucun niveau
  • Fouet : Aucun niveau
  • Art du lancé (poignard, petite hache...) : Bon
  • Art de la parade (bouclier ou arme) : Faible
  • Arc : Aucun niveau
  • Arbalète : Aucun niveau
  • Mains nues/pugilat : Faible
  • Equitation : Très bon


Identité



  • Race : Humain

  • Nom : Varence

  • Prénom : Maximilien

  • Surnom(s) : Max

  • Titre : sa Majesté Max

  • Date de naissance : 1736 de l'âge d'argent

  • Age réel : 19 ans

  • Age vampirique : -

  • Lieu de naissance : Alentours d'Althaïa la Romantique

  • Lieu de vie : Aigue-Royale

  • Rang social : Petit peuple

  • Poste/emploi : Souverain auto-proclamé

  • Guilde : Aucune



Equipement et magie


  • Arme principale : Son incontestable autorité, bien évidemment : Maximilien est de sang royal, mais il est bien le seul à y croire.

  • Autres objets : Un sceptre, symbole de son pouvoir.

  • Alignement : Bénéfique

  • Totem : Singe - niveau 1

  • Style de magie principal : Humaine

  • Puissance magique innée : Faible

  • Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.





Physique et caractère



  • Physique : Dans le monde, il existe deux sortes d'hommes : les grands blonds musclés aux yeux bleus, et les autres. Les premiers ont le plus souvent le sourire charmeur, le bras sûr et puissant, le cuissot aussi large qu'un tronc d'arbre, et dégagent une présence telle que leur seule entrée dans une pièce suffit à inspirer le respect. En ces temps de guerre, ces qualités se veulent un gage de survie au milieu d'un monde hostile dans lequel seul le fort survit. Malheureusement, Maximilien appartient définitivement à la seconde catégorie : grand et chétif, le seul bois auquel feraient penser ses jambes serait plutôt celui d'une allumette, à l'instar de ses longs bras, fins et élancés, dont on se demande encore comment ils peuvent supporter le traitement que leur possesseur leur inflige. Car derrière ce physique digne de celui d'une biscotte, Max dissimule une agilité et une souplesse remarquables : ses gestes sont secs, rapides et précis, ses bras assez forts pour soulever sans peine les quelques dizaines de kilos de sa chétive carcasse et ses jambes suffisamment habiles que pour lui permettre de bondir avec une surprenante vivacité. Équilibriste parfait, il n'est un toit qu'il ne pourrait atteindre, une arche qu'il ne pourrait franchir, une branche sur laquelle il ne pourrait s'asseoir : le monde, et la ville en particulier, sont pour lui un immense terrain de jeu au travers duquel il évolue en totale liberté.

    Ses cheveux bruns, théâtre d'une titanesque bataille opposant épis rebelles et épis sauvages, encadrent un visage aux traits juvéniles et un regard ambré aux reflets d'enfance qui semblent tout deux ignorer jusqu'à la définition du mot sévérité.

    L'exagération est probablement le terme qui put le mieux définir le maintien du jeune homme : son manque de prestance, Maximilien le compense par une gestuelle grandiloquente et une expressivité naturelle désarmante. S'il est d'un tempérament plutôt pacifique, s'approcher à portée de ses longs bras est pourtant souvent synonyme de prendre un coup tant ses mouvements peuvent être erratiques et inattendus. Véritable boule d'excentricité, il dégage une énergie communicative et une sympathie qui incitent le sourire et la compassion.

    Enfin, sa voix est à la hauteur de son physique : juvénile et presque féminine, le timbre grave caractéristique de la gent masculine semble avoir oublié de s'inviter dans ses intonations, détail particulièrement remarquable lorsqu'il hausse le ton pour attirer l'attention. C'est à dire, souvent.

  • Caractère : Innocent ou enfantin sont probablement les premiers mots qui viendraient à l'esprit de quiconque serait amené à parler de Maximilien. Taquin et joueur, toujours prompt à s'égailler et à communiquer sa joie de vivre, le jeune homme se remarque essentiellement par l'innocence candide de ses raisonnements. Si certains préfèrent voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide, Max sera plutôt de ceux qui le voient aux trois-quarts plein lorsqu'il est en réalité aux trois-quarts vide. Exagérément optimiste ? Peut-être, mais il n'y a là en vérité que l'insouciance de la jeunesse, prise à sa source la plus pure. C'est d'ailleurs cette même insouciance qui lui confère une assurance inébranlable et une confiance absolue en lui : le doute ne semble pas lui être familier, et pour cause, s'il affirme quelque chose, c'est forcément parce qu'il sait qu'il a raison et gare à celui qui essaierait de le prendre en défaut. Peu enclin à faire usage de la violence, Maximilien n'en reste pas moins aussi capricieux que l'enfant qui sommeille s'agite en lui : il appréciera très peu être mis en défaut, et pourrait fort bien décider de clore une conversation qui lui semblerait prendre une tournure défavorable d'un solide coup sur la caboche de son interlocuteur, plus agacé que véritablement agressif néanmoins. D'un naturel bienveillant, il n'a pas vraiment la rancune tenace et n'en tiendra pas rigueur au fautif bien longtemps, à l'exception de quelques rares individus qui, pour une raison ou une autre et le plus souvent connue de lui seul, ne lui reviennent décidément pas, tels ces fanatiques du Néant vraiment trop sérieux pour son esprit fantaisiste.

    Capable de s'amuser d'un rien, Maximilien n'abandonne jamais la bonne humeur bien longtemps, tout au plus le temps d'éponger un gros chagrin passager souvent simulé plus que véritablement sincère. Son esprit mêle ainsi allègrement le rêve à la réalité et ce mélange abstrait rend parfois difficile pour autrui de déterminer jusqu'où va le sérieux du jeune homme, lequel demeure parfaitement inconscient de cette réalité. Il est heureux comme il est et pour rien au monde ne voudrait changer, mais sans doute est-ce facile à dire pour un roi. Parfaitement, un roi, l'ignorez vous ? Depuis le tragique décès de son proche cousin Grégorist, le lourd fardeau de la couronne impériale lui est retombé sur les épaules. Mais qu'importe, courageux et volontaire, Max saura faire fi des jaloux qui lui prétendront que rien de tout cela n'est vrai et se montrera digne des responsabilités qui lui incombent désormais : son peuple attend d'être guidé.




Mes liens



  • [réel] Ses parents : un couple de fermiers, modestes travailleurs de la terre qui ont fait le deuil de leur enfant trop simplet pour le travail de la ferme.

  • [imaginaire] Ses parents : des Kohan, bien sûr. Sans doute restés à Gloria en attendant que leur fils et empereur légitime réapparaisse et récupère son trône ! Vous dites ? Pourquoi ne porte-t-il pas lui-même le nom de Kohan ? Taisez vous, sot, vous n'avez rien compris !

  • [réel] Korentin Kohan : le véritable souverain rebelle. Korentin a pris Max sous son aile et lui a évité de bien sérieux ennuis depuis son arrivée à Aigue-Royale.

  • [imaginaire] Korentin Kohan : son cousin adoré. Un homme bon et amusant, qui a assuré la régence jusqu'à ce que Max lui enlève ce fardeau. En gage de reconnaissance, le souverain imaginaire lui a accordé le rôle de premier conseiller.

  • [imaginaire] les Rebelles : son peuple et leurs alliés. Unis dans l'adversité, tous luttent sous la bannière de la justice et sont prêts à tout sacrifier pour l'asseoir sur le trône. Max est très fier d'eux.




Derrière l'écran



  • Petite présentation : On m'appelle Nou ! Kyky Nou !

  • Rythme rp : Presque raisonnable... presque.

  • Particularités rp : Armando-dépendant depuis bientôt deux ans. Y en a qui ont essayé de me soigner, ils ont eu des problèmes !

  • Comment avez vous découvert le forum : J'ai son adresse tatouée sur la fesse droite ♥️

  • Le code du règlement :










On dit des représentants de la famille royale qu'ils sont nés dans la soie, en référence à la richesse et la finesse des étoffes dans laquelle sont drapés les nouveaux nés de haute lignée. Pourtant, ce détail ne semble pas devoir déranger particulièrement l'extraordinaire destinée du jeune Maximilien, né dans le chanvre et la paille d'une modeste chaumière fermière. Difficile en effet de l'amener à s'exprimer sur le sujet de ses origines paysannes, et à supposer que quelqu'un put y parvenir, encore eut-il fallu que l'heureux élu parvint à démêler les multiples versions de cette histoire qu'est capable de fournir le souverain imaginaire pour expliquer comment un membre de la dynastie Kohan put voir le jour au beau milieu de la campagne Althaïanne. La réalité est évidemment bien plus simple que les récits à la discutable véracité dont s'abreuve Maximilien : fils d'un couple de fermiers, le jeune garçon vécut ses jeunes années baigné de l'amour de ses parents et nourri des maigres recettes que la famille parvenait à arracher à la fertilité des sols.
Comme tous les enfants, celui qui se fit rapidement surnommer Max appréciait rire et s'amuser bien plus que d'aider aux travaux de la ferme. Son jeu favori consistait à effrayer les vaches d'un pré avoisinant en leur tirant la queue et en poursuivant les paisibles herbivores d'un bout à l'autre de la prairie. Innocente occupation s'il en était, dont le plus grand danger était de se faire attraper par un éleveur mécontent de voir la qualité de son lait diminuée par le stress de ses animaux. Du moins était-ce ce que l'enfant imaginait. Excédé par les fantaisies du jeune garçon, le propriétaire du troupeau décida en effet de jouer un bien vilain tour au petit voyou : à la faveur d'une foire agricole, il fit l'acquisition d'un robuste taureau qu'il mêla innocemment à son élevage. Les conséquences ne se firent pas attendre longtemps : alors âgé d'une douzaine d'années, Maximilien ne prit pas la pleine mesure du danger et se risqua une fois de plus au milieu du pré défendu. Une fois de trop, malheureusement, car si les vaches préféraient fuir devant les facéties du bambin, tel n'était pas le cas du taureau qui piétina le malheureux importun sans le moindre égard.

Par la grâce du Dracos, l'enfant survécut à ses blessures mais ne se remit jamais totalement de l'incident : outre la peur panique qui ne manquait pas s'emparer de lui à la seule vue d'un bovidé, il apparut bientôt que les séquelles les moins visibles n'étaient pas nécessairement les moins graves. Enfantin pour certain, benêt pour d'autres, totalement abruti pour les derniers, Maximilien se mit à affirmer partout qu'il était de sang royal et multiplia rapidement les caprices : les travaux des champs ne convenaient pas à la noblesse de son rang, pas plus que la paillasse qui lui servait de couchage ou que l'inacceptable frugalité de ses repas.

C'est à l'occasion d'un jour de marché sur lequel la petite famille envisageait vendre les produits de sa récolte qu'une nouvelle dispute éclata, l'opposant aux gueux qui se prétendaient ses parents. Le jeune garçon, alors adolescent d'une quinzaine d'années, prit la fuite pour échapper à ceux qui, il n'en doutait plus désormais, l'avaient enlevé à ses véritables parents. Confiant dans les nobles origines de son sang, Max vint trouver la garde d'Althaïa et ordonna qu'on le mena auprès du duc. Requête aussi saugrenue ne manqua pas attirer l'hilarité des gardes qui récompensèrent le jeune prétentieux vêtu de haillons comme il se devait, c'est à dire en lui offrant quelques jours de vacances derrière les barreaux de la prison. Cette regrettable erreur judiciaire ne devait cependant en rien altérer l'obstination enfantine du noble auto-proclamé, lequel revint encore et encore clamer ses royales origines à qui voulait l'entendre ou non d'ailleurs.

Les jours devinrent semaines, les semaines devinrent mois, et une subtile relation naquit bientôt entre l'enfant-roi et les gardes. L'exaspération des premiers temps s'était peu à peu muée en une certaine forme d'amusement, certains commencèrent même à entrer dans le jeu de ce nouvel habitué de leurs cellules, le saluant et le gratifiant du titre de sire. D'autres imitèrent progressivement les premiers, et Max put bientôt entrer et sortir comme bon lui semblait de cette prison qui devint palais à ses yeux. Modeste royaume, certes, mais qui suffisait amplement à satisfaire l'imagination débordante du souverain factice : la nourriture qui lui était offerte par la garde dont il avait gagné l'affection devenait banquet dans sa bouche tandis que les geôliers formaient sa garde royale et ne manquaient pas s'enorgueillir de voir leur humble statut ainsi mis en valeur, fusse par un souverain imaginaire.

Cela dura un temps, quelques années en vérité, sans que rien ne sembla devoir venir perturber cette vie dans la vie. La guerre avec les vampires, le débarquement des alayiens, jusqu'à la montée au pouvoir de Fabius Kohan semblaient autant d'évènements lointains, si lointains, trop lointains. Et lointains, ils le demeurèrent, du moins jusqu'à ce que la guerre vint présenter ses horreurs aux portes de la cité Romantique et que la réalité ne rattrapa brutalement l'imaginaire. Les rumeurs qui circulaient en ville et dans la prison firent bientôt état d'une armée en marche, venue écraser la rébellion réfugiée dans les souterrains de la cité. Dans sa grande majorité, la population prit la fuite et se dispersa dans les campagnes, mais une partie préféra résister et rejoindre les rangs de la rébellion. Pour Maximilien, ce fut surtout l'occasion d'ouvrir un nouveau chapitre de son règne, celui de l'aventure et des responsabilités : les rebelles qui luttaient contre l'envahisseur alayien avaient besoin d'un meneur, d'un souverain expérimenté et responsable, tout le portrait de sa Majesté Max, en somme.

Ainsi le jeune homme décida-t-il de joindre son impériale personne aux geôliers qui s'enrôlèrent dans les troupes dirigées par nul autre que ... Korentin Kohan ! Après des années à rechercher sa famille sans succès, voila que Maximilien se découvrait un proche cousin au sein même de la rébellion ! Les retrouvailles ne furent cependant pas les plus chaleureuses que l'on eut pu imaginer : les soldats rebelles accueillirent en effet plus que froidement les révélations du souverain imaginaire et, comme beaucoup avant eux, n'y virent que mensonges et élucubrations. Pauvres sots qu'ils étaient ! Heureusement, tel ne fut pas le cas de son cousin Korentin dont la clairvoyance l'enjoignit à prêter l'oreille aux déboires de son proche parent, et Maximilien se vit bientôt occuper la place qui avait toujours été la sienne : celle d'un monarque bienveillant et attentionné.
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Max Varence [humain jetable] [TERMINE] VALIDE

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