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Crissolorio Ostiz Modérateur Régent de Gloria
| Sujet: Le début des péripéties Mar 10 Jan 2017 - 10:56 | |
| 8 Octobre
Ostiz avait entendu parler de la grande mobilisation qui devait être faîte au plus vite pour envoyer des forces armées affronter une grande menace se terrant à l'Ouest. Une menace qui d'après ses quelques espions (dont son ami Zadkiel.) devait être assez prise au sérieux. Crissolorio étant d'ailleurs au passage satisfait de son ami qui lui avait permit d'une certaine manière d'apprendre assez à l'avance ce qu'il fallait faire pour contenir la menace. La mobilisation serait donc vite lancée, et un contingent armé envoyé pour affronter cette menace.
Sans bien entendu trop dégarnir les garnisons gloriennes, il ne fallait pas après tout envoyer trop d'hommes aller se battre, car évidement une bonne partie des troupes devaient rester sur le territoire pour maintenir l'ordre entre autres. Ce qui n'était pas bien dur au fond, l'empire Glorien étant la plus grande puissance militaire de ce continent, Ostiz pouvait aisément se départir de quelques régiments pour aller affronter cette menace pendant que le reste des forces militaires assurerait la maintient de l'ordre par exemple. L'empereur elfique Aegnor ne pourrait pas en tout cas se plaindre car Gloria n'avait pas été un allié ingrat pour le coup.
Dans tout les cas il fallait donc espérer que cette opération porterait ses fruits, Ostiz avait même décider d'engager des mercenaires pour les envoyer aider les troupes, mais les hommes assez courageux pour aller se risquer dans les terres perdues n'étaient pas forcément très nombreux. Bien entendu pour le symbole, et aussi pour montrer qu'il se préoccupait personnellement de la sécurité du royaume et du continent, Ostiz avait décidé de superviser lui-même certaines entrevues avec les dits mercenaires et guerriers libres qui pourraient décider de partir se battre contre une solide paye et les honneurs à l'Ouest.
Ainsi le régent qui occupait un bureau dans la grande caserne militaire du centre-ville recevait une à une les entrevue avec certains mercenaires, et il devait sans doute être le début de l'après-midi lorsqu'on lui amena visiblement un jeune homme. Celui-ci entra seul dans le bureau, peut-être trouverait-il curieux qu'aucun garde ne surveille le bureau au cas-où, sans doute que le régent devait avoir une bonne raison de penser qu'aucun garde n'était nécessaire à sa sécurité ? Cela en vérité était dû, mais le jeune mage ne pouvait pas le savoir car il ne la voyait pas, à une statuette magique dissimulée qui interdisait toute violence dans un rayon de 20 mètres autour d'elle.
Dans tout les cas c'est calmement que le régent de l'empire glorien qui se tenait assis en face de lui et qui dégageait toute l'autorité de celle d'un homme qui dirigeait un empire l'invita d'un geste à s'asseoir lui aussi. Ce avant de reprendre de sa voix calme mais non dénué d'une certaine légitimité.
« Salutations à vous mon brave. A qui ai-je l'honneur ? » Une question simple, poli, peut-être d'un respect non nécessaire de la part d'un dirigeant qui parlait à un citoyen. Mais qui témoignait tout de même d'une certaine dignité de la part d'un homme qui ne semblait pas traiter ceux qui n'étaient pas nobles comme des moins que rien. Un égard de comportement qui en effet n'était pas forcément courant parmi les nobles, mais le régent préférait être poli et respectueux en tout temps, sans oublier que de plus il tenait à mettre le jeune homme à l'aise si possible.
Car Ostiz sentait que ce guerrier libre ci devait être assez intéressant, peut-être une intuition de son totem… Les grand pères hérisson ayant tendance disons à déduire certaines choses difficiles à voir pour d'autres sans un minimum de temps et de réflexion. Après tout le jeune homme se tenant en face de lui n'était pas très commun.
Déjà l'on pouvait déduire que c'était un mage, il n'avait ni la carrure d'un guerrier, ni d'un archer. Sinon il risquait d'avoir du mal à survivre en temps que soldat libre sans ressources magiques. Pas que l'autre semblait spécialement faiblard, juste que les guerriers compétents ne se basant pas sur la magie étaient assez musclés souvent. De plus la jeunesse apparente de son interlocuteur aurait pu faire dire à n'importe qui qu'au final ce n’était peut-être pas un excellent choix de personne à engager, mais Ostiz se disait aussi qu'il valait mieux ne pas se fier aux apparences, et approfondir un peu les choses si possible avant de porter un jugement. Après tout chacun avait son talent, et il serait dommage de passer devant une sympathique opportunité par erreur ou précipitation de jugement...
Statuette concernée :
[[accessoire] Statuette des Ombres : 500 pièces d'or Statuette noire ébène, taillée dans une pierre noire et lisse azuré de striures dorés à argentés Effets: Cette statuette protège le lieu où elle sera posée et son possesseur quand il y est. Aucune force hostile, négative ou agression ne pourra être commise envers ce dernier ou dans l'enceinte de ce lieu de manière générale, dans un périmètre de 20 mètres maximum. Si la statuette est détruite, la protection prend fin. Toutefois il pourrait être difficile de la détruire étant donné qu'elle se trouve dans la zone de non agression... Exemplaire unique] |
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| Sujet: Re: Le début des péripéties Mar 10 Jan 2017 - 12:55 | |
| Edwin, après s'être rendu à Aldaria avait pris le bateau en direction de Gloria, petit voyage de cinq jours qui lui fut bénéfique. En effet, durant ce périple, il avait eu l’occasion de rencontré un petit groupe de mercenaire qui lui avait appris que le Régent de la Rescapée démarrerait bientôt des rencontres avec des guerriers libre dans la caserne de la ville. Des rumeurs parlaient d'être embauchés pour une mission risquée dans les terres désolées, un rassemblement contre un nouvel ennemi; mais rien de bien précis. Wayne y vit l’occasion de faire entendre parlé de lui autant dans les haut rang de la cité que dans les rangs de l'armée si il arrivait à s'y faire inscrire.
Les quelques jours restants de navigation passèrent aisément, sans remous ni problèmes. Les échos des conversation ambiante ne lui en apprirent pas plus que ce qu'il ne savait déjà. Bien vite il accostait aux docks du tentacule est du centre ville. Il remonta celle-ci dans le brouhaha des marchés et des vendeurs à la criée. Au dessus des présentoirs s'ornait fièrement le splendide palais construit des pierres de la dépravées. Arrivée au centre-ville, il aperçu rapidement la grande caserne qui était tout autant la prison de ces lieux. Il s'avança jusqu'aux entrées, voyant se croisés les lances des gardiens devant son nez dans un grondement résonnant d'une des armures s'entendit :
- Raison de la visite ?
- Entretien d'embauche du Régent, Messieurs!
Répondit-il aussitôt d'un ton aimable mais non discourtois; sous ses mots, les fers se séparèrent et la route s'ouvrit. Il entra dans le bâtiment et trouva aisément sa place dans la salle d'attente bondés de mercenaires en tout genre. Attendant patiemment son tour, le jeune Athaël s'appuya docilement contre le mur derrière lui, vaguant à ses pensées sans réellement faire attention à la tournante régulière que faisait les guerriers libres qui quittaient ou entraient dans le bureau et la salle d'attente. Il fut sorti de ses rêveries par l'écho métallique du garde qui se posta devant lui :
- À vous !
Il se redressât et entra dans le bureau. Une étrange aura avait déjà titillé ses sens dans la salle précédente, mais ici, plus forte, l'aura lui fit comprendre qu'un objet magique laissait croitre une onde d'anti-violence. Toujours bien pratique quand une horde d'homme de morts s'abonde devant votre porte et se prête, tour à tour, au jeu de la rencontre. Difficile donc, de perte patience en attendant son passage, tout semblait plus logique, il s'était lui même étonné du calme errant dans les couloirs de la caserne.
D'un geste l'homme de l'autre côté du bureau l'invita à s'asseoir; Ed suivit les ordres sans discussions et s'installa confortablement dans sa chaise en ayant, au préalable, posé son bâton en porte à faux sur le dossier de celle-ci. À peine eut-il le temps de prendre ses aises que l'homme barbu et grisonnant qui, aux premiers abords, rayonnait des aptitudes d'un politicien, une prestance certaine, un maintien presqu'impérial, enfin un homme, un vrai ou presque; lui demande d'un ton respectueux étonnant mais sympathique de la part d'un haut-rang, ceci :
« Salutations à vous mon brave. A qui ai-je l'honneur ? »
Clair, net et précis; que demandez de plus ? Alors il lui répondit aisément :
« Bonjour Monsieur le régent, je me nomme Edwin Athaël, guerrier libre et mage à votre service; vous pouvez m'appelez Wayne si vous le désiré. »
Il attendu avec politesse, la suite de la conversation ... |
| | | Crissolorio Ostiz Modérateur Régent de Gloria
| Sujet: Re: Le début des péripéties Mer 11 Jan 2017 - 19:13 | |
| Heureusement qu'il n'y avait pas que Crissolorio qui faisait faire les entretiens, mais seulement une partie. Car si le régent voulait bien faire, il restait qu'il n'avait pas non plus tout le temps du monde à consacrer uniquement à cela vu qu'il était le dirigeant d'un empire. De plus un seul homme ne pouvait pas recruter seul l'importante quantité de mercenaires qui devrait partir à l'Est certainement. Ainsi les capitaines de la caserne s'occupaient d'une bonne partie des entretiens, pendant que lui pour la forme en faisaient quelques-uns, même si évidemment demains on ne le retrouverait pas à nouveau à exécuter cette tâche ici. Disons que la rançon du pouvoir l’appellerait à exécuter d'autres fonctions.
Combien un roi pourrait-il prétendre avoir de sujets avec tout les hommes vivant dans l'empire ? Sans doute des millions, et Crissolorio se retrouvait à devoir administrer cela pendant plus de 15 ans. Le temps que le futur héritier encore dans le ventre de sa mère soit en âge de régner. Autant dire que le régent avait du pains sur la planche, néanmoins notons que le destin devait au final beaucoup aimer Crissolorio pour lui avoir permit d'exercer ainsi un équivalent de la fonction suprême. C'est après tout bien plus que ce qu'il n'aurait jamais pu espérer, surtout pour un homme désirant marquer son nom dans le marbre de l'histoire.
Diriger un royaume restait néanmoins une tâche formidablement complexe, et surtout qui nécessitait un certain état d'esprit. Les questions étaient diverses et nombreuses à traiter. Et il ne fallait pas penser pouvoir tout faire tout seul, c'était la meilleure manière après tout d'aller d'échecs en échecs. Mais ce n'était pas le sujet du jour de toute manière, et le jeune homme en face semblait dans les faits bien loin des préoccupations politiques qui devaient agiter les hommes de pouvoirs à Gloria.
Un jeune homme qui ne tarda pas d'ailleurs à confirmer la déduction d'Ostiz quand au fait qu'il était un mage. C'était toujours satisfait après tout de remarquer que nos déductions se révélaient fonder, surtout qu'il était bien d'aiguiser ces dernières de temps en temps.
« Alors je vous appellerai Wayne étant donné que vous m'autorisez à vous appeler ainsi messire. » Répondit donc calmement le politicien au jeune mage, avant de reprendre ensuite avec réflexion.
« Messire Wayne, je suppose que si vous êtes ici c'est que vous êtes au courant que l'état glorien engage des mercenaires pour aller affronter une menace se trouvant à l'Ouest de nôtre paisible continent. Et si la paye est bien entendu intéressante en échange de ce service, une question se pose. Êtes vous bien conscient que vous risquez de mourir si vous vous engagez dans cette mission ? » Oui il ne prenait pas de pincettes, et c'était un choix délibéré. Après tout il cherchait ainsi à jauger celui qui se tenaient en face de lui pour savoir s'il aurait en effet la trempe de mener son contrats à terme. Sur ce il reprit donc de fil en aiguille...
« De même, il serait intéressant pour moi de connaître vos motivations exactes quand à cette mission messire. Êtes vous de ces hommes cherchant l'or, et la gloire ? Ou bien vous battez vous pour une cause quelconque ? » Et bien entendu une question fatale se posait. « Avez vous déjà eu à vous battre lors de vôtre existence sinon ? Ou plutôt avez vous déjà eu à tuer un autre être pensant ? Car c'est exactement ce que vous risquez de devoir faire là-bas messire. » On ne pourrait pas reprocher à Ostiz de faire des ronds de jambes pour le coup, ce dernier allait après tout directement dans le vif du sujet, et avec franchise de plus. Et les réponses que formuleraient le sieur Wayne sans aucun doute serait d'une grande importance pour la suite de cet entretien… Après tout Ostiz venait là de lui tracer tout simplement un état des faits pour voir de quelle trempe ce jeune mage était, car il vaudrait mieux que ce dernier soit assez solide s'il espérait survivre à sa future quête à l'Ouest. Ce qui arrangerait d'ailleurs Ostiz, car il n'était pas dans l'optique d'envoyer des hommes à l'abattoir. Ceux qui n'auraient pas la trempe pour cela seraient donc recalés tout simplement... |
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| Sujet: Re: Le début des péripéties Jeu 12 Jan 2017 - 12:19 | |
| L'homme en face de lui devait être considéré comme un bon roi, ou du moins, régent du royaume en l'état des faits; puisqu'il prenait de son temps pour s'occuper de ses entretiens d'embauches alors qu'il devait, surement, avoir des affaires bien plus urgentes à réglé. Sans trop d'inquiétude, l'homme de grande prestance déballa une série de question ciblées et ce, avec une franchise aussi coupante qu'une lame de rasoir. Aurait-il pu lui reprocher ? Que l'inverse, comment contredire un homme qui tente de vous faire comprendre que vous n'êtes pas ici pour devenir couturier du roi mais plutôt mercenaire à hauts risques ...
Conscient du danger, Edwin l'était totalement, il savait qu'une menace étrange pesait sur notre monde et qu'elle ne ferait pas de cadeau à ceux qui tenteraient d’empêcher ses actes. C'était là les mots d'ordre de la guerre : sacrifice et courage. Quand vint alors la questions du combat et de la mort, le jeune Athaël réalisa qu'il n'avait jamais ôté la vie d'un être vivant, pas que cela l'avait répugné mais jamais il n'avait du atteindre de telles extrêmes. Ce n'était pas un acte qu'il estimait à la légère, la rédemption ou la prison lui semblait plus souvent approprié; bien sûr il ne doutait pas que certains êtres ne pouvaient prendre place dans l'une ou l'autre situation, alors restait seul, la solution du Régent Ostiz, la mort ... Il s'en savait capable face à un être maléfique jusqu'au entrailles, un être incapable d'agir pour le bien d'un autre.
Qu'aurait-été le monde face à Vraorg et le Néant si ça n'avait pas été la mort qui les avait cueillis ? Terreur et désolation sûrement. Le Mage ayant réfléchi ainsi au débat qu'avait lancer son interlocuteur, se décida à lui répondre comme tel :
« Messire, en toute franchise, je ne m'attend pas à revenir de votre mission dans l'état dans lequel j'y serai arrivé; je connais les risque et les dangers de la mort qui rode. »
Il reprit son souffle tout en entamant la suite de sa conversation.
« Je me suis entrainé durant une dizaine d'année à l'art de la magie, j'ai appris, suite à l'espoir de mon père, à tout faire pour protéger ce monde; je ne suis donc pas ici pour l'or et la gloire, bien que, le premier me permettrait de m'améliorer et le second de faire entendre mon nom aux oreilles de ceux qui en ont besoin d'aide. »
Le plus dure vint à venir, avouer qu'il n'avait jamais saigné à blanc un être lui apporterait peut-être de perdre quelques points, mais l'honnêteté était déjà un point d'honneur en ce lieu, il ne voyait aucune raison d'en faire contre.
« Je n'ai jamais réellement ôté la vie puisque je crois en la rédemption et en l'utilité de l'enfermement; mais j'avoue aussi, que cet acte ne me serait par rédhibitoire face à un être incapable d'émettre le moindre acte de bonté. »
Il espérait ainsi avoir atteint son but, avec chance et au vu de l'intelligence émanant du Régent, il était fort probable que ses vérités ait toucher sa cible; cette mission il voulait y participer autant au nom de son père qu'au nom du peuple et de la paix... |
| | | Crissolorio Ostiz Modérateur Régent de Gloria
| Sujet: Re: Le début des péripéties Sam 14 Jan 2017 - 16:28 | |
| Crissolorio écouta avec patience le jeune magicien parler, ce dernier n'hésitant pas à dire avec franchise qu'il s'attendait à ne pas finir cette mission en bon état, voir à mourir. Ainsi il était conscient des risques qui l'attendaient là-bas. C'était déjà mieux que certaines jeunes mercenaires qui se croyaient invincibles, et qui au final ne pouvaient que mal finir.
Ainsi ce jeune Edwin lui raconta qu'il s'était entraîné pendant une dizaine d'année quand à l'usage de l'art magique et qu'il n'était pas là pour l'or et la gloire même si ces derniers seraient utiles. Non il était là au nom du bien d'Armanda, et Ostiz ne percevait aucun mensonge en lui quand il disait cela. Que ce soit dans le ton de sa voix, ou dans un quelconque tic qui aurait pu le trahir, ainsi il était bien en face d'une jeune âme qui se voulait héroïque et altruiste à sa manière.
« Je ne peux pas vous dire si la menace à laquelle nous ferons face est réellement totalement dépourvue de bonté, si cela se trouve ce sont juste des formes de vies différentes qui ne pensent pas comme nous, ou qui sont obligés d'agir comme elles le font. Qui peut au final les juger alors que personne actuellement ne connaît réellement ces êtres inconnus qui vivent à l'Ouest de nôtre continent ? » Finit donc par dire calmement le vieil homme suite aux paroles du mage qui avoua ne jamais avoir tuer, mais être capable de tuer quelqu'un de purement maléfique.
« Vous ne vous battrez pas contre le mal à l'état pur, il n'existe pas selon moi. Voyez-vous plutôt comme un berger qui se bat pour protéger son troupeau d'agneau face à des loups affamés. Certes les loups veulent faire du mal à vôtre troupeau, mais c'est parce qu'ils n'ont pas le choix. Mais pour autant, serait-il acceptable selon vous de laisser dévorer vos agneaux qui n'ont rien demandés ? Et qui de plus sont vôtre seule source de nourriture ? » Dit-il donc de sa voix d'homme pragmatique qui voyait les choses de façon rationnelle sans les idéaliser.
« En sachant cela, vous sentez-vous toujours prêt à vous battre contre ces créatures vivant à l'Ouest ? En sachant qu'elles ne sont pas forcément le mal à l'état pur, mais qu'il est nécessaire pour la paix et les peuples de ce continent de les combattre ? » Ostiz n'avait pas après tout envie de sortir un joli mensonge même séduisant à ce jeune homme. Il était sincère dans le fait que cela était nécessaire pour le bien d'Armanda, et qu'ils n'affronteraient pas forcément le mal à l'état pur qui ne vivait que par malfaisance sans jamais rien faire de bon, ou qui ne faisait pas le mal par nécessité. Et sur ce le régent conclut de sa voix posée et réfléchit.
« Réfléchissez-y bien en tout cas sieur Edwin. Nous ne sommes pas pressés après tout, et ce n'est pas là une question qui attend une réponse rapide. » Car dans les faits il n'y avait pas moyen plus aisé de commettre une erreur que d'agir dans la précipitation, dans tout les cas Ostiz pour le moment avait tout à fait sincère avec ce mage. C'était donc à ce dernier de décider s'il voulait en effet risquer sa vie à l'Ouest au nom d'Armanda, ou s'il préférait rester à l'arrière. Les deux choix étaient honorables, mais quand l'un des deux choix serait fait il ne serait pas possible pour lui de revenir en arrière ensuite. |
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| Sujet: Re: Le début des péripéties Mer 18 Jan 2017 - 11:26 | |
| C'était vrai, c'était plus réaliste que ce qu'Edwin avait jusqu'alors imaginé; comment pouvions nous être sûr qu'il existait un être totalement maléfique ? Même Vraorg devait, en lui, espéré quelque chose à travers ces actes, espéré que cela finirait bien, du moins à sa manière. Que pourrions nous dire d'un enfant éduqué pour tuer ? Qu'il est le mal incarné ou qu'il suit les préceptes qu'il a appris ? Si le père Athaël avait appris à son enfant à usé de sa magie pour voler et piétiné ses adversaires ? Serait-il aussi bon qu'il espérait l'être ?
Mais comme l'avait imagé le Régent Ostiz, un berger devait-il laisser un loup manger son troupeaux de mouton, sous prétexte que le prédateur faisait cela pour assouvir sa faim, au prix de la faim du berger ? Non ... La paix et le bien d'un être valait-il mieux qu'un autre ? Pas vraiment, mais chacun avait le droit et, presque l'obligation, de suivre ses propres valeurs. Edwin se devait d'aider son peuple, même si il devait tuer un être pensant pour cela. La paix ne se paye-t-il pas au prix de la guerre ? Comme il l'entendrait plus tard : "La guerre est l'hygiène du monde".
C'est ainsi, après avoir réfléchi aux paroles de l'homme censé qui se dressait face à lui, qu'il lui répondit :
- Je pense que vous avez raison ... Le mal a l'état ne doit pas vraiment exister. Mais quand bien même un acte de bonté était possible de la part de nos ennemis, leur définition du bien n'est pas la même que la notre. Et pour notre bien et notre paix nous n'avons pas d'autre choix que d'éliminer cette menace, sous peine de trouver la même façon de penser chez notre adversaire; qui lui aussi, serait capable de nous anéantir pour atteindre leur but.
Il repris son souffle et continua :
- Je suis prêt à me battre pour les peuples d'Armanda, Vampires, Elfes et Humains se sont assez quereller entre eux que pour qu'un nouvel adversaire nous anéantisse alors que nous venons de trouver un semblant de paix. Ce trouble doit être effacé, j'en payerai le prix de mon sang si cela peut empêcher de voir couler celui de nos congénaires.
Il avait répondu ceci avec une certaine conviction dans la voix, comme si l'écho qu'avait amener les question de Crissolorio l'avait pousser à voir une vérité qu'il n'avait pas, jusqu'à aujourd'hui, réalisé. Une part du Mage remerciait même son interlocuteur pour avoir allumé cette lueur de véracité... |
| | | Crissolorio Ostiz Modérateur Régent de Gloria
| Sujet: Re: Le début des péripéties Ven 20 Jan 2017 - 11:04 | |
| Le jeune mage avait la sagesse d'admettre avoir eu en partie tort, et surtout la sagacité de remettre en question son précédent jugement sans mauvaise foi, ou hypocrisie manifeste. C'était là une qualité humaine qu'Ostiz savait apprécier, lui-même se faisant le devoir d'en être doté. Et bien conscient que la sagesse n'était pas une qualité que l'on acquérait par la vieillesse, mais surtout par la sagacité et l'honnêteté d'esprit.
"Ainsi vont les choses, et s'il est vrai qu'il est plus facile d'occire quelqu'un en le haïssant et en pensant qu'il est le mal absolu. La tranquillité de l'esprit vaut elle un tel mensonge?" Enchaîna donc avec réflexion le régent suite à la réponse d'Edwin. On pouvait voir qu'en effet le politicien était un homme qui plus que des qualités avait un esprit très pénétrant et raisonné. Presque comme s'il était l'incarnation vivante de la raison dans le combat éternelle que cette dernière mène contre la passion...
Et dans les faits les paroles d'Edwin ne manquaient pas de conviction, pas de passion. De cette fougue typique d'une certaine jeunesse, une fougue qui n'était pas nocive loin de là. Mais qui devait aussi être tempérée à sa manière par la raison. Ce qui commençait déjà à être en bonne partie chose faîte remarque le régent avec une certaine satisfaction. Ce avant de reprendre d'un air concentré.
"Alors vous vous battrez au nom des peuples d'Armanda. Vous n'oublierez pas au cours de vôtre mission pourquoi vous vous battrez exactement, et surtout." Il regarda le jeune homme dans les yeux, non avec hostilité, mais avec la légitimité d'un souverain. "Vous saurez quelles seront les conséquences de l'échec, ou de la réussite de cette mission. Car si le sens du devoir est juste, il ne doit pas non plus être aveugle." Ainsi il laissa un court instant de silence s'installer avant de reprendre de sa voix d'homme de pouvoir, celle de quelqu'un qu'il savait ce qu'il faisait, et plus que cela qui l'assumait...
"Vous m'avez dit être prêt à mourir pour cette cause, mais je vais exiger une promesse d'un autre genre de vôtre part Edwin. Je veux que vous promettiez de vous battre de toutes vos forces, mais quoiqu'il arrive de survivre. Et de revenir à Gloria récupéré une paye justement méritée. Me le promettez vous?" Et à la manière dont il le disait cette promesse avait une grande importance, ce qu'il se contenta d'expliquer bien calmement. "Car le plus important n'est pas de mourir pour une cause mon jeune amie, c'est de vivre pour elle et de pouvoir ainsi continuer à la défendre tant que cela est possible." Ainsi avait parlé le régent de l'empire Glorien. |
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| Sujet: Re: Le début des péripéties Dim 29 Jan 2017 - 12:26 | |
| Un mensonge ... Son père l'avait-il éduquer avec cela ? Cet entrainement contre le mal, cette magie devant éliminer les êtres maléfiques, cette promesse de rendre le monde meilleur ... Tout cela n'était-il que du vent ? Une manière de l'obliger à suivre cette route peut-être ? Ou tout simplement la folie d'un homme qui ne distinguait plus tout à fait le bien et le mal ? Chacune de ces questions pouvaient mené à une réponse logique mais laquelle menait à la vérité ? Varis saurait peut-être lui en apprendre plus sur les vrais raison qui avait pousser le père Athaël de faire de son fils un mage aussi entrainé ... Mais là n'était pas l'instant où l'on veut comprendre le passé; là était le temps de l'action qu'importe sa source, Wayne sentait en lui qu'il devait participé à cette bataille.
Edwin ne répondit pas à la première question du régent, son visage l'avait fait à sa place, puisqu'on l'on pouvait y lire les marques de la réflexion et de l'acceptation. Il écouta attentivement la suite du discours de son interlocuteur, gardant le regard figé dans les yeux de celui-ci qui en faisant tout autant. Il savait pourquoi il se battait, pour la paix et les peuples. Peut-être aussi à cause de son père, mais c'était un problème qu'il règlerait plus tard. Ostiz avait tout à fait raison dans ce qu'il disait, pourquoi mourir bêtement en se jetant aveuglément dans un combat perdu d'avance ? Pourquoi ne pas plutôt survivre pour mener d'autres combats qu'il pourrait gagner sans trop de soucis.
- Je vous fais la promesse de rester en vie, de ne combattre que ce que je serai capable de vaincre et de me protéger face à ce qui pourrait me vaincre. Je vous jure de rester en vie pour sauver même après cette guerre sont dont la paix est mise en déroute. Je vous jure de venir récupérer ma paye et vous remerciez de m'avoir permis de participer à cette bataille. Je vous jure d'être digne de votre confiance et de réitéré l'expérience si le destin le décide. Je vous jure aussi de ne pas oublier ce que vous m'avez appris ou fait comprendre; de mettre en œuvre de ce qu'il faudra pour rester juste et digne face au destin qui m'a été donné.
Il avait prononcé cette promesse presque comme un pacte de fidélité, le Régent était pour lui plus qu'un homme de lois ou de politique, il était un homme digne et bon, un être tentant de comprendre le monde et d'aidé ceux qui croisait son chemin, un homme sage et droit qui méritait presque un respect plus grands que celui des rois... |
| | | Crissolorio Ostiz Modérateur Régent de Gloria
| Sujet: Re: Le début des péripéties Jeu 2 Fév 2017 - 16:03 | |
| Ostiz quand il n'y était pas obligé pour des raisons politiques aimait faire preuve d'honnêteté. De plus c'était un bien jeune mage qui se tenait devant lui, lui faire miroiter de possibles mensonges serait certes intéressant pour qu'il se batte de tout son cœur, mais... Cela serait au risque qu'il arrive quelque chose de malheureux à ce jeune Edwin à l’avenir, ou que ce dernier se sacrifie pour des mensonges. Ce qui aux yeux d'Ostiz d'une moralité discutable de faire en sorte que quelqu'un se sacrifie possiblement pour les mauvaises raisons.
Non il préférait être franc avec ce jeune homme, certes il venait juste de rencontrer ce dernier. Mais n'était-ce pas un être humain qui lui faisait face? Quelqu'un avec une vie, et des rêves? Ce n'est pas parce que ce n'était encore qu'un inconnu d'une certaine manière qu'il méritait qu'on le méprise, ou le traite comme du bétail. Après tout, que valait un dirigeant qui considérait la vie de ses sujets comme de simples jouets dont il pouvait disposer? C'était là un homme qui se prenait pour un esprit supérieur et qui ne pourrait au final que fauter par son orgueil et son manque d'humilité...
Et c'est satisfait que le régent écouta donc Edwin faire la promesse de survivre à tout cela et de faire preuve d'une prudence qui au lieu de nuire à ses idéaux, contribuerait au contraire à mieux servir ces derniers. Car plus qu'un homme politique qui écoute quelqu'un suivre la bonne voie, il était un homme d'un âge assez avancé qui d'une certaine manière appréciait voir qu'il avait aidé quelqu'un à prendre ce qui pourrait être la bonne voie. Ainsi sa voix calme reprit.
"Bien, maintenant que ceci est fait. Vous serez en effet engager pour cette opération et vous y participerez en tant que guerrier libre sieur Edwin. Pour savoir qu'elle sera vôtre place dans la troupe glorienne lors de cette opération, je vous invite à attendre le rapport du capitaine Worin qui le fera dans 3 heures sur la place centrale de la cité." Il resta un instant silencieux après avoir dit cela, sortit une lettre de son bureau qu'il signa, puis la tendit au jeune homme. C'était une attestation d'engagement, sur ce le vieil homme acheva à l'égard du mage.
"Avant que nous finissions cette entrevue maintenant que ceci est réglé. Auriez-vous quoi que ce soit à me demander? Sachez en tout cas que lors de vôtre retour à Gloria, si vous n'y voyez rien contre. J'appréciera pouvoir discuter à nouveau avec nous, notamment au sujet de ce qui ce sera passer à l'Ouest. Vôtre avis m'intéresse." Ainsi il attendit patiemment la réaction d'Edwin face à cette demande assez inédite. Mais peut-être pas tant que cela au final, mais pour des raisons que le jeune mage ne connaîtrait probablement qu'après être revenu de son périple à l'Ouest. |
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| Sujet: Re: Le début des péripéties Lun 13 Fév 2017 - 12:22 | |
| Le régent lui avait remis sa lettre d'engagement et lui avait indiquer l'endroit où il pourrait apprendre la place qu'il aurait dans cette bataille, il n'était qu'un mercenaire libre et il le savait parfaitement, il pourrait être au front ou même ou à l'arrière mais cela l'importait peu; tant qu'il pourrait poser une pierre à cette édifice de guerre, il aurait l’occasion de marqué des points, de se faire connaitre. Il crû un instant que l'entrevue s'arrêterait là, il n'était qu'un engagé parmi bien d'autres même si leur entrevue avait pris un sens qu'il n'aurait jamais pu imaginé.
C'est alors que son interlocuteur repris, lui demandant si il avait d'autre questions et si, s'il le voulait bien, il était possible de se revoir après cette bataille, l'avis du Mage l'intéressait. Wayne en fut étonné, ne s'attendant pas à être pris si vite au sérieux, il était jeune qu'il le veuille ou non et comme il se l'état déjà dit, n'était qu'un soldat parmi d'autre. Il pris un temps de réflexion, ne voulant pas paraître impulsif ou trop sûr de lui. Il répondit alors :
- Je n'ai pas d'autre demande pour l'instant, comme promis je reviendrai vivant et c'est avec honneur que j'accepte de vous revoir après cette bataille; si mon avis peut vous être utile, j'en serai honoré.
Il avait pourtant d'autre demande en stock, puisque son but était d'être connu de part le monde pour aider les peuples d'Armanda mais il était encore trop tôt, il avait des preuves à faire et le combat des terres désolés le lui permettait. Si il avait commencé à demander de l'aide dans cette objectif il aurait surement été vu comme un opportuniste impudent. Cela n'aurait pas été en sa faveur et il aurait perdu toute crédibilité. Malgré tout il avait glisser intelligemment un petit "pour l'instant" laissant ainsi transparaitre qu'il en désirait plus mais qu'il savait que ce n'était pas encore l'instant pour cela. Il attendit alors qu'Ostiz lui autorise à prendre congé... |
| | | Crissolorio Ostiz Modérateur Régent de Gloria
| Sujet: Re: Le début des péripéties Mar 14 Fév 2017 - 10:42 | |
| Edwin comprendrait sans doute dans quelques mois ce à quoi pensait Ostiz en cet instant. Après tout, le jeune mage était-il en effet un pion ? Peut-être, mais dans ce cas là pas dans le sens dégradant premier de ce terme, d'une certaine manière tout les hommes étaient des pions sur l'échiquier du destin après tout. Mais des fois un simple pion pouvait se révéler d'une grande importance si utilisé convenablement. Après tout que serait une guerre conventionnelle sans espions pour informer sur l'état de l'ennemi ou soldats pour protéger le camp où repose les forces armées ? Ces rôles par leurs apparences humbles pouvaient représenter au final une importance vitale. Car l'échec d'un seul de ces pions pouvait avoir de graves conséquences…
Et certes le jeune homme en face de lui était jeune et inexpérimenté. Mais Ostiz discernait un certain potentiel et intérêt en lui. Ce jeune Edwin voulait le bien d'Armanda ? Ostiz lui donnerait l’occasion de concourir à ce dit bien, il avait même déjà une idée en tête sur la manière de procéder.
« Tout le monde peux être utile à sa manière mon jeune ami. Même le plus humble des hommes peut avoir son importance à sa manière, une nation n'est pas faîte que de dirigeants mais aussi des citoyens qui la compensent après tout, de même pour ce beau continent qu'est Armanda. » Conclut-il ensuite avec sagesse avant d'achever calmement par une autorisation polit de prendre congé.
« Aurevoir et portez-vous bien. » Ceci dit il attendit que le jeune Edwin accepte le congé et prit ensuite quelques instants pour réfléchir aux sujets de certains sujets plus ou moins importants avant de demander à ce que quelqu'un prenne sa place pour les prochains entretiens. Car dans les faits il avait beaucoup à faire aujourd'hui, notamment avec tout les préparatifs nécessaires pour envoyer des forces armées conséquentes à l'Ouest du continent pour faire face à le menace que représentent ces chimères… Ainsi que la bonne prise en charge de la nation glorienne entre-temps et après. Après tout ce n'était pas rien d'envoyer ainsi des forces armées en nombre conséquent à l'Ouest lors que seulement deux ans séparées l'instant présent de la dernière guerre contre Vraorg le blanc qui avait été dévastatrice pour tout Armanda.
[Hrp : Je te propose qu'on conclu du coup et qu'on lance peut-être un nouveau rp si tu le désire:3 ? Encore merci :catkiss : .] |
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| Sujet: Re: Le début des péripéties Mar 14 Fév 2017 - 16:23 | |
| Le régent avait à nouveau lâché une réflexion des plus véridiques, il semblait vraiment avoir un don pour cela; l'âge et la maturité de celui-ci y participait surement. Il avait une manière de voir le monde qui plaisait beaucoup au jeune Mage, qui s'impatientait déjà, ne serais-ce que légèrement, de revoir Ostiz après cette bataille. C'est alors que ce dernier lui autorisa à prendre congé et, avant de s'en aller il répondit : - Encore merci pour tout, Sir Ostiz, portez-vous bien aussi.Laissant place au mercenaire suivant, il savait que Crissolorio en avait encore pour un moment, lui-même par contre, devait se diriger vers la place centrale de la cité pour en apprendr eplus sur sa place durant la bataille. N'étant que mercenaire il savait qu'il pourrait tout à fait se trouver en première ligne comme à l'arrière de tout. D'une manière ou d'une autre, il ferait avec, ce n'était comme si il avait le choix. Quittant ainsi la caserne, il n'eut pas de mal à trouver le lieu qu'il recherchait; puisque déjà, s'y trouvait une bonne partie des mercenaires engagé, attendant eux aussi l'annonce de leur placement. Il attendit patiemment, regardant autour de lui qu'elle genre de personne l'accompagneront pendant le combat. Il remarqua aisément les petits attroupements bruyant qui se créait parmi les guerriers libres, troupe d'homme fier et hautain avec lesquelles il aurait du mal à s’assimiler avec sérénité. Déjà des regards sombres lui était adressé, lui mage frêle qui n'avait rien à faire sur un champ de bataille selon eux. Il resta à l'écart pour s'éviter quelques ennuis qu'il se créerait surement sur la route vers les terres désolés, inutile d'en rajouter en avançant cet instant. Vint enfin l'annonce, un groupe de mage elfiques et vampiréens, auquel Wayne avait espéré un temps de rejoindre, un groupe diversifiés au milieu auquel il ne ferait pas partie et, finalement, la première ligne accompagnée d'armes alayennes tels des balistes et catapultes auquel il ferait partie, seule pure mage de l'équipe semble-t-il. Désormais les dés était jeté mais le jeu ne prendrais cours qu'une fois sur place; en attendant ils avaient libres champ jusqu'au départ dans les jours suivants. Le jeune Athaël chercha donc une auberge à moindre frais dans laquelle il pourrait séjourner en attendant, là-bas il retravaillerait ses sortilèges et son maniement du bâton; entrainement logique durant les jours précédant une guerre prévue... To be continued ... |
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| Sujet: Re: Le début des péripéties | |
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