La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Aucun niveau
Hache : Aucun niveau
Faux : Aucun niveau
Fouet : Catastrophique
Art du lancé (poignard, petite hache...) : Aucun niveau
Art de la parade (bouclier ou arme) : Aucun niveau
Arc : Faible
Arbalète : Aucun niveau
Mains nues/pugilat : Bon
Equitation : Bon
Identité
Race : Elfe
Nom :Terendul
Prénom :Enetari
Surnom(s) :Ene, ou Étoile par sa mère
Titre :à acheter si vous le souhaitez
Date de naissance :automne 1673 de l'âge d'argent
Age réel :81 ans (15 ans âge humain)
Age vampirique :/
Lieu de naissance :Royaume elfique
Lieu de vie :Royaume elfique
Rang social : Bourgeoisie
Poste/emploi :Aucun
Guilde : Aucune
Equipement et Magie
Alignement : Neutre
Arme principale :Aucune
Autres objets :Diadème elfique offert par Merithyn: Diadème d'argent orné de pierres précieuses, ressemblant à un entrelacement de lierres. Permet à son porteur de se concentrer plus facilement pour mieux user de sa magie
Totem :totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff
Style de magie principal : Elfique
Puissance magique innée : Puissant
Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.
Physique et caractère
Physique : Un frêle roseau aux yeux moqueurs mais bien plus résistant qu’il n’y parait. La ressemblance avec ses parents est clairement établie, que ce soit l’épaisse chevelure claire, presque blanche, qu’elle tient de son père, ou la douceur de ses traits ressemblant à ceux de sa mère. D’une constitution gracile, elle dégage une impression de douceur et de légèreté qu’elle tient de sa mère, bien qu’elle soit loin d’être l’un ou l’autre en dépit de sa petite taille et de sa constitution frêle. La jeune elfe possède les traits caractéristiques de ceux de sa race, oreilles pointues et beauté délicate et aérienne, alliés aux traits caractéristiques de sa famille. Son nez est fin et droit, ses lèvres fines plus souriantes et moqueuses que celles de ses frères mais du même rosé pâle et tendre, la même forme de visage et une symétrie parfaite de sa frimousse. Impossible de douter, toute féminine qu’elle soit, ses formes finement développées attestant de sa douceur de toute jeune femme, elle est bien la sœur des deux jumeaux. Ses sourcils finement arqués agrémentent le point le plus important de sa personne : ses yeux. Gris perle, ils passeraient comme tristes ou froids sans l’éclat moqueur brillant dedans en presque toute occasion. Leur brume mouvante s’éclaircit ou s’assombrit selon l’humeur de leur propriétaire, devenant presque bleue lorsqu’elle se fâche. Ils dégagent un magnétisme étonnant, modulant la douceur de ses traits pour les agrémenter d’une touche marquée de détermination et un brin d’arrogance, leur gaité quasi-constante côtoyant de façon surprenante un sérieux impressionnant et trompeur pour un si jeune visage, héritage de son père.
Ses membres longs et déliés lui permettent une grande souplesse, développée par des années d’escalade dans la forêt, de course à pied et de bagarres avec son frère et si elle semble bien plus fragile que ses pairs de par sa constitution frêle, elle a appris à compenser son manque de force physique par une vitesse de mouvement surprenante, qui se laisse apercevoir au travers de la mobilité de son visage et de ses gestes fluides et rapides. Appréciant les couleurs pâles et légères et les jolies robes, elle s’habille toutefois majoritairement de vêtements pratiques, tunique verte, pantalon marron et bottes souples, lui permettant de jouer comme bon lui semble à l’écureuil de par la mobilité et la liberté offertes, se dissimulant derrière les feuilles des arbres sans être vue.
Caractère : Charmeuse et charmante, Enetari est une jeune fille espiègle qui aime plus que tout rire et s’amuser, quitte à le faire aux dépens d’autrui ; en fait, ce dernier point rend plus intéressant encore ses taquineries. Rien de tel que d’agacer les autres pour son propre plaisir. Ses sourires illuminent une pièce depuis sa plus tendre enfance, une lueur malicieuse traversant son regard clair tandis qu’au fil des ans elle a développé une addiction surprenante aux plaisanteries les plus farfelues tout comme les classiques. Elle a gardé, en grandissant, cette habitude de voir le monde comme une gigantesque cour de récréation, le modelant à sa façon pour en faire ce qu’elle veut. Tout comme avec les gens par ailleurs. Son sourire désarçonnant et sa joie de vivre participent grandement à son pouvoir de séduction enfantin, pourtant loin d’être innocent, et elle prend un plaisir presque malsain à faire se plier en quatre, dix et même cinq-cents, ses victimes. Méchanceté ? Non, c’est, comme le reste, une simple plaisanterie, une façon d’éclairer ses journées. Mais la demoiselle au caractère changeant se lasse rapidement de ce petit jeu, passant de mensonges éhontés à une vérité désarçonnante ou un éclair de colère, ses mimiques attendrissantes disparaissant soudainement, pour finalement rire de la surprise de ses interlocuteurs. Instable, Enetari ? Si peu.
« Etoile-reine », avait-elle découvert un jour. La signification de son prénom fut une révélation et elle décida d’appliquer instantanément cette appellation. Etoile, elle l’était déjà, lumineuse et radieuse, insaisissable ; reine, il restait si peu à faire… Mais pas une reine de pacotille, humaine, avec une couronne sur la tête et soumise à son époux, tel qu’elle le comprenait des histoires qu’elle entendait parfois de ses maistres, non, pas une reine faible. Une vraie reine, dont le visage revêtait celui de la beauté de Galadrielle Evanaelle. Elle ne savait pas quelle conception, exactement lui donner, mais peu importait, elle l’était. Loin d’être mauvaise ou cruelle pour autant, il lui arrive de faire preuve d’altruisme et de gentillesse ; simple question d’humeur. Son seul critère : ne pas paraitre faible en le faisant. Trop fière pour accepter de passer comme telle, ce trait de caractère est l’une des raisons du prodigieux agacement que lui procure Aranël et son habitude de les protéger, elle et son frère, alors qu’elle s’estime tout à fait apte à se défendre ; toutefois, elle ne se prive pas de faire de même lorsque l’occasion se présente. La famille avant tout, et ses jumeaux, bien qu’elle soit moins proches d’eux qu’ils le sont l’un vis-à-vis de l’autre, tiennent une place extrêmement importante dans sa vie, sa façon de parler et d’agir. Les décevoir la marquerait profondément, principalement Nómin à qui elle voue une admiration sans borne, et davantage, étrangement, que s’il s’agissait de ses parents, malgré l’admiration et l’affection qu’elle ressent à leur égard, se révélant même possessive envers sa mère.
Sa vitalité et son dynamisme firent d’elle une jeune fille difficile à contrôler, émoussant sa patience et celle de son entourage, la laissant exploser lorsque trop de mécontentements se faisaient sentir. Une colère violente et brutale, souvent accompagnée par la volonté de punir celui qui le mérite ‒et donc le dernier en date à avoir usé ses nerfs. Et pour prévenir de cette irruption volcanique, seul un froncement du nez en guise d’informateur. Toutefois, ses piques d’énervement étaient bien que loin de celles de son aîné dont elle aimait, et aime encore, tant se moquer, riant de le voir se fâcher, s’amusant à le provoquer pour finalement se chamailler avec lui sans douceur aucune. Le combat ne lui faisait pas peur ; après tout, son père n’était-il pas un grand guerrier ? Plaisir qui tenait une place presqu’aussi importante que celui de jouer aux acrobates dans les arbres, escaladant et sautant de branche en branche comme un écureuil aux yeux pâles, aventureux et curieux.
Sa découverte de la magie et la fascination qu’elle éprouve pour elles ont toutefois quelque peu ‒en fait, à peine serait un terme plus juste, ses parents n'en ayant guère vu de changement‒ calmé les ardeurs de l’adolescente, l’obligeant à passer davantage de temps sur son étude alors qu’elle devenait plus mûre. Autrefois peinant à se contrôler bien longtemps en présence d’étranger, elle parvient dorénavant à rester immobile, souriante et polie, se pliant aux règles elfiques, pendant plusieurs heures, avant qu’un surplus d’énergie de n’accumule dans son corps mince et qu’une demi-douzaine d’idées saugrenues lui passent par la tête, créant un chaos invraisemblable dans une pièce encore calme quelques secondes plus tôt. Baies qui démangent, laxatifs, petites pointes aigues sur les chaises, ruches apportées en douceur, innovations mêlant magie et concret, toujours avec ce rictus joyeux et plein d’entrain et les yeux pétillants. Capable de rester immobile et profondément concentrée pendant le temps de l'apprentissage de la magie, elle a toutefois besoin de se dépenser après un laps de temps d'immobilisation trop long.
Toutefois, au milieu de sa bonne humeur et de l’optimisme hérité de sa mère, il y arrive encore d’avoir des brusques élans d’affections, où extrêmement câline elle fait preuve de grande douceur auprès de sa famille, bien qu'elle prenne garde à ne pas salir sa fierté en agissant ainsi.
Mes liens
Spoiler:
«L’amitié, c’est gérer les affinités. L’amour, c’est concilier les différences. »Anonyme
Artaher Terendul : Son père, elle l’aime et l’admire et trouve fascinant de tester la résistance de ses nerfs ; elle le juge parfois trop sévère, mais le décevoir la toucherait profondément.
Lisaë Terendul : sa mère, douce et affectueuse. Elle est l’une des rares pour lesquels Enetari peut culpabiliser après une plaisanterie.
Aranël Terendul: son frère aîné et son jumeau, elle l'adore et prend un plaisir particulier à l'agacer pour le voir piquer ses crises, bien que le côté protecteur de l'adolescent l'horripile.
Nómin Terendul: son deuxième jumeau, il la fascine par son intelligence et son calme; elle l'aime énormément et trouve sa présence particulièrement réconfortante, bien qu'elle ne l'avouerait pour rien au monde.
Merithyn Shadowsong: son parrain et maître d'apprentissage de la magie, elle a un grand respect pour lui et malgré ses tentatives de lui faire perdre son calme légendaire, elle l'apprécie beaucoup.
Derrière l'écran
Spoiler:
« Il y a des visages plus beaux que le masque qui les couvre. » Jean-Jacques Rousseau
Petite présentation : Cf Hyrri
Rythme rp : Cf Hyrri
Particularités rp : Cf Hyrri
Comment avez vous découvert le forum : J'étais déjà dessus.
Le code du règlement :
Un œuf, un fœtus, un espoir de vie qui grandit doucement dans le ventre de sa mère. Chaque parcelle de son corps fut créée en douceur et en harmonie avec les autres, façonnant petit à petit ce qui devenait devenir un bébé. Frêle et fragile petite créature, devant partager la demeure de chair et de sang avec deux autres futurs-enfants, l’un d’eux prenant plus de place qu’il ne l’aurait dû, l’autre peut-être pas assez. L’âme endormie d’Enetari se rebellait parfois contre ce vol de place de l’autre fœtus, mais rares étaient les coups donnés, contrairement au corps tout aussi minuscule de celui qui allait être son aîné. La petite dernière de la famille Terendul fut accueillie avec surprise dans le monde, la venue au monde de triplés parmi les elfes étant plus que rarissime, mais ce fut sans soucis qu’elle quitta l’enveloppe protectrice du ventre maternel pour un environnement froid et immense, au milieu des braillements du premier né et dans le silence du second. Deux garçons et une fille, il y avait de quoi combler les heureux parents… et épuiser la mère. Bien vite, elle apprit à reconnaître les visages qui devraient la côtoyer toute sa vie durant, aimant instinctivement ceux qui formaient à présent sa famille et appréciant particulièrement l’être doux aux cheveux longs, dont les bras réconfortant la prenait en douceur pour lui offrir à manger, le nourrisson vorace passant la plus grande partie de son temps à manger et babiller, refusant de dormir pour mieux s’amuser, le sommeil semblant le fuir à tout instant tandis que ses grands yeux tentaient de capturer l’attention alentour pour quémander sa pitance. Il semblait que tout ce qui existait trouvait un sens à ses yeux à peine éveillés, le mystère de l’âme du bébé peinant à se faire comprendre de son entourage, mais peu importait, elle attrapait tout ce qui passait à sa portée pour l'étudier, éclatant de rire pour de mystérieuses raisons connues d'elle seule, et encore. Après tout chacun voyait ce qu’il voulait dans ce qui l’entourait, et pour un très jeune enfant toute chose était belle, nouvelle et curieuse, tout était source d’innovation. Ce fut donc une petite enfance tranquille et paisible qui suivit la demoiselle, son apprentissage se faisant ni trop rapidement ni trop lentement ; en somme, un enfant normal au sourire tendre et au comportement presque paisible. C’était une utopie de songer que cela pouvait continuer ainsi.
Gazouillante et joyeuse, l'enfant grandit doucement et lentement, s'épanouissant dans la bonne humeur et ses sourires, trottinant partout et escaladant tout ce qui pouvait l'être, son corps gracile et aérien s'adaptant à cette vie d'aventure enfantine tandis qu’elle s’émerveillait devant chaque nouveau défi qui lui tendait les bras. Insouciante, elle ne craignait pas le danger et n’avait nulle conscience des risques qu’elle prenait parfois, bannissant de son langage tout ce qui pouvait de près ou de lui offrir une barrière, tentant à quelques reprises de prendre son envol, sans succès et sans que cela ne lui laisse rien d’autre qu’une série de bleus et de blessures heureusement guère sévères. Pas le moins du monde désolée d'être la seule à exposer sa joie de vivre, elle apprit à s'amuser sans se soucier des mines renfrognés des autres, donnant l’impression qu’une bulle de bonne humeur l’enveloppait régulièrement, n’éclatant que lorsque sa colère venait la piquer en traitresse et sans prévenir, la laissant bouillonnante de fureur et les yeux étincelants, étrange et mystérieux écart avec sa conduite habituelle. La solitude lui pesait parfois, ses frères ayant pris la triste habitude de l'exclure de certains de leurs secrets, de leurs habitudes, de la tendresse sans limite qui les liaient, se comportant comme des jumeaux en oubliant qu'ils étaient triplés, mais elle comprit vite que cela serait toujours ainsi et ne changerait jamais. Ils étaient liés par quelque chose qu’elle ne connaissait pas et comprendrait jamais, c’était ainsi. Ils étaient le jour et la nuit, elle n’était qu’une étoile qui traçait sa route comme elle le pouvait. Oh, ils l'aimaient aussi, mais davantage comme une petite sœur née bien des années bien tard que comme une jumelle, l’aîné principalement ayant l’habitude de l’écarter de sa vie. Ce comportement la peinait plus qu'elle ne voulait bien l'admettre et elle rêvait parfois lors de ses songes de le voir changer, en vain, mais trop fière pour s'en offusquer à vive voix, elle apprit vite à compenser sa frustration par de petites provocations vers son aîné, admirant trop Nómin, son calme et son esprit créatif pour le taquiner comme elle le faisait avec Aranël, trouvant dans les taquineries qu’elle lui destinait de quoi laisser son esprit s’ouvrir librement pour profiter des réactions excessives du jeune garçon. Toutefois, s’il était l’une de ses cibles privilégiées, il était également l’un des rares pour qui elle savait s’arrêter avant que la plaisanterie ne devienne vraiment déplaisante. Ce lien qui lui manquait parfois, ce vide, elle le combla de ses plaisanteries, son humour léger et malicieux, appréciant la compagnie tout comme se satisfaisant de l’absence de celle-ci, sa propre personne lui suffisant. Cette réaction se répercuta rapidement sur sa relation avec ses parents, la jeune fille les écartant lentement mais sûrement de sa vie, estimant que si ses frères la mettaient peu à peu de côté, ni son père ni sa mère n’étaient dignes de les remplacer. Oh, elle ne leur en voulait pas, n’était pas réellement désagréable et ses taquineries les visaient toujours autant, mais elle ne leur parlait vraiment que peu et eux ignoraient beaucoup de la jeune fille, cette dernière se dérobant d’une boutade et d’un sourire malicieux lorsque toute tentative de s’approcher de ce qu’elle appelait son intimité se faisait sentir. Les pauvres parents avaient rapidement appris que tenter d'arrêter la petite fille était peine perdue, cette dernière, étrange mélange entre son frère trop calme et celui trop nerveux, n'aimant rien tant que disparaître en cachette pour le simple plaisir de voir ses parents soupirer en constatant son absence. Plus petite que la moyenne, plus menue, seule la crinière blanche était facilement repérable pour qui la cherchait, mais il fallait encore l’attraper, la demoiselle ayant grand plaisir à faire courir ses poursuivants.
La jeunesse passe vite, et pour les elfes également. La toute petite fille mûrit en douceur, son corps s’étirant et se formant délicatement pour devenir une frêle fleur aux membres déliés et gracieux, dissimulant ses épines sous son doux minois. La plupart des elfes prirent l’habitude de ses bêtises, souriant, désabusés, lorsqu’ils se trouvaient être victimes de l’une d’elles. Et tout se passa ainsi sans soucis jusqu’à une réception à laquelle fut conviée la famille. Enetari avait alors six ans, soit une dizaine d’années pour l’être humain, et son esprit vif s’ennuyait. Elle ignorait à quelle occasion cette réception était donnée, mais s’en moquait, trop occupée à distiller des coques de noisettes dans les verres des invités et à découper soigneusement la jambe de pantalon de l’un des elfes, cherchant désespérément de quoi se distraire. Les conversations allaient à un rythme soutenu, passant d’un sujet à un autre comme un écureuil de branche en branche, et le repas avançait en douceur, entrecoupé de pauses plus ou moins marquées par les convives, lorsque la jeune fille, en fouinant dans les sacoches des invités, trouva un petit pot contenant une étrange mixture. Fasciné, elle l’observa un instant à la lumière en tentant de savoir à quoi il pouvait bien servir, secoua le récipient et louchant dessus avant de se décider à le tester sur un cobaye pris au hasard. Aurait-elle réellement put savoir qu’il s’agissait d’Omninoedo, un poison humain ? Un sourire malicieux aux lèvres, elle en versa dans l’assiette de l’un des invités, dans le hasard le plus total… invité qui se mit à vomir violemment au beau milieu de la tablée peu de temps après. Elle éclata de rire devant son œuvre, satisfaite d’elle-même et heureuse de sa bonne idée, tandis que tous s’écartaient, horreur, mépris et dégoût généraux courant parmi les invités, anéantis de voir un tel manque de correction parmi les leurs, jusqu’à ce que le mage à qui appartenait le poison se décide à comprendre enfin. L’elfe était simplement empoisonné, et il ne cessait de régurgiter depuis qu’il avait touché son assiette. Le propriétaire du poison se précipita vers sa sacoche, pinçant les lèvres en découvrant ce qui manquait. La suite n’eut pas d’incident sur la malheureuse victime, l’antidote, n’étant pas loin, fut administré à temps sans qu’aucune séquelle autre que la honte ne le poursuivre par la suite, mais les parents de la jeune étoile furent furieux. Plus le temps passait et plus ses taquineries étaient dangereuses, que ce soit consciemment ou non, les limites s’effaçaient au profit de l’amusement sans que rien ne vienne l’arrêter. Si Nómin était la source d’apaisement d’Aranël, Enetari était un oiseau libre sans rien pour l’entraver, et eux étaient incapables de gérer la catastrophique elfette. Ce fut donc tout naturellement qu’ils se tournèrent vers le parrain de la jeune fille, Merithyn Shadowsong et baptistrel dans son état, le priant de trouver de quoi calmer la jeune fille et son esprit fantasque. Aranël les épuisaient suffisamment pour qu’une deuxième catastrophe ambulante se promène librement dans la demeure familiale.
Ce fut donc sous l’égide du maitre chanteur que la jeune fille poursuivit son éducation, son principal plaisir étant de tenter de faire perdre son calme légendaire au bel elfe blond pour lequel elle éprouvait malgré tout une grande admiration et une fascination sans borne. Il tenta de lui enseigner le calme et l’écoute mais sans rien pour attirer son attention, il était difficile de parvenir à quelque chose de concluant, hormis des châtaignes dans les chaussures de l’adulte. En somme, rien de prévu, l’enfant prenant la poudre d’escampette dès qu’une occasion pour le faire se profilait à l’horizon, se moquant de l’autorité de son parrain tout elle le faisait de celle de ses parents. Cela aurait sûrement put durer encore longtemps si la jeune fille n’avait pas éprouvé une profonde attirance pour la magie. D’abord hésitante, puis décidée à dissimuler cette aspiration avant qu’elle ne se retourne contre, elle ne put la cacher bien longtemps d’autant qu’elle se mit à invoquer à tout instant la flaque boueuse dès lors qu’elle l’eut appris, ronronnant de plaisir à voir s’embourber ses cibles. Merithyn profita de cette découverte après l’avoir subi pour l’entrainer sur la voie de l’apprentissage de la magie, et ce fut avec un entrain désarçonnant que la jeune adolescente le suivit, oubliant de se déconcentrer pour étudier. Cet éducation contribua à élargir la distance entre elle et ses frères tandis que eux se rapprochaient, et l’amertume qu’elle ressentait à leur égard, cette barrière qu’ils avaient apposés devant elle pour mieux se retrouver entre eux, grandit avec, sans même qu’elle en prenne conscience. Son amour et son affection pour eux ne changea pas, pas plus que sa joie de vivre et de découvrir le monde, mais il y avait un vide en elle qu’elle comblait en aspirant tout ce qui pouvait se rapprocher de près ou de loin de la magie. Ce fut peut-être cela qui sauva sa relation avec ses parents, puisqu’à partir de cet instant elle alla régulièrement trouver son érudite pour demander aide et conseils, renforçant petit à petit un lien distendu depuis quelques années. La jeune fille en vint ainsi à découvrir cette mère qu’elle ne connaissait finalement guère, ne s’étant jamais intéressée ni à ses désirs ni à ses passions, lui reprochant parfois son côté trop maternel et envahissant. Son père, elle le considérait toujours avec distance, bien que ce rapprochement maternel la poussa à faire preuve de davantage d’attention envers lui ; ce ne fut donc bientôt pas de temps à autre qu’elle invoqua le parfum soporifique quand il était près d’elle, mais plus régulièrement, son affection ayant une étrange tendance à se traduire par un nombre accru de provocations et taquineries.
Année 1753. Cela faisait quelques temps déjà que la demoiselle avait commencé son apprentissage magique auprès de Merithyn, et plusieurs longs mois qu’elle sentait son totem l’appeler en un lancinant et vibrant besoin, qui se faisait de plus en plus fort à mesure du temps qui passait. Seul manquait le rituel pour qu’elle devienne une jeune fille indépendante, et à plusieurs reprises Merithyn l’avait encouragé à le passer. Elle était fin prête, et s’apprêtait à l’effectuer avant de s’arrêter au dernier moment, se souvenant d’une conversation avec Nómin. Ils en avaient peu, bien que leurs contacts se soient renoués depuis que le jeune homme avait demandé à sa sœur de lui enseigner la magie, et cette conversation-ci concernait Aranël. Lui refusait de passer son totem et son jumeau, par solidarité, s’y était également opposé. Elle-même ne pouvait accepter. Si eux ne le faisaient pas elle ne pouvait que les suivre dans ce choix et les soutenir. Sa frustration s’était adoucie et elle ne songeait plus à la relation qu’elle regrettait de ne pas entretenir avec ses jumeaux, le temps et l’habitude ayant lissé ses regrets. Au moins grâce à cela était-elle capable de se débrouiller seule, l’absence de l’un ou de l’autre ne la perturbant pas comme c’était probablement le cas pour eux. Mais il était temps de retisser leurs liens trop lâches. Son rapprochement avec le deuxième né avait déjà commencé, celui avec le premier se ferait en douceur, du moins autant qu’elle le pourrait en évitant ses provocations. Mais elle était optimiste, comme toujours. Aussi se fâcha-t-elle lorsque sa mère l’incita à le faire, demeurant inébranlable dans ses convictions. Elle avait dit non, c’était non. Ils passeraient leurs rituels tous ensembles. Le monde connaissait de nombreux changements, et unis ils trouveraient de quoi l’affronter… avec accord parental ou non.
Dernière édition par Lorenz Wintel le Mar 28 Avr 2015 - 18:37, édité 1 fois
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Sujet: Re: Enetari TERENDUL Dim 20 Avr 2014 - 20:17
Bracelets de silence Bracelets de cheville argentés. Rendent vos pas agiles et silencieux.
Anneau d'enchevêtrement Un bracelet fait d'une bande de cuivre gravé et portant une gemme de moindre valeur. Fait apparaître des lianes semblables au sort enchevêtrement qui bloquent la cible.
Canif des ombres Un canif d'une douzaine de cm, avec une lame qui ne s’effile pas avec le temps, le manche est en chêne. Coupe quasiment toutes les cordes, hormis celles des elfes.
Bracelets bouclier eux bracelets en cuir couvrant tout l'avant bras, divers motifs pouvant y être gravés, chaque couple de bracelet comprenant un dessin unique. Ces bracelets permettent de former un bouclier protecteur, contre les coups physiques ou magiques (sorts de niveau inférieur à mage correct), et qui se déploie en croisant les deux bracelets devant soi. Ce bouclier ne peut toutefois se déployer qu'une fois par jour.
Orbe de lumière (offerte par Eliowir) Une sphère couleur de crème ou d'argent et semblant emplit de lumière, tournois autour du porteur. Permet le contrôle de la luminosité, illuminant les alentours, chassant les ombres et créant des haubans venant aveugler et entraver la cible.
Armure du chat (personnalisation et alliage award 2015) Armure de voleur, très souple, elle est enchantée pour donner une agilité de félin à son porteur ( + 2 à la caractéristique ). Unique, c'est une armure en cuir teinte en noir, gravée en relief. Sur le devant, au niveau du diaphragme, une étoile styliséeest représentée, incrustée d'une gemme noire. Les bras et les jambes sont gravées d'arabesques qui remontent respectivement jusqu'aux épaules et à mi-cuisses, tandis qu'au dos deux dessins de griffes de dragon se remarquent sur les omoplates Reforgé par l'alliage tisse-acier: Étoffe produite par traitement d'une fibre naturelle, comme la laine ou la soie, et combinée au traitement de l'argent pour rendre le tissu aussi résistant qu'une armure de guerrier. On ne peut pas teindre cette matière, mais on peut en revanche la styliser. + Résistance comparable à l'acier + Durabilité augmentée
Pestegriffes (cadeau de mon maître :3) Arme de pugilat. Gants de cuir équipés de griffes d'ébène lustré, plus longues que la moyenne et en demies lunes gravées à l'argent. Les plaies provoquées par cette arme s'infectent immédiatement. Reforgée avec de la ciselure à l'iridium : apposition de ciselures d'iridium sur une arme, faite obligatoirement d'un métal ou alliage non magique. Cette arme gagne en résistance aux chocs et vibrations, et est plus résistante à la magie, de sorte que l'arme puisse en partie supporter les sorts qui l'agressent. Extrêmement rare en raison du métal utilisé. Très cher donc. + Résistance aux chocs et vibrations augmentée + Résistance à la magie augmentée
Torque (offert par Dawan) collier épais en alliage d'argent et d'or qui peut se transformer en fine cordelette, si l'on passe son doigt tout le long de celui-ci.
Cape des Ombres (award 2015) Belle cape en soie raffinée de couleur noire, de longue taille se terminant en très légère traine, et possédant une capuche souple, fermée sur le devant par une fibule d'or en forme de mains. Cette cape permet à son porteur, en s'y emmitouflant complètement, de se fondre dans les ombres s'il y en a. Enchantement : +1 en furtivité jusqu'à bon max – Draconique
Diadème elfique(offert par Merithyn) Diadème d'argent orné de pierres précieuses, ressemblant à un entrelacement de lierres. Permet à son porteur de se concentrer plus facilement pour mieux user de sa magie
Destrier Elfique Chevaux ayant souvent une robe claire. Ils sont très intelligents et obéissent à la voix à condition d'avoir confiance en leur cavalier. Extrêmement rapides et agiles, leur course ressemble à une danse du vent. Efficaces au combat, mais ils sont très chers.
2 Fleurs des larmes
Corbeau blanc (à obtenir en rp) Une petite figurine taillée dans le bois d'un chêne blanc en forme de corbeau. Contre un peu de l'énergie de l'utilisateur le corbeau s'anime et grossit jusqu'à la taille naturelle de l'oiseau. Peut servir pour porter des messages.
Cape elfique(cadeau de maman ♥ ) Belle cape en laine chaude et soyeuse, de longue taille se terminant en très légère traine, et possédant une capuche souple, de couleur noire moirée de reflets bleutés, fermée sur le devant par une fibule d'argent en forme de feuille. Cette cape protège parfaitement des intempéries, quelles qu'elles soient, tout en restant d'une légèreté remarquable
Gants d'inspicio(deuxième cadeau de maman ♥ ) Des gants, masculins ou féminins, fait de cuir ou de tissu et qui sont enchantés pour disposer du sort d'inspicio sans avoir besoin de le lancer.
Anneau de déraisonCadeau d'Esme Un anneau simple en argent avec en son centre de la poussière de fluorite, passer à un doigt, elle provoque un léger trouble de la raison, laissant son porteur dans le doute, le désarroi et l'illogisme. Il peut toutefois le retirer s'il s'en apercoit. Plus la force mentale est importante et moins cela aura d'impact. A offrir par ruse ou mettre de force à la victime. Enchantement : trouble-pensées – maléfique.
Anneau orné de CorailCadeau de Luna, à obtenir en rp Très bel anneau fait de palladium et orné d'un morceau de Corail gravé selon les souhait du propriétaire. Il porte une unique rune, sur la bande de métal. La magie qu'il contient permet, une fois par jour, de rendre au porteur de l'énergie et de soigner des blessures perforantes non mortelles en fonction de son niveau d'intelligence. Plus l'intelligence est haute, plus l'effet est efficace.
Dernière édition par Enetari Terendul le Sam 30 Jan 2016 - 19:11, édité 13 fois
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Sujet: Re: Enetari TERENDUL Dim 20 Avr 2014 - 20:25
Aïasil Sa liée, sa toute nouvelle amie, et même plus : la dragonne a beau être encore toute jeune, déjà le lien entre elles est très fort.
Famille
Aranël Terendul Son frère, aîné des triplets. Elle l'aime beaucoup mais n'est pas très proche de lui, ils ont des caractères très différents.
Désormais lui dans l'armée elle comme valette, elle ne le voit que très peu.
Nomin Terendul Son autre frère; elle éprouve beaucoup d'admiration pour lui et son intelligence hors-norme et bien qu'elle soit moins proche de lui que ne le sont les deux garcons, elle entretient plus de contact avec lui qu'avec Aranël.
Après l'arrivée de Vraorg au pouvoir, il est devenu son confident, son ami et... bah son frère, mais il l'était déjà.
Artaher Terendul Son père, elle adore l'embêter et lui briser son sérieux jusqu'à ce qu'il perde patience, cela ne l'empeche pas malgré tout de l'aimer profondément et d'avoir un grand respect pour lui.
Plus vu, plus connu.
Lisaë Terendul La douce et belle elfe se trouve être sa mère, Ene l'adore bien qu'elle la trouve un peu trop maternelle, leurs contacts sont, bien que peu nombreux, très bons.
La pauvre se trouve seule avec Artaher, sans ses enfants, Enetari espère qu'elle va bien malgré tout.
Amour
Luna Duruisseau La petite humaine a su capturé un morceau du coeur d'Enetari. Compagne de jeux, interdits ou non, elle est vive et pétillante. Enetari l'aime comme une amie, une amante et une confidente... Ce qu'elle est, finalement. Sa famille n'est pas au courant, et sans doute vaut-il mieux éviter qu'elle ne le soit.
En trois ans, si Ene n'a pas oublié la jeune fille, elle n'éprouve plus rien d'autre à son égard qu'une affection sincère que pourrait ressentir une amie proche. Elle espère toutefois la revoir un jour.
Neutres bons
Kedrilan Maralawë Sa "carotte", le premier vampire qu'elle rencontre. Contre toute attente il s'est révélé plutôt gentil, mais elle a encore besoin de le dresser un peu.
Dawan Sywel Minuscule petit elfe teeeeellement drôle à embêter ! Mais il est devenu baptistrel, ce n'est pas fou, ça ?
Esmelda Kohan Princesse humaine, si Ene en fut la demoiselle de compagnie quelques temps, elle le trouve bien trop gentille.
Aëgnor Evanealle Un adulte ami de son père, avec une drôle de manie de parler tout haut et de râler après. Il a quand même été utile puisqu'il lui a révélé quel serait son totem.
Il est devenu empereur des elfes et a épousé une greluche blonde. Le pauvre, il est tombé bien bas...
Kälyna Vallaël Dame Papillon, de ses atouts parée, est bien plus douce que ne le laisse penser la rumeur. Et bien intriguante, également.
Eliwir Meraennon Un elfe étrange qu'elle a rencontré par hasard, pour elle, il est juste Eli. Elle l'aime bien, il est l'un des rares adultes ne se prenant pas trop au sérieux et a le sens de l'humour.. et de la répartie.
Trissi Première dragonne rencontrée, et drôle avec ça ! Mais la pauvre, liée à la vamparotte...
Neutres mauvais
Matis Falkire Un soldat humain qui se prend beaucoup trop au sérieux. Pas qu'Ene ne l'aime pas, mais il est bien trop rabat-joie pour qu'elle l'apprécie.
Orfraie Ataliel Une elfe qui devient vampire, étrange non ? Mais c'est surtout celle qui a séduit Luna pendant l'absence d'Ene. Et pourtant, celle-ci, bien qu'elle ne puisse pas la voir sans une certaine envie de meurtre, ne peut pas s'empêcher de l'admirer. Après tout, elle n'en reste pas moins une femme séduisante et forte.
Dernière édition par Enetari Terendul le Dim 5 Juin 2016 - 19:54, édité 10 fois
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Sujet: Re: Enetari TERENDUL Dim 20 Avr 2014 - 20:27
Petit résumé de quelques lignes: En plein apprentissage du bâton, Ene se fait interrompre par une chose rousse aux longues dents. Voilà que commence un drôle de rendez-vous entre eux...
Commentaire: "Premier vampire rencontré, il était plutôt marrant!"
Petit résumé de quelques lignes: Venu chercher le calme et des réponses au jardin des souvenirs, Aegnor découvre la présence inopportune d'une jeune elfe, Enetari, qui semble en avoir entendu plus qu'elle ne l'aurait dû. En échange de sa promesse de ne rien dire, il lui offre un bien étrange présent.
Petit résumé de quelques lignes: Quand un empereur joue à l'enfant boudeur près de la rivière, qu'il ne s'étonne pas s'il attire l'attention d'une curieuse petite Terendul. Un retour au temps de la jeunesse, des farces et du plaisir simple d'une petite course dans la rivière.
Commentaire: "Eli me doit un napperon. Je ne l'oublierai pas."
Petit résumé de quelques lignes: Alors même que le couple s'apprête à se reposer enfin seul, Artaher déboîte malencontreusement l'épaule de son épouse tandis que celle-ci se met à étinceler sans le vouloir. Il va alors chercher de quoi la soigner mais, même avec l'aide de sa fille, guérir Lisae s'avérera un peu plus compliqué que prévu...
Commentaire: "Ca y est, c'est la fin du monde, on va tous mourir."
Petit résumé de quelques lignes: Alors que l'heure de s'en aller approche, Nomin et Enetari se retrouve pour une dernière escapade en tête à tête, afin de dire un dernier adieu à leur forêt et créer de nouveaux souvenirs. Leurs derniers de ces lieux tant aimés.
Petit résumé de quelques lignes: Pas moyen d'avoir la paix pour trouver un endroit où admirer l'eau du lac! Même dans ce petit recoin, si joli, il y a quelqu'un. Un autre, encombrant avec sa vièle. En même temps, Enetari trouve cette dernière plutôt intéressante. Et même Dawan, qui aime tant les baignades, peut être utile! En offrant des cadeaux, par exemple. Il suffit juste de ne pas se tromper de personne à récompenser...
Commentaire: "Quoi qu'en dises mon père, il peut être utile, cet elfe de compagnie."
Petit résumé de quelques lignes: "Oh, il est beau ce bâton! A qui est-il? Qui, toi? Mais t'es qui, toi? Un roi? D'accord, alors je suis princesse! La princesse des elfes, nah! Ah, mais quel idiot celui-ci, et il me croit en plus... Très bien, puisque tu veux jouer, jouons! Mais non, on oublie la belle robe de mariage!"
Commentaire: "Personne ne me passera la bague au doigt. Personne!"
Petit résumé de quelques lignes:Petit elfe innocent, m'apprendras-tu la magie? Qu'y peut-elle, la jeune Enetari, si cette demande causera tant de chagrin à un vieil elfe au coeur brisé?
Petit résumé de quelques lignes:Robes, baisers, amusements et frustrations... Ce qui se passe dans les appartements de Luna reste dans les appartements de Luna!
Commentaire: "La petite citrouille m’intéresse, son humain de compagnie, un peu moins."
Petit résumé de quelques lignes:Le maître des esclaves qui s'est échappé récemment des cellules d'Aigue Royale décide après s'être un peu éloigné de la cité rebelle de partir à la recherche d'un repas pour finalement tomber sur une elfe problématique...
Petit résumé de quelques lignes: Retrouvailles d'une petite citrouille, revenue de ses aventures, et de son soleil qui l'attendait. Et elles n'ont aucune envie d'être dérangées lors de cet échange de tendresse... et au milieu des cours de langue ! Après tout, l'elfique nécessite un professeur particulier...
Petit résumé de quelques lignes: Parfois, même deux races ennemies peuvent se trouver des points communs, pour discuter tranquillement... au détriment d'un troisième bougre.
Commentaire: "Si Père apprend ca... Il va en avoir une attaque. Il faut que je lui raconte."
Petit résumé de quelques lignes: Si Enetari ne s'ennuie pas, elle n'en a pas renoncé pour autant à rendre visite à son frère dans le calme et la tranquillité de ses ateliers. Et si lui a quelques nouveautés à lui présenter, elle-même a une surprise à lui faire découvrir...
Commentaire: "Coriya, ma fidèle amie, te voilà découverte ♥"
Petit résumé de quelques lignes: Sous pretexte qu'Esmelda souhaite une entrevue avec Firion, Enetari en profite pour chercher à en savoir davantage sur ce dernier. Qui ne sera pas en reste pour chercher à enrôler la jeune fille dans ses complots...
Petit résumé de quelques lignes: Lorsque Norwen débarque chez Enetari, celle-ci la suit sans hésiter... vers un nouveau destin qu'elle ne tarde pas à apprendre à connaitre. Maitre et apprentie, un nouveau chemin qu'elles emprunteront ensemble.
Commentaire: "Une nouvelle vocation, et fini de faire le service !"
Mêlant amour et amitié, les deux jeunes filles cachent leur relation au reste du monde, Luna étant considérée par l'elfette comme un tendre amusement qu'elle affectionne de par sa vivacité et son intelligence. Amantes, elles sont séparées lors de la prise de pouvoir de Vraorg. Néanmoins elles gardent de l'affection l'une pour l'autre, davantage comme amies qu'autre chose et, par leurs anneaux, savent qu'elles pourront un jour se revoir. Pour recommencer leurs bêtises et animer un peu le monde. Après tout, la petite citrouille d'amour appartient désormais à Enetari qui ne compte la perdre de sitôt.
Luna ♥ a écrit:
Lunetari, lien d'amour sans fin(objet personnalisé) Il s’agit de deux bagues identiques faites d’or blanc. Chacune d’elles est sertie d’un morceau de corail emprisonné dans une bille de verre et d’ambre blanc ayant la forme d’une paire d’ailes déployées. Élégantes, scintillantes et finement travaillées, elles peuvent s’insérer l’une dans l’autre. À l’intérieur de l’anneau se trouve, délicatement gravée, l’inscription suivante : « ♥ Lunetari ♥ ». Offerte à Enetari par Luna, les porteurs de chaque bague savent précisément où se trouve l’autre à chaque instant.
Luna ♥ a écrit:
"Capsule fermée, je t'aime" Une capsule de couleur changeante et de forme arrondie, pendant au bout d'une chaîne. Peut contenir un message que l'on dicte ou que l'on écrit. La capsule est enchantée pour ne s'ouvrir que sous la main de son destinataire, déroulant ainsi le message sous formes d'écriture magique bleutée. [Elle contient le message dicté par Luna « Je t'aime Enetari » en elfique.]
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Sujet: Re: Enetari TERENDUL Mar 14 Juil 2015 - 22:41
Coriya n’est pas à proprement parler immortelle, car elle ne connait pas la mort comme les bipèdes et la plupart des créatures peuvent l’appréhender. En réalité, Coriya n’est pas faite d’une vie, même immortelle, mais d’une renaissance. Une renaissance permanente. Cette jument étrange grandis donc, puis meure, pour renaître tous les deux mois et recommencer un cycle complet depuis l’état de poulain. Si elle venait à être tuée, son cycle serait simplement décalé et elle reviendrait à la vie pour exister à nouveau. Reflet de la nature persistante, elle peut également offrir son cycle de vie pour son maître ou sa maîtresse, ou sur la demande de celui ou celle-ci.
Histoire
Coriya est une créature représentant la liberté de la vie persistante, celle qui ne peut jamais disparaître par les artifices du monde. Pourtant, elle ne peut se développer, et quitter l’état de poulain, que lorsqu’elle se trouve quelqu’un pour l’apprécier et à apprécier. Lorsqu’elle se découvre un élu, elle entame ses cycles sans s’arrêter et ce jusqu’à ce que son élu disparaisse de façon naturelle. Naturelle uniquement car elle fera toujours en sorte de se sacrifier à son profit. De fait, elle ne peut donc être liée à un vampire. D’où vient-elle ? Bonne question, on ne le sait pas vraiment, elle n’apparait que peu dans les histoires des mortels.
Physique
Etrange quadrupède de la famille du cheval, son pelage est blanc et zébré de lignes noires qui lui donnent un air singulier. Elle a de grands yeux noirs intelligents et est de taille moyenne, avec un physique endurant. Petit détail intéressant, il est dit que ses zébrures changent à chaque renaissance.
Caractère
Créature de bonne composition qui aime s’amuser et qui apprécie de ne pas être laissée dans un box, Coriya est en général plutôt enjouée et insouciante, ne semblant pas s’en faire quant aux possibles dangers qui la guettent. Et pour cause. En revanche, elle sera très attentive à son cavalier et pleine d’attentions à son égard.
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Sujet: Re: Enetari TERENDUL Dim 5 Juin 2016 - 19:31