|
| Auteur | Message |
---|
Luna Duruisseau Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
| Sujet: Les elfes Ven 27 Mai 2016 - 15:24 | |
| Les elfes sont des créatures magnifiques, d'une beauté et d'une grâce rares et envoutantes, souvent enviées par les autres peuples. Les elfes sont empreints de magie et sont réputés pour être sages, posés, réfléchis. Un peu trop peut-être, pouvant les faire passer parfois pour des inactifs ou des indécis. Vous trouverez ici tout ce qu'il faut savoir sur eux, de leur histoire, à leurs mœurs, en passant par leurs magie et caractéristiques. La race elfique est un bon choix pour une personne souhaitant un personnage puissant et sage, de préférence bénéfique, bien qu'il soit possible d'en faire un être maléfique. Attention toutefois au fait que la magie s'éteigne, le pouvoir elfique était en déclin jusqu'à ce que les dragons reviennent... Si la magie disparait, ce peuple dépérit et risque l'extinction. Pour tout savoir sur les elfes : 1) L'histoire des elfes3) Langage, caractéristiques et compétences des elfes2) Territoire, patriotisme, société, famille, protocole et coutumes4) Politique, international et organisation
Dernière édition par Luna Duruisseau le Ven 27 Mai 2016 - 15:48, édité 4 fois |
| | | Luna Duruisseau Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
| Sujet: Re: Les elfes Ven 27 Mai 2016 - 15:25 | |
| Retour au sommaireLes elfes sont un peuple très ancien. Ils sont les protecteurs de la nature et ont toujours vécu en harmonie avec elle, la protégeant même au besoin. Ils sont de puissants magiciens et de bons guerriers, de plus ils ont cette sagesse que procure une vie longue et harmonieuse passée dans la méditation. Un peuple en exil, fuyant une malédiction...
Les elfes peuvent prétendre être les premiers bipèdes arrivés sur Armanda. Dans leurs immenses bateaux aux voiles blanches, ils débarquèrent au début de l'âge de Bronze à l'extrémité sud-ouest du continent, apeurés, affamés, perdus... et furent accueillis par les nobles dragons eux-mêmes. Si les premières rencontres furent déroutantes de part et d'autre et créèrent quelques mouvements de panique parmi les elfes, très vite une relation de vive curiosité, de réel intérêt puis de respect mutuel s'instaura.
Leonefir Evanealle, dirigeant de peuple elfique, conta alors leur histoire. Honorable et très ancien peuple, la communauté elfique était constituée de plus d'un milliard d'elfes résidant tous en bonne entente sur le continent Sylvaniel. Ils y vivaient en harmonie avec la nature, en honorant les esprits et en faisant de l'équilibre de l'univers leur credo. Jusqu'à... Jusqu'à ce qu'une terrible malédiction ne les frappe.
Une malédiction nommée vampire. Oui, vampires : vampires qui étaient en réalité leur propre création même si involontaire, vampires dont le premier était en fait un elfe maudit, nommé Enalfir, maudit par les esprits eux-mêmes en répression de ses actes effroyables, vampires enfin qui les ont forcé à fuir et quitter leur si bel Sylvaniel. En effet, quand Enalfir se releva de la mort, il s'empressa de contaminer d'autres membres de sa famille, formant ainsi les premiers vampires du monde, puis vint le tour d'autres elfes, et d'autres, et d'autres encore.... Une guerre sans fin s'ensuivit entre elfes et vampires, les uns chassant le jour ceux qui les tuaient la nuit...
Se sentant totalement démunis, dépassés, face à cette horde de vampires toujours plus nombreuses, et se sentant également délaissés, abandonnés par les esprits qu'ils avaient dans le même temps presque reniés, les elfes virent leur peuple se faire décimer. Le seul salut résidait dans la fuite. Le voyage par bateaux dura bien longtemps, les elfes menaçant de perdre espoir, jusqu'à ce qu'Armanda ne leur tende les bras.
Touchés par cette histoire, les dragons acceptèrent d'accueillir les elfes en leurs terres et les guidèrent vers les vieux bois, où le beau peuple s'installa et prospéra. Mais jamais les elfes ne purent oublier...
...pour mieux la retrouver...
Si les elfes avaient fui la malédiction qui les avait frappés sur Sylvaniel, elle sembla toutefois vouloir les suivre jusque dans leur exil ! En effet, sournoisement cachés dans les cales de l'un des bateaux, deux êtres avaient su s'infiltrer. Deux êtres... Deux vampires... Voyage éprouvant alors que fut le leur, confinés dans l'ombre des bateaux, assoiffés, frôlant la folie, mais tenant bon grâce à une étonnante volonté de survivre à leurs frères restés en arrière condamnés.
Eux aussi assistèrent à l'accueil des dragons, eux aussi purent s'émerveiller du nouveau continent qui leur promettait une nouvelle renaissance. Eux aussi s'y installèrent... et prospérèrent. Ils devinrent rapidement trois, puis quatre, puis dix, cent... La race des vampires prenant alors peu à peu son essor. Bien vite alors les guerres entre les deux races reprirent, et la paix tant prisée par les elfes ne fut que doux rêve éphémère.
Même l'arrivée du peuple des Hommes ne parvint pas totalement à apaiser les braises ardentes de cette guerre ancestrale. Il fallut attendre plusieurs centaines d'années, après tant de conflits et de guerre acharnés, d'alliances inégales avec les Hommes, pour qu'enfin les vampires se voient refoulés, chassés, repoussés dans les terres inhospitalières de l'extrême est. Un ersatz de paix naquit alors vers l'âge d'argent. Elle aurait pu continuer ainsi, les elfes en avaient tant prié les esprits...
Mais c'était sans compter deux événements majeurs qui menaça de nouveau le beau peuple : le départ des dragons d'une part, qui menaça la magie d'Armanda et menaça plus particulièrement les elfes d'un nouveau déclin, eux dont la magie est si primordiale et si vitale ; et la renaissance du peuple vampire d'autre part, sous la bannière d'un chef unique au nom de Lorenz Wintel. Les elfes allaient-ils de nouveau fuir ? Ou feraient-ils face cette fois à leur destin ?
… et vivre un nouvel exil …
La magie dépérissant et le peuple vampirique renaissant, le peuple elfique entra dans un âge de décadence. Avec l’aide des Baptistrels, ils se replièrent sur eux-mêmes, créant une puissante barrière magique, une lisière qui les coupa du reste du monde. À l’extérieur de leurs frontières, la guerre reprit, les vampires sortant des galeries dans lesquelles ils avaient été repoussés plusieurs années auparavant. Les Humains durent faire face seuls à cette menace.
C'est alors qu'un nouvel ennemi fit son apparition, plus terrible que les vampires. Des humains, venus d'un autre continent, se faisant appeler les Alayiens débarquèrent sur les côtes Armandéennes. Ces derniers vénéraient un esprit nommé Néant qui prônait la destruction pure et simple de la magie, son annihilation ainsi que de toutes créatures y étant liées. Mais face à cette menace les elfes restèrent une fois de plus inactifs, les Alayiens écrasant l'empire humain ainsi que les vampires. Ce n'est que lorsque la situation devint gravissime que le peuple sylvestre commença à intervenir.
Mais cette intervention était bien tardive, l'empire humain à moitié conquis par les Alayiens, les vampires en déroute, ils représentaient aux yeux de ce nouvel ennemi la dernière menace capable de les entraver. Et pourtant cette menace restait terrée derrière ses protections. Il fallut l'intervention directe de Néant pour abattre les lesdites protections pour que le territoire des elfes soit directement attaqué. Fort heureusement l'attaque Alayienne fut repoussée, mais cette réussite n'était pas due aux forces elfiques. Néant avait été défait dans le plan astral et les armes Alayiennes perdirent leur pouvoir conduisant ces fanatiques à la déroute.
À la suite de cet assaut, les elfes se décidèrent à apporter leur soutien aux humains et aux vampires au sein d'une coalition contre l'envahisseur Alayien. Et c'est au cours de cette coalition que Néant fut directement blessée. Le Baptistrel Elfique Merithyn Shadowsong et le prince vampire Lorenz Wintel allièrent leurs forces afin de détruire l'artefact de Néant : Dévoreuse. Ce blasphème entraîna Néant à faire surgir de terre trois sanctuaires, ces derniers se trouvant au sein de la forêt elfique à l'extrême Ouest. De ces sanctuaires jaillirent alors une brume qui se mit à détruire la trame magique, envahissant le royaume elfique jusqu'à le rendre inhabitable. Forçant dès lors les elfes à quitter leur forêt pour se réfugier au sein d'Aigue-Royale, une ville souterraine humaine symbole de la rébellion contre les Alayiens.
... Sans pour autant perdre espoir...
Chassés de leur forêt par Néant, les elfes trouvèrent refuge au sein d’Aigue-Royale où ils ne pouvaient plus ignorer la menace. Mais les elfes devaient malheureusement faire face à un problème politique interne entre l’empereur Eliwyr Meraennon et le prince Aegnor Evanealle. Affaiblis par la perte de leur foyer, divisés par une crise interne, les elfes n’étaient pas au bout de leurs peines. Maintenant que leurs protections magiques n’étaient plus là, la guerre allait les frapper de plein fouet. Et c’est ce qui se passa lors de la bataille de l’Aube Rouge durant laquelle les Alayiens prirent d’assaut Aigue-Royale. Un combat qui fut remporté par la coalition elfico-humano-vampirique, mais qui les meurtrit. Cette bataille permit néanmoins d’entrainer la déroute totale des Alayiens. Cependant, si cet ennemi fut repoussé, un mal plus grand encore se cachait dans les tréfonds d’Armanda.
Ce mal se nommait Vraorg. Un dragon albinos ayant volé le cœur de Néant, l'esprit du néant devenant alors une simple coquille frappée de folie et dotée de grands pouvoirs. Et s'étant, par ce larcin, doté des mêmes pouvoirs qu'un esprit avant que les frères de Néant ne parviennent à l'enfermer dans un cachot au fond de la terre. Lorsque Vraorg fut libéré, il frappa durement Armanda et tous les êtres s'y trouvant avant que les Sept Esprits ne se décident à intervenir et le combattre. C'est sur fond de ce combat entre Vraorg et les Esprits que se furent fondées deux nouvelles nations. Le protectorat, héritier de la rébellion d'Aigue-Royale et coalition des races contre un ennemi commun, d'un côté. Et la théocratie, empire construit sous la domination de Vraorg, de l'autre.
Tous ceux qui parvinrent à échapper à Vraorg rejoignirent le protectorat. Certains malheureux ne parvinrent pas en revanche à s'enfuir assez vite. Et certains fous décidèrent de le servir. La majorité des elfes suivirent leur nouvel empereur qui décida de rejoindre le protectorat. Le peuple elfique trouva alors refuge au sein du désert d'Esfelia où ils durent cohabiter avec les humains, les vampires et même les Alayiens. Ces années transformèrent ce peuple qui était resté cloîtrer sur lui-même pendant si longtemps. L'esprit de Sandur, l'esprit de la cohabitation pacifique avec les autres races qui, bien des années plus tard, influencera encore les elfes.
L’ère sombre instaurée avec la libération de Vraorg provoqua de véritables saignées au sein de chaque race. Cette ère prit fin avec la défaite du dragon blanc lors de l’assaut final contre Sandur où il trouva la mort. Après cette victoire, les Armandéens décidèrent de conclure un traité de paix afin que les horreurs connues ces dernières années ne se répètent pas. Les elfes signèrent le traité et se virent attribuer un nouveau territoire : les montagnes du Nord-Est d’Armanda devenant les cimes elfiques. Il leur fut en effet impossible de retourner dans leur ancienne forêt, les ravages de Néant ayant causé des dégâts bien trop importants à la trame et un mal semblent s’y être installés, rendant le lieu totalement inhospitalier.
Les elfes sortirent de cette guerre encore plus affaiblie qu’avant. Elle fit de nombreux morts au sein de leur race et leur faible taux de natalité ne leur permettra pas de se soigner de cette blessure avant des siècles. De plus, leur royaume fut une fois de plus perdu et les obligèrent à en construire un autre. Mais le peuple sylvestre ne perdit pas espoir pour autant. Ils bâtirent une cité qu’ils nommèrent Estëllin – l’espoir secret- une ville qui marqua la fin de leur âge de décadence et le début d’une nouvelle ascension.
|
| | | Luna Duruisseau Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
| Sujet: Re: Les elfes Ven 27 Mai 2016 - 15:25 | |
| Retour au sommaireLangage, Caractéristiques et Compétences des Elfes Langage Si les elfes maitrisent parfaitement le langage commun, langage imposé par le monde des Hommes, et ce dans ses accents les plus nobles et les plus chantants, il n'en reste pas moins que les elfes possèdent leur propre langue. La langue elfique, issue de leur ancien monde Sylvaniel, qui a connu quelques évolutions depuis l'arrivée du beau peuple en Armanda, mais très peu. Il n'existe pas vraiment de variantes. Eventuellement quelques mots presque perdus, usités par quelques vieux elfes particulièrement âgés, ou quelques variantes de tournures de phrase. Mais rien qui ne compromette la compréhension générale. De l'usage de la langue elfique dans vos RPs Vous pourriez avoir envie d'utiliser ce langage elfique dans vos RPs, ce que nous comprenons tout à fait. Nous tenons toutefois à soumettre quelques petites règles pour permettre à tous de comprendre un minima le langage utilisé. - Nous sommes parfaitement conscients qu'il n'existe à l'heure actuelle aucun site ou logiciel traducteur français/elfique (si vous en connaissez un qui ne traduit pas uniquement des pseudos, cela nous intéresse !). Ceci est très certainement dû au fait qu'il s'agit avant tout d'un langage imaginaire qui, même s'il a parfois été travaillé à l'extrême (par l'emblématique Tolkien notamment), reste incomplet et donc difficilement utilisable.
- Nous vous demandons tout de même de ne pas vous laisser aller à de l'invention pure et simple, mais d'utiliser au maximum toutes les ressources connues et données ici, afin que vos phrases ne soient pas juste un grand n'importe quoi. Nous ne vous demandons pas d'étudier le langage elfique, mais nous vous fournissons un lexique et quelques règles simples à appliquer pour créer des phrases qui seront sinon correctes, du moins compréhensibles.
- Bien entendu, nous fermerons les yeux sur toute faute de syntaxe, conjugaison et tournures de phrases, pour la simple et bonne raison que nous n'en avons de toute façon pas le choix et qu'il s'agit ici de ne l'utiliser qu'en RP.
- Merci aussi de bien vouloir donner la traduction de vos phrases sous chaque dialogue de façon aussi claire que possible, afin que vos partenaires ne soient pas obligés de se transformer en linguiste pour vous comprendre.
- Pour finir veuillez limiter le langage Elfique uniquement à quelques rares dialogues et non pas à vos RPs complets et de façon systématique. Le langage Elfique peut certes enjoliver vos RPs mais c'est comme tout, il ne faut pas en abuser ! Nous vous rappelons qu'il vous est aussi possible d'écrire en bon français et de signaler par un code couleur à votre partenaire que votre personnage parle en elfique.
- Citation :
- IMPORTANT
Parce qu'il existe de nombreux langages Elfiques différents tirés de pas mal d'œuvres, parfois diamétralement opposées, et parce qu'il a fallu faire un choix, nous vous informons que la quasi majorité des expressions et mots que vous trouverez ici sont tirés de la langue dite "Sindarin" (Seigneur des Anneaux). Nous vous demandons de respecter ce choix au maximum dans vos RPs ! Au prochain paragraphe, vous trouverez quelques expressions connues, puis un lexique aussi complet que possible, suivi d'un lien vers un site vous expliquant les règles de base de ce langage.
Quelques expressions connues en elfique - Elen síla lúmenn' omentielmo.
(Une étoile brille sur l'heure de notre rencontre.)
- Arwen vanimalda, namárie !
(Ô belle Arwen, adieu !)
- Ai ! laurie lantar lasi súrinen, yéni únótime ve aldaron rámar ! Yéni avánier ve linte yuldar lisse-miruvóreva mí oromardi Andúne pella Vardo nu luini tellumar, yassen tintilar i eleni ómaryo lírinen airetario. Sí man i yulma nin enquantuva ? An sí Varda, Tintalle, Elentári ortane máryat Oiolosseo ve fanyar , ar lumbule unduláve ilye tier ; ar sindanóriello mornie caita i falmalinnar imbe met ar hísie untúpa Calaciryo míri oiale. Sí vanwa ná, Rómello vanwa, Valimar. Namárie ! Nai hiruvalye Valimar. Nai elye hiruva. Namárie !
" Farewell, Altariel's lament un Lórien " (" L'adieu, complainte d'Altariel dans la Lórien " " Ah ! comme l'or tombent les feuilles dans le vent, de longues années innombrables comme les ailes des arbres ! Les longues années ont passé pareilles à de rapides gorgées d'hydromel sucré dans les hautes salles au-delà de l'Ouest, sous les dômes bleus de Varda, où les étoiles tremblent dans le chant de la voie sainte de la reine. Qui à présent remplira la coupe pour moi ? Car désormais l'Enflammeuse, Varda, la Reine des Etoiles a élevé ses deux mains comme des nuages, à partir du mont Toujours-Blanc, et toutes les routes se sont profondément noyées dans la brume ; et venues d'un pays gris les ténèbres s'étendent entre nous sur les vagues écumantes et la brume recouvre les joyaux de la Calacirya pour toujours. Perdu désormais, perdu pour ceux de Est, est Valimar ! Adieu ! Peut-être trouverez-vous Valimar. C'est peut-être vous qui la trouverez. Adieu ! ")
- Aiya Earendil Elenion Ancalima !
(Voyez Earendil le plus brillant d'entre les Astres !)
- A laita te, laita te !
(O bénissons-les, bénissons-les !)
- Tandave laituvalmet !
(Longtemps nous les chérirons tous deux !)
- Sinome maruvan ar hildinyar tenn' Ambarmetta !
(En ce lieu je m'établirai, et mes héritiers, jusqu'à la fin du Monde !)
- Morimaite-sincahonda.
(Á la main-noire, coeur de pierre.)
- A vanimar, vanimálion nostari !
(O belles personnes, parents/géniteurs de nombreux beaux enfants !)
- Spoiler:
Lien vers lexique Français/Elfique et Elfique/Françaiscliquez iciLien vers un site expliquant les règles du langage ElfiqueCliquez ici
Caractéristiques Qui a vu un elfe peut mourir heureux. Voici une maxime humaine qui représente bien ce que l'on peut ressentir en voyant une de ces magnifiques créatures. Caractéristiques physiques Les elfes sont intimement liés à la magie, elle est en eux, fait d'eux ce qu'ils sont.
Ainsi elle leur confère une beauté surnaturelle et même le moins beau d'entre eux sera toujours considéré comme magnifique selon les critères humains : racés et élégants, ils ont une taille fine et une corpulence légère, ils sont presque aériens dans leurs déplacements. Leurs vêtements sont simples mais magnifiques et très légers. Leurs traits sont harmonieux, ils portent les cheveux longs et ont les oreilles pointues. La taille moyenne chez les Elfes est de un mètre quatre-vingt
Leur peau est du type caucasien, allant des nuances les plus claires au plus sombre. Leurs longues chevelures peuvent arborer bien des teintes, toutes relativement communes (blond, brun, noire, châtain, roux etc.). Toutefois, il est possible de croiser des elfes avec des cheveux blancs naturellement dès le plus jeune âge, ce qui n’est pas le cas chez les Hommes. Enfin, leurs iris arborent également des couleurs communes, parfois un peu plus saisissantes que la normale. Plus rarement, il est possible de retrouver des elfes aux yeux ambrés. Les particularités génétiques, telles que l’albinisme, sont rares.
Bien entendu, il existe des exceptions, mais rarement pour de bonnes raisons.
Ils sont également agiles. Leur cinq sens sont assez développés, notamment la vue.
Ils sont très forts physiquement et très résistants, à peu près quatre ou cinq fois plus qu'un humain.
Ils ne peuvent tomber malades, mais ne sont pas immunisés contre les blessures.
La magie leur confère aussi une forte longévité. Ils ne sont pas immortels mais vieillissent très lentement : ils peuvent vivre jusqu'à 800 ans voir un millénaire. Une espérance de vie qui a été réduite toutefois avec le déclin de la magie. Vous trouverez à la suite un tableau comparatif des âges humains et elfiques.
Comparatif âge Humain/âge Elfique La croissance Elfique est bien différente de la croissance humaine. Nous ne pouvons pas dire qu'elle est plus rapide ou plus lente car en réalité elle n'est pas comparable. En effet les enfants elfes grandissent beaucoup plus vite que les enfants humains mais lorsqu'ils arrivent à l'adolescence leur horloge biologique semble énormément se ralentir ! C'est pour cette raison qu'ils peuvent vivre si âgés (jusqu'à 1000 ans environ) et c'est aussi pour cela qu'il est si difficile de faire un comparatif entre les deux races. Nous avons tout de même tenté de vous fournir un petit tableau qui devrait vous aider. Etapes principales d'une vie | Âge Humain | Âge Elfique |
---|
Nourrisson | Jusqu'à environ 3 ans | Jusqu'à environ 2 ans | Bambin | Entre 3 et 6 ans | Entre 2 et 3 ans | Enfant | Entre 6 et 12 ans | Entre 3 et 8 ans | Adolescent | Entre 12 et 15 ans | Entre 8 et 99 ans |
Majorité | 16 ans | 100 ans |
Jeune adulte | De 16 à 25 ans | de 100 à 500 ans |
Fleur de l'âge | De 25 à 45 ans | Entre 500 et 900 ans | Déclin (début vieillesse) | De 45 à 55/60 an | à partir de 900 ans mais très peu de signes de vieillesse | Vieillesse, fin de vie | à partir de 55/60 ans mais très variable, peut aller jusqu'à 70 ans voir 80 pour les cas très exceptionnels (on meurt généralement jeune en Armanda) | Aux environs de 950/1000 ans, les signes de vieillesses se manifestent très tard |
ENFANCE L'ELFE GRANDIT PLUS VITE QUE L'HUMAIN
Un Elfe de 3 ans correspond au physique d'un enfant humain de 6/7 ans Un Elfe de 4 ans correspond au physique d'un enfant humain de 7/8 ans Un Elfe de 5 ans correspond au physique d'un enfant humain de 8/9 ans Un Elfe de 6 ans correspond au physique d'un enfant humain de 9/10 ans Un Elfe de 7 ans correspond au physique d'un enfant humain de 10/11ans Un Elfe de 8 ans correspond au physique d'un enfant humain de 11/12 ans JEUNESSE/AGE ADULTE L'HORLOGE BIOLOGIQUE DE L'ELFE RALENTIT
Un Elfe de 10 ans correspond au physique d'un jeune humain de 14/15 ans Un Elfe de 20 à 400 ans environ correspond au physique d'un humain de 22/25 ans Un Elfe de 400 à 900 ans environ correspond au physique d'un humain de 35 ans environ VIEILLESSE, LE DECLIN DES ELFES A LIEU TRES TARD
Un Elfe de 900 à 950 ans correspond au physique d'un humain de 50 ans environ mais les signes de vieillesse sont très discrets, l'elfe reste beau et racé. Un elfe de 950 à 1000 ans arrive en fin de vie, les véritables signes de vieillesses apparaissent uniquement au crépuscule de sa vie et l'elfe reste très noble et beau malgré tout.
Caractéristiques psychologiques Il existe quelques grands traits de caractère que l'on peut retrouver chez la majorité des elfes. Plutôt dus d'ailleurs à leur éducation et leurs mœurs qu'à un réel trait racial. Ce fait est très important, car un elfe ayant grandi hors du royaume elfique pourrait ne pas du tout présenter ces traits de caractère par exemple....
Ainsi les elfes semblent facilement susceptibles. Comme vu plus haut, leur société est extrêmement complexe, de même que leur code de politesse, et ils sont souvent très à cheval sur ces règles ancestrales. Il est très facile de vexer un elfe en ne respectant pas les milliers de coutumes instaurées par son peuple. De plus, et pour ne rien arranger, ce sont des créatures extrêmement fières et rancunières ! Ils ne montrent que peu leurs sentiments et peuvent attendre une éternité avant d'accomplir leur vengeance, leur patience constituant leur meilleure arme.
C'est aussi une peuple très lent, qui peut mettre très longtemps à prendre une décision ou à accepter un changement. Pour tout dire, ils n'ont pas la même perception du temps que les humains. Les elfes apprennent très lentement et n'aiment pas changer leurs habitudes.
Ils sont toutefois réputés pour avoir bonne mémoire, la cultivant d'ailleurs savamment.
Comme les vampires, ils n'ont pas le même libre arbitre que les humains. Ils ne naissent pas avec un alignement neutre, mais un alignement bon, et il est bien plus difficile pour eux de devenir mauvais, même si ce n'est pas impossible.
Compétences Les elfes sont très attachés à la magie. Même un elfe peu porté sur la magie en est quand même pourvu... sinon il s'agirait d'un elfe mort !
La magie des elfes est une magie basée sur les éléments et sur la nature. C'est une magie en général bénéfique, mais qui peut aussi être dangereuse et offensive. Elle est assez puissante, mais requiert un niveau magique important pour être vraiment efficace.
Elle tire sa puissance de la force vitale du lanceur et de la nature : plus précisément, le mage utilise la magie qui recouvre tout Armanda, il puise dans cette magie, la concentre dans son corps puis l'expulse grâce au geste clé ou chant. Un geste clé ou un chant mal effectué peut avoir alors des effets très graves.
Il faut noter que, s'ils ont leur propre magie, le pouvoir de la nature, ils sont aussi capables d'utiliser la magie des ténèbres, même s'ils n'y excellent pas.
Le raffinement des elfes peut aller jusque dans le choix de leurs armes. Ainsi, les elfes sont rarement portés sur les armes lourdes. Masses, haches, faux par exemple, ont rarement leur préférence. Les elfes ne sont guère portés également sur le combat à mains nues, peu digne selon eux pour leur auguste race. Non, leurs armes de prédilection seraient plutôt l'arc, l'épée fine, la dague, éventuellement la lance par exemple. Bien entendu, il y aura toujours des exceptions confirmant la règle...
Leur acuité visuelle particulièrement développée les rend très doués dans les arts du lancer, et les arts de la visée : ils excellent souvent en arc, arbalète, dagues de lancer notamment.
Leur agilité, sans doute combinée à leur lien avec la nature, leur donne une éventuelle prédisposition à l'équitation.
Tout ceci encore une fois ne donne que de grandes caractéristiques, mais nombre d'elfes sortent des sentiers battus...
Pour conclure nous pouvons dire que la race elfique est un bon choix pour une personne souhaitant un personnage puissant et sage, de préférence bénéfique, bien qu'il soit possible d'en faire un être maléfique. Attention toutefois au fait que la magie s'éteigne, le pouvoir elfique était en déclin jusqu'à ce que les dragons reviennent, et le royaume est en train de sombrer !
Dernière édition par Luna Duruisseau le Ven 27 Mai 2016 - 15:49, édité 1 fois |
| | | Luna Duruisseau Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
| Sujet: Re: Les elfes Ven 27 Mai 2016 - 15:25 | |
| Retour au sommaireTerritoire, Patriotisme, Société, Famille, Protocole, Coutume Territoire Aujourd’hui, le territoire des elfes recouvre l’ensemble des montagnes du Nord-est d’Armanda, ainsi que les champs situés aux pieds de ces dernières, sur lequel règne un véritable microclimat tempéré. Les elfes sont en grande majorité concentrés au sein de leur cité, Estëllin, mais il existe quelques rares domaines de grande famille au sein du territoire, généralement installé au plus proche d’exploitation ou d’entreprise liées à cette famille. Le royaume elfique enserre en son sein le territoire des Baptistrels qui ont bâti leur nouveau domaine auprès de ce peuple comme avant sa destruction. Contrairement à l’ancien royaume, celui-ci n’est pas protégé par une frontière magique qui ne s’ouvre qu’avec l’assentiment des elfes, l’empereur en place ayant décidé de ne pas la rétablir au risque d’isoler à nouveau les elfes du reste du monde. À la place il a fait construire une gigantesque route, la Voie royale, afin de permettre aux visiteurs et marchands de rejoindre la cité au cœur de la montagne. Mais rien n’assure que, si une nouvelle guerre devait se profiler, les elfes la lèveraient à nouveau. L'ancien royaume elfique est aujourd'hui une terre désolée. Description de l'ancien royaume elfique: - Citation :
- Le territoire des elfes se situe au cœur de la forêt de l'ouest, au climat des plus pluvieux. Il n'est pas très étendu, ne s'étendant pas même sur tous les vieux bois, qui enserrent aussi en leur sein le territoire des Baptistrels, un peu plus loin à l'écart. Le royaume elfique est protégé par les bosquets magiques, une frontière magique qui ne s'ouvre qu'avec l'assentiment des elfes. Il ne s'agit peut-être pas d'une riche terre fertile, et le royaume elfique ne croule peut-être pas sous les richesses, mais cela importe peu au beau peuple, qui chérit plus que tout sa forêt et la vie foisonnante qu'elle protège.
Patriotisme Merci à Lorenz Wintel pour ce drapeau Devise ~ La magie coule dans nos veines, notre regard s'élève vers le ciel. ~ Ecoute le chant des arbres et laisse toi guider par sa sagesse millénaire.
Merci à Eanlys Diansin pour cette devise Hymne Au commencement Au temps d'avant le temps d'antan De nos navires blancs nous vînmes Par delà les flots cristallins
Gardiens d'un monde en guerre Nous n'avons jamais abandonné Les enfants de cette terre Qui nous accueillit, nous les premiers nés
Gardien d'un monde de magie Nous avons vécu dans notre forêt Détenteurs de secrets enfouis Que nous gardons à jamais
Au commencement Au temps d'avant le temps d'antan De nos navires blancs nous vînmes Par delà les flots cristallins
Nos guerriers à l'armure brillante Combattent les ombres de leurs fers Nos Vierges aux chevelures d'étoiles filantes Guérissent les maux de la terre
Nos nobles guides, Nos sages éclairés Dont les mots sont plus forts encore que les armes Nos Chanteurs, Nos Artistes Dont les œuvres percent les âmes
Au commencement Au temps d'avant le temps d'antan De nos navires blancs nous vînmes Par delà les flots cristallins
A présent nous observons le monde Dans sa gloire et dans sa peine A présent nous attendons que l'heure tombe Dans son horreur et dans sa haine
A présent nous rassemblons toute notre rage En prévision de notre ultime combat A présent nous rassemblons tout notre courage En prévision de notre trépas
Merci à Merithyn Shadowsong pour cette hymne
Société Le peuple elfique est organisé en une société de type impériale médiévale et est presque entièrement concentrée dans la capitale du royaume, bien qu’il existe quelques villages plus frontaliers mais toujours à l’intérieur des limites du royaume. Ils sont extrêmement sédentaires et possède une strate sociale clairement établie qui régit la vie quotidienne. Leur hiérarchie est extrêmement stricte et codifie toute leur vie. Elle se décompose en trois grands rangs, comme chez les humains (petit-peuple, bourgeoisie, noblesse) mais également de toute une série de supériorité et infériorité en fonction de l’emploi de chacun et de la naissance de chacun. Le petit-peuple représente une part relativement réduite de la race, réunissant les plus humbles. Cette classe sociale comprend les individus au service de la noblesse. Ils ne sont pas aussi pauvres que les paysans humains, mais ils se contentent en général de peu. La bourgeoisie représente la part majoritaire de la race, réunissant les individus ayant une certaine aisance matérielle qui leur permet une meilleure vie, mais surtout un nom et un statu plus admirable. La majorité est à leurs comptes et possèdent des valeurs à la fois matérielles et spirituelles (connaissances). Parfois, ils peuvent même s’avérer très riches, quoi que moins que les bourgeois humains. Ils participent activement à la vie de la société. Ce sont des artisans, érudits ou soldats… La noblesse représente une minorité de la race, réunissant les individus de hauts rangs ayant une grande aisance mais surtout un nm et une lignée admirable. Ils ont un grand poids dans la vie de la société et en régissent les différents aspects. Ils travaillent surtout à des postes dit nobles : érudits, hauts gradés de l’armée, conseillers… Ces classes sociales sont extrêmement imperméables, il est presque impensable de s’élever dans les strates du fait des mœurs elfiques et de leur amour du lignage et de la durabilité. Les éléments qui parviennent à s’élever le font souvent au titre d’actions particulièrement glorieuses et importantes, et encore que cela met souvent mal à l’aise quel que soit la reconnaissance. La famille royale et les conseillers sont les seuls à pouvoir décider d’une élévation. Si les relations aux richesses sont souvent moins inégalitaires que chez les humains, les protocoles, eux sont stricts et se basent sur ces rangs. Il y a cependant des impératifs pour tous. La noblesse est extrêmement fière d’elle-même et ne répond qu’à ses pairs, mais la bourgeoisie et le petit-peuple, eux, se placent presque sur un pied d’égalité. Le peuple elfique est très autarcique. Il n’a que très peu de contacts avec le peuple humain et déteste les vampires. Famille Les elfes tiennent non seulement la microsphère familiale en haute estime, mais on peut même affirmer qu’elle est sacrée pour eux. En effet, la race est très peu fertile, aussi les enfants et leurs filiations est extrêmement importante à leurs yeux. De la famille découle absolument tout. La place de l’enfant, son nom, les codes qu’il devra respecter dans tous les aspects de sa vie… C’est la famille qui définit l’individu, et l’identifie, lui procure tout ce dont il a besoin et l’introduit dans la société. Le modèle familiale elfique n’a pas de figure prédéfinie. Il peut être soit patriarcale, soit matriarcale. C’est-à-dire dirigée par le père et les membres masculins de la famille, ou par la mère et les membres féminins de la famille, par ordre de prétention. C’est la figure dominante qui prend les décisions. Cependant, si l’on respecte ces décisions, elles peuvent être discutées en conservant le respect, en toute intelligence et en restant dans les limites établies par les bonnes mœurs. Ces décisions peuvent tenir du mariage, de la politique familiale… Contrairement aux humains, chaque membre de la famille travaille et pourvois différemment aux besoins des siens. Si la figure dominante vient à disparaître, c’est la suivante dans la ligne d’héritage qui prend sa place, si elle n’a émis aucunes volontés singulières à ce sujet. Hommes et femmes peuvent exercer les mêmes emplois, également. La femme cependant a encore le titre de maîtresse de la maison. Cependant, si au sein de la famille et entre les sexes, l’égalité est le mot d’ordre, il existe une stratification très rigides entre les emplis et les rangs. Un inférieur n’a, par exemple, pas le droit de parler avant un supérieur. Malgré cela, l’affection et les sentiments ne sont pas du tout absents, ils sont même très cultivés, à la fois au sein de la famille, mais également plus généralement. En effet, toute la communauté se joint aux parents lors de la naissance d’un nouvel enfant afin de le choyer, le protéger et lui offrir la meilleure éducation possible. La majorité des mariages sont arrangés, cependant les mariages d’amour existent et sont acceptés relativement bien, s’ils ne vont pas à l’encontre des volontés de la figure dominante de la famille. Les elfes n’aimant qu’une seule fois, la majorité du temps, ce sentiment est très respecté. Filles et garçons sont appréciés, lors des naissances et on les dorlote de même. L’éducation est la meilleure pour chacun, mais on laisse l’enfant suivre ses propres tendances et facilité, en rapport avec son rang de naissance. Les enfants apprennent à lire, écrire, compter, sans distinction. Ils apprennent également la magie et le combat, mais sans insister pour ce dernier domaine, si l’enfant ne se révèle pas de goût pour cela. Lois, Protocoles et Moeurs en vigueur Hiérarchie sociale elfique Le peuple elfique est un peuple très ancien et très structuré qui a su survivre sans aucune guerre clandestine pendant des siècles, ce qui n'est pas un mince exploit. Ceci est surtout dû à leur système de politesse très complexe mais respecté par tous. Il permet de se situer rapidement dans leur hiérarchie sociale, puis leur hiérarchie politique, et donc de ne pas vexer les autres. Cela peut paraitre étrange pour les représentants des autres peuples qui se retrouvent incapables de retenir tous ces protocoles, mais c'est un système qui a fait ses preuves et les elfes y sont très attachés. - La notion de famille est très importante chez les elfes. C'est d'ailleurs la notion la plus ancrée de toutes, un elfe sans un nom de famille n'est rien.
Toutes les familles sont bien entendu très anciennes et ont leur propre histoire. C'est cette histoire qui définit la place sociale de la famille dans la société elfique. Une famille qui a eu une histoire retentissante et glorieuse aura de grande chance d'avoir un rôle important dans leur société.
- Comme vous l'aurez compris, c'est l'appartenance à telle ou telle famille qui définit la place sociale d'un elfe. Un membre de la famille impériale, quelque soit son rôle dans l'empire elfique, sera toujours traité comme un prince, même s'il choisit de devenir armurier.
- Ensuite dans une même famille, l'autorité va toujours aux plus âgés. L'elfe le plus âgé d'une famille est appelé le patriarche ou la matriarche et c'est lui qui commande les autres. Le plus jeune de la famille ne commande personne et doit le respect à tout le monde. Ceci est valable dans toutes les familles, de la famille impériale aux familles les plus modestes.
- En résumé, un elfe âgé de 678 ans devra le respect à tous les membres de sa famille qui sont plus âgés et à tous les membres des familles qui lui sont supérieures en hiérarchie quelque soit l'âge. Il exigera le respect et pourra commander tous les membres de sa famille qui auront moins de 678 ans et tous les membres des familles inférieures en hiérarchie quelque soit leur âge.
Remarque : un tableau des hiérarchies sera établi lorsqu'il y aura suffisamment d'elfes sur le forum. Pour le moment, retenir que la famille la plus haute est la famille impériale suivie de près par les familles membres du conseil.
Protocole : Les codes de politesse La première règle de politesse des elfes, la règle élémentaire est que, lorsque quelqu'un vous salue, vous devez répondre par un salut (elfique ou cérémonial selon les circonstances). - Le salut elfique : poing droit fermé soutenant la main gauche ouverte, s'incliner légèrement sans quitter votre interlocuteur des yeux.
- Le salut cérémonial : pour les membres d'une famille qui vous est très supérieure en hiérarchie ou pour quelqu'un que vous souhaitez honorer. Il s'agit de croiser les deux mains sur la poitrine et de s'incliner profondément, ne se relever que lorsque votre interlocuteur vous le permet.
- Saluer un membre de votre famille plus âgé : c'est à lui de vous saluer en premier s'il le souhaite, s'il ne le fait pas vous ne pouvez en aucun cas lui parler. Vous pouvez lui faire comprendre que vous désirez lui parler en soutenant son regard.
- Saluer un membre de votre famille moins âgé : vous n'êtes pas obligé de le saluer mais vous pouvez le faire, il ne pourra pas vous parler tant que vous ne l'aurez pas salué. Il peut solliciter votre attention en soutenant votre regard, ce serait alors l'humilier que de ne pas lui accorder.
- Saluer un membre d'une famille supérieure : c'est à lui de le faire s'il le souhaite, vous ne pourrez pas lui parler tant qu'il ne l'aura pas fait. S'il est très supérieur en hiérarchie (plus de deux rangs ou appartenance à la famille impériale) alors vous devrez utiliser le salut cérémonial pour le saluer à son tour.
Seul le patriarche de votre famille peut solliciter une audience pour vous avec un membre d'une famille supérieure si celui-ci ne vous a pas accordé son salut.
- Saluer un membre d'une famille inférieure : C'est à vous de le faire si vous le souhaitez, il ne pourra pas vous parler tant que vous ne l'aurez pas fait. S'il est très inférieur en hiérarchie, il utilisera la salut cérémonial pour vous répondre et vous devrez lui permettre de se redresser.
Seul le patriarche d'une famille inférieure peut venir vous demander une audience avec une personne que vous n'aurez pas saluée.
- Citation :
- A ne pas faire :
Chez les elfes, il est considéré comme très impoli de ne pas révéler son identité à une personne qui vous a révélé la sienne. De même, un elfe n'agressera jamais une personne qu'il a saluée sauf insulte grave. Il considérerait comme particulièrement grossier d'être attaqué par une personne après avoir été salué.
Pour finir, il faut savoir que les visiteurs humains sont les bienvenus chez les elfes à condition de respecter leurs coutumes (difficiles) et de ne pas s'attarder.
Batifoler avec une ou un elfe est par contre très très mal vu : l'elfe en question sera mis au ban de sa société et l'humain risque l'exil au minimum avec interdiction de revenir.
Moeurs Mœurs
L’éducation et le bain culturels conditionnent les elfes depuis la naissance et jusqu’à leur mort, contrairement aux humains qui ont une certaine liberté, les elfes sont de grands conformistes pour la grande majorité. Leur façon de penser, leurs réactions, proviennent souvent de leur environnement culturel et social. Il est rare de voir un elfe penser différemment et lorsque c’est le cas, il y a des chances pour qu’il soit mal vu voir très mal vu par les siens. Ces cas sont plus exceptionnels encore que chez les humains malgré une plus grande liberté de pensée. Le bain culturel est issu de l’expérience des générations précédentes et de la transmission des savoirs en continus.
Rapport aux relations inter-raciales
Les relations amoureuses et sexuelles entre races sont très mal vues par les elfes. Il s’agit d’un véritable tabou pour les elfes qui se pensent au-dessus des humains et des vampires. Les elfes se vouant à ce genre de relations sont souvent mis au ban de la société, dédaignés et stigmatisés comme des fous et des traîtres, voir des traités comme des créatures contre nature. Les familles où apparaît une relation de ce genre-là tentent souvent de se défaire du ‘mouton noir’ le plus vite possible et coupent les ponts. Si les humains ont tendances à blâmer ces couples et les éviter, les elfes les rejettent souvent ouvertement. Une relation amoureuse avec un humain sera vue comme une anomalie et une insulte à la race elfique, mais une relation avec un vampire sera en revanche traitée comme une véritable hérésie qui conduira certainement à beaucoup de souffrance pour l’elfe ‘fautif’.
Les relations d’amitié sont en revanche beaucoup mieux perçues qu’auparavant et même accepter, envers les humains. Celle avec les vampires le reste en revanche très mal. Mais ici encore, cela tiendra surtout du degré de tolérance de l’entourage de l’elfe en question. Les jeunes générations s’ouvrent davantage, surtout avec les guerres récentes, mais cela reste un mouvement en pleine naissance et l’autarcie est encore majoritaire.
Rapport au Travail
Si le travail est vu par les humains comme d’une importance extrême et un véhicule de valeur, les choses sont sensiblement différentes avec les elfes. Ceux-ci tendent moins à honorer le travail qu’une vie bien menée et une utilité à la communauté en général. C’est-à-dire qu’un elfe pourra très bien ne pas travailler dans le sens d’exercer un métier bien défini comme forgeron ou marchand, mais s’occuper par exemple des jeunes ou de la forêt. Le travail tel qu’on l’entend dans le monde elfique est, avant tout, d’avoir une place dans la hiérarchie et dans les rapports aux autres. Là-dessus, ils rejoignent les humains.
Les travaux en question ne sont cependant pas toujours les mêmes. Si l’on retrouve des incontournables, comme le fait que seules les familles nobles et anciennes peuvent accéder à des sièges au conseil, certains autres ne le sont pas tout autant. Ainsi, un membre du petit-peuple aura tout loisir de s’élever au rang de maître du savoir et pourra siéger à la bibliothèque impériale ou, s’il en a la chance, aider les Baptistrels avec la tenue des bibliothèques innombrables de Tomingorllo. De même, les forgerons impériaux ne rechignerons pas à prendre un apprenti si celui-ci vient d’une famille très humble, si l’individu en question est vraiment décidé à se lancé sur cette voie.
Il est à noter également que certains métiers humains n’existent pas chez les elfes, celui de chasseur par exemple. Les tanneurs de cuir sont également rares, quoi que pas inexistant. En revanche, certains métiers existent et ne se retrouvent pas chez les humains. Il faut également rappeler que la distinction des sexes ne s’effectue pas comme chez les humains et que tous les métiers peuvent être effectués par des hommes ou des femmes.
Rapport à la richesse
La richesse matérielle, les biens possédés et l’or et l’argent dans les coffres, ne sont pas des critères très importants pour les elfes. On pourrait presque dire que c’est même le critère le moins important de tous. La richesse, pour un elfe, passe par la réussite du travail qu’il exerce et son utilité à la communauté ainsi que par son rang social. Le titre est, pour cette race, plus important que tout. La richesse matérielle est plus utilisée que pour les échanges avec les humains ou pour des créations artistiques. Chez les elfes, on pourra être respecté sans richesse matérielle. C’est l’une des raisons qui rend la stratification sociale si hermétique d’ailleurs. Il est cependant à noter que les elfes aimant la belle facture, la possession d’armes singulières à la richesse historiques, de livres et d’objets culturels prisés, sont des critères plus regardés que la lourdeur d’une bourse pleine de pièces. La culture et la place sociale sont donc les critères prépondérants.
Relation au temps et à la mémoire
Les elfes ont une vie bien plus longue que celle des humains même si ils ne sont pas immortels. De ce fait, ils n’ont pas la même relation au temps que les humains qui ressemble à d’éphémères papillons. Une vie d’elfe, pourvue qu’elle ne soit pas écourtée volontairement, est longue et souvent bien remplie. Ainsi, la peur de la mort n’est pas si présente chez ce peuple. Elle n’est pas absente, évidemment, mais elle n’est pas prépondérante, en particulier chez les elfes les plus âgés dont les dernières années approchent et qui peuvent être particulièrement fatigués et en mauvaise santé.
Les elfes, peuple cultivé et appréciant l’éducation et les connaissances, prend son temps lorsqu’il s’agit de s’instruire ; préférant souvent passer des années sur un même sujet afin de le maîtriser parfaitement plutôt que de se contenter d’un apprentissage moyen. Leur mécanisme d’apprentissage est également moins rapide que celui des humains, et certaines choses qui prendraient très peu de temps à un ‘mortel’ pourrait demander plusieurs années à un elfe. Le résultat, cependant, sera souvent bien différent, bien meilleur. Ils prennent également leur temps pour savoir quelle est leur vocation, la voie dans laquelle ils s’engageront le reste de leur vie durant car c’est de là que découlera leur place finale dans la société elfique. Arrivés au bout de leur vie, en ayant remplie leur existence avec satisfaction, ils voient souvent la mort comme une bénédiction, un repos final après un millénaire d’ouvrage. Ils sont donc plus philosophiques que les humains.
Le peuple elfique est extrêmement respectueux de ses morts, leur offrant une place dans la mémoire collective et dans l’histoire du peuple. Cette mémoire, des noms, des filiations et des ouvrages, est extrêmement importante car elle est partie intégrante de la culture raciale. C’est également une des raisons qui rend la mort moins effrayante pour les elfes, la certitude qu’on se souviendra forcément d’eux. La mémoire est très importante, pour les sylvains et ils mettent un point d’honneur à se souvenir de tout, conservant les sommes de savoir accumulés dans leurs bibliothèques.
Pour les elfes, le temps est une chose que l’on ne peut manipuler et contre lequel il ne sert à rien de se battre. Il faut l’accepter et couler dans son sens. C’est un bien précieux qu’il ne faut ni gaspiller ni amasser, simplement utiliser à bon escient. La façon qu’ont les humains ne courir en permanence et de ne jamais ‘perdre de temps’ leur est très étrangère et incompréhensible et participe à la vision générale qu’ils ont de cette race encore trop jeune. Les elfes mûrissent relativement vite sur le plan physique, mais également sur le plan mental et peuvent faire preuve d’une étonnante sagesse très jeune même si ce n’est pas toujours le cas.
Coutumes Les elfes sont particulièrement attachés à leurs us et coutumes, qui sont souvent intimement liées à leur nature, à la magie et à leurs croyances, et n'aiment pas en changer.
D'ailleurs, s'il y a une chose à retenir c'est que les elfes n'aiment pas beaucoup le changement, en est pour preuve le fait qu'ils aient conservé nombre de mœurs d'un temps ancien. Il leur faut parfois des siècles pour changer ne serait-ce que d'un iota leurs habitudes. Le mot habitudes définit alors très bien le quotidien des elfes.
Très attachés à leurs coutumes donc, sachez aussi que les elfes sont très susceptibles. Il faut se méfier de chacune de ses paroles en présence d'un elfe et même de ses gestes, car ils sont très à cheval sur la politesse et surtout se vexent facilement. Le pire étant que, fiers comme ils sont, ils ne montrent que rarement leurs sentiments profonds : on s'aperçoit que l'on a vexé un elfe souvent uniquement lorsque celui-ci vous transperce d'une flèche ou d'un coup de couteau, et cela peut avoir lieu des années et des années plus tard ! Ils sont très patients et surtout très rancuniers.
Leur durée de vie importante trouve peut-être entre autres son explication dans l'existence de leur code de politesse si compliqué, comme présenté plus haut et que nous ne rappellerons pas ici, et dans le respect de toutes ces coutumes. En effet les querelles chez eux sont rares grâce à cela, ce qui est une bonne chose car elles dureraient alors des siècles !
Les elfes sont intimement liés à la magie. Elle coule directement dans leur sang et est liée à leur force vitale. Même le moins mage des elfes vibre de magie puissante. Enfin puissante...
Le déclin de la magie sur Armanda, lié à la disparition des dragons, a entraîné un déclin du pouvoir elfique et du peuple elfe lui-même. Très nombreux il fut un temps, ils sont à présent moins d'un millier. Leur fécondité est très faible, et l'affaiblissement de leur magie les rend vulnérables et baisse leur espérance de vie. Là où leurs ancêtres sur leur ancien continent pouvaient vivre aisément deux mille ans, les elfes d'Armanda peinent à atteindre les mille années. Et encore... Suite aux multiples guerres et au vampirisme qui ont décimé les rangs des plus âgés, les elfes de plus de six ans se comptent presque sur les doigts d'une main... Leur espèce s'éteint peu à peu...
Leur dernier espoir est dans le retour des dragons sur Armanda, ce qui renforcerait la magie et donc leur puissance. Sans les dragons, ou si la magie venait à disparaitre, l'avenir des elfes serait bien sombre....
Croyances des Elfes et Fêtes célébrées Les elfes partagent sensiblement les mêmes coutumes et croyances que les autres races Armandéennes. Ils vénèrent la nature représentée par les esprits supérieurs. Les elfes sont peut-être encore plus respectueux de toute vie, vivant en harmonie parfaite avec la nature. Même tuer volontairement un insecte leur paraitrait criminel. Depuis le retour des esprits-totems en Armanda, ils sont choisis dès la naissance, ou suite à un rituel pour les elfes plus âgés, comme les membres des autres peuples, par un de ces esprits dit inférieurs. En outre, les elfes croient en la réincarnation et n'ont absolument aucune notion d'enfer ou de paradis (ces notions ne doivent donc pas être utilisées sur Armanda, elles sont inconnues !) Les fêtes célébrées par les elfes * La fête des esprits : Cette fête est célébrée tous les 5 ans aussi bien par les elfes, les hommes ou les vampires. Elle a lieu le premier jour de l'année et est constituée d'une succession de petites cérémonies chantées. Cependant, elle diffère chez les elfes par rapport aux autres peuples. Alors qu’avant on honorerait chaque esprit supérieur, l'un après l'autre dans un ordre strict (océan, vent, feu, terre, végétal, vie et mort), censé représenter la naissance du monde. À présent on honore le décès de chaque esprits supérieurs, qui se sont sacrifiés pour que leurs créations survivent, les uns après les autres dans un ordre précis (Néant, Mort, Terre, Vent, Végétal, Feu, Océan, Vie.). Entre chaque petite cérémonie, les convives doivent faire la fête en mangeant et en dansant. Elle dure entre 3 et 4 jours pendant lequel une trêve totale est respectée entre tous les ennemis. Les peuples ne peuvent se faire la guerre, les adversaires ne peuvent se battre ni se disputer. * La fête du pardon : Cette fête a lieu tous les ans au premier jour du printemps. Elle est censée honorer le renouveau afin de porter chance pour le nouveau cycle de la nature qui commence. Il n'y a pas de cérémonie ce jour là et il serait considéré comme offensant de faire le moindre signe ostentatoire pouvant prouver qu'il s'agit d'une fête. La tradition consiste pour tous les peuples à aller offrir un cadeau à une personne que l'on aurait offensé afin d'obtenir son pardon, la personne se doit alors de l'accorder sous peine de s'attirer les foudres des esprits. Cette tradition mise à part, c'est un jour comme les autres. * La fête de la terre : cette cérémonie a lieu sur les plages de tous les royaumes au milieu de l'hiver de chaque année. Il s'agit d'honorer l'esprit de la terre afin de l'encourager à lutter contre son frère Océan. La tradition veut que les participants dansent et chantent sur les plages à partir du coucher jusqu'au lever du soleil. Lorsque le soleil se lève, il faut jeter un panier de fleurs à la mer afin de calmer la colère de l'esprit Océan. * Les mariages : Les elfes ont une très longue cérémonie qui dure plusieurs jours et qui est constituée d'une journée de jeûn pour les mariés, ainsi que de poèmes et de chants. Il est de tradition d'inviter un baptistrel qui doit chanter l'histoire des deux mariés de leur naissance jusqu'à ce jour. Un festin a lieu le dernier jour pendant lequel les mariés doivent s'esquiver pour aller consumer leur union. - Cérémonie du mariage elfique:
Le mariage elfique est très long, prenant place sur toute une semaine. Sept jours consécutifs, avec un rituel bien précis à suivre.
Le premier jour, les mariés restent à l’intérieur de la maison de la femme, seuls du lever du soleil à son couché. Ils doivent tisser des végétaux pour en faire des ornements et décorations pour la fête. Il ne faut pas que ces ornements soient fait par d’autres que les mariés, car ce serait de mauvais augure et inciterait à croire que le jeune couple ne saurait pas se débrouiller seul par la suite. Ces ornements sont souvent faits de fleurs d’Amaranthe, pour l’amour durable, d’aubépines pour l’espoir, de belle-dame pour la pureté, de bleuet pour la délicatesse et de genévrier pour la protection. Cette première journée, les deux individus doivent porter de simples vêtements blancs, sans fioritures. La seconde journée se passe également confinée pour le couple, chez l’homme cette fois. Les deux jeunes gens sont seuls une fois de plus et doivent cette fois-ci cuisiner ensemble un gâteau spécial, réservé aux mariages, garnis de fleurs et de végétaux sucrés.
Le troisième jour du mariage, les deux jeunes gens peuvent enfin sortir. La femme est alors habillée d’une robe très simple, de couleur cendrée pour symboliser la fécondité, la fidélité et en hommage à l’esprit de l’eau. Cette robe sans manches et au col montant est accompagnée d’une ceinture de tissue nouée sur l’avant. L’homme quant à lui, porte une tunique, simple, de couleur bleu, passée sur des braies blanches. Tous deux doivent avoir les cheveux tressés en une unique natte. Le couple se rend chez chaque famille de leur entourage, afin de leur remettre un des gâteaux qu’ils ont préparés et qui signifie une invitation pour le reste de la fête, qui s’effectuera à l’extérieur.
Le quatrième jour, les invités, les familles et le couple se réunissent tous ensemble dans la clairière du vieux chêne. C’est une journée de jeux, de concours et de convivialité. La femme porte à cette occasion une tenue très colorée. La robe en elle-même est rouge, faite de soie, ou de tissu imprégné d’éléments et teint en couleur chaude. Elle s’accompagne généralement de volants légers, ressemblant par certains côtés aux jupons humains, mais beaucoup plus souples et doux, de couleur jaune, doré ou ambré. Elle porte, pour l’occasion, une ceinture faite de cuir rouge sur lequel sont attachés des figurines végétales ou des morceaux de tissus colorés aux couleurs des différents esprits. Ces figurines sont offertes par les invités. Plus il y en a et plus on estime que le couple sera heureux. Il arrive même parfois que la mariée doive porter plus d’une ceinture tant elle reçoit de ces présents. Le marié porte également une tunique rouge ou imprégné d’élément. Sa ceinture cependant est faite de feuillages et de fleurs symboliques comme les fleurs de citronniers ou les camélias.
Le cinquième jour est extrêmement important dans la cérémonie elfique. En effet, à l’aube, les participants (famille, entourage et couple) se réunissent une nouvelle fois près du grand chêne, où un Baptistrel chantera l’histoire des deux amoureux depuis leurs naissances jusqu’à ce jour. C’est un moment très attendu de la fête. Une fois que cela est fait, la journée est dédiée à des démonstrations et des cadeaux. Les invités et la famille offrent des cadeaux aux futurs époux puis présente un spectacle ou une réalisation en leur honneur. Le marié et la mariée doivent à l’issu de la journée, choisir chacun une personne parmi les participants, qui aura l’honneur d’officier durant la cérémonie pour eux, aux côtés de leurs parents. Pour cette journée, la femme porte une robe verte brodée de doré ainsi qu’une ceinture de tissu de cette même couleur. Le vêtement est souvent familial et portée de mère en fille, chaque nouvelle génération lui ajoutant une nouvelle broderie. Les plus riches sont donc les plus anciennes. Les cheveux sont relevés en coiffures compliquées et entrelacés de vignes. L’homme porte en revanche une tunique à majeur dorée et aux broderies vertes. Ce vêtement-ci est unique à chaque mariage. Le réutiliser serait de mauvais augure.
Le sixième jour est un jour de jeun, le couple ne mange pas et la famille non plus. Ils se rendent sur le domaine baptistral afin d’offrir une prière et un présent à chaque esprit, afin qu’ils bénissent l’union. Les élus du jour précédent accompagnent les jeunes époux, de même que les parents. Enfin, l’ultime journée voit la cérémonie en elle-même, présidée par un Baptistrel qui lie les poignets des deux époux par un sortilège végétal et leur fait prononcer leurs vœux. Une fois les vœux prononcés, les élus du cinquième jour coupent les végétaux liant les deux époux, à part égale, et leur remettent chacun un collier d’argent portant une unique perle gravée à l’image d’une fleur différente en fonction du statut social, les nobles portant un lys, les bourgeois une orchidée et le petit-peuple une rose. Ensuite, le festin prend place, durant une bonne partie de l’après-midi avant que le couple ne s’eclipse pour consommer l’union. Ceci se faisant souvent au grand air. A cette occasion, la femme porte une robe blanche brodée, une ceinture de tissu blanche liée à une traîne portant les couleurs des esprits. Par dessus la ceinture de tissu, elle porte une ceinture d'argent aux formes végétales. La robe blanche est généralement très riche et très belle, brodée à la main et cousue de fines gazes irisées. Les cheveux de la femme sont laissés libres, comme ceux de l'homme, également dans une tunique blanche. Tous deux portent également les ornements végétaux qu'ils ont confectionnés le premier jour. * Cérémonie d'accueil à la vie : Chez les elfes, l'arrivée d'un nouveau né est un véritable miracle. La cérémonie dure trois jours, un baptistrel vient interpréter le chant nom, chaque esprit est appelé tour à tour pour l'inciter à protéger le nouveau né. La fête dure ensuite une bonne semaine sans aucune interruption, elle est toujours grandiose pour la simple et bonne raison que les dépenses sont partagées par toute la communauté. * Cérémonie des morts : Les elfes ont une cérémonie chantée, un baptistrel vient interpréter le chant nom du défunt puis la vie entière de celui-ci est déclamée tout en vers. Pour terminer, le baptistrel interprète le chant du passage. Les elfes défunts appartenant aux familles les moins importantes sont brulés par magie, tandis que les restes des elfes de haut rang sont glacés (par magie encore une fois) pour être conservés dans un endroit tenu secret.
|
| | | Luna Duruisseau Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
| Sujet: Re: Les elfes Ven 27 Mai 2016 - 15:26 | |
| Retour au sommairePolitique, International et Organisation Politique Pouvoir politique elfique La société elfique est très complexe et a toujours fonctionné de la même façon, aussi loin dont on peut se souvenir. Pour tout dire, les elfes n'aiment pas beaucoup le changement et il leur faut parfois des siècles pour en effectuer même un petit. Mais lors des événements des premières années de l’âge d’Obsidienne, ils furent contraints d’opérer certains changements drastiques qui les bousculèrent et déclenchèrent un mécanisme qui aujourd’hui les fait sortir de leur immobilisme et de leur lenteur face au changement. Ils sont gouvernés par un conseil, lui-même présidé par un empereur ou impératrice. L’empereur ou impératrice elfique a, en général, bien moins de pouvoir que l'empereur humain. Son pouvoir dépendant essentiellement de la formation du conseil en faveur des impérialistes ou non. Mais il ou elle est très respectée et son avis est toujours écouté. Le conseil est essentiellement formé des plus nobles et des plus anciennes familles elfiques, celles qui ont su se démarquer par des faits retentissants, des exploits, des services majeurs rendus au peuple elfique. Mais depuis quelque temps une mécanique différente c’est mise en route, permettant aux individus, même sans noble lignage, d’intégrer le conseil à condition d’avoir su se démarquer par des faits retentissants, des exploits, des services majeurs rendus au peuple elfique. C'est ce conseil qui détient en fait le réel pouvoir. Chaque décision cruciale doit obtenir son assentiment. Les délibérations ont lieu après réunion du conseil, l'avis de tous, dont l'empereur ou l’impératrice, est écouté avec attention, et les décisions sont ensuite votées à la majorité absolue. Les conseillers sont d'ordinaire au nombre de treize, mais ce nombre n'est pas fixé définitivement et il est déjà arrivé que ce nombre diminue, suite au départ ou au décès d'un des leurs sans parvenir à lui trouver un successeur décent, ou que ce nombre augmente, suite à une situation exceptionnelle nécessitant des mesures d'urgence importantes par exemple ou suite à la volonté du Conseil de promouvoir une famille notable. Toutefois, le Conseil prend garde à ce que ce nombre reste toujours impair, pour éviter toute inertie dans la prise de décisions. De même tout changement de constitution du Conseil, que ce soit dans sa composition, les nominations ou destitutions, ou dans son nombre ou sa répartition, est soumise à une assemblée exceptionnelle du Conseil et la décision doit obtenir les trois quarts des suffrages et non plus une simple majorité. Nul besoin de préciser que certaines affinités politiques ont eu tendance à se démarquer au sein du Conseil, formant alors trois grands mouvements :
- les conservateurs, les membres du Conseil ayant tendance à prôner l'autarcie, le conservatisme des mœurs elfiques, le renfermement des elfes dans leur royaume, un certain racisme prononcé aussi envers les autres peuples, certains extrémistes allant jusqu'à prôner parfois de reprendre les bateaux pour d'autres terres plus accueillantes ;
- les libéraux, les membres du Conseil qui prônent l'ouverture du peuple elfique aux autres peuples, la création d'alliances à long terme et pas seulement à l'occasion de guerre, le partage de connaissance et de richesses, ceux qui prônent enfin la compréhension des autres peuples, certains passionnés allant jusqu'à pousser leur volonté de tolérance aux vampires....
- les impérialistes enfin, les membres du Conseil ayant tendance à soutenir la famille impériale en toute occasion quand les litiges se font trop sentir surtout. Plus précisément, ces membres-là peuvent très bien s'affilier d'une façon générale à un des deux précédents courants, mais en cas de crise ou de conflit, ils se rangeront à l'avis de leur Impératrice.
Ces courants ne sont pas figés, certains membres du Conseil peuvent d'ailleurs ne se sentir affilié à aucun véritablement, osciller entre chacun... Les alliances se faisant alors et se défaisant au gré de l'histoire. Actuellement, aux premières années de l’âge d’Obsidienne, la tendance se veut impérialiste et libérale.
Empereur et Impératrice à travers le temps Thanendiel Evanealle : Il serait le premier empereur qu’aurait connu la race elfique. Il serait celui ayant posé les bases d’un pouvoir en Conseil. Serillë Evanealle : Elle serait la première impératrice qu’aurait connue la race elfique. Sœur et épouse du premier empereur, elle lui aurait succédé après que ce dernier est décidé de se retirer. Elle serait celle ayant posé les bases de la hiérarchisation de la société elfique avec la famille au centre de tout. Silcion Evanealle : Troisième dirigeante que la race elfique est connue, elle serait la fille des deux premiers. D’une piété extrême envers les Esprits, elle serait celle ayant instauré les fêtes religieuses au sein de la race elfique. Il est dit qu’elle n’eut jamais de maris, qu’aucun elfe ne l’a jamais touché et qu’elle n’eut jamais d’enfants. Réservant son corps et son âme aux esprits qu’elle vénérait. Finaën Evanealle : Quatrième dirigeant et frère de la troisième. Il serait à l’origine du code et du protocole elfique afin de maintenir la paix entre les différentes familles. C’est sous son règne que naîtront les vampires. C’est lui qui prendra la décision de faire quitter aux elfes Sylvaniel voyant que la menace vampirique ne pouvait être stoppée. Il mourra durant le voyage sur l’océan. Leonefir Evanealle : Cinquième empereur, il est celui qui conduisit les elfes en Armanda et parla avec les dragons au nom de son peuple. Adaëlle Evanealle : Première épouse de Leonefir, elle aura le titre d’impératrice uniquement grâce à son mariage, mais ne gouvernera jamais. Elfe mystérieuse qui aida Leonefir dans les heures les plus sombres avant de disparaître peu de temps après le débarquement en Armanda. Ce n’est qu’en l’an deux de l’ère d’Obsidienne qu’on apprendra qui elle était vraiment : Elewyn Ruddy, un Tarenth resté en Armanda pour réparer les erreurs de son père adoptif, Edwyn Ruddy. Lalillë Ataliel : Seconde épouse de Leonefir et première impératrice non issu de la lignée des Evanealle. Elle prendra la tête du royaume après la mort de son mari durant la guerre contre les vampires. Grande guerrière, elle guidera elfe dans la guerre jusqu’à l’arrivée des humains en Armanda. Nerur Evanealle : Fils de Leonefir et de Lalillë. Il sera élu empereur après la mort de sa mère. Il sera à l’origine de l’alliance entre les elfes et les humains contre la menace vampirique. Thraranduil Evanealle : Il dirigea le peuple elfique durant le départ des dragons et le départ de la magie et quittera ses fonctions lorsque son grand âge ne lui permettra plus de gouverner. Il sera tué durant l’attaque Alayienne lors de la bataille des bois sombres. Galadrielle Evanealle : Femme de Thraranduil, elle prendra sa place lorsque son mari quittera ses fonctions et les quittera à son tour, affaibli par sa grossesse. Eliwyr Meraennon : Deuxième empereur non issu de la lignée des Evanealle. Il prendra la tête du royaume elfique après le départ de Galadrielle dont il était l’amant. Il guidera sa race durant sa migration jusqu’à Aigue-Royale quand le brouillard du Néant aura rendu la forêt de l’Ouest invivable. Il mourra lors de la bataille de l’Aube Rouge en s’interposant entre un carreau d’arbalète et Aegnor Evanealle. Aegnor Evanealle : Dernier empereur en date de la race elfique. Il reprendra la tête d’un peuple en exil et menacer d’extinction par les deux guerres qui frappèrent successivement Armanda, avant de finalement les conduire dans les montagnes du Nord-est et leur offrir un nouveau territoire et une cité nommée Estëllin.
International Si les elfes préfèrent vivre entre eux, de vieilles relations les lient aux autres races.
- D’abord avec les vampires, l’ennemi ancestral qui les a suivit jusque sur ce continent. D’aussi loin qu’ils s’en souviennent, ils ont toujours été en guerre : car les vampires sont pour eux des êtres maudits qui troublent l’ordre naturel des choses. L'histoire des elfes est longue même en adoptant leur manière de concevoir le temps (une génération correspondant à un millénaire) et les vampires sont associés aux pires périodes de cette histoire. Certes les premiers vampires furent autrefois des elfes, et ce fut un vampire qui le premier devient dragonnier et essaya d'imposer une paix entre les deux peuples. Mais ce fut un échec. Avant l'arrivée des hommes, la guerre dura plus de treize siècles et il en fallut un supplémentaire lorsque les humains accostèrent pour refouler la menace. Néanmoins l'immunité que les elfes semblent avoir développée contre le venin vampirique pourra peut-être, à terme, amener ces relations à changer.
Jusqu’à récemment, toutes les tentatives de trêves ou de paix s’étaient soldées par un échec. La trêve des premières années de l’ère d’Obsidienne, suivit de la paix est donc une première dans leur histoire. Bien que la haine et la rancune reste tenaces, les relations elfico-vampirique tendent à s’apaiser. Peut-être qu’une paix durable existera avec cet ennemi ancestral ?
- Pour ce qui est des dragons, les elfes sont intimement liés à eux, car dépendant de la magie dont ils sont la source. De plus, ce sont les dragons qui les ont accueillis sur le continent et qui leur ont offert ce refuge alors qu’ils fuyaient l’extinction. Ils les considèrent comme de merveilleuses et de redoutables créatures. Malheureusement le départ des dragons fut aussi celui de la magie, ce qui provoqua le déclin des elfes. Un revers qui fut difficile pour ce peuple qui avait déjà tant souffert. Mais contre qui pouvaient-ils se plaindre ? Les dragons, incarnation même de la liberté ? Les hommes, qui les avaient fait fuir ? Finalement le Dracos Honoris sauva Armanda et les elfes par la même occasion. Les dragons revinrent et avec eux la magie. Un peu d'une génération de doute et de souffrance, ce n'était pas cher payé. Les elfes vouent un véritable respect aux dragons et aux dragonniers.
- Les hommes sont de très vieux alliés, puisqu’ils ont combattu côte à côte contre les vampires. Néanmoins et contrairement aux elfes, les générations d’hommes se succèdent très rapidement, et il est parfois difficile pour les elfes de les suivre ou même de considérer des êtres aussi brefs comme des égaux et non comme des enfants turbulents. A cela s'ajoute l’isolationnisme elfique. Après la guerre et la victoire (en demi teinte) contre les vampires, le Beau Peuple n'avait plus qu'une seule envie : retourner vivre dans la forêt. Ils laissèrent les hommes à leur destin. Une décision que l'on pourrait considérer comme un abandon, sauf qu’elle permit aux hommes d'obtenir une hégémonie totale sur une large partie d'Armanda. Les deux peuples seraient-ils restés amis s’ils avaient dû partager les terres fertiles ? Considérant l'orgueil et l'avidité des humains, rien n'est moins sûr. C'est donc probablement cette isolation qui a permis à cette alliance de survivre à travers les siècles.
Les alliances inégales que les elfes ont entretenues avec les hommes jusqu’à lors semblent se résoudre depuis l’apparition de Néant. La race elfique ayant une dette importante envers celle des hommes qui les ont accueillis lorsqu’ils furent chassés de leur terre par Néant. Certains elfes envisageant même une alliance plus que solide avec un des royaumes de cette race, qui malgré ces très nombreux défauts, a su se montrer digne de confiance.
Organisation Armée régulière elfique. Elle vise à conquérir ou à défendre un territoire, détruire ou protéger d'autres unités militaires ou des unités civiles. C’est en son sein que sont formés les soldats du royaume elfique, jusqu’à devenir des élites et monter en grade ou changer de corps d’armée. Outre la formation des soldats, elle est en charge en temps de guerre des batailles et en temps de paix de la surveillance et de la sécurité dans la cité, et même des caravanes marchandes. L'armée peut également s'occuper de divers travaux et remplir diverses fonctions, comme les travaux de déblaiement en cas de catastrophe naturelle ou de police en cas d'occupation. Elle est sous le contrôle du Général elfique qui répond au Conseil.
Ce corps d’armée a pour but ultime de protéger la couronne, l’Empereur, l’Impératrice ainsi que la famille Impériale, coûte que coûte. Par extension, c’est à eux que sont confiées la surveillance et protection du Palais Impérial ainsi que de la Salle du Conseil. Ils accompagnent leurs protégés durant leurs déplacements. Il n’est pas constitué des meilleurs soldats de l’Empire, les Elfes plaçant la protection de leur royaume avant celle de leur souverain. Mais ce n’est pas pour autant que ce corps d’armée n’est pas composé de soldats d’élite. Extrêmement souvent, les Rôdeurs étaient d’anciens gardes impériaux. Faire partie de la garde impériale est un très grand honneur. Ses membres sont sélectionnés pour leurs capacités, leur courage, mais aussi et surtout leur mental. Ils sont prêts à mourir pour l’Empereur ou l’Impératrice et la famille royale à qui ils vouent une grande fidélité. La garde impériale est un corps d’armée placé directement sous le contrôle absolu de l’Empereur. Ils sont au-dessus du système hiérarchique de toute l’armée. Ils disposent néanmoins d’une formation militaire, étant en grande majorité d’ancien soldat de l’armée. En temps de guerre, ils accompagnent leur souverain au combat. .: Uniforme :. Les gardes impériaux elfiques portent une armure en accord avec leur fonction de protection. Ainsi ils possèdent une tenue en maille de Mithril couleur argentée, gainée afin de ne pas les gêner, et renforcée par une armure en Adamantine.
Leur torse est couvert, en sous-couche, par une tunique dont les pans descendent sur les genoux, faite en maille de Mithril, et dont les manches serrées laissent place à des protections d’avant-bras d’Adamantine surplomber de gant en cuir doublé de fourrures internes afin de protéger du froid, le bout des doigts est doublé d'une fine fibre végétale enchantée afin de ne pas se briser, et en sur-couche d’un plastron d’Adamantine. Les épaules sont dissimulées par des épaulières faites de Mithril, raccorder au plastron et maintenues par des bandes de cuir où vient s'agrafer une chaine couleur d'argent portant une unique gemme de Cornaline. De même, les coudes sont renforcés par une bande de cuir et de velours couleur argentée. Les poignets quant à eux sont entourés de bracelets de force faits d'argent. La ceinture est faite d'un baudrier de cuir doublé de soie de grise et de feuilles et permet d'accrocher les fines lames elfiques, le tout tombant sur le haut des cuisses mais sans gêner les mouvements.
Leurs pantalons de cuir sont renforcés par une paire de jambière d’Adamantine, maintenue par des bandes de cuir qui les ceignent sur toute leur longueur, contrairement aux mollets laissés libres en dehors des hautes bottes montant jusqu'aux dessus des genoux et portant sur chaque côté un sigil d'argent gravé d'un arbre.
Ils ne portent pas de cape. Mais un heaume formé de deux parties, l'une tout en courbes entourant les joues et l'arrière du crâne et l'autre aux formes plus élancées et plus aériennes dissimulant le haut du crâne et le front, les yeux restant libres afin de ne pas gêner les tirs.
Les rôdeurs, autrefois nommés Forestiers, sont les gardiens du Royaume Elfique. En temps de paix leur mission est simple : veiller sur les frontières du royaume. En temps de guerre, ils sont également en charge des missions à hauts risques et sont d’excellents éclaireur. Les Rôdeurs sont l’élite de l’armée Elfique, ce qui explique leur très petit nombre. Ils sont en effet à peine une cinquantaine. Ils se comportent telle une famille. Généralement de très bon archers, ils sont également habiles avec une dague ou une épée. Toutefois, il existe bien entendu des exceptions. Devenir un Rôdeur n’est pas à la portée de tous, mais c’est un grand honneur. Il est nécessaire de faire preuve d’une dévotion sans faille pour le peuple Elfique et la couronne mais, surtout d’avoir les capacités physique et le savoir faire nécessaire. Tous les membre de ce corps sont généralement issue des rangs de l’armée régulière où ils ont été repérés. Contrairement aux autres corps de l’armée, les Rôdeurs sont à part. Ils sont sous l’autorité de leur Général - Le Général des Rôdeurs Elfiques de son titre complet - , qui lui même répond directement à l’Empereur. Le général de l’armée Elfe n’a rien à voir avec les affaires des Rôdeurs et vice versa. .: Uniforme :. Les soldats forestiers elfiques portent une armure en accord avec leur environnement de prédilection. Ainsi ils possèdent une tenue de cuir couleur de mousse, gainée afin de ne pas les gêner, et renforcée par de la fibre de feuilles.
Leur torse est couvert par une tunique dont les pans descendent sur les genoux, filée d'écorces fines, et dont les manches serrées laissent place à de hauts gants montant jusqu'aux coudes et doublés de fourrures internes afin de protéger du froid, le bout des doigts est doublé d'une fine fibre végétale enchantée afin de ne pas se briser. Les épaules sont dissimulées par des épaulières faites de trois couches de cuir superposées et maintenues par des bandes de cuirs où vient s'agrafer une chaine couleur d'argent portant une unique gemme blanche. De même, les coudes sont renforcés par une bande de cuir et de velours couleur de mousse. Les poignets, quant à eux, sont entourés de bracelets de force faits d'argent. La ceinture est faite d'un baudrier de cuir doublé de soie de grise et de feuilles et permet d'accrocher les fines lames elfiques ainsi que deux carquois de flèches, le tout tombant sur le haut des cuisses mais sans gêner les mouvements.
Leurs pantalons de cuir portent une doublure externe servant de jambières, et des bandes de cuir les ceignent sur toutes leur longueur, contrairement aux mollets laissés libres en dehors de hautes bottes montant jusqu'aux dessus des genoux et portant sur chaque côté un sigil d'argent gravé d'un arbre.
Ils portent une cape tombant souvent dans le creux des reins, de couleur verte pour les soldats et d'argent fluide pour les officiers. De même ceux-ci portent, en plus de la tenue classique, un surcot de mailles de mythril très fines contrairement aux soldats portant eux un casque conique formé de deux parties, l'une tout en courbes entourant les joues et l'arrière du crane et l'autre aux formes plus élancées et plus aériennes dissimulant le haut du crane et le front, les yeux restant libres afin de ne pas gêner les tirs. Leurs arcs et armes de poing se portent soit sur le dos soit sur le flanc de leur bras d'arme.
Merci à Merithyn Shadowsong pour cet uniforme
|
| | | Luna Duruisseau Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
| Sujet: Re: Les elfes Ven 27 Mai 2016 - 15:27 | |
| |
| | | Contenu sponsoriséMon identité Mes compétences
| Sujet: Re: Les elfes | |
| |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |