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L'histoire des Elfes

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MessageSujet: L'histoire des Elfes L'histoire des Elfes Icon_minitimeLun 13 Fév 2017 - 19:39

L'histoire des Elfes

Les elfes sont un peuple très ancien. Ils sont les protecteurs de la nature et ont toujours vécu en harmonie avec elle, la protégeant même au besoin. Ils sont de puissants magiciens et de bons guerriers, de plus ils ont cette sagesse que procure une vie longue et harmonieuse passée dans la méditation.

Un peuple en exil, fuyant une malédiction...


Les elfes peuvent prétendre être les premiers bipèdes arrivés sur Armanda. Dans leurs immenses bateaux aux voiles blanches, ils débarquèrent au début de l'âge de Bronze à l'extrémité sud-ouest du continent, apeurés, affamés, perdus... et furent accueillis par les nobles dragons eux-mêmes. Si les premières rencontres furent déroutantes de part et d'autre et créèrent quelques mouvements de panique parmi les elfes, très vite une relation de vive curiosité, de réel intérêt puis de respect mutuel s'instaura.

Leonefir Evanealle, dirigeant de peuple elfique, conta alors leur histoire. Honorable et très ancien peuple, la communauté elfique était constituée de plus d'un milliard d'elfes résidant tous en bonne entente sur le continent Sylvaniel. Ils y vivaient en harmonie avec la nature, en honorant les esprits et en faisant de l'équilibre de l'univers leur credo. Jusqu'à... Jusqu'à ce qu'une terrible malédiction ne les frappe.

Une malédiction nommée vampire. Oui, vampires : vampires qui étaient en réalité leur propre création même si involontaire, vampires dont le premier était en fait un elfe maudit, nommé Enalfir, maudit par les esprits eux-mêmes en répression de ses actes effroyables, vampires enfin qui les ont forcé à fuir et quitter leur si bel Sylvaniel. En effet, quand Enalfir se releva de la mort, il s'empressa de contaminer d'autres membres de sa famille, formant ainsi les premiers vampires du monde, puis vint le tour d'autres elfes, et d'autres, et d'autres encore.... Une guerre sans fin s'ensuivit entre elfes et vampires, les uns chassant le jour ceux qui les tuaient la nuit...

Se sentant totalement démunis, dépassés, face à cette horde de vampires toujours plus nombreuses, et se sentant également délaissés, abandonnés par les esprits qu'ils avaient dans le même temps presque reniés, les elfes virent leur peuple se faire décimer. Le seul salut résidait dans la fuite. Le voyage par bateaux dura bien longtemps, les elfes menaçant de perdre espoir, jusqu'à ce qu'Armanda ne leur tende les bras.

Touchés par cette histoire, les dragons acceptèrent d'accueillir les elfes en leurs terres et les guidèrent vers les vieux bois, où le beau peuple s'installa et prospéra. Mais jamais les elfes ne purent oublier...

...pour mieux la retrouver...


Si les elfes avaient fui la malédiction qui les avait frappés sur Sylvaniel, elle sembla toutefois vouloir les suivre jusque dans leur exil ! En effet, sournoisement cachés dans les cales de l'un des bateaux, deux êtres avaient su s'infiltrer. Deux êtres... Deux vampires... Voyage éprouvant alors que fut le leur, confinés dans l'ombre des bateaux, assoiffés, frôlant la folie, mais tenant bon grâce à une étonnante volonté de survivre à leurs frères restés en arrière condamnés.

Eux aussi assistèrent à l'accueil des dragons, eux aussi purent s'émerveiller du nouveau continent qui leur promettait une nouvelle renaissance. Eux aussi s'y installèrent... et prospérèrent. Ils devinrent rapidement trois, puis quatre, puis dix, cent... La race des vampires prenant alors peu à peu son essor. Bien vite alors les guerres entre les deux races reprirent, et la paix tant prisée par les elfes ne fut que doux rêve éphémère.

Même l'arrivée du peuple des Hommes ne parvint pas totalement à apaiser les braises ardentes de cette guerre ancestrale. Il fallut attendre plusieurs centaines d'années, après tant de conflits et de guerre acharnés, d'alliances inégales avec les Hommes, pour qu'enfin les vampires se voient refoulés, chassés, repoussés dans les terres inhospitalières de l'extrême est. Un ersatz de paix naquit alors vers l'âge d'argent. Elle aurait pu continuer ainsi, les elfes en avaient tant prié les esprits...

Mais c'était sans compter deux événements majeurs qui menaça de nouveau le beau peuple : le départ des dragons d'une part, qui menaça la magie d'Armanda et menaça plus particulièrement les elfes d'un nouveau déclin, eux dont la magie est si primordiale et si vitale ; et la renaissance du peuple vampire d'autre part, sous la bannière d'un chef unique au nom de Lorenz Wintel. Les elfes allaient-ils de nouveau fuir ? Ou feraient-ils face cette fois à leur destin ?



… et vivre un nouvel exil …


La magie dépérissant et le peuple vampirique renaissant, le peuple elfique entra dans un âge de décadence. Avec l’aide des Baptistrels, ils se replièrent sur eux-mêmes, créant une puissante barrière magique, une lisière qui les coupa du reste du monde. À l’extérieur de leurs frontières, la guerre reprit, les vampires sortant des galeries dans lesquelles ils avaient été repoussés plusieurs années auparavant. Les Humains durent faire face seuls à cette menace.

C'est alors qu'un nouvel ennemi fit son apparition, plus terrible que les vampires. Des humains, venus d'un autre continent, se faisant appeler les Alayiens débarquèrent sur les côtes Armandéennes. Ces derniers vénéraient un esprit nommé Néant qui prônait la destruction pure et simple de la magie, son annihilation ainsi que de toutes créatures y étant liées. Mais face à cette menace les elfes restèrent une fois de plus inactifs, les Alayiens écrasant l'empire humain ainsi que les vampires. Ce n'est que lorsque la situation devint gravissime que le peuple sylvestre commença à intervenir.

Mais cette intervention était bien tardive, l'empire humain à moitié conquis par les Alayiens, les vampires en déroute, ils représentaient aux yeux de ce nouvel ennemi la dernière menace capable de les entraver. Et pourtant cette menace restait terrée derrière ses protections. Il fallut l'intervention directe de Néant pour abattre les lesdites protections pour que le territoire des elfes soit directement attaqué. Fort heureusement l'attaque Alayienne fut repoussée, mais cette réussite n'était pas due aux forces elfiques. Néant avait été défait dans le plan astral et les armes Alayiennes perdirent leur pouvoir conduisant ces fanatiques à la déroute.

À la suite de cet assaut, les elfes se décidèrent à apporter leur soutien aux humains et aux vampires au sein d'une coalition contre l'envahisseur Alayien. Et c'est au cours de cette coalition que Néant fut directement blessée. Le Baptistrel Elfique Merithyn Shadowsong et le prince vampire Lorenz Wintel allièrent leurs forces afin de détruire l'artefact de Néant : Dévoreuse. Ce blasphème entraîna Néant à faire surgir de terre trois sanctuaires, ces derniers se trouvant au sein de la forêt elfique à l'extrême Ouest. De ces sanctuaires jaillirent alors une brume qui se mit à détruire la trame magique, envahissant le royaume elfique jusqu'à le rendre inhabitable. Forçant dès lors les elfes à quitter leur forêt pour se réfugier au sein d'Aigue-Royale, une ville souterraine humaine symbole de la rébellion contre les Alayiens.

... Sans pour autant perdre espoir...


Chassés de leur forêt par Néant, les elfes trouvèrent refuge au sein d’Aigue-Royale où ils ne pouvaient plus ignorer la menace. Mais les elfes devaient malheureusement faire face à un problème politique interne entre l’empereur Eliwyr Meraennon et le prince Aegnor Evanealle. Affaiblis par la perte de leur foyer, divisés par une crise interne, les elfes n’étaient pas au bout de leurs peines. Maintenant que leurs protections magiques n’étaient plus là, la guerre allait les frapper de plein fouet. Et c’est ce qui se passa lors de la bataille de l’Aube Rouge durant laquelle les Alayiens prirent d’assaut Aigue-Royale. Un combat qui fut remporté par la coalition elfico-humano-vampirique, mais qui les meurtrit. Cette bataille permit néanmoins d’entrainer la déroute totale des Alayiens. Cependant, si cet ennemi fut repoussé, un mal plus grand encore se cachait dans les tréfonds d’Armanda.

Ce mal se nommait Vraorg. Un dragon albinos ayant volé le cœur de Néant, l'esprit du néant devenant alors une simple coquille frappée de folie et dotée de grands pouvoirs. Et s'étant, par ce larcin, doté des mêmes pouvoirs qu'un esprit avant que les frères de Néant ne parviennent à l'enfermer dans un cachot au fond de la terre. Lorsque Vraorg fut libéré, il frappa durement Armanda et tous les êtres s'y trouvant avant que les Sept Esprits ne se décident à intervenir et le combattre. C'est sur fond de ce combat entre Vraorg et les Esprits que se furent fondées deux nouvelles nations. Le protectorat, héritier de la rébellion d'Aigue-Royale et coalition des races contre un ennemi commun, d'un côté. Et la théocratie, empire construit sous la domination de Vraorg, de l'autre.

Tous ceux qui parvinrent à échapper à Vraorg rejoignirent le protectorat. Certains malheureux ne parvinrent pas en revanche à s'enfuir assez vite. Et certains fous décidèrent de le servir. La majorité des elfes suivirent leur nouvel empereur qui décida de rejoindre le protectorat. Le peuple elfique trouva alors refuge au sein du désert d'Esfelia où ils durent cohabiter avec les humains, les vampires et même les Alayiens. Ces années transformèrent ce peuple qui était resté cloîtrer sur lui-même pendant si longtemps. L'esprit de Sandur, l'esprit de la cohabitation pacifique avec les autres races qui, bien des années plus tard, influencera encore les elfes.

L’ère sombre instaurée avec la libération de Vraorg provoqua de véritables saignées au sein de chaque race. Cette ère prit fin avec la défaite du dragon blanc lors de l’assaut final contre Sandur où il trouva la mort. Après cette victoire, les Armandéens décidèrent de conclure un traité de paix afin que les horreurs connues ces dernières années ne se répètent pas. Les elfes signèrent le traité et se virent attribuer un nouveau territoire : les montagnes du Nord-Est d’Armanda devenant les cimes elfiques. Il leur fut en effet impossible de retourner dans leur ancienne forêt, les ravages de Néant ayant causé des dégâts bien trop importants à la trame et un mal semblent s’y être installés, rendant le lieu totalement inhospitalier.

Les elfes sortirent de cette guerre encore plus affaiblie qu’avant. Elle fit de nombreux morts au sein de leur race et leur faible taux de natalité ne leur permettra pas de se soigner de cette blessure avant des siècles. De plus, leur royaume fut une fois de plus perdu et les obligèrent à en construire un autre. Mais le peuple sylvestre ne perdit pas espoir pour autant. Ils bâtirent une cité qu’ils nommèrent Estëllin – l’espoir secret- une ville qui marqua la fin de leur âge de décadence et le début d’une nouvelle ascension.

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