Pierrot était tranquillement installer sur sa chaise, lisant attentivement ses notes sur l'évolution des astres afin de vérifier l'aboutissement de ce demi siècle d'étude sur le mouvement des différentes étoiles et leur influence sur la faune et la flore sur leur planète. Il avait réussi à poser les bases de ce qui serait un jour appeler l'astronomie. Pour réussir il avait du cartographier une grand partie des cieux et il avait mis au point un appareille qu'il avait nommé télescope. Il savait qu'il était loin d'avoir réussi à faire le plan total des cieux et que toute ses cartes ne devait représenter moins de un pour cent du ciel mais cela était largement suffisant pour prouver ça théorie concernant la forme de la planète et sa place dans l'univers que les esprits avaient crée.

L'Archimage de la confrérie du dragon blanc poussa un soupire de soulagement en refermant l'ouvrage qu'il venait de finir d'écrire et qu'il avait intitulé « L'univers et son fonctionnement de base ». Un jour ses recherches aideront chacune des race à grandir mais pour l'heure elles étaient encore toute trop jeune ou traditionaliste pour que ses découvertes ne leur soit véritablement utile. Le sage au mile soixante et un ans s'étira et se releva de sa chaise afin d'aller ranger son manuscrit dans sa bibliothèque prévu pour les travaux finit. C'était une bibliothèque des plus impressionnante tant elle contenu d'ouvrage, mais à coté de celle prévu pour les études en cours, elle paraissait des plus petite.

Pierrot prit la direction de sa cuisine, l'eau sifflant lui signala qu'elle était prête pour qu'il finisse de préparer son thé. Pendant qu'il s'y rendait, une légère brise fit tomber plusieurs parchemin à ses pieds. Il les ramassa, et reprit le chemin de sa cuisine. Il acheva la préparation de son thé et sans servit une tasse avant de reporter son attention sur les différents papiers qu'il venait de ramasser. Permis-eux, qui contenaient pour la plus part des notes sur différentes études, se trouvait un parchemin qu'il avait reçu des mains d'un autre mage qui faisait parti d'un groupe particulier. En effet, ce groupe voyageait à travers tous le continent et offrait à toutes les races sans distinction la possibilité contre de l'argent d'enchanter tous type d'objet. Le problème n'était pas les prix plutôt, mais le fait que les clients devaient se procurer des ingrédient magique. De ce fait, enchanter un objet n'était pas à la porter de tous le monde. Il fallait soit avoir beaucoup d'argent pour acheter à des personne généralement peut recommandable ce dont on avait besoin ou alors les mage donnait une énigme qui devait permettre à la personne de trouver l'ingrédient.

Le grand maitre mage tenait dans ses mains une énigme qu'il avait reçu après une longue conversation qu'il avait eu lorsqu'il avait rencontré ces mages. D'ailleurs maintenant qu'il y pensait, à chaque fois qu'il les avait croisé, il repartait avec une énigme mais jusqu'à présent il avait toujours eu quelque chose de plus important à faire. Comme il venait de finir un de ses projets, il s'autorisa un peu de repos pour ce détendre. Qui sait la résolution de cette énigme pourrait peut-être l'amuser. Il but une gorger et lu à voix haute l'énigme :

« Là où le soleil se lève, nous nous dressons.
Parcoure les terre, crains le soleil, nous t'attendons.
Bien des pierres en notre sein mais une seule attirera ta main. Prend garde...»

Un fin sourire s'étira sur ses lèvres. L'énigme était plutôt simple et sans le savoir il avait déjà accompli une partie de la tache qu'on lui avait confié. À Chaque fois qu'il avait rencontré cette communauté c'était sur les terres de l'empire hors il fallait prendre l'énigme comme s'il était parti des terre impériale et non de chez lui. " Là où le soleil se lève... ", cette partie de l'énigme faisait référence à l'est du continent, " ...nous nous dressons. ", logiquement ce morceau parlait des montagnes au cœur des quelles il s'était installé il y a des siècle de cela. " Parcoure les terre, crains le soleil, nous t'attendons. ", cette phrase faisait référence au désert qui entourait ses majestueuses montagnes et à l'un de ses principaux danger le soleil. Enfin, " Bien des pierres en notre sein mais une seule attirera ta main. Prend garde..." ce dernier détaille indiquait deux choses, l'ingrédient qu'il devait trouver était sans doutes une pierre d'Asbeth! Le deuxième détaille était la mis en garde soit l'endroit où se trouvait ce qu'il cherchait, été gardé soit c'était juste un avertissement sur les danger naturelle de la montagne.

Pierrot, finit son thé, enfila sa cape de voyage qui l'accompagnait toujours lorsqu'il quittait sa demeure, rangea le parchemin dans un petit sac, contenant en plus des vivres pour la semaine, et installa Cruoris dans son dos juste sous sa cape. Il vérifia que sa maison était parfaitement protéger et il s'enfonça dans les monts enneigé de cette matinée de janvier.

Plusieurs heures s'étaient écoulés depuis qu'il avait quitté son sanctuaire. Et pendant qu'il parcourait la montagne, son esprit vagabondait au grès du décore. Le monde était tellement beau, avec l'age il avait appris à aimer toute chose en ce monde. Il n'existait rien qui ne puisse paraître magnifique à ses yeux.

Ses besoins physiologique le sorti de la transe dans laquelle il se trouvait. S'arrêtant de marcher afin de trouver un endroit convenable où il prendrait son repas. Un rocher aussi haut qu'une table basse, non loin de sa position, lui paru parfait. Il se dirigea tranquillement vers ce dernier. Une fois à sa hauteur il dégagea la neige qui le recouvert et fit une boule de feu pour assécher un minimum la roche avant d'y poser une nappe propre. Pierrot installa dessus un gobelet en fer à l'allure très artisanal ainsi qu'une miche de pain et du saucisson. Il se fit un sandwich dans lequel il rajouta quelques herbes.

Assis sur son rocher recouvert par sa nappe, Pierrot mangeait en réfléchissant à la suite des évènements. Il s'était lancé dans une quête sans prendre la peine de si préparer un minimum. Ses vivres étaient limité et ses possibilités elles aussi. S'il avait deux ou trois siècle de moins les choses aurait été bien différentes. L'ascension du mont n'était plus vraiment pour lui ou sauf cas d'extrême urgence s'y rendre sans s'être un minimum préparer et en plein milieu de l'hiver, ce n'était pas raisonnable. En plein milieu d'un été hardi l'aventure pouvait être tenté et encore seulement par une personne connaissant parfaitement la montagne et ses dangers.

L'archimage savait que l'objet de son énigme, ce trouvait quelque part dans ces montagnes mais où? C'était toute la question. Il chercha dans sa mémoire des lieux où il n'avait jamais mis les pieds et qui pourraient correspondre à ce qu'il recherchait.
Le vielle homme légèrement perdu dans se réflexion, attrapa son gobelet et le remplit de neige avant de lancer un mini boule de feu dessus qui eu pour effet de faire fondre toute la neige à l'intérieur. Il prit ensuite un sachet contenant des plantes qui déposa dans l'eau fraiche. Il faisait tous cela sans y faire véritablement attention comme si cela était un veille automatisme qui avait pris. Une fois que son thé fut fini et bu il rangea toute ses affaires qui avait au préalable nettoyée et sorti sa pipe pour fumer un petit peu.

Ses souvenirs lui avait rappelé l'existence d'une caverne dont il avait déjà croisé l'entré mais qu'il n'avait jamais exploré et celle d'un bois au flanc de la montagne dont là encore il n'y avait pas poser pour le moment un seul cheveux . Si Pierrot s'était lancé dans cette quête, c'était pour sortir de chez lui et ce distraire. Explorer une caverne pouvait être distrayant mais il ne voulait pas s'enfermer de nouveau. Il fini donc de fumer et se mit en route pour le bois. Deux heures plus tard, le vielle homme y pénétrait d'un pas lent prenant le temps d'observer ce décore qu'il découvrait.

Intervention du maitre de quête :

Un choix et un seul, mais est-ce seulement le bon ? Le voyageur marche dans le bois obscurs, la tempête de neige se lève au loin mais il est protégé en partie par les arbres. Doit-il s'en réjouir ? Peut-être, qui sait ce qu'il se serait passé si il s'était perdu dans la neige ? Rien de bon pour lui assurément...
Et dans les bois alors ? Car la lumière ne filtre pas en ce lieu, une magie étrange y rode. Les chemins prit par l'aventurier s'effacent, les arbres eux-même semblent s'amuser à essayer de le perdre. Cette fois ça y est, il est perdu...

Ne panique pas voyageur et résout cette énigme, ainsi seulement tu sauras dans quelle direction te rendre. La résoudre te permettra de trouver le chemin de la victoire rapidement, te tromper te ralentira. Alors ?

Oublie tes repères mon ami, il n'y en a point ici
Un seul pas mal choisit serait grave réfléchit
Et ne cherche pas aux cieux, une réponse sous tes yeux
Si tu ne trouve pas, reviens donc sur tes pas
Tu le sais voyageur, cherche donc ton coeur...

L'est, l'ouest, le sud ou le nord. Par où dirigera tu tes pas ?

Pierrot était parcouru d'un sentiment d'excitation et d'amusement comme lorsqu'il était plus jeune. Cette quête avait ranimé en lieu ses vieux rêves d'aventures de son enfance. Il en était quasiment certain, aucun humain, elfe, vampire ou même dragon n'avait pénétré dans ces bois depuis plusieurs siècles, peut être même qu'il était le premier à y rentré?

L'archimage, qui se tenait à lisière du bois, constatait qu'il lui serait difficile d'explorer ce lieu. En effet la forêt était d'une telle densité que la lumière du soleil n'y pénétrait pas. Cela donnait un coté lugubre à ce magnifique endroit mais ne le découragea en rien. Le vielle homme sorti une troche, l'alluma et franchit le seuil de ce lieu au premier abord peu accueillant.

L'ex-dragonnier s'enfonça sans crainte entre les arbres, s'amusant à reconnaître chaque plante qui croisait sa route, et s'il ne connaissait pas l'une d'entre elle, il s'arrêtait pour en faire un croquis en prenant soin de noté toute les particularité de il arrivait à leurs attribuer sans les toucher directement.

Le temps passait rapidement mais notre aventurier n'en avait pas conscience. Dans ces bois la lumière du soleil n'arrivait pas à percer le feuillage de ses arbres millénaires, et la lumière du soleil était la principal référence temporelle pour l'humain. La deuxième référence de Pierrot était son estomac qui lui sortit, après bien des heures, le nez de son cahier.

Il se rendit alors compte de ce qui venait de se produire, il s'était laissé entré dans ses recherches alors que le but premier de cette sorti était justement de faire une pose. De plus il n'avait pas fait attention au chemin qu'il avait emprunté, il était donc perdu au milieu de ces bois. Un fin sourire s'installa sur ses lèvres, c'était une très bonne journée pour lui. Il installa un campement tous simple pour dormir sur place. Un petit feu de camps fait avec du bois mort pour qu'il passe la nuit au chaud et qu'il puisse cuisiner, et quelques vielles couvertures qu'il avait déjà à de nombreuse reprise utilisé.

Mais l'heure de dormir n'était pas encore là. Comme tous le nuit, Pierrot sorti un livre qu'il allait une nouvelle fois parcourir « Les esprits et leur bien fait ». Conformément à son statue d'archimage de la confrérie du dragon blanc, il honora tous les esprits sans exception et pria pour chaque être vivant dans ce monde quelque qu'il soit au près du Dracos. Après plusieurs heures, alors que la nuit était déjà bien avancer le vielle s'apprêtait enfin à se coucher. Il remit du bois dans le feu pour qu'il dur jusqu'à son réveille. Il jeta un dernier regard à cette mystérieuse forêt en scrutant le sol environnant au cas où il aurait loupé l'ingrédient pour lequel il se trouvait ici à la base. Et pendant ce temps le sommeille le gagnait sans qu'il n'y face réellement attention laissant son cœur être bercer par la mélancolie du décore.

Le lendemain, après avoir pris un petit déjeune correcte et avoir rangé tous sont matériel, Pierrot interrogea sur la direction à prendre. Son seul indice était sont énigme de base hors elle commençait par lui dire d'aller à l'est avec un peu de chance cela était peut-être encore la bonne direction. Il se mit donc en route en prenant soin de vérifier régulièrement sa trajectoire grâce à la mousse qui pousse sur les arbres et qui indique le nord.

Intervention du maitre de quête :

Un bois touffu et sombre, un voyageur perdu. Une énigme sans réponse, une erreur interdite. L'aventurier a pris la mauvaise direction, malheur à lui !

Le chemin vers l'est mène à des marécages nauséabonds, le pied du voyageur s'y pose et voilà qu'il s'enfonce ! Le sol est traitre à cet endroit et il risque de se blesser en tentant de sortir, une branche non loin l'aiderait si il parvenait à l'attraper. Il peut aussi tenter de se sortir de lui-même de ce dangereux bourbier, y parviendra-t-il ?

Ô voyageur, la réponse était l'ouest. Une lecture simple t'aurais aidé à y parvenir ! Qui sait de que tu vas trouver à présent en ce territoire hostile ?

Une situation fortement désagréable, tel était le sentiment de Pierrot à l'heure actuelle. Décidément il devait faire plus attention à lui. D'abord il s'était perdu mais ce n'était pas très grave puisqu'il avait énormément de temps contraire au reste de son espèce donc passé quelques mois d'errance dans un bois n'était nullement problématique.

Le problème était qu'il c'était enfoncé dans un marais ou plutôt il coulait au fond de ce marais. À l'évidence il était allé beaucoup trop à l'est. Car à moins que les pierres d'Asbeth possèdent la capacité de flotté, il n'en trouverai pas ici.

L'archimage avait sur le visage une expression semi ennuyé sur son visage alors qu'il était déjà enfoncé jusqu'au genou. Il réfléchissait rapidement tout en veillant à ne pas faire le moindre mouvement afin de ne pas accélérer sa descente ver le fond du marais. Il passa en revu tous ce qu'il avait comme équipement ainsi que le décore avant d'opter pour une solution viable.

L'ex-dragonnier se concentra et lorsqu'il fut prêt quelques secondes plus tard il utilisa le sortilège délivrance. Ce sort n'allait pas le faire sortir du bourbier mais lui permettre de se déplacer comme s'il marchait sur la terre ferme. Ce n'était pas vraiment le but premier de ce sort et cette utilisation allait énormément le fatiguer mais au moins il pourrait sorti d'ici.

Le veille homme se dirigea ver une branche qui ce trouverait à moins d'un mètre de lui et l'utilisa pour se hisser sur un terre moins dangereuse. Une fois en sécurité est sale comme jamais, il arrêta son sort qui commençait à le fatigué pour cette sur utilisation. Il resta poser à cette endroit un certain temps pour récupérer et décider de sa nouvelle organisation.

Il n'avait pas pour habitude de revenir sur ses pas, il avait pour principe de toujours assumé ses choix et par conséquence il allait traverser ce marais. Il coupa la branche qui lui avait permis se sortir du bourbier et la tailla pour en faire un bâton d'un bon mètre quatre-vingt. Il commença alors sa longue traverser du marais en utilisant son nouvelle instrument pour vérifier que les zones où voulait poser ses pieds était belle et bien un sol solide.

Pendant plusieurs jours Pierrot avança dans les marais extrêmement lentement, et il se rationnait un maximum pour ne prendre aucun risque et s'arrêtait de temps à autre pour observer les espèces qui vivaient dans ce milieu et pour chasser les moustiques qui le prenait pour leur pique-nique. Finalement il finit par sortir du marais qui l'avait rendu physiquement méconnaissable. Il était de nouveau dans la forêt mais toujours aussi perdu. Il commença par refaire son stock de vivre en cueillant tous les fruits qu'il savait comestible. Après quoi il décida de prendre la direction opposé au marais qui était en l'occurrence le nord. Il utilisait toujours son bâton pour ne pas retomber dans le même problème de plus il pu enfin réutilisé sa torche qui lui avait un peu manqué. Il savait que faire du feu dans à marais était extrêmement dangereux à cause des émanations de gaz hautement inflammable provenant des corps des animaux en décomposition au fond du marécage. C'est ainsi qu'il s'enfonça de nouveau au cœur du bois.

Intervention du maitre de quête :

Gros ennuis pour un petit humain, échappé d'un marécage à l'aide d'une branche poussant par là, il n'a pas remarqué l'animal lové plus loin dans l'arbre.
Un animal étrange, est-ce... Un serpent ? Il en a les attributs mais sa taille gigantesque n'est pas naturelle. Une sagesse étrange brille sans son oeil, serais-ce... Un gardien ?
Le serpent suit la magicien, il rampe sur ses pas. Lorsque enfin l'aventurier se retourne, ils ont déjà parcouru bien du chemin ensemble. Un sifflement étrange sort de la bouche du reptile :

"Arrogancccce... Que viens tu chercher dans mes forêts, aviiide petite créature ? Volerais tu mes biens ?"

Il s'est dressé tel un cobra et ainsi il est plus grand que l'homme. Que lui répondre ? Le regard rusé de la bête se pose sur le sol devant lui. Un pierre étrange y brille, le but du voyage ? Le serpent claque sa machoire :

"N'essspère pas voler ma pierre voyageuur. Je ssuuiis le gardien, je te juge indiiigne."

En un éclair, le cou énorme du serpent s'est rabaissé vers le sol. Sa gueule béante s'ouvre, il a gobé la pierre ! Il juge l'humain indigne d'elle, peut-être vaudrait-il mieux renoncer ?

Pierrot avait eu à plusieurs reprise l'impression d'être épié, au début il pensait que cela devait être quelques animaux quelconque qui voyait pour la première fois un être humain. Naturellement les animaux ont peur des humains et la plus part se cachent lorsqu'ils ont peur, d'autre attaque. Mais la c'était différent, le regard qu'il sentait sur lui n'avait rien à voir.

Après plusieurs jours d'attente où l'archimage faisait comme si de rien n'était espérant que la personne qui le suivait face un premier pas pour discuter. Malheureusement, il semblait que cela ne ce passerai pas ainsi. Reconnaissant que continuer ainsi, l'humain se retourna et fixa, malgré la faible lumière, ce qui le suivit.

Au premier regard, il avait pensé se trouver face à un serpent anormalement plus grand que ce qu'il aurai du être. Pourtant il en avait tout les caractéristiques à l'exception de ses yeux dans laquelle le veille homme pouvait y décerner une certaine sagesse et un éclat de ruse comme les légendes le contentent si bien au sujet de leur race. Alors qu'il le contemplait émerveiller, cette être s'adressa à lui:

"Arrogancccce... Que viens tu chercher dans mes forêts, aviiide petite créature ? Volerais tu mes biens ?"

De tout évidence, il avait du faire quelque chose qui avait offensé cette créature qui fascinait Pierrot. Cherchant ce qu'il aurait pu faire dans sa mémoire, alors que le reptile se dressait de tout sa hauteur forçant le mage à lever la tête pour qu'il puisse toujours regarder son interlocuteur dans les yeux. Le gardien indiqua au veille homme de regarder par terre et l'archimage constata la présence d'une pierre qui brillait étrangement. Il avait trouvé ce qu'il cherchait mais avant qu'il n'est pu dire quoi que ce soit le serpent parla :

"N'essspère pas voler ma pierre voyageuur. Je ssuuiis le gardien, je te juge indiiigne."

Encore une fois le gardien agi sans laisser le temps à l'ex-dragonnier de s'expliquer ci-bien que lorsqu'il pu enfin parler la pierre ce trouvait dans le corps de son protecteur.

"Vous vous méprenez sur mon compte noble gardien, déclara le veille aventurier. Je ne suis nullement venus dans vos forêts pour vous voler. Je me nomme Spataro Pierrot et mes intentions ne sont pas malfaisante. Certes je recherchais bien un objet, un ingrédient que ceux de ma race appelle une pierre d'Asbeth. Elle a des propriétés qui peut nous être fort utile, toute fois, sachez que quelque soit l'utilité qu'elle aurait pu m'apporter jamais je n'aurais volé pour l'obtenir. J'aimerai vous faire une demande qui risque de vous paraître déplacer et je vous pris de ma pardonner s'il s'avère que c'est le cas. Pouvez vous me guider jusqu'à un endroit où je pourrais me procurer une pierre d'Asbeth sans craindre que cette dernière est déjà un propriétaire?"

Pierre avait parlez d'un voix calme, dont le ton respirait honnêteté et la sincérité et ses yeux étaient rempli de gentillesse, d'émervaillement et de curiosité. Mais cela n'allait peut-être pas suffire à convaincre le gardien de l'idée dans ça quête et si ce dernier décidé de refuser d'accédé à sa requête alors il était fort probable que le vielle homme soit contraint de rentré chez lui sur un échec.

Intervention du maitre du jeu :


*Ainssssi tu cherches la paix petit humain ? Saches qu'un gardien n'a que faiiiire de la paix. Je ssssuis là pour te tessster. Défends toi ou meuuures !"


Minute terrible pour l'aventurier, le serpent l'attaque ! Le lancé de dés suivant décidera de la réussite ou non de sa quête. Les résultats 1, 2 et 3 signifieront l'échec tandis que le reste lui donnera la victoire. Au joueur de faire son rp en fonction de sa réussite ou non au dés (si il réussit alors il doit marquer qu'il tue le serpent, si il perd il devra obligatoirement prendre la fuite).

Pierrot n'en croyait pas ses oreilles mais cela l'arrangeait. Le gardien était là pour le tester, son esprit partit rapidement dans plusieurs hypothèses il existait que quatre race pouvant parler hors mis les esprit. Même si cela lui aurait plus de découvrir une nouvelle race capable d'intelligence humanoïde ou dragonienne il avait un sérieux doute. L'explication la plus plausible soit que les mages de la caravane est dispersé au quatre coin du continent des ingrédient magique et qu'il ait laissé des protecteur magique garder l'objet.

Au vu du comportement particulièrement agressif du gardien, car le veille homme exécutait une sorte de danse, enfin il esquivait plus ou moins bien les attaque du serpent et tout regard extérieur aurai l'impression qu'il dansait. L'archimage était arrivé à la conclusion qu'il fallait vaincre le gardien ce qui était proprement problématique il doutait que simplement assommer le serpent géant suffise.

Ses réflexions dur prendre rapidement fin, il n'avait plus son endurance dans tant ce qui n'était pas le cas de son adversaire. Il fallait qu'il passe à l'attaque tant qu'il le pouvait. Dans un mouvement parfaitement coordonné il tendit son bras droit la paume ouverte vers les yeux du reptile et le pousse rentré. Une lumière vive et extrêmement aveuglant contenu du lieu du combat s'abattit sur la pauvre créature qui ne pu voir Pierrot sortir de sous sa cape de voyage la terrible hache Cruoris. Et malheureusement pour elle son odorat l'informa de l'attaque de vielle homme. Elle voulu reculer le plus rapidement possible pour esquiver mais le coup était rapide et précis. Si elle n'avait pas bouger, elle serait morte instantanément. Mais maintenant elle était grièvement blesser et l'arme magique avait commencé sa besogne.

Voyant le gardien soufrant, L'archimage eu un sursaut de dégout. C'était de la légitime défense mais ça lui laissait tout de même un goût plus qu'amer au cœur de sont âmes. Ne pouvant supporter de voir cette créature agonir, il tendit le bras, la paume de sa main vers le reptile, cette dernière ouverte, puis il la referma brusquement en accomplissant un quart de tour avec son poignet. Et c'était fini.

Pierrot récupéra la pierre d'Asbeth, et offra une tombe à son gardien. Avant de rentré chez lui pour préparé son voyage pour la caravane magique afin d'utiliser ce qu'il avait si cherrement gagné.