La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Aucun niveau
Hache : Aucun niveau
Faux : Aucun niveau
Fouet : Aucun niveau
Art du lancé (poignard, petite hache...) : Aucun niveau
Art de la parade (bouclier ou arme) : Aucun niveau
Arc : Aucun niveau
Arbalète : Aucun niveau
Mains nues/pugilat : Aucun niveau
Equitation : Très bon
Identité
Race :Humain
Nom :Valen
Prénom :Luthéana
Surnom(s) :Luth
Titre :à acheter si vous le souhaitez
Date de naissance :7/12/1740
Age réel :20
Age vampirique :
Lieu de naissance :Gloria
Lieu de vie :Caladon
Rang social :Noble
Poste/emploi :Courtisane
Guilde :Aucune
Equipement et magie
Arme principale :Zëphyr - Rapière ornée d'or et d'argent, longue, très fine et légère, arme ordinaire bien que c'est un bel ouvrage, elle ne s'en sert que très peu.
Autres objets :Les armes secondaires du personnage et/ou tout objet qu'il pourrait posséder.
Bague de la famille Valen - Marque élémentaire -
Bague d'argent incrustée d'un saphir - Parfum entêtant
Alignement :Neutre tendance maléfique
Totem :totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff
Style de magie principal :Humaine
Puissance magique innée :Correct
Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.
Physique et caractère
Physique : L'idée que l'on pourrait se faire de cette charmante demoiselle aux premiers abords serait une silhouette fine, élancée le tout accompagner d'une démarche sûre et élégante, un sourire à en faire pleurer les anges, mais des yeux de serpents, le regard acéré et froid.
Sa morphologie en général, de taille plutôt moyenne, fine, il est facile de reconnaître les gens qui ont souffert à un moment de leur vie, elle fait partie de ces gens-là, aux côtes apparentes, aux os visibles. Des bras fins sans muscle et puis ses jambes qui elles par contre sont très légèrement musclées. Mais malgré tout cela elle est loin d'être dépourvue de formes avantageuses, mais sans tomber dans l'excès.
Une peau pale presque translucide typique de la vie en intérieur, mais détrompez-vous cette dernière peu prendre assez facilement un teint légèrement halé. Sans défaut visible.
Son visage se trouve encore dans l'enfance, souvent accompagné d'un air mi-moqueur mi-enfantin, elle manipule ses lèvres et ses yeux à volonté, les années lui ont appris à maîtriser parfaitement ce corps et ses expressions. Pouvant passer sans problème de l'agressivité au calme de façade. Ses yeux quant à eux sont d'un bleu électrique la plupart du moment, très expressifs. Quand elle pleure, ça sera toujours silencieusement, comme si les larmes ne faisaient que sortir de ce corps.
Ses cheveux, eux, sont noirs, avec quelques reflets aile-de-corbeau, soigneusement entretenus, le plus souvent détachés et qui descendent jusque sur ses reins. Quand elle les attache elle a tendance à se faire une tresse qu'elle roule pour attacher le tout avec une pince, cela la vieillit et lui donne un petit aspect sévère, c'est la coiffure réservée aux grands moments ou à la vie mondaine.
Pour parler de ses vêtements elle ne porte que des robes, blanche ou noire, pour faire ressortir ses yeux si particuliers. Ni trop longue, ni trop courte. Le tout était accompagné d'une cape noire ou une autre blanche garnie de plumes de la même couleur. Sans ornement particulier de plus qu'elle reste le plus souvent pieds nus. Pour paraître, elle préférera les lourdes robes, les parures d'or et d'argent, les coiffures un peu plus complexes, les chaussures à talons et le maquillage.
Quant à son allure générale ? Ce n'est pas le genre de femme que l'on oublie généralement, une allure soignée, élégante, comme si chaque geste était calculé, toujours droite, jamais avachie. Elle sait se déplacer sans un bruit ce qui laisse parfois croire qu'elle sort de nulle part.
Sa voix quant à elle est mélodieuse, typée avec un accent sucré, elle sait tout aussi prendre un ton froid, manipulateur, impérieux, elle n'a pas sa langue dans sa poche et sait très bien comment manipuler et dire aux gens ce qu'ils ont envies d'entendre.
Caractère : Peut-être n’avait-elle jamais, vraiment.. Souffert. Était-ce le coût de la vie en elle-même ? Était-ce un douloureux souvenir, celui d’un amant au sourire mielleux ? La souffrance était, est, sera, une chose intouchable que l’on ne peut atteindre. Elle ferait presque rêver, le désir de la posséder ne s’essouffle jamais. Mais quand on la possède c‘est comme d’essayer d’arracher une catin de son client, ça s’accroche et ça reste. Que faire ? Attendre ? Souffrir en serrant les dents ? Essayer de partager sa douleur dans le mauvais sens ?
Et c'est comme ça.. C'est salop, c'est mauvais, c'est.. Horrible. Mais la souffrance est plaisante, sa compagnie berce les mœurs pour mieux faire mal autre part. La souffrance, c'est sacré. Nous sommes tous masochistes. Certains diront que non, ce sont des menteurs. Car elle n'a pas honte d'être masochiste, non elle le revendique, car elle assume. Cette pensée la fait souvent sourire. Masochiste vers l'avenir. Nous aimons nous faire plaindre, nous aimons être le centre d'intérêt, nous sommes de rats, de la vermine ; on en veut encore et toujours. On aime promettre et se dérober dans une habile pirouette. Elle vous laisse vous détruire petit à petit, c'est.. Distrayant. Saloperie de catin, va..
Elle cède souvent sous ses propres caprices, c'est un vice d'on elle ne parvient pas à se détacher. Nous avions – et nous aurons – les doigts entremêlés marchant vers le destin. Elle ne renonce à aucune partie d'elle-même comme ça ; elle la chérie, elle trouve la faille et elle la rejette. Elle essaye constamment d'obtenir un semblant de plaisir. C'est tout.
Révolutionnaire ? Certainement pas. Elle se qualifiait dans un certain sens de dictatrice ; même si vous restez libre de penser. Elle est sournoise pas malade.
La médiocrité est un point insensé de la bêtise des êtres-vivants en général, on plonge, on coule. Sans vraiment pouvoir sortir la tête hors de l’eau. C’est tellement.. Pitoyable. C’est tellement stupide. On a envie de mourir de honte après ça. Cependant, elle garde la tête haute, rétorquant les insultes, enfermée dans son narcissisme et sa grandeur. Un exercice qui pourrait vous prendre au dépourvu, comme il la distrayait, voir l’amusait. C’est aussi effrayant que de rire de soi-même, de rire des autres, de ceux qui vous ont tendu la main. Refusez la d’un geste sec, un brin supérieur et déclarer que vous n'avez pas besoin de leur pitié. Médisez à volonté sur leur dos jusque devant leurs portes.
A quel point la grandeur la dépasse ? Elle l’ignore.
Elle peut vous sembler facile en surface, mais dure à deviner, non ? Croyez-vous aux Esprits ? Elle, se contente de croire en elle, c'est amplement suffisant. Vous verrez qu'elle n'obéit qu'à elle-même, les ordres ne pénètrent même pas son esprit. Non, ordonnez-lui quelque chose et elle ignorera superbement, que cela vous en semblera plutôt déroutant.
Vous voyez un iceberg ? Il y a la face visible, celle qui est belle, magnifique, attirante. Et celle que l'on ne voit pas, dure, blessante et dangereuse.
Voyez-vous, sans se vanter, elle est d'un physique qui lui semble plutôt satisfaisant, du coup les gens ne se méfient pas, surtout quand cette dernière peut lui permettre d'obtenir certaines choses. Grave erreur, grave erreur. Car sous son regard séducteur, se cache la partie mauvaise, celle qui domine..
Disons que la cruauté peut être quelque chose qui peut la satisfaire, c'est à la fois distrayant et poétique. Profond, dit-elle ! Car le mot cruel – si beau, si intouchable, la perfection en elle-même.. – est un art. Il faut parvenir à le toucher.
Personne n'atteindra son niveau, peut-être seulement dans vos rêves, peut-être pas.
Et pourtant elle ne s'attache pas aux gens, vous devenez rapidement de la poussière qu'elle balaye ans sentiment.
Aimer dites-vous ? Elle n'aime pas, elle ne déteste pas non plus, ce sont les deux mêmes facettes d'un seul sentiment. Passez une simple nuit avec elle, vous ne serez qu'une stupide forme de revenu, une fois que vous lui aurez tout donné, elle s'en ira, car plus rien ne la retiendra. On peut la qualifier sans mal d'égoïste.
Car oui, elle est égoïste et orgueilleuse, pourquoi nier la vérité ? Elle se fiche de ses amants dévoués corps et âmes ! Qu’ils pourrissent dans le Néant pour ces plaisirs d’une nuit, sans attente de lendemain.
Vous découvrirez, peu à peu, un être qui ne vous plaira que très peu.
Mes liens
Vocruen F. Hohenhart - Servant -
Acheté quand elle avait six ans, l'homme devenant petit à petit un ami de mésaventure, au fil des années leurs relations évolua jusqu'à devenir amants.
Hurrikan Valen - "Père" -
Père de Luth, certainement l'homme qu'elle à le plus détester dans toute son existence, homme violent, alcoolique, il n'hésitait à aucun moment à la battre, à l’humilié et même à la la violer. Elle n'aura eu aucune scrupule à le tuer.
Allegra Valen - Mère -
Mère de Luth, femme discrète, soumise, elle n'en garde que peu de souvenir, mais son silence vis à vis du clavaire de sa fille fit en sorte qu'elle la déteste à présent.
? - Chevalier -
Premier amour de Luth, elle s'enfuit avec lui lors de l’ascension de Vraorg, devenant ainsi son amant.
Derrière l'écran
Petite présentation : Luth - je n'aime pas vraiment mon prénom -, 20 ans, chomeuse, mon dada c'est le poney, le rp, et certainement d'autres choses que j'ai oublié. Ah oui, j'ai un chien-loutre aussi.
Rythme rp : Oui, j'ai totalement compris le principe du forum, des réponses rapides, une ambiance plutôt pas mal, le rêve moi qui a tendance à être agacée par le temps de réponse sur certains autres forums. Je réponds en moyenne en 1h-2h à un rp après avoir vu la réponse, je peux donc faire plusieurs réponses par jour assez facilement.
Particularités rp : Quasiment dix ans de rp derrière moi, un style très particulier niveau écriture, on aime ou pas. Je peux aider si besoin.
Comment avez vous découvert le forum : Top-Site
Le code du règlement :
« Ça doit être bien de faire passer l'intérêt des autres avant le sien, mais est-ce juste qu'on attende de nous de trahir nos cœurs pour que d'autres soient heureux ? Tout le monde à un souhait très important.. Il y aura forcément des différences. Mais, si même toi tu n'essaies pas de te battre pour tes propres convictions, qui le fera ?.. »
Luth est née en décembre de l'année 1740, au sein d'une vieille famille noble, qui n'avait aucune importance au sein de la politiques mais qui se contentait d'être là en tant que courtisans. La seule chose que l'on pourrait retenir de cette famille, c'était leur fascination pour les dragons, aucun dragonnier dans leur famille juste un profond respect pour ceux-ci, élevés quasiment au rang de divinité. Animal que l'on retrouve bien entendu sur les armoiries de la famille.
Elle a vécu une enfance à peu près normale, jouant dans l'herbe des prés et la poussière des chemins de la demeure qu'elle ne quittait jamais. Très vite, elle apprit à faire la distinction entre les classes sociales, voir même les races, de la méfiance au profond mépris.
Sage et obéissante, elle aurait pu être l'enfant que tout le monde rêvait, mais tout cela cachait quelque chose de plus sombre, un mal insidieux régnait dans sa famille, caché derrière le visage de son père, homme qu'aucune violence ne dérangeait, battre sa femme ? Pas de soucis vous avez votre homme.
Elle se souvenait tout juste de sa mère, elle ne l’apercevait qu'à peine, une femme se pliant face à la violence de son époux, un mariage arrangé, elle n'avait jamais eu son mot à dire pour l'éducation de sa fille, ni même pour autre chose d'ailleurs.
Dès son plus jeune âge, elle a appris à craindre son père, un homme froid et violent, jamais au grand jamais elle ne levait les yeux vers lui, toujours le regard bas et le ton posé, jamais un mot au-dessus de l'autre.
A six ans, lorsque son père l'emmena pour la première fois dans un lieu secret, vendant tout un tas de choses plus ou moins légales, comme des esclaves, elle tomba sur un curieux jeune homme, aux long cheveux rouges, bien misérable. Elle resta un long moment planter devant lui, mains sur les hanches, air boudeur typique des enfants sur le point de faire un caprice, elle jetait quelques pièces à ses pieds, dans une demande sourde avant de finalement le prendre par la manche et le tirer comme elle pouvait, malgré les grondements et plaintes de l'homme.
Elle avait beau lui intimer l'ordre de la suivre, le garçon l'ignorait, toute sa vie elle avait cru que l'argent réglait tous les problèmes, mais ce dernier semblait assez réticent à se faire acheter de la sorte. Mais comment aurait-il pu comprendre ce qu'elle désirait, si elle même ne comprenait pas pourquoi il désirait à ce point rester dans cet endroit misérable ?
Luthéana ne lui laissa pas répliquer, elle lui ordonna tout simplement et il n'eut d'autres choix que d'obéir. Elle le présenta sans mal à son père, qui accepta à contre-coeur cette fantaisie, voilà donc l'homme devenu dame de compagnie, l'ironie de la situation la faisait rire aujourd'hui.
Cependant, son père mis en garde l'homme très rapidement, l'enfant était promise à un mariage arrangé, s'il avait le malheur d'avoir un geste déplacé, son ancienne vie lui paraîtrait un bonheur immense par rapport à ce qu'il avait vécu.
Très vite le potentiel magique du jeune homme fut rapidement découvert par le mage de la famille, dès lors il se concentrait donc sur l'étude de la magie et bien moins de la jeune fille, elle supportait difficilement de soudainement ne plus être au centre des choses.
Le retour des dragons aurait pu être une bonne chose pour la famille qui allait peut-être enfin pouvoir apercevoir une de ses créatures, mais ce n'était pas la seule chose qui était de retour.. Les vampires semblaient déterminés à retourner le cours des choses à présent.. C'était la guerre on pouvait presque le dire à présent.
J'ai vu des hommes applaudir, s'amuser sur l'agonie d'un ennemi. Je les ai vu se réjouir de la mort.
Ce soir-là elle ne se contenta pas de redécouvrir la violence, mais aussi la cruauté, elle devenait plus froide, plus renfermée après cette épreuve, mais elle n'avait pas fini de découvrir des choses sur l'Humanité.
Lors de l'invasion Alayienne, la prohibition de la magie les obligea à partir se réfugier loin de la ville, en pleine campagne, pour la première fois de sa vie elle eut le sentiment de se faire chasser de chez elle, par une force invisible.
Tendis qu'au fil du temps, être considérée comme le simple objet qui dorerait un peu plus le blason de sa famille lui paraissait difficilement supportable, une bonne partie de sa vie n'avait été qu'une succession d'interdictions, elle n'en pouvait plus.
Et dans cet appel à l'aide, elle commençait à remarquer l'effet qu'elle pouvait faire sur les hommes, elle profitait donc de cette brève période de répit pour parfaire les arts de la musique, du chant et de la danse.
Au début de l'ère de Vraorg, elle profitait donc de la panique ambiante, pour s'enfuir avec un chevalier, un peu le premier venu mais, son désir d'enfin vivre était bien plus fort que sa méfiance, ils fuirent en direction de la zone protégée des attaques du dragon et de ses sbires.
Le luxe de son ancienne vie était loin de lui manquer, n'importe quel endroit lui convenait, une auberge des plus miteuse, un lit de mousse au pied d'un chêne, elle avait enfin l'impression d'être aimée, n'hésitant à aucune moment à lui livrer son cœur et son corps.
Malheureusement tout ceci ne pouvait durer, le chevalier disparu de son existence, sans vraiment de raisons, mais elle ne s'en préoccupait pas vraiment et cet amant de quelques saisons était bien plus libre qu'elle ne l'avait jamais été.
Maintenant, je vais te raconter une histoire, écoute bien elle va te plaire. Une jeune femme vit simplement. Arrive un homme plus grand et plus fort qu'elle. Son regard est sombre et sans fond.
Mais tout cela n'était pas le pire, ce n'était pas un sentiment d'absence qu'elle craignait, ce qu'il devait arriver arriva quand son père finissait par la retrouver la traînant de force jusqu'à la demeure familiale et la colère de l'homme ne diminua pas quand il s'aperçut que le précieux outil de la famille était enceinte, le lynchage devant toute la maisonnée était sa manière de faire.
Il frappait fort, il n'avait aucune pitié, elle ne le suppliait pas, elle ne criait pas, elle se contentait de pleurer silencieusement, elle avait l'impression que cela durait, des heures et quand sa conscience frôlait le vide, les coups cessaient et elle sombrait grâce à la douleur.
Lorsqu'elle revenait à elle, sa tête lui faisait mal, son ventre aussi, mais le contacte froid du marbre adoucissait la douleur. Elle parvenait à se lever avec grand mal, ça cognait dans sa tête, elle était encore un peu dans le brouillard. Mais elle resta suffisamment consciente pour comprendre qu'elle perdait son enfant..
Et dans la douleur elle entend la voix de sa mère qui lui a dit un jour qu'il faut savoir pardonner, elle pardonne, mais.. Elle n'oublie pas.
Il l'attrapait par les cheveux et la traînait jusqu'à sa chambre, elle se débattait farouchement, mais la force lui manquait malgré la peur qui augmentait cette dernière.
Il attrape la femme, elle tente de se débattre mais rien n'y fait, l'homme la viole, la passe à tabacs et la laisse pour morte.
...
Elle souffre et dans son agonie elle entend la voix de sa mère qui lui a dit qu'il faut savoir pardonner. Alors elle survit, elle pardonne, mais elle n'oublie pas.
Après plusieurs années de sévices, peu de temps après ses dix-neuf ans, elle avait cessé d'attendre de l'aide, plus personne avait conscience de son existence, humiliée, battue et violée par son père, elle avait arrêté d'espérer, mais elle n'avait pas oublié.
Cette séquestration, ne lui fit pas le plus grand bien, elle se renfermait sur elle même, ne devenant qu'une masse vide de toute émotion, ne pouvant sortir de sa chambre, ni même échapper à la violence de son père, elle eut pour seule compagnie son servant si dévoué et des livres. Pendant tout ce temps elle ignorait ce qu'il se passait dans le monde extérieur.
Elle n'avait que faire de la justice, ce qu'elle voulait était une vengeance à la hauteur de ce qu'elle avait subi, sans aucun mal, un soir elle se glissait dans le lit de son père, camouflant habillement sa haine, elle s'approchait au plus près jusqu'à tenir sa vie entre ses doigts, lui plantant une dague dans le cœur, plaçant habilement sa main sur sa bouche pour l'empêcher de hurler, ne le quittant pas des yeux pendant son agonie, restant allongée sur lui, presque apaisée à présent.
Le crime était parfait, le monde extérieur à la demeure la croyait morte, elle n'avait laisser aucune trace, il n'y avait pas de témoin.
Moins de quelques heures après son crime, elle fuyait avec son servant, emportant toute la fortune de sa famille avec elle, on perdit sa trace jusqu'à nos jours.
Actuellement, elle réapparaît soudainement à Caladon, avec la fortune que l'on croyait disparue, clamant être l'unique héritière de sa famille entre temps s'étant entourée de personnes plus ou moins nobles et plus ou moins respectables.
Dernière édition par Luthéana Valen le Lun 13 Juin 2016 - 23:09, édité 9 fois
Invité
Mon identité Mes compétences
Invité
Sujet: Re: Luthéana Valen - TERMINE Dim 12 Juin 2016 - 18:14
Fiche terminée et corrigée. o/
Orfraie Ataliel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 3
Administratrice Capitaine Lame Ecarlate Garde personnelle de Luna Dragonnière
Sujet: Re: Luthéana Valen - TERMINE Lun 13 Juin 2016 - 22:46
Bonsoir !
C'est partit !
Au niveau des compétences, nous te proposons de : Passer la Force Physique à faible. Passer l'agilité à moyen Endurance & Résistance : Passer à moyen
Force mentale : Passer à moyen ou bon, Luth évolue dans un monde qui justifie une telle force mentale. Ce qu'elle a vécue avec son père le justifie également.
>> Si tu suis ces recommandations, ta puissance magique sera correct. Si tu gardes tes caractéristiques comme elles le sont actuellement, elle sera puissante.
Liens : Indiquer tes parents, mêmes s'ils sont morts. Luth a t-elle des frères ou des sœurs ? A t-elle d'autres liens importants ?
Equipement : Un enchantement sur Zëphyr ? ^^ Sinon les bagues vont dans la section « Autres objets »
Voilà voilà
Invité
Mon identité Mes compétences
Invité
Sujet: Re: Luthéana Valen - TERMINE Lun 13 Juin 2016 - 23:10
Merci alors :
- Je reste dans le niveau moyen. J'ai donc améliorer les stats.
- Pas d'enchantement sur Zephyr.
- Rajout des liens des parents. Pas de frères ou de sœur, et pour le Chevalier j'attends de voir si je trouve quelqu'un pour faire le lien.
- Bagues déplacées.
Orfraie Ataliel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 3
Administratrice Capitaine Lame Ecarlate Garde personnelle de Luna Dragonnière
Sujet: Re: Luthéana Valen - TERMINE Lun 13 Juin 2016 - 23:18
Sois la bienvenue sur tes terres, fils/fille d'Armanda. Tu es né(e) avec une puissance magique innée de correct et ton entraînement dans le domaine magique t'a permis d'atteindre un niveau correct. Tu as d'ailleurs été choisi(e) par le totem antilope dont tu as atteint le niveau un.
Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu as aussi un profil qui pourra évoluer en jeu sur demande.
Pour tenir l'état de tes aventures à jour, tu possèdes une fiche de suivi de personnage qui se trouve en ce lieu. Tu peux y ajouter tes liens, ton inventaire, ton histoire personnelle et ce que tu souhaiteras. Tu peux aussi adresser tes questions ici.