La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Aucun niveau
Hache : Aucun niveau
Faux : Aucun niveau
Fouet : Aucun niveau
Art du lancé (poignard, petite hache...) : Aucun niveau
Art de la parade (bouclier ou arme) : Aucun niveau
Arc : Aucun niveau
Arbalète : Aucun niveau
Mains nues/pugilat : Très bon
Equitation : Aucun niveau
Identité
Race :Humain
Nom :Vilardin
Prénom :Thomas
Surnom(s) :
Titre :à acheter si vous le souhaitez
Date de naissance :1738
Age réel :20
Age vampirique :
Lieu de naissance :Gloria
Lieu de vie :Gloria
Rang social :Petit peuple
Poste/emploi :Combattant (de rue)
Guilde :Aucune
Equipement et magie
Arme principale :Il ne possède aucune arme. Toutefois, ses poings se révélèrent plus que suffisants pour rester loin des ennuis dans la rue.
Autres objets :Issu des quartiers les plus miséreux de Gloria, Thomas ne peux se targuer d’avoir de nombreuses possessions. Ses guenilles qui lui servent de vêtements sont son bien le plus précieux. L'accoutrement se résume à une tunique verte trop serrée et rapiécée de toutes parts et à un pantalon ou les trous se comptent par dizaine.
Alignement :Neutre
Totem :totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff
Style de magie principal :Humaine
Puissance magique innée :Très faible
Niveau magique :Aucun
Physique et caractère
Physique : Si Thomas avait eu la chance de naître dans une famille plus prospère que la sienne, il aurait sans doute pu être décris comme un jeune homme plaisant de forte stature et au physique imposant. Toutefois, Thomas était né dans un des quartiers les plus pauvres de Gloria et n’était pas assez bien nourri pour être bien portant. Les marques que la rue avait laissées sur son visage n’en faisaient pas un garçon qui plaisait aux filles non plus. De plus il était souvent marqué de divers vestiges de lutte, évènement courant dans la misère de son environnement. Thomas avait les cheveux bruns coupés courts et des yeux, eux aussi bruns, qui présentaient un aspect endurcit par la rue mais conservant une lueur rêveuse. Sa mâchoire carrée lui donnait un air volontaire et décidé en toute circonstance surtout lorsqu’il la serrait avant ses combats. De constitution plus solide que la normale, la rue n’avait pu l’empêcher une musculature apparente bien que sèche. Ses larges mains avaient leurs renommées dans le petit quartier qui servait de maison ou elles avaient souvent été les causes de quelques fractures. Il ne possédait pas de chaussures et portait constamment les mêmes vêtements. Toute l’apparence de Thomas rappelait à quiconque qui posait ses yeux sur lui de la pauvreté dans laquelle il vivait depuis sa naissance.
Caractère : Encore plus que son physique, la rue avait forgé le caractère de Thomas. Il était né avec un bon fond et on pouvait encore le deviner par moment toutefois, la dure réalité de son milieu avait fait de Thomas un solitaire endurci. Ce bon fond ne se traduisait plus qu’à travers certains choix de vie de Thomas qui refusait encore à son âge de s’engager dans les sentiers bien trop souvent empruntés par ses jeunes pairs, le vol et l’assassinat. Le fait de devoir se débrouiller seul depuis ses 5 ans avait donné une maturité étonnante au jeune garçon. Personne n’aurait pu dire toutefois ce qu’était réellement Thomas dans le fond, un accroc à la violence, les combats de rue étant devenus son métier, où un grand ambitieux espérant un jour se sortir de sa misère par la grande porte… Personne n’était assez proche du jeune pour savoir que dans le fond, Thomas s’était forgé une carapace d’être facilement irritable, qu’on approchait uniquement avec une bonne raison mais une personne droite avec des principes et une volonté de fer. Thomas ne se détournera jamais de ses devoirs avant que ceux-ci soient dûment accomplis. La seule chose qui retenait Thomas dans cette misère absolue n’était autre que la peur d’être déçu de découvrir que tout ce dont il avait rêvé pouvait se transformer en cauchemar et peut-être le manque de courage aussi.
Mes liens
*Sa mère est le lien de société le plus fort de Thomas. La qualification exacte serait plutôt le lien le moins faible. Elle vit en son fils qu’un contretemps lui empêchant d’exercer son métier pendant quelques semaines et ensuite une sérieuse épine dans le pied, trop encombrant pour la laisser vivre le cours de sa vie. Aussi se réjouit-elle lorsque son fils vers l’âge de huit ans ne passa plus la porte du bordel. Elle pensait que son fils avait dû s’attirer trop d’ennui mais à vrai dire, elle se fichait de son sort. Comme vous l’avez compris, l’identité du père de Thomas est inconnu.
*Son organisateur de combats est le second et dernier lien entre Thomas et la société. Malgré la nature du boulot qui n’avait rien d’un boulot de rêve Thomas voyait en lui comme un bon samaritain. En effet alors qu’avait il arpentait les poubelles des quartiers riches pour trouver sa subsistance il pouvait aujourd’hui avoir de quoi se nourrir grâce au revenus de ses combats. Thomas avait compris que son organisateur ne lui donnait le strict minimum mais ne lui en voulait pas. Grâce à lui, le jeune homme avait à manger tous les jours et pouvait exercer sa rage sur le monde qui l’entoure à travers ses poings, activité dans laquelle il était devenu très doué.
Derrière l'écran
Petite présentation : Nicolas, 26 ans, je suis un gamer et j'aime le fantasy et l'écriture.
Rythme rp : J'adore rp rapidement. Je trouve important surtout au début de vite s'insérer dans l'intrigue et de ne pas trop galérer sur des rps de rencontre et d'introduction qui durent 1 mois. Je réponds en générale dans les 3 jours.
Particularités rp : J'ai déjà été dans pas mal de forums rps sans en trouver un qui m'a convenu sur le long terme. Je pense que je peux me perdre dans ma syntaxe par moments et mon orthographe n'est pas mauvais mais est loin d'être parfait aussi.
Comment avez vous découvert le forum : Via un site de classement de forums. J'ai été attiré par les dragons :d
Le code du règlement :
Thomas naquit par une nuit pluvieuse de 1738 de l’âge d’argent. Triste entrée en matière pour ce qui constituerait un triste début de vie. En effet, le garçon ne naquit ni dans beaux draps de soies, ni même dans des draps tout court, non le destin lui donna en tout et pour tout une serviette sale. Thomas naquit dans un bordel, lieu de travail de sa mère et il y grandit pendant cinq ans, âge auquel Thomas devint trop curieux pour le bon déroulement des affaires. Aussi sa mère l’envoyait tous les matins dans les rues afin qu’il ne traine dans les pattes de personne. La vie seule dans la rue à cet âge n’était pas rose. Des groupes de jeunes vauriens comme Thomas étaient déjà formés et s’en prenait au solitaire. Il fallut quelques temps pour que l’enfant gagne une réputation qui lui permettait de rester seul sans problème dans le quartier. En effet, il dû taper et se faire taper une bonne dizaine de fois avant qu’on ne découvre qu’il était un trop gros morceau à se faire pour pas grand-chose, Thomas étant en effet plus pauvre que pauvre. Il comprit vite qu’il valait mieux garder sa place et ne pas se faire remarquer dans ce quartier, ce qui l’aida à rester loin des problèmes durant sa vie dans les quartiers. Thomas ne prenait que le strict minimum pour ne pas posséder trop non-plus et devenir une cible des voleurs. Que faisait-il du restant de ses journées me direz-vous ? C’était très simple, Thomas rêvait, écoutait les passants, pour se faire il allait souvent dans des quartiers plus huppés, et s’imaginait vivre leurs vies, ou du moins vivre dans leurs quartiers, dans leurs aventures. Il était trop jeune à l’époque mais il se disait qu’un jour il tenterait le grand saut. Il entendait parler de dragon, de guerre, de gloire, de fortune. A cette époque, Thomas n’accordait pas d’importance aux récits en eux-mêmes, il préférait divaguer en pensant à la vie qu’il aurait pu mener s’il avait été à la place du voyageur qui en parlait.
Qu’est-ce qui l’empêcha de le faire me demanderez-vous ? Rien, rien si ce n’est les doutes, ceux de voir son rêve se transformer en cauchemar au gré du bon vouloir des puissants de ce monde. En l’an 1750 de l’ère d’argent, Thomas avait douze ans, il se sentit en âge de partir seul. Il commença à écouter le fond de chaque récit afin de déterminer où il pourrait bien aller. C’était l’époque de réintroduction des dragons, mais aussi celle des vampires. Ces créatures avait toujours terrifiées le jeune garçon aussi loin qu’il en avait entendu parler, et elle le terrifiait d’autant plus que maintenant elles avaient retrouvées une puissante suffisante pour monter une armée et la lancer sur les côtes armandéenne. Il n’irait définitivement pas dans cette région. L’année d’après un énorme flux de personnes en tous genres pris d’assaut Gloria, les gens fuyant le peuple de la nuit qui continuait à effectuer ses razzias sur les villages isolés. Ce fut une année de misère profonde. Il était dur de se trouver à manger tous les jours et Thomas ne put compter que sur son expérience pour s’assurer le minimum vital. C’était une véritable guerre qui se menait en dehors de la ville et Thomas avait repoussé son rêve à plus tard. Cette guerre ne prit fin qu’en 1753, année qui aurait pu être synonyme de bonheur pour le peuple armandéen si ce n’était aussi l’année de l’arrivée des troupes alayiennes.
Si la précédente guerre avait été terrible pour le peuple humain, elle n’avait que très peu affectée Thomas, celle-ci risquait de la toucher bien plus. Thomas vivait toujours dans la misère mais ne pouvait trouver le courage de quitter ses rues natales qui finalement souffraient peu de ce jeu de puissants qui oubliaient souvent jusqu’à l’existence des simples plébéiens tels que Thomas, du moins c’est ce que le jeune homme pensait. Le début de l’âge d’Obsidienne coïncidât avec un nouveau boulot pour le jeune homme. Depuis l’exode rural de certains paysans, la vie dans les rues s’était faite plus violentes et moins organisées. Les groupuscules locaux de voleurs et d’assassins avaient moins de puissance face au flux des gens et à la désorganisation qu’elle entraînait. Thomas eu une nouvelle fois recours à ses poings. Il était doté d’une très bonne constitution et même s’il n’était pas bien nourri, sa carrure restait imposante. Il se fit donc respecter à la force des poings et chose nouvelle pour lui, y pris même goût. Ces combats servaient d’exutoire à Thomas, frustré par son impuissance face à ce qu’il se passait dans le monde et son manque de courage. C’est à cette époque qu’il fût repéré par un organisateur de combat qui lui proposa de combattre pour lui en échange d’un revenu suffisant pour manger tous les jours. Pour Thomas, cela représentait une opportunité à saisir lui permettant de ne plus chercher à manger pendant la journée mais aussi de continuer à donner libre cours à sa rage. Il devint donc combattant de rue à l’âge de 15 ans. Force est de constater que le jeune homme était doué. Au bout d’un certain temps, il dut combattre des personne plus âgées afin de ne plus brouiller la compétition (et donc les paris). En effet, il gagnait trop et ses défaites n’étaient pas assez crédibles lorsqu’il combattait dans sa catégorie d’âge… La ville passa ensuite en différentes mains sans que cela n’affecte outre mesure la vie du jeune homme. Depuis, les troupes alayiennes s'étaient retirées dépossédées du pouvoir par les armées rebelles à la bataille de l'aube rouge. L'alliance temporaire des trois peuples avait volée en éclat suite à la décision des vampires et surtout de leur chef de quitter la rébellion.
Ce fut cette décision en particulier qui toucha le jeune homme. En effet, l'armée vampirique appuyée par Vraorg prit possession de Gloria. La destruction du palais, qui survint juste après l'avènement de Vraorg, fut toutefois un événement traumatisant pour le jeune homme. Elle raviva en effet tous ses rêves enfouis, sa conscience anesthésiée par les combats qu’il menait chaque jour. Il se sentit à nouveau impuissant et sa rage se mua en volonté, la volonté de bien faire cette fois.Ce fut trois années compliquées pour Thomas qui craint chaque nuit de se faire mordre par le peuple qui était devenu oppresseur de la population de Gloria. Ce fut enfin en février de l’an 4 de l’âge d’Obsidienne que Thomas trouva son courage. Les vampires n’étaient plus ses créatures redoutées mais elles étaient maintenant haïes. Chaque nuit était plus dure que la précédente, il fallait se forger un mental d’acier pour ne pas succomber à la paranoïa. Cette fois-ci, Thomas ne vivrait pas les évolutions de son monde à travers des histoires qui se succédaient trop rapidement pour qu’il les comprenne vraiment. Il s’engagerait, quitterait sa vie miteuse et se ferait sa propre idée. Pour cela, il savait où il irait, Fort espérance !