Dans la rue de la Fontaine prêt du « Marché au chevaux » d’Aldaria la superbe, en plein dans le quartier marchand de cette grande ville, depuis quelques jours une nouvelle boutique vient de s’ouvrir, « Aux Joyeux Tonneaux ». Le panneau en forme de barrique indique que l’on y achète, qu’on y vend, qu’on loue ces précieux récipients. C’est une maison à pans de bois et torchis, étroite de quatre mètres de large sur trois étages avec un toit pentue en ardoise d’Aldaria, au faite du toit est installée une poulie.
Le rez-de-chaussée est une porte a double battant, que l’on démonte tout les jours pour accéder à une pièce de huit mètres de long ou sont entreposé les futs. Deux treteaux et une planche permet la séparation entre la rue et la boutique. Au fond une porte donne sur le jardin. Sur trois mètres carré, il n’y a pas de plafond, prêt de la porte, pour pouvoir monter et descendre des barriques à l’aide d’une poulie. On monte au premier étage par un petit escalier en bois
Le premier est le lieu de réparation. Une vitre en verre donnant sur le jardin éclaire cette pièce, ou ce trouve un établie et des outils. Une échelle amène, a une pièce avec, une male en bois une tables des bancs. Une paillasse, une armoire. Une autre échelle amène à une soupente, un grenier vide pour le moment. Une porte sur la rue permet de recevoir des marchandises à l’aide du palan.
Le jardin est un rectangle de 12 mètres sur quatre coupé en son centre, en largeur par un ru, une rigole ou circule les eaux usées du quartier. Au fond du jardin il y a une porte à double battant, donnant sur la l’impasse de la « Belle Poule ». A coté de la maison de la porte de la maison se trouve la cuisine, avec une cuisinière en fonte et en faïence qui fonctionne aux bois, une armoire avec les ustensiles de cuisine, un banc et des planches et des tréteaux. Cet endroit sert aussi d’atelier de nettoyage des tonneaux. Une stalle permet de recevoir un cheval. Sur le toit de la cuisine se trouve la citerne qui recueille l’eau de pluie des toits de la boutique. Se trouve aussi un petit pigeonnier.
Au niveau de l’atelier de nettoyage se trouve un escalier que qui amène dans une petite cave sous la maison. C’est que ce trouve entreposé le fourrage et le bois. La boutique compte d’autres secret qui vous serons ultérieurement révélé.

Cymbale Païlle est un homme aux cheveux bruns. Il vend, loue, achète des tonneaux. Cet homme vient d’arriver à Alderia juste apres les tragiques événements de la perle. Son métier le conduit dans tous les coins et recoins de cette immense ville, partout ou ce négocies des barriques. On homme arriver avec une charrette et un poney le matin acheter, récupérer, négocier, , des tonneaux que les gents ne veulent plus ou rendent. Il faut avant un réemploi les remettre en états, les rafistoler, les réparer, les consolider, les étanchéifier en les calfatant, les rendre opérationnelles. Ce brave homme à trouvé très vite ses entrées partout dans tous Aldaria, aussi bien la cuisine du Palais Ducal : le Palais blanc de la famille Kohen, la cantine des Arcanes : le quartier général du Dragon blanc, qui n’est autre que le sanctuaire de la guilde du dragon blanc, source de sagesse. Cet homme fréquent aussi bien les grands thermes Kohen, un lieu très fréquenté, et imposant, comme la maison d'un particulier, on peut siter celle du fonctionnaire Crissoloroi Otsiz. le Grand Héros qui à éliminé la perle. Cymbale Païlle passe son après midi dans ça boutique, il est souvent occupés par des clients, qui viennent de la grande ville ou de la campagne environnante, car on trouve des tonneaux de toute taille, de toutes formes et de tous prix dans cet établissement, des neufs et des usagés, et comme le dit si bien cette homme de Païlle, un tonneau le matin, du bonheur jusqu'à demain ! Et l’on prend l’habitude de voir passé dans toutes les rue de cette grande ville Cymbale Païlle, a l’aide de son poney Houblon, tiré une charrette, remplit de barriques, de tonnelets, de fûts, de barils, de pièces, et même de foudres ! on peut dire que Cymballe Païlle est tellement visible que l’on ne le voit plus.