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La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).



 
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Abzalon SOLARI

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AuteurMessage
Lorenz Wintel
Lorenz Wintel
Mon identité
Mes compétences
Compétences
Magie: Mage exceptionnel
Expérience:
Abzalon SOLARI Left_bar_bleue0/10Abzalon SOLARI Empty_bar_bleue  (0/10)
Xp disponibles: 9

Fondatrice

Abzalon SOLARI Empty
MessageSujet: Abzalon SOLARI Abzalon SOLARI Icon_minitimeDim 8 Fév 2015 - 18:06


Solari Abzalon


Le monde n'épargne ni les roturiers ni les rois.



Compétences

    Caractéristiques (clic) :
    Physique :
  • Force physique : Très bon
  • Agilité : Moyen
  • Furtivité : Très faible
  • Réflexes : Faible
  • Endurance : Très bon
  • Résistance : Bon
  • Beauté : Faible

    Mental :
  • Force mentale : Moyen
  • Patience/self contrôle : Bon
  • Perception : Moyen
  • Intelligence : Moyen
  • Arrogance : Très faible
  • Gentillesse : Bon
  • Prestance/charisme : Très faible
  • Mémoire : Moyen

    Combat :
  • Epée : Bon
  • Dague doubles ou simple : Faible
  • Poignard : Faible
  • Lance : Moyen
  • Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Bon
  • Hache : Bon
  • Faux : Faible
  • Fouet : Aucun niveau
  • Art du lancé (poignard, petite hache...) : Aucun niveau
  • Art de la parade (bouclier ou arme) : Bon
  • Arc : Moyen
  • Arbalète : Faible
  • Mains nues/pugilat : Moyen
  • Equitation : Très faible

Identité


  • Race : Humain

  • Nom : Solari

  • Prénom : Abzalon

  • Surnom(s) : Lui

  • Titre : à acheter si vous le souhaitez

  • Date de naissance : Hiver de l'An 1735 de l'âge d'Argent

  • Age réel : 20 ans

  • Age vampirique :

  • Lieu de naissance : Elena

  • Lieu de vie : Proche d'Elena

  • Rang social : Petit peuple

  • Poste/emploi : Mercenaire

  • Guilde : Aucune


Equipement et magie
  • Arme principale : Abzalon possède une épée simple ainsi qu'un arc médiocre en bois et une vingtaine de flèches.

  • Autres objets : Le jeune homme possède un pendentif d'argent noircis qui appartenait a son père.

  • Alignement : Neutre tendance bénéfique

  • Totem : totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff

  • Style de magie principal : Humaine

  • Puissance magique innée : Faible

  • Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.




Physique et caractère

  • Physique : L'imposante silhouette d'Abzalon est sans nul doute ce qui le définie le plus d'un point de vue physique. Plus grand que la moyenne, toute son attitude est imprégnée des années de labeur dans les champs. Ses épaules donnent l'impression de pouvoir porter le monde si elles le devaient, ce qui est d'autant plus souligné par la musculature visible et le large cou du jeune homme. Enfant de la terre, son visage terreux est marqué de quelques rides d'effort et on peut apercevoir autour de ses yeux verts les traces indélébiles d'un grand manque de sommeil. Son nez droit est sans doute l'une des rares choses que la misère a épargné chez Abzalon, celui-ci surmontant les lèvres abimées et parcheminées de l'humain. L'entièreté de son visage est presque toujours encadré de long cheveux bruns, extrêmement sale. Pour ainsi dire, Abzalon n'est pas vraiment ce qu'on aurait pu considérer comme beau. Du point de vue des paysannes il l'était peut-être, comme on trouverai beau un parti intéressant, mais le plus commun des hommes qui parcourait la terre n'aurai certainement pas mis la beauté dans les atouts du jeune homme tant celui-ci était couvert de terre et de cicatrices.

  • Caractère : Né de parents paysans, Abzalon est depuis toujours extrêmement humble. L'arrogance est pour lui une vertu bourgeoise, qui s'achète de la même manière que les habitants viennent acheter de la nourriture à sa famille depuis des années. Colosse peu impressionnable et doué d'une conscience du monde qui l'entoure un peu trop développé pour son âge, il est animé d'un certain fatalisme. Pour le jeune homme, les gens en bas reste en bas à observer ceux d'en haut faire ce que lui ne fera jamais : aimer sans contrainte. Persuadé qu'il allait vivre et mourir dans la ferme familiale, sans jamais voir au-delà de la muraille imaginaire qu'il s'était construit, il ne faisait pas vraiment attention au jeu d'amour qui accompagnèrent son adolescence et celle de ses rare amis. Même les rêves de gosse qui avaient longtemps animé Abzalon lorsqu'il jouait à la guerre s'étaient estompé rapidement, hivers après hivers, de famines en famines. C'est lorsque l'un de ses proches, un gamin énergique nommé Solir, ne passât pas l'hiver de l'An 1747 de l'âge d'Argent que le jeune homme tombât corps et âme dans les champs, s'enfermant dans l'expression dure de quelqu'un qui prend conscience au reveil que tout n'était qu'un rêve. Il avait alors pres de douze ans. Les années qui passèrent ensuite atténuèrent peu à peu l'amertume de la perte de son ami, mais cet évènement avait fait d'Abzalon un monstre de foire, dont personne ne voulait réellement devenir proche. Toutes les tentatives pour s'approcher de lui plus que nécessaire se soldait par un léger sourire vide de la part du garçon et quelques mots lancés comme automatiquement. Profondément gentil et serviable, les anciens de sa communauté disaient souvent à ceux qui tentaient de comprendre l'adolescent : "Abzalon est quelqu'un de parfait. C'est pour ça que personne ne l'approche. On a trop peur de se rendre compte de notre petitesse d'âme.". De fait, il était toujours le premier à se dévouer à une tâche quelconque, même la plus ingrate. La seule chose qui le sortait de sa vie de servitude était les entraînements martiaux que lui donnait son père, car un homme n'est un homme que s'il sait défendre ceux qui lui sont chers. Ainsi pensait Abzalon, celui qu'on appelait "Lui" car personne ne voulait y penser plus que nécessaire. Ce genre de pensée retranscrit parfaitement le plus grand problème d'Abzalon : il est définitivement amoureux. Amoureux de ce qui vit et gravite autour de lui, de tous ceux qui, même s'ils lui jettent parfois la pierre, ne sont que d'autant plus de personnes à protéger et chérir secrètement.



Mes liens

Cassandra Solari (décédée) : Il s'agit de la mère d'Abzalon. Un personne d'une gentillesse a tout épreuve. Humble paysanne de l'Empire humain, elle a voué toute sa vie a son fils, faisant en sorte qu'il devienne fort et heureux.

Alistair Raäk (Situation actuelle inconnue) : Le père biologique d'Abzalon. Celui-ci ne sait presque rien de lui, sinon qu'il était aventurier. Il devait etre beau et charismatique pour que Cassandra se lie a lui dans une relation sans lendemain...

Oswald Dirkurim (décédé) : Père adoptif d'Abzalon. Il a pour lui une figure de héros, de maitre d'arme, de justicier mais surtout de père aimant et sans défauts. Il ne sait pas grand choses du passé d'Oswald, c'etait un sujet peu abordable avec lui.

Solir (décédé) : Un ami d'enfance d'Abzalon, mort durant un hiver d'une maladie inconnue. Solir est le symbole, avec Oswald, de ce pourquoi Abzalon se bat : la défense de ceux qu'il aime.



Derrière l'écran

  • Petite présentation : Je sais pas trop quoi dire, mais pour faire court, mon nom est Etienne, j'ai actuellement 19 ans et j'ai une certaine passion pour la musique et l'architecture.

  • Rythme rp : Je pense avoir saisie le concept du forum, et il me conviens parfaitement, malgres la difficulté de l'exercice. Je suis quelqu'un qui poste régulierement, en général, mais cela fait un petit moment que je n'ai pas fais de RP sur forum.

  • Particularités rp : Je pense avoir des difficulté en terme de longueur de réalisation, d'autant que cela fait longtemps que je n'ai pas fait de rp ecrit.

  • Comment avez vous découvert le forum : Sur un top site Smile

  • Le code du règlement :








A la frontière Est du bois au nord d'Elena la Robuste gisait un petit village composé de quelques fermes et d'un camp de bucheron. Simple et sans histoire, celui-ci vivait au gré des saisons et le temps n'avait que peu d'influence sur lui, tant il avait été souvent épargné des évènements de l'empire alors naissant. C'est dans le courant de l'hiver de l'An 1735 de l'Âge d'Argent que naquis l'enfant Abzalon Solari. Fils d'une jeune fermière sans histoire nommée Cassandra Solari et d'un père inconnu, un aventurier nommé Alistair Raäk disait sa mère, il n'y eut que peu de festivité lors de sa naissance, la pauvreté de sa famille forçant à l'économie. C'est dans ce contexte que le garçon s'élevât peu à peu, entamant les travaux dans la ferme maternelle très jeune. Durant le printemps 1739 d'Argent, Cassandra recueillit dans sa ferme un homme blessé venu s'effondrer à l'orée des champs. Elle le soignât deux mois durant, comme elle pouvait. Ce fut le premier acte de bonté dont Abzalon fut témoin. C'était à peu près le premier souvenir que le jeune possédait et il le chérissait de toute son âme. Il chérissait le regard fier que sa mère posait sur lui lorsqu'il donnait à boire à l'homme, il chérissait que celui-ci passe son immense main dans ses cheveux, un sourire paternel aux lèvres, il aimait avoir ce qu'il assimilait à un père. Mais par-dessus tout, l'enfant fantasmait sur l'épée de cet homme qui demeurait désormais caché sous une latte du parquet, caché des "méchants". L'homme s'appelait Oswald Dirkurim, et pour Abzalon, c'était un grand héros. Une fois rétablit, Oswald demandât à la mère s'il pouvait demeurer avec eux, prétextant qu'un jeune garçon et une femme ne pourrait pas maintenir éternellement une ferme de cette envergure. C'était l'été 1739 d'Argent, et Abzalon était le plus heureux des petits garçons d'Armanda.

Très vite, l'homme prit l'enfant sous son aile, lui apprenant les rudiments des lettres et des chiffres, l'emmenant à la chasse dans la forêt, l'entrainant notamment à l'art de la guerre comme l'avait souhaité l'enfant. D'un second abord, Oswald était un homme rigoureux et parfois dur, fervent défenseur de la justice cruelle et sans détour. Vu du reste de la communauté comme un fauteur de trouble à cause de ses interventions vertueuses à l'avantage, parfois, de ceux que tous accusaient.

Les années défilèrent, parfois rude, parfois plus calme et l'enfant se laissât porter par une vie qu'il savait terminée alors qu'elle était à peine commencé. Tous dans le village lui parlait, a l'orée de ces douze ans, de la place qu'il occupera dans cinq, dix, quinze ans dans ce même village. Nous sommes en 1747 d'argent, quelques mois avant qu'Abzalon ne devienne "Lui".

Lors de cet hiver, l'un des amis les plus proches et importants d'Abzalon ne passât pas l'hiver, foudroyé par une maladie dont on ne trouva pas le remède à temps. Il s'appelait Solir, et c'était l'une des personnes qu'Abzalon aimait le plus au monde. Energique et débordant de fierté, rien n'aurai pu l'abattre. Rien du monde visible. Rien de ce qu'ils connaissaient. Rien. Et pourtant si. A compté de ce jour, au début de sa douzième année, Abzalon s'est enfermé dans une attitude inquiétante de carapace vide. Devenu encore plus serviable, sans jamais rien en attendre en retour. Les années passèrent ainsi, épargnant le jeune homme d'une vie trop hors du commun. Il continuait son entrainement avec Oswald dans le but, un jour, de pouvoir défendre ceux qu'il aimait.

Vers 1750 d'Argent, tout l'empire entrat en ébullition, sans trop qu'Abzalon ne comprennent pourquoi premierement. On parlait a demi-mots du retour des dragons, ces êtres a écailles gigantesques qui parcouraient autre fois le monde et dont la puissance était effroyable. Les plus anciens du villages ne savait trop qu'en penser, tant il était -apparament- de notorieté publique que ces créature était douée de raisons et donc pouvait etre benefiques comme malefiques... Les rumeurs se rependirent rapidement, ne faisant que troubler d'autant plus la vision que la garçon avait de ces immense bête, si bien qu'il finit pas en delaisser les rumeurs. De toute manière, cette apparition fut bien vite bousculée par la Terreur.

Peu apres le retour des reptiliens sur les terres d'Armanda, on parlait, cette fois ci avec panique, d'etre nocturne, d'une cruauté sans nom, se nourrissant du sang des humains et sortant de terre. A demi-vivant, a ce que certains disait, les Vampires avait fait leurs retour macabre avec tant de violence que du jour au lendemain le petit village de fermier fut grouillant de gardes impériaux et d'autres mercenaires engager par le royaume. Leurs unique but était de proteger la production de nourriture, en vu de contrer ce que tout semblait preparer : la Famine. L'an 1751 d'Argent, au 16 ans d'Abzalon, fut un calvaire inimaginable, tirailler la nuit entre la peur d'etre dévorer et de ne jamais revoir le jour; et dévorer le jour par le tiraillement atroce de la faim. Des maigres recoltes qu'ils produisait, une grande partie était distribuer dans un rayons bien plus grand qu'a l'accoutumer, reduisant ainsi la ration par personne. Les habitants du villages tombait un a un, épuisé par un effort que leurs honneurs les empecher d'interrompre. Pour la survie de l'empire. La survie de l'humanité. Les Alayiens, eux, n'allerent alors rien arranger.

Les Alayiens, ce peuple dont le jeune homme, alors âgé de 18 ans, n'avait entendu que de vagues échos, déferlèrent sur sa contrée comme un feu de prairie. Le village, alors encore blessé par la Terreur, devint plus sinistre que jamais. Les champs furent vidée, les moissons interrompus et un silence lugubre regnats sur toute la region, uniquement perturbé par le bruit lointain et regulier des pas d'une armée en marche. Cassandra s'emparât alors de l'épée d'Oswald sur l'accord de celui-ci et la fourrât dans les bras du jeune homme. Le prenant par les épaules, les yeux pleins de paniques, elle lui hurlât de s'enfuir vers Elena la Robuste et de ne surtout pas se retourner. Protestant, le garçon regardât impuissant son père se préparer à ce qu'il savait être un semblant de bataille. Une bataille a sens unique. Il tombât a genou devant Oswald, le suppliant de le laisser l'aider dans sa tâche, quitte à mourir à son coté. D'un revers de la main, Oswald écartât violemment le garçon et criât, dur comme l'acier : "Qui crois-tu que je veux sauver, idiot? Je pensais que tu avais compris pourquoi tu portais l'épée. Enfui toi et ne reviens jamais!". Reculant de quelques pas, le jeune homme regardât une dernière fois ces parents, la mâchoire serrée, puis s'emparât de son épée et de l'arc que lui avait taillé son père pour la chasse. Lorsqu'il posât la main sur la porte, Oswald l'attrapât par le bras et lui déposât dans la main un petit médaillon d'argent. Ces derniers mots furent "Je suis fier de toi, Abzalon Solari, mon fils.". Suite à cette phrase, il expulsât Abzalon de sa demeure, sortit à sa suite et fermât la porte. Il disparut la seconde suivante vers l'extrémité nord du village, une fourche à la main.

Perdu, Abzalon Solari, "Lui", courrut de longues heures en direction d'Elena. Lorsqu'il se retournat enfin, a bout de souffle, il put apercevoir au loin une grande trainée de fumée noire. Son monde venait d'être réduit au néant par le Néant.

A Elena, c'était la panique. Les soldats préparaient les défenses, les femmes et les enfants se réfugiaient comme ils le pouvaient dans les caves et les quelques hommes assez vaillant pour se battre disait au revoir a leurs proche avant de partir avec les soldats. Abzalon trouvât refuge, avec bien d'autre personnes, dans une taverne avoisinante. Cet acte de couardise lui flétrit l'âme et le coeur. Se jurant de se vouer à la defense des quelques personnes qui s'étaient rassemblées dans la taverne, le jeune homme ne dormis presque pas le temps du siège.

Le temps passât et même si le calme ne revint pas vraiment, l'alliance des trois peuples permis aux différentes villes de reprendre un semblant d'activité. L'empire tombat dans une étrange discorde au sain des Kohan, souverain de droit et de sang, qui amenat même a l'introduction des envahisseurs au sein des communautés Armandiennes et qui plus est avec l'autorisation de transmettre leurs ideologie délétère! Pour sa part, Abzalon était devenu une lame vendue. Résigné, il offrait ses services de bretteur a ceux qui le voulaient. Refusant néanmoins au maximum le contact amical des Alayiens. Pour l'instant, il s'était reconstruit une vie loin des intrigues politiques et de la rebellion, le point serré et le regret au coeur car tel en avait été la volonté d'Oswald Dirkurim, héros inconnu.
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Abzalon SOLARI

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