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| Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] | |
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Quel conte préférez-vous? | Conte 1 | | 0% | [ 0 ] | Conte 2 | | 0% | [ 0 ] | Conte 3 | | 14% | [ 1 ] | Conte 4 | | 86% | [ 6 ] |
| Total des votes : 7 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
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InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] Jeu 25 Déc 2014 - 20:50 | |
| Armandéens, armandéennes! En ce jour de Noël qui, je l'espère, s'est révélé heureux pour chacun d'entre vous, il est temps de procéder à la sélection de votre conte favori! Vous pouvez désormais voter pour le conte qui vous plaira le plus. Les récits sont donc publiés anonymement, les noms des participants seront révélés ultérieurement et les récompenses distribuées en même temps. Le sondage se terminera le 2janvier.- Conte 1:
On raconte que Lyssa la Vagabonde a été construit à cause de Thylboë D'Astrës. Le vieux Maître Katfaïel raconte au jeune Tobold des contes pour qu'il puisse s'endormir sous la lune dans les Mangroves. Lyssa est une ville qui se trouve au l'ouest de notre continent. C'est une ville qui est construits sur la mer. L’histoire commence quand Thylboë pour construire son palais c’est mit à pourchasser des hommes pour en faire esclaves. Il envoi ses cavaliers aux loin razzier tous les hommes, les femmes et les enfants capables de travailler sur son chantier. La vie pour la construction du palais est difficile et la mortalité effroyable. Le palais se construit lentement, pierre par pierre, et cela est payé au prix du sang, et en faisant cela il décime la population. Les troupes du Tyrran doivent toujours aller plus loin.
Un jour les cavaliers de d'Astrës finissent par atteindre la mer. C’est la première fois qu'ils voient cette immense étendu d'eau, les vagues arrivent sur la grève en d'immense rouleaux furieux et qui éclatent en nombreuses gouttelettes en se brisant sur la côte. Les cavaliers reculent devant les éléments déchainés. Mais ils ont une mission, trouver des hommes et ils partent en longeant la côte. Ils finirent par atteindre un village, qui se nomme Arrome. Par un mouvement tournant ils encerclent le bourg. Au lieu de se rendre, les habitants s’enfuirent en nageant dans les éléments toujours déchaînés et ils atteignent des récifs ou ils peuvent se réfugier. Les cavaliers et les chevaux ayant peur et ne sachant nager décident d'établir un camp fortifié sur la grève. En pensants que lorsque les villageois auront faims et froids ils se rendront, ce n'est qu'une question de temps.
Les habitants trouvent, coincé dans les récifs, des monceaux d'arbres arrivés là par flottage, de tout le continent. Sous l’impulsion de Lyssa leur Chef, ils construisent des abris sur pilotis. Ils utilisent les plus gros troncs comme pilier qu’ils fixent à la roche et le reste du bois leur sert de planché flottant, montant et descendant, aux grès des marées, coulissant et guider part les piliers. Ils trouvent des coquillages sur les rochers qu'ils peuvent manger, ils construisent des écluses à poissons qu’ils capturent à marée basse. Ils survivent misérablement. Durant se temps, les cavaliers montent la garde et écument la région mais c’est le bout du monde et ils ne trouvent personne, ne voulant pas revenir sans prise ils restent devant le récif.
Dans son palais toujours en construction Thylboë D'Astrës est en rage, et maudit le Drago parce que sa luxueuse habitation n'est toujours pas finit. Il lève le poing au ciel et défit l’univers de son Trône. Alors devant cette provocation, la terre se met à trembler sur tout Armanda, pulvérisant le palais et ses habitants. Le Tyran disparaît dans les ruines de son Palais, ainsi que tous ses cavaliers. Seules les esclaves dans leurs pauvres masures en toiles survivent, et retrouvent leur liberté.
Bien au sud la nature déchaînée provoque dans la mer une onde terrifiante qui se transforme en arrivant sur la cote en une vague gigantesque. Le village flottant est soulevé mais les piliers et la structure en bois tiennent, alors le miracle se produit et l’ensemble redescend guidé par les piliers, une fois la vague passé, le village est sauf. Le Tsunami se répand sur la grève et balaie le fort des cavaliers qui disparaissent broyé sous les eaux.
Les éléments se calment et les habitants comprennent que le danger est passé. Si une partis des survivants quittent le récif, d’autre décident de rester et d’aménage ce lieu ou ils ont survécu au danger. En souvenir le village prit le nom de leur guide qui les as sauvé. A cause du déplacement verticale, la ville devient « Lyssa la Vagabonde ». Les habitants apprennent à y vivre et devinent des agriculteurs de la mer. Ils construisent, un port, des docks, un chantier naval, des bateaux, un arsenal et aussi le palais du seigneur de la mer… C'est une ville ouverte sur l’océan, qui depuis lors vie en osmose avec la nature.
Maître Katfaïel voit que le jeune Tobold dort, et quitte en silence la hutte du jeune garçon.
- Conte 2:
On raconte qu'autrefois en une terre dépourvue du culte de l'unique, et dans laquelle les habitants vénérés sept idoles mensongères au lieu de l'aîné, vivait un simple marchand. Cet homme se nommait « Datel Tholember », et ne se démarquait pas particulièrement de ceux du commun. Il était modeste, honnête, et très pieux. Il revenait d'un long voyage en terre étrangère, et avait était converti là-bas à une nouvelle religion que l'on nommait culte du Néant. Une hérésie diraient les siens, l'on ne pactise avec le culte impures des étrangers diraient d'autres qui l'auraient faits lapider pour cela. Devant cette injustice, et cette infamie Datal avait été contraint dissimuler sa vraie foi à la plupart, et il en souffrait. Il ne cessa de penser que dans les terres où l'on vénérait le Néant celui-ci avait était porteur de nombreux bienfaits pour les hommes, tandis que son peuple avait été tout simplement abandonné par les sept parjures, et vivait dans la misère...
Néanmoins il n'arriva pas éternellement à dissimuler sa confession qu'il était, et peu à peu il se mit à prêcher sa parole, d'abord de manière discrètes, et subtile. Étant un excellent orateur un à un ses proches se convertirent à ce nouveau culte. Il se mit bien vite en place des lieux de culte clandestins, le bouche à oreille faisant son effet les adorateurs se multiplièrent, et de un ils devinrent dix, de dix ils devinrent cent, et de cent ils devinrent mille. Leurs nombres ne cessait d'augmenter à un tel point qu'un jour s’apercevant de cela le gouvernement de ce pays fidèle aux sept parjures ordonna des traques. Des bûchers se dressèrent au milieu des cité, des lieux de cultes clandestins furent saccagés, certains villages furent mit à feu, et à sang. Mais les fidèles au lieu de fuir, et de retomber sous les cultes des sept parjures, au contraire ils ne perdirent jamais leurs foi en Néant.
Certains se mirent à vivre clandestinement, d'autres firent mine d'abandonner le nouveau culte pour revenir dans l'ancien culte seulement pour sauver leurs vies. D'autres moururent en martyrs sur les bûchers, et dans les donjons, leurs sacrifice, et leurs foi indestructible malgré les souffrances qu'il enduraient, alors qu'une simple trahison à l'unique aurait pu leurs sauver la vie fit en sorte qu'au lieu de décourager d'éventuels nouveau fidèles, d'innombrables conversions se firent dans le peuple de ces terres. Le nombre de fidèles ne cessant d'augmenter.
A un tel point que l'armée fut lever pour écraser celui à la tête, et à l'origine de tout ceci. Datel n'ayant pas perdu la foi, et ayant survécu jusque là essaya d'enrôler les fidèles dans une armée composés majoritairement de paysans, de miliciens, et de gens modestes. Ils étaient nombreux, mais ils ne valaient sûrement pas des soldats de métier. Il n'y avait nul doute qu'ils se feraient écraser, et pourtant dit-on que la foi faisait se soulever des montagnes. Car ils tinrent, et opposèrent une farouche résistante à leurs oppresseurs à un tel point que ceci furent mis en difficulté...
Mais finalement ce qui devait arriver arriva, l'armée Datel aussi poussés par sa foi, et courageux que sont les soldats qui la composé fut acculé dans un des anciens temples des esprits dans lesquels ils furent contraint de se réfugier...
Leurs résistance fut brave, mais la défaite sembla inéluctable, ils n'étaient plus qu'une centaine à tenir, leurs ennemis étaient cents fois plus nombreux, et mieux entraînés. Et c'est alors que l'inimaginable arriva...
Datel qui pria pour soutenir ses hommes après avoir était blessé nombre de fois au combat vit soudainement apparaître dans la lumière une femme magnifique, et d'une beauté à en pleurer. La splendide créature d'abord silencieuse lui tendit une chevalière, et Datel la prit, elle lui dit qu'elle avait était envoyé par Néant, et elle repartit... Datel encore sous le choc, mais avec sa foi raffermie se releva, et avec la chevalière à laquelle il découvrit bien vite des pouvoirs exceptionnels il terrassa l'armée ennemie. Devant cet exploit à nuls autre pareils les infidèles jetèrent bien vite leurs armes, et se convertirent en masse au culte du l'unique, et depuis ce jour ce royaume prospéra sous la tutelle sage, et bienveillante du Néant dont Datel se fit le prophète pendant le reste de son existence.
- Conte 3:
On raconte qu'il y a bien longtemps, très longtemps, un homme fier et courageux, brave et respecté. Il était un des bras droit du premier empereur des humains. Il avait été à ses côtés lorsqu'ils posèrent le premier pied sur ces terres nouvelles, encore là quand ils rencontrèrent les dragons et elfes, quand ils combattirent côté à côté les vampires.
Akbarat Targon eut un fils, Baalhaan, Baalh, qui naquit dans les premiers fondements de la grande ville de Gloria, gloire des Humains. L'empereur demanda à son fidèle ami de se rendre vers les terres du sud ouest, encore inexplorées afin de trouver richesses et matières premières pour alimenter la construction de la ville haute. Akbarat partit avec une bonne centaine d'hommes et de femmes, ils marchèrent des semaines, des mois, dans ces plaines vastes. Ils y trouvèrent des chevaux sauvages, des tigres et lions, de quoi déjà alimenter quelques carrioles.
Le temps les amena aux bords des rivages, connus, familiers mais vite abandonnés pour les terres plus profondes. Akbarat s'enfonça vers l'ouest pour y découvrir un jour une anse qui s'avançait dans la mer. Une terre qui offrait un poste avançait et un très bon poste d'observation. Un camp s'y établit bien vite. Et les premières recherches se firent dans les alentours.
Baalh, lui, préféra rester au bord de cet océan dont son père parlait si souvent, et que lui n'avait jamais vu. Sur la plage, le garçon, maintenant âgé de seize ans, trouvait toujours son bonheur et une multitude de beauté que charriait l'eau sur le sable. Très vite, il s'intéressa à l'eau et cherchait comme son père à dompter cette eau parfois colérique, parfois calme, et ainsi aider les siens en apportant ce poisson, ce met délicat dont sa mère était bonne cuisinière parait-il.
Aidé des anciens marins, le garçon construisit une petite barque et très vite il prit la mer afin de pêcher et comme ses ancêtres dompter la mer. Cet art s'avérait bien difficile, entre la mer capricieuse et sauvage et les poissons se jouant de l'apprenti pêcheur. Mais le garçon ne perdait pas espoir. Et chaque jour il retentait encore et encore de traquer le poisson pour nourrir des siens.
Un beau matin, le fils de Akbarat prit sa barque et se dirigea vers l'Océan malgré les inquiétudes de sa mère quand au temps. Le vent se levait et l'horizon était sombre. Mais têtu, il n'écouta pas sa mère et voguant vers le large, il jeta son filet et attendit la pêche.
Mais au loin Océan décida d'entrer en colère aidé par son frère Vent, et le ciel sombre devant noir, le souffle du vent du sud balayant tout sur son passage et formant des vagues déchaînées d'écumes sur l'eau devenu sombre. Baalh tenta de se tenir tant bien que mal à sa modeste barque de bois qui se fendit bien vite en deux sous la colère des Esprits.
Akbarat, ayant appris que son fils était en mer, devenait fou sur la plage. Le vent pouvait balayer son visage de sable, il n'en demeurait pas moins droit devant l'océan déchaîné cherchant un indice sur la présence de son fils non loin. Mais l'homme savait aussi très bien que ce que la mer prenait, elle ne le rendait jamais.
Mais cette fois-ci, les Esprits furent cléments et déposèrent le jeune Baalh sur les récifs de la anse de terre, avancée dans l'eau, car son cœur pur et son courage pour aider les siens l'émurent. Pour remercier les Esprits, l'océan, qui lui avait apporter tant, Akbarat entreprit de construire une ville en son honneur : Lyssa, folie furieuse, rage destructrice, force surhumaine. La mer y était honorée chaque jour, à chaque instant, n'oubliant pas les racines premières de ces hommes venus de loin, par la mer.
- Conte 4:
On raconte qu'au plus profond des eaux de la Vagabonde revivra la Patrie d'autrefois. Angelhan, l'île des Hommes, doux souvenir et tendre souffrance.
Incarnant la terre bénie à leurs heures tant éternelles qu'accablantes en tempête et brouillard, Armanda fut adorée des hommes, telle une offrande au terme de leur laborieux calvaire. Si les hommes de Judovic Kohan, premier de tous les empereurs, marchèrent au cœur de l'île nouvelle pour y bâtir au sommet de leur puissance la Magnifique, restèrent à quai les cœurs vaillants mais à jamais en peine de leur terre natale. Ces errants n'étaient guère capable de construire l'avenir tant leurs visages en larmes ne parvenaient à se défaire de leur passé. En toute bonne logique, si c'était ici qu'ils étaient venus, c'est en ce même lieu qu'ils partiraient.
Ainsi fut Lyssa la Vagabonde, point d'arrivée des hommes et espoir de leur retour.
Si cinq navires navires arrivèrent à Armanda, la légende parle de ce sixième bateau aux voiles blanches et or, éclaireur perdu en pleine tempête. A son bord, Lyssa Kohan, jeune sœur de Judovic, qu'ils ne revirent point. Certains jours de tempête, les vieux marins de la ville disaient qu'ils entendaient encore sa voix cristalline chanter par delà l'écume des vagues. Ils semblaient croire qu'un jour elle reviendrait avec le Guide pour les conduire vers Angelhan, comme elle l'avait toujours fait par le passé.
Elle ne revint jamais.
La chevelure bleutée de Lyssa ondulait autrefois comme les vagues d'Océan, son Esprit protecteur. Les yeux étaient des saphirs si proches du blanc qu'ils hypnotisaient tels le son de sa voix. Elle jouait de la harpe, des notes si mélodieuses qui sont devenus aujourd'hui l'hymne ancien de Lyssa la Vagabonde. La jeune Kohan avait été jadis l'heureuse élue d'une offrande d'Océan.
Le Guide, la boussole des désirs.
On raconte que l'artefact désignait ce que convoitait le plus au monde son possesseur. Lyssa n'avait jamais eu de cesse de vouloir ramener son frère à la maison après chaque pillage en mer. Ce jour-là, la boussole lui fut dérobée, le bateau blanc et or sombra, emportant avec lui l'âme de la Vagabonde et le si précieux présent d'Océan. Indigne gardienne, l'Esprit Supérieur sévit et condamna l'être le plus cher de Lyssa, à savoir son frère, à l'errance. Jamais Judovic ne revint à Angelhan. Armanda fut son secours et sa peine.
On dit qu'Océan rend toujours ce qu'il a englouti.
Si bel et si bien que l'espoir admet de croire à ce retour de Lyssa en la Vagabonde un jour prochain. Elle aurait à son cou la chaîne d'or porteur de l'objet qu'on lui déroba jadis et qu'elle aura été reprendre dans les abysses de la mer. Ultime devoir pour cette damnée que de reconduire son peuple sur les terres de leurs ancêtres. Le pardon sera le repos de son âme.
Paix lui sera rendue et jamais plus on n'entendra le chant de Lyssa sur les côtes de la Vagabonde.
Le vainqueur entrera dans la légende armandéenne... A vous de jouer! |
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| Sujet: Re: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] Jeu 25 Déc 2014 - 21:14 | |
| Eh bien je lance les votes!! J'ai choisi le numéro4, même si je dois avouer que nous avons là de bien beaux contes. Marrant de voir comme Lyssa a pu inspiré
Dernière édition par Esmelda Kohan le Jeu 25 Déc 2014 - 21:20, édité 1 fois |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] Jeu 25 Déc 2014 - 21:19 | |
| Vote fait aussi pour moi ! Bravo à tous, ils sont quand même tous bien sympathique |
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| Sujet: Re: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] Jeu 25 Déc 2014 - 21:32 | |
| J'aime la poésie qui se dégage du quatrième j'ai donc voté pour. Mais les quatre sont sympas, réellement. |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] Ven 26 Déc 2014 - 20:31 | |
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| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] Sam 27 Déc 2014 - 12:53 | |
| Après réflexion, j'ai choisi le quatrième ^^ |
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| Sujet: Re: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] Dim 28 Déc 2014 - 17:42 | |
| j'ai voté pour le 4, ils sont tous très sympas mais j'ai eu un coup de coeur sur celui là ^^ |
| | | Luna Duruisseau Administratrice Régente d'Aldaria Dragonnière
| Sujet: Re: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] Lun 29 Déc 2014 - 17:59 | |
| Ils ont tous été agréables à lire, mais mon choix s'est finalement arrêté sur le 4. J'ai bien hâte de voir qui les a écrit ^^ 1 = Tobo ? 2 = Chris ? 3 = Dawy ? 4 = Eliow ? Ce sont mes hypothèses |
| | | InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] Sam 3 Jan 2015 - 15:06 | |
| Le sondage est terminé et avec lui s'achève ce concours!
Il est temps de vous révéler l'identité des participants (pour répondre aux curieux ) et leurs gains, bravo à eux pour ces écrits pleins d'imagination et de beauté! Tobold, auteur du conte 1, recoit la récompense suivante: - Citation :
- 150 Pr + un coquillage en pendentif porté au titre peu connu royaume humain, appelé le Pendentif d'Arrome que l'on dit autrefois porté par le chef du village d'Arrome (il n'a aucun pouvoir mais il s'agit d'un objet unique, pouvant donc être customisé ou enchanté par la suite par le joueur).
Crissolorio, auteur du conte 2, recoit la récompense suivante: - Citation :
- 150 Pr + La chemise de Dattel, dite portée par Dattel le jour de sa visite par Néant et portée au titre peu connu royaume humain (aucun pouvoir mais il s'agit d'un objet unique, pouvant donc être customisé ou enchanté par la suite par le joueur)
Esmelda, auteure du conte 3, recoit la récompense suivante: - Citation :
- 150 Pr + Le filet de l'Océan, filet prétendu être celui de Baalh, l'enfant de la légende, porté au titre peu connu royaume humain (aucun pouvoir mais il s'agit d'un objet unique, pouvant donc être customisé ou enchanté par la suite par le joueur)
Enfin, Aldaron, vainqueur de ce concours, recoit: - Citation :
- 300 Pr + La Boussole des désirs, portée au titre célèbre royaume humain; C'est un objet unique et magique capable de percevoir le souhait le plus profond de son possesseur et de lui en indiquer la direction, quand bien même ignore-t-il quel est ce vœu.
Que cela vous permette de bien commencer cette année 2015! |
| | | Contenu sponsoriséMon identité Mes compétences
| Sujet: Re: Sondage: contes et légendes [du 25décembre au 2janvier] | |
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