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| Ode à la création (Monologue) TERMINÉ | |
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InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Ode à la création (Monologue) TERMINÉ Ven 4 Juil 2014 - 0:25 | |
| 1 Mars Perché en hauteur, dans le quartier marchant, l'homme surplombait une partie de la ville du regard. Devant lui se trouvait des millier d'âme. Heureuse, triste, il n'avait que faire de leur passion. Ces âmes étaient assoupie et avec elles leur espoirs et leur déceptions. Lui même était une âme en peine, il le savait. Dans son cœur, trop de douleur s'étaient logées. Trop loin, trop creux dans les pores de son cœur. Il était une triste personne, au triste passé, au triste présent. Sur l'épaule de l'homme se trouvait un oiseau, homologue homonyme. Un corbeau, qui comme lui, Le Corbeau, croassait sa peine et sa misère sur le visage de la lune croissante. Ils juraient d'une voix rouillé leur colère face à l'injustice qui s'était abattue sur eux. Blessé, de cœur et d'esprit, les oiseaux noirs continuaient leur vie, laid, brisé, n'ayant comme seul ami que leur homologue meurtrie. Les deux avaient vu leur ailes se briser sous le joug des Alayiens. L'homme, au fond de son cachot, sous les mains de ses bourreaux avait sentit son corps briser sous les étaux écrasant ses membres. Il avait été dévoré par les flammes chaotique qui avait léchées son torse et son dos. Le fouets et les tisons ardent l'avaient lacéré comme s'il n'eut été qu'un morceau de viande anodin. Il n'avait pas à cacher sa souffrance, car personne ne suspectait ne serait ce que son existence. Il n'avait pas eu de nouvelle de son frère depuis son départ pour le sommet des chefs, de même que Luna. Sa petite Luna... Sa pupille, son élève, pratiquement sa fille... Quelque part sur le continent, à moins que le Grand Esprit de la Mort ne l'ai repris à ses côtés... Non, son dieu ne ferait pareil chose... Elle n'était pas prête... Elle était encore innocente, sans pour autant être naïve. Ce dernier trait caractérisait les inexpérimenté de la vie, comme les enfants de riche et les gamins en bas âge. La naïveté, une chose qu'il n'avait pas possédé très longtemps... Après la mort de sa mère, il avait changé, il était devenu un enfant sérieux, froid, mais un gamin dans le cœur tout de même. Après l'attaque du vampire, le gamin était mort, et une statue avait prit sa place. De pierre, stoïque, insensible, il n'avait rien eu d'humain... Pendant bien longtemps maintenant qu'il y repensait... Le meurtre de l'innocente, puis son père, puis son tuteur... Il avait perdu son âme cette lune là. Couvert de sang, remplit de rage, il était devenu une bête, car il avait tuer. Ces dernières rencontres avaient éveillé en lui des sentiments et des pensées qui n'avaient pas eu lieux d'être dans son cerveau froid et calculateur. Nalaïa et son masque, Luna et sa routine, le dragon d'or et ses convictions, tout avait été chamboulé en si peu de temps. Que lui restait-il, sinon chercher la trace de la seule personne qui faisait de lui un être humain? Il avait peur, peur qu'on lui ai arraché son humanité, peur de redevenir ce qu'il fut auparavant. Il avait grandir bercé par la mort, pour finalement comprendre l'importance de la balance et de l'équilibre, l'importance de la vie avant la mort, l'importance d'exister avant de ne plus être. Il avait quitté le vieillard, Crissolorio Ostiz, et avait vagabondé un moment avant de finalement décider de s'arrêter un peu et de penser. Il allait travailler au palais... Si jamais il entendait parler de la Horde ou de Luna elle même, il pourrait agir rapidement. Pendant qu'il travaillerait la bas, il en profiterait aussi pour s'informer lui même des dernières nouvelles et, qui sait, peut être prendre une bière avec l'empereur? Cette pensée le fit presque sourire. Presque. Il laissait au plus haut point la royauté. Il avait courbé l'échine une fois et une fois de trop, espérant aider Luna, il était tombé sur un conflit qui dépassait son entendement. En fait, il n'avait que faire de toute ces guerres. Il voulait être en paix avec celle qu'il aimait, rien d'autre lui importait. Ce n'était pas un fils de riche complexé par son phallus qui allait ruiner sa vie. Résolue à passer une autre nuit debout, il entreprit de quitter calmement la ville par les égouts, comme à on habitude. Un oiseau sous terre, assez inhabituel, mais réelle. La vu des chemins putrides le découragea, mais il se fraya tout de même un chemin parmi les détritus de la ville, submergé par l'odeur écoutante qu'il avait sentit quelques jours plus tôt. Il marcha pendant un bon moment avant de finalement voir les barreaux familier de la sortie de la bouche des égouts. Cette dernière débouchait en forêt, dans les environs de la ville. Elle était peu visible, mais l'homme guettait toujours l'Arrivé potentiel d'ennemis, ou les signes d'une embuscade classique et bien menée. Songeur, il marcha dans la forêt de nuit, sans même prendre le temps de regarder où il mettait ses pieds. Il ne craignait pas la mort, il ne l'avait jamais craint. Mais à présent, seul au milieu du centre du monde, il réalisa une chose qui le frappa plus fort qu'un millier d'éclair. Il avait peur de la vie.
Dernière édition par Saemon Methus le Mar 2 Sep 2014 - 9:28, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Ode à la création (Monologue) TERMINÉ Mar 8 Juil 2014 - 11:59 | |
| 2 Mars Le repère de l'assassin commençait à retrouver sa gloire d'antan. La poussière avait céder la place à une propreté relative. La noirceur avait disparue lorsque les lanternes c'étaient allumées. Le froid, dissipé par les braises de la forge. Il avait remit à neuf tout ce qu'il avait pût. Or, certaine chose ne pouvait être remplacé, comme la nourriture. Il avait tué un cerf récemment, et sa viande était toujours à sécher. Pour les reste de ses provisions, il devrait aller les chercher en ville. C'est pourquoi l'assassin, accompagné par Nox, avait décidé de se reposer, pour une rare fois dans sa vie et d'aller acheter les vivres en question. En ville, une fois ses courses terminés, il avait décidé de se reposer à la taverne du Chien Errant. C'est ainsi qu'il avait rencontré Auphélie, la tenancière du commerce. L'assassin lui aurait bien poser toutes une série de question, afin de débuter son enquête sur Luna et la Horde, mais le mutisme de la femme l'avait stoppé sur sa lancé. Il en avait néanmoins profité pour se reposer, collecter quelques informations et surtout, se tenir au chaud. Il pleuvait plus qu'il ne neigeait, mais il n'en restait pas moins qu'il faisait froid. L'Ombre avait eu sa dose dans les cachots d'Elena, il appréciait donc la chaleur des flammes plus que jamais. De plus, il se trouvait intrigué par l'existence en soit de la tavernière. Comment une jeune femme comme elle réussissait-elle à survivre dans un monde aussi hostile et dangereux que le leur? Elle devait avoir eu une enfance impossible, une vie impossible, et pourtant, elle était là, souriante, travaillante, brave. L'assassin se trouvait bien insignifiant. Il avait tué plus d'une centaine de personnes, il devait être l'un des meurtrier les plus prolifiques de toute l'empire, ses adversaires le craignait comme la mort elle-même, et pourtant, aux coté de cette jeune femme, il se sentait petit, admiratif même. Une femme du peuple ayant surmonté les malheurs de la vie, se tenant droite et fière... Un peu comme la mère qui l'avait trop tôt quitté... 3 Mars Le lendemain, l'assassin avait décidé de poursuivre ses recherches et ses achats. C'est ainsi qu'il était tombé sur le bâtiment en rénovation, l'un, sinon le plus gros bâtiment du secteur marchant. Une ancienne auberge dont l'une des ailes avait été détruite lors du siège de Gloria par les Alayiens. Le propriétaire, un marchant avare bien connu, avait fermé le commerce et entreprit des rénovations afin de pouvoir le vendre. C'est ainsi qu'un idée traversa l'esprit de l'assassin, une idée complexe, exigeante, mais qui pourrait lui assurer un futur stable, et un revenu d'information massif, de quoi localiser n'importe qui sur le continent... même Luna... Il avait donc rencontré le propriétaire en question, son arc à la main, l'enchantement de Phobos déployé comme un manteaux cauchemardesque autour du Corbeau. En quelque minutes, il était devenu l'heureux propriétaire du bâtiment, sans qu'une goutte de sang n'ai été versée. L'assassin était tenaillé par ses projection incertaine. Il pouvait tout aussi bien revendre l'auberge à profit, ou risquer gros pour acquérir quelque chose d'encore plus gros. Il avait déambulé dans les rues de la ville, cogitant sur chaque point, chaque élément clé pertinent à analyser dans son plan. Une résidence suffisante pour un groupe important, divisé en sous groupe, questions de simplicité. Des gardes pour veiller sur l'endroit. Il faudrait qu'ils soient jeunes et vigoureux, prêt à apprendre et s'entraider. Des femmes pour s'occuper des cuisines et de l'auberges, ayant un certain savoir faire, mené par une personne d'expérience... Cette Auphélie Revint dans l'esprit de l'assassin. Elle remplissait parfaitement la demande pour l'emploi. Peut-être était-ce un signe, qui sait? Après avoir complexifié son idée, rencontré les travailleurs et stratifié les étapes de son plan, il décida de retourner au "Chienne Errant", afin de tester l'intérêt potentiel de sa proposition. Si la tavernière se trouvait froide à sa proposition, peut-être alors que cette dernière n'était pas assez riche et intéressante. Or, la Tavernière avait dit bien vouloir essayer, ce qui ne fit que renforcer la détermination de l'assassin. Son plan pouvait fonctionner, il le savait, il n'avait qu'à y mettre l'effort, et sous peu, image deviendrait réalité, sous le froid de la pierre et la chaleur des bougies. Un ordre qui ne vivrait pas pour l'Argent ou le sang, mais pour la connaissance et l'humanité. Rêve dystopique au proportion Utopique. Mais malgré ce nouveau projet lui demandant temps et ressource, il ne négligeait pas sa mission première: retrouvé sa pupille, son amie, sa sœur, sa fille. L'Ombre avait circulé dans une bonne partie de Gloria, demandant d'un coté des informations sur Luna, et de l'autre, faisant la promotion, de façon ciblé, de son futur groupe. C'est ainsi qu'il avait atterrie ''Aux murmures des fées'', une maison close tenu par une matrone lui devant un faveur, enfin, c'est ce qu'il croyait... Autone Summer, une nouvelle tenancière, et un caractère assez particulier. Alors que l'assassin n'avait chercher que des réponses à ses nombreuses interrogation, elle l'avait séduit en un tour de main. Les sens animales de l'homme lui avait été ennemies l'espace d'une nuit, faisant défaillir ce qui n'avait jamais défaillit. L'Ombre avait voulu aider la Matrone, mes ses actes aspiraient tout sauf la confiance. Il avait l'impression d'avoir profité d'elle, alors qu'elle l'assurait qu'elle lui avait fait un cadeau. Une fois, il avait gouté à la tendresse d'une femme, mais même son incroyable mémoire n'arrivait pas à situer l'évènement dans le temps. Peut-être que cela n'avait été qu'un rêve, peut-être que non. Cette seule pensées faisait battre le cœur glacé de l'assassin de bond fort et assourdissant. IL ne savait prendre femme, Autone le lui avait bien fait savoir, bien malgré elle. L'homme masqué était beaucoup de chose: un archer redoutable, un assassin hors pairs, un rôdeur polyvalent, un herboriste doué, un maitre forgeron, un érudit, mais il lui manquait une chose fondamentale: il n'était pas un homme. Peut-être que son idée de fonder une auberge venait de cette sensation cruelle et saisissante: le besoin d'Aimer et d'être aimé. Admirer les autres et être pareillement louangé. Peut-être qu'au fond, c'est tout ce que l'assassin voulait... Une caresse silencieuse faisant taire ses cauchemars, Un baisé de rosé à saveur de miel... |
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| Sujet: Re: Ode à la création (Monologue) TERMINÉ Ven 18 Juil 2014 - 2:03 | |
| 4 Mars Tout semblait se mettre en ordre. Il avait trouvé une tenancière et une partie de ses employées. De plus, Il allait peut être avoir à ses côtés une autre femme au caractère fort habituée à la gestion, exactement ce qu'il lui fallait. Mais ce n'était pas dans la poche avec cette dernière... Il respecterait son refus si refus il y avait, sans toutefois le comprendre pour autant. Quant à Yames, le mercenaire à qui il avait confié la tâche de rassembler des troupes... Il ne savait quoi trop penser à son égard. Bien que "sympathique", il ne misait pas trop sur sa fidélité. Après tout, il était lui même un mercenaire, et il savait très bien que la dernière chose à laquelle un guerrier libre aspirait, s'était de terminer ses jours sous les ordres d'un inconnu paré de belles promesses. De belles promesses, il en avait fait, beaucoup plus que ce à quoi il avait pensé. Heureusement, les personnes à qui il avait adressé parole espéraient tous une fin similaire à leur vie de misère. Il avait promis un toit, de la nourriture et de la protection, et il comptait bien tenir cette promesse... Pour le moment, il avait recruté non loin de dix employés, mais encore aucun servant à la cause véritable de toute cette mascarade. Encore une fois, il était question ici de confiance. Il pouvait débuter son projet d'auberge quand bon lui semblait, et ainsi s'auto financer, mais son projet réel, ce groupe auquel il tenait soudainement plus que bien des choses dans sa vie n'avait pas encore d'acteurs, principale ou secondaire. Tout pouvait lâcher à tout moment, il pouvait tout perdre subitement. Il n'avait jamais rien possédé, la peur de perdre n'avait donc jamais été une réalité dans sa vie. Mais à présent, tout changeait, tout changerait, chaque partie de sa vie se verraient transformées par cette peur insidieux se repensant dans son cerveau comme le plus perdu de des venins. Encore légèrement enivré par l'alcool qu'il avait bu aux côtés de Yames, l'assassin s'était dirigé vers son auberge. Dans son cœur, la confiance ce balançait dans tout les sens. Il devait faire confiance à d'autre personne, mais son instinct lui dictait clairement de ne pas se fier au mercenaire. Le rôdeur devait assurer ses arrières. Ce n'était pas vraiment être de mauvaise fois lorsque le sujet était abordé dans cette angle. Il lui avait demander de trouver des jeunes. Qu'il le fasse ou non, l'Ombre allait s'Assurer que d'ici deux semaines, il y ai autant de personne prête à apprendre, et à servir. Non pas comme des chien leur maitre, ou des soldats leur général, mais comme des fils et des filles suivant les mots de leur père. Il ne voulait pas devenir maitre de qui que se soit, sinon mentor de ces dernier. "Maitre" pouvait être une formule de politesse, mais jamais le solitaire aux pensées solidaires n'Accepterait que quelqu'un le nomme ainsi par soumission. Luna l'appelait maitre... Auparavant... Avant... Il y avait de cela des mois. Des lunes, des siècles... Dans une autre vie. Il se trouvait à présent devant la porte de l'imposant bâtiment. Il soupira, attristé à la pensée de la gamine. Pour la centième fois depuis les mois qui avaient suivit son évasion, à Elena, l'Assassin posa un genou au sol. Lentement, il courba l'échine, les bras déposés sur la même jambes. Il pria, il priait, il avait prié, toujours, pour le retour de sa petite Luna. Il sentait les émotions exploser dans son plexus. Comment avait-il put être aussi stupide? Il n'aurait jamais du la quitter. À présent, son frère avait disparu, la fillette était perdue quelque part sur Armanda, loin de lui, aussi loin de lui qu'elle était ancré en lui, dans sa chair, ses os, son âme même. Il se releva en soupirant et entra dans le bâtiment, croisant le regard de quelques recrus qu'il avait embauché la journée même. Tous âgé entre quinze et trente ans, hommes et femmes. Des jeunes plein d'énergie, mal traité par le destin, recueillit par un assassin en quête de rédemption. Il lui adressa un sourire, avant de les quitter pour les étages supérieurs. Au quatrième étage, il emprunta le petit escalier menant au toit. Il aimait bien la vue qu'il avait du haut du bâtiment. Il se trouvait sur la partie est du quartier marchant de Gloria, du coté du soleil levant. Il se rappelait ce genre d'information car au loin, les ténèbres étaient lentement terrassée par une lumière rosé à la force croissante. Le rôdeur s'accouda au petit muret sur l'extrémité du toit. Nox vint se poser près de lui, probablement las d'être perché sur son maitre. Un croassa longuement devant la mine qu'abordait son maitre. L'homme se demandait sans cesse pourquoi il agissait ainsi. Pourquoi regrettait-il cette nuit passée dans les bras d'Autone? Pourquoi n'était-il pas capable de faire confiance à ce Yames? Pourquoi était-il si attristé devant la condition de la tavernière du "Chien Errant", Auphélie? Et surtout, pourquoi avait-il accepté ce contrat d'espionnage au palais? Ce n'était pas dans ses habitudes d'être aussi occupé, aussi hanté par ses agissement quotidien. Était-ce cela que d'être un homme suivant le courant de la société? Un être sans cesse torturé par ses agissement? Sans chance de s'en sortir? Ou n'était ce que lui, pauvre fou incapable de vivre, seulement survivre? Boule de flamme auréolé de rose Tel un oiseau déployant ses ailes
Inspirant à la fois envie et prose Incertitude et émotion fiels.
Le corbeau croassant à la lumière naissante Pareil à une insulte à la morte noirceur
Pareil au Chant de l'Aube croissante Dansante au palais de glace du tueur
Dernière édition par Saemon Methus le Mar 29 Juil 2014 - 11:44, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Ode à la création (Monologue) TERMINÉ Mar 29 Juil 2014 - 4:30 | |
| 5 Mars Travailler sur sa tanière. Une activité longue, éprouvante, et lourde en souvenir. Il s'en voulait... à chaque jour, il s'en voulait d'avantage. De l'avoir quitté, d'être partie, d'Avoir abandonné qui il était pour tenter d'être quelqu'un de mieux. Il ne pouvait pas se forcer à changer. Il était qui il était. Point. Rien n'y changerait quoi que se soit. Il changeait au fil du temps, mais il ne pouvait provoqué ce remous en lui. Il parlait beaucoup ces temps ci, tellement que sa gorge cédait sous la douleur et la demande. Pour mettre un terme à son mal, il avait acheté différente herbes aux propriétés relaxantes, anesthésiques, stimulantes ainsi que curative. Rien qui pourrait colmater une plaie, coudre la peau ou cicatrisé des os, mais plutôt le genre d'herbe à mettre dans un thé afin de vivre une courte expérience relaxante pour le corps et surtout la gorge. Mais l'assassin n'avait pas au programme de devenir un buveur de thé compulsif. Il allai faire de ces plantes un médicament fiable et actif, dupliquable sans trop d'effet secondaire. Évidement, les premiers testes avaient été des échecs lamentables et n'avait causé comme effet que des vomissements ou des nausées, rien de bien agréable. Un problème majeur était également apparue devant l'assassin. Les herbes qu'il avait acheté était encore très fraiche. Pour des résultat maximal, il devrait les faire séché quelque jours. Il devrait donc endurer sa voix caverneuse encore quelque jours... Ses jours commençaient à se ressembler. Acheter du matériel pour sa tanière et pour l'auberge, parler aux différents marchants, discuter avec les travailleurs qui s'occupaient de la rénovation de l'auberge... Il devait aussi faire sa ronde habituel entre différent lieux clé: Le Chien Errant, Aux murmures des fée, deux trois auberges concurrentes, aller voir ses fournisseurs. Toutes ces actions ne lui ressemblaient pas... Était-il en train de devenir un parfait petit citoyen parmi tant d'autre? Non... C'était l'impression qu'il avait, mais dans les faits, il fondait la base d'un organisme à l'influence en puissance redoutable. de quoi connaitre tout, partout et ce, en tout temps. Il avait après tout obtenu un contrat au palais, une source intarissable de savoir en d'autre mots... Il devrait techniquement s'en réjouir, mais son cœur n'était pas à la fête. Il ne pouvait se permettre d'être heureux, car il serait hypocrite. 6 Mars L'assassin commençait à croire qu'il entrait dans une latence profonde. Des gens se joignaient à ses propositions, l'auberge allait de bon train, elle se réparait encore plus rapidement que ce a quoi il avait pu s'attendre... Et pourtant... Il ne pouvait s'empêcher de penser aux deux femmes qu'il avait rencontré. Pourquoi ces dernière étaient-elles seules? Elles étaient belle, débrouillarde, forte... De quoi plaire à bien des hommes, ou des femmes... Après tout, l'assassin ne connaissait pas leurs préférences... Pour le cas d'Autone, le célibat était explicable, puisqu'elle devait subir l'affront d'être traité comme un objet chaque jour, mais malgré cela. N'avait-elle pas besoin de quelqu'un pour lui tenir compagnie? Il ne ferait pas un bon amant, ou un bon amoureux, il le savait, mais il y avait tellement d'homme sans femme dans la grande ville... C'était impossible que se soit tous de parfait imbécile. Peut-être que si la matrone donnait raison à l'assassin, travaillait dans son commerce en gestion et arrêtait d'Avoir à ouvrir les jambes devants tout les clients payant, elle pourrait peut-être cessé d'en vouloir au homme. Passé cette étape, elle pourrait même tombé amoureuse d'un gentilhomme, Glorien ou autre, et ainsi vivre une vie plus heureuse déjà que ce qu'elle semblait vivre sur le moment. Une autre chose que l'assassin n'était pas habitué de faire: cogiter sur ses espérance de voire une autre personne heureuse. En fait, espéré seulement n'était pas dans sa définition comportementale. Dans le cas d'Auphélie, ce qui l'attristait, c'était de voir à quelle point elle était seule. Au travail, en amour. Il n'avait vu aucun homme aller l'embrasser délicatement, l'Aider dans sa besogne, alléger ses journées. Pas de famille non plus... Seulement elle, petite muette dans le monstre de la ville. Était ce pour cela qu'il avait pensé à ce projet? L'unité? Ne plus être seul? Peut-être... Peut-être était-il trop lâche pour courtiser une femme, et que par conséquent, il avait décidé d'unir des personnes dans le besoin. se créer une famille, la famille qu'il n'avait jamais eu... Il avait gouter à l'amour paternel en éduquant Luna. Peut-être que cette étape de sa vie avait éveillé en lui une partie qui était resté enfoui tout ce temps: l'humain en lui. Le père en puissance, l'amant en puissance, l'ami en puissance... tout ce qu'il n'était pas et qu'il pensait ne jamais être. Pour une seconde, possible, à travers les tourmentes d'un continent en guerre. Ou peut-être que non... Peut-être était-il un assassin à la recherche d'un repère et de sbires... De personne disposables pour le garder. Peut-être n'était-il qu'un monstre... Il avait acheté et amassé bon nombre d'objet qui n'était pas tout à fait lié au bâtiment en rénovation, mais plutôt à l'administration de ce dernier. Des vêtements pour les deux dames, un uniforme pour celui qui porterait la charge de meneur des gardes, des vêtements pour son rôle d'Alexandre Tidus, un accessoire magique pour Auphélie, une arme pour Autone... Il ne voulait pas acheter leur allégeance, car après tout, ce n'était même pas garantie qu'elles acceptes de se joindre à lui. Non, c'était plutôt des cadeaux. Qu'elles acceptent ou non, ses présents leur seraient d'une certaine utilité. Et puis, si vraiment elle se joignaient à lui, dans ce cas, elles auraient déjà une preuve de la confiance que l'assassin leur accordait... La nuit tombée sur la ville de Gloria, le calme aussi, l'assassin dévisageait les flammes allumées partout, dans chaque demeure, comme c'était à présent son habitude. Il n'espérait pas un message, il n'en attendait pas un, mais le destin aimait bien tordre les jours de l'Assassin depuis les dernières années. Il envoya donc Nox patrouiller, sans trop d'espérance. Sans croire réellement qu'il recevrait des nouvelles... Des nouvelles à l'odeur de fer... Des nouvelles sanglantes... |
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| Sujet: Re: Ode à la création (Monologue) TERMINÉ Jeu 7 Aoû 2014 - 2:43 | |
| 7 Mars Dure nuit. Cet événement invraisemblable avait confirmé bien des choses qu'il craignait à son sujet. Son détachement face a la réalité, sa perte d'humanité flagrante et constante, la folie qu'il menait ses fait et geste, étrangère à la commodité... Qu'était il? Sinon un monstre de sa race, un jeune imbécile maladroit et égoïste? Non, Il était bien pire que cela. Un jeune stupide insulte un garde, lui, Il les tue. Sans considération de la propriété existentielle de sa victime, sans arrière pensée des enfants qu'il laissait sans père, et les femmes sans maris... Dans certain car, oui, il agissait bien, car sa cible était elle aussi un monstre... Mais s'il suivait pareil raisonnement, ne devait il pas d'enlever la vie? Il n'épargnait que les innocents, or, il ne l'était pas... Était ce un mortel non sens qui allait le mener à sa propre fin?... Oui. Non. Quand la folie se joue, personne n'est à l'abris, particulièrement les Ombres qui rôdent sans effleurer l'existence, comme une libellule au dessus d'un étang. Constat sans action. Vivre sans exister. Après les événements du bordel, la sortit en douce de la ville et la crémation des corps, l'homme était retourné à son repère. Seul, ou plutôt, accompagné de Nox. Tout la journée, afin de se changer les idées, il avait forgé. Quoi dont? Bien des choses... Il avait modifié une armure qu'il avait acheté, modifiant sa structure, allégeant l'ensemble et corrigeant les défauts. Il avait fait perdre près de la moitié du poids à cette armure, alors que sa résistante n'avait été que peu affecté. Question esthétisme, il avait choisis un motif similaire à des écailles, mais allongé. Davantage des plumes donc. Une armure de plume à la dentelure d'acier. Polie, sans être magnifique, elle ne pouvait pas être confondu avec du simple fer gris... Certaine personne pourrait même croire que cette armure était d'argent forgée ce qui n'en était rien. L'assassin travaillait cette armure pour son auberge, encore une fois... Pour aller avec cette dernière, l'homme avait acheté un haube simple, encore une fois, modelé par sa main afin de combler ses désirs. Esthétisme plumeuse, arrête du nez incurvé, pareil à un bec. Espace interne maximiser afin de pouvoir y glisser sa tête déjà masqué... L'assassin avait créé un oiseau d'acier, encore une fois, une autre personne n'étant pas lui. Encore une fois, une raison de perdre son identité. Après la création de cette défense, il s'était penché sur les armes. Une dague en acier claire... Pour l'assassin, c'était une page vierge prête à être entamée. Il avait creusé la garde, perforé une langette sortant de la garde et longeant le centre de la lame. Une cartouche munie d'un ressort à l'intérieur, l'ouverture travaillé afin de pouvoir visser et dévisser le pommeau... Beaucoup de technique, simple pour un habituer tel que l'homme en noir. Au finale, un mécanisme à pression permettant de souiller la lame d'un liquide quelconque, dans ce cas ci, du poison. Quelques petite gravure légère furent réalisé sur le plat de la lame afin de poursuivre le thème des oiseaux. L'assassin était probablement inspiré par son ami et familier préféré... Ou simplement dans une période de création à thème. La seconde arme était un accessoire magique, une bague permettant de dissiper les ombres et révéler les être qui s'y cache... Objet de défense ironique pour l'assassin. Forger une arme expressément conçu pour le combattre... mais cette bague m'avais qu'un travail d'esthétisme à réaliser, rien de bien long donc... Un fois ses oeuvres terminé, l'assassin se reposa enfin quelques heures... Enfin... Disons une heure... En examinant le comportement de Nox, les yeux fatigué, le corps épuisé, les cordes vocales meurtries, l'assassin avait recréé dans son esprit tout une suite d'événement qui aurait pu mener à perdre ainsi ses appendices. Son animalier méritait mieux que de boiter sans cesse sur une jambe et d'avoir comme seule "arme" l'absence d'un bec. Il allait forger pour lui les meilleurs des prothèses, au summum de ses connaissances et de son attention... ...Enfin, c'est ce qu'il planifiait faire. Il n'avait pas prévu avoir un arc bandé avec une flèche dirigée vers son dos. Il ne s'était encore moins attendu à reconnaître et étreindre la personne, la jeune fille, qui tenait si fermement l'arme... 8 Mars De nouveau, l'assassin se sentait vivre, de corps et d'esprit. Il n'avait pas envisagé sérieusement que les Grand Esprits répondraient à ses prières ainsi, renvoyant à ses côtés la lune blonde qui éclairait ses jours et les enjolivait. Mais malgré ces retrouvailles, l'assassin devait tenir ses engagements... Entre autre... Le contrat d'espionnage au palais. Aussitôt qu'il en avait eu l'occasion, il avait détallé en direction du Nid de l'oiseau, son auberge, pour s'y laver et se changer. Il n'avait pas remit ses habituel vêtements noir et son armure... Non... A la place de cela, il s'était habillé à même la lumière du soleil: entièrement en blanc. Il avait remplacé ses armes par des plumes et des parchemins. Son poison par sa médication gutturale. La protection et la commodité remplacées par la beauté et la subtilité. Aujourd'hui, il devait jouer le rôle d'Alexandre Tidus, archiviste royal. Un contrat peut-être gratifiant, ou peut être regrettable... Les risques étaient énormes, cela allait de soit, mais pour avoir accès à la bibliothèque royale, l'assassin serait prêt à risquer bien pire que cela. L'homme n'était pas incommodé de mettre sa vie en jeu, loin de la. C'était une normalité dans la vie d'un assassin et d'un espion: de grande récompenses au risque de grand danger, comme de se faire capturer et torturer... Encore une fois, par l'Empire sensé le protéger, lui citoyen ordinaire. Il n'était pas un rebelle, ennemis semblerait, mais il n'était pas non plus un loyaliste. Il détestait l'autorité, peu importait le nom ou la forme qu'elle prenait. Un homme ou une femme profitant d'une supériorité quelconque pour exploiter des personnes en moi bonne position qu'eux ne méritaient pas de respect, ou de loyauté. Les Kohan prétendaient au trône par leur sang et leur racines. Concrètement, cela était absurde. Logiquement, cela n'avait pas de sens. Objectivement, un droit de naissance supérieur a un autre droit de naissance ne pouvait être, puis que chaque humain naissait unique, avec ses forces et ses faiblesse. Un nom ne devrait pas suffire à assurer la performance d'un individu sur le trône. Les aptitudes à mener un groupe ne venait pas à la naissance, plusieurs Kohan l'avaient d'ailleurs exposés explicitement par leur incompétence... Une journée dans la peau d'une personne qu'il n'était pas. Malgré le fait que ce n'était pas sa première fois en tant qu'imposteur, l'Ombre se sentait toujours dérangé par la présence de son alter égo dans son esprit. Pour feindre à la perfection une identité qui n'était pas la sienne, le rôdeur avait compris depuis longtemps qu'il ne devait pas seulement faire semblant de penser quelque chose, il devait y croire lui même. Il devait se mentir à lui même, instaurer une réalité alternative, ou il n'aurait pas été un assassin froid et parfois bestial, mais plutôt un être sensible, passionné par tout ce qui l'entoure. Maintenant que "Alexandre Tidus" était né, une partie de son esprit s'était mise à travailler ce personnage et ce, en tout temps. L'assassin se voyait envahis de réflexion étrangères, de constatation sans importance et d'analyse involontaire. Il allait passer beaucoup de temps sous le couvert de sa double identité, alors jusqu'à un certain point, l'homme jugeait normal de travailler son esprit à travailler différemment. Il ne devait pas cependant oublier que ce n'était qu'un personnage modelé pour plaire aux nobles... Un fait fort différent de sa personnalité réelle. Puis était apparue "L'Aigle d'argent", un autre personnage qu'il devrait jouer. "Apparue" était le terme car l'Assassin n'avait pas réellement envisagé le fait d'incarner un rôle particulier en vêtissant l'armure brillante du défenseur de son auberge et de ses employés. Contre toute attente, lors de son premier test, à la fin de sa journée de travail au palais, l'homme avait tellement joins son esprit à celui de son personnage qu'il avait tout simplement été incapable d'agir comme il l'aurai crut. Cela inquiétait beaucoup le rôdeur solitaire. Cela l'obligeait à se questionner, à savoir si son comportement habituel, celui qu'il jugeait "naturel", était réellement le reflet de ses pensées, ou bien un autre masque censé protéger ses opinions réelles. Peut-être n'était-il qu'un homme parmi tant d'autre, pareil à ce que la matrone avait dit de lui. Un homme, normal, banal, remplaçable, impersonnel... Un homme... Il n'était même pas un homme... Il était moins que cela... Moins qu'un homme... Il était l'Ombre d'un homme... Il était une Ombre... et rien de plus. |
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| Sujet: Re: Ode à la création (Monologue) TERMINÉ Mer 20 Aoû 2014 - 16:45 | |
| 9 Mars Devait il ou non tenter? Cette chance mainte fois espérée. Joindre en un ses espoirs, Ces femmes pour un soir...
Devait il tenter juste une fois Juste une fois pour qu'il soit, Au lieu de sembler et de paraître Embrasser le Verbe tout puissant, Être...Il ne savait plus où donner de la tête. Il avait passé la nuit à travailler sur le document que lui avait remit Crissolorio Ostiz. Un document long, demandant et lassant. Beaucoup de petite information ci et là à retenir, mais rien de capitale. Il devait le faire. Il s'était.donné une semaine. C'est en une semaine donc qu'il allait noircir d'autre feuille, corriger les fautes, mettre le tout en version propre afin que les yeux de l'empereur puissent profiter de ce doux mensonge mentionnant son nom. Le Sage... Quelle triste farce. Certes il avait réussit à arrêter la guerre, mais l'empereur avait tout perdu en agissant ainsi. Perdu quoi? L'indépendance des Hommes, le respects des citoyens de l'empire, même si certain approuvaient, étrangement. Un dirigeant n'était pas dirigeant par sagesse, mais par l'hérédité de son sang, son nom et la puissance de son armée. Devant cela, n'importe quel homme, éduqué ou non, meneur de nature ou pas, influent ou méconnu n'avaient de chance. Tout cela parce qu'un homme nommé Kohan, vaillant guerrier, mener respecté et fin stratège avait un jour fondé un empire. L'intelligence n'était pas maîtresse en se monde... L'argent et les noms de famille régnaient au dessus de tout. Devait il être? Ou se masqué comme toujours? Masqué ses peines, ses espoirs, ses amours... Devrait il pour une fois se prononcer, Ou comme toujours dans le silence terré.
Tapis dans les ténèbres, enlacés d'Ombre, Pourrait il oublier le froid et s'ouvrir au monde? A la lumière, la chaleur, la tendresse, la passion, Être, Être et exister. Être et pardonner sans absolution.Autre que cette tâche qui l'attendait, l'assassin se devait de gérer son entreprise naissante. Une stabilité jamais connue pour l'homme masqué. Un repère de choux pour l'assassin, au cœur de la ville. Une maison décente pour sa petite Luna... Si elle décidait de rester ou non. Les rebelles devaient peser lourd dans la balance, car à pupille avait énormément changé depuis la dernière années. Il reconnaissait toujours son influence sur elle, mais elle avait modelé ses apprentissages à ses capacités. Elle les avait adapté à ses préférences. Elle s'était individualisé. Luna avait changé, il l'avait vu à la première seconde de leur rencontre. Et ses yeux... Il y avait quelque chose chez elle qui intriguait l'homme en noir. Était ce la puberté? Peut être jusqu'à un certain point... Mais l'étrange énergie émanant d'elle... Non, cela devait être autre chose... Son état de survie dans lequel elle avait dut être plongée devait également être en lien avec ce changement. Avait elle blessé quelqu'un?... Avait elle tué quelqu'un?... Non, il préférait ne pas y penser... Penser que sa gamine n'était plus aussi innocente. Il se savait le genre d'homme capable de tuer tout les prétendants de Luna sans se cacher... Il ne voulait pas restreindre son Humanité, sa pupille. Elle devait choisir, et lui subir. Le Corbeau. L'Ombre. L'Archer Spectrale. Jamais l'amant, le frère, le jovial. Le père, l'ami, le regretté. Que le non dit, des mots chuchotés.
Fracassant la paroi de son cœur glacial. Au noyau rigide, mais friable. Aîné né haineux, niant aide Et amour sous son armure en son âme laide.En cette soirée, il allait rencontrer Auphélie Rhoe et Autone Summer, si ces deux femmes daignaient se présenter bien évidement. Il avait confectionné des présents pour elles. L'assassin faisait tourner son projet autour de ces deux femmes, même si ces dernier n'avait pas accepté encore. Un geste risqué, mais ô combien significatif de sa foi envers elles. Il avait préparé les travailleurs à rencontrer leur futures gérantes et à les accueillir comme il se devait. L'assassin prônait le respect avant tout dans son établissement, et il l'avait bien fait savoir aux autres. Personne ne serait mieux traité qu'un autre sous ce toit. Chaque personne présente au Nid de l'oiseau avait vécu un calvaire ayant mis leur résilience à l'épreuve. Il n'y avait que deux personnes sous ce toit qui avaient déja un jour retirer la vie à un autre humain, mais le meurtre n'était pas le seul crime qui pouvait être affilié aux employé... Des âmes perdus, tant d'âme, réclamant guidance, donc celle -surtout celle- de l'assassin au masque d'Acier. Qui était plus perdu que celui qui se croit sur le bon chemin, alors qu'Autour de lui défile des routes inconnues? Seul, voilà l'être qu'il était, qu'il est, qu'il sera. Il était depuis toujours aussi gueux qu'un rat. Il est aujourd'hui tout aussi hideux, Seulement plus grand et plus pieux.
Mais sera-t-il? Sera-t-il un jour plus que rien? Un père, un amant, simplement un homme bien? Tout pour ne plus avoir été ou penser être, Avoir peut-être en tête d'être pour soit maître.
Être maître de soit, pourrait-il l'être? |
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