La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
« Les frontières du moi doivent être durcies avant d'être assouplies. Une identité doit être établie avant d'être transcendée. » Scott Peck
Race : Elfe
Nom :Terendul
Prénom :Lisaë
Surnom(s) :Lis, par son aimé.
Titre :aucun
Date de naissance :1542
Age réel :211années
Age vampirique :/
Lieu de naissance :Au palais elfique
Lieu de vie :Au palais elfique
Rang social : Bourgeoisie
Poste/emploi :Gardienne des savoirs, historienne, archiviste de la Grande bibliothèque.
Guilde : Aucune
Compétences
Spoiler:
« Elen síla lúmenn' omentielvo »
Alignement : Neutre tendance bénéfique
Arme principale :-Un bâton de petite taille, finement taillé dans un bois clair et doré. Incassable, il est très délicatement enjolivé de gravure de bois représentant des feuilles de lierres résistante, qui sous invocation deviennent des liens solides et résistants. En son bout, une pierre d'un bleu profond, qui permet la concentration.
Autres objets :-Une bague sertie d'une pierre d'ambre qui devient sève sous un sort et permet de colmater une blessure ou de ralentir un poison (notamment le venin de vampire). Utilisé sur un vampire c'est un poison qui ronge les chairs comme de l'acide. -Harpe Bardique -Cheval elfique, Dúlinn.
Caractéristiques : :
Physique :
Force physique : faible
Agilité : Moyen
Furtivité : Moyen
Réflexes : Faible
Endurance : Catastrophique
Résistance : Très faible
Beauté : Très bon
Mental :
Force mentale : Très bon
Patience/self contrôle : Maître
Perception : Moyen
Intelligence : Très bon
Arrogance : Très faible
Gentillesse : Très Bon
Prestance/charisme : Moyen
Mémoire : Grand Maître
Combat :
Épée : Catastrophique
Dague doubles ou simple : Catastrophique
Poignard : Aucun niveau
Lance : Aucun niveau
Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Très bon
Hache : Aucun niveau
Faux : Aucun niveau
Fouet : Aucun niveau
Art du lancé (poignard, petite hache...) : Catastrophique
Art de la parade (bouclier ou arme) : Faible
Arc : Catastrophique
Arbalète : Aucun niveau
Mains nues/pugilat : Très faible
Équitation : Moyen
Totem :Luciole, niveau 2
Style de magie principal : Elfique
Puissance magique innée : Correct
Niveau magique :Correct.
Physique et caractère
Spoiler:
« Il n’est description pareille en difficulté à la description de soi-même. » Montaigne
Physique : Qui voit un elfe peut mourir heureux. Cette maxime humaine doit sûrement sa naissance à la beauté éclatante, à la grâce et cette sorte d'aura qui émanaient des elfes. Et Lisaë n'en n'était pas dépourvue. Cela était peut être dû à ses grands yeux bleus, qui lui confère un regard assez énigmatique, n'aidant pas à sonder son esprit et ses pensées, qu'elle sait conclure par un sourire tout aussi intriguant. Comme ses congénères elfiques sa beauté surpasse celle de bien des humains, laissant les années coulées sur son visage clair sans laisser apparaître son âge réel. Jeune elfe à l'allure mutine, à la taille fine, montrant une certaine fragilité réelle, mais dissimuler sous une grande force de caractère. Jolie jeune elfe, Lisaë à les traits fins, le visage ovale, des lèvres bien dessinées et un petit nez en trompette.
De longs cheveux foncés encadrent son visage. Parsemés de cheveux d'un gris argenté. Rare, peu commun, en tout cas cette spécificité capillaire est familiale, héréditaire. Une malédiction, un fait historiques, une histoires de famille perdue au fil des années, des siècles. Cela remonterait à l'arrivée des ancêtres Míriel, lointain cousin des Evanealle. Un sort, un contre sort, une lutte face à ce passé qu'ils cherchaient à fuir mais qui s'accrochaient à eux comme un vampire à sa proie. En attendant, le gris se mêle au brun valant des regards sur un peuple qui ne vieillit quasiment pas.
Sa démarche est aérienne, tel le vent se jouant des fleurs dans les bosquets des jardins du palais elfique. Le tout souligné par des vêtements aériens, au couleurs de la foret, ou de variance de bleus, jurant avec ses yeux. Des robes toujours agrémentées de bijoux, le plus souvent dans ses cheveux. Lisaë est une femme très coquette, elle aime porter de jolis habits confectionnés dans de beaux tissus. On ne garde pas un général de l'armée elfique en étant habiller comme ses soldats.
Discrète et secrète, elle sait se fondre derrière les ouvrages de son peuple, qu'elle entretient avec un amour sans fin. Des gestes lents et minutieux, qu'elle use aussi auprès de ses fils pour lui apporter mille et une douceurs d'une mère. Douceur qu'elle aime aussi apporter en chantant, le soir, quand les étoiles scintillent dans le ciel et sont témoins des mélodies de sa voix et de ses doigts fin courant sur sa harpe. Voix claire qui aime par dessus tout la beauté de sa langue et de ses mots.
Caractère : Curieuse de tout, Lisaë aime par dessous tout la laisser vagabonder sur les connaissances que cache et regorge ce peuple Sylvain. Savoir millénaire, connaissance multiples, la jeune mère dévore avec une avidité et plaisir les vieux parchemins des ancêtres ou bien les quelques livres de magie, de contes, d'histoires. Gardienne des secrets des elfes, elle en prend soin et les bichonne comme ses propres fils. Elle recopie les plus abîmés avec la délicatesse et le respect qu'on offre à un ancêtre elfique. Sa très bonne mémoire, en fait un puits de savoir qu'elle n'hésite pas aller quérir auprès des plus âgés ou bien auprès des elfes chanteurs pour qui elle a une admiration sans faille. C'est d'ailleurs au cours d'un de ses voyages avec son père, enfant, qu'elle est tombée amoureuse de leurs chants. Peut être une des raisons qui l'amena à pratiquer la musique et plus particulièrement la harpe, mais aussi la mise en forme des vieux contes, qu'elle aime à chanter à ses enfants le soir venu.
D'un naturel optimiste, l'historienne a une conception très elfique de la vie. Elle voue un grand respect aux règles de politesse, au mode de vie elfique et au repli de ceux-ci sur eux même, ne se mélangeant que peu aux humains trop hargneux et empressés, même si elle n'en a jamais vu. Cependant, elle sait reconnaître que son peuple a de plus en plus besoin de s'ouvrir afin de perdurer. A la jointure entre le passé elfique qu'elle conserve et l'avenir qu'est ses enfants, Lisaë tend à faire évoluer les choses à sa manière, avec difficultés mais pour le biens des siens.
En parfaite femme d'intérieur et en mère en admiration devant ses trésors, Lisaë voue un amour sans borne pour ses trois hommes et son étoile. Et malgré le caractère de son mari connu pour être virulent et explosif, la jeune mère arrive à laisser le soldat de côté pour se concentrer sur l'homme et le père qu'il est. Être parent, la fierté des elfes, la fierté du couple. Les enfants sont au centre des attentions de leur mère qui les dorlote comme les petits trésor qu'ils sont. Elle les instruit pour en faire des elfes aussi fort que leur père, intelligent que leur mère, curieux comme leur grand-père et réfléchit comme leur grand-mère. Famille entière qui joue un rôle dans l'éducation de ces jeunes pousses curieuse envers le monde qui les entoure. Elle les protège tout en laissant avec confiance ses fils auprès des elfes de son entourage pour parfaire une éducation digne de ce nom.
Lisaë reste au plus loin des histoires qui font le cœur de l'empire. Elle les écrit, les retranscrit, mais n'intervient pas. Enfin n'intervenait pas. Son mari, ancien membre du conseil, lui a montré les méandres du pouvoir politique mais surtout la bassesse de certains et l'arrogance d'autres, trop peu soucieux du peuple elfique. Juste de leur tranquillité. Une erreur pour la jeune historienne. Surtout depuis le retour des dragons, depuis la guerre contre les vampires et l'arrivée des alayens. Tout changeait et vite. Il allait falloir prendre le pli et pour une fois, vite. Et à l'aube d'un changement politique de taille chez les elfes, ne plus prendre parti ne doit plus être dans son vocabulaire. Il fallait agir. Pour le bien de l'empire, mais aussi de l'impératrice, qu'elle admire et respecte.
Mes liens
Spoiler:
«L’amitié, c’est gérer les affinités. L’amour, c’est concilier les différences. »Anonyme
-Son époux, Artaher, sa moitié, son tout. Elle l'aime plus que tout, ses défauts, ses qualités, Mais elle sait aussi user de ses convictions pour mener son mari sur la voie de ses désirs. -Mes enfants, sa fierté, ses étoiles. Ils sont choyés, protégés, parfois un peu trop. Mais un tel don des esprits est trop précieux. -Merithyn Shadowsong, baptisrel dont elle respecte et aime l'art, mais surtout celui qui l'aida à donner la vie à ses trésors. -Galadrielle Evanealle, son impératrice qu'elle admire et soutient. -Siraen Meletharma, avec qui elle travaille, il est le Maître de la Grande Bibliothèque Impériale (Prédef)
Derrière l'écran
Spoiler:
« Il y a des visages plus beaux que le masque qui les couvre. » Jean-Jacques Rousseau
Petite présentation : Cf Esme
Rythme rp : En général vite, souvent rapidement.
Particularités rp : Vieille briscarde, enfin pas si vieille hein !
Comment avez vous découvert le forum : Un doux soir de mars, il y a quatre ans, un lien est venu à moi par un étrange et sombre mage noir... depuis, je suis restée ici.
Le code du règlement :
La feuille d'automne...
Il y a maintenant deux cent onze ans, naissait au cœur de la foret elfique, dans un des appartement du palais, à l'allure simple, raffiné, aux couleurs de l'automne, jurant avec le paysage des jardins extérieurs, une jeune elfe aux yeux d'un bleu profond. Un espoir de vie pour le peuple sylvain, un don des esprits, une ode à la vie. Voilà comment est née, fut élevée et grandit l'unique enfant de la famille Míriel. Longue descendance d'elfes au service de l'empire, de l'empereur en fonction. Le premier ancêtre avait foulé le sol d'Armanda en matière d'homme de lettre, intelligent, cultivé, aux savoirs sans bornes et à la magie puissante. Un ancêtre qui posa sur le papier le récit de leurs aventures, ce voyage périlleux, aujourd’hui oublié ou morcelé. Tout au long des longs siècles qui suivirent l'arrivé des elfes sur cette terre de paix, la famille Míriel passa sa vie à conseiller les elfes, à rester dans l'ombre du savoir et de la connaissance de leur peuple, le gardant jalousement au cœur des grandes bibliothèque et archives du palais. La petite Lisaë fut une belle surprise, le couple ne parvenait pas depuis des décennies à enfanter d'une descendance fragile. La magie les ayant quitter la difficulté de leur peuple à survivre, à vivre, à renaître rendaient une naissance un moment de fête sans nom, auréolée des feuilles tombantes comme des confettis orangés et rougeoyant.
Enfant aux yeux bleus clair, comme le plus profond des océans, aux cheveux sombres et à la peau clair comme la neige, Lisaë était un bébé calme, ne pleurant quasiment jamais et souriant beaucoup. Sage bébé, elle le fut aussi en grandissant au milieu d'un père archiviste et créateur à ses heures perdus et d'une mère Maître mage auprès de l'empereur et de sa famille, fonction qu'elle gardera jusqu'à la mort de Thrarandril. Enfance heureuse dans un monde de lettre et de magie, où la culture se conjugue aussi bien avec le passé que le présent, et un futur craint sans la présence de la sainte magie. Par le Dracos qu'elle revienne.
La vie fut douce dans la famille Míriel, tant bénit de l'enfance où Lisaë était entourée de toute l'attention de ses parents. Temps bénit de l’insouciance où la petite elfe était choyée et l'attention de tous les elfes, fine, elle semblait d'allure fragile. Et les temps passés auprès de son père archiviste n'aida pas à penser le contraire. Mais la petite fille aux yeux bleus ne se serait plaint pour rien au monde trop occupé à dévorer tout ce qu'elle pouvait lire, posant de nombreuses questions, sur le départ des dragons si vénérés, pourquoi la haine des êtres sombres, pourquoi, pourquoi, son mot favori. Alors imaginez le jour où elle put accompagner son père lors d'un voyage chez les baptisrels. Une source d'admiration, une claque mentale, merveille et éblouissement. Elle se souviendrait de sa majorité. Le plus beau cadeau. De belles rencontres, et un respect sans borne pour ces puits de savoirs en recherche de toujours plus. Comme elle. Peut être pourrait-elle être un des leurs ? Lisaë l'espérait et l'aimerait. Cet altruisme, cette harmonie avec la nature, la magie, la faune, flore et tous les éléments qui les entourent. Cette paix intérieur et ce chant qui émerveille les sens. Elle se sentait proche d'eux, presque plus que des siens.
En revenant, la jeune elfe se mit avec bien plus d'ardeur à étudier la musique (un des baptisrels lui avait offert une belle harpe), mais aussi la magie et ses secrets. Pas la pratique, cela ne la passionnait pas plus. Pas comme sa mère. Magicienne de renom. Non, elle voulait comprendre le cheminement, comment la magie coulait dans les veines d'Armanda.
...emportée par le vent.
Ou par les livres. Prise en tant qu'apprentis auprès de son père, Lisaë a apprit à étudier son peuple, son histoire, sa magie. Gardienne de savoirs ancestraux, la jeune elfe aimait à s'imaginer vivant les histoires de ses illustres ancêtres, vivant au beau milieu des dragons. La vie suivait son cour, tranquillement au pays elfique. Peu de choses changeaient. Normal pour des elfes. Même si une tension encore à peine palpable sonnait parfois au creux de la nuit. Mais Lisaë s'en moquait bien. Pour l'instant, elle avait le cœur en émoi depuis que, présente à un conseil des elfes, apportant des documents pour son père, elle y croisait les yeux encore plus bleus que les siens du beau général Terendul. Grand, fort, beau, au regard énigmatique, parlant comme le torrent après une saison de pluie, la jeune elfe ne pouvait que s'émerveiller et espérer ne serait-ce qu'un regard. Mais le ténébreux général ne semblait pas s’intéresser aux choses de l'amour, prenant à cœur son travail auprès du conseil mais surtout de l'armée. Mais le cœur de la jeune elfe, face au soldat ben plus âgé qu'elle, ne semblait pas vouloir s'attarder sur ce genre de problème, et elle profita d'une soirée organisée par l'impératrice lors de la fête des esprits pour provoquer la rencontre qui changerait leur vie. Plutôt discrète, pas vraiment réservée, mais déterminée, la jeune archiviste tenta de percer l'armure du général afin de toucher son cœur.
Les semaines passent et rien, aucune nouvelle. Pas un mot, de visite, rien. Lisaë désespère d'avoir pu faire mauvaise impression et le doute s'installa en elle. Mais ne se démontant pas, la jolie brune repassa à l'offensive en se rendant auprès des casernes de l'empire pour avouer sincèrement des sentiments qui naissaient en elle et que le valeureux guerrier n'avait pas remarqué. Quelques mois plus tard, le jeune couple se mariaient sous les chants des baprisrels.
En ronde monotone :
Une quinzaine d'années s'écoule pour le jeune couple. Des années où la jeune femme continua a secondé son père et où son général de mari continua à mener une armée d'une main de fer, tout en continuant de garder son calme contre le conseil elfique, trop mou et prétentieux à son gout. Chose largement approuvé par sa femme. Lisaë méprisait les membres de ce conseil, trop inerte à son goût, trop centré sur eux ou des détails. Et surtout qui contredisait l'impératrice. Cette femme juste et bonne, qui avait à cœur le bien être de son peuple. En toute simplicité. Une femme digne d'avoir bien plus de pouvoir et d'importance. Elle rayonnait, de sa douce voix, grâce à l'état pur, et Lisaë était en admiration devant cette grand Dame. Lointaine cousine, elle espérait ne serait-ce que avoir une qualité de cette grande âme, bénit des esprits.
Une petite quinzaine d'années, qui fila bien lentement au pays des elfes, avec la monotonie de la magie perdue, l'arrogance de leur voisin humain, et les vampires bien trop tranquilles pour que cela ne cache pas une perfidie de leur part. Mais Lisaë eut bien vite autre chose à penser, car le Dracos et les esprits se penchèrent sur elle et sur son amour infini pour son époux, amour sincère et réciproque qui lui permit de donner la vie. Une grossesse fatigante, avec un bébé très vif, qui ne cessait de bouger, sans cesse. Ne dormait-il jamais ? La future mère resta donc aliter la plupart du temps ou à se traîner, le ventre rond, trop rond. On appela le baptisrel Shadowsong. Et le travail fut long et dur, très, trop. Mais quand les premiers cris furent poussés, la mère fut soulagée d'un bonheur immense qui inonda la pièce d'un amour pour ce petit être aux poumons bien vif. La jeune mère souriait à s'en décrocher la mâchoire mais très vite une énorme douleur lui arracha un cri de douleur. Tandis qu'on lui arrachait des mains son enfant, son bébé, Lisaë n'eut guère le loisir de sentir le vide de l'absence de son enfant criant dans les bras de son père. Un autre arrivait, elle le sentait. Un autre enfant. Impossible. Chez les elfes des jumeaux...La douleur lui déchirait de nouveau des cris, mais là justement aucun cri. Pas un seul. Lisaë chercha à se redresser pour voir cet enfant qui ne pleurait pas, à l'instar de son frère, pleurant toujours. L'inquiétude se lisait sur le visage des parents. Lisaë se mit à pleurer, à chercher à prendre dans ses bras le fils qui se taisait. Mais le baptisrel s'agitait autour de l'enfant et le fit crier au bout de quelques minutes d'angoisse, de peur, de terreur. Lisaë tendit les bras pour qu'on lui donne vite son bébé, son petit amour. Fragile, mais elle le protégerait, oui toute sa vie. Mais là encore, douleur dans le ventre. Non. Non, pas encore. Et si pourtant, le Dracos avait permis à la race elfique, à ce jeune couple, trois merveilles. Mais pour le moment, il fallait encore sortir un enfant de la taille d'une pastèque d'un trou de souris. Le bonheur viendrait par la suite. Trois trésors, trois bonheurs, trois vies de plus au pays des elfes. La fête fut immense, interminable. Même si la jeune mère épuisée y participa peu. Surtout que l'un des bébés pleurait sans cesse. Aranël, tonnerre grondant. Une chance que le calme des deux autres redonnaient confiance aux jeunes parents. Le père de Lisaë décida de stopper sa carrière d'archiviste pour venir en aide à la jeune mère, qui de plus ne supportait pas de rester coincer à ne pas faire partager sa passion. Ce père aimant sa fille plus que tout, lui laissa la place. Il l'aida auprès des triplés, tout en s'occupant de sa passion pour l'art, mais l'art un peu détourné.
Tombant, tourbillonnant :
Les années passèrent, les décennies aussi, les enfants grandirent dans une famille aimante, bercés dans la culture aussi bien des armes, que plus littéraire, afin que chacun se dirige vers sa propre voie où il est encouragé et soutenu. Aranaël, fier portrait de son père aimait les exercices physiques et l'escrime. Nómin, son renard intelligent et ses inventions et son étoile Etenari, la magie. Lisaë était fière d'eux. Une fierté inconconditionnelle. Un amour sans fin, malgré une terrible douleur que seule une mère sait taire au plus profond de son cœur. La rage, la fureur incomprise de son aîné, le lien avec son jumeau et leur carapace invincible, sa fille parfois trop espiègle? Qu'avait-elle mal fait ? Était-elle une mauvaise mère ? Le doute s'installa en elle. En privé, elle laisse parfois son malaise transparaître.
En public, elle reste une femme souriante, pétillante, curieuse de tout, enclin à voir le bon partout, et plus que tout cherche à redonner ses lettre d'or aux peuples elfiques quelque peu oublier. Peuple mourant, Lisaë rêvait d'un peuple fort et le retour de la magie, avec l'arrivée des dragons il ne pouvait en être autrement. Et ce n'était pas la guerre ouverte des vampires contre les Humains, l'arrivée des Alayens, le massacre au domaine des Baptisrels, non rien de tout ceci entachait la détermination de la jeune femme à voir en l'impératrice le moyen d'y parvenir. A une seule condition. Que le conseil change, ou soit éclaté. Mais tant que ces vieux décrépis trop attachés à leur petits pouvoirs restaient, rien ne pouvait se faire. Lisaë cherche donc dans cette instabilité politique, dans le changement du pouvoir qui voit Elywir Meraennon, ancien conseiller. Hélas, il n'était pas un Eveanelle, pas l'empereur légitime. Galadrielle avait nommé son jeune neveu. Un coup en traître que la famille Terendul ne pouvait supporter. Lisaë tente de pousser pour rentrer au conseil elfique et apposer sa patte et l'envie de revoir sur le trône la belle et bonne impératrice.
Invité
Mon identité Mes compétences
Invité
Sujet: Re: Lisaë Terendul VALIDE Mar 4 Mar 2014 - 21:08
Double post pour dire que j'ai fini le premier jet.
Lorenz Wintel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage exceptionnel Expérience: (0/10) Xp disponibles: 9
Fondatrice
Sujet: Re: Lisaë Terendul VALIDE Mar 4 Mar 2014 - 23:20
Sois la bienvenue sur tes terres, fille d'Armanda. Tu es née avec une puissance magique innée de mage correct et ton entraînement dans le domaine magique t'a permis d'atteindre un niveau correct Tu as d'ailleurs été choisi(e) par le totem luciole dont tu as atteint le niveau 2.
Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu as aussi un profil neutre tendance bénéfique qui pourra évoluer en jeu sur demande.
Pour tenir l'état de tes aventures à jour, tu possèdes une fiche de suivi de personnage qui se trouve en ce lieu. Tu peux y ajouter tes liens, ton inventaire, ton histoire personnelle et ce que tu souhaiteras. Tu peux aussi adresser tes questions ici.