Suite de "Belladonna [PV Marie Lys, Médoline, Tobold]" lien https://armanda.forumactif.org/t3240-belladonna-pv-marie-lys-medoline-tobold

Aldaria la Superbe, Tobold arrive pour la première fois dans cette cité. Apres avoir franchi la porte du sud, c'est la ville avec du monde partout des gents qui avancent vite, se bousculent, et s’engueulent. Tobold regarde de tous ces yeux et est émerveillé.

La charrette s’arrête et Tobold descend.

"Bonne soiré Madame Beauchemin, donc à demain sur la place du marché aux chevaux à la deuxième cloches (9:00) Mademoiselle Marie-Lys"

Déjà la charrette s'en va et notre homme se retrouve seul dans un monde inconnue de lui. Ce qui le surprend le bruit , tous le monde parlent, crient, sans parler des cloches et pleins de bruits bizarres, raclement, coup sourd...... Mais il a un nom en tête, Alex! et une méthode pour trouver cet homme. Tobold regarde autour de lui et fini par voir un mendiant. Il est aveugle et tend une coupelle contenant quelques sous qu'il agite en déclament une mélopée


Tobold avance prudemment, il faut apprendre à marcher dans cette cohue. Arrivé près du mendiant, notre homme voit qu'il à deux yeux blanc, il sort la petite pièce d’argent qu'il a préparé et la pose délicatement dans la coupelle.

"Bonjour Monsieur, je recherche Alex, pouvez vous m'indiquer comment le trouver?"

Deux yeux de couleurs différentes apparaissent sur le visage de l'homme, un bleu et un vert. Le vert le regard fixement tendis que le bleu regarde la pièce d'argent.
le mendiant lui indique une rue en montrant trois de ses doigts et le sens gauche d'une main pendant que l'autre main vérifie la pièce.
Tobold le remercie et se dirigent dans la direction indiqué.....


De Mangrove s'enfonce dans une rue étroite qui se met à serpenter rapidement, à la troisième à gauche, c'est une ruelle qu'il découvre, et peu de monde empreinte cette voie, un coup gorge?
Il distingue une enseigne ou l'on peut voir un mouton noir, un mérinos, gambader au milieux de terrils.
Tobold entre dans un couloir sans porte, personne ,alors il dit d'une voie forte, "Je cherche Alex contre le gite et le couvert, en échange d’espèce sonnante et trébuchante."
Une cloison s'ouvre et découvre une pièce garnie de table donnant sur une cour intérieur.
Un géant au teint basané, portant moustache, au vêtement dépareillé qui furent un jour très lointain, propre se présente. Il essuie avec un pan de sa chemise un verre, voyant qu'il n'est pas propre, le géant crache dans le verre et le frotte vigoureusement.

"Je suis ton homme bien venu au "Mouton blanc"". Alex tend la main a Tobold qui la sert sans hésiter.

Après le départ de Tobold les deux Beauchemin se sont mis à parler. La mère voulait savoir pourquoi sa fille avait un telle comportement. Après plusieurs heures, Mageriette était arrivé à un conclusion: Marie avait besoin de faire une pause pour savoir qui elle était. La boulangère savait que cela allait lui donné beaucoup de travail, mais elle donna à sa petite Lys un congé sans date de retour décidé. Elle voulait que la petite fleur puis partir à l'aventure en toute sécurité avec se vieil homme et découvre qui elle est vraiment.

de la nourriture pour deux jours, ses deux dague, ses pilules de sang qu'elle avait toujours sur elle, des bandages pour soignée s'il arrivait quelque chose et une pièce porte bonheur qu'une magnifique cliente lui avait donné pour la remercier de son aide (Pièce des passeurs). Elle se fit une queue de cheval pour ne pas que ses cheveux lui cache la vu et elle y glissa son épingle de chaleur pour décorer le tout. Elle était vraiment heureuse de son achat, car l'ornement était simple, mais tellement magnifique aux yeux de la jeune fleur, de plus, cela s'harmonisait à merveille avec l'humaine. Elle s'habille rapidement avec une robe simple et ample pour que cela n'entrave pas ses mouvements ainsi qu'un cape pour rester au chaud durant la nuit. Elle se mit des soulier confortable pour être en mesure de marcher durant des heures.

Elle se rendit sur la place du marché aux chevaux avec un peu d'avance. Elle regarda le ciel accoté contre un mur d'un bâtiment. Le ciel bleu calma toutes les craintes de Lys. Partir à l'avanture n'avait jamais fait partie de ses projets, mais cela lui ferait du bien de voir autre chose que la boulangerie... et puis peut-être le reverrait-elle. Elle lâcha un soupire rêveur. Cela remontait à tellement d'années, mais il hantait toujours ses rêves, cet homme qui lui avait prit ses premiers...

Sa mère lui avait laisser prendre congé, elle en était heureuse... mais elle trouvait qu'elle en prenait trop ses derniers temps. Peut-être n'était-elle pas fait pour ce métier finalement... sa rencontre avec son Venin lui avait peut-être trop donner le gout de l'aventure... mais elle ne voulait pas et ne pouvait pas faire mal à des êtres vivants. Alors pour quoi était-elle fait? Elle aimait cuisine, mais elle aimait aussi combattre. Elle voulait des émotions forte, mais elle était de nature fragile. Et puis il y avait cet énorme manque de confiance en elle qui la bloquait dans tous ses mouvements. Cette peur incontrôlé face à l'échec. C'était peut-être pour cela qu'elle avait choisi cette vie tranquille... Elle était le vilain petit canard dans sa famille, une étrangère par mit les sien... ainsi que dans son propre corps. Peut-être que la rencontre avec ce curieux personnage allait l'aider à mien se comprendre, à mien savoir qui elle était. Elle voulait avancer, cela fessait trop longtemps qu'elle fessait du sur place dans sa vie. Bien sûr, elle avait commencé à ravoir confiance en les mâles, mais depuis ses 15 ans, sa blessure l'avait paralisé. C'est comme si le refus de son amour avait tranché le fil de son destin.

Marie-Lys était vraiment perdu dans ses pensées. Elle ne remarquait plus rien, Tobold aurrait été devant elle, qu'elle ne l'aurait même pas vue... ou entendu.

Le bar d'Alex tient de l'auberge Armandienne, on peut manger, boire, a toute heures du jour et de la nuit. Il y a toujours du monde. Si l'entrée du Mouton Blanc est discret, il existe une autre entrée celle du quartier rouge. Ce quartier mystérieux, connue des Aldariens venue s'y encanailler. On y trouve les cabarets, les tripots et tous une faune de personne interlopes. Tous cela à quelques dizaines de mètres du centre de cette ville. Les autorités compétentes sont au courants mais ils sont les premiers a profiter de certain avantage......

Alex prépare a Tobold une brick au thon et à l’œuf

8 feuilles de brick
8 œufs
500g de pommes de terre à chair ferme
1/2 oignon
15 olives
2 càs d’huile d’olive
200g de thon au naturel
2 càs de coriandre hachée
1 càs de câpres hachés
Sel, poivre, piment moulu
Huile de friture
Salade en accompagnement

Préparation:
Peler et cuire les pommes de terre à l’eau une vingtaine de minutes, jusqu’à ce que la lame d’un couteau les transperce facilement. Refroidir à l’eau froide et couper en cubes de 1cm de côté.

Hacher l’oignon, la coriandre, et les câpres. Couper les olives en morceaux grossiers (en 4 par exemple). Émietter le thon.
Mélanger les pommes de terre à l’oignon, huile d’olive, thon, coriandre, câpres, et olives. Saler, poivrer, et ajouter un peu de piment moulu, selon goût.

Faire chauffer l’huile à dans un wok.

Plier une feuille de brick en deux. Former un cornet (pointe côté plat de la demi-feuille de brick).
Mettre deux càs de farce dans le cornet. Y casser ensuite un œuf. Sceller le haut de la poche avec un cure-dent, et/ou poser le brick à plat dans l’huile bouillante.
Petit plus: glisser une feuille de coriandre bien à plat contre la feuille extérieure de la poche, de façon à ce qu’elle apparaisse par transparence.
Cuire des deux côtés quelques minutes jusqu’à ce que le brick soit bien doré et croustillant.

Tous en mangent et en buvant un petit vin rouge qui doit titrer quinze degrés, Tobold demande des renseignement sur les maréchaux ferrant de la ville. Alex lui parle de Gross Lonsset le ramasseur de cloues qui doit être au Cabaret de la Mouche Vaporeuse à cette heure.

De Mangroves trouve facilement le ramasseur qui explique facilement son métier, surtout après la troisième bière. Car les cloues martelés par les chevaux sur les chemins vallent leur poids en or et on s'en sert dans les meilleurs aciers. Notre homme lui montre son moulage. "Ça c'est le travail de Kerchouet, de Traviss, ou de Perliquard..." dit Gross Lonsset.

Tard dans la nuit Tobold arrive dans ça chambre, il n'a aucun mal à s’endormir. Dans le quartier rouge la fête bat son plein.

Quand Tobold arrive à la deuxième cloche du marché au chevaux, il raconte aussitôt à Mademoiselle Marie Lys ce qu'il a appris.

Marie-Lys fit le saut lors que Tobold lui parla. Elle était vraiment perdue dans ses pensées. Elle écouta le vieil homme attentivement. Elle fut heureuse de savoir qu'elle connaissant l'emplacement des marchants qu'il avait nommé. Il est vrai qu'elle avait quelques petits différents avec certains d'entres eux, mais rien de bien méchant et surtout rien pour pouvait nuire à leur recfherche.

"Nous devrions nous rendre chez Kerchouet. Il est celui qui se trouve le plus proche de notre emplacement actuel."

Ils se rendirent donc sur les lieux. Lys regarda de loin l'homme... elle n'avait vraiment aucune envie de parler avec lui. La dernière fois qu'elle l'avait vu, c'était de nuit... donc il conaissait le double vrai visage de Marie e cette dernière n'avait pas très envie que Son compagner d'avanture soit au courant de cette partie d'elle. Elle se tourna donc vers De Mangroves et lui dit avec le sourire.

"Je vous attend ici. Je ne pense pas que je serait d'une grande aide pour expliquer se que nous cherchons."

Elle se sentait vraiment mal de dire à l'homme qu'elle ne pouvait l'aider à faire parler cet homme... mais elle ne pouvait faire autrement.

"Je suis persuader que vous allez réusir à avoir toutes les informations que vous voulez."

Elle le lui un doux sourire comme pour confirmer ses dires. C'est un fait, elle ne savait pas grand choses sur cet homme, mais elle savait qu'il était droit, donc la justice était de son côté.

Vue son imcopétense actuelle, la Beauchemin se dit qu'elle allait devoir réglé son problèmes avec les hommes. Cette peur et haine ne pouvait rester dans son coeur pour l'éternité. Celle l'empéchait d'avancer et d'avoir une famille... Il était évident qu'elle ne pouvais attendre toute sa vie le retour de cet être masquer.

"Mademoiselle Marie Lys nous avons trois Maréchaux Ferrant à visiter. D’après mes informations. Voyez vous Mademoiselle j'ai appris que chaque forgerons avait sa façon de travailler." Tobold sort le moulage de l'empreinte de fer à cheval. "Vous voyez ce clou, il a été martelé alors que le maréchal ferrant faisait tourner sa pince, cela ce voit.." Tobold sort sa loupe de sa gibecière.... "à ces petites encoches régulières sur la tête du clou. Il n'y a que trois personnes qui travaille de cette façon, dans la région, Ce sont les Maréchaux Ferrands Kerchouet, Traviss, et Perliquard "

Ils quittent le marché aux chevaux,et trouve relativement vite l’atelier de Kerchouet.

Mademoiselle Marie lys, ne veut pas l'accompagné dans la forge et Des Mangroves rentre seule dans l'atelier. Après présentation et contre une modique sommes, l’artisan accepte de regarder le moulage,Il porte toujours son costume de Maréchal Ferrant, la ceinture avec quelques outils, le grand tablier en cuire,les grands gants de travail en cuire qui monte jusque au coude, les bottes renforcé et cloutés et la culotte de cuire . Il affirme que ce n'est pas son travail. Et gentiment mais fermement l' expulse. Ils partent Ils n’apprennent rien d’intéressant de Traviss. C'est plus tard qu'ils finissent par trouver l'écurie de Perliquard....Il observe avec intérêt le moule et fini par leurs montrer les traces d’un poinçon sur la tête usée d'un clou. C'est le travail de Kerchouet, et il utilise des clous portants cette marque, la tête de dragon. Ce sont des clous de très bonnes qualités et chère.

Tobold remercie Perliquared, Il rejoint la jeune femme toujours dans la rue et ils décident de retourner voir le premier forgeron. Quand ils arrivent près de la forge de Kerchouet, la rue est encombré par la foule et ils apprennent que la forge est en feux. Personne ne peut passer, des miliciens démontent des maisons pour pour éviter la propagation du feux et plusieurs chaines de gens amènent des seaux remplit d'eau.

"Mademoiselle Marie Lys, je crois que cette incendie n'est pas le faite du hasard. Cette affaire peut être très dangereux. Que voulez vous faire?"

Marie attendit sagement Tobold à l'exterrieur de la forge. Elle ne le quitta pas des yeux, de peur de le perdre de vu, comme l'on perd ses rêves à son réveille. Mais après un certain temps, son attention fut détourné de l'homme. Elle ce mit à regarder autour d'elle... elle était certaine que quelqu'un la regardait avec attention. Puis elle réalisa que son geste pouvait lui poser du tord... un chance son regard tomba sur un chat. Elle se pencha et interpalle le chat... qui fit comme tout les chats: il s'enfuit.

C'est à se moment que Tobold aller la rejoindre. Ils se remirent en route vers leur premier point.

Arriver proche des lieux, une odeur de bruler arriva à leur narine... le feu était prit... Les yeux de Lys s'ouvrirent en grand et elle regarda la scène devant elle avec peur. Oui elle voulait aidé, mais les choses semblaient aller de plus en plus mal.


"Mademoiselle Marie Lys, je crois que cette incendie n'est pas le faite du hasard. Cette affaire peut être très dangereux. Que voulez vous faire?"

La question semblait être idiote, il n'y avait qu'une seule chose à faire durant ses moments là: aider à étendre le feu.

"Il me semble plus sage d'aider ses gens que de courirent comme un poule sans tête après un criminel..."

Elle regarda de nouveau vers la batis en feu.

"Une fois le feu mort..." Un soupire de folie et de courage sortie de la bouche de la jeune fille "... il ne nous restera qu'à courir comme une poule... mais avec une tête de préférence."

La Beauchemin alla donc aider les autres à faire la chaines. Il est vrai que se moment permettait au tuer de partir, mais ne rien fait semblait être aussi pire que d'être complice de cet homme. De plus, ses précieuses minutes permirent à la fleur de calmer les battements de son coeur qui était prit de peur pour sa survie.

La forge, qui brule après leur passage n’est pas le faite du hasard. Cela a du inquiéter Kerchouet et pour faire disparaître la piste, il a mit le feu à la forge. Pendant qu’il réfléchit il voit Mademoiselle Marie-Lys se mettre dans la chaine pour aider à arrêter le feu. Il remarque qu’une organisation c’est mit en place. Cela part d’un poste de commandement tenu par un échevin de la ville et les ordres sont transmissent aux différents personnes chargé d’éteindre l’incendie. Cela semble efficace. Aider aux secour? Il y a mieux à faire. Notre homme va dans une auberge et commande deux pichets de cidre frais et des gobelets.
Ceci fait il se dirige vers le Magistrat et ses aides, sans dire un mot De Mangroves leur met les gobelets de cidres dans les mains. Et les remplit au fur et à mesures qu’ils se vident.
Il apprend beaucoup de chose, les maisons sont en pierres de taille, avec les bonnes pierres des carrières de la ville ; l’incendie se propage par les charpentes des toits ;c’est la raison pour laquelle certaine toitures ont étés démolies sans état d’âme ; l’incendie est en voie d’être étouffé ; et surtout qu’on ne déplore pour le moment aucun mort, même les chevaux ont étés évacués au début de l’incendie, sur le Brive un petit cour d’eau, qui serpente dans la ville et se jette dans la Wylorel. Les chevaux ? Et si …..Tobold laisse sur place pichets et gobelets et va prévenir la jeune fille.
Mais quand il retrouve la jeune fille. Tobold lit la peur dans les yeux. Elle lui annonce que sa décision est prise qu'elle arette la recherche.
"Ce n'est pas grave Mademoiselle Marie Lyse, ces gents sont dangereux et la piste risque de disparaitre raidement, Je vais vous reconduire chez Madame votre mère."

Effectivement Tobold reprend ses recherches mais cela semble se terminer là