La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
« Les frontières du moi doivent être durcies avant d'être assouplies. Une identité doit être établie avant d'être transcendée. » Scott Peck
Race :vampire
Nom : Ulyllan, un nom de famille inventée avec sa nouvelle identité de vampire. Son nom d'humaine, elle l'a oublié et c'est bien mieux comme ça.
Prénom :Norwen, même si autrefois elle se prénommait Elyne, en tant qu'humaine.
Surnom(s) :La tigresse.
Titre : /
Date de naissance :
Age réel :30 années
Age vampirique :150 années
Lieu de naissance :Née à Alderia, et transformer là bas aussi.
Lieu de vie :Nomade.
Rang social :Fille de paysan, elle a fini fille de joie.
Poste/emploi :Éclaireuse pour l'armée vampirique
Compétences
Spoiler:
« La confiance en soi ne remplace pas la compétence. » Olivier Lockert
Alignement :Très maléfique
Arme principale :Norwen dispose de Griffes de Peste, celles-ci sont parcourues par un poison qui paralyse son ennemi. La taille et poids de l'adversaire son à prendre en compte, tout comme sa race.
Autres objets : *Une petite dague, fine, solide, qui brûle les plaies. *Une armure simple.
Art du lancé (poignard, petite hache...) : catastrophique
Art de la parade (bouclier ou arme) :Très bon
Arc :aucun niveau
Arbalète :aucun niveau
Mains nues/pugilat : Très bon
Équitation :moyen
Totem :totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff
Style de magie principal :vampirique
Puissance magique innée : correct
Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.
Physique et caractère
Spoiler:
« Il n’est description pareille en difficulté à la description de soi-même. » Montaigne
Physique : Ce que l'on peut remarquer quand on voit la jeune humaine Elyne ou la vampiresse Norwen, la première fois, c'est sa fragilité. Dans le premier cas, elle est amplement justifiée. Une fragilité aussi bien mentale que physique. La rudesse des travaux des champs lui aspirant le peu d'énergie qu'elle arrivait à arracher d'une courte nuit de sommeil. Son teint pâle était déjà présent, et ce malgré une présence continue dans les champs par tous les temps. Dans le second cas, c'est pour mieux amadouer ses futures victimes. En tant que chasseuse, il faut savoir se fondre et s'adapter à la meilleure technique d'attrappe.
Sa discrétion et son effacement d'humaine a laissé place à une femme de caractère et de poigne, ne se laissant plus marcher sur les pieds. Autrefois inexistante dans une pièce, aujourd'hui, elle cherche à la dominer par sa présence. Démarche féline, louvoyante, le regard franc et perçant, cherchant à déstabiliser même les plus hautes autorités.
La douce voix d'Elyne ne se faisait que rarement entendre, soit pour balbutier des excuses à son père, ou le prix à ses clients. La voix de Norwen est joueuse, enjôleuse, sachant user des mots comme un piège qu'elle a tissé pour amener bien plus vite dans sa toile. Une mine boudeuse et un brin enfantin, pour cette femme qui sait jouer de ses charmes.
Caractère : Quand depuis toute jeune, on vous dit quoi faire, que votre vie est dirigée par l’incessant rythme du soleil, de la nature, et par la suite par la nature de l'homme, et que la liberté s'offre devant vous, les limites qui vous bloquaient autrefois n'existe plus. Encore plus quand vous devenez un vampire à la force colossale.
Autrefois effacée dans une famille de paysans travailleurs, la jeune Elyne ne cherchait pas à se faire remarquer par son père adepte de la ceinture si le travaille n'était pas fait correctement. Adulte, les choses furent différentes, la jeune femme dû passer de timide et farouche jeune femme, à une personne de poigne et de caractère dans un milieu où seules les plus fortes peuvent tirer leurs épingle du jeu.
Mais la véritable transformation de son caractère intervint avec sa transformation. Pour elle se fut une libération. Sous la tutelle des hommes, la jeune femme devint, après la rencontre de son créateur, celle qui serait leur prédatrice. La soif du sang ne mit guère de temps à arriver, animée par un désir de vengeance à l'égard de tous ceux qui la brimait autrefois. Il en fallut du temps pour que le contrôle de cette insatiable ritournelle devienne un jeu, un pur plaisir malsain et non plus un incontrôlable bain de sang.
Mes liens
Spoiler:
«L’amitié, c’est gérer les affinités. L’amour, c’est concilier les différences. » Anonyme
*Ma créatrice, pour laquelle, j'ai le plus grand des respects. *Lorenz Wintel: mon prince.
Derrière l'écran
«
Spoiler:
Il y a des visages plus beaux que le masque qui les couvre. » Jean-Jacques Rousseau
Petite présentation :CF Lyro!
Rythme rp :CF Lyro
Particularités rp : CF Esme
Comment avez vous découvert le forum :Cf Isy
Le code du règlement :
Il était une fois, non loin d'Alderia, dans sa campagne rase, au milieu des champs de blés, une petite ferme aux murs salis, aux pierres ressorties et au toit laissant passer les rayons du soleil. La cour était poussiéreuse, et un nuage s'y soulevait cachant les jours de vent, les quelques poules qui picoraient devant à la recherche de quelconque grains tombés de l'étable. Le silence y régnait souvent en maître, seul le vent se permettait de rompre cette atmosphère oppressante et muette. Même les quelques animaux cachés dans l'étable ou dans un champ non loin de là semblait se plier à cette règle. La famille qui y vivait était composé du père de famille, un homme robuste, dont les traits souvent contractés et burinés par la vie de fermier, soulignait sa sévérité. Une poigne de fer, une voix qui ne donnait pas à la discussion, des muscles saillant et une carrure montrant la rudesse des travaux des champs. La mère, les cheveux longs, accroché en chignon, semblait être effacée. Le regard dans le vide, le visage sans expression. Pantin dans ses gestes quotidiens qui se répétaient machinalement. Toujours les mêmes, immuables, quelque soit le temps. Le frère, l’aîné, le portrait craché de son père, avec un brin d’inhumanité en plus. Hautain, fier, malin, trop, il parvenait toujours à ses fins. Il fallait dire qu'il n'était pas vilain, un certain charme et il savait en jouer. Avec tout le monde. Les femmes surtout. Vint ensuite Elyne, jeune fille effacée, comme sa mère. On voyait qu'elle subissait la terreur de son frère et l'autorité de son père. Mains agiles dans les champs, elle ne servait qu'à cela pour ce père. Si on voulait gagner sa pitance du soir, il fallait la mériter. Surtout quand on est une fille devant un père misogyne. Vint ensuite un autre frère, le bonheur et la joie de la famille, il était intelligent, travailleur et savait se faire aimer par chaque membre, malin comme un singe et fort comme un bœuf. Il est aussi le fils prodigue arrivé après de nombreuses fausses couches. Un fils de plus, une force de plus. La vie était hélas toujours la même à la ferme : les travaux des champs. Rien de plus. Le lever le matin et s'occuper des animaux, puis rejoindre son père dans les champs, pour les cultures, puis aider sa mère dans la maison. Une lancinante rengaine qui donna à Elyne une bien grande imagination et le rêve de quitter un jour les quatre murs de cette prison. Qu'elle quitta à la suite d'une famine. Son père envoya le plus fragile de ses enfants à la ville, une bouche en moins à nourrir et des mains frêles qui ne traîneraient plus à la tâche. La jeune fillette se retrouva chez une vieille tante tisseuse, à gagner sa pitance pour quelques maigres pièces.
La vie en ville fut les premières épreuves de vie de la petite fille. Elyne devint une apprentie, des mains fines pour travailler dans les bas fonds de la ville pour les riches. La rudesse du lieux, la vie avec ses pairs, l'indifférence des adultes et les travaux qu'on leur faisait faire firent que Elyne cherchait à fuir la misère.
Et par un beau jour qu'elle marchait dans la rue, la jeune fille rencontra une femme à l'allure sur-fardée. Une femme comme elle n'avait jamais vue. Celle-là souriait, les gens se retournaient sur son passage, et surtout elle était belle. Le regard de la jeune fille, devenant femme, ne passa pas inaperçu. La rencontre d'une vie. De celle qui change tout. Et la vie de Elyne changea.
De la vie d'apprentis, elle passa au bordel du coin. Des femmes de tous les genres, mais toutes des femmes du peuple qui rencontrèrent un beau matin la misère au coin de leur rue. Autant d'histoires que de vies brisées. Et Elyne en faisait partie. Une vie nouvelle, pas des plus glorieuses, des plus agréables, mais la jeune femme préféra l'ambiance du bordel, la vie avec les femmes que celle des puanteurs des ateliers. On lui apprit à se farder, à s'habiller, à parler aux hommes, à se mouvoir. Elyne devint une femme, un fantasme. Toujours effacée, elle subissait bien souvent la rudesse des hommes venus la voir, mais le soutien infaillible de ces femmes travaillant dans la pénombre nocturne lui permettait de s'en sortir non sans mal.
Un beau soir, tandis qu'elle rentrait chez elle après son travail du soir, la jeune femme se fit agresser par un homme sans scrupule. Sûrement un ivrogne. Violent sans aucun doute. Qu'importe Elyne croyait sa vie finit sous les coups de poings, de pieds, la violence des chocs contre le mur, le sol, quand un homme à l'allure massive la sauva des griffes de son agresseur. Pour la jeune femme, l'esprit de la mort venait enfin la libérer. L’emmenant au loin, la retirant de ce monde de souffrance. Puis plus rien. Un douleur de plus, à peine palpable, comme diffuse, un écho à la douleur des coups reçus. Peu à peu, elle revient à elle. Différente. Se sentant...vivante. Même si étrangement, elle sentait son corps autrement. Celui-ci était mort, son cœur ne battait plus, sa respiration ne soulevait plus sa poitrine. Était-ce ça être auprès des esprits ?
La jeune femme comprit trop peu vite que son sauveur était un vampire, une vampire, une femme, la sauvant des griffes des hommes. Son allure était distinguée. Elle semblait avoir déjà bien vécu, même si son âge physique ne laissait guère de place aux années écoulées sur sa peau blanche. Grande, cette dernière pouvait aisément passer pour un homme à premier abord. Bien loin de la tranquillité espérer auprès des esprits, la toute jeune vampire due bien vite apprendre les affres de sa nouvelles conditions. Totalement perdue au départ, perdant repères, souvenirs et tirailler par l'appel du sang.
Ce fut là son premier apprentissage en tant que vampire : apprendre à contrôler cette soif tout là, ancrée dans son esprit, la faisant vibrer. Et puis il fallait avouer que bien vite, la nouvelle-née se mit à apprécier la chasse à l'homme. Voir dans ses yeux, la peur du trépas avait un quelque chose d’excitant et de plaisant. Quel doux spectacle que celui de la mort !! Son passé mort, elle ne chercha pas à le retrouver. Une autre vie s'ouvrait à elle. Nouveau nom.
Le second fut de servir son nouveau peuple. Une femme qui savait s'imposer et de par sa stature colossale pour une femme et par sa grande maîtrise du combat, ancienne enfants des rues, sa créatrice avait appris à se défendre seule dans les quartiers pauvres de Gloria. Elle lui enseigna donc ce qu'elle appelait un art, lui apprenant à s'emparer de la force et la violence de l'autre pour en faire sa propre force. Ajouter à cela une agilité à toutes épreuves et des griffes d'acier, vous obtenez un parfait tigre, prêt à bondir sur sa proie. Parfaite petite soldate au service de sa créatrice, elle se rangea sous ses ordres, y apprenant les règles de la vie vampirique, sa hiérarchie, s'y appliquant et s'y pliant comme tout bon soldat, continuant à nourrir en son sein, une haine viscérale envers les hommes humains. Un reste de son passé, ancré au plus profond de ses chairs mortes.
Et les différentes batailles qu'elle eut à vivre au cours de sa jeunesse vampirique n'aidèrent pas à calmer et apaiser ce flot de haine, bien au contraire, cela le renforça avec hargne et détermination. Tout comme le fait de se retrouver cloîtrer au fond des galeries souterraines, cacher comme des voleurs. Les vampires valaient mieux que cela.
Alors quand émergea un grondement de mécontentement envers la condition vampirique se fit de plus en plus entendre, la vampiresse prit le partie d'un peuple fort et dominant les humains et se servant des elfes comme simple jouet. Très vite, l'éclaireuse chercha à se rapprocher de Lorenz Wintel, qui s'imposait comme le leader à suivre. Ses paroles, son aura eurent bien vite raison des idées de la dentue et elle suivit ses faits, gestes et mots avec attentions. Tout comme ses premières excursions en dehors des galeries, puis les autres. Peu à peu, Norwen chercha à devenir indispensable. Une aide de l'ombre, éclairant son prince vers les bonnes routes. Son flair, sa discrétion, des atouts dans son métier. Une lutte de l'ombre qui devint jour après jour, une guerre ouverte, une délectation pour la vampiresse, lui permettant de chasser plus ouvertement et sans risque pour les siens. Quelle douce joie !!!!
A l'air libre, le chaton en cage devint tigresse, se révélant être une femme de tête, de poigne, sachant frapper là où cela fait mal. Se moquant bien des conventions. A l'air libre, la donne avait changé, sauf son infaillible fidélité à son prince.
Dernière édition par Norwen Ullylan le Sam 10 Aoû 2013 - 0:16, édité 1 fois
Lorenz Wintel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage exceptionnel Expérience: (0/10) Xp disponibles: 9
Compétence : ok, les caractéristiques sont même limite basses (ça va que le pugilat et le niveau d'agilité remonte tout cela) si besoin on adaptera avec le niveau magique et/ou de totem.
Caractère liens et physique : je n'ai rien vu à redire
Histoire : tout est plausible ! Attention juste, tu parles "d'armée vampirique" en disant qu'elle l'aurait rejointe quasiment dès sa transformation donc il y a environ 150 ans. Hors à cette époque il n'y avait pas vraiment une "armée" organisée, les vampires étaient assez solitaires et s'entretuaient plus volontier qu'ils ne combattaient ensembles... Ils pouvaient former des groupes, des bandes, mais une armée non. Cela ça s'est fait plus tard avec l'arrivée de mon personnage (qui a trouvé le moyen de souder tout ça) Ce détail mis à part le reste est tout à fait correct
Je te laisse juste éditer le truc de l'armée. A voir si tu veux remonter une caract' ou deux ou si tu préfère laisser comme ça et moi j'adapterai avec les niveaux.
Lorenz Wintel
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage exceptionnel Expérience: (0/10) Xp disponibles: 9