La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
« Il n’est description pareille en difficulté à la description de soi-même. » Montaigne
Physique : Verith vécu les premiers temps de sa vie dans un œuf de taille relativement petite. D’un rouge sombre, presque noir, ce dernier abritait quelques fines rainures, qui laissaient une sensation rugueuse au touché. L’œuf gagna peu en volume tout au long de sa croissance, mais sa résistance, elle, fut considérablement multipliée. Sa coquille étant alors aussi robuste que ses écailles aujourd’hui, il mit plus de temps que la norme à la briser entièrement. Dragonnet, Verith vit ses écailles varier de teinte à de nombreuses reprises, dans un panel de tons rouges très variés. À sa naissance, elles semblaient aussi sombres que l’œuf qui l’avait accueilli. Puis elles s’avancèrent dans des couleurs plus pâles, avant de finalement virer au rouge pourpre qui le pare aujourd’hui, à son âge adulte. Sa queue, tout d’abord destinée à rester peu longue, vit apparaître quelques années après sa naissance des pics hirsutes sur son arêtier, puis elle s’allongea pour enfin atteindre une taille moyenne, correctement proportionnée avec le reste de son corps. Ses petits yeux, à la pupille verticale, adoptèrent leur teinte définitive très tôt : un jaune d’or profond et intimidant. Sa carrure n’impressionnait pas aux premiers abords, et ce ne fut qu’après quelques années qu’il rattrapa la taille et la musculature de ses congénères, alors prêt à s’imposer. Son museau s’allongea, et ses cornes poussèrent enfin lorsque Verith atteignit l’âge adulte. Ce détail physique le distingua rapidement des autres, car ces dernières, pointues et légèrement arrondies à leur extrémité, lui poussèrent plus vite que la majorité des dragons. Ses ailes relativement grandes sont tout aussi sombres que ses écailles, dont la couleur s’immobilisa sur le rouge pourpre, et une crête de cartilage fin orne désormais sa tête, son cou et serpente le long de son dos. Sa carrure atteint désormais des proportions intimidantes, malgré sa taille peu au-dessus de la moyenne. Ses griffes longues et acérées, ses dents longues et pointues sont un atout de taille face aux ennemis. Enfin, ses pattes et ses muscles relativement bien taillés et résistants lui permettent une bonne endurance et des gestes puissants.
Caractère : Déterminé et belliqueux, Verith ressentit dès son plus jeune âge le besoin de s’imposer, considéré très tôt comme un mâle relativement dominant, et surtout arrogant. N’hésitant pas à défier tous ceux le soupesant, même plus forts ou plus impressionnants que lui, il ne recula jamais devant rien, et son inconsciente témérité pourrait un jour lui faire défaut. Indifférent face aux plus faibles, souvent hautain, Verith se considère sans aucune honte comme un leader, et ses idées quelque peu mégalomaniaques le poussent au désir ardent d’asseoir son autorité sur tout le continent d’Armanda, où les humains comme les elfes et les vampires le dégoûtent, suite à leur précédent rejet, et implicitement meurtre, des dragons. Mais si Verith eu la force et le courage de s’imposer jusqu’ici, c’est en grande partie grâce à ses qualités physiques pour le moins importantes. Vif et véloce, le jeune dragon reste avide d’aventure et de grands espaces pour l’accueillir, tout comme de liberté. Incapable de rester statique sur de trop longues durées et véritablement têtu, il prend plaisir à défier les règles imposées et à indiquer avec force et moyens sa présence. L’indifférence face à lui le rebute et est un des meilleurs moyens pour le mettre en colère ; il reste très irascible et ne contrôle donc pas son sang-froid. Pourtant, au fond de ce combattant acharné et impulsif, le peu de dragons qui lui est vraiment cher, à savoir sa mère, son frère et sa sœur, ont le pouvoir de le toucher profondément. Les récits de Skade sur le continent d’Armanda ne le quittent jamais, et il semble décidé à faire payer l’inconséquence des peuples de cette terre, même si pour cela il sera contraint de massacres ignobles. Il ne serait pas étonnant que, face aux hommes, aux elfes et aux vampires, Verith considère les dragons comme une race supérieure, car il reste difficilement impressionnable.
Mes liens
Spoiler:
«L’amitié, c’est gérer les affinités. L’amour, c’est concilier les différences. » Anonyme
Pour l’instant, Verith, qui reste un dragon sauvage, ignore que le chasseur Klaus Fell deviendra un jour son dragonnier, étant peut-être tous deux liés par un destin commun, ou seulement forcés par une attirance inné. Toutefois, le jeune dragon ne se voit pas accorder sa confiance à un humain, et toutes relations avec lui deviennent alors longues et laborieuses à établir –sans aucune garantit qui plus est. Comme insinué précédemment, Verith entretient des liens très forts avec sa mère, en particulier, tout comme avec les membres de sa famille. Cette proximité et cette complicité maternelle fut prémédité par un fait : le jeune dragon percevait aisément son entourage lorsque son éclosion approchait, et garde un souvenir très intime des premiers mois de sa vie, aux côtés de sa mère -car il ne connut jamais son père-, sa mémoire possédant une capacité élevée d’emmagasinage. Skade lui conta maints et maints récits sur les terres d’Armanda, nourrissant peu à peu en Verith le désir grisant de retrouver ce lieu, de le découvrir, puis de le dominer. De sa mère, il apprit qu’elle avait quitté l’ancien continent lors de la baisse progressive de la magie mais la considéra toujours comme une dragonne relativement solitaire, ne demeurant qu’avec les réfugiés et aucune horde spécifique. Sa génitrice se faisait aussi appelée « écailles d’orage », de par son affinité avec cet élément et cette strate de la magie ancestrale. Pour finir vint sa soeur, Estelen. Du moins sa soeur adoptive. Leur lien se résuma, jusqu'à leur brusque séparation aux abords d'Armanda, à des idéaux que tous deux cherchaient. Verith semblait peu s'intéresser à elle, malgré l'inquiétude qu'il éprouva à son égard dans la tempête. Dissimulant bien ses émotions, il tient cela dit beaucoup à elle, mais ne lui avouera jamais en face. Peut-être Estelen l'a-t-elle déjà pressenti, au fond ?
Derrière l'écran
Spoiler:
« Il y a des visages plus beaux que le masque qui les couvre. » Jean-Jacques Rousseau
Petite présentation : Je déteste Jean-Jacques Rousseau. Plus sérieusement, je m’appelle Emma, ou Bro, et j’ai… quatorze ans (oui, j’ai honte de mon âge). Mes seules et uniques passions sont l’écriture et la lecture, mais j’apprécie beaucoup la musique (clarinette powaaaa) et la planche à voile (wishbone powaaaa). Enfin bref, je ne pense pas avoir besoin de vous préciser de quelle couleurs sont mes chaussettes (elles sont noires et blanches), mais si vous avez des questions, j’y répondrai volontiers, dans la mesure du possible du moins.
Rythme rp : Oui, j’ai vraisemblablement assimilé le rythme du forum, et je m’engage à le respecter du mieux que je le pourrai. Je peux répondre le jour même à un RP, mais habituellement, je ne mets pas bien longtemps, deux jours maximum.
Particularités rp : Je fais parfois quelques fautes d’étourderies, comme tout le monde, mais je veux bien aider de petits débutants frêles et innocents et purs et… *PAN* bref. Sinon, je pratique le RPG depuis deux ans.
Comment avez vous découvert le forum : Sur Never Utopia, en Intérim.
Le code du règlement : ok by Lorenz
Mon histoire :
« Les histoires réelles ne sont pas écrites pour être conter, les légendes sont là pour cela. Les histoires réelles sont écrites pour être ressenties. » Anonyme.
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Tout portait à croire qu’être dragon était une valeur, et le demeurer, un privilège. Comme s’ils naissaient dans un cycle sempiternel, régit par le destin, et mourraient dans une profonde et éloquente dignité. Cette conscience fut la première insufflée par le Dracos Honoris dans l’âme de Verith à sa naissance. En une soirée d’automne de l’an mille-cinq-cent-cinquante-trois de l’ère d’argent, alors qu’une brise glacée annonçait les prémices d’un proche hiver, Verith quitta l’univers des notions abstraites de son œuf. La première image qui l’asservit fut un ciel, flou et sombre, de par sa vue encore faible. Une nuit unie, profonde et sans étoiles. Une nuit comme, plus tard encore, il les aimera. La terre accueille un dragon comme elle le peut, un rocher l’observe, la mer le juge. Et cet univers entier, ces éléments personnifiés par la vivacité de la nature partagèrent les premières brides d’existence du dragonnet, avec le nom qui le vit naître : Verith, l’allégorie de l’ire, le porteur de la colère la plus placide qui soit, envers des ennemis invisibles. Sa frêle carrure et sa taille en-dessous de la moyenne, tout comme l’avait précédemment prouvé la petitesse de son œuf, n’inspiraient ni la crainte, ni le respect, et ne présageaient aucun avenir de robuste guerrier. Et pourtant, dans une ascension véloce, la rage du dragonnet se métamorphosa en adrénaline, qu’il commença à exploiter peu après sa naissance.
« - … ce n’était pas une terre rongée par la disparition de la magie, mais une terre qui le deviendrait, termina Skade en se redressant sur les rochers. »
Le récit d’une mère porte le savoir, l’espérance de la découverte et l’essence même du monde, à en croire certains. Mais ces maintes épopées sur cet autre continent, Armanda, qui mêlaient humains, elfes et vampires, semblaient insuffler en Verith, en sa plus tendre enfance, cette rage incertaine, bientôt non plus dirigée vers des êtres invisibles, mais ces peuples inconnus que laissaient vivre les dires de Skade. Pourtant sa sœur ne semblait prêter attention à l’indolence de ces ennemis d’autrefois, et seul Verith découvrait, dans ces nombreuses légendes, la source même de sa colère, nourrissant ses pulsions belliqueuses et ses airs arrogants. Là où se posèrent les dragons réfugiés d’Armanda pour la première fois, en parvenant à ce nouveau territoire, resta un lieu convoité par Verith, où il se rendit à maintes reprises lorsque ses pattes commencèrent à le porter, et ce jusqu’à sa plus tangible adolescence. Il s’agissait d’une falaise, abrupte et intimidante, aux pieds de laquelle se brisaient les vagues et geignait l’écume. Et cette mer qui étendait son flot intarissable à l’horizon, qui pointait l’aventure du doigt et les espoirs épars d’une terre, là-bas, au loin. Cet océan infini qui fut l’unique témoin de la plus interminable migration de dragons, qui les vit fuir, qui les vit abandonner leur terre natale pour ce continent encore bien mystérieux. Il s’agissait d’une passe dans la vie d’un dragon, la coite solitude de l’être inférieur, puis supérieur. Verith n’était pas né dans le corps d’un guerrier, mais ses entraînements réguliers, sa persévérance innée dans l’art du combat et de la brutalité –dans la supposition qu’il s’agissait d’un art- lui forgèrent bien des atouts, avant de lui attirer bien des ennuis. Les autres dragonnets le tinrent en respect, du moins ceux qu’il considérait comme plus faibles, mais ceux plus âgés, plus robustes, plus forts, ne cessaient de le défier. Il enchaîna bien des victoires, et les rares défaites qu’il fut contraint d’essuyer n’accentuèrent seulement son ardeur au combat, et non l’inverse.
« - …le courage pour un duel ? interrogea un jeune dragon, quelque peu plus âgé que Verith à cette époque, au commencement de cet enchainement de combats. »
Les coups assenés s’intensifièrent, dans une force commune : celle du dragon. Un combat que Verith releva, souleva même, au-dessus de tout cran dans le couloir de la témérité, jusqu’à l’hautaineté. Il s’appelait Laaran, cet adversaire qu’il frappait avec conviction, ce dragonnet tentant tant bien que mal d’esquiver les feintes et les coups. Et puis les crocs, cette victoire si proche mais en même temps si lointaine, en un défi trop élevé –peut-être ? C’est ainsi que, dans la vivacité de ce premier duel, Verith avait inscrit sa présence dans la volée des dragons réfugiés sur la terre nouvelle. Il n’a plus conscience de l’ultime coup qu’il assena à son adversaire, de ce coup qui le fit vainqueur et fier. Pourtant, bien des années plus tard, il reproduisit cette entaille sur le cou des dragonnets, puis dragons, qu’il défia et soumis à ses techniques et sa force. Il devint dominant, déminant les faiblesses, dans la suite de dominos qui laissait place à son existence. Tant de « d » pour un piètre « début ». Le premier vol fut décidé ainsi, comme un pied de guerre, sur un coup de tête. La falaise restait là depuis toujours, et personne ne l’avait jamais défiée. Et pourtant, qui n’en avait pas rêvé, de cet horizon fuyant d’où étaient apparus les dragons ? Qui n’avait pas souhaité, dans tous ces dragonnets, effleurer la surface abstraite d’un lieu tel que cette ligne immobile, si loin, défiant la portée du regard ? Personne n’en possédait le courage, mais Verith, imperturbable, même face à un tel danger, avait laissé ses pattes le projeter dans les airs, et ses ailes se déployer, puis entamer le cycle gracieux des battements, dans un mécanisme complexe. Ces mêmes ailes qui, sous la force d’une gravité trop élevée, l’avaient abandonné dans une chute vers les abysses, une chute vertigineuse pour un but iodé. Son corps écailleux avait heurté la surface avec une vitesse incroyable, sous les yeux paniqués –ou satisfaits, suivant les mentalités- des autres dragonnets restés sur le bord de la falaise. L’eau salée s’était lentement glissée sous ses écailles, avec une pression toujours plus croissante à mesure qu’il s’enfonçait dans le silence et la folle accoutumance des flots. Dans cet effort dit « ultime » ou encore « désespéré », ses ailes n’avaient cessé de s’agiter, pour enfin lui permettre de remonter peu à peu à la surface tant convoité, et l’air qui l’accompagne. Le poids de l’eau jouait en sa défaveur, mais toute cette puissance qu’il mettait dans ses gestes l’amena à percer la mer et, dans la continuité d’un mouvement perpétuel, à s’envoler. Ou plutôt s’isoler dans le ciel. Cette expérience peu plaisante fit tout de même de Verith le plus jeune voltigeur de la volée, mais malgré tout, son vol demeura toujours incertain et peu fiable, et son agilité dans les airs, inexistante. Puis un jour, dans les cieux, cet être irascible et pour le moins solitaire su qu’il était devenu un dragon, et que cette valeur avait cessé de se mouvoir dans ses veines pour enfin se métamorphoser en ce privilège si convoité. Seulement alors, les histoires de Skade lui apparurent sous un nouveau jour et, au seuil même de l’âge adulte, sans n’avoir pris le temps de s’attarder sur un potentiel amour, de potentiels liens, l’aventure l’attira et il répondit à son appel. Skade fut là pour remédier à ce désir grisant de liberté et, plus que tout, de découverte. Au levé d’un pâle jour, ils avaient tous les trois, cette famille demeurée intacte, quitté le nouveau continent pour l’ancien. Pour Armanda. Sous les écailles de Verith grandissait un mélange d’incitation, d’ire et d’iode. Les trois « i » pour cette nouvelle « initiation ».
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Sujet: Re: Verith, dragon de l'Ire Dim 26 Mai 2013 - 15:29
Skade Mère de Verith, cette dragonne, appelée « Mère des tempêtes », reste une des rares personnes que Verith eut aimé. Fière de sa race, puissante et sage, Skade n'en reste pas moins parfois autoritaire et indépendante, et fut un exemple pour Verith durant la plus tendre jeunesse de ce dernier. À cette époque, elle lui contait les légendes d'Armanda, éveillant alors en lui une grande colère vis-à-vis de ces peuples. Déterminée et au tempéremment de feu, elle peut tout de même, avec ceux qu'elle considère comme dignes, se montrer attentive et ouverte d'esprit.
Estelen Demi-soeur de Verith, adoptée par Skade, Estelen reste une dragonne relativement douce, qui optera pour les mots plutôt que les griffes. D'un naturel réfléchi, elle place tout de même la race dragonne comme entité supérieure, et n'apprécie pas les vampires. Verith y est très attaché, même s'il préfère dissimuler son affection pour elle, qu'il qualifie comme une faiblesse, sous un masque d'impassibilité et d'inattention à son égard.
Klaus Fell Chasseur de vampires, Klaus n'en est pas moins l'humain choisi par le Dracos Honoris pour partager l'esprit de Verith en devenant son dragonnier. Au jour d'aujourd'hui, leur relation reste critique, deux esprits aussi enflammés qu'eux ne pouvant faire seulement des étincelles. Arrogant, fier et sûr de lui, ce magicien reste aussi quelqu'un de relativement cultivé, malgré son fort tempérament, et Maître des Larmes d'Alderick. Déterminé, vraisemblablement ouvert d'esprit, Klaus semble tout de même bien solitaire, et lorsqu'il s'agit de son travail, il n'hésitera pas à provoquer des confrontations physiques et à éliminer toute personne en travers de son chemin.
Lyroë Tuwiel Elfe solitaire et devenue, après l'avoir sauvée, l'amie d'Estelen, Lyroë n'en reste pas moins l'ancienne dragonnière de Cymbor, le frère de Verith. Ce dernier ne la porte pas dans son cœur, étant donné qu'elle mieux que quiconque possédait le pouvoir de protéger Cymbor. Par respect pour sa sœur, le dragon rouge ne l'a pas tuée lors de leur unique et brève entrevue, mais à l'occasion d'une prochaine rencontre, il ne retiendra pas ses griffes. Outre sa liaison mentale avec Cymbor, la jeune elfe lunatique reste, comme tous les elfes, excessivement attachée à la nature, ce qui lui donne un côté solitaire non négligeable.
Althaïa Actaaë Rencontrée au cœur des plaines des terres sauvages de l'Est, Althaïa reste la première vampire à avoir croisé la route de Verith. Entièrement dissimulée sous une armure de fer, cette mage d'une intelligence remarquable usa de son évidente témérité et de sa cause louable pour rallier Verith à elle. Désormais, un pacte implicite les lie, qu'ils gardent secret en tout point, dans leur commun désir d'anéantir l'Alayia, chacun avec des motivations plus obscures en-dessous. Relativement froide au premier abord -sans mauvais jeu de mots- et excessivement solitaire, cette vampire dissipa presque tous les préjugés que le dragon rouge entretenait vis-à-vis de la race des sangs-froids.
NOM ET PRENOM ICI PETITE DESCRIPTION DU PERSONNAGE EN QUESTION
NOM ET PRENOM ICI PETITE DESCRIPTION DU PERSONNAGE EN QUESTION
Dernière édition par Verith le Mar 6 Aoû 2013 - 18:42, édité 6 fois
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Sujet: Re: Verith, dragon de l'Ire Dim 26 Mai 2013 - 16:07
Petit résumé de quelques lignes : Verith, pris dans une tempête magique avec Skade et Estelen à leur arrivée sur Armanda, vient s'écraser contre une montagne. Blessé, il ne peut repartir et, alors que l'inquiétude le gagne vis-à-vis de sa soeur et de sa mère, Klaus, alerté par le cohu-bohu causé, vint à sa rencontre. Après quelques échanges de pics et de répliques arrogantes, le magicien soigne le dragon et décide, après s'être tous deux reposés, de l'aider à retrouver Skade. S'en suit des recherches aériennes pour le moins désagréables pour Klaus...
Commentaire : Première rencontre entre Klaus et Verith, et arrivée du dragon sur le continent d'Armanda. Skade est ensuite retrouvée.
Petit résumé de quelques lignes : Ayant enfin retrouvé Skade aux abords d'Elena la Robuste, Klaus et Verith s'apprêtent à enfin se quitter. Toutefois, un échange s'engage entre les trois protagonistes, car tous sont friands d'informations capitales concernant Armanda ou autre. Ainsi, les sujets de Dévoreuse, d'Estelen et de la vampiresse que désire retrouver Skade, Isillwyra, sont passés en revus. Les deux dragons en ressortiront d'autant plus vigilants, de par ces informations inquiétantes concernant cette entité maléfique perdue en ces terres, et Verith se lancera alors dans les recherches concernant sa soeur.
Commentaire : Klaus et Verith se quittent enfin, les deux dragons sont informés pour la menace de Dévoreuse et Estelen va être retrouvée par le dragon rouge dans le prochain rp.
Petit résumé de quelques lignes : Verith, après avoir quitté Klaus et bien entendu, Skade, de manière relativement véloce, parcourt Armanda à la recherche de sa sœur, Estelen. Retourné près d'Elena la Robuste, là où le chemin de sa mère et le sien avaient divergé, il avise une masse proéminante et mouvante, qu'il identifie rapidement comme étant sa sœur. S'en suit alors les paroles habituelles et l'échange commun lors d'une retrouvaille de la sorte, jusqu'à ce qu'un sujet facheux soit abordé : Estelen affirme que Cymbor, le fils que Skade recherche, est mort. Verith sent monter en lui une colère démesurée, et une dispute éclate entre les deux dragons, calmée avec la venue de Lyröe, une jeune elfe ayant sauvée la dragonne de l'orage. Verith les quittera peu de temps après, sa rage prenant place en son être et prête à se déverser contre les peuples d'Armanda.
Commentaire : Ces retrouvailles feront naître en Verith une profonde haine vis-à-vis des armandéens, et amorcera de nombreux meurtres et carnages nés sous ses griffes acérées.
Petit résumé de quelques lignes : Verith, toujours rageur après avoir appris la mort de Cymbor, commet massacres sur massacres dans les plaines des terres sauvages de l'Est. Après avoir dérobé un cheval comme casse-croûte, il tombe de façon brutale sur une vampire toute d'armure de fer vêtue. Quelques brides de conversations vont s'installer entre eux, jusqu'à finir par devenir un véritable dialogue poussé sur les menaces qui assaillent désormais Armanda (cf. Dévoreuse, l'Alayia, etc.). Verith en apprend énormément sur ces nouveaux ennemis, qui ne sont pas moins ceux de tout le continent, et se présente, dans l'esprit de l'inconnue, comme un allié de taille, à condition que la vampire parvienne à le rallier à sa cause. À l'issue de cette conversation pour le moins peu commune, le dragon rouge est pris au dépourvu par une proposition spéciale de son interlocutrice.
Commentaire : Cette première rencontre entre Althaïa et Verith amène un pacte implicite entre eux, qui les unira secrètement par la suite. Ils prévoient de se retrouver plus tardivement. Verith a appris plus de choses en quelques heures sur les menaces planant sur Armanda qu'il n'en avait appris en deux mois, et ce grâce à la vampire.