L'histoire raté d'une enfance mélodieuse brisé.

Autrefois j'avais un frère mais c'est grâce à lui que je suis là. Je m'appelle Médolie Ann Ludvig. Fille de Alicia Terreba Ann et William Fibus Ludvig. Je suis la soeur de Aaron Ann Ludvig.
Mes parents voulaient que je devienne musicienne. Aussi je mis employé. Et encore plus quand mon frère partit. Il avait décider de s’enrôler dans l'armé dans Hommes. Mais avant de partir il m'offrit quelque chose. Sa broche que j'avais toujours eu envie de posséder. Celle qui portait le nom de " oiseau" et qui représentait une mésange. Un soir, je venais d'avoir 118 ans, un garde se présenta chez nous. Il nous remit une lettre. Je n'avais pas vu mon frère depuis 50 ans. Je crus que la lettre venait de lui. Ma mère l'ouvrit, j'étais en train de jouer de la harpe. Elle me demanda de la rejoindre auprès d'eux. Sa mine était sombre. Elle commença la lecture à haute voix. Je ne voulais pas comprendre. Une bouffé de rage me prit. J'attrapais mon instrument et le lançais sur un mur où il partit se briser. En larme, je sortis de la maison et m'élançais à travers les branches des arbres. Percher là-haut, je laissais enfin la tristesse m'envahir pleinement.

J'ai 193 ans quand, après avoir quitté mes parents et être partit m’entraîner seule sur les routes, je m’enrôlais dans l'armé au près des Humains. Peu de temps après, à l'aide d'un poignard, je coupais mes cheveux. J'étais replier sur moi même. Les seules fois où j'approchais des personnes, c'était lors de combats amicaux où lors de bataille contre les vampires. Mais un jour, un jour de pluie, alors que je m’entraînais et que j'étais tremper jusqu'aux os, je fis une rencontre qui me changerais petit à petit. Il s'approcha de moi. Je ne le regardais pas quand soudain il me posa une étrange question:
"- Cette épée n'est pas trop lourde pour toi ? "
Je tenais dans mes mains une banal épée à deux mains. Je me tournais vers lui, un sourire aux lèvres.
"-Approche ! Arme toi et vient te battre ! Tu verras par toi même !

Il prit alors une épée et se plaça en face de moi. S'en suivit un long duel que nous perdîmes tous les deux. Il était fort et n'avais pas vraiment de style, se qui avait rendu le combat relativement compliqué. Assis sur le sol, lui comme moi, flanqué d'un sourire nous regardions l'horizon.
"- Je suis Diklan Nack.
-Enchantée, je m'appelle Médolie Ann Ludvig.
-Sans indiscrétion, quel age as-tu ?
-217 ans, répondis-je en riant se qui me surpris.Et toi ?
-21 ans seulement.
-Que viens-tu faire ici ?
-Je viens débarrassé notre terre d'eux."
Il n'eut pas besoin de me dire de qui, je l'avais compris. Il voulait parler des vampires. Il était gentil et aussi il fut rapide de me lier d'amitié avec lui. Mais mon idée de vengeance était toujours là.

Diklan ne cessait de vouloir mesuré sa force contre moi et bien d'autres personnes. C'est souvent qu'il finissait blesser. C'est souvent donc que je passais le voir pour vérifié l'état de ses blessures. Et quand il ne mesurait pas sa force, il s’entraînait avec moi à l'épée au poignard, à l'arc ou encore à la magie dont je me servais dans beaucoup de combats. Il faut dire que j'étais relativement doué dans ses pratique là. Je m'étais fabriquer mon propre arc du nom de " jet de feu".

Pour mon 230ème anniversaire, Diklan m'offrit une épée double. Aussitôt il fallut que je la baptise. Elle s’appellerait Elihyna. elle était enchantée et ainsi elle ne pesait pas très lourd et je pouvais facilement la manier sans me fatigué. Mon ami avait alors 34 ans et pensait à arrêter les combats. Pourtant 10 ans plus tard, alors que je fus nomé capitaine d'une armé grâce au si grands nombres ennemis tué et repoussé à cause ( ou grâce ) mon désir de vengeance. Il était toujours avec moi. En moi.

Moi... Capitaine ! Il m'en fallut pas plus pour endurcir mon esprit vengeur. J'avais des Hommes sous mes ordres. Je les préparais, je les poussais à faire plus à faire plus qu'ils ne devaient, ne pouvaient. Je voulais en faire de véritables machines de guerre. Mais, contre toute attente, je finis par changer.

Dans la bataille qui nous opposa aux vampires en l'an 1752 je perdis de nombreux soldats. Parmi ces soldats se trouvait un jeune elfe que j'avais pris sous mon aile. Iylan. Je n'avais pas su le protégé, les protégé. Il avait tous juste 127 ans. J'étais effondré. Je ne voulais plus sortir. Je restais dans ma tente. Ne mangeant que parce qu'il le fallait. Tous se qui c'était passé me revenait sans arrêt à la mémoire. Je me trouvais à Aldoria. Avec tous mes Hommes. Je les avais tous vu mourrir et j'avais peur que Diklan et Iylan ne face partie de se qui tombe. Aussi, quand mon jeune protégé tomba sous les coups d'épée d'un alayien, je fus de nouveau en miette et mis tous en place que plus aucun autre ne soit blesser. DEpuis tous le monde était à l'abris et je m'étais enfermer dans ma tente. Mais Diklan avait décidé de me bouger. Il poussa le tissu de l'entrée. Il se posta devant moi.
"-Arrête !"
Je levais tous juste la tête. Il se mis à genoux devant moi et prit mon visage entre ses mains.
"- Tu n'es pas la Médolie que je connais.
-Tu ne connais pas la vrai Médolie et je ne veux plus être celle que tu connais.
- Qui es-tu alors ?
- Je vais quitter tous. Je te recommanderais en tant que capitaine.
- Ne dis pas ça ! Allons Capitaine Ann Ludvig ! Levez-vous ! Sortez ! Partagez votre peine avec celle de vos Hommes. Devenais celle que vous devez être !"

Aujourd'hui, à l'age de 250 ans et grâce à Diklan, je suis redevenu en partie celle de mon enfance. Je laisse mes hommes s’entraîner comme bon leur semble. Tant qu'ils étaient de bon soldats, cela m'allais. J'ai même une nouvelle amie. Une petite mésange que j'ai soigné après qu'elle se soit brisé l'aile gauche. Azita.
Voilà 168 ans que mon frère est mort et même si je me vengerais un jour, je laisse à la vie décider quand il en sera le moment. Et puis... J'ai un avantage. Je connais le nom du tueur de mon frère: Zéleph Andérick !