22 juillet an II, 8:07:52

Un matin comme les autres à Aldaria….. Cymbale Païlle, avance conduisant à pied son attelage. Un poney répondant au nom de Houblon à cause de la couleur de sa robe et une charrette avec pour le moment deux tonneaux ayant contenus du tanin qu’il a récupéré chez un tanneur. Il se trouve dans le quartier blanc, le quartier ou ce trouve le palais Ducal. Et Aujourd’hui, comme une fois par semaine, il vat faire un tour à la cuisine Ducal tenue par Madame Yellowïne Frangipäne. Le marchand passe devant les gardes Ducaux dans leur uniforme blanc. Gardes qui le connaissent et le laissent passer…. Il est reconnaissable notre Cymbale, un homme d’un certain âge, grand, aux cheveux brun, à la barde et à la moustache bien taillé dans des vêtements propres. Il vient au moins une fois par semaine, débarrasser le palais de quelques tonneaux, dont le palais ducal n’a que faire…….
Il passe devant les troupes en manœuvre à l’intérieur de la cours, sans trop perturber des soldats défilants par trois… Notre homme reçoit même les honneurs d’un détachement au garde à vous, avec de terrible Hallebarde à trois têtes. Le marchand de tonneaux contourne le Palais blanc et se retrouve dans la petit cour de la cuisine du palais. La cuisine est un grand ensemble comprenant la salle de préparation avec des paillasses et deux immenses cheminées dont une avec un tourne broche, Au centre il y deux grandes tables. Un escalier conduit vers les caves, les chais et la glacière. Un escaliers montant qui amène aux chambres du personnel. Une porte conduit aux déférentes pièces, pour entreposer les nombreux services et couverts aux armes de la famille Kohen. Et il y a la porte qui conduit soit à la grande salle, soit aux petits salons. Les mures sont couverts de casseroles en cuivre rutilantes et coté est il y a de grand fenêtres lumineuses. Le soir on descend du plafond un superbe lustre avec des lampes à huiles pour illuminer la cuisine.. Pour commander aux douze cuisiniers et aides, aux sept valets de pied, au sept dame de services et au sommelier, il y a Madame veuve Yellowïne Frangipäne, Maitresse Femme à la voix haute, qui a un léger faible pour un certain marchand de tonneaux……

Spoiler:

Voilà déjà presque une semaine qu'il se trouvait dans la cité d'Aldaria, Crissolorio bien entendu y était venu à l'origine à propos de la perle, cette dernière ne se trouvait plus à vrai dire dans la cité heureusement, enfin en somme il n'y avait que des raisons de se réjouir à ce sujet vu que c'était sa ville de naissance, et que sa fille y résidait, et qu'elle avait était sauvée de cette abomination du coup… Enfin en somme après avoir enquêter sur elle, et contribuer à la destruction cette perle, et avoir eu une discussion avec le capitaine de la garde le Grand Trésorier devait ensuite vérifier quelques petites choses, somme toute en résumé avoir une discussion avec quelques personnes hauts placés de la cité avant son départ prochain, autant en profiter pour allier l'utile, à l’agréable après tout….

Enfin dans tout les cas une fois ces quelques fioritures faîtes Crissolorio voulu tout d'abord aller se concerter au sujet de son départ très prochain puis il entendit au détour d'un couloir une rumeur qui l'intéressa fort… Un livre ? Qui parlait possiblement d'une petite partie illégitime de la lignée des Kohan se trouvait dans la bibliothèque depuis peu ? Crissolorio réfléchit quelques instants en entendant cela, c'était peut-être des racontar de vieilles femmes sur quelque chose d'improbable, une partie de la lignée des Kohan, même petite ne pouvait pas facilement être déclarée illégitime… Mais en y réfléchissant si ça devait être le cas ce genre de livre devait être très intéressant pour un ministre de l'information comme lui, de un cela lui permettrait de pouvoir faire pression sur un Kohan ce qui était quelque chose à sa manière très très prometteur pour quelqu'un comme Crissolorio s'il utilisait de la bonne manière, et dans tout les cas même si user de l'information n'était guère possible sur l'instant Ostiz y trouverait facilement un autre intérêt plus tard, dans tout les cas le savoir était le pouvoir dit-on, et Crissolorio ne dirait absolument pas non à un peu de pouvoir, surtout de ce genre là…

Crissolorio donc vêtu de son manteau de brume qui le rendait très peu visible entra dans la bibliothèque, il y avait le droit de toute manière, il préférait juste éviter que quiconque qui ne devrait pas le savoir devine qu'il était en pleine recherche d'informations, cela ne devrait pas être compliqué d'ailleurs. A force d'y avoir passé du temps des années auparavant la bibliothèque du palais ducale était presque familière au Grand Trésorier, en espérant que ses quelques recherches soient couronnés de succès.

Cymbale entre dans la grande cuisine qui bourdonne d'activité. Notre homme voit le sommelier Arturus Belamy, qui lui propose deux tonnelets d'alcool Myrtille et un fut de vin blanc de Gloria.
Ces récipients maintenant vide, ne sont pas consignés, ni reprit. Avec Arturus il descend aux chais. Ils arrivent dans la pièce, ou ce trouvent les trois barriques. Ils s’assoient, Monsieur Arturus, débouche une bouteille de Château Kohen, verse deux verres pour goutter........et la négociation commence. La deuxième bouteille est tous juste entamé, quand les deux hommes parviennent à un accore. Ils finissent la bouteille, il ne faut pas gâcher! Et les deux homme remonte dans la cuisine. Païlle range les tonneaux dans la carriole, sous le regard placide de Houblon, quand Madame veuve Yellowïne Frangipäne demande à Cymballe son avis sur ses rognons à la creme. le marchand de tonneau revien s'assoir à la grande table ou trone une assissette fument contenant les rognons... " - Asseyez vous la Monsieur Païlle, pour ce plat il faut enlevez le bout terreux de champignons, lavez-les à l'eau courante et coupez-les en morceaux. Faites chauffer un mélange d'huile et de beurre dans une poêle et mettez à cuire les champignons sur feu vif pendant 5 à 6 minutes en les remuant constamment. Egouttez-les et réservez. Mettez ldes échalotes finement hachées dans une casserole, ajoutez le thym, du sel, du poivre et versez le vin rouge. Amenez à ébullition, faites flamber et laissez réduire d'une bonne moitié. Pendant ce temps, dégraissez les rognons et coupez-les en morceaux réguliers. Faites les cuire dans une sauteuse contenant un mélange d'huile et de beurre pendant 6 à 7 minutes à feu moyen. Au bout de ce temps, enlevez les rognons et tenez-les au chaud. Jetez la graisse de cuisson et remplacez-la par la réduction du vin rouge. Amenez à ébullition puis hors du feu, incorporez l'équivalent de 3 noix de beurre par petits morceaux en remuant avec un fouet. Mettez les champignons et les rognons dans la sauce, laissez chauffer 30 secondes sans faire bouillir. Rectifiez l'assaisonnement si nécessaire et servez aussitôt en parsemant d'un peu de persil que vous aurez préalablement haché. Quand pensez vous?" Notre homme goute. C'est tres bon. " - Vos rognons sont une merveil...." " - Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii................" Un cri glacial provenant des étages des Maîtres et aussitôt des hommes dont Cymbale se précipice dans les escaliers, les cris viennent de la bibliothèque. Une soubrette leur montre assit dans une chaise le corps rependu sur un bureau, avec une dague sur son dos, de Monsieur Ambroise De Plantecloque...
le Secrétaire particulier du Duc Kohen.............

Crissolorio commenca ses investigations dans la bibliothèques, bien entendu la bibliothèque du palais ducal d'Aldaria était sans doute bien plus fournie que celle du palais ducal d'Elena, et c'était à la fois un bien, et assez embêtant. Un bien car on y trouvait de quoi lire, et embêtant car il prendrait bien plus de temps de retrouver un livre qui se trouvait dans cette bibliothèque, mais bon au moins les œuvres étaient classés d'une façon efficace, dans l'ordre alphabétique par rapport au titre de l’œuvre, et non de l'auteur, surtout que Crissolorio ne savait pas encore qui avait pu écrire ce fameux livre qui traitait sur cette partie soit disant illégitime de la lignée des Kohan.

Mais visiblement il semblerait qu'une autre priorité vienne lui poser problème. Crissolorio aperçoit quelque chose de fort inconvenant peu après être bien rentré dans la bibliothèque du palais, lorsqu'au même moment une femme non loin, une noble crie. Crissolorio en voyant cela baisse la capuche de son manteau de brume, et regarda attentivement la scène.

Le secrétaire du duc était assis sur une chaise avec une dague plantée dans son dos, pour le coup c'était très très inquiétant… Crissolorio détourna courtement les yeux en voyant le sang, mais visiblement ce n'est pas comme si il y avait une grande quantité de ce dernier, le Grand Trésorier hérisson qu'il est se rapproche de la scène, alors que des curieux avaient accouru en entendant le cri…

« D'après ce que je vois le sang semble encore frais. Il n'est pas mort depuis bien longtemps, même pas une heure, bien moins d'une demi-heure je dirais. » Il fit involontairement une éphémère moue de dégoût en voyant le sang, puis il regarda autre chose. Le secrétaire semblé occuper à traiter quelques dossiers sur son bureau.

« Que faisait-il avant d'être assassiné ? Est-ce que quelqu'un ici en a une idée ? » Déjà il commençait à réfléchir calmement, Crissolorio était un hérisson de totem, et les hérissons avaient un talent inné pour découvrir la vérité, et tout les secrets qu'ils désiraient connaître. Dans tout les cas ce que faisait le secrétaire était peut-être la raison de son meurtre, ou devait avoir un rapport avec. Crissolorio se gratta courtement le menton en réfléchissant, et conclut calmement.

« C'est bien le poignard qui l'a tué d'après ce que je vois, aucune autre blessure ne semble apparente de prime d'abord, la mort est récente, et le meurtrier n'est sûrement pas loin, je dirai donc que c'est quelqu'un qui est résident du palais, ou bien qui peux avoir accès à la bibliothèque qui l'a tué, de prime d'abord je dirai que sa mort pourrait avoir un lien avec ce qu'il faisait maintenant, ou bien…. Il faut que j'aille me renseigner sur la personne d'Ambroise de Pantecloque à l'occasion. » Cela serait sans doute utile.

Puis Crissolorio releva calmement la tête du mort pour pouvoir récupérer les livres, et dossiers sur lesquels ce dernier s'était effondré. Pendant qu'il y jetait un coup d’œil Crissolorio demanda à l'attention des curieux présents dans la bibliothèque.

« Pouvez vous me dire quand avez vous croisé la dernière fois la victime vivante? et ce que vous faisiez dans la dernière demi-heure? » Après tout autant commencer les choses sérieusement... S'il pouvait avoir deux, trois suspects, ou des informations intéressantes ce serait un très bon début à l'enquête qu'il avait décidé de mener à l'instant, le livre pourrait bien attendre, d'ailleurs l'intuition d'hérisson de Crissolorio lui sifflait inconsciemment que cette histoire avait un lien avec le livre qu'il cherchait, resterait à trouver en quoi.

Pour Cymbale, c'est la première fois qu'il pénètre dans cette partie du Palais. Il suit le garçon boucher Scréphéne Rohanien avec sa hachette et sa tenus blanche constellé detaches rouge sang, et Crissolorio-Stéphanos Dubonnet le très chic sommelier dans son uniforme noir.
Dans la pièce il y a un mort, légèrement mort,Une Dame et...... Monsieur Crissolorio Ostiz, encore lui! Cymbale se tait est écoute ce qui se passe....... Monsieur le radin parle, parle devant les gents du Palais médusées qui arrivent, de tous les étages, et ils commencent a remplir la bibliothèque. Le haut fonctionnaire discute sur le temps de coagulation du premier secrétaire, il pose des questions, mais Cymable s’aperçoit bien que peut à peut les gents bloquent la sortie et attendent quelques choses. Dans le grand escaliers d’apparat du Palais blanc on endentent une cavalcade et des cliquetis. Voici la personne que tous le monde attends, le silence se fait à l'arrivé du Capitaine Rudolfosse Palsangbleu, le Chef de la sécurité du palais….. Il arrive dans son uniforme blanc avec les les armoiries or de la branche Kohen d'Aldaria, il tient à la main la Flamberge d'or, signe de sa fonction . le Capitaine n'est pas seul, il est suivit de son ordonnance, son sonneur et de six hommes du pelotons d'intervention..... Maintenant Monsieur le Bavard se tait, et en même temps la foule se pousse laissant passer Le Capitaine Palsangbleu avec son arme qui brille de mille feux, la terrible, la flamboyante. Ses hommes sont en éventail autour de lui avec la hallebarde à trois lames, la sinistre Chauve Sourie.... Le Capitaine d'une voix forte et autoritaire parle :
" - Que se passe t'il donc ici...."
La Dame qui a découvert le corps se remet a crier..
" - Je suis rentrer dans la pièce, pour prendre le livre d'Or de la Baronne quand j'ai vu, Monsieur De Plantecloque baignant dans son sang sur sa table et dans la piece, il y avait ce Monsieur.........." Dit elle en désignant Monsieur Crissolorio Otiz.....!

Visiblement tout le monde semble médusé, Crissolorio ne peut qu'en être agacé, mais il pouvait facilement se douter qu'un meurtre choquerait facilement tout le monde, pour sa part il savait rester calme en toute circonstance, il suffisait juste d'attendre que la tension retombe pour pouvoir poursuive l'enquête sans grande difficulté. Crissolorio pendant que les gardes arrivaient observa la victime, visiblement cette dernière avait du être poignardé avec son propre poignard à ce que voyait Crissolorio, il avait fallut une certaine force pour planter de façon aussi ferme la poignard dans le dos de la victime, enfin pas une force d'enfant, le genre dont pouvait faire preuve un serviteur, Crissolorio, ou bien une demoiselle sous le coup de la panique.

Dans tout les cas le capitaine de la garde finit par arriver, Crissolorio le regarde calmement venir, eh bien visiblement il n'aura pas fallu longtemps pour que cette histoire de meurtre s'ébruite. Crissolorio pour sa part se disait que si l’assassin avait voulut faire plus discret il aurait mieux fait de poignarder le secrétaire dans un tout autre lieu. D'ailleurs au passage lorsque le capitaine de la garde demanda son avis à la dame Ostiz machinalement activa très discrètement le sort aura rassurante.

Alors que la dame le pointait du doigt Crissolorio restait parfaitement serein, tout cela pendant que son aura rassurante commençait à faire effet. Tout le monde hésita en le voyant accuser après tout il n'était rien d'autre que l'oreille impérial, le grand trésorier, et un conseiller de l'empereur qui plus est, sans doute la deuxième personne la plus influente de l'empire à l'heure actuelle après l'empereur en personne, l'accusait était un acte très grave en soit. Conscient de cela Crissolorio commença calmement à s'expliquer.

Je suis pour ma part à la recherche de ce fameux livre d'or, ce qui explique ma présence ici. Lorsque je suis entré en ces lieux je suis bien vite tombé sur la scène du crime, cette femme se tenait non loin à crier. Dit-il en regardant cette dernière. Avant d'enchaîner fin orateur qu'il était. Vous allez bien vite en accusation je trouve mademoiselle, m'avez-vous vu au moins poignardé la victime? Celle-ci fit non de la tête, Crissolorio enchaîna donc. De plus je ne vois pas quel intérêt j'aurais eu à tuer monsieur le secrétaire, je ne le connais aucunement, et si j'avais voulu le tuer j'aurai prit la peine de ne pas le faire ici, et aussi de donner ce travail à un subalterne pour ne pas que l'on me relie au meurtre. Pourquoi un homme de pouvoir comme moi m'embêterait à faire le sale travail moi-même? Déjà un solide argument qu'il avançait.

Avant d'achever ses premières explications d’une solidité digne de la pierre.

De plus j'ai la réputation d'être un homme pacifique, et non violent. Ma réputation n'est plus à faire par ici. Il était originaire de la cité, beaucoup avaient entendu parler de lui, et de plus il avait concouru il y a quelques jours à peine à détruire la perle. Il avait en somme une solide réputation publique à Aldaria qui jouait aussi en sa faveur. Et enfin je me répète, mais je n'ai aucune raison d'avoir tué monsieur le secrétaire. Et alors qu'il disait cela quelques gardes rentrèrent peu après dans la bibliothèque, cette fois-ci des visages connus du Grand Trésorier car c'était ses gardes du corps...

Messire Ostiz! Que se passe t-il? Crissolorio se contenta de dire calmement. Il y a eu un meurtre ici... Dans tout les cas pour l'instant il était inattaquable, cela il le savait bien, on ne pouvait pas aussi facilement accuser un proche de l'empereur comme lui. Restait à trouver le vrai coupable car déjà les regards accusateurs commençaient à se tourner pour une belle partie en direction de la demoiselle. Les gardes du Grand Trésorier semblaient de joindre au mouvement, pendant que ce dernier réfléchissait.

[Défensif] Aura rassurante
Permet d'émettre une aura rassurante invisible mais aux effets bien réels. Très efficace sur les animaux, efficace sur les bipèdes (et dragons) uniquement si leur force mentale est inférieure à celle du lanceur. 

Geste clé : écarter légèrement les mains l'une de l'autre, ce geste clé peut se faire de manière très discrète

Cymbale ne comprend pas le jeux de Monsieur Ostiz, il est en train de mettre en jeux l'autorité du Capitaine Palsangbleu, chez lui. Et ce qui devait arriver arrive .. Le Capitaine parle en signe militaire rapide et aussitôt tous les gardes du corps ainsi que le Haut fonctionnaire descend de haut. Les Chausses Souries des gardes blancs neutralises ces Étrangers, seulement invité dans le Palais Bleu. Le Capitaine prend la parole d'une voix forte et majestueuse, " - Monsieur Otiz, je sais qui vous êtes, mais je ne tolère pas que vous obusier de la magie, que vous preniez ma place, ce sont mes prérogatives. Mettez-moi cela au frais, je viendrais les interroger plus tard.
Les gardes du corps ne peuvent intervenir. Surtout qu’un autre détachement de gardes blanc arrive à son tour.
Le groupe de gardes et de prisonniers part. Les gents comprenant qu’ils ont été manipulés par la magie regarde partir le haut fonctionnaire avec un regard hostile.


" - Maintenant sortez tous le mondes sauf les premières arrivé et si une personne à remarqué quelles choses. " La foule se disperse très vite.

Cymbale allait partir quand Crissolorio-Stéphanos Dubonnet le sommelier, le retiens. " - Nous sommes arrivé tous les trois en même temps dans la pièce , Capitaine, c’est Cymbale le marchand de tonneaux." Cymbale reste dans la bibliothèque avec ses deux acolytes ansi que la Dame, Le capitaine, son ordonnance, et deux gardes.

" - Bien Madame Guertrudie qui y avait il dans la pièce et ou ce trouvaient ‘ils….." Cymbale est designer pour prendre la place de Monsieur Ostiz dans cette reconstitution…..Consciencieusement le capitaine tourne autour de la piece, il note l’heure approximatif, le temps qu’il fait et l’éclairage, ensuite il regarde toutes les ouvertures de la pièce, les fenêtrés et la porte du petit cabinet qui conduit dans le couloir des gens de maison. Il demandent confirmation au petit groupe de Cymbale
Puis ceci fait Le Capitaine regarde le corps du premier secrétaire, regarde la température du corps. Déterminant l'heure de la mort.
Il demande alors aux trois hommes de démonter une porte, de poser le corps dessus et de descendre le corps dans la glacier……..Les trois hommes soulève le corps et Cymbale voit qu’une foi le corps retiré du bureau le Capitaine regarde les documents étalé dessus……

Cymbale descend avec les deux autres hommes et un garde le corps du secrétaire. Mais qu’elle est ce livre en or, dont t’à parler le grand Trésorerier pense Tobold.......

Bah il était vrai que la réaction de Crissolorio n'avait sans doute pas été très franc jeu pour le capitaine, mais il fallait bien le comprendre. Il n'avait vraiment pas envie de perdre de temps avec une histoire de meurtre, il voulait dès qu'il aurait récupérer le livre rentrer à Gloria au plus vite pour être présent au retour prochain de l'empereur, et cela ferait jaser s'il était absent au retour de sa majesté parce qu'il était soupçonné pour une affaire de meurtre. Enfin cela il pourrait en parlait de toute manière en temps voulu, il se contenta donc de hausser les épaules, et il ne protesta pas plus lorsqu'il fut emmené avec ses gardes en cellule.

Dans tout les cas il n'a pas pour sa part pas spécialement de raisons de se plaindre à part l'accusation de meurtre totalement idiote, sa cellule était fort luxueuse pour une cellule, enfin il pouvait bien y attendre quelques heures, il n'y avait bien entendu rien pour s'échapper concrètement là où il se trouvait, mais juste de quoi s'occuper, et attendre. Une petite bibliothèque, un lit, et une table. Une cellule de noble, ou de haut fonctionnaire en somme, les gens du petit peuple n'avaient certainement pas le droit aux même égards, mais bon malgré cette constatation cynique Crissolorio n'allait pas se plaindre de ses privilèges.

Il profita donc des quelques heures qui lui étaient offertes pour réfléchir calmement à sa situation, il était certain qu'il pourrait sans sortir sans guère de difficultés avec ses soutiens, et si possible en tant que ministre de l'information il pourrait trouver une combine, et si vraiment il n'avait pas de chance il n'aurait sans doute pas une peine excessive pour le crime qu'il n'avait pas commit. Enfin il n'avait pas envie d'être condamné pour en être vraiment sûr, son objectif prioritaire néanmoins était d'en finir vite, il s'était bien trop attardé à Aldaria, il ne pouvait pas de permettre que cette histoire dure plus de 1-2-3 jours au pire... Enfin pour le moment il devait attendre que le capitaine vienne l'interroger, il savait déjà ce qu'il dirait a peu près. Enfin dans tout les cas il faudrait qu'il se renseigner sur cette histoire, après tout il vaudrait mieux qu'il sache les tenants, et aboutissants de toute ceci.

Cymbal et les trois hommes descendent dans les profondeurs du palais en transportant le corps Monsieur De Plantecloque, sur une porte. Ils atteignent la glacière, cet endroit est en sous sol, et communique par une trappe avec l’extérieur. En hiver quand il neige on ouvre la trappe et on verse de la neige, qui compacter ce conserve longtemps, ainsi que les certains aliments que l'on veux conserver. Cette pièce reste froide même en été. Parfois on place dans cette endroit un corps pour le conserver un jour ou deux, pour l'étudier.
Le Capitaine leur avait demandé de déshabiller le corps avant de quitter cette pièce. Comme personne ne veut le faire, Païlle se propose de réaliser cette corvée. Crissolorio-Stéphanos Dubonnet et Scréphéne Rohanien l'abandonne et il ne reste plus que le garde qui se tient à la porte. Notre homme commence par prendre la dague en prenant la précaution de ne effacer et essuyer le sang qui est sur la garde. Cymbale regarde la dague et voit une belle empreinte dessus... Empreinte laissé par l'assassin avec du sang coagulé.
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La porte de la cellule s'ouvre et Capitaine Rudolfosse Palsangbleu entre avec Cymbale qui porte un plateau. La porte est refermé. Sur le plateau il y a un ramequin contenant une portion du plat de rognions de Madame Yellowïne Frangipäne. Il y a aussi un flacon d'encre, une feuille de papier, un mouchoir et un coffret fermé. " - Avant de manger Monsieur Ostiz, vous allez devoir vous soumettre à une petite formalité,........"
Cymbale prend le mouchoir et l'imbibe d'encre, puis tapote les mains du haut fonctionnaire, puis demande de les appliquer sur la feuille. Ceci fait pendant que le Trésorier s’essuie les mains, puis mange la portion de rognions, le capitaine sort la dague du coffret et regarde si les trace de la feuille correspond avec celle sur l'arme. Au bout d'un moment il dit, " - Vos traces ne se trouve pas sur l'arme Monsieur Ostiz, Vous êtes libres."

Finalement Crissolorio finit par avoir de la visite au bout d'un certain temps comme il s'y attendait, en tout le capitaine, et un vieil homme qui disait étrangement quelque chose à Crissolorio sans que ce dernier puisse encore mettre le doigt dessus arrivèrent dans la cellule du Grand trésorier. Ils apportèrent avec eux un plateau contenant un repas mangeable on allait dire, un flacon d'encre, une feuille de papier, un coffre, et et un mouchoir, sans doute que ces derniers éléments n'étaient pas destinés à l’alimentation d'Ostiz.

« Bien entendu. » Se contenta t-il de dire calmement à la demande du capitaine, il savait de toute manière qu'il était innocent, si cela avait un rapport avec l'enquête cela prouverait sans doute qu'il n'était aucunement en défaut, sinon il aurait un réel problème à résoudre. Crissolorio tendit donc sa main pour se faire appliquer de l'encre dessus, et posa celle-ci sur la feuille avant ensuite de nettoyer sa main. Pour prendre son repas en attendant que le capitaine ait finit sa petite inspection, comme il s'y attendait d'une certaine manière ce ne sont pas ses traces sur la dague, enfin après il aurait été possible que ce soit le cas, mais Ostiz n'avait pas l'impression que l'assassin ait sur l'instant calculé ce genre de détail-ci, ou bien ait compté à l'origine le faire accuser lui par un faussement de preuve par la magie par exemple.

« Bien. » Bien entendu il lui était offert le droit de choisir s'il glisserait un mot à l'empereur à propos de cette histoire, il valait donc mieux que le capitaine ne vienne pas trop à l'enquiquiner par la suite s'il ne voulait pas avoir son avancement bloqué pour les 20 prochaines années… De même que son salaire. D'ailleurs il se permit de poser une question calmement avant de sortir de sa cellule.

« Sinon si vous me permettez de le demander, sur qui avez vous des soupçons maintenant ? . » Après tout c'était lui qui avait faillit se faire condamner à la place de l'assassin, enfin après ce dernier ne semblait pas avoir eu en tête visiblement de faire condamner quelqu'un à sa place sinon il aurait prit davantage de précaution. C'était plus par but d'information qu'autre chose au final, s'il entendait le nom de la dame parmi le suspect les choses lui paraitraient bien saugrenues.

Enfin dans tout les cas qu'il ait eu sa réponse, ou non Crissolorio en conclut que cette histoire de crime ne le regardait pas trop pour le moment, il restait qu'il avait entendu parler du fameux livre sur la famille Kohan, et il était résolu à aller chercher ce dernier… Quoique étrangement il avait l'impression que cela avait un rapport avec tout ceci, mais ce n'était qu'une intuition, et il ne fallait pas se fier entièrement à une intuition. Dans tout les cas il avait entendu dire que la dame qui l'avait accusé tout à l'heure cherchait le livre elle aussi, il allait donc faire un tour à la bibliothèque, s'il ne trouvait pas le livre il tâcherait de voir si c'était elle qui l'avait récupéré. Il ne fallait pas perdre le nord après tout.

" - Non, Grand Trésorier Ostiz, pour le moment j’élimine toutes les personnes qui étaient présentes autour de la bibliothèque, par cette méthode curieuse de trace de doigts que ma montrer Monsieur Païlle, ce qui ma permis aussi d’éliminer Madame Guertrudie. Vous êtes libre ainsi que vos hommes, et comme le meurtre nous le montre si bien Haut fonctionnaire, des étrangers circulent impunément dans le Palais. Vos gardes du corps ne sont plus autorisé à entrers dans le Palais pour des mesures de sécurités, et quand vous viendrez nous rendre visite au palais, un garde Blancs vous guidera pour votre protection." Le Capitaine Palsangbleu qui la pièce en disant " - Serviteur!"
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De son coté Cymbale a fini par rejoindre Crissolorio-Stéphanos Dubonnet le très chic sommelier dans son uniforme noir, notre homme achète les tonneaux qu'on lui propose, les mets sur sa charrette et part vers sa maison après avoir dit au revoir à toutes les personnes
dans la cuisine et surtout finir les rognions de Madame Yellowïne Frangipäne, que la chef a fait réchauffer...Il rentre dans sa maison, libère son poney dans le jardin. Il décharge les tonneaux, et les laves, puis les mets à sécher. Il rentre dans sa maison, et ouvre sa boutique.
Comme les clients ne se pressent pas, il sort sa comptabilité, et se met à travailler. Il cherche son couteau, pour tailler sa plume d'oie, et c'est à ce moment qu'il ressort le petit bout de papier blanc qu'il avait trouvé serré dans la mains du premier secrétaire Monsieur De Plantecloque, lorsque il avait déshabillé le corps..... Ce papier qui n’offre aucun intérêt, puisqu'il est blanc, mais pourquoi, si il est sans importance, pourquoi l'avait'il dans les mains? Il regarde encore une fois le papier... Il est blanc, pas de marque ... et si c’était écrit avec du Citron. Cymbale vas chercher une bougie, l'allume avec son briquet amadous et passe le papier à la flamme.... Et c'est alors qu'il appariait sur la feuille quelques chose E3, P4, 22!

Donc il n'y avait pas encore de suspect valable pour cette affaire, et pas la dame, ni quelqu'un d'autre. Ok au moins ils y avaient des suspects en moins, on n'avait pas encore une idée de qui pouvait être vraiment l'assassin, mais il n'était pas plus mal non plus de savoir déjà qui pouvait être considérer comme innocent. Par contre ce qui le contrariait légèrement c'est qu'il devait se passer de ses gardes du corps dans le palais pour son court séjour ici… Mmmh ce n'était pas trop grave finalement surtout qu'on lui laissait l'autorisation d'avoir un garde blanc avec lui, et surtout de pouvoir continuer à traîner dans le palais s'il le désirait, après tout ce n'est pas tout, mais il n'en avait pas finit avec cette histoire de bouquin, après tout Crissolorio ne perdait sûrement pas de vue l'essentiel.

Il se rendit donc de ce pas à la bibliothèque du palais blanc, visiblement le palais était un peu plus calme suite à cette affaire ce qui était compréhensible après tout, mais il ne doutait aucunement que la tension finirait par retomber bientôt. Après tout ce n'est pas vraiment comme si les scandales n'étaient pas coutumes à force, pour sa part il arriva à la bibliothèque.

Après quelques recherches finalement il n'arriva pas à trouver ce qu'il cherchait, étrangement cela ne l'étonnait aucunement, allez savoir ! C'était bien le genre de chose qui ne vous tombez pas tout prêt dans le bec, surtout qu'il n'était pas le seul à le chercher à ce qu'il savait, si cela se trouve la dame qui l'avait accusé tout à l'heure après tout cette dernière avait eu quartier libre sans doute contrairement à lui... Humm est-ce que ce serait une bonne idée d'aller directement lui demander le livre? Crissolorio en doutait surtout qu'il n'était sûr de rien, par contre ce qu'il savait c'est qu'avant d'emprunter un livre il fallait faire part de l'emprunt à l'archiviste charger de la gestion de la bibliothèque, il alla donc demander à ce dernier si quelqu'un avait emprunté ce livre ici, sinon eh bien cela voudrait dire que soit on avait voler le livre, ou bien soit on avait "omis" de prévenir de l'emprunt ce qui revenait à la même chose...

Et au passage il eu une pensée pour les documents en possession du morts de ce matin, il y avait peut-être un léger rapport avec ce qu'il cherchait, même si à bien y réfléchir il ne pouvait aucunement en être sûr.

E3, P4, 22 cela a t'il un sens. Il ne peu pas retourner au palais blanc... ce n'est possible, aujourd'hui. Dans quelques jours oui, il pourra y retourner, et il trouvera bien un prétexte pour aller à droite ou à gauche...... E3, P4, 22. Notre homme pense, réfléchit, il y a une autre bibliothèque a Adaria, il y a la bibliothèque des ArcanesIl est quinze heure et il n'a pas de client. Il devrait faire un tour dans cette bibliothèque. Peut être trouvera il une piste?
Il ferme sa boutique. Il s'occupe de Houblon, puis Cymbale d'un bon pas va dans cette grande bibliothèque. Il y a déjà été plusieurs fois, pour consulter des livres de géologies et de géographie, il a même lu un livre ou on disait que le soleil tourne autour d'Armanda. Et un autre qu'Armanda est plate, alors qu'il suffit, comme la si bien démontré son vieux Maitre Katfaïel de regarder l'ombre d'Armanda sur la lune lors d'une Eclipse de lune pour constater que nous sommes sur une boule.
Il rentre dans la bibliothèque, ou des mages travails, on lui demande ce qu'il veut consulter...? Cymbale répond qu'il voudrais voir des livres sur Aldaria. Le bibliothécaire lui répond qu'il aille voir la salle des cartes.
La salle des cartes, et une longue pièce, avec six grandes tables chargées de livres et de cartes, de boussoles, et de compas, d'astrolabes et de pendules, de lunettes et globes. La pièce est inondé de lumière par quatre grandes fenêtres, coté sud, et coté nord sur deux nivaux se trouvent les étagères, remplit de livres, des cahiers, et des curiosités, des tableaux, des herbiers, glanés le long des siècles sur ce continent, il voit une corne de licorne, des coquillages, des instruments divers et varié...... C'est a ce moment, que Cymbale reperd que chaque étagères possèdent une lettre suivit d'un chiffre .....U1, U2........Vite notre homme se dirige vers la partie ou ce trouve les E....... Ha! E6, E5, E4, E3,....... il voit que chaque étagères portes des plateaux numérotés de bas vers le haut, Plateau quatre... oui c'est cela! P4, et 22 le vingt deuxième livre du plateau quatre de l’étagère E3, mais le problème est qu'il n'y a pas de livre n°22, il y a un emplacement vide.
Cymbale regarde si il y a de la poussière sur l’étagère? non l’emprunt est très récent. Il regarde les titres des livres de cette planche, rien que des livres sur la famille Cohen. Il cherche un bibliothécaire et il demande si on peut savoir qui et quand a été emprunté le livre E3, P4, 22!
L'appariteur très fière le conduit devant le grand livre de grand livre de prêts et dit que "Si Cohen m'était compté" à été emprunté par monsieur Crissolorio Ostiz il y a à peine une heure.

Finalement il n'y avait pas le fameux livre qu'il cherchait dans la bibliothèque du palais comme il le pensait, le bibliothécaire d'ailleurs fut bien incapable de lui dire qui avait emprunté le live, juste que ce dernier se trouvait soit disant dans la bibliothèques des arcanes... Soit! Il avait une piste au moins, et il s'y rendit donc de ce pas en compagnie du garde blanc qui était assigné à sa protection pour son séjour à Aldaria.

Crissolorio se rendit donc auprès du bibliothécaire de la bibliothèque des arcanes qui visiblement était occupé avec un vieil homme, celui qui avait un air familier pour Crissolorio, enfin familier, il l'avait déjà vu autre part… Crissolorio avait une bonne mémoire, il se rappelait facilement des personnes qui l'avaient un minimum marqué, mais là il ne fit pas tout de suite le déclic que ce soit parce que ça ne devait pas vraiment être important sur l'instant, et puis surtout il avait l'esprit accaparé par autre chose en plus du fait que l'autre vieillard avait plus un air de ressemblance avec quelqu'un qu'il connaissait qu'autre chose, autant donc ne pas perdre son temps avec ça.

Crissolorio alpagua donc le bibliothécaire, et demanda à celui-ci si quelqu'un avait emprunté le livre qu'il cherchait, le bibliothécaire lui fit des gros yeux avant de lui répondre un peu surprit.

« mais messire Ostiz… C'est vous qui l'avez emprunté il y a une heure ? » Crissolorio sentait que tout ceci était louche, il n'était pas encore sénile au point quand même d'avoir oublié ce qu'il avait fait il y a une heure tout de même ? Non il n'était pas sénile du tout dans tout les cas pendant qu'il commençait à réfléchir calmement il dit.

« Non je sais bien où j'étais il y a une heure de cela, êtes vous vraiment sûr de m'avoir vu en personne emprunter ce livre ? » L'homme confirma que oui il l'avait vu en personne, Crissolorio imagina donc trois possibilités, soit quelqu'un qui lui ressemblait beaucoup était venu prendre le livre en usurpant son identité, mais c'était un peu trop simple comme conclusion, soit quelqu'un avait usé de magie, ou bien avait utilisé son cristal de métamorphose pour prendre son apparence, mais dans ce dernier cas il fallait généralement quelques gouttes de sang de la personne à qui l'on souhaitait voler l’apparence, en somme cela limitait un peu le nombre de personnes à avoir pu fait cela vu qu'il n'aimait pas saigner, et tâcher d'éviter ce genre de cas de figure, en somme il restait que cette histoire était louche.

« Eh bien non je n'ai pas emprunté ce livre avant, je viens d'ailleurs pour cela, ce garde blanc peux vous confirmer qu'il y a une heure je n'étais pas venu faire un emprunt à cette bibliothèque. Une personne a pu peut-être se faire passer pour moi pour user de mon identité pour faire l'emprunt qui sait... » Le garde au passage acquiesça au fait que Crissolorio n'était pas ici il y a une heure, Crissolorio qui avait donc démontré que l'affaire restait louche demanda si la personne qui s'était fait passé pour lui avait pu mentionner entre autre où elle comptait aller, ce qu'elle comptait faire, et si elle avait était accompagné de qui que ce soit au passage. Il n'appréciait pas après tout qu'on fasse des choses sous couvert de son apparence...

[Hrp : je suis partit du principe que ce n'était pas Crissolorio en vrai qui avait emprunté le livre. Tu me dira si j'ai bien, ou mal interprété^^.]

" - Ha! Monsieur Crissolorio Otiz? Vous dite ! Ce Monssieur est venue prendre ce livre? Ce grand Monsieur de 1,80 mètre……. Non plus petit, Ha ? Et vous dites qu’il avait une balafre en forme de demis cercle sur la joue droite. Mais peut être pourriez vous me dire qu'elles sont les dernières personnes à avoir consulté ce livre?"
L’appariteur non musclé, regarde Cymbale, puis se plonge dans le grand livre ou sont notés les emprunteurs.
" - récemment, il n'y a que le secrétaire particulier du Duc, Monsieur De Plantecloque. Il l'a consulté pendant un moment hier, Il était assit à la grande table là-bas, il a pendant longtemps travaillé, mais semblait très déçus en le rendant. Sinon il n’a pas été emprunté depuis cinq ans. Serviteur Monsieur!"

Cymbale ne sait quoi faire, partir? Non, il se dirige vers la table que lui a signalée l'appariteur. Notre homme fait le tour du meuble sur laquelle se trouvent des ouvrages très précieux : le grand livre de l'intérieur contenant des gravures de dissections d’êtres et d’animaux étranges, un herbier contenant des plantes séchées du désert d'Esfélia, le grand Portolan d'Armanda avec des routes maritimes et ses monstres dessinées, il y a aussi le Codex Mérythinium écrit dans une langue complètement inconnue, aux sujets incompréhensible et merveilleusement ésotériques. Il y a aussi …c'est alors qu'il remarque quelque chose non pas sur la table, mais sous la table. Il y a une poubelle, et dans la poubelle il y a des morceaux de parchemins déchirés. Cymbale sort les petits morceaux, les répands sur la table, et patiemment commence à les rassembler. Mais cela est dur car le parchemin a été écrit des deux cotés. A première vu c'est une liste de noms d'hommes et de femmes. Peut a peut il arrive à rassembler une pertite partie, mais il y aussi à coté des tous ces gents, la couleur de leurs yeux. Pourquoi la couleur de leurs yeux?

Mais la bibliothèque des Arcanes va fermer. Dans quoi mettre ce que Païlle a déjà assemblé, il arrache discrètement une page du "Grand Albertus" ce livre si merveilleusement enluminé, aux gravures si délicates et si rare, dessinées par le grand Albertus Durer. Et Cymbale rentre vers sa maison on se demandant ce que cherchait le secrétaire du Duc ...... Kohen. La listes de noms et pourquoi la couleur des yeux, et pourquoi avoir déchiré ce document? Cela a-t-il un rapport avec l’assassina ?

La bibliothèque allait bientôt fermer, pas de piste solide. Cela l'agaçait, mais il réfléchissait déjà à comment faire… Un hérisson comme lui ne se ferait pas mystifier aussi facilement après tout, il faudrait juste réfléchir à deux trois choses. Et surtout ne pas partir sur une fausse piste car il n'allait pas non plus rester trop longtemps ici, s'il partait dans une semaine, et qu'il manquait le retour de l'empereur à Gloria cela ferait très mauvais genre avec son poste de Grand Trésorier, et de conseiller.

Un lien avec le meurtre ? C'était une supposition qu'il avait parmi tant d'autres, mais si le livre avait un lien avec le meurtre de quel genre était-il ? Avait-on tué pour voler le livre ? Ou bien tué à cause du livre ? Dans tout les cas Crissolorio en conclut que s'il trouvait le livre, ou perçait à jour le secret de ce meurtre il découvrirait vite la vérité sur l'ensemble. Mais bon cela ne rendait pas pour autant la tâche simple, surtout que l'autre capitaine ne le laisserait pas facilement mettre son nez dans cette affaire… Pfff ! Il était ministre de l'information ! S'il voulait savoir quelque chose il n'avait qu'a demandé à quelques unes des personnes de son autorité, ce ne sera pas immédiat, mais cela l'aidera.

Crissolorio alla donc faire ce qui était logique de faire, l'état avait des informateurs que ce soit parmi la pègre donc les informateurs officieux, ou les agents du ministère répandus dans tout l'empire y compris dans Aldaria. Crissolorio alla donc rendre visite à quelques responsables à ministère installés à Aldaria, histoire de demander quelques services, ceci fait. Il alla rendre visite à quelques agents plus officieux du ministère. Il était sûr qu'ainsi il pourrait obtenir quelques informations, et surtout des noms d'éventuels suspects dans cette histoire… Il était fou de savoir ce que l'on pouvait apprendre si on demandait aux bonnes personnes, et si on promettait à ces derniers une petite contribution, il n'aimait pas dépenser son argent, mais il ne faisait aucun doute que pour ce livre c'était un juste investissement. En tout cas si c'était une maraud de la pègre locale qui avait subtilisé ce dernier il y avait de la chance qu'il en soit vite informé… il pouvait donc se concentrer sur les recherches sur les personnes de meilleures fréquentations.

Cymbale Paille arrive dans sa maison en passant par le jardin, il s’occupe de Houblon, se prepara à manger. : Un Jarret de veau confit aux épices

Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 240 minutes

Ingrédients (pour Cymbale) :
- 1 kg de jarret de veau marin de Lyssa
- 2 gros os à moelle plein de moelle
- 6 pommes de Glacen
- 3 oignons d'Altaïa
- 1 gousse d'ail
- 2 cuillères en bois de miel de mouche à miel
- 1 cuillère en bois de vinaigre Vampirique
- 1 cuillère en bois de cumin
- 1 cuillère en bois d’Aldaria
- 1/2 cuillère en bois de noix muscade
- 1/2 cuillère en bois de piment
- 1,5 l de fond de veau
- sel poivre

Indispensable.... une cuillère en bois.

Préparation de la recette :

Prendre 1 jarret ficelé en rôti ou coupé en morceaux. Le faire revenir dans une cocotte en fonte avec un fond d'huile d'olive. Quand il est bien doré le retirer de la cocotte. Vider l'huile de la cocotte, bien l'essuyer et recommencer l'opération en faisant revenir 1 oignon émincé et une gousse d'ail pendant 3 min, puis ajouter le miel, les épices, le vinaigre, bien mélanger pendant 2 min et enfin, mettre la viande, l'os à moelle, les pommes épluchées coupées en 2. Recouvrir avec le fond de veau, saler et poivrer. Couvrir et mettre la cocotte au four à 150°C pendant 4 heures. Une fois la cocotte dans le four, ne plus s'en occuper...avant de manger avec un chablis d'Altäïä

Pendant que cela cuit, notre homme s’installe à son bureau constitué de deux tonneaux et d’une planche, il allume une bougie et continu le puzzle…Trois heurs plus tard il a finie, sur la page devant lui se trouve la liste de noms, interminable avec la couleurs des yeux, avec grande patience, prenant pièce du Puzzle par pièce il retourne la feuille, il approche la flamme de la bougie, toujours la liste…mais en fin de page, Il lit quelque mot, "Non Je n’y arrive pas, il y a trop d’incohérence"…….Il déchiffre difficilement la dernière phrase…… "Par le nom de la Rose, tous doit être dans le troisième livre !"

Il ne tarda pas vite d'arriver le moment où Crissolorio dû rentrer au palais pour ne pas tarder trop longtemps le soir dans les rues pas forcément bien famés d'Aldaria, même dans le quartier riche il n'était pas forcément une bonne idée d'être dehors trop longtemps le soir. Enfin pour sa part il décida d'en profiter pour faire un petit tour rapide du palais, et demander si cela était possible où en était l'avancée de l'enquête, non il n'irait pas demander personnellement au capitaine car après tout il ne valait mieux pas ainsi déranger ce dernier dans sa tâche. Mais il demanda à quelques personnes pouvant l'informé dans le palais blanc, de cela entre autre, et des affaires qui agitaient le palais blanc depuis l'histoire de la perle. Et entre autre du reste, pas qu'il n'aurait pas pu perdre son temps à fréquenter une bonne semaine la cour de ce palais-ci, mais franchement il n'en avait pas envie, et avait bien mieux à faire. Il n'allait pas faire comme à Althaïa où il était resté deux bon mois d'affilés au moins, là-bas il avait été justifié de se faire une place dans la cour pour pouvoir garder un œil sur le duc en tant que ministre de l'information…

Bon d'ailleurs après s'être renseigné sur l'enquête, et avoir réuni le nom des quelques suspects potentiels Crissolorio réfléchit à s'il ne serait pas une mauvaise idée de s'informer sur la personne qui avait été victime de cet odieux assassinat. Sans doute cela avait un lien avec cet histoire, affaire qui avait un lien avec le bouquin qu'il cherchait. Par son hérisson il lui tardait déjà d'en avoir finit avec ceci pour pouvoir avoir une certaine force de frappe en main grâce à ce fameux bouquin. Quelque chose qui lui serait fort utile pour plus tard.

Il s'occupa donc avant qu'il ne soit trop tard de s'informer de son mieux sur le secrétaire, certains de trouver certaines informations intéressantes au pire, et au mieux d'avoir en main des noms de personne qui auraient pu vouloir sa mort... Une bonne piste pour sa petite enquête.

AApres avoir mangé sont Jarret de veau confit aux épices, sans laisser sa part au pauvre, fait la vaisselle, rentrer dans sa stèle Houblon, Païlle va dans sa chambre, se coucher et réfléchir.....
Un crime, Monsieur Crissoloroi Otsiz ,une mystérieuse référence, un livre disparue, une liste de nom ou domine le nom des Kohens, la couleur des yeux des gents de cette liste, cette dernière piste qui semble être une impasse et maintenant un troisième livre.
Tout cela est bizarre, sans queue ni tête. Pourtant un homme est mort. Monsieur Ambroise De Plantecloque, le Secrétaire particulier du Duc Kohen.
Que faisait le Grand Argentier, là, que faisait comme recherche le Secrétaire Particulier ? Et le troisième livre, que pouvait être ce troisième livre. Son vieux Maître Katfïell lui avait parlé de cette étrange coutume de relier entre eu des livres parfois fort différents, et seule le premier livre était alors noté dans le registre de la bibliothèque, et les autres bien qu’étant plus important étaient passé sous silence. Katfaïel lui avait dit que c'était une façon de faire disparaître certain livre, jugé dangereux, par la bibliothèque, tous en conservant le livre.
Demain Cymbal Paille pense retourner à la grande bibliothèque des Arcades. Il faudra se renseigner et sur le livre, et sur le bibliothécaire.
Notre homme se renseignera aussi sur cette étrange liste et cette histoire de couleurs des yeux. Kaïtfaïel aura sur pourquoi, les petits poids, biens sur les petits, son vieux Maître lui avait parlé des théories de ce moine Mendel et de ses petits poids hybrides. La couleur des yeux biens sur. Notre homme ce donne des baffes et se lève et va étudier cette fameuse liste….Effectivement la liste est une impasse.
Trops de personne ayant des couleurs d’yeux inconnus pour savoir si la suite de la famille de la famille Kohen est légitime ou non ! Mais cela permet à Cymbale de comprendre une chose, il en vat peut être de la légitimité de la famille Kohen dans cette histoire, mais il faut trouver « Si la famille Kohen m’était compté », et lire le troisième livre.

De ce qu'il apprit le secrétaire n'était pas vraiment le genre d'hommes à avoir des ennemis finalement, ou en tout cas pas au point de vouloir sa mort… Il était donc clair que cela avait un rapport avec… Eh bien avec le livre en somme, un livre qui devait être en plusieurs volumes sans doute comme beaucoup de bouquins de cette taille. Le problème restait à trouver l'un de ces volumes avec quelques rares pistes d'enquêtes dont par exemple le nom de quelques personnes qui auraient pu exécuter l'assassinat, ce que pouvez parier Crissolorio par contre. C'est que si la personne qui voulait le livre avait voulu par exemple protéger sa véracité de Kohan, eh bien elle aurait les moyens d'engager un assassin, et n'aurait probablement pas fait le travail elle-même… Assassin… Et les assassins étaient rarement le genre d'hommes qui ne succombaient pas à une bourse bien remplie, il orienta donc les recherches de ce côté.

Et le dit assassin ne se signala pas au bout d'une journée, par contre il apprit qu'un homme connut par les services secrets pour être membre du souffle était mort hier à peine, en même temps qu'un serviteur du palais avait disparut, coïncidence… Voilà une piste qui semblait intéressante sans nul doute, il ne mit pas longtemps à obtenir l'adresse du lieu de résidence de cet homme à Aldaria . Bien entendu dans un quartier louche, raison pour laquelle le Grand Trésorier s'y rendit en usant de sa tunique Diaphanum pour que personne ne le voie parmi les habitants d'un tel endroit.

Il entreprit donc de fouiller l'endroit par lui-même, s'il avait de la chance il devait bien rester un élément quelconque pour l'orienter, ce genre d'homme devait bien cacher quelques petites choses après tout… Dans un endroit que personne ne connaît à part lui, endroit que Crissolorio finit par découvrir. Heureusement qu'il avait son totem pour l'aider, mais il finit par trouver la chose, il suffisait de tirer le lit de la chambre de l'homme, et d'enfoncer une planche pour trouver un passage vers une sorte de cave… Lui-même était habitué de ce genre de tactique pour cacher ses coffrets remplis de pièces chez lui...

Enfin dans tout les cas dans ce passage après une courte fouille il trouva une série de document, après les avoir regarder il semblerait visiblement que ce soit des lettres, des contrats où autre documents ayant rapport avec le travail de l'assassin, mentionnant ses clients pour certains… L'homme visiblement semblait bien se tenir à jour, dommage qu'il n'ait pas mit les dates sur ces lettres car cela obligerait Crissolorio à faire un travail de déduction, et d'élimination avec une liste de suspects potentiels qui serait moyennement fournie tout de même.

Enfin ceci fait il n'insista pas à rester ici car il n'était pas bon de rester trop longtemps dans ce genre de quartier, surtout que vu que l'homme était mort il pourrait venir à l'idée à quelques malfrats de bientôt venir piller sa demeure.

Cymbale Païlle va de bon matin à la bibliothèque des Arcanes, après s’être occupé de son poney et de sa boutique. L’heure d’ouverture au publique est de dix heure et il y a peut de monde. Notre homme se promène dans les couloirs de l’immense bâtiment après être passé par l’accueille.
Notre homme passe par le jardin au simple voir les plantes médicinales entretenus pas les Mages des Arcanes. Il finit dans ce labyrinthe à parvenir à la bibliothèque ou il se trouvait hier, vu l’heure matinal, il n’y a qu’un bibliothécaire à l’accueille de la grande pièce. Ce n’est pas le même que celui de la veille, qui tient le registre des entrées et sortie. Notre homme tente sa chance et demande si le livre «Si Kohen m’était compté.» est revenu. L’homme regarde dans ce registre, suivant les lignes avec son doigt. Il trouve la publication demandé, sur le grand livre et a les sourcils qui montre une petite surprise, et répond en final " - Non ! " Cymbale demande si c'est bien Monsieur Hyppolite Caldech qui a ce document ? Le bibliothécaire répond par la l'affirmation, avec un grand sourire.
" - C’est pas grave, je reviendrais un autre jour. " Mais Paille en posant cette question, Paille s’est fait le plus grand possible, et se met sur la pointe des pieds. Sa vision c’est mise dans le grossissement le plus fort possible, et là ou se trouve le doigt de l’appariteur, il déchiffre, non pas Crissolorio Otiz, mais le simple mot : Réserve. Mais plusieurs ligne plus haut, le nom de l’ouvrage réapparait, et là il y a le nom du secrétaire particulier du Duc Kohen. Cet ligne est barré donc il a rendu le livre. Cymbale quitte le brave homme et se place devant le livre « des monstres et autres curiosités ». Qu’il feuillette machinalement, ignorant les superbes gravures d’animaux mystérieux et énigmatiques.

Le livre est dans la Réserve, cela veut dire qu’il n’a pas quitté cet endroit, mais qu’il a été placé dans un endroit inaccessible. Pourquoi avoir mentis, il aurait été plus simple de dire qu’il est dans la réserve pour une raison ou une autre. Réfection, copie de texte, ce n’est pas les explications réalistes qui manque.
Le secrétaire à rendu le livre. Mais il a laissé ce mots le troisième livre.
Le marchand de tonneau se pose des questions. Quel est la véritable raison pour lequel on recherche cette ouvrage, et ou ce trouve cette fameuse Réserve ?. Mais Cymbale comprend qu’il doit quitter vite fait cette endroit et faire intervenir Monsieur Démosthène Kaolinne le prospecteur, l’ennuie c’est qu’il va devoir changer la couleur de ses cheveux, se raser et changer de vêtement.

Logiquement maintenant il ne lui restait qu'un seul endroit, ou trouver ce qu'il cherchait, la bibliothèque des arcanes, si le livre n'était pas là au moins il pourrait obtenir quelques informations, et de toute manière si jamais l'un de ses agents voulait le retrouver il serait plus logique de rester au même endroit qu'autre chose, et puis cela lui fera un endroit au calme pour consulter ses quelques documents, si cela au pire n'avait pas de lien avec l'affaire il pourrait peut-être avoir le nom de nobles qui avaient demandées des services pour un assassinat, ce qui serait pas mal franchement…

Il se rendit donc lui aussi à la bibliothèque des arcanes, un endroit bien agréable que cette bibliothèque, et en plus il y a beaucoup de livres traitant de la magie ici, en somme très intéressants, et tout à fait approprié pour une ville aussi impliqué dans le domaine magique qu'Aldaria. Il fit donc ses quelques recherches, pour sa part il ne s'enquiquina pas à aller demander au réfectoire. Après un rapide tour de la bibliothèque, il décida que cela ne lui coûterait rien d'aller dans la réserve après tout si le livre avait pu être dans la bibliothèque c'était forcément là qu'il ce serait trouvé si ce n'était pas ailleurs.

Néanmoins ce n'était pas un endroit où il pouvait aller comme ça, ou bien pas sans éveiller des soupçons… Il faudrait voir s'il pouvait au moins voir où elle se trouvait, il ne s'en faisait pas pour ouvrir la porte après tout il avait sur lui une clé de quatre, de quoi ouvrir toutes les serrures. Enfin il restait qu'il fallait découvrir où se trouvait ce genre d'endroit. Après tout tout ceci était assez louche, soit disant qu'il avait emprunté un livre ici… Il se contenta donc de se vêtir complètement de son manteau de brume pour ne pas être visible quasiment, d'un sort instinct du chasseur, et fouilla calmement les environs à la recherche de quoi que ce soit de susceptible de montrer une éventuelle planque. De plus il n'y avait pas grand monde dans cette bibliothèque donc autant en profiter, au pire il n'aurait qu'a surveiller les environs s'il ne trouvait rien, avec de la chance quelqu'un irait se rendre à la réserve. Il suffirait juste de voir où il allait...

Monsieur Démosthène Kaolinne le prospecteur arrive et demande à l'accueil ou se trouve la section géologie, car proclame t'il a tu tête il recherche le filons de rubis de la cité perdu……
Ce brave homme, tellement sans gêne, que les gents s’empressent de lui donner les renseignements et bientôt Démosthène se retrouve dans la grand bibliothèque et étudie …. Le CaMashoutTra, ouvrage ou il n’est question que de géographie ….humaine. Cette ouvrage lui permet de surveiller cette immense pièce, car voyez vous lecteur, il n’y a pas de réserve sur les plants de la Bibliothèques des Arcanes, qui sont installé partout. Pourtant cette réserve doit exister. Notre homme remarque même Monsieur Crossiliroi Otzi le grand Argentier, qui déambuler lui aussi à la recherche de quelques choses……Il y a quelques personnes dans cette pièce et la plus par sont des bibliothécaires, qui surveillent plus qu’ils ne travaillent. Mais Cymbale car c’est bien lui, ne remarque rien de spéciale, jusqu'à un moment ou dernière une tenture il remarque que la personne qui tenais le grand livres des sorties et des rentrées, cet homme donc sort discrètement de derrière la grande tenture « Kohen éclairant le monde », la tenture célèbre en files d’or et de pourpre, fabriqué l’école de Gloria, car on en connait plusieurs copie.
Cymbale sort discrètement, son miroir, de sa gibecière, un ustensile qui lui sert parfois à se coiffer la moustache, et il regarde l’endroit de la pièce ou est sortie cet homme, Pendant une heure il scrute le mur ou se trouve cette tenture, sans prendre le temps de regarder la gravure, " la position du Pipallons", du livre si haut en couleur……qui lui sert de prétexte pour rester à cet endroit.
Il finit par trouver un carré noir, une sorte de regard situé à dix mètres au dessus du plancher. De cette position on a une vu plongeante sur la salle et on doit tout surveiller……. La réserve serait elle situé là… ?
Notre homme sort de la pièce pour réfléchir et dans ces pérégrinations il trouve une fenêtre qu’il donne sur la rue et que l’on peut éteindre. Il s’arrange pour cette fenêtre puisse s’ouvrier de l’extérieur, d’une simple poussée, puis il retourne à la grande salle ou il ne se passe rien. Jusqu’au moment de fermeture de la bibliothèque, notre homme voit le bibliothécaire rentrer discrètement par la tenture. Il est le dernier dans cette pièce et il doit la quitter, et derrière lui, on referme toutes les portes, Cymbale constate en se retrouvant dans la rue que toute la bibliothèque est fermer, vide à par la personne dans la réserve….. Mais que fait alors cette personne dans la rue ? il y a donc une autre entrée pour la réserve ?………Cymbale croisse Monsieur Croissiliroi Otzi qui retourne dans sa maison. Il griffonne un papier sur lequel il note. « Ce soir à la cloche du renouveau (Minuit) Arcane. » Il le glisse dans la poche du radin. Le trouvera t’il ?

Au final les recherches se firent longue, Crissolorio alla même jusqu’à faire des vrai recherches de livres traitant d'autres sujets pour ne pas paraître suspects, et justifier qu'il passe autant de temps dans la bibliothèque, pas qu'il avait à se justifier car un ministre de l'information comme lui n'avait rien à devoir à quelques érudits, mais disons que sa personne à elle seule pourrait aussi paraître suspecte. Dans tout les cas arriva le moment, où se recherches durent s'interrompre pour la bonne raison que l'heure de la fermeture arriva. Bien entendu il ne pouvait pas rester plus longtemps à la bibliothèque, et en ressortit calmement. Non sans avoir remarquer quelques détails étranges dans celle-ci au passage… Il tâcherait d'y réfléchir chez lui.

Sur le chemin d'ailleurs il croisa un homme avec un air familier, encore quelqu'un qui lui donnait une impression de déjà-vu, visiblement cela semblait fréquent ces jours-ci, mais peste cela n'avait pas vraiment d'importance. Il nota juste le fait que l'inconnu l'avait frôlé de près pendant que Crissolorio se dirigeait vers sa maison. A un tel point que presque arrivé à cette dernière il vérifia calmement ses poches par réflexe pour y trouver une note… Ce soir à la cloche du renouveau, arcanes à minuit ? Ce n'était pas bien dur de comprendre on lui demandait de se rendre à la bibliothèque des arcanes à minuit… Mais d'abord il entreprit d'aller manger un peu au moins.

Qui avait mit ce petit mot dans sa poche ? Il ne mit pas bien longtemps à le déduire. Sans doute le prospecteur de tout à l'heure, ce dernier lui avait donc donné rendez-vous à la bibliothèque des arcanes à minuit . Était-ce bien sage de répondre à l'invitation à minuit ? Probablement qu'il vaudrait mieux se montrer prudent pensa Crissolorio, mais dans tout les cas si cela concernait son histoire de bouquin c'était une opportunité qu'il valait mieux saisir.

Il se rendit donc à la bibliothèque peu avant l'heure munit de son manteau de brume pour ne pas se faire trop remarquer, une fois proche du lieu il porta le regard à sa pièce de passeurs, pas de lumière… Bon Crissolorio conclut qu'il devait bientôt tâcher de rentrer dans la bibliothèque d'après le message, c'est donc qu'il y avait une possibilité de rentrer. La porte principale ? Non trop peu discret, il regard calmement les environs, il finit par porter son attention sur une fenêtre qui l'avait interloqué, mais avant de vérifier il chercha la personne qui lui avait proposé le rendez-vous, il attendit donc dans un endroit qui n'était point trop visible depuis la bibliothèque que quelqu'un vienne. Pour avoir une meilleure idée de tout ceci...

Cymbale, s’habille de couleurs sombres et il chausse de chaussures confortable, légère et faite pour grimper. Son visage est dissimulé sous un maquillage sombre, et il porte un fausse barbe. Apres avoir manger, et il s'occupe de son cheval Houblon, il quitte ça maison par la cave, de là, il se retrouve dans les carrières de la grande ville. Il circule discrètement sous Aldaria, et débouche par une porte, prêt de la grande Bibliothèque des Arcanes.

Le Grippe Sous est là et semble avoir repéré la fenêtre, que l'on peut ouvrir de l’extérieur. Il arrive et dit :" - Bonjour Monsieur Ostiz, je suis à la recherche du livre Blanc, c'est à cause de ce livre que vous vous êtes retrouvé mêlé dans cette histoire. Ce livre est actuellement dans la réserve de la bibliothèque des Arcanes, et ce livre est composé de plusieurs livres relié ensembles. Le troisième livre contiens une information qui a coûté la vie au secrétaire particulier du Duc Kohen Monsieur Ambroise De Plantecloque. C'est tout ce que je sais de cette étrange histoire. Si vous voulez savoir le pourquoi de tout ceci, il va valoir me suivre à l’intérieur."

Cymbale explique ce qu'il a fait avec la fenêtre, et cinq minutes plus tard les deux hommes après s’être assuré de la tranquillité de la rue, on grimpé par une gouttière, suivit une bordure et ils arrivent devant la fenêtre que notre homme ouvre facilement.

Ils sont dans la bibliothèque, toutes les portes sont fermées mais Cymbale arrive à les ouvrir, mais cela prend un peu de temps. Ils finissent par arriver dans la grande salle ou se trouve la tapisserie derrière laquelle se situe l'entré de la réserve. Et la il y un problème, il y a bien une porte, mais elle est en pierre et il n'y a pas de serrure, et Païlle ne trouve pas au bout d'une heure le moyen d'ouvrir cette porte...Il ne semble pas y avoir de m"mécanisme!

" - On doit ouvrir cette porte de intérieure.....Il y a une autre porte Monsieur Ostiz, il faut la trouver....."

Après une attente qui ne se fit point trop longue la fameuse personne qui lui avait donné rendez-vous finit visiblement par arriver. Crissolorio se contenta tout d'abord d'écouter calmement cette dernière, alors c'était au sujet du livre blanc ? Eh bien au moins ses propres soupçons à ce sujet-ci étaient confirmés. Comme il l'avait présumé sans en être sûr l'ouvrage se trouvait dans la bibliothèque, et il était composé de plusieurs livres dont le troisième qui semble être la plus intéressant. Il lui proposait ensuite de découvrir avec lui le fin mot de cette histoire en s'infiltrant dans la bibliothèque… En somme tout un programme, il devait vraiment être le seul des grand de l'empire à ainsi se retrouver à faire ce genre de magouille lui-même…

« Salutations à vous aussi, et dans ce cas-là tâchons de procéder prestement mon brave. » Finit-il par répondre calmement, il eu pendant un court instant l'idée de demander à l'autre pourquoi il agissait ainsi, et qu'est-ce qu'il avait à gagner dans cette histoire, mais au final il se dit que ce n'était pas le bon moment pour ce genre de choses…

Ils entrèrent donc par la suite dans la bibliothèque par l'intermédiaire de la fenêtre qui avait était précédemment débloqué par l'inconnu. Une fois-ceci fait, et après avoir quelques portes il purent s'assurer que personne n'était présent par ici…

Il finirent au final par tomber sur une porte en pierre derrière une tapisserie, mais celle-ci s'avère fermé… L'homme lui dit qu'il faut ouvrir la porte de l'intérieur, Crissolorio qui se dit qu'a ce rythme cette histoire n'est pas terminé dit calmement.

« Ne vous inquiétez point j'ai quelques astuces en main... » Dit-il en posant sa main droit à plat sur la porte en pierre… « Rendez-moi juste deux service, ne touchez pas à mes affaires le temps que je les récupères. Et aussi détournez les yeux quand la porte sera ouverte le temps que je fasse quelque chose... » Ceci dit il usa de son anneau de bannissement qui le rendit d'un coup immatériel pendant un court délai, délai dont usa Ostiz pour traverser la porte de pierre, le défaut de cet anneau de bannissement c'est que à part l'anneau les affaires n'étaient pas concernés par le bannissement, et Crissolorio se retrouva donc nu comme un vert derrière la porte… Quand il redevint matériel il jeta donc un sort cape des ombres en s'enlaçant lui-même pour ne pas être très visible, et activa un mécanisme derrière la porte pour ouvrir cette dernière…

« La voie est libre monsieur. » Dit-il calmement à l'adresse de l'autre avant de récupérer ses affaires pour les remettre rapidement. Heureusement que le sort cape des ombres le rendait un minimum peu visible...

Cymbale se cache les yeux à la vu de ce Monsieur tout nu....Il les aurait ouvert pour la belle inconnue ou une autre belle personne, mais là franchement......Il les ferme fermement. Le radin passe à travers les mures, pourquoi pas et il finit par ouvrir de l'autre coté, la première chose que fait notre homme est de voir comment le passage peux s'ouvrir. Il lève son bras pour faire apparaitre des flammèches. Puis regarde ou il est.... et il comprend vite. Il est entre les mures de l'édifice, dans un couloir étroit, notre Cymbal. Il prend un parchemin et un crayon gras et commence un plan., les deux hommes se suivent et débouchent sur une petite piece octogonal avec deux autre couloir , une table au mieux couverte de livres et des étagères……mais à part cela aucune indication ……Notre homme regarde sur la table pour voir si le livre « Si Kohen m’était compté » y est, mais il y a un problème ce livre n’y est pas, ni dans les étagères….dit Monsieur Crissoloroi Ostiz. Paille désigne le couloire de droite, en disant que nous prendrons toujours le couloir a mains droite. Le couloire est en faite un escalier et il débouche dans la même pièce octogonale avec les mêmes meubles, seule les livres changent. Et au bout d’un moment d’intense recherche, c’est sur il n’y a pas le livre. Dans cette pièce il n’y a qu’un autre couloir, mais avant de partir Cymbale remarque le regard qui permet de voir dans la salle, et de là on voit sans être vue….. Ils prennent le couloir, passe devant le même type de porte, qui permet de sortir mais pas de rentrer. Il reparte dans le couloir et il débouche dans le même type de pièce, mais ailleurs dans la bibliothèque, on voit du regard de cette pièce un péristyle. Toujours pas l’ouvrage, si sur la table de cette pièce il y a treize version différentes du Décameron……
Trois couloirs partent de cette pièce et le regard donne sur l’herboristerie. En regardant le plan qu’il tante d’élaboré il dit :
" - Je crois que nous sommes dans un labyrinthe Monsieur, Crissolorio."

Après quelques observations faîtes pour des raisons assez pratiques les deux vieux hommes purent pénétrer dans le couloir vers une destination probablement inconnue pour eux deux. Il ne fallait pas être un génie pour deviner que cette bibliothèque de un n'était pas nette, et de deux que ce qu'ils étaient en train de faire l'était encore moins… Autant donc ne pas se faire surprendre ici si possible.

Ils finirent néanmoins par tomber assez tôt dans une petite salle sasn se faire avoir, rien dedans, il cherchent tout les deux le livre, mais personne ne le trouve. Pour sa part Crissolorio avait regardé les étagères sans rien trouver… Puis l'ont part pour emprunter un couloir à droite, et tomber sur une pièce identique, mais avec d'autres livre dedans. Mais toujours pas celui qu'ils cherchent, il ne serait pas étonnant à bien y réfléchir que la réserve de la bibliothèque des arcanes contienne un nombre respectable de salles de ce genre.

Cela se poursuit avec d'autres pièces, et on ne trouve rien, sans doute que cela prendra du temps de trouver ce qu'ils cherchent s'ils se contentent de procéder ainsi par élimination. Surtout qu'ils semblerait que plusieurs choix de chemin se présentent à eux.

« Il semblerait effectivement... » Un labyrinthe ! La chose était fichtrement bien conçue pour le coup. Mais il faudrait se montrer malin pour déjouer cela…

« J'ai une idée, passez moi vôtre bourse mon brave. » Dit-il calmement, quand l'autre procéda Crissolorio dit calmement.

« Nous allons déposer une pièce dans chaque salle que nous traversons, histoire de savoir où nous sommes passer, par la suite pour pouvoir retrouver nôtre chemin nous n'aurons qu'a suivre les pièces, et les récupérer au passage. Enfin si nous ne passons pas par toute les salles... » Cette exception évité au moins cela leurs permettrait de se guider. Bien entendu Crissolorio ne déposerait ses propres pièces que s'ils sont à cour de celle-ci avec cette bourse, si l'on fait bien cette manœuvre avec un peu de chance l'on pourra récupérer toutes les pièces du brave vieil homme.

Ceci décidé les deux vieil hommes poursuivirent leurs marches en déposant une petite pièce discrètement en dessous de la table dans chaque salle par laquelle ils passèrent pour pouvoir se guider grâce à ceci, mais aussi que la chose ne soit pas trop voyante si quelqu'un venait à se trouver dans cette bibliothèque à part eux, après tout on ne sait jamais...

La cloche de trois heure sonne. " - Il faut être partie, Monsieur Ostiz, à cinq heure. Des pièces octogonale, des couloirs, mais toujours pas le livre. Deux heurs encore à chercher mais il faudra certainement revenir. Ces réserves sont immenses, et faite pour nous perdent. Ils y a plusieurs bibliothèques. il doit y avoir une logique. Nous avons traversé dix sept pièces juste à présent, et ce n'est pas finie. Toutes ses pieces s’entend sur tout les bâtiments. Il faut comprendre comment les bibliothécaires si retrouve ici, et aussi ou ce trouve l'indexe des ouvrages presents. Et...... Attendez, mais oui , regarder les indications, sur la clef de voûte, il ne faut pas regarder les couloirs, ou les tables, mais il faut lever la tête. Monsieur Otsiz, regarder il y a un mot gravé que l'on distingue à peine.
Ce mots est incompréhensible, pour nous et il doit y avoir un sens cacher. Il faudrait repasser par toute les pièces, pour essayer de casser ce code. Avançons, je rajoute mots à mon dessin, c'est t'on jamais." Les deux hommes avancent encore de deux salles, et dans cette dernier, il n'y a que deux couloirs d’accès, mais notre homme en regardant par le regards, remarque qu'il devrait en avoir un troisième, il voit qu'il y a le mur d'une sorte de cloître ....... Il retourne dans la dernière pièce et ce met à parler doucement pour réfléchir. " - Une pièce secrète, il doit y avoir une pièce secrète, à l’intérieur de la réserve. Il doit y avoir ici des ouvrages interdit même au simple bibliothèque. Seule le chef devrait entrer dans cette pièce. Et dehors il y a un mur qui devrait aboutir dans cette partie de la pièce. Le couloir si il existe devrais aboutir derrière cette étagère. et regardez la table et positionné de tel façon que si l’étagère bouge, la table n’empêche pas à l'armoire de pivoter. Il faut, il dot y avoir un moyen d'ouvrir ce passage......"

Le temps avance malheureusement comme la cloche le démontre, et il ne peuvent pas trop tarder ici effectivement.

« Intéressant... » Dit calmement Crissolorio en levant le regard au plafond pour voir ce dont lui parlait l'autre vieil homme, un indice c'était déjà ça car Crissolorio se disait clairement que s'il devait venir, et revenir plusieurs fois pour visiter les lieux ils risquaient à force de se faire prendre, ou bien de trop traîner, une piste déjà aiderait à faire en sorte que les choses avancent plus vite.

« Vérifiez si le mot n'est pas écrit à l'envers par exemples, si ce n'est de l'elfique, ou bien autre chose qui sait. » Oui il avait quelques rudiments vraiment basiques en elfique, il faudrait sans doute qu'il cultive la chose avec le temps car pour l'instant il n'irait pas loin si le bibliothécaire avait été vicieux au point d'écrire la chose en elfique, heureusement pour eux les humains sachant parler l'elfique n'étaient pas nombreux. Il y avait donc des choses heureusement que ce ne soit pas ceci.

Enfin dans tout les cas ils verront bien au fur, et à mesure que les mots s'ajouteront alors qu'ils traverseront les pièces, ils finirent d'ailleurs vite après avoir traversé deux salles par tomber sur seulement deux embranchements, sans doute que cela voulait dire quelque chose…

Crissolorio écouta son partenaire qui lui indiqua après coup qu'il y a une pièce secrète . Une pièce secrète ? Hum cela donne à réfléchir, reste donc à la trouver ce qui n'est guère simple sauf si l'on s'y connaît dans ce genre de truc, et Crissolorio s'y connaît bien très bien à force de chercher sans cesse des astuces pour cacher son argent par exemple…

« Laissez moi réfléchir, cela me semble ressembler à un mécanisme que j'ai dû voir. Rester à savoir lequel... » Car disons qu'il y avait le choix, Crissolorio inspecta la pièce. Néanmoins si c'était pour trouver des ouvrages interdit, et donc intéressant il était prêt à plancher énormément sur la chose…

« Posez quelque chose d'allez lourd sur l'étagère. Je vais bouger légèrement table cette pour que ses deux pieds à cette extrémité appuient sur ces deux dalles... » Ceci fait. Ils entendirent deux clics métalliques puis virent l'armoire pivoter. Crissolorio usa de son anneau de lumière pour éclairer le couloir sombre qui se présentait devant eux.

« Avant que nous poursuivons nôtre chemin mon brave. Pourriez vous m'expliquer pourquoi vous m'offrez ainsi vôtre aide ? » Demanda calmement Crissolorio sur le pas de l'entrée secrète révélée.

Cymbale a un petit sourire en coin, " - Mais parce que nous sommes embarqué dans la même galère Monsieur Ostiz. Je me retrouve comme vous embringué dans ce meurtre par hasard, et j'aime comprendre dans quoi je me retrouve." Notre homme dis cela en regardant le fonctionnaire droit dans les yeux. " - Il y a des forces qui interagissent sur Armanda actuellement, et tous cela est passionnant. Ce labyrinthe est une énigme. Et seul je n'aurais aucune chance de la résoudre mais a deux, en confrontant nos connaissances, on peut espérer quelques choses. On va rentrer." Les deux hommes pénètrent dans un couloir semblable à ceux qu'ils ont déjà traversé, mais plus ils avancent plus l’atmosphère est lourde. Cymbale remarque qu'il n'y a pas de regard. Ils arrivent dans la pièce octogonal, avec ses étagères, sa table centrale, tout cela est couvert de livres. Païlle ne se sent pas bien, la lumière de ses flammèches montrent le teint pale du grand financier. Les deux hommes regardent les livres, mais c'est bizarre, ils n'arrivent pas a déchiffrer les titres comme si les mots ondulaient, devenant par leur déformation incompréhensible. Mais que ce passe t'i? C'est a ce moment qu'il aperçoit une petite coupelle avec des graines en trains de brûler doucement, une combustion lent qui provoque des vapeurs toxiques, qui déforment la réalité... Un piège, il faut quitter cette endroit. Cymbale se met a avancer vers la sortie en entraînant, le Pingre par sa manche. En apnée il entre dans le couloir, et cela semble un comme franchir une montage, le moindre pas, une épreuve insurmontable, mais les deux hommes, progressent, et au bout d'une éternité ils sentent une bouffé de fraîcheur, sur leurs visages. Ils sont dans la pièce du passage secret. Les deux hommes s'effondrent, et peut à peut ils reprennent leurs esprits, alors que dehors la cloche de quatre heure sonne.......

« Je vois, dans ce cas-là nous sommes deux à vouloir découvrir la vérité. » Ah douce vérité, chose très chère au totem de Crissolorio, et à sa personne qui n'aimait pas vivre dans le doute, et ne pas savoir à quoi il avait affaire. Dans tout les cas l'homme est convaincant, et parle justement, Crissolorio n'a aucune raison de douter de ce qu'il dit, et puis de toute façon il est vrai qu'a la deux la chose sera bien plus facile. « Dans ce cas-là rentrons, et tâchons d'en finir au plus vite avec ceci. »

Et après avoir traversé un nouveau couloir dans une atmosphère assez lourde, sans doute le fait que le lieu était encore moins rassurant les deux intrus finirent pas déboucher dans une nouvelle pièce remplie de livre. Lui, et l'autre vieil homme n'arrivent pas à déchiffrer l'écriture des livres, et ce sentent assez mal… Qu'est-ce qui se passe ? Y a t-il de la magie là-dedans ? Pense Crissolorio tout d'abord avant de voir à son tour la cause de tout ceci… D'accord ils étaient en train de se faire intoxiquer, il fallait donc quitter la pièce au plus vite avant que cela n'aille trop loin, surtout qu'ils sont de vieux hommes, pas des jeunes vigoureux…

Crissolorio retourne donc en arrière avec l'aide de son partenaire, après avoir retenu son souffle assez longtemps, trop à son goût, puis une fois retourné dans un endroit sécurisé reprendre ses esprits prend du temps… Assez pour entendre qu'il ne reste qu'une heure pour trouver ce qu'ils étaient venu chercher. Il fallait trouver un moyen de contourner ces toxines…

« Usons d'une bête vapeur curative chacun, puis d'un sort abolir pour pouvoir repasser par ce couloir sans difficulté, nous nous sommes montré imprudent pour le coup. » Dit calmement Crissolorio en lançant les dit sort. Vapeur curative pour faire disparaître les dernières traces de poison, et abolir pour s'immuniser au poison. Cette sécurité prise les deux vieux hommes se rendirent donc à nouveau dans le couloir, et dans la pièce des livres, Crissolorio se chargea d'éteindre le piège, pendant que son partenaire commençait de son côté à fouiller la pièce.

Bien que Cymbale ne fasse pas confiance au grand fonctionnaire, il se laisse immunisé. Prenant son courage à deux mains, il laisse passer devant Monsieur Otzis. Courageux mais pas téméraire. Voyant que le vielle homme se porte comme un charme Tobold reprend la coupelle et dépose dedans des cendres. " - Il faut que l'on retrouve les cendres, et la coupelles à la même place, sinon ils vont se douter de quelques chose. Il nous reste trente minutes avant de repartir." Cymbale regarde les titres des livres et cette il va commencer à lire quand il voit un détaille, qui jusque la n'avais pas retenue son intentions. Certain livres sont vraiment trop tentants et il y a cette marque sur le haut de la page???. Et soudain notre homme comprend.. " - Ne touchez pas aux livres, certaines pages sont empoissonnées, que faite vous quand vous tourner un page, Monsieur Otsiz, vous la manipulé en tournant la page avec votre main, et là cette tache, ce n'est pas des taches du à des mains, non! ces taches c'est du poison. Car voyez vous, parfois pour tourner une page, vous vous humecter les doigts, pour tourner la page.....Vous vous humecté avec la langue, et donc à ce moment là vous transporter du poison à votre langue. Encore un piège, mortel." Au bout d'un certain temps, il faut se rendre à l'évidence. Cymbale et Monsieur Otsiz fouillent et feuillettes, tout ces livres et tout ces lire sont des ouvrages communs, ils sont que des leurs, cette pièce secrète n'est qu'un piège; un de plus il leur faut quitter cet endroit, c'est à ce moment que que Cymbale remarque un regard mais si regard il y a, cela veux dire encore une pièce derrière. " - On a encore un peut de temps Monsieur Ostiz il doit y avoir encore une pièce là, Il doit y avoir un passage secret. Il faut trouver le moyen d'y entrer."

Trente minutes avant de repartir ? C'est court oui, mais s'ils faisaient bien les choses tout deux il n'y avait aucune raison de ne pas avoir le temps de faire ce qu'il y avait à faire, et il comprenait le fait qu'il fallait remettre tout à sa place après. Après tout si ces bibliothécaires sont un peu malin ils font attention au moindre détail, et Crissolorio étaient de ces hommes à penser que souvent chaque détail peut avoir une importance, souvent de vie, ou de mort...

Puis avant qu'il ne s'apprête à lire les livres son associé du moment le prévint que ces derniers étaient empoissonnés, même si Crissolorio venait de s'immuniser à la plupart du poison, il valait mieux ne pas prendre de risque après tout là-plupart ne voulait pas dire tout les poisons, surtout ceux de contact, ou oral. Un piège très bien pensé effectivement, Crissolorio ne pouvait qu'applaudir la perspicacité de son associé.

« Je vois mieux vaut porter des gants pour lire ce genre d'ouvrage... » Dans tout les cas ils s'appliquèrent à les consulter sans humecter leurs doigts pour éviter de s’empoissonner. Mais il sembleraient que ces ouvrages soient inintéressants pour eux, une perte de temps tout simplement, une perte de temps qui visiblement est comme l'arbre qui cache la forêt comme finit par le dire son compagnon.

Crissolorio plaqua donc sa main sur le mur derrière lequel se trouvait la pièce secrète, par prudence il regarda sa pièce des passeurs, un scintillement, un danger donc...

« De la magie, je ne peux pas user de mon anneau pour traverser, pas sans risque... » Dit calmement Crissolorio… Il en concluait que c'était cela le danger, un piège magique…

"N'avez vous pas remarqué..." Commença t-il calmement avant d'achever. "Nous avons trouvé les livres en désordre dans cette cette pièce, étrange pour une bibliothèque... Rangeons les dans l'ordre pour voir ce qui se passe..." Il semblerait qu'il ait vu juste car assez vite on entendit un clic... Et un bruit d'ouverture...

Une porte s'ouvre ou plutôt, une étagère pivote et laisse apparaître une pièce rectangulaire. C'est peut être le saint des saints, la réserve secrète. C’est une simple pièce rectangulaire, sans décors. Deux tables, des étagères, Cymbale jette un coup d’œil sur les livres, Il faut se rendre à l’évidence, là se trouve les livres interdits ou dangereux. Il y a des livres cosmogonique, qui montrent que l'univers tourne autour d'Armanda, des livres de magies noirs, tellement noir qu'ils en sont bleu, il y a le livre Capitale écrit par Josëff Doug'h willy, le livre de recette de la Tante Märÿe, un livre de nature Psychédélique. " - Le livre doit être ici monsieur Ostiz. " Les livres interdits sont classé dans un ordre précis, religieux, historique, médecine, cosmogonique, ésotérique, philosophique, politique… Mais ou chercher, car après tous ils ne savent pas ce que contiens le livre. Au bout de dix minutes Païlle n’a toujours rien trouvé et prend le temps de réfléchir, les livres sont tellement nombreux qu’il faudrait des jours pour fouiller la pièce à la recherche de cette ouvrage. C’est à se moment que notre homme voit d’où il est qu’une bibliothèque est légèrement de biais. Il va voir et découvre sur le coté du meuble un renfoncement, qui conduit à un escalier…… " – Monsieur Ostiz, il y a une deuxième entré dans cette salle, une entrée ou sortie qui doit conduire directement en bas, il faut faire vite. " Le temps s’écoule rapidement maintenant et les deux hommes fouillent. Il y a plein de sections que les deux hommes non pas encore exploré comme la section « Guerre », Cymbale s’aperçoit qu’un milieu de ce groupe de livre, entre « Nos amis les Dragons » et «le livres des secrets, d’un certain Dunbleddöre » , il y a un livre blanc. Païlle sort ce livre avec une couverture en cuire de vache blanche, à la reliure épaisse. Notre homme dépose le livre sur une table et s’aperçoit qu’il est composé en faite de quatre volumes de taille et de surfaces différentes….. Il tourne rapidement les pages, sentant maintenait la présence derrière lui du haut fonctionnaire…..Cymbale arrive donc au troisième livre et à la surprise de trouver des cartes, le troisième livre est un cadastre des environs d’Alaria…..

Visiblement Crissolorio, et son compagnon d'infraction avaient vu juste, et pas qu'un peu. Voilà la fameuse réserve secrète, certes elle ne payait pas de mine, mais ce n'était pas du tout mal placé. Crissolorio se dit qu'il y avait sans doute là de quoi pouvoir se faire une jolie fortune si on revendait ces livres à prix d'or. Mais bon même s'il aimait l'argent, il n'irait pas jusqu’à ainsi violer un patrimoine culturel, quoique… S'il imprimait ces livres pour les revendre il se ferait de l'argent, et disséminerait le savoir, en tout cas plus qu'en laissant cela dans une bibliothèque, mais il abandonna cette idée. Si ces livres étaient interdits, ou garder ici c'est qu'ils ne pouvaient probablement atterrir dans n'importe quelles mains.

Néanmoins Crissolorio inspecta les étagères que ce soit pour trouver son fameux livre, ou bien pour voir les titres intéressants par ici. Il aurait bien aimé avoir une aussi solide collection chez lui, de plus un ministre de l'information aurait beaucoup à faire de certains de ces ouvrages. Mais bon il n'en fit rien, nota juste que la bibliothèque des arcanes recelait d'un bien grand nombre de secrets plaisants en son sein. Assez pour plaire aux hommes curieux, et avides d'informations rares…

« Tâchons de faire vite effectivement. » Dit ensuite Crissolorio en arrêtant d’inspecter les étagères, et en rejoignant Tobold qui avait trouvé visiblement une deuxième entrée à la salle. Si cette entrée menait en bas ils pourraient rapidement sortir de la bibliothèque au moins, le danger c'était que si quelqu'un venait chercher les livres il pourrait rapidement venir ici, effectivement il valait mieux ne pas traîner dans les fouilles…

Ils continuèrent donc la fouille, Crissolorio s'intéresse à une étagère parlant d'anatomie vampirique, elfique, et dragonique, se demandant bien comment les auteurs ont pu avoir des informations à ces sujets-ci... Crissolorio se détourne ensuite de cela quand Tobold sembla avoir trouvé le fameux livre blanc, enfin de quoi s'amuser un peu. Il rejoint Tobold, et regarda ce dernier inspecter le livre, jusqu’à ce qu'il tombe sur une fameuse carte.

« Un titre de propriété foncière des environs d'Aldaria ? Intéressant... » Un cadastre était un titre de propriété foncière, les autres c'était des cartes des environs d'Aldaria.

« Intéressant, néanmoins nous devrions partir d'ici maintenant que nous avons ce que nous étions venu chercher... » Pendant qu'il dit cela il entendit du bruit en dehors de la salle, visiblement la cloche de cinq heure venait de sonner...

Tu bruits, il y a du bruit dans l’escalier et ont entend la cloche de cin heure, par les baccantes de Loren il faut partir, pense le vendeur de tonneaux..Pourtant la bibliothèque ouvre que bien plus tard.……
Cymbale regarde vite fait la page de garde du troisième livre et voit que l’édition date de 1698, et il range le livre à sa place. A partir de ce moment là ils retournent en arrière, le plus vite et silencieusement possible.
Ils récupèrent méticuleusement les pièces d’or que Monsieur Crissolorio Otsi place consciencieusement dans sa bourse, pendant que notre homme note les inscriptions gravées sur la clef de voute. Pour le moment les couloires sont vides et ils parviennent jusqu'à la porte d’entré de la reserve, qu’ils referment, une fois franchis ce passage secret. Ils sont dans les salles publiques de la bibliothèque et ils referment les portes derrières eux en se dirigeant vers la fenêtre qui leur permettrons de sortir. Ils ouvrent la fenêtre passe la rambarde et ils arrivent à rabattre sur eux les vantaux, sans pouvoir enclencher la fermeture. Cymbale voit de la lumière, il a juste le temps de faire baisser la tête, du haut fonctionnaire et la sienne. En faisant attention il voit traverser le couloire le premier Bibliothécaire, une torche à la main celui lui avait mentie, en disant que le livre avait été emprunté………Les deux hommes descende rapidement et se retrouve deux minutes plus tard dans la rue…..
" - Je repasserai tous à l’heure refermer cette fenêtre de l’intérieur. A plus tard Monsieur Ostiz. "
Quelques minutes plus tard Cymbale disparaissait dans les égouts en changeant plusieurs fois de chemin, pour retourner vers sa boutique de tonneaux…
Le troisième livre est un cadastre de 1698, et ce trouve dans la section guerre de la réserve.
Notre homme sait maintenant ou continuer ses recherche maintenant, peut être trouvera t'il d'autre indice.

Les deux intrus ne tardèrent donc pas à quitter les lieux de leurs petite fouille, la bibliothèque ne s'ouvrait peut-être pas maintenant, mais justement ! C'était le meilleur moment pour partir que quand il y aurait du monde à l'intérieur, et puis ils ne pouvaient pas se permettre de traîner plus surtout si Crissolorio veut avoir le temps de récupérer toutes ses pièces d'or, et celles de son associé. Enfin surtout celles de son associé. Heureusement il n'avait pas eu trop à tirer sur sa propre bourse pour sa part… Une fois donc la réserve franchit l'on entre dans la salle publique de la bibliothèque avec eux ils ont le livre qu'ils étaient venus chercher.

Après une solide avancée, et être arriver de peu à ne pas se faire attraper par le bibliothécaire les deux arrivent enfin mine de rien dans la rue. Pour sa part Crissolorio évitera de raconter sur tout le toits le fait qu'il avait accomplit une mission qu'on confiait normalement aux agents du ministère pas au ministre, mais après tout l'on n'est jamais mieux servit que par soi-même dans certains cas…

« Prudence est mère de sûreté, portez vous bien mon brave. » Répondit calmement Crissolorio à son partenaire qui pour le coup avait lui aussi plutôt bien réussi son coup.

Pour sa part Crissolorio avant de revenir à la bibliothèque comme un client lambda, et pour que personne ne soupçonne rien se dit qu'il ferait bien de préparer quelques petites choses. Et aussi de réfléchir aux sujets de trois autres choses parmi les découvertes. Il était arrivé à prendre avec lui le premier, et le deuxième livre, laissant le cadastre à l'autre. Il rangea ces deux livres dans un coin bien caché après les avoir étudié puis entreprit de revenir vers la bibliothèque. Il eu même une idée... L'assassin du secrétaire? Il commençait à avoir une idée de la personne concernée... Peut-être l'un des employés de la bibliothèque des arcanes, dont le fameux bibliothécaire. Il n'en était pas sûr, mais il comptait mener une enquête de ce côté là.

Quand Cymbale arrive chez lui il s'occupe de son poney, lui donne à manger et a boire. puis d'un seule homme et c'est le cas, maintenant, il dort quelques heures. Apres avoir mangé et s'être occupé de ses affaires, notre homme se dirige vers la mairie d' Adaria, au service des impôts ou il pourra consulter le plan cadastrale, actuelle. Il apprend que les document sont relativement récent car tout à brûlé il y a une quarantaine d'année, toutes les archives sont partie en fumée, et ils ne restent plus rien de cette période et avant. Il demande de consulter certain cadastre. On lui donne quelles livres à consulter sur place. Tous les ouvrages sont récents et il s'aperçoit qu'ily a des annotations sur les feuilles, se sont les ,différent propriétaires des parcelles. Chaque parcelles laissent apparaître la surface le type de terrain impliquant le type de taxe à mettre sur ce terrain et les différents propriétaires, les ancien ayant étés barrsé. Il va être l'heure de sortir quand sur le plan cadastrale 108 de la partie du nord, il remarque que le plus ancien propriétaire de la plupart de ces parcelle n'est autre que qu'un certain P.A., et qu'au détoure d'une page un clair a annoté, écrit d’une belle écriture calligraphique, « P.A. veux dire Propriété des Arcades »....

En regardant bien, notre homme constate que toutes les parcelle en P.A. à été vendu en l'espaces de quelques années. Que c'est il passé entre 1698. et maintenant, 1704 date d'éditions des livres actuelles, ou le sigle P.A. apparaît dans plein de pages.

C'est l'heure de fermeture des bureaux de la mairie, notre homme, pense savoir qui pourrait avoir des indications. Il se promène dans la rue et voit un manchot. En mettant une pièce d'or dans la corbeille, il demande ou il pourrait trouvé Guërtus Grospoids. Un bras apparaît de sa chemise qui lui indique une direction. Notre homme ne trouve pas ce brave homme quand il avance vers l'endroit indiqué, quand il entend rouler un petit véhicule à roulette, un cul-jatte, aveugle, s’approche de lui a l’aide de fer à repasser….

Mais avant de mener cette enquête il serait censé de chercher son partenaire de la veille ce que Crissolorio fit, vêtu de son manteau de brume il n'était pas très visible une fois ressortit dans la rue, il entreprit donc une recherche calme de la personne, l'endroit où il alla ? Comme bien entendu pour se renseigner sur des titres de propriété comme ceux découvert la veille il fallait aller à la mairie, il se rendit à cette dernière, et c'est en cours de route qu'il tomba sur son homme, et sur un autre dans un état misérable. Personne ne l'ayant vu Crissolorio rabattit prestement la capuche de son manteau de brume pour être presque totalement invincible, et entreprit d'écouter calmement leurs conversation.

Après tout, il pouvait bien se permettre cela. On n'était jamais trop prudent, et si ça se trouve son allié de la veille comploté quelque chose, et si ce n'était pas le cas au moins Crissolorio en serait sûr, et certain. C'était bien le minimum après tout pour un homme avisé de connaître l'intention de ses alliés, qu'ils soient, ou non de circonstances, cela permettait au moins d'éviter un potentiel, et plus, ou moins probable couteau dans le dos. Après pas grand monde n'était assez stupide pour doubler un ministre de l'information, et donc de la propagande qui avait des contacts assez peu recommandables de ce fait. Mais comme le pensait Crissolorio on n'était jamais trop prudent. Et il avait beaucoup vu au vu de ses antécédents de collecteur des impôts.

Néanmoins dans tout cela il y eu un imprévu… C'est qu'après quelques minutes des pas résonnèrent dans la rue, et des hommes à l'allure très peu agréable, et peu honnêtes sortirent des couteaux, et exigèrent ensuite que le cul de jatte, et l'autre vieillard les suivent. Crissolorio qui avait pu ne pas se faire repérer grâce à son manteau réfléchir calmement à ce qu'il fallait faire, pendant que la tension dans la ruelle monter d'un cran. Se défiler discrètement ? Les suivre ? Il décida qu'il verrait selon comment la situation tournerait...

Cymbale voit arriver un cul-jatte à roulettes, aveugle, portant un bandage devant les yeux. Notre homme sort de sa bourse une pièce d'or et la tend à l'aveugle qui l'attrape par miracle !. Paille change sa voix, et le mendiant se redresse étonne, comme si quelque chose de bizarre se passe et par réflexe, cet homme soulève le bandeau ou un œil bleu apparierait, qui se met a briller ainsi qu'un grand sourire se forme sur son visage.
A ce moment les des bruits figent leurs sourires. Trois hommes menaçant leurs demandent de les suivirent. Les couteaux qu’ils sortent suffit à montrer qu’ils ne sont pas là pour rigoler . Cymbale rit intérieurement, il sait que la guilde des voleurs d'Aldaria est une organisation, et qu'un voleur n'agit jamais seule, il y a toujours dans la foule, dans les environs des yeux qui surveilles et qui préviennent qui de droit. Il y a toujours un complice ou deux pas loin prêt a intervenir pour détourner l'attention, pour provoqué un échauffourée, ou pour, si la situation si prête, à éliminer les perturbateur de leurs petites entreprisses privées....
Cela fait à peine deux minutes que Cymbale et Guërtu sont entourée et contrains de suite les trois agresseurs, qu'une charrette d'une marchande de quatre saisons se déplace devant eux et qu'une roue se déboite, fait chavirer le véhicule et rependre dans la rue la cargaison de fruits. Il y a aussitôt attroupement. Les trois hommes essayent de reculer pour partir par une autre rue quand le rémouleur, le petit vieux à la pipe et le balayeur qui dans la foule encadre la petit groupe discrètement , interviennent et neutralisent en même temps les agresseurs, .Déjà la charrette du rémouleur arrive et les trois corps sont déposés et recouverte, et une minute plus tard , la rue est dégagé, car deux hommes on remit la roue du véhicule versé, comme si il faisait cela souvent! Ce qui est, le cas.

Dans la cohue de la foule personne ne remarque que Cymbale et mendiant ne sont plus dans la rue......... Ah si il y a bien une personne, qui enrage, mais que personne ne peut voir!

Pour le moment il se demanda surtout comment cette petite affaire allait finir, mais sérieusement au pire il doutait que ça aille trop loin pour quelques raisons connu de lui seul. Il avait cette habitude à s’attendre à tout, et n'importe quoi comme toujours avec son totem raison qui fit d'ailleurs qu'il n'était pas vraiment surpris par l'enchaînement des événements, même s'il n'aurait pas pensé que ça finisse comme cela, surtout aussi rapidement… Des brutes ! Pensa Crissolorio assez lasse intérieurement, enfin vu que c'était des brute qu'ils avaient neutraliser autant oublier cela. Surtout qu'il y avait autre chose à faire. Ce qui agaça Crissolorio par contre c'est de voir que les deux hommes sont partit de la rue, bien il a perdu une piste, pas grave. Il suffit de trouver autre chose à faire. Continuer à les chercher serait une perte de temps après tout, et il avait toujours un plan de secours de toute mainière.

Il se rappelait bien de quelles parcelles parlait le troisième livre surtout parce qu'elles avaient toutes le même propriétaire, et il eu une idée somme toute assez bête en tête, mais qui pouvait largement se faire. Tout le monde savait parmi les noblesses, et les riches d'Aldaria que Crissolorio était le Grand Trésorier, mais aussi membre d'une famille de marchand, que l'un de ses fils, et cousin étaient des marchands, et vu que sur certaines de ces parcelles l'on cultivait du vin, du lin, ou autres bien possiblement vendables. Crissolorio pouvait largement faire croire en se rendant là-bas que c'était pour affaire pour un tiers. Ce serait une idée pour pouvoir au passage voir s'il y avait quelque chose qui cloche là-bas . Il suffirait juste d'envoyer un message au propriétaire des parcelles pour dire qu'il souhaitait parler affaire au nom d'un tiers, et au pire si dans l'affaire il se retrouvait avec des marchandises il n'aurait qu'a vraiment les offrir pour le prix d'achat, à certaines de ses connaissances marchandes. Rester maintenant à envoyer le messager, ou bien… Une petite visite surprise pourrait être une idée aussi. Personne ne mettrait à la porte le favori de l'empereur après tout… Surtout qu'il se rappelle il y a des années en tant qu'inspecteur qu'il avait causé quelques embarras au propriétaire au sujet de ses finances, ce dernier ne ce sentirait donc pas trop d'agacer Crissolorio maintenant que celui-ci avait bien gagné en galon...

Guërtus Grospoids et Cymbale se retrouvent dans une carrière, et descendent par un escalier dans le ventre de la terre. Ils quittent l'ancien lieu d’extraction de pierres de la ville d'Aldaria pour s'enfoncer dans une vielle galerie qui les conduits sur les bords d’une rivière souterraine, qu'eclaire un puit de lumiere. Ils arrivent a une petite pièce ou se trouve sur une table deux verres et une théière dégagent une odeur de menthe. Il y a deux chaises, et les deux hommes s’assoient.

Pendant deux heures Cymbale raconte l’étrange histoire sur lequel il est tombé. Le meurtre de Monsieur Ambroise De Plantecloque...le Secrétaire particulier du Duc Kohen, La présence sur les lieu du grand argentier Crissoloroi Otsiz, que tous accuse, sauf qu’il n’y a pas ses empreintes sur la dague employé. Une piste ...quelques signent notés sur une feuille le conduit a la bibliothèque des Arcanes, ou tous est fait pour que le livre indiqué par le code ne lui soit pas remit. Cymbale découvre que le livre est caché dans la réserve de la bibliothèque. Il explique qu’il y a été cette nuit avec Monsieur Crissolorio Otsiz et ils ont trouvés le livre dans la partie la plus secrète de la réserve dans la section guerre. Le livre contient un plant de cadastre vieux de soixante ans. Que c’est il passé il y a soixante ans dans la famille Kohen qui puisse provoquer une guerre actuellement ? La bibliothèque des Arcanes est partie prônant, et c’est retrouvé propriétaires des ces parcelles qu’elle a vendu rapidement. Le faite que l’on a voulut les arrêter dans la rue montrent qu’ils se rapprochent de la résolution de cette énigme.

" - Comprenez moi, Monsieur Grospoids, je n’ai pas trop intérêt à me montrer dans cette histoire, et comme il y a un risque de guerre…civile toute la ville est impliquer dans cette étrange histoire. Il faut aussi surveiller Le grand argentier, qui c’est retrouvé bien malgré lui dans cette histoire, et cet homme va chercher à tiré profit d’une histoire qui ne le concerne pas. Il faut que cette histoire ne se termine pas en massacre, ce qui n’est bon pour personne."

Hum et bien de toute manière pour quelqu'un d'astucieux il y avait toujours moyen de tirer parti de tout avec un peu de réflexion cela était évident. Mais tout d'abord il fallait aller à cette propriété foncière, comme il s'y était attendu d'ailleurs on ne l'empêcha guère de s'y rendre d'après ce que lui rapporta le messager, en même temps cela ne se faisait pas trop de refuser le passage au Grand Trésorier de l'empire, et sans doute le deuxième homme de l'empire après l'empereur lui-même, enfin c'était uniquement parce que Crissolorio représentait ce dernier, et cela avait ses avantages comme ses inconvénients d'une certaine manière vu qu'il n'était pas très aimé, mais bon c'était normal que cela pour un homme de pouvoir, on ne pouvait guère satisfaire tout le monde...

De toute manière il verrait bien ce qu'il pourrait faire avec le fin mot de cette histoire, il y avait tellement de chose gênante à savoir en politique, que les connaître était toujours un avantage, et il est probable qu'une quelconque information pourrait sans doute intéresser l'empereur, et ce dernier serait sans doute très satisfait si Crissolorio lui rapporter quelques informations très intéressantes. Démontrant d'autant plus la choix adéquat que cela a été de lui conférer en plus de son poste de Grand Trésorier celui de ministre de l'information, oui ce serait une très bonne chose pour lui…

Ayant donc eu sa réponse Crissolorio n'attendit donc guère pour aller à la rencontre du propriétaire des dites parcelles, étant en dehors du palais il prit la peine de prendre avec lui ses gardes du corps, comme toujours ces derniers se demandaient s'ils allaient être embarqués dans une affaire sordide, car c'est vrai que certains accompagnaient Crissolorio depuis qu'il était inspecteur, et disons que même s'il n'était pas censé avoir une vie aussi mouvementée il lui était souvent arrivé d'en voir des vertes, et des pas mûrs, mais bon il s'en était toujours sortit après tout. Enfin il restait néanmoins qu'il y avait certains détails qu'il vaudrait mieux éviter de raconter quand on parlait des péripéties qu'il avait vécu.

Après son entretien Monsieur Grospoids reconduit par différent conduit Cymbale dans une rue d'Aldaria. Il se retrouve seule. Il a lancer une information, au roi des voleurs d'Alderia. Y aura t'il un jour une réponse? Le roi des voleur est la seule personne en qui il a confiance, il sait que les voleurs doivent exercer leurs art dans un monde calme et immuable. Il faut pouvoir graisser des pattes, mais toujours les mêmes, une guerre civile ne peut que risquer changer des têtes, une période d'instabilité qui n'ai jamais bon pour le commerce, pour tout les commerces. Mais que va faire monsieur Crissolorio Ostiz, il risque de mettre les pieds dans le plat. Les pas de Cymbale le conduit prêt de la maison du grippe sous! Que fait 'il, et que va t'il faire? Cymbale décide de la prévenir. Il frappe à la porte, personne ne vient. Il frappe une deuxième fois, et au bout d'un moment notre homme s'en va. Il retourne à sa boutique, de tonneau, il faut qu'il s'occupe de Houblon. Il donne à manger et boire à son petit poney. Puis s'installe dans son bureau, et il note tous les éléments de cette étrange aventure qu'il possède. Les noms des personnages, les parcelles, et soudain on frappe à sa porte Cymbale arrive et trouve un parchemin. Paille lit le document ..... Il y a soixante ans un ou une Kohen se retrouve orphelin, tout jeune, un autre Kohen devient le tuteur, et en profite pour spolier le jeune Kohen. Touts les actes de cette période on brulée, donc personne ne sait ce qui c'est passé, il n'y a aucune preuve, sauf .... le plan du cadastre, qui se trouvait dans la bibliothèque et qui a été volé par Monsieur Crissolorio ..... Si cela est connue, c'est toute la région qui devient troublée. Il y a un ultimatum, Ostiz a vingt quatre heures pour remetre le livre à sa place, ou bien........" - C'est horrible!" crit Cymbale.....

Cette histoire était vraiment agaçante au final, Crissolorio était ressortit assez vite de son rendez-vous, se rendant compte qu'il ne trouverait rien ici après quelques tentatives subtiles d'en savoir plus, bon maintenant il restait à rentrer chez lui, et consulter le cadastre qu'il avait emprunté à la bibliothèque, à bien y réfléchir c'était une histoire assez troublé qui se présentait à lui, il devrait le noter quelque part sans doute, et oui ! Les archives, peut-être qu'aujourd'hui les responsables de la bibliothèques n'avaient rien remarqué, mais si on ne remettait pas le livre en place cela finirait par se savoir, et sachant qu'il était à la recherche du livre il pourrait être suspecté, des notes, il devait faire des notes de cela, et réfléchir à comment remettre le livre en place, dommage qu'il ne puisse pas en faire une copie, mais noter ce qu'il avait pu savoir grâce au cadastre serait déjà très bien…

Cela, et le fait qu'il restait à découvrir qui était le fameux meurtrier, car il restait encore cette histoire de meurtre à élucider, cela fait, ou pas il repartirait de toute façon bientôt à Gloria, il s'était déjà bien attardé à Aldaria, un ou deux jours de plus c'est tout ce qu'il pourrait se permettre sinon il risquerait de rater le retour de sa majesté à Gloria, et qui dit retour dit réorganisation de la politique impérial, que le grand trésorier, et ministre de l'information ne soit pas présent au moment où l'empereur devrait prendre de nouvelles mesures pour s'adapter aux changements actuels serait très très mal vu…

Enfin sur ce il rentra donc chez-lui, enfin la résidence qu'il habitait pour le moment, étant donné que sa vraie maison avait été détruire par le perle, fichue saleté… Enfin d'ailleurs il pensa aux vieillard qui l'avait aidé, il fallait qu'il aille chercher celui-ci… Mais où ? Cela il ne le savait guère vraiment à vrai dire, il décida d'abord de faire quelques notes, ensuite il verrait bien, avec de la chance l'autre déciderait de lui rendre visite, ou pas, dans ce derniers cas de figure il aviserait, ou se rendrait à la bibliothèque tout seul à l'heure propice.

Il fallait retrouver Monsieur Crissolorio Ostiz et vite et remettre cette nuit le document dans la partie secrète de la grande Bibliothèque. Cymbale parcourant la ville d'Alderia à la recherche du jeune vieillard. En parcourant les rue de la ville, il réfléchit, les bibliothèques doivent être au courant de notre venue la nuit dernier, ils ne doivent pas savoir ce qu'ils sont venus chercher, mais cela sera une question de temps, et retourner ce soir dans le dédale serait une mauvais idée, il faut pouvoir remettre le document avant la nuit. Pourquoi le Grand Fonctionnaire a prit le cadastre? Il y avait asse d’élément pour comprendre ce qui se passe sans avoir besoin de prendre ce document mais pourquoi l'a t'il prit?. Il a du le prendre pour pouvoir un jour faire pression sur quelqu’un, ou simplement le faire chanter.... Soixante ans après les faits, qui voulait il menacer? des gents puissants, il devait y avoir prescription, seule les personnes spolies voudraient avoir réparation, si il en reste, mais de quel branches? Quel est la branche de Kohen, est prête à déclencher une guerre? Trop de question, on tourne en rond!
Notre homme finit par se retrouver devant la porte de la maison du Financier. Il tambourine à la porte, et au moment ou il perd patience, l'huis s'ouvre, c’est Monsieur Crissoloroi en tenue confortable. Il a un bonnet à pompon, des pantoufles, et une robe de chambre. Cymbale rentre en poussant le brave homme. " - Monsieur Crissolorio , laissez moi rentrer, vous êtes en danger. Il vous faut rendre le cadastre, et le plus vite possible. On ne peut pas attendre ce soir, et il faut le faire maintenant, alors qu'il a du monde dans la bibliothèque. Pourquoi veut ton votre peau? c'est que le cadastre peut amener dans la région et même dans tous Armanda des troubles. Et rien que pour la détention du cadastre ils veulent votre peau, Si vous remettrez le document à sa place vous ne pourrez plus rien faire. On vous laissera tranquille. J'ai une idée pour que vous puissiez le document.... J'ai des plantes qui en brulant dégage énormément de fumé, je simulerai un grand incendie, dans la bibliothèque a plusieurs endroit, pendant que vous le remettrez, en quand pensez vous?"

Bon visiblement après avoir prit quelques notes ont ne manqua pas de tambouriner à sa porte, Crissolorio alla donc calmement ouvrir pour tomber sur le vieil homme qu'il attendait, comme toujours la patience était récompensé pensa t-il. D'ailleurs l'autre n'attendait pas avant d'entrer sans ménagement et expliquer la situation à Crissolorio. Oui il avait deviné qu'il valait mieux rendre le livre avant qu'on ne s’aperçoive de sa disparition car cela pourrait provoquer certains problèmes, pour cela qu'il avait fait quelques notes mêmes légères dans l'optique de devoir sans séparer dans pas si longtemps.

Mais il fallait le rendre avant ce soir visiblement, ce qui compliquait fermement la chose vu qu'il y avait encore du monde dans la bibliothèque à cette heure ci, mais il est vrai que du coup cela voudrait dire que l'on ne s'attendrait pas à ce qu'il revienne aussitôt néanmoins, ce qui en soit était un argument, mais ça resterait très risqué en soit.

Et l'autre lui dit que le cadastre pouvait amener certains troubles dans l'empire, autant dire qu'effectivement ce serait un moyen de pression efficace, mais risqué, heureusement qu'il avait prit des notes, après tout il pourrait au final tirer deux trois choses de cette affaire, sans trop risquer quoi que ce soit au moins… Mais les notes ne pourraient pas lui permettre de faire pression sur qui que ce soit, bon il remettrait vite le cadastre en place car au moins cela avait permit de savoir deux trois choses intéressantes, et en tant que ministre de l'information il était de son devoir de savoir ce genre de chose après tout.

Et le vieil homme voulait du coup simuler un incendie pendant que Crissolorio irait remettre le cadastre en place, en soit un plan original, risqué, très risqué, mais qui pourrait s'avérer efficace, s'ils faisaient en sorte d'aller très vite. Et puis de toute manière il était dur d'attaquer le ministre de l'information impériale, s'il n'y avait pas de preuve pour ce genre d'histoire...

« Je vais juste mettre mon manteau de brume pour être dur à repérer, et nous allons exécuter vôtre plan. » Dit-il simplement après un court instant de réflexion, au passage il alla aussi chercher le cadastre, après tout il ne valait mieux pas trop tarder.

" - Allons vite à la bibliothèque Monsieur Crissolorio, vite, je pourrais créer cinq débuts d’incendie. Le premier incendie commencera à partir de la pièce ou ce trouve la porte secrète, qui est la partie la plus éloigné par rapport à la sortie. Les autres incendies se fera alors progressivement de façons à créer un mouvement de foule vers la sortie et je serais parmi les gens pour crier au feux, est augmenter le mouvement de panique. Vous devrez vous débrouiller seule, mais vous ne devriez pas rencontrer grand monde dans le labyrinthe. Il vous faudra aller vite et essayer de sortir, par la fenêtre , celle qu'on a prise ou une autre, ou par les toits, ou les greniers, ou les égouts...... - comment je vais faire Monsieur Crissolorio? Avec des petits plats, de l'huile, ces petits cristaux et des petites bougies..... Le procédé est magique, Monsieur Crissolorio, j'allume la bougie qui fond, qui fond et quand la mèche atteint l'huile la flamme l'active, l'enflame, et les cristaux se mettent à bruler en dégagent énormément de fumée, cela ne durera pas, cinq minutes tout au plus , mais cela sera jolie, je rajouterais des colorants pour faire des fumées de différentes couleurs...Cette fumée ne sera pas toxique et si votre vie en dépend Monsieur Crissolorie, entré dans la fumée. Le plus dure c'est donc de choisir la bonne longueur de bougie de façon a ce que les gents ai l'impression d'avoir toujours la fumée sur leurs dos et parte vers la sortie en entrainant tous le monde, je rajouterais un sort de persuasion si la panic n'est pas asse virulente? On ne se reverra plus je pense Monsieur Crissolorio dans cette étrange histoire. Peut être plus tard..... A partir de maintenant nous ne nous connaissons plus dans cette établissement. Bonne chance, attendez le mouvement de panic avant d’agir. "
Cymbale Paille se sépare de Monsieur Ostiz, rentre dans une ruelle, déserte, quelques secondes plus tard une autre personne en ressort, un certain Tobold des Mangroves.......

Cet homme avait des idées, et visiblement de la ressource, après Crissolorio n'était pas vraiment sûr qu'un plan comme celui-là soit vraiment couronné de succès, après tout en cas d'incendie l'archiviste pourrait penser qu'il est essentiel d'aller sécuriser des livres, ou bien d'aller se mettre en sécurité, enfin une bibliothèque qui part en flamme serait une catastrophe pour toutes les connaissances qu'elle contient, et heureusement que ce serait pour de faux, la bibliothèque des arcanes après tout contenait bien trop d'ouvrages importants, et précieux pour se permettre en plus d'en détruire le moindre. Et ainsi gâcher le travail, et les connaissances d'un érudit mort depuis plus, ou moins longtemps.

« D'accord, parons donc au plus urgent... » Cela ne le gênait pas particulièrement que l'autre veuille ensuite en partie disparaître de la circulation, après tout il y avait bien des hommes qui avaient leurs secret, quand au coup de la bibliothèque, ce serait sans doute moins périlleux que cette fois dans les montagnes avec Lorenz Wintel,une histoire qu'il allait tâcher de garder pour lui, le plus drôle étant que Lorenz Wintel lui-même ne savait pas qui était Crissolorio… En même temps il aurait été plus que stupide de révéler sa véritable allégeance devant le prince noir…

Enfin dans tout les cas après quelques préparatifs pour essayer de ne pas trop se faire remarquer avec ses affaires magiques il se rendit calmement devant la grande bibliothèque des arcanes. Avec l'ouvrage en partie dissimulé pour éviter que quelqu'un le reconnaisse, il savait déjà ce qu'il ferait suite à cette histoire, il partirait vite fait bien fait d'Aldaria, de toute façon il avait déjà préparé son départ prochain, et il était temps de rejoindre Gloria de toute manière. Une fois cette histoire de livre terminé rien ne le retiendrait ici, de plus personne n'essayerait de le retenir car c'était une affaire d'état qui l'appelerait. De quoi se faire oublier si jamais quelqu'un soupçonnait quoi que ce soit.

Une fois à la bibliothèque des arcanes il attendit donc le signal...