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Société Elfique

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Merithyn Shadowsong
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MessageSujet: Société Elfique Société Elfique Icon_minitimeVen 9 Mai 2014 - 17:07


Société Elfique


Les elfes forment une race à part entière avec ses particularités, ses points forts et ses points faibles. Vous trouverez toutes les informations raciales dans ce topic. Quand à celui-ci il vous permettra essentiellement de vous renseigner sur le mode de vie et les moeurs de ce peuple. La lecture n'est pas obligatoire mais fort instructive !

Société


Le peuple elfique est organisé en une société de type impériale médiévale et est presque entièrement concentrée dans la capitale du royaume, bien qu’il existe quelques villages plus frontaliers mais toujours à l’intérieur des limites de la barrière magique. La capitale, grande cité arboricole, se divise en plusieurs cercles et ‘quartiers’, du centre commerçant et humble à la bordure proche de la forêt plus prisée car plus proche de la nature encore vierge. Ils sont extrêmement sédentaires et possède une strate sociale clairement établie qui régit la vie quotidienne. Leur hiérarchie est extrêmement stricte et codifie toute leur vie. Elle se décompose en trois grands rangs, comme chez les humains (petit-peuple, bourgeoisie, noblesse) mais également de toute une série de supériorité et infériorité en fonction de l’emploi de chacun et de la naissance de chacun.

Le petit-peuple représente une part relativement réduite de la race, réunissant les plus humbles, qui habitent surtout au centre de la grande cité. Cette classe sociale comprend les individus au service de la noblesse. Ils ne sont pas aussi pauvres que les paysans humains, mais ils se contentent en général de peu.

La bourgeoisie représente la part majoritaire de la race, réunissant les individus ayant une certaine aisance matérielle qui leur permet une meilleure vie, mais surtout un nm et un statu plus admirable. Ils vivent dans le centre de la grande cité, ainsi que dans certains villages. La majorité est à leurs comptes et possèdent des valeurs à la fois matérielles et spirituelles (connaissances). Parfois, ils peuvent même s’avérer très riches, quoi que moins que les bourgeois humains. Ils participent activement à la vie de la société. Ce sont des artisans, érudits ou soldats…

La noblesse représente une minorité de la race, réunissant les individus de hauts rangs ayant une grande aisance mais surtout un nm et une lignée admirable. Ils ont un grand poids dans la vie de la société et en régissent les différents aspects. Ils vivent dans de grands manoirs sur les bords de la cité ou dans les villages, voir pour certains au palais même. Ils travaillent surtout à des postes dit nobles : érudits, hauts gradés de l’armée, conseillers…

Ces classes sociales sont extrêmement imperméables, il est presque impensable de s’élever dans les strates du fait des mœurs elfiques et de leur amour du lignage et de la durabilité. Les éléments qui parviennent à s’élever le font souvent au titre d’actions particulièrement glorieuses et importantes, et encore que cela met souvent mal à l’aise quel que soit la reconnaissance. La famille royale et les conseillers sont les seuls à pouvoir décider d’une élévation. Si les relations aux richesses sont souvent moins inégalitaires que chez les humains, les protocoles, eux sont stricts et se basent sur ces rangs. Il y a cependant des impératifs pour tous Voir la justice

Gouvernement : Le peuple elfique est gouverné par une Impératrice et son Empereur, ou prince consort. Elle est l’autorité suprême qui ne répond de ses actes que devant le conseil des anciens. Elle et sa famille vivent dans le grand palais arboricole, dans le royaume elfique des vieux bois. Cette famille, les Evanaelle, est au pouvoir depuis de très nombreux millénaires. Le pouvoir décisionnel est partagé entre eux et le conseil, composé de conseillers, des elfes souvent nobles et qui sont des maîtres politiciens de différentes spécialités. Ils forment le noyau de la cour impériale, de même que leurs familles et d’autres grands érudits et généraux.

La noblesse est extrêmement fière d’elle-même et ne répond qu’à ses pairs, mais la bourgeoisie et le petit-peuple, eux, se placent presque sur un pied d’égalité. Le peuple elfique est très autarcique. Il n’a que très peu de contacts avec le peuple humain et déteste les vampires.

Famille


Les elfes tiennent non seulement la microsphère familiale en haute estime, mais on peut même affirmer qu’elle est sacrée pour eux. En effet, la race est très peu fertile, aussi les enfants et leurs filiations est extrêmement importante à leurs yeux. De la famille découle absolument tout. La place de l’enfant, son nom, les codes qu’il devra respecter dans tous les aspects de sa vie… C’est la famille qui définit l’individu, et l’identifie, lui procure tout ce dont il a besoin et l’introduit dans la société.

Le modèle familiale elfique n’a pas de figure prédéfinie. Il peut être soit patriarcale, soit matriarcale. C’est-à-dire dirigée par le père et les membres masculins de la famille, ou par la mère et les membres féminins de la famille, par ordre de prétention. C’est la figure dominante qui prend les décisions. Cependant, si l’on respecte ces décisions, elles peuvent être discutées en conservant le respect, en toute intelligence et en restant dans les limites établies par les bonnes mœurs. Ces décisions peuvent tenir du mariage, de la politique familiale… Contrairement aux humains, chaque membre de la famille travaille et pourvois différemment aux besoins des siens. Si la figure dominante vient à disparaître, c’est la suivante dans la ligne d’héritage qui prend sa place, si elle n’a émis aucunes volontés singulières à ce sujet. Hommes et femmes peuvent exercer les mêmes emplois, également. La femme cependant a encore le titre de maîtresse de la maison. Cependant, si au sein de la famille et entre les sexes, l’égalité est le mot d’ordre, il existe une stratification très rigides entre les emplis et les rangs. Un inférieur n’a, par exemple, pas le droit de parler avant un supérieur.

Malgré cela, l’affection et les sentiments ne sont pas du tout absents, ils sont même très cultivés, à la fois au sein de la famille, mais également plus généralement. En effet, toute la communauté se joint aux parents lors de la naissance d’un nouvel enfant afin de le choyer, le protéger et lui offrir la meilleure éducation possible. La majorité des mariages sont arrangés, cependant les mariages d’amour existent et sont acceptés relativement bien, s’ils ne vont pas à l’encontre des volontés de la figure dominante de la famille. Les elfes n’aimant qu’une seule fois, la majorité du temps, ce sentiment est très respecté. Filles et garçons sont appréciés, lors des naissances et on les dorlote de même. L’éducation est la meilleure pour chacun, mais on laisse l’enfant suivre ses propres tendances et facilité, en rapport avec son rang de naissance. Les enfants apprennent à lire, écrire, compter, sans distinction. Ils apprennent également la magie et le combat, mais sans insister pour ce dernier domaine, si l’enfant ne se révèle pas de goût pour cela.

Mœurs


Mœurs

L’éducation et le bain culturels conditionnent les elfes depuis la naissance et jusqu’à leur mort, contrairement aux humains qui ont une certaine liberté, les elfes sont de grands conformistes pour la grande majorité. Leur façon de penser, leurs réactions, proviennent souvent de leur environnement culturel et social. Il est rare de voir un elfe penser différemment et lorsque c’est le cas, il y a des chances pour qu’il soit mal vu voir très mal vu par les siens. Ces cas sont plus exceptionnels encore que chez les humains malgré une plus grande liberté de pensée. Le bain culturel est issu de l’expérience des générations précédentes et de la transmission des savoirs en continus.

Rapport aux relations inter-raciales

Les relations amoureuses et sexuelles, ou même d’amitié, entre races sont extrêmement mal vues par les elfes. Il s’agit d’un véritable tabou pour les elfes qui se pensent au-dessus des humains et des vampires. Les elfes se vouant à ce genre de relations sont souvent mis au ban de la société, dédaignés et stigmatisés comme des fous et des traîtres, voir des traités comme des créatures contre nature. Les familles où apparaît une relation de ce genre-là tentent souvent de se défaire du ‘mouton noir’ le plus vite possible et coupent les ponts. Si les humains ont tendances à blâmer ces couples et les éviter, les elfes les rejettent souvent ouvertement. Une relation amoureuse avec un humain sera vue comme une anomalie et une insulte à la race elfique, mais une relation avec un vampire sera en revanche traitée comme une véritable hérésie qui conduira certainement à beaucoup de souffrance pour l’elfe ‘fautif’.

Les relations d’amitié sont guères mieux perçues quoi qu’elles soient acceptées un peu plus aisément, envers les humains. Ici, cela tiendra surtout du degré de tolérance de l’entourage de l’elfe en question. Certains accepteront même si de mauvaise grâce, d’autres resteront fermes dans leur rejet. Certaines jeunes générations s’ouvrent également davantage, surtout avec les guerres récentes, mais cela reste un mouvement en pleine naissance et l’autarcie est encore majoritaire. A noter qu’une amitié avec un vampire sera, elle, toujours très mal perçue, en raison du passé des deux races.
Il faut donc faire attention.

Rapport au Travail

Si le travail est vu par les humains comme d’une importance extrême et un véhicule de valeur, les choses sont sensiblement différentes avec les elfes. Ceux-ci tendent moins à honorer le travail qu’une vie bien menée et une utilité à la communauté en général. C’est-à-dire qu’un elfe pourra très bien ne pas travailler dans le sens d’exercer un métier bien défini comme forgeron ou marchand, mais s’occuper par exemple des jeunes ou de la forêt. Le travail tel qu’on l’entend dans le monde elfique est, avant tout, d’avoir une place dans la hiérarchie et dans les rapports aux autres. Là-dessus, ils rejoignent les humains.

Les travaux en question ne sont cependant pas toujours les mêmes. Si l’on retrouve des incontournables, comme le fait que seules les familles nobles et anciennes peuvent accéder à des sièges au conseil, certains autres ne le sont pas tout autant. Ainsi, un membre du petit-peuple aura tout loisir de s’élever au rang de maître du savoir et pourra siéger à la bibliothèque impériale ou, s’il en a la chance, aider les Baptistrels avec la tenue des bibliothèques innombrables de Tomingorllo. De même, les forgerons impériaux ne rechignerons pas à prendre un apprenti si celui-ci vient d’une famille très humble, si l’individu en question est vraiment décidé à se lancé sur cette voie.

Il est à noter également que certains métiers humains n’existent pas chez les elfes, celui de chasseur par exemple. Les tanneurs de cuir sont également rares, quoi que pas inexistant. En revanche, certains métiers existent et ne se retrouvent pas chez les humains. Les gardiens du bosquet par exemple, qui sont des mages chargés de renforcer, surveiller et maintenir les protections magiques du royaume elfique. Il faut également rappeler que la distinction des sexes ne s’effectue pas comme chez les humains et que tous les métiers peuvent être effectués par des hommes ou des femmes.

Rapport à la richesse

La richesse matérielle, les biens possédés et l’or et l’argent dans les coffres, ne sont pas des critères très importants pour les elfes. On pourrait presque dire que c’est même le critère le moins important de tous. La richesse, pour un elfe, passe par la réussite du travail qu’il exerce et son utilité à la communauté ainsi que par son rang social. Le titre est, pour cette race, plus important que tout. La richesse matérielle n’est souvent utilisée que pour les rares échanges avec les humains ou pour des créations artistiques. Chez les elfes, on pourra être respecté sans richesse matérielle. C’est l’une des raisons qui rend la stratification sociale si hermétique d’ailleurs. Il est cependant à noter que les elfes aimant la belle facture, la possession d’armes singulières à la richesse historiques, de livres et d’objets culturels prisés, sont des critères plus regardés que la lourdeur d’une bourse pleine de pièces. La culture et la place sociale sont donc les critères prépondérants.

Rapport aux voyages

La forêt elfique est la plus vaste et la plus ancienne du continent. Il ne faut pas des semaines pour la traverser, pour ses habitants, à l’intérieur des limites du royaume elfique. Pour les voyageurs extérieurs, il est impossible d’y entrer sans l’autorisation des gardiens du bosquet, souvent avec l’aval d’un conseiller impérial. Pour les elfes eux-mêmes, cela dépend. En temps de guerre, il est possible que le royaume soit entièrement fermé. Si non, il leur suffit de demander à un gardien de leur ouvrir.

Les elfes ne sont pas des créatures aventureuses et voyageuses par nature. Ils sont autarciques et renfermés, et n’aiment pas beaucoup, en général, quitter leurs bois. Lorsqu’ils le font cependant, cela est pris par l’entourage avec plus ou moins de bonne volonté. Certains sont formellement contre, d’autres sont un peu plus ouverts d’esprit. Cela dépend également du but recherché. Voir simplement la nature extérieure est accepté avec plus de bonne volonté que de vouloir se mêler aux humains, sauf dans le cas des échanges diplomatiques.

Certains elfes sont naturellement amenés à voyager, contrairement à d’autres. Parmi ceux-ci, on trouve évidement les personnalités politiques, mais également les rôdeurs et certains soldats et érudits. Ils voyagent généralement à cheval, sur des montures personnelles, ou à pieds. Les charrettes ne trouvent pas beaucoup grâce

Relation au temps et à la mémoire

Les elfes ont une vie bien plus longue que celle des humains même si ils ne sont pas immortels. De ce fait, ils n’ont pas la même relation au temps que les humains qui ressemble à d’éphémères papillons. Une vie d’elfe, pourvue qu’elle ne soit pas écourtée volontairement, est longue et souvent bien remplie. Ainsi, la peur de la mort n’est pas si présente chez ce peuple. Elle n’est pas absente, évidemment, mais elle n’est pas prépondérante, en particulier chez les elfes les plus âgés dont les dernières années approchent et qui peuvent être particulièrement fatigués et en mauvaise santé.

Les elfes, peuple cultivé et appréciant l’éducation et les connaissances, prend son temps lorsqu’il s’agit de s’instruire ; préférant souvent passer des années sur un même sujet afin de le maîtriser parfaitement plutôt que de se contenter d’un apprentissage moyen. Leur mécanisme d’apprentissage est également moins rapide que celui des humains, et certaines choses qui prendraient très peu de temps à un ‘mortel’ pourrait demander plusieurs années à un elfe. Le résultat, cependant, sera souvent bien différent, bien meilleur. Ils prennent également leur temps pour savoir quelle est leur vocation, la voie dans laquelle ils s’engageront le reste de leur vie durant car c’est de là que découlera leur place finale dans la société elfique. Arrivés au bout de leur vie, en ayant remplie leur existence avec satisfaction, ils voient souvent la mort comme une bénédiction, un repos final après un millénaire d’ouvrage. Ils sont donc plus philosophiques que les humains.

Le peuple elfique est extrêmement respectueux de ses morts, leur offrant une place dans la mémoire collective et dans l’histoire du peuple. Cette mémoire, des noms, des filiations et des ouvrages, est extrêmement importante car elle est partie intégrante de la culture raciale. C’est également une des raisons qui rend la mort moins effrayante pour les elfes, la certitude qu’on se souviendra forcément d’eux. La mémoire est très importante, pour les sylvains et ils mettent un point d’honneur à se souvenir de tout, conservant les sommes de savoir accumulés dans leurs bibliothèques.

Pour les elfes, le temps est une chose que l’on ne peut manipuler et contre lequel il ne sert à rien de se battre. Il faut l’accepter et couler dans son sens. C’est un bien précieux qu’il ne faut ni gaspiller ni amasser, simplement utiliser à bon escient. La façon qu’ont les humains ne courir en permanence et de ne jamais ‘perdre de temps’ leur est très étrangère et incompréhensible et participe à la vision générale qu’ils ont de cette race encore trop jeune. Les elfes mûrissent relativement vite sur le plan physique, mais également sur le plan mental et peuvent faire preuve d’une étonnante sagesse très jeune même si ce n’est pas toujours le cas.


Rapport à la magie


La magie est, pour les elfes, un art. Un art esthétique, un art culturel, un art de vivre. Ce n’est pas qu’une simple discipline, elle coule dans leurs veines et est gage de leur futur. Peu d’elfes ne s’y intéressent pas, tant elle est importante, vitale. Et en général, ils sont bien plus doués pour la manier que les humains. Elle leur sert dans la vie de tous les jours : pour protéger leur royaume, pour créer des maisons arboricoles, pour appeler leurs montures… Il est bien rare que les jeunes elfes ne décident pas de développer leur potentiel magique à son maximum car elle également un facteur de respect et de placement dans la stratification sociale. Mais elle va bien au-delà de l’outil destiné au placement de chacun. C’est une part intégrante de ce qu’ils sont et de toute leur société. Foncièrement bénéfique, elle n’est souvent pas offensive et quand elle l’est, c’est de façon subtile et détournée. Elle est puisée profondément, dans la nature et le lien qu’entretiennent les elfes avec elle. Stable, harmonieuse, vibrante mais moins active que celle des hommes. Ils arrivent que ceux-ci puissent l’utiliser, lorsqu’ils font preuve de prédispositions singulières ou avec un fort alignement bénéfique. La magie elfique est plutôt défensive et extrêmement utile à leurs yeux. Mais ils voient d’un mauvais œil que les humains tentent de l’apprendre car elle fait partie de leur identité commune. La magie est une discipline de base que l’on enseigne aux jeunes elfes et qu’on les pousse à cultiver tout au long de leur vie. Avares, ils ne partageront leurs secrets qu’avec leurs semblables.


Conditions de vie


Les elfes sont beaucoup plus résistants que les humains, et ils sont habitués à un climat beaucoup plus tranché qu’eux. Ils peuvent bien résister aux températures extrêmes même si ils préfèrent la chaleur. Il arrive qu’un elfe décide de s’établir au royaume humain, souvent un banni que l’on rejette hors des bois, mais la majeur partie du peuple sylvain habite le royaume elfique, au cœur des vieux bois. Communautaires, les elfes ont une seule grande cité et quelques très petits villages. Dans ces espaces, les individus évoluent librement, en très bonne entente avec leurs voisins et pairs. Il arrive également que des elfes demandent à vivre sur le domaine de la Rhapsodie, à quelques lieux du royaume elfique. Les vieux bois sont en général très chauds en été et parfois très froids en hiver, jusqu’à être couvert de neige et de glace. Le domaine, lui, est très souvent chaud ou simplement doux, le temps y étant plus clément de par l’action des chanteurs et de leurs sanctuaires. Les elfes travaillent la terre et cultivent les arbres fruitiers du fait de leur régime alimentaire de végétarien. Ils n’ont aucunement besoin de chasser. Créatures d’extérieur, ils ont tendance à y passer le plus clair de leur temps, sauf la noblesse, les conseillers ou plus généralement les individus ayant des tâches d’intérieur qu’ils ne peuvent négligés. Ils dorment la nuit et vivent le jour, profitant de la pleine lumière.

Fêtes, Rites et Croyances


Fêtes

Des esprits : Cette fête est célébrée tous les 5 ans, aussi bien par les elfes, les hommes ou les vampires. Elle a lieu le premier jour de l’année et est constituée d’une succession de petites cérémonies chantées. Il s’agit chaque esprit supérieur l'un après l'autre dans un ordre strict (océan, vent, feu, terre, végétal, vie et mort) censé représenter la naissance du monde. Entre chaque petite cérémonie les convives doivent faire la fête en mangeant et en dansant. Elle dure entre 3 et 4 jours pendant lequel une trêve totale est respectée entre tous les ennemis. Les peuples ne peuvent se faire la guerre, les adversaires ne peuvent se battre ni se disputer.

C’est une fête importante et attendue, fêtée avec beaucoup d’application et de dévotion. Moment fort d’un nouveau cycle de 5 ans, tous les elfes se réunissent pour en voir l’aube et y participer à égalité. La nourriture se fait plus riche mais ce sont surtout les représentations qui sont à couper le souffle. Tous se réunissent autour du grand chêne ainsi que dans les sanctuaires élémentaires du domaine Baptistrale. C’est le seul instant où la stratification sociale s’effondre et où les elfes se voient en égaux. Les chants et les danses sont magistrales et chacun rivalise de talent et d’ingéniosité.

Il y a trois cérémonies par jour, chantées et suivit de la nourriture et des jeux pour amuser l’assemblée. Il est d’usage d’ailleurs de porter ses plus beaux habits pendant les fêtes, en général haut en couleur et dans les tons de chaque esprit que l’on honore. Femmes et hommes portent également une petite broche d’argent ou d’or portant l’inscription runique de la fête des esprits. Elle est généralement confectionnée enfant et suit la personne toute sa vie, sauf si elle se brise. Personne ne la vole, elle est sacrée. Il est également d’usage d’offrir aux membres de sa famille ou aux amis proches, voire parfois aux ennemis en signe de paix, une fleur différente pour chaque esprit.

Du pardon : Cette fête a lieu tous les ans au premier jour du printemps. Elle est censée honorer le renouveau afin de porter chance pour le nouveau cycle de la nature qui commence. Il n'y a pas de cérémonie ce jour-là et il serait considéré comme offensant de faire le moindre signe ostentatoire pouvant prouver qu'il s'agit d'une fête. La tradition consiste pour tous les peuples à aller offrir un cadeau à une personne que l'on aurait offensée afin d'obtenir son pardon, la personne se doit alors de l'accorder sous peine de s'attirer les foudres des esprits. Cette tradition mise à part, c'est un jour comme les autres.

De la Terre : Cette cérémonie a lieu sur les plages de tous les royaumes au milieu de l'hiver de chaque année. Il s'agit d'honorer l'esprit de la terre afin de l'encourager à lutter contre son frère Océan. La tradition veut que les participants dansent et chantent sur les plages à partir du coucher jusqu'au lever du soleil. La musique est souvent jouée par des tambourins, des flutes, rarement par des instruments à cordes et on demande aux jeunes filles et jeunes garçons, entre 30 et 100 ans, de prêter leurs voix dans des chants traditionnels en l’honneur de l’esprit de la terre. A la toute fin de la soirée, une jeune personne choisie spécialement pour l’occasion, entonne un nouveau chant qu’elle aura été chargée de composer et qui viendra s’ajouter aux chants traditionnels et entonné par la suite l’année suivante avec les autres. Il y a des jeux également mais en petite quantité. Usuellement, l’on mange avant le coucher du soleil et pas pendant la fête en elle-même.
Lorsque le soleil se lève il faut jeter un panier de fleurs marines à la mer afin de calmer la colère de l'esprit Océan.

Mariage

Le mariage elfique est très long, prenant place sur toute une semaine. Sept jours consécutifs, avec un rituel bien précis à suivre.

Le premier jour, les mariés restent à l’intérieur de la maison de la femme, seuls du lever du soleil à son couché. Ils doivent tisser des végétaux pour en faire des ornements et décorations pour la fête. Il ne faut pas que ces ornements soient fait par d’autres que les mariés, car ce serait de mauvais augure et inciterait à croire que le jeune couple ne saurait pas se débrouiller seul par la suite. Ces ornements sont souvent faits de fleurs d’Amaranthe, pour l’amour durable, d’aubépines pour l’espoir, de belle-dame pour la pureté, de bleuet pour la délicatesse et de genévrier pour la protection. Cette première journée, les deux individus doivent porter de simples vêtements blancs, sans fioritures. La seconde journée se passe également confinée pour le couple, chez l’homme cette fois. Les deux jeunes gens sont seuls une fois de plus et doivent cette fois-ci cuisiner ensemble un gâteau spécial, réservé aux mariages, garnis de fleurs et de végétaux sucrés.

Le troisième jour du mariage, les deux jeunes gens peuvent enfin sortir. La femme est alors habillée d’une robe très simple, de couleur cendrée pour symboliser la fécondité, la fidélité et en hommage à l’esprit de l’eau. Cette robe sans manches et au col montant est accompagnée d’une ceinture de tissue nouée sur l’avant. L’homme quant à lui, porte une tunique, simple, de couleur bleu, passée sur des braies blanches. Tous deux doivent avoir les cheveux tressés en une unique natte. Le couple se rend chez chaque famille de leur entourage, afin de leur remettre un des gâteaux qu’ils ont préparés et qui signifie une invitation pour le reste de la fête, qui s’effectuera à l’extérieur.

Le quatrième jour, les invités, les familles et le couple se réunissent tous ensemble dans la clairière du vieux chêne. C’est une journée de jeux, de concours et de convivialité. La femme porte à cette occasion une tenue très colorée. La robe en elle-même est rouge, faite de soie, ou de tissu imprégné d’éléments et teint en couleur chaude. Elle s’accompagne généralement de volants légers, ressemblant par certains côtés aux jupons humains, mais beaucoup plus souples et doux, de couleur jaune, doré ou ambré. Elle porte, pour l’occasion, une ceinture faite de cuir rouge sur lequel sont attachés des figurines végétales ou des morceaux de tissus colorés aux couleurs des différents esprits. Ces figurines sont offertes par les invités. Plus il y en a et plus on estime que le couple sera heureux. Il arrive même parfois que la mariée doive porter plus d’une ceinture tant elle reçoit de ces présents. Le marié porte également une tunique rouge ou imprégné d’élément. Sa ceinture cependant est faite de feuillages et de fleurs symboliques comme les fleurs de citronniers ou les camélias.

Le cinquième jour est extrêmement important dans la cérémonie elfique. En effet, à l’aube, les participants (famille, entourage et couple) se réunissent une nouvelle fois près du grand chêne, où un Baptistrel chantera l’histoire des deux amoureux depuis leurs naissances jusqu’à ce jour. C’est un moment très attendu de la fête. Une fois que cela est fait, la journée est dédiée à des démonstrations et des cadeaux. Les invités et la famille offrent des cadeaux aux futurs époux puis présente un spectacle ou une réalisation en leur honneur. Le marié et la mariée doivent à l’issu de la journée, choisir chacun une personne parmi les participants, qui aura l’honneur d’officier durant la cérémonie pour eux, aux côtés de leurs parents. Pour cette journée, la femme porte une robe verte brodée de doré ainsi qu’une ceinture de tissu de cette même couleur. Le vêtement est souvent familial et portée de mère en fille, chaque nouvelle génération lui ajoutant une nouvelle broderie. Les plus riches sont donc les plus anciennes. Les cheveux sont relevés en coiffures compliquées et entrelacés de vignes. L’homme porte en revanche une tunique à majeur dorée et aux broderies vertes. Ce vêtement-ci est unique à chaque mariage. Le réutiliser serait de mauvais augure.

Le sixième jour est un jour de jeun, le couple ne mange pas et la famille non plus. Ils se rendent sur le domaine baptistral afin d’offrir une prière et un présent à chaque esprit, afin qu’ils bénissent l’union. Les élus du jour précédent accompagnent les jeunes époux, de même que les parents. Enfin, l’ultime journée voit la cérémonie en elle-même, présidée par un Baptistrel qui lie les poignets des deux époux par un sortilège végétal et leur fait prononcer leurs vœux. Une fois les vœux prononcés, les élus du cinquième jour coupent les végétaux liant les deux époux, à part égale, et leur remettent chacun un collier d’argent portant une unique perle gravée à l’image d’une fleur différente en fonction du statut social, les nobles portant un lys, les bourgeois une orchidée et le petit-peuple une rose. Ensuite, le festin prend place, durant une bonne partie de l’après-midi avant que le couple ne s’eclipse pour consommer l’union. Ceci se faisant souvent au grand air. A cette occasion, la femme porte une robe blanche brodée, une ceinture de tissu blanche liée à une traîne portant les couleurs des esprits. Par dessus la ceinture de tissu, elle porte une ceinture d'argent aux formes végétales. La robe blanche est généralement très riche et très belle, brodée à la main et cousue de fines gazes irisées. Les cheveux de la femme sont laissés libres, comme ceux de l'homme, également dans une tunique blanche. Tous deux portent également les ornements végétaux qu'ils ont confectionnés le premier jour.

Cérémonie d’accueil à la vie

La naissance d’un elfe est un miracle pour ce peuple à la fertilité réduite, et il donne lieu à une grande fête en deux parties : la cérémonie et les festivités. Juste après la naissance de l’enfant, lors de la première journée, on fait venir un Baptistrel afin qu’il interprète le chant-nom du nouveau-né et s’assure de sa bonne santé. Le chant se fait souvent dans la clairière du grand chêne, après qu’il eut été présenté une première fois à l’assemblée des elfes. Une fois le chant-nom entendu, les parents (plus souvent le père car la mère se repose) offre son prénom au nourrisson qui est alors passé devant toutes les familles. Le second jour après la naissance, le couple se rend avec l’enfant sur le domaine Baptistral afin de visiter les sanctuaires et appeler les esprits à protéger l’enfant durant sa vie future. La troisième journée, l’enfant est placé dans un berceau végétal, dans la clairière du grand chêne, où se déroule le début des festivités qui dureront une semaine entière, avec des jeux, des chants et des poésies en l’honneur de la nouvelle vie qui a éclot. La communauté entière organise cette fête et en supporte le coût. Les parents reçoivent également de très beaux cadeaux pour leur enfant, souvent plus beaux encore que ceux reçut pour le mariage

Cérémonie des morts

La cérémonie s’emplie de magie car la magie fait partie des elfes comme l’air qu’ils respirent. Lorsqu’un elfe décède, il est remis à la charge d’un veilleur mortuaire, un guérisseur spécialisé dans les derniers soins. Ce veilleur se charge de préparer le cadavre, le lave le nettoie, le conserve et l’habille. Les vêtements sont souvent très beaux et les ornements très riches, un don des vivants au mort pour son passage. Le corps est ensuite emmené dans un lieu spécialement prévu à cet effet, où se réunit la communauté. Là, un Baptistrel vient déclamer le chant-nom du défunt avant de laisser la famille et les amis offrir leurs ultimes poèmes. Il s’agit souvent de passage de sa vie mit en vers, des hauts-faits et des gestes particulièrement remarquables ainsi que des souhaits de bonne réincarnation. Une fois cela fait, le Baptistrel s’occupe de détacher les lambeaux de l’âme du corps et de purifier celui-ci. A cet effet, il entonne d’abord le chant du vent puis le chant du passage, s’assurant que le défunt trouvera un repos paisible.

La suite dépend du rang social. Les elfes de rangs moindre sont brûlés grâce à la magie et les cendres dispersés dans la forêt afin de ne faire qu’un avec la nature. Les elfes nobles en revanche sont gelés et leurs corps conservés dans le jardin du souvenir, un lieu de recueillement où leurs familles peuvent venir les voir. Le deuil se fait en blanc, chez les elfes, et il a une durée allant d’un an à plusieurs années, en fonction du défunt.



Dernière édition par Merithyn Shadowsong le Ven 9 Mai 2014 - 17:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Société Elfique Société Elfique Icon_minitimeVen 9 Mai 2014 - 17:14


Société Elfique partie 2


Lieu de vie, villes et climat


Les elfes vivent depuis leur arrivée sur Armanda, dans les vieux bois. En symbiose avec la nature, ils ont apprit à en connaître les moindres recoins, ils défendent les arbres qu’ils vénèrent et la forêt les protège des intrus indésirables. Une large partie de ces bois sont sauvages quoique sous la protection des elfes. Le royaume Elfique est caché pour la plupart des gens à l’abri derrière les bosquets magiques, une barrière très puissante et qu’on ne défie pas à la légère. A l’intérieur du royaume, des dizaines de villages se succèdent dans la zone centrale. Celle à l’ouest abrite les diverses écoles et celle à l’est le centre d’impulsion politique : la clairière du grand chêne. Les bâtiments sont très esthétiques et majoritairement en bois ; si les habitations sont en hauteur, dans les arbres, les bâtiments publics se trouvent au sol. Pour ce qui est du climat, il est surtout pluvieux et les hivers sont rudes.

Cycle de vie


Les elfes ont un cycle de vie beaucoup plus long que celui des humains. Il faut cependant noter qu’en raison d’une croissance très différente, il est difficile de réellement comparer les deux espèces. Les elfes peuvent vivre jusqu’à mille ans environ. Leur enfance est rapide, surtout pour une période de vie aussi considérable. A huit ans, elle s’achève pour laisser place à une adolescence très courte elle aussi. En revanche, les elfes sont de jeunes mâles/femelles jusqu’à quatre cent ans environ. Puis ils sont véritablement considérés comme des adultes. La vieillesse apparaît très tardivement. A partir de neuf cent ans, l’elfe est mature, mais sans véritables signes qui dégraderaient sa beauté naturelle. Et même lorsque le déclin reprend finalement ses droits, dans le dernier demi-siècle de leur vie, une noblesse naturelle les entoure. Pour ce qui est de devenir parents : c’est là le rêve de bien des elfes. Mais, il est beaucoup plus difficile pour eux de créer la vie, et chaque nouveau-né est un véritable présent fait à tout le peuple. N’ayant ni l’habitude ni la force des humaines, la grossesse et surtout l’accouchement des femmes elfes est toujours compliqué et peut parfois finir très mal.

Territoire


Le territoire des elfes est celui des vieux bois. Pas seulement de leur royaume, mais bien de l’intégralité de la vielle forêt qui est sous leur protection. Exception faite peut-être du domaine de la Rhapsodie. Jusqu’à très récemment, les baptistrels n’avaient pas eu besoin des elfes pour protéger leur domaine. La flore est luxuriante, immense et labyrinthique. Seuls les elfes savent réellement s’y retrouver, et il n’est pas rare que les autres espèces s’y perdent. La faune peut être qualifiée de dangereuse, sauf, là encore, pour les elfes, qui vivent en bonne entente avec elle, les prédateurs respectant les frontières de leur royaume.

Entente avec les autres peuples


Si les elfes préfèrent vivre entre eux, de vielles relations les lient aux autres races.
  • D’abord avec les vampires, l’ennemi ancestral qui les a suivit jusque sur ce continent. D’aussi loin qu’ils s’en souviennent, ils ont toujours été en guerre : car les vampires sont pour eux des êtres maudits qui troublent l’ordre naturel des choses. Le trêve récente est donc une première dans leur histoire. L'histoire des elfes est longue même en adoptant leur manière de concevoir le temps (une génération correspondant à un millénaire) et les vampires sont associés aux pires périodes de cette histoire. Certes les premiers vampires furent autrefois des elfes, et ce fut un vampire qui le premier devient dragonnier et essaya d'imposer une paix entre les deux peuples. Mais ce fut un échec. Comme toutes les tentatives depuis lors. Avant l'arrivée des hommes, la guerre dura plus de treize siècles et il en fallut un supplémentaire lorsque les humains accostèrent pour refouler la menace. Néanmoins l'immunité que les elfes semblent avoir développé contre le venin vampirique pourra peut-être, à terme, amener ces relations à changer.

  • Pour ce qui est des dragons, les elfes sont intimement liés à eux, car dépendant de la magie dont ils sont la source. De plus, ce sont les dragons qui les ont accueillis sur le continent et qui leur ont offert ce refuge alors qu’ils fuyaient l’extinction. Ils les considèrent comme de merveilleuses et de redoutables créatures. Malheureusement le départ des dragons fut aussi celui de la magie, ce qui provoqua le déclin des elfes. Une revers qui fut difficile pour ce peuple qui avait déjà tant souffert. Mais contre qui pouvaient-ils se plaindre ? Les dragons, incarnation même de la liberté ? Les hommes, qui les avaient fait fuir ? Finalement le Dracos Honoris sauva Armanda et les elfes par la même occasion. Les dragons revinrent et avec eux la magie. Un peu d'une génération de doute et de souffrance, ce n'était pas cher payé.

  • Les hommes sont de très vieux alliés, puisqu’ils ont combattus côte à côte contre les vampires. Néanmoins et contrairement aux elfes, les générations d’hommes se succèdent très rapidement, et il est parfois difficile pour les elfes de les suivre ou même de considérer des êtres aussi brefs comme des égaux et non comme des enfants turbulents. A cela s'ajoute l’isolationnisme elfique. Après la guerre et la victoire (en demi teinte) contre les vampires, le Beau Peuple n'avait plus qu'une seule envie : retourner vivre dans la forêt. Ils laissèrent les hommes à leur destin. Une décision que l'on pourrait considérer comme un abandon, sauf qu’elle permit aux hommes d'obtenir une hégémonie totale sur une large partie d'Armanda. Les deux peuples seraient-ils restés amis si ils avaient dû partager les terres fertiles ? Considérant l'orgueil et l'avidité des humains, rien n'est moins sûr. C'est donc probablement cette isolation qui a permis à cette alliance de survivre à travers les siècles.



Apparence et mentalité


Intimement liés à la magie, les elfes disposent d’une grâce et d’une beauté surnaturelle. Leurs vêtements sont magnifique de simplicité. Les guerriers portent l'uniforme (cf topic correspondant), les artisans des vêtements pratiques et les politiciens des tenues plus sophistiquées, rivalisant d'adresse en la matière. Les couleurs sont généralement en adéquation avec la forêt et la nature en général, quoique certaines exceptions puissent être fête lors d'occasions spéciales ou en ambassade chez les humains. Physiquement, les elfes sont le plus souvent élancés et sveltes, amoureux de la nature, il se confondent avec leur environnement. Très portés sur le contemplation et la méditation, ils préfèrent la réflexion à l'action intempestive. L’éducation et les traditions elfiques les façonnent si bien qu’on retrouve chez presque tous les elfes des caractéristiques communes et immuables. En effet, ils sont très attachés à leur code de politesse d’autant plus qu’ils sont fiers et susceptibles. Patient et rancunier, la vengeance d’un elfe peut être terrible car on aura oublié depuis longtemps l’affront commis. Néanmoins ils sont naturellement bons.

Note : Les elfes sont généralement de grande taille, dépassant les 1m80

Technologie


Très attachés à leurs valeurs et à leurs traditions, ce n’est pas un peuple qui apprécie les changements ou les évolutions. Ainsi, en des millénaires d’histoire, ils n’ont jamais vraiment innovés, mais en revanche ils ont appris à maîtriser d’une manière de plus en plus aboutie ce qu’ils connaissaient déjà. Ce qui vaut pour les techniques est différent pour l'esprit. La culture et les arts elfiques, influencés par les baptistrels, n'ont cessés d'évoluer, jusqu'à atteindre un degré de raffinement qui fascine le reste du continent.

Langue


Les elfes parlent surtout la langue commune, mais aussi l’elfique

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Société Elfique

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