La famille, elle vous fait grandir dans l'amour et la joie, elle vous inculque des principes de vie. J'ai toujours aimé ma mère, mais elle ne m'a jamais souri de son vivant... Elle m'aimait autant que ma sœur, elle nous choyait autant que possible... Mais la vie restait dure ... Le vent souffla bientôt et il ne resta plus que moi, dans une famille que le temps avait réduite à néant…
Il fut une époque ou une jeune femme était libre loin de toutes ses obligations, elle avait quitté l’emprise étouffante d’une famille trop autoritaire. La jeune fille était partie loin de tout devoir vers un avenir dont elle serait la seule a choisir, à dicté… au du moins c’est ce qu’elle croyait…
Tout commença le soir où ma mère fuit vers un petit village de l’empire. La nuit s'annonçait belle, quelques rayons de lune percutaient les innombrables fenêtres vitrées du bourg. Laissant ses pas la guider à la rencontre de son nouvel univers. Les rues étaient désertes pas une âme qui vivent. L’aire était lourde le danger la guettait... Ce fut à ce moment qu’entre les ombres un groupe de voyous débarquèrent avec la ferme intention de prendre et de prendre encore. C’est a se moment que la jeune femme fit claquer ses talons pour fuir, pourtant de grosses pattes s’emparèrent d’elle la fessant tournoyer jusqu'à de gros bras. L’homme ricana sous la confusion de la jeune femme, la serrant dans ses bras muscler par des années de dur labeur. La dépouillant peu à peu de ses biens, ils entreprirent de continuer leur manège sous ses cris toujours persans. La situation semblait désespérée... Pourtant, il y eut bien un sauveur, et non pas l’idéal du prince charmant, mais plutôt du prince ténébreux… Maigre et drapé de noir il était d'un aura noir, qui figeât tous de suite ses adversaires. Mais ce n'était pas suffisant, il ne suffisait pas d'apparaître pour les faire dévier de leur proie. Cette proie qui était sûre que cet homme était son sauveur, sans même le connaître. Elle en était sûre! Il semblait briller, plus que le soleil lui-même, c'était comme si elle avait été frappée... Elle tomba même... ce fut peut-être à cause du choc ou du traitement qu'elle avait subi. L’homme drapé de noir vient à son secours, restait à savoir si c’était pour son propre intérêt ou pour celui de la jeune femme.
Un cercle vicieux se forma bientôt autour du défenseur, le piège se refermait sur l’intrus…
Seul dans la pénombre face au démon des rues, bien peu pour ce diable noir...
Les hostilités commençaient ce fut en un seul saut qu’il réussit à éviter le troupeau qui s’entrechoqua brutalement. Au dessus de ses ennemis, il laissa glisser une rapière dans sa main qui vient bientôt éclabousser le sol granuleux de sang frai… Se retrouvant sur le sol, après son envol de courte duré. Une nuée de petits démons se ruèrent sur le prince ténébreux, il ne resta d’eu qu’une simple boucherie d’eu. Les dents serrées, un colosse s’avança vers ce monstre qui avait réduit ses braves compagnons en simple cadavre. L’homme allait lui faire payer par la souffrance et la douleur qui affligeait son cœur déjà souiller du sang des nombreux innocents. Soif de sang, ténèbres, mort et peur voilèrent ce qui gonflait l’oxygène déjà irrespirable. Dévoilant une lame bien affûter, mais pourtant rougie par le sang, le bandit s’avança un sourire satanique collé aux lèvres.
Chacun de ses pas était lourd que le sol semblait en trembler, chaque éclat de roche semblait se soulever pour retomber lourdement sur un sol couvert de poussière et de cadavre…
Les deux adversaires se firent face dans les règles de l’art, en position de combat arme et poing lever. Il mettrait fin à ce massacre en emportant la tête du perdant à leur seigneur respectif.
Placer a un bon mètre de distance les deux adversaires entamèrent une course vers l’ennemie qui leur fessait face, les armes pointer ils s’élancèrent arme au poing.
Un nuage de poussière se souleva dans cette course folle.
Les deux armes s’entrechoquèrent brutalement, parant tant bien que mal avec sa dague le prince ténébreux craquait presque sous cette force titanesque les sabres fessait quelques étincelles. Un coup à droite une parade, un autre coup une autre parade. Le combat n’en finissait plus ! Il parait tant bien que mal l’arme qui tentait de se rendre au cœur. Mais le colosse voulait en finir et non pas dans les règles de l’art. Il utilisa sa botte secrète une épine empoisonner disposer dans sa manche, pendant que le petit démon paraît de sa lame il laissa la petite épine sauter de sa manche.
L’épine s’enfonça sa chair comme chauffer à blanc pour ressort en sens inverse, le prince noir roula sur le sol laissant le sang gicler de sa plaie…
-Hahaha ! J’ai eu saleté de monstre !-Argg. Vous ne jouez pas loyale… Alors, vous mourez vite…Pressant sa plaie contre sa main, il se leva tant bien que mal, affaibli… Il souleva le bras qui lui était encore libre, la haine dans les yeux. L’homme écarta les yeux il flottait, sa gorge se serrait de grosse goute de sueur commençaient a couler le long de son front puis de son visage, il voulait respirer ! Le corps retomba lourdement sans vie après un moment.
Le sang maculait les rues désertes, l’aurore pointait déjà son nez. Qui était cet homme, cet assassin qui avait souillé la nuit de sang. Moins d’un contre cinq d’hommes ! Comment avait-il gagné ? Mais le temps pressait il fallait partir.
Tenant son épaule couverte de son propre sang pour une fois, il s’approcha délicatement vers cette douce jeune fille étendue sur le sol, encore en état de choc et en proie à de nombreuses questions… Il lui offrant sa douce main gantelée, au prix d’effort surhumain, pour se relever. Leurs yeux se croisière comme deux aiment attirer un bleu océanique vient croiser les siens d’un vert maladif, rempli de tant de souffrance et d’atrocité…
Perdant pied comme lucide le jeune homme se laissa tomber sur la jeune femme.
Laisser a elle-même, elle transporta le jeune homme jusque chez elle, ou elle devais se rend avant de se faire brutalement attaquer et assister a ce massacre. Elle pensa ses plaies et injecta l’antidote au poison qui lui avait été administré, c’était une chance qu’elle est quelque don en médecine. Sous les soins attentifs de la jeune femme, le jeune homme ouvrit les yeux et plongea une seconde fois son regard dans le sien.
Ils ne lâchèrent plus à partir de ce moment-là!... C'était ce qu'on appelait un coup de foudre... L'amour avait frappé fort, mais elle semblait artificielle... trop rapide... Mais personne ne contrôle son cœur...
Elle le suivit donc chez lui, les yeux pleins d'amour, le ventre plein de papillon et le cœur plein d'espoir... Dans une passion nouvelle où chaque mouvement s’accordait, ils passèrent une nuit ensemble... (Je vous passe les détails u.u)
Le petit couple former à partir de ce jour fatidique se promirent de s’aimer et de ne jamais se quitter, ou du moins jusqu’au rétablissement du jeune homme qui ne pouvais quitter les soins attentifs de la jeune femme…
Un bon mois passa, elle ne fessait que passé du bon temps avec ce nouvel amour! Grandir en beauté et en joie... Quand la nouvelle arriva... Une nouvelle qui aurait dû être heureuse, mais qui fut tout le contraire... Sa visite chez le médecin lui avait appris qu'elle attendait un enfant! Le sourire aux lèvres, elle avait tout préparé pour l'annoncer à l'élu de son cœur. Un dîner aux chandelles dans un beau restaurant, au milieu du repas, après un baiser le jeune ténébreux lui fit une confidence qui lui pesait sur le cœur.
-Je.. Je suis désolée Amélia… Mais je ne peux plus rester…
Il inspira profondément sachant que les mots qu’il allait prononcer allaient la blesser, il n’avait pourtant pas le choix s’il voulait qu’elle vive. Il aurait donné cher pour rester avec elle, mais le prix à payer serait trop cher…
-Tu n’étais qu’un jouet et maintenant je ne veux plus de toi.
Il se leva rapidement, pour quitter les lieux vers la calèche qui l’attendait au centre de la ville. La jeune fille resta un moment assit sur son siège en était de choc. Quelque larme routière le long de ses joues rougit par la honte… Elle se leva brusquement et courut rattraper celui qu’elle aimait.
Elle arriva donc au hangar et effleura la coque de la calèche… trop tard. Elle s’écroula sur le sol et murmura :
-Tu vas être papa…
Il était parti... Elle était seule avec cette vie ...
Quelques mois plus tard...
La jeune maman caresse son ventre déjà arrondi, dans le quelle un cœur battait, après d’elle pesait le poids de la solitude. Elle aurait voulu passer cette étape de la vie à deux, main dans la main. Loin au fin fond de ses entrailles un mal inconnu vient la ronger ne laissant résulter d’elle que des cris de douleur. Le travail avait commencé plutôt que prévu...
Si le premier enfant est toujours le plus difficile lors de son arrivée, alors on peut dire que ce fut l'un des plus longs et difficiles accouchements qu’il fut possible de vivre pour cette pauvre maman si seul. Le sang couvrait littéralement les murs autres fois d’un blanc cotonneux, la chaleur était insupportable. Ce n’est qu’après d’interminables heures, que deux petites frimousses rougeoyantes et brayant de deux petits nourrissons, affreusement maigres virent le jour. L’enfant légèrement prématuré reprendrait des forces en puissant dans celle de sa mère…
Emmitoufler dans un drap de coton, les petits êtres n’arrêtèrent leurs pleurs qu’au creux des bras de l’heureuse maman. La jeune mère observa, malgré la douleur qui l’asseyait, les enfants qui trônaient au creux des bras sans force. La différence brillait au fin fond de leurs yeux océan miroitant au clair de lune, elles portaient au fond des leurs iris océan un destin qui lui semblait différent.
Pourtant, elle sentait que s’il gardait ces petits bouts de chou elle courrait à sa perte. À cette seule pensée, les nourrissons laissèrent échapper plusieurs sanglots qui firent promettre à la mère en proie au délire une vie au sein d’une famille parfaite qu’elle se construirait !
C'était un jour comme les autres, enfin c'est ce que je croyais... Jusqu'à ce que je prenne le courrier en cet avant-midi de pluie.
Regardant le courrier, je vis une lettre adresser à ma mère, chose quelque de peu surprenante... Je lui donnai la lettre, de la malice dans les yeux. Elle l'ouvrir, la lut si vite et si bien, que je ne pus même pas distinguer un seul mot. Elle la déchira en morceau criant et pleurant, je m’approchai pour l’aider, mais elle me repoussa si violemment que je heurtai la table. Mais diable qu'avait elle !? Poussant des cris, j'appelai de l’aide. Je criais au voisin de venir dans les rues de l’aide… Personne…
Ma sœur accourra enfin…
Ne pouvant rien faire de mieux, j'essayais de calmer ma mère qui était en pleur et qui une rapière sous sa gorge, l’arme même qu’elle m’avait offerte pour ma fête, si j’avais su je n’aurais jamais accepté se cadeau de fête aussi heureuse…
-Mère lance cette arme ! Tout ira bien ! Je t'en pris !
La jeune mère ne quitta pas son arme, elle semblait terriblement bouleverser et résolue.
Je vivais un vrai cauchemar, j’aurais tant voulu me réveiller…
-Ayou, Alice je n’en peu plus de vivre, voir le visage de cet homme qu’est votre père… Me lever chaque matin la mort aux trousses… J’ai toute donné pour toi ma vie, mon cœur et mon avenir …
J’AI TOUS FAIT SA POUR VOUS ! Maintenant, laissez-moi partir ! Vous êtes es assez grande pour prendre soin de vous!Elle laissa un doux sourire éclairer son visage, le premier qu’il me fut donné de voir de sa part… Elle semblait toujours si terne, triste et voilà qu’un soleil se levait sur son visage si pâle… Le jour de sa mort…
Sur ses derniers mots, elle laissa glisser l’arme sur sa gorge et se vida de son sang.... qui gicla dans toute la pièce. J’étais en pleur le cœur en miette, couverte du sang de ma propre mère.
Elle mourut sur le bois franc de la cuisine après quelques minutes seulement…
Ayou prit la rapière tacher de sang dans mes mains, a se moment quelque pas résonnèrent sur le plancher de bois et en levant la tête elle put voir deux hommes. Le visage grave, ils sortirent leur épée pendant à leur ceinture… Ces hommes faisaient respecter la loi qui était enfaitée leur loi… Les deux sœurs Blood se regardèrent avant de prendre leurs jambes à leur coup.
-Assassin!...Des paroles qui volèrent en éclat aux oreilles des deux jeunes filles… Ce fut de trop pour la jeune Alice, qui se détourna et prêt pour une attaquer les deux opposants qui osait l’accuser de la mort de sa propre mère. Ayou s’approcha de sa sœur pour la soutenir. Mais Alice lui ordonna de fuir, la jeune fille essaya de luter, mais fut vite balayer par la volonté de sa sœur… Elle fit une embardée par la fenêtre pour se retrouver sur le toit, elle fit une roulade pour reprendre son équilibre juste au rebord du toit, quelques tuiles tombèrent sur le sol situer plus bas. En un souffle, elle s'accrocha à la gouttière et se laissa agilement retomber sur le sol de terre. Une fois sur le sol elle fut comme projetée dans un état second dicter par son adrénaline et son instinct de survie… À force de marcher, de courir vient rapidement la fatigue… Quand elle retrouva enfin ses esprits un flot d’émotion lui bloqua la gorge, elle venait de perdre sa mère et peut-être sa sœur… La jeune Blood resta longtemps dans la petite forêt, qui lui offrait un abri peu sûr, pour apaiser son chagrin dans la solitude. La lune pointa bientôt dans les ténèbres et les hurlements des loups vinrent faire écho aux oreilles de la jeune fille. Elle leva ses grands yeux bleus et réalisa qu’elle était totalement perdue, elle rassembla ce qui lui restait de force pour ce relever. Elle fit quelque pas dans la dense forêt de feuillu. Les hurlements se rapprochaient, dans quelques tremblements incontrôlés elle tourna nerveusement la tête de gauche à droite avant de déguerpir tell un gibier chasser. Sa course la mena devant un feu de camp vide… La jeune fille s’approcha espérant pouvoir faire fuir les loups. Des mains s’emparaient d’elle par-derrière l’immobilisant.
- Qui êtes-vous? Comment avez-vous trouvé mon campement? Qui vous envoie!
-Je… Je ne sais pas de quoi vous parler…
- N’essayer par de me mentir!
-Mais je vous dis la vérité!L’homme lâcha enfin la jeune fille, pour lui demander plus ample explication, les yeux remplit de méfiance…
Ayou lui expliqua l’événement qui l’avait poussé à se retrouver dans la forêt soit la perte de sa mère, la séparation de sa sœur et la poursuite des loups…
L’homme sembla mal a laisse de voir cette enfant si mal et l’invita à rester chez elle quelque temps qui s’avéra être deux ans. L’homme avait de nombreux secrets qu’il ne révélait à personne, c’était qu’il était un peu paranoïaque sur les bornes. Il vivait dans une petite tour dans les bois, à l’abri des regards indiscrets. Amir voila comment il avait dit s’appeler… Il se fessait appeler par de nombreux nom, ne glissant jamais son vrai nom a ses interlocuteurs… Quoi qu’il en soit Amir apprit quelques basses de la magie à Ayou soit qu’une fraction des pouvoirs qui dormais en elle. Mais après deux dans le magicien du partir pour des affaires urgentes. Sa route comme celle d’Ayou se séparait… Il restait à la jeune fille à trouver un nouveau maître…