Lewyn Viladric Modérateur Dragonnier de la Caste
| Sujet: Re: Aurore Lapsida Jeu 12 Jan 2017 - 15:25 | |
| Bonjour Aurora o/. Ce sera moi qui vais m'occuper de ta fiche . Identité :Surnom : Personne ne lui a jamais donné de surnoms? Même affectueux, ou enfantins? Lieu de naissance : Tu as oublié un "avec", sinon le lieu de naissance n'est pas très cohérent avec la géopolitique de l'époque où est née ton perso. Car l'empire humain était encore totalement unifié à cette époque. Il faudrait donc que tu édite pour prendre en compte ce détail (plutôt dire que le village se situait entre Gloria, et Aldaria par exemple) Equipement, et magie :Tu as le droit à deux enchantements (De types élémentaire, ou maléfiques, ou asbeth), ou à un enchantement dragoniques dans ton équipement. ( http://www.armanda.net/t4480-boutique-des-enchantements-et-ameliorations ) Alignement : Met plutôt bénéfique^^ (on a pas d’alignement loyal bon sur armanda). Arrogance : Met au moins catastrophique, aucun niveau est impossible car cela voudrait dire l'absolue non existence d'arrogance chez ton perso. Caractéristiques : Force mentale : Baisse à bon, rien ne justifie un très bon dans l'histoire de ton perso. Avec cette édition tu aura mage puissant innée^^. Descriptions physique :Je trouve ça vraiment court. Il faudrait que tu détaille davantage le physique de ton personnage. (que ce soit dans la descriptions de sa personne, son attitude, ses vêtements par exemple. Ses tics?) Descriptions mentale :Idem, c'est vraiment très court. On ne saisit pas vraiment l'essence du personnage, ou autre chose dans son caractère que sa grande gentillesse, et sa non naïveté. + La chirurgie est une science alayienne, pas armandéenne. Les armandéens n'en ont pas vraiment besoins à cause de l'existence de la magie, et ne ce sont donc jamais vraiment intéressés à cela autant que les alayiens. Bien entendu si tu entend par chirurgie primaire les bandages ça passe oui, mais les techniques comme la suture par exemple il n'y a que les alayiens qui en usent (les armandéens trouvent cela barbare d'ailleurs), et encore plus pour les opérations chirurgicales véritables (types celles que faisaient les arabes vers le 13ème siècle). Dans les faits sur Armanda il est plutôt courant d'user de magie pour soigner en dehors des herbes. Liens : Je n'ai rien à y redire^^. Histoire : - Citation :
- N’était-il rien de plus beau que de grandir libre ? Entourée d’amour ? Je m’appelle Aurora et j’ai onze ans. Je vis avec mon père Erik et ma mère Irène dans un village de l’actuel Royaume Aldarien qui répond au doux nom de Brume-lez-Bois parce qu’il a été bâti dans une cuvette en contrebas du bois près duquel ma maison est construite.
Il n'y avait pas de royaume aldarien à cette époque, seulement l'immense empire humains. - Citation :
- N’était-il rien de plus beau que de grandir libre ? Entourée d’amour ? Je m’appelle Aurora et j’ai onze ans. Je vis avec mon père Erik et ma mère Irène dans un village de l’actuel Royaume Aldarien qui répond au doux nom de Brume-lez-Bois parce qu’il a été bâti dans une cuvette en contrebas du bois près duquel ma maison est construite. Quand la brume se lève, le village disparait complètement dans les nuages. Et dans la région ça arrive souvent. Ça d’ailleurs était fait exprès d’après ma maman, c’est pour cacher le village aux yeux des méchants esprits, mais je n’y crois pas trop. Moi je crois que c’est parce que c’était plat et plus facile de construire là qu’en haut des collines à la place des forêts. Mais j’aime bien les histoires de maman. Elle parle toujours d’Esprits qui veillent sur nous. Les histoires de papa sont plus sérieuses mais je les aime aussi. Elles parlent des animaux de la forêt qui parlent entre eux quand on ne les regarde pas. Notre village semble oublier du monde et il est rare que des marchands viennent jusqu’à nous, il n’y a pas de route à proprement parler, juste des sentiers. Aujourd’hui est un jour spécial, car aujourd’hui je vais fêter mon douzième anniversaire. Cette année, papa a dit qu’il n’y aura pas de grande fête comme l’an dernier parce que c’était compliqué à organiser et aussi parce que lui et maman ont un cadeau spécial pour moi. Alors que le soleil vient tout juste caresser ma joue pour me réveiller, je me lève d’un bond hors du lit. Mes parents sont déjà levés sans me réveiller. Il faut dire que j’ai le sommeil lourd. Je rentre dans la seconde pièce de la maison, là où on mange et prépare les repas. Papa et maman y sont déjà bien sûr. Et sur la table il y a un paquet enveloppé dans du tissu. Je reste immobile avec que mon père me dise : ‘’ Aller, ouvre ‘’. Je ne me fais pas prier. Alors que je retire la ficelle qui maintient le tissu serrait autour de mon cadeau je m’interroge. Il est assez souple mais il y a comme de longues choses dures aussi. Venant à bout de la ficelle, j’enlève le tissu révélant alors mon cadeau. Je reste sans voix et les larmes me viennent aux yeux. Le tissu caché une magnifique sacoche en cuir ouvragé, sur la partie servant à fermer est représenté un arbre majestueux donc les branches s’entrelacent en de magnifiques arabesques et de chaque côté, un cerf se cabre comme pour saisir les fruits qui pendent aux branchages. ‘’ Regarde à l’intérieur ‘’ me dit alors ma mère. Je m’exécute, encore ébahie. A l’intérieur se trouvent un petit maillet, trois ciseaux à bois et un petit couteau. Mes parents m’offrent mon propre matériel de sculpture et une sacoche pour y ranger mes plantes. Reposant l’ensemble délicatement sur la table, je me jette au cou de mon père, l’embrassant avec force, pleurant de joie. ‘’ Tu débrouilles bien avec mes outils, il est temps que tu travailles avec les tiens ‘’. Je ne sais pas quoi dire pour le remercier et le serre encore plus fort. Puis je me jette aussi au cou de ma mère. Je suis si heureuse. Pourtant, il y a peu, un homme est venu nous dire qu’une guerre faisait rage, que les vampires détruisaient tout sur leur passage. Je ne sais pas exactement ce qu’est un vampire, mais ils n’ont pas l’air gentils. L’homme ne raconte la guerre, et les difficultés de l’humanité à résister. Je ne comprends pas tout et je n’aime pas ses histoires, elles me font peur. L’homme est réparti nous disant de fuir. Mais personne ne l’a écouté.
Salut, je m’appelle Aurora, j’ai quinze ans. Et c’est la première fois que je vais aider ma mère dans l’une des plus belles choses au monde. Aujourd’hui, je vais l’assister durant un accouchement à la place de papa. Maman estime que je suis assez grande. Je l’aide déjà beaucoup à la maison en fabricant des remèdes à base de plantes ou en soignant des blessures. Elle me dit souvent que je sais presque tout ce qu’elle a à m’enseigner et que le reste viendra avec le temps. Quand je n’aide pas maman, je pars avec papa dans la forêt, surveiller les animaux, les plantes, ou alors on reste dans le petit abri sans mur pour faire des sculptures en bois ou des objets plus utiles. Papa est vraiment trop fort. Quelques soient les efforts que je fasse, il est toujours plus rapide que moi et ses réalisations sont bien meilleurs, mais je me débrouille quand même. Et aujourd’hui, je deviens sage-femme. Maman m’a toujours dit que rien n’est plus beau que la naissance d’un enfant ce qui a toujours fait rire papa. … Maintenant je comprends pourquoi papa rigolait quand maman disait que rien n’est plus beau que la naissance d’un enfant. Si maman n’avait pas compté sur moi, je pense que j’aurai dû sortir car je ne me sentais pas très bien. Mais au final, c’est vrai que c’est beau. Quand on tient ce petit être, hurlant de vie. Quand je l’ai pris dans mes bras, je me suis senti légère et fière d’avoir permis cela. Et encore plus émue quand je l’ai remis à sa mère et qu’il a cessé de crier, comme s’il reconnaissait la présence de sa mère. Je pense que c’est ce jour-là, que j’ai décidé définitivement de vouer ma vie à protéger celle des autres. Mais il y a tant de chose que je dois encore apprendre aussi, pour soigner les gens mais aussi sur le musique, le chant, la peinture.Tandis qu’au loin, les rumeurs du monde ne semblent pas vouloir atteindre mon village. Seul le vent nous apporte le gémissement du monde. Il est vrai que les temps son dur, la rumeur parle d’un tyran monstrueux et d’une guerre civile sans fin, mais je ne m’en préoccupe pas. En fait, si. Le sort des autres m’importe énormément et je souhaite aider ceux qui en ont besoin. Mais je ne suis pas prête à partir. Mais bientôt, je pourrai explorer le monde, et découvrir, apprendre et secourir.
Le jour est venu. Je m’appelle Aurora Lapsida, je viens d’avoir dix-huit ans et je vais partir. Aujourd’hui, je vais quitter mon village pour une longue période, peut-être pour toujours. Mes parents et moi en avons longuement discuté depuis un an. Ils savent que ce serait purement égoïste de me garder ici. D’un autre côté, je les aime tous les deux et j’ai peur de ce qu’il y a au-delà du village. Je ne connais rien et le village est un lieu sûr. Mais si je reste, je n’étancherai jamais ma soif de savoir, et je le regretterai toute ma vie. Et puis, il n’y a pas de garçon intéressant ici. C’est décidé, c’est sûr, je pars aujourd’hui. Ma sacoche en cuir est prête et dedans tous mes outils pour travailler le bois, de petites fioles pour y ranger les plantes, un mortier et un couteau. J’emporte en plus un petit baluchon avec quelques vêtements de rechange, du pain et du fromage. Une fois ses affaires prêtes, je sors de la chambre. Ma mère est assise à la table. Elle me sourit mais je vois bien que le cœur n’y est pas. Ses yeux sont humides, et elle évite de pleurer pour ne pas m’apitoyer. "Assis-toi " me dit-elle en me montra la chaise à côté d’elle. "J’ai quelque chose pour toi". Interloquée, je m’approche et m’assois à ses côtés. Là elle pousse vers moi le livre qui était sur la table et que je n’avais pas remarqué, trop concentrée à rester brave jusqu’au bout. "Voici le livre qui contient toutes les descriptions des plantes que j’ai rencontré, quand j’avais ton âge et jusqu’à ce que je m’installe ici avec ton père. Il décrit les plantes de manière méthodique comme je te l’ai appris et leurs propriétés. J’aimerai que tu continues ce que j’ai commencé ". J’étais surpris de la taille du livre. Il était un peu plus grand carnet, et rentrait parfaitement dans ma sacoche. Je le pris doucement et l’ouvris. Pour la dernière fois, je regardais un livre avec ma mère, serrées l’une contre l’autre. "Aller, viens ton père nous attend dehors et il ne faut pas que tu partes trop tard si tu veux aller le plus loin possible ". Nous sortons alors toutes les deux. J’avais hérité la taille de mon père, et je dépassais alors ma mère d’une tête, mais j’avais toute sa beauté et surtout, ses yeux disaient mon père. Dehors, papa nous attend en regardant le village qui se réveille doucement. En nous entendant approcher, il se retournant. Lui aussi sourit mais il a l’air fatigué, sûrement parce qu’il n’a pas dormi de la nuit. Il s’approche de moi et me prend dans ses bras vigoureux de bucheron. Puis il me tend un objet. C’est une statuette en bois tenue par une fine lanière en cuir. Un pendentif, le pendentif de mon totem. Il représente l’Esprit qui veille sur moi comme dans les histoires que maman me racontait quand j’étais petite. Au bord des larmes, je laisse papa m’accrocher son présent. "Va et soit heureuse, ne fasse jamais rien que tu ne puisses regretter plus tard. Et n’oublie de revenir ". Alors j’enlace papa, le serrant très fort aussi fort qu’il me serre. Puis je sens que maman m’enlace aussi. Alors nous nous embrassons, une dernière fois. Je leur dis au revoir et part, sans me retourner. Je ne pense pas que j’aurai la force de continuer si je les regarde une dernière fois. Alors je marche tout droit. Je me demande s’ils savent qu’alors que je m’éloigne, je suis en train de pleurer. Je lève les yeux en ciel et voit les nuages qui volent dans la même direction que moi. A travers mes larmes je souris à l’un des souvenirs heureux que j’emmène avec moi, celui d’une petite fille blonde qui demande à sa mère : "Où s’en vont les nuages ? – Ils s’en vont là où le vent les pousse ". Aujourd’hui, je suis un nuage et je commence mon voyage, poussée par le vent et la soif d’apprendre. Il va falloir sérieusement éditer tout cela : POur commencer, tu ne mentionne pas assez les différents événements qui ont agités le continent Armandéens au cours des dix dernières années. (voici un topic où ces événements sont résumés : http://www.armanda.net/t8401-les-grandes-dates-d-armanda ) Il va donc que tu parle de certains de ces événements (notamment la guerre contre les vampires, l'invasion alayienne, la guerre contre Vraorg), et surtout que tu parle des conséquences pour ton perso de tout cela. Car il est impossible que cette dernière ait pu vivre paisiblement dans son village pendant 8 des 10 dernières années in-rp. Que ce soit à cause : -De la terreur provoquée d'abord par les vampires pendant la guerre avec eux. -Du retour en force de la magie en 1752 -des conséquences de l'invasion alayienne puis de l'alliance de l'empire avec eux (lois anti magie quand ils prennent le pouvoir au dépend de Fabius Kohan). -Les dévastations provoqués par Vraorg le blanc, la présence de milices violentes, de brigands nombreux, et de loups vampiriques pendant les années d'existence de l'empire théocrate. -Le retour de la paix en Armanda. - Citation :
- Le monde n’est que ténèbres. Voilà deux ans que je voyage et partout je ne vois que la misère. Les années de guerres, l’horreur qu’elles ont apportée ont laissé des marques indélébiles.
C'est un portrait un peu noir de la situation, certes à ce moment là la guerre est à peine finit donc c'est logique que tout soit en ruine, mais suite à cela ça finit par s'arranger petit à petit. Ton perso n'a pas pu voir que des ruines pendant 2 ans, les choses ce sont assez vite reconstruites à un niveau correct. - Citation :
- A Gloria, j’ai vu des inégalités telles que je ne l’aurai jamais imaginé. Un quartier riche à l’intérieur des murs et un quartier pauvre, délassé par les élites où règne des gangs.
(Voici la description du tentacule Ouest glorien : "Un tentacule, enfin, s’élance à l’ouest, à l’ombre du Palais impérial. C’est ce qu’on nomme le quartier pauvre, un lieu un peu abandonné, où les patrouilles sont rares et le crime élevé. La grande majorité de la main d’œuvre et de la frange de la population la plus modeste vit ici, soit pour les plus pauvres dans des baraquements de briques mais où on vit les uns sur les autres, soit dans les chaumières modestes ayant remplacés les tentes avec la fin de la reconstruction, et les efforts fait pour redistribuer les richesses. Rendant ce quartier moins miséreux qu'il l'était il y a quelques mois de cela, mais ne faisant pas de miracles malgré déjà une nette amélioration." ) > Ton perso a dû découvrir Gloria à l'époque où il y avait encore les tentes je suppose. Certes la criminalité est forte dans le quartier Ouest, mais le règne de la loi glorienne continue à s'y appliquer tout de même. Parler de règne des gangs est donc exagéré. De plus le tentacule Ouest lui aussi est entouré par des murailles, ne serait-ce que pour se défendre en cas de siège. |
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Christan Weren Modérateur Commandant de l'armée
| Sujet: Re: Aurore Lapsida Lun 16 Jan 2017 - 16:35 | |
| Sois la bienvenue sur tes terres, fille d'Armanda. Tu es née avec une puissance magique innée de Puissant et ton entraînement dans le domaine magique t'a permis d'atteindre un niveau Correct Tu as d'ailleurs été choisie par le totem Phoque dont tu as atteint le niveau 1.
Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu as aussi un profil qui pourra évoluer en jeu sur demande.
Pour tenir l'état de tes aventures à jour, tu possèdes une fiche de suivi de personnage qui se trouve en ce lieu. Tu peux y ajouter tes liens, ton inventaire, ton histoire personnelle et ce que tu souhaiteras. Tu peux aussi adresser tes questions ici. |
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