La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
Mon identité Mes compétences Compétences Magie: Mage très puissant Expérience: (6/10) Xp disponibles: 3
Administratrice Capitaine Lame Ecarlate Garde personnelle de Luna Dragonnière
Sujet: Blodwënn Manawë Lun 25 Juil 2016 - 22:40
Manawë Blodwënn
Je n'appartiens plus au passé. C'est maintenant que tout se joue, maintenant que je suis libre de mes propres actions. J'ai décidé de jeter le passé pour accepter le présent, qu'importe qu'il soit douloureux.
Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Aucun niveau
Hache : Aucun niveau
Faux : Aucun niveau
Fouet : Aucun niveau
Art du lancé (poignard, petite hache...) : Aucun niveau
Art de la parade (bouclier ou arme) : Moyen
Arc : Aucun niveau
Arbalète : Aucun niveau
Mains nues/pugilat : Catastrophique
Equitation : Bon
Identité
Race :Elfe
Nom :Manawë
Prénom :Blodwënn
Surnom(s) :Merwan
Titre :à acheter si vous le souhaitez
Date de naissance :16 Octobre 1364
Age réel :396 ans
Age vampirique :
Lieu de naissance :Royaume Elfique
Lieu de vie :Aldaria
Rang social :Bourgeoisie
Poste/emploi :Mercenaire
Guilde :undefined
Equipement et magie
Arme principale :L'arme principale que possède la jeune femme est une lance, qu'elle a nommée Finwë. Enchantement : Sureté - Renforcement
Autres objets :Blodwënn possède comme autres armes une épée fine et plutôt longue, qu'elle garde toujours dans son dos, ainsi qu'une petite dague qu'elle garde cachée dans sa botte, ayant d'abord rangé l'arme dans un petit fourreau.
Elle garde également avec elle un cache-oeil, bien qu'un couvre déjà son oeil manquant. C'est un cache-oeil de rechange, au cas où elle perdrait le premier.
Elle possède également un collier ayant un enchantement capable de lui donner une voix masculine. Pour finir elle porte une armure de cuir légère.
Alignement :Neutre tendance Bénéfique
Totem :totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff
Style de magie principal :Elfique
Puissance magique innée :Carte blanche au Staff
Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.
Physique et caractère
Physique : Il fut un temps où Blodwënn eut été une magnifique jeune femme. Un doux visage, sur lequel une expression calme et confiante était sans cesse gravée. De petits yeux dans lesquelles brillaient deux iris d'un beau bleu ciel, alors qu'apparaissaient de fins cils lorsque ses paupières se fermaient.
Elle avait de fines lèvres, sous un petit nez légèrement retroussé en son bout. Ses sourcils étaient très fins, eux aussi. Dans son dos tombait en cascade une longue et soyeuse chevelure brune, dans laquelle brillaient quelques lumineux reflets blancs. Elle allait jusqu'à carresser ses hanches, et la jeune femme se forçait à toujours les couper afin qu'ils n'atteignent pas plus que cette longueur.
Une discrète frange barrait son front, et quelques mèches venaient cacher les pointes des petites oreilles de la jeune femme. La jeune femme possédait une silhouette très fine et légère, et sa grace se reflétait dans chacun de ses mouvements. Sa silhouette toute entière était svelte et gracieuse.
Qui aurait pensé qu'une jeune femme comme elle aurait pu à ce point changer...
Aujourd'hui, elle n'est plus qu'une silhouette tapie dans l'Ombre. Camoufflée dans une longue cape qui descend le long de son dos, elle a cherché à effacer chez elle toute trace de féminité apparente. Elle s'est débarrassée de cette longue chevelure brune semblable à celle de sa mère, et désormait ses cheveux ne dépassent pas le bas de ses oreilles.
Si elle a gardé sa silhouette svelte et gracieuse, masquant sa poitrine et ses autres formes féminines en portant des vêtements amples, en revanche son visage n'est plus le même. Doté d'un unique oeil car Blodwënn perdit le second, la cicatrice de celui-ci est désormais protégée par un cache-oeil. Recouvert de cicatrices à divers endroits, il apparaît blessé pour peu qu'on puisse le voir. La jeune femme camouffle sans cesse son visage sous une capuche, et si ses lèvres traversées d'une cicatrice sont visibles alors le reste ne l'est pas.
La tenue dont elle s'habille est elle aussi sombre et discrète. Ce ne sont jamais que de fins tissus, bien qu'elle porte deux plaques d'armures solides sur ses épaules. Une épaisse écharpe de tissu entoure son cou, et il arrive parfois qu'elle rabatte sur son visage un cache nez. Tout chez elle est gris ou brun, aucune couleur vive. Elle porte souvent dans son dos sa lance.
Caractère : Douce. C'était certainement l'un des mots qui auraient pu la définir, simplement physiquement. Tout chez elle l'était. Son visage, son attitude, sa voix, ses mots. Blodwënn avait toujours été une personne bienveillante, attachée aux siens. Cependant, elle n'en demeurait pas moins une personne stricte et peut-être un peu intimidante.
Elle fut longtemps une jeune femme sûre d'elle sans être fière d'elle, qui surveillait le moindre de ses actes, qui veillait à faire que tout soit au mieux possible. Elle n'avait pas peur de l'échec, même si il paraissait insurmontable. Elle détestait devoir s'avouer vaincue, ne renonçant jamais dans ses actes. Jeune personne déterminée, elle voulait à tout prix accomplir les buts qu'elle se fixait, et prouver aux autres qu'elle n'était pas aussi faible que son apparence ne le laissait paraître.
C'était une personne très protectrice envers les faibles, qui possédait un petit instinct maternel renforçant ce coté protecteur. Elle aurait été prête à n'importe quel sacrifice pour les siens, tant que cela pouvait les sauver. Fidèle au peuple d'où elle venait, si elle avait été victime de la moindre trahison de l'un d'eux elle se serait sentie horriblement mal.
Malgré tout, elle restait très mystérieuse, et le petit coté distant renformait également cette pointe de mystère qu'elle gardait en elle.
Jusqu'à ce que le destin lui fasse comprendre qu'elle avait à changer.
D'un coup unique, la personnalité de Blodwënn s'était assombrie. Devenue une femme très discrète, elle parle si peu qu'on pourrait la croire muette. Autour d'elle flotte toujours une part de mystère, mystère devenu bien plus grand depuis qu'elle eut changé. Elle n'affiche jamais le moindre sourire, mais également jamais le moindre mécontentement. Tous pensent qu'elle est dénuée de tout sentiments, parce que personne ne peut voir son visage.
Bien que l'état de son visage ne lui déplaise guère plus que ça, elle tient tout de même à ce qu'il reste camouflé. Jeune femme sombre, elle n'aime pas être remarquée et de ce fait elle fait en sorte d'être le moins remarquable possible. Très peu sociable, elle a plutôt tendance à se faire des ennemis que des alliés. Elle a du mal à sympathiser avec les autres, car l'instinct constamment défensif qu'elle possède la fait se braquer face à n'importe qui.
La politesse qu'elle avait auparavant s'est atténuée, pour finalement laisser place à un manque de tact cruel. Elle peut être très brutale lorsqu'elle le souhaite, qu'il s'agisse d'être brutale verbalement ou physiquement elle ne fait pas la différence. Elle peut savoir faire preuve de patience, mais lorsqu'il s'agit d'interroger un individu qu'elle juge être louche, sa patience disparaît. Elle est sans pitié avec quiconque. Elle ne réclame pas particulièrement le respect de la part des autres.
Elle n'est pas provocatrice, en réalité elle est plutôt du genre à esquiver les provocations de la part des autres. Elle ne cherche pas à engager les combats, n'attaque pas réellement, sans raisons. Si on tente de l'attaquer, si on tente de la tuer, elle répondra de sa lance. La seule chose qui lui reste d'avant est qu'elle se montre toujours protectrice envers les personnes faibles, quelles quelles soient. Cependant, après les avoir sauvées, elle les abandonnera en leur adressant comme dernière parole "apprenez à devenir plus fort".
Les rares fois où l'on peut l'entendre parler, on constate que le ton de sa voix est constamment froid et sec. Elle n'ôte jamais sa capuche, même lorsque l'on lui demande. Elle n'apprécie pas les cicatrices qui sont gravées sur son visage, et a horreur de les montrer. Elle se fait passer pour un homme auprès de tout le monde, et camouffle son prénom en un autre pour ne pas que l'on devine qu'elle s'agisse d'une femme. Sous son écharpe est dissimulé un étrange collier, renfermant un unique enchantement rendant sa voix masculine. Elle se fait ainsi nommer Merwan, ne révélant son véritable nom qu'aux personnes en qui elle place une grande confiance. Confiance qu'il n'est pas aisé d'obtenir d'elle...
Mes liens
Maïwenn Manawë : Défunte mère de Blodwënn, elle tenait énormément à sa fille. Celle-ci faisait de son mieux pour la protéger, lui apporter son aide. Et même lorsqu'elle se montra distante envers elle, elle continuait de veiller sur elle. L'annonce de sa mort lui causa un chagrin attroce, et il la hante encore à ce jour.
Anar Manawë : Défunt oncle de Blodwënn, il fut celui qui aida la mère de sa nièce à l'élever. Lorsqu'elle entra dans l'adolescence, il devint distant envers les deux femmes pour des raisons qui demeurent éternellement inconnues. Néanmoins, il tenait à elles. L'annonce de la mort de son oncle à Blodwënn lui causa également un chagrin profond.
Mëryl Nalwaë : Amie d'enfance de Blodwënn, celle-ci se questionne sur son amie Mëryl, et ce qu'elle a pu penser d'elle lorsqu'elle eut appris qu'elle avait été accusée et que l'on avait déclaré qu'elle avait tué un homme, lorsqu'on l'eu bannie pour cet acte. Elle s'y était fortement attachée, admirant sa bienveillance et sa gentillesse. Elle ne souhaite que la revoir, mais appréhende de retourner chez les Elfes en sachant qu'à tout moment, elle pourrait être reconnue comme celle qui tua de manière cruelle un homme, et se faire exécuter.
Orfraie Ataliel : Amie de Blodwënn, c'était souvent elle qu'Orfraie appelait lorsqu'elle avait besoin de faire passer un message, alors que Blodwënn était messagère. Suite à cela elles ont fait connaissance l'une de l'autre. Lorsque Blodwënn fut accusé du sauvage meurtre d'un elfe, Orfraie eut prit sa défense, même si cela n'eut pas suffit à empêcher son bannissement...
Derrière l'écran
Petite présentation : Vous me connaissez déjà sous le nom d'Aeryth Edenwell, je suis là depuis un moment, ayant changé de compte car je n'arrivais plus à jouer le premier ^^" J'ai toujours 13 ans, j'aime toujours autant les mangas, les jeux de rôles, j'aime toujours autant écrire et dessiner ^^
Rythme rp : Je m'engage à respecter le rythme rapide, je promet de faire attention au temps que je mettrais à répondre >w<
Particularités rp : Je pense pas! Ca doit faire un an que je RP
Comment avez vous découvert le forum : Arf, je m'en souviens plus >w<
Le code du règlement :
En l'an 1364 de l'âge d'argent, une petite fille naquis dans le froid et les larmes. Elle avait été déposée dans les bras de sa faible mère par la personne qui assista à l'accouchement. Son père n'avait pas été là pour voir naître son enfant, et ne sera jamais là pour la voir grandir. Etait-il mort? Etait-il simplement parti? Elle ne le su jamais. L'enfant avait beau le demander, sa mère ne voulut jamais rien lui révéler. Peut-être pensait-elle qu'elle était trop jeune pour en être informée, pour le moment.
C'est aux cotés de sa mère et de son oncle que grandit la petite fille. Tout deux se montraient bienveillants envers elle, la protégeant peut-être un peu trop. La femme gardait toujours un sourire bienveillant sur le visage, et à sa fille elle transmit un grand nombre de ses qualités. C'était sans doutes son unique trésor, sa fille à laquelle elle tenait et qu'elle ne voulait perdre pour rien au monde. Pendant sa petite enfance, Blodwënn se montra comme une fille très timide, n'osant approcher personne. Elle voulait rester le plus possible aux côtés de sa mère, ne pas l'abandonner en voyant la faiblesse de celle-ci. Elle avait peur d'être séparée d'elle, peur de la perdre à tout moment. Une crainte normale pour une petite qui n'avait plus qu'un véritable parent pour être avec elle.
Son oncle était très rarement présent, c'était à se demander si il tenait réellement à sa nièce et à la femme de son frère. Blodwënn voulait tenter de comprendre pourquoi il était autant distant envers elles, mais sa mère eut tôt fait de l'en dissuader. Elle fit comprendre à sa fille que c'était inutile, et l'enfant cessa alors de vouloir connaître les raisons de son oncle. Malgré la timidité de sa fille, sa mère la poussait à aller voir les autres, mais elle n'en avait pas la moindre envie. Ce fut le hasard qui la fit rencontrer une elfe un peu plus jeune qu'elle, avec qui elle finit par se lier d'amitié. Une elfe à qui Blodwënn s'attacha vite, fascinée par la bienveillance et la gentillesse qu'elle dégageait.
Les années s'écoulèrent, mais Blodwënn vit de moins en moins son amie, pour une raison qu'elle ne connut jamais. Le retour des dragons causa une grande crainte dans le coeur de la jeune fille, sans qu'elle ne comprenne elle même vraiment pourquoi. Pendant une centaine d'années, elle grandissait, s'épanouissait, tenant à rester sans cesse aux cotés de sa mère. L'elfette tenait à lui apporter son aide, à faire en sorte qu'elle n'aie pas à faire un trop grand nombre de choses. Lorsqu'elle jugea qu'elle était assez grande pour à nouveau le demander, Blodwënn évoqua à nouveau cette question qui la taraudait encore: qu'était donc devenu son père. La seule chose dont elle se souvint à cet instant était que les paroles de sa mère avaient été... différentes. Très froides, blessantes. D'elle-même, Blodwënn commença à se montrer distante. Autant qu'elle le pouvait, elle évitait de croiser le regard de sa mère. Elle n'osait plus lui parler, n'osait plus la regarder en face. Blodwënn était devenue une jeune femme douce, bienveillante bien qu'assez stricte. Elle veillait toujours secrètement sur sa mère, même si elle restait toujours distante envers elle. Elle veillait sur les autres, protectrice envers tous.
Sa mère, ne pouvant supporter que sa fille s'éloigne trop d'elle, finit par lui avouer ce qu'était devenu son père. Il avait disparu. Personne ne savait si il était mort ou non, mais qu'il disparaisse sans même que sa femme ne connaisse la raison avait suffit à lui fendre le coeur.
Peu avant l'invasion Alayenne, son oncle, qu'elle ne voyait toujours que très peu, revint vers elle et sa mère en évoquant le souhait d'aider sa nièce à s'expérimenter encore plus dans le maniement des armes. Acceptant de continuer à s'entraîner, elle montra bien plus de capacités à manier la lance. Avant que la bataille face aux Alayens ne survienne. Pendant cette bataille, elle avait pu revoir Mëryl. Malgré tout, ce ne fut jamais les conditions dans lesquelles elle aurait espéré la retrouver. Blodwënn n'aimait pas prendre des vies. Mais si elle voulait voir son peuple...
Trop de monde avait péri. Elle dû quitter les bois dans lesquels elle avait grandit, et la tristesse qui l'emplit fut grande. Cette bataille fut celle qui causa la perte de sa mère et son oncle, les seuls proches parents qui lui restaient. Elle avait dû encore se battre, se battre jusqu'à ce qu'arrive Vraorg. Pour elle, tout ne fut qu'un enfer. Un enfer dans lequel elle avait été du coté du protectorat, s'opposant à Vraorg. Un enfer dans lequel elle avait affronté les Théocrates, devenant toujours plus expérimentée à manier la lance. Un enfer qui avait coûté à Blodwënn la perte de son oeil gauche. Et même lorsque tout s'arrêta, les souvenirs de cette guerre continuaient de remonter en elle, bien qu'elle ne souhaitait que les chasser. Elle devint messagère, se liant d'amitié avec Orfraie Ataliel. Blodwënn se remettait difficilement de la guerre qui avait eu lieu. Elle aurait pu aller mieux si il ne s'était jamais produit ce qui changea à tout jamais la jeune femme.
Un jour, alors qu'elle revenait d'un voyage au cours duquel elle avait été chargée de transmettre un message, elle entra au coeur de la cité qu'elle trouva bien calme. Il y avait du monde, et elle préféra passer dans des coins plus isolés, dans des rues où il y avait très peu voir aucun monde. Des cris l'alertèrent soudain, provenant d'une rue isolée, vide. Elle n'eut le temps que de se précipiter vers l'origine du bruit, car elle ne trouva qu'un homme gisant sur le sol, blessé de partout, les vêtements en lambeau, une lance plantée dans son coeur. Horrifiée, elle contempla la scène. Et elle eut le malheur de vouloir retirer la lance du corps.
En se précipitant vers le cadavre, elle s'était retrouvée à terre, dans la marre de sang dans laquelle baignait l'homme mort. Elle ne su pas que l'assassin, tapi dans l'ombre, l'avait fais tomber par magie. Ses vêtements et son visage s'imbibèrent du sang de l'homme, et, Lorsqu'elle se redressa, toujours terrifiée, elle posa ses mains sur la lance pour la décrocher du corps. Et au même moment, arrivèrent devant l'horrible scène, des soldats. Terrifiée,elle tenta de les convaincre qu'elle n'avait rien fait. Et on aurait pu la croire... Si elle n'avait pas été tâchée de sang. On l'accusa alors à tord du meurtre de cet elfe.
Elle fut finalement déclarée coupable du meurtre. Coupable d'un meurtre qu'elle n'avait jamais commis. Tout cela... à cause d'une glissade stupide. Il fut décidé qu'elle serait bannie, alors elle quitta la cité le plus tôt possible. Elle entama un long voyage, n'ayant que pour seule nourriture les baies qu'elle cueillait dans la nature. Survivre n'était pas une chose simple... Finalement, elle trouva refuge à Aldaria alors qu'elle était affamé, et que son visage et son corps se remettaient des cicatrices qui lui avaient étés causées durant son voyage. Ce fut à partir de ce moment qu'elle coupa sa chevelure, et décida alors de se faire passer pour un homme, masquant son visage dans une capuche. Elle devint mercenaire, une mercenaire sombre et silencieuse, une personne peu connue qui cherchait simplement à oublier de douloureux souvenirs.