Directives. Ce RP est garanti sans substances illicites.:

Il suffit parfois de peu. Un regard différent, et c'est l'essence même du monde qui s'en voie changée. Si les baptistrels possédaient une commune musique, elle trouvait en chacun d'eux un écho qui la façonnait. Il suffisait de peu… D'un rythme particulier mêlé aux notes graves de la voix de Matis, quand il parlait des empreintes, des pièges. Dawan avait tout juste un le temps de montrer les siennes: de petits pieds nus, tous légers. Suite à cela, son esprit s'était éloigné, peu à peu.
Il entendait la musique. Elle était forte, et son rythme venait battre au coeur du petit elfe comme un second coeur, plus gros, bien plus puissant. Il entendait ces milliers de voix qui se moquaient de chanter en choeur, et qui pourtant formaient la plus belle des harmonies. Il entendait la présence lourde du Père-d'Au-Dessus, sombre, son chant rauque encore lointain. Proche, son élément les entouraient comme deux bras aimants. Oui, si proche… Cet élément dont il était un fragment. Les étoiles jouaient pour eux, ce soir, un air tendre. Dawan n'avait qu'une envie: s'y mêler, s'y laisser aller, jusqu'à oublier son enveloppe de chair et n'être plus qu'une note, à leur image.

Une de ces notes s'évada de ses lèvres lorsque les vibrations de l'éclair vinrent le frapper de plein fouet. Sans retenue aucune, sans même avoir compris qu'une sensation de chute menait souvent vers le sol et la douleur, il se retrouva à terre, ses os douloureux, son esprit un brin abasourdi, blotti contre les restes de vibrations orageuses qui étaient là. Il les aimait, passionnément. S'il n'avait pas eu la sensation de devoir chercher… que… quelque chose… S'il n'avait pas eu cette sensation, il serait sorti, par la brèche, se serait offert au vide, à l'eau, à l'air, aux étoiles.
Quand il comprit que la chaleur, les vibrations et l'odeur mâle au-dessus de lui, émanaient de celui auquel il aimait s'abandonner également, il n'hésita pas une seconde pour laisser son petit corps se servir de lui comme exutoire, comme autel, entre le ciel et lui. Il se redressa, et…
Et Elrond aussi. Mais ! Mas il le voulait ! Il voulait dire au ciel combien sa mélodie était sublime, il voulait offrir son être à ces parents qu'étaient les éléments ! Redressé de force, perdu au milieu de toutes ces considérations, une partie de son esprit cherchant tout de même à saisir ce qui se déroulait autour de lui, le petit elfe tituba, une main sur son crâne, l'air hébété. L'orage… Trop violent ? Pas naturel ? Calmer le ciel ?
Il y eut un instant de silence durant lequel les perles grises de Dawan restèrent figées sur le visage de son amant. Un instant où seuls les grondements lointains du Père et les mille chants de Mère résonnaient. Puis il ajouta sa voix, un rire amusé, comme s'il venait juste de comprendre la plaisanterie de son elfe. Il vint à lui, l'enlaça, l'embrassa passionnément (mh ? Matis est dans le coin ? Ah oui. Boh. Il a vu Luna et Enetari s'embrasser, le pauvre n'est plus à ça près…). Ceci fait, il se détacha de lui, un grand sourire aux lèvres, les yeux plissés par le rire.

"- Calmer le ciel ! Quelle idée.. Asservir le ciel à notre confort…" À nouveau, il pouffa de rire. La suite ressemblait à un chant, dans sa façon d'enchaîner les mots. "Entends-le ! Entends-le ! Nul être ne le domine ! Sa musique est pour moi si belle… Ecoute-le, écoute-le… J'aurais juré qu'il nous aimait !" Encore un rire. Allez… Il avait hâte de le retrouver. Il fallait qu'ils se hâte, qu'ils ne perdent pas plus de temps en ces lieux. Les empreintes ? Il le savait: elles ne leur indiqueraient rien qui puisse les intéresser. La vérité était ailleurs… Et il allait vers elle: en bondissant, en chantonnant des "entends-le, entends-le !" devenus elfiques, le jeune chanteciel avait quitté les lieux, comme persuadé que ses deux camarades seraient toujours avec lui. Au hasard des couloirs, il se dirigeait là où son intuition, mais surtout ses oreilles, le guidaient

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La vampiresse s’était de nouveau figée, tous les sens aux aguets. Fronçant les sourcils, elle tentait de séparer le grandement du tonnerre et les bruits de pas d’Alauwyr du reste, ce qui n’était pas chose aisé.
Puis soudain, Orfraie capta un son. Un son bien particulier et qui n’appartenait ni à Firindal, ni à l’Alayien : un battement de cœur. Il pouvait être facile de croire qu’il s’agissait de l’humain, mais en vérité la Lame avait eu le temps de s’habituer à sa fréquence cardiaque et entendait donc parfaitement la différence entre le sienne et celle qu’elle venait de capter. De plus, Alauwyr était derrière elle et ce battement de cœur ne venait pas de cette direction. Toutefois, à ce battement de cœur, Orfraie en ajouta bien vite un second, puis un troisième… Et tous ces cœurs battaient à l’unisson dans la pièce adjacente où le groupe ne s’était pas encore rendu.

# Firindal ! # Fit mentalement la vampiresse lorsqu’elle aperçut son Eclat de Jade se faufiler dans la dites pièce. Elle n’aimait pas ça, ne pas l’avoir en visuel, et entreprit donc de le rejoindre rapidement. Il était hors de question qu’il lui arrive quelque chose ! Il aurait dû l’attendre ! S’il lui arrivait quoi que ce soit, la Liée de Feu ne se le pardonnerait pas. Firindal devait parfaitement sentir l’inquiétude de sa moitié d’âme à travers leur lien, qui se renforçait de jour en jour.

La Capitaine se tourna donc vers la porte, mais Alauwyr fut plus rapide – car étant plus proche – et découvrit avec étonnement la présence d’une des cuisinières du Palais. Les sourcils, déjà froncés, de l’ancienne princesse s’arquèrent davantage encore, si cela fut possible, et elle s’arrêta. La jeune femme ne semblait pas étonner ni même intimidé par l’Alayien, les battements longs et réguliers de son cœur en témoignaient.

Soudain, un grondement bien plus intense que les autres parvint à faire perdre l’équilibre à la vampiresse, qui se rattrapa à demi sur une chaise, s'évitant ainsi une chute dans quelques morceaux de verres mais sans pouvoir rester totalement sur ses pieds... Elle demeura dans cette étrange position quelques instants avant de se relever en soupirant. Stupide orage.
Mais en attendant, Orfraie devait rejoindre Firindal… Mais les deux mortels lui bloquaient le passage. Soupirant, l’Ataliel s’écarta de façon à être hors de vue des deux humains, puis elle usa de l’enchantement de son armure de façon à disparaitre totalement. Couplé à ses bracelets de chevilles et son agilité naturelle, la vampiresse était parfaitement silencieuse. Elle s’approcha donc des deux mortels et pénétra dans la pièce, non sans écarter de son chemin – le plus délicatement possible – les deux êtres. La main près de la garde de son épée, Orfraie fit quelques pas de façon à s'éloigner des deux humains.

Toujours invisible, elle invoqua la magie vampirique pour lancer un sort de détection. Paume fermée et bouche grande ouverte, à la façon des chauves-souris à qui les vampires étaient parfois affiliés, Orfraie usa d'ultrason afin de repérer tout potentiel intrus ... ou personne cherchant à se dissimuler d'une façon ou d'aune autre.

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Sort utilisé:

Objet utilisé 1 :

Objet utilisé 2 (même si toujours actif xD):

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Citation :

Sort utilisé :
Livre de la magie de l’âme. Niveau du sort Dragonnier remarquable (Très puissant). Niveau d’Elrond Dragonnier aîné (Maître mage).

Télépathie
Le dragonnier n'est pas télépathe à la base, seul son dragon l'est et entre en contact avec lui (ou d'autres personnes d'ailleurs). Néanmoins les dragonnier les plus doués et expérimentés développe parfois un don qui leur est propre. Ils le découvrent souvent par accident en pénétrant involontairement dans l'esprit d'un bipède ou d'un animal qui aurait baissé ses défenses (sommeil, coma...)
L'écrasante majorité des dragonniers gardera un très faible niveau dans ce domaine, ils seront capables de rassurer ou de provoquer un très léger sentiment de peur/malaise chez les êtres avec peu de défenses (l'esprit bipède étant rarement sans défenses même pendant le sommeil) et de ressentir très confusément les sensations les plus extrêmes des sujets. Théoriquement il est néanmoins possible de la développer jusqu'à être capable de communiquer avec n'importe qui aussi facilement qu'avec un dragon et le pouvoir de "conscience unique" rend plus facile l'apprentissage de la télépathie entre dragonniers même si beaucoup d'entre eux n'y parviendront jamais que de façon très fragmentaire.
Note importante : la puissance de télépathie d'un dragon et de son dragonnier ne s'additionnent pas. Ce sont deux pouvoirs distincts. L'un a simplement activé l'autre au fil du temps. Dragonnier remarquable

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Le passage en force d’Orfraie semblait avoir passé inaperçu. Elle put donc pénétrer dans la pièce et se rendre rapidement compte de la présence de soldats Gloriens, au nombre de quatre. Ses sourcils s’arquèrent pour montrer son incompréhension d’une telle situation : a quel jeu jouait Gloria ? Cette intrusion allait avoir de lourdes répercutions si l’empire de Fabius s’amusait à ce jeu-là.
Le regard bleu roi se posa sur Firindal. Même caché dans la pénombre, Orfraie pouvait le voir. La présence de son lié lui assurait un allié de choix pour ce combat, car malgré sa petite taille, elle savait que son Jade était capable de venir à bout d’un homme. Ses crocs étaient aussi affûtés que les siens et mordre à la gorge suffirait à mettre à terre un guerrier. Toutefois, cela n’empêchait pas l’Ataliel d’être également inquiete. Un coup mal placé pouvait aussi tuer Firindal.

La vampiresse se désintéressa d’Alauwyr pour se concentrer sur les guerriers. Celui qui s’avançait vers l’Alayien avait un étrange regard qui n’avait rien de normal, comme s’il était drogué. Une première passe d’armes fut échangée et gagnée par l’Alayien, qui blessa et fit reculer le soldat Glorien.
Orfraie ne perdit pas de temps et saisit fermement Palantir dont les enchantements pulsaient sous ses doigts. Fort heureusement, l’arme était un arc court, ce qui permettait à l’ancienne princesse de le manier aisément même dans de petites pièces comme celle-ci. D’un œil averti, l’Ataliel reconnue les gestes clés effectués par les deux guerriers et en transmit aussitôt la signification à son Lié : une boule de feu pour l’un et une Peau de Dragon pour l’autre.

# Empêche le de viser Alauwyr. Tue-le s’il le faut. # Fit mentalement Orfraie en parlant de l’humain préparant une boule de feu, celui dont le bras était levé. Firindal pouvait se servir de l’appui donné par ce bras tendu pour attaquer sa cible. # Mais fais attention… #

La Lame était résolue. Elle leva son arc, visa le guerrier dont le poing droit était fermé sur son cœur et lâcha la corde tendue à l’extrême. Une fois la flèche tirée, Orfraie se décala sans bruit afin de changer de position. Toujours invisible, elle ne comptait pas rendre sa détection si simple.

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Arme utilisée:

Flèche utilisée:

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Toujours des petits bonds, gais, et sa voix fluette qui venait se mêler à la pluie, glissant entre les gouttes, légère et aérienne. Chaque éclair, chaque coup de tonnerre éveillait en lui une grande joie, et un frisson qui le parcourait de la tête aux pieds, hérissant ce fin duvet qui couvrait sa nuque. Mraw, qu'il aimait cela ! Il fallait un tel temps tous les jours, que le chant du ciel vienne ainsi les rejoindre ! Il sentit un esprit contre le sien. Un esprit différent de celui de Kaalys: différent dans la grande proximité avec lui, différent dans l'amour infini qu'il lui vouait, différent dans la ressemblance entre eux. Elrond… Il aimait bien quand il faisait cela. Son esprit, et le chant de la pluie… Que demandait le peuple ?
Il sautillait, il tournoyait sur lui-même, dévoilant malgré lui des bouts de sa peau d'albâtre. La musique était belle, et le choc fut imprévu et brutal. Le choc ?

Ah ben oui, le choc. Un couinement de douleur traversa le couloir, et Dawan sut qu'Elrond allait pouvoir affirmer non sans fierté avoir eu raison. Le monde avait pris un angle bizarre, avant que le corps de l'elfinet ne rencontre le sol. Oulala… Il en fut tout étourdi, et mit bien un moment avant que sa conscience du monde ne rejoigne sa conscience à proprement parler, que les sensations se mêlent à la mémoire pour devenir des informations. Se redressant un peu, plus par réflexe que par une réelle envie réfléchie. Se rouvrant, ses yeux s'accrochèrent, médusés et fascinés, sur ce qui leur était présenté. D'autres yeux, aussi gris que les siens, aussi gris que ce ciel qui veillait sur eux… Aussi distants et vitreux que les siens, par moments. Cette impression de miroir le déstabilisa. Il n'avait pas l'habitude, pas du tout, étant par habitude l'unique spécimen de son espèce. En même temps… Elle l'attira. Il voulut en apprendre plus, découvrir pourquoi, découvrir comment.

Cette envie allait être bienvenue, sans pouvoir être comblée. Sitôt que ses oreilles se tendirent vers elle, il sut que quelque chose n'allait pas. Il insista, mais les sons ne venaient pas. Confus, flous, troubles. Est-ce que cela venait de lui, de sa chute ? Non. Les autres sons étaient aussi clairs qu'à leur habitude. L'hypothèse vint à lui avant même qu'il y ait pensé: possession. Comment l'expliquer autrement ? Un autre chant-nom qui venait… Normalement, l'effet ne ressemblait pas à celui-là. Mais avec la Magie, ils pouvaient s'attendre à tout.
Le mieux était encore de découvrir ! Ayant complètement oublié le reste de l'univers, Dawan reprit enfin vie après un moment passé immobile à fixer la jeune femme. Il se pencha vers elle, lui tendit les mains, non pas comme s'il allait l'aider à se redresser, mais comme s'il voulait les regarder.

"- Ne paniquez pas, là, je ne veux pas être votre ennemi… On m'appelle Cawr Dawan Sywel. Quel est votre nom ?" Pour un Cawr, un nom était beaucoup. Ce nom pouvait l'aider à s'accrocher à son chant-nom, y déceler enfin les notes précises qui étaient celles de la première possesseuse de ce corps. Peut-être pourrait-il espérer chanter pour la ramener à elle… Ou au moins comprendre ce qui rendait son chant-nom aussi flou."[/color]

Désolé pour le temps mis:

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Citation :

Sort utilisé :
Livre de la magie de l’âme. Niveau du sort Dragonnier remarquable (Très puissant). Niveau d’Elrond Dragonnier aîné (Maître mage).

Autorité
Le dragonnier peut imposer son autorité à n'importe quel dragon en utilisant un ton spécial mêlé de magie. Dans la plupart des cas cela endommage la confiance entre les deux sujets. Dragonnier remarquable (dragonnet et jeune dragon), Dragonnier Aîné (dragon adulte), Dragonnier virtuose (dragon vénérable)

"Ory". C'était là un joli prénom, même d'un point de vue elfique. Un peu brutal, comme le sont les humains, mais pour l'un d'eux... C'était joli. Dawan avait offert un doux sourire à la jeune femme, pour la remercier de ce don précieux. Il allait faire ce qui était en ses capacités, pour elle.
Il voulut s'y lancer, mais Elrond l'interrompit. Dawan ne comprit pas exactement pourquoi: en quoi sa place selon les ordres revêtait un intérêt ? Il fit signe à la jeune femme que ce n'était pas important. Sans souci pour le brouhaha des affrontements, il se pencha vers elle, pour lui murmurer de paisibles paroles, et l'inciter à s'apaiser. Son chant-nom était flou, et l'agitation ne pouvait y remédier. Il s'apprêta à nouveau à chanter: ramenant la trame et les vibrations du monde autour de lui, il tendit l'oreille vers le chant-nom d'Ory, tâcha d'essayer d'y reconnaître au mieux les notes qui entouraient ces deux syllabes. Son attention fut détournée, lorsqu'ainsi il apprit qu'un chant-nom semblable était proche.

Il n'avait pas pris le temps d'écouter l'ordre d'Elrond, ni même de le juger. Il n'allait pas avoir le temps de jauger la scène. Le temps d'apercevoir l'éclat des écailles de Firindal, ses perceptions furent étouffées. Une vive douleur de traversa, vrilla ses tympans jusqu'au centre de son crâne. Une douleur, semblable, lui donna l'impression de briser chaque parcelle de son petit corps. Un cri sans mot et sans retenue s'échappa de lui alors que, ses mains sur ses oreilles, il essayait de s'isoler de cette torture. Cela ne changea rien; ses oreilles n'étaient pas les seuls moyens de percevoir les vibrations. La brisure de cette mort, cet assassinat, parut s'apaiser un peu...

...Pour reprendre de plus belle, dans la mort et la douleur. L'âme et le corps de Dawan n'étaient pas prêts à recevoir tout cela. Pouvait-on seulement être prêt ? On l'aurait cru. Les autres paraissaient avoir voulu ces morts. Alors étaient-ils seuls, pauvres baptistrels, à comprendre ce qu'étaient les meurtres, à comprendre ce que signifiait la grande rupture ?
L'ignorance, Dawan avait cru vouloir la combattre. Il avait cru vouloir tout savoir, quand bien même cela pouvait s'avérer difficile. En cet instant, sa volonté vacillait. La douleur était insoutenable. Il ne ressentait rien d'autre, et le cri mental de Kaalys ne lui parvint pas. Jeté à terre, il avait poussé un nouveau cri, plus fort, recroquevillé, ses mains sur son crâne qu'il croyait prêt à exploser. Pourquoi l'inconscience ne venait-elle pas le chercher ? Pourquoi ne le libérait-elle pas, pourquoi devait-il subir tout cela ? Avait-il fait quelque chose de mal ? Son corps n'était plus que douleur, et le faible chanteciel ne pouvait que crier et, mécaniquement, pleurer, jusqu'à ce que le souffle lui manque.

Il aurait eu des choses à dire, pourtant. Il aurait pu parler de cette possession, comme une évidence. Il aurait pu évoquer que les Gloriens aussi l'avaient été. Celui que la mort avait épargné courait maintenant vers la sortie, et la jeune femme fuyait elle aussi. Il ne perçut rien de cela. Il ne perçut que son corps dont il voulait se défaire.

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