3 Février

On allait bientôt partir aider les évadés, oui d'ailleurs il serait déjà partit lui-même pensa Weren, s'il ne devait pas faire quelques préparatifs, même si en tout bon fanatique du Néant il aurait été prêt à prendre sa hache, et à foncer à la frontière pour récupérer le prêcheur, il était évident que cette méthode aurait été peu efficace, non il fallait des préparatifs, et puis aussi sauver le plus d'évadés possible même si bien entendu Christan priorisé sur la personne d'Aldakkin du Néant.

Enfin dans tout les cas maintenant que l’occasion de ramener le prêcheur vivant au protectorat se profilait autant la saisir, et surtout ne pas échouer. Ah oui, et bien entendu il y avait d'autres choses à faire, c'est que maintenant qu'il était officier; il fallait bien entendu qu'il évite de se faire capturer, ou en tout cas tant que le prêcheur ne serait pas sauvé car après tout il valait mieux mourir pour sauver Aldakkin qui était le représentant du Néant sur terre qu'essayer de sauver égoïstement sa petite personne, enfin en somme l'on pouvait dire que sous toutes ces réflexions, et autres préoccupations Christan avait l'esprit chargé.

Et il n'y avait pas que le prêcheur en plus qui devait être sauvé, aussi ce dispute trône de Korentin Kohan, cette catin d'Autone qu'il avait tenté de tuer un jour, ce capitaine borné, cet elfe bizarre, et une elfe qu'il ne connaissait pas, et s'était a peu près cela oui… Autant dire du beau monde déjà qu'au protectorat on se coltinait empereur couteau dans le dos, et des dirigeants alliés peu appréciables. Ah sérieusement il se demandait comment les choses allaient évolués, enfin avec un peu de chance ils sauraient se calmer les deux empereurs humains Armandéens, et n'iraient pas jouer à la mini guerre civile au sein du protectorat.

En parlant de mini guerre civile, il se demandait vraiment ce que manigançait les esprits avec Fabius Kohan, pour peu il n'aurait pas été mécontent de s'entraîner aux haches de jet dans le dos de ce dernier, mais pour une raison inexplicable, et même pour beaucoup d'Armandéens probablement ce dernier était un élément essentiel du protectorat, et devait être protéger par dessus, protéger tiens… En espérant bien qu'il aurait son utilité celui-là, et par le Néant il avait moins de patience que le prêcheur certes, mais il avait eu au moins celle de na pas essayer d'étrangler l'autre, pour dire à quel point il faisait des efforts dans ce sens-là… Oui de toute manière il aurait probablement l’occasion de le faire plus tard avec un peu de chance.

« Passeur, auriez-vous un moment à m'accorder ? » La question il l'a poser par politesse, politesse obligatoire, et qui lui arrachait déjà assez la langue à prononcer, tant qu'au passeur c'était une façon neutre d'appeler l'autre car il refusait de lui donner du messire, qu'il ne pouvait pas l'insulter, et qu'il n'avait pas le droit d'être familier, donc vouvoiement, mais neutre. Et déjà ça lui demandait beaucoup d'effort…

Enfin il avait bien quelque chose à voir avec le passeur, et cela concernait bien entendu son métier actuel sinon il ne ce serait pas vraiment donné cette peine, Christan n'était pas vraiment le genre d'homme à aimer fréquenter les personnes qu'il méprise après tout. Enfin cette histoire d'évasion allait changé beaucoup de choses, de même que le retour du prêcheur, et il fallait savoir, et s'assurer de deux trois choses. Enfin vivement qu'Aldakkin revienne qu'il puisse rendre son rôle de général à ce dernier car ça faisait beaucoup de responsabilités sur le dos d'un homme qui était encore soldat il y a seulement 4 ans de cela… En plus qu'il y avait deux trois affaires à problème ces derniers temps. Et d'autres choses bien compliqués en plus...

Enfin il attendait donc que l'autre lui réponde car il ne pouvait pas non plus le brusquer, tout en le regardant, et en faisant un effort pour ne pas laisser trop paraître une lueur malveillante dans son regard, même si ce dernier restait assez dur. Encore, et toujours en armure complète, le politique en face de lui ne paraissait pas vraiment être un poids lourds, ce genre d'homme était plus dangereux avec sa langue qu'avec ses poings après tout, et puis il paraissait qu'il était un bon magicien, magie, bon sang… Enfin cela devait expliquer qu'il ait survécu à l'épopée des marcheurs d'il y a trois ans…

Bon par contre détail gênant, venir chercher Fabius Kohan dans sa maison pour le voir, même s'il n'était pas si tôt que cela ne serait pas forcément apprécier par ce dernier même si ça restait légitime, mais ce n'était pas le genre de choses qui amenait outrage, ou tension donc bon, et puis il avait frappé à la porte, enfin il avait essayé, cette dernière s'étant ouverte accidentellement juste après...

Beaucoup de choses allaient changer dans le protectorat, et même si ce n'était pas pour lui plaire plus que ça, ce borgne allait participer à ces changements, et très directement. Il imaginait déjà le chaos que ça allait être entre les impériaux entre les laquais de Korentin, et de Fabius. Tout les deux des Kohan, quelle bande de crétin pouvait mourir en masse au nom d'un homme ? Et juste pour que l'un des deux puisse poser son royal fessier sur une chaise de luxe appeler trône ? Il n'y avait que Néant qui méritait qu'on fasse preuve d'un tel dévouement. Non, mais sérieusement, les Armandéens resteraient toujours une énigme pour lui…

Et, enfin… Il fallait bien qu'il voit deux trois choses surtout que le retour de Korentin Kohan, et du prêcheur pourrait bientôt arriver, et il fallait mieux se concerter. Christan remettrait dans tout les cas son poste au prêcheur après tout il n'assurait que temporairement les fonctions de général, et lorsque le seigneur Aldakkin serait revenu il serait temps de reprendre une position moins lourde en responsabilité. Et ce serait reposant car supportait les politiques, et officiers des autres races était une épreuve de patience formidable. Pour sa part Weren s'étonnait encore de ne pas avoir craquer à un moment où à un autre, mais il était arrivé à le faire, après tout qu'est-ce qu'il ne ferait pas au nom du Néant ?

Oh bien entendu il ne voyait pas les gardes du corps, mais il fallait être totalement stupide pour penser que Fabius Kohan restait seul dans son bureau sans personne pour le protéger, il était peut-être un traître, mais un idiot du village ce borgne. Enfin idiot du village… Il était au courant que l'autre avait essayé de freiner la volonté de beaucoup de protéger de se porter au secours des évadés pour éviter soit disant de gaspiller des troupes, et cela lui donnait une envie perceptible de l'étrangler qu'il retenait. Après tout il y avait beaucoup de protégés qu'il aurait bien aimé tuer, mais il s'était retenu jusque là. Mais il fallait bien le dire, ce Fabius Kohan avait un don pour donner des envies de meurtres à Weren.

Et alors que l'empereur corrompu le faisait patienter, Christan s'imaginait dans sa tête prendre la tête du Kohan, et frapper le bureau de ce dernier avec jusqu'à ce qu'il y ait du sang partout, mmmh une envie irréalisable à cet instant, mais qui aurait été ô combien jouissif… Enfin au moins cette idée le détendait un peu.

« C'est pour que nous nous entretenions en privé des conséquences de cette évasion, et des suites de celle-ci pour le protectorat. Des points que nous n'avons pas pu trop aborder au conseil tactique... » Enfin en même temps vu comment ça avait été agité autant dire qu'ils n'avaient pas pu dire grand-chose.

« Et que ce soit celle du retour en masse des évadés, mais surtout de celui de vôtre cousin, et du prêcheur... » Dit-il. « Après tout il vaut mieux s'y préparer, et éviter d'éventuels futurs incidents. Le conseil allait sans doute l'aborder à la prochaine séance, mais il n'y aura pas grand monde de présent comme vous le savez... » Après tout beaucoup de monde iraient des les plaines sauvé les évadés. Y compris lui, donc autant régler les choses administratives, et ô combien agaçantes avant.

« Et aussi voir comment faire au mieux au nom de l'effort de guerre. Je m'était donc dit par exemple que si vous offriez par exemple vos excuses au prêcheur cela pourrait apaiser les tensions entre alayiens, et Armandéens protégés lors de son retour. Un sacrifice souhaitable de vôtre part au nom de l'effort de guerre. » Finit-il par sortir aussi subtil que le taureau énervé, et pas du tout de mauvaise foi alayienne.

Ce sous homme de politicien avili par la luxure, et la paresse aurait au moins pu faire mine de l'écouter sérieusement pensa Weren, un minimum de respect envers un membre du peuple qui avait tout offert à ce sale chien, et qu'il avait osé trahir sans vergogne aurait été bienvenu. Oui ce déchet inutile qui ne valait rien, qui n'avait pas d'honneur, et qui aurait dû ramper à leur pieds, et les louer n'était même pas capable de faire preuve d'un minimum de reconnaissance, mais c'est bien ça après tout les nobles, et les Armandéens de plus, incapable de savoir à quoi ils doivent tout ce qu'ils ont, et croyant toujours à leur propre supériorité. Tsss supportait la présence de cet impie sans lui briser une chaise dessus était déjà une épreuve en soit…

Alors le "je vois", et l'air un peu ennuyé faisait légèrement grincer des dents le général pour tout avouer…

Ah oui le prêcheur reviendrait, ah oui les choses changeraient, et ce déchet de Fabius Kohan n'était rien, plus rien. Il était empereur avant, mais seulement par le bon vouloir de l'alayia, maintenant il n'était vivant que parce que les esprits le voulaient, mais quand il n'aurait plus aucune utilité… Humains, vampires, elfes, et alayiens. Tout le monde voudrait sa mort à part les quelques loques lui ayant jurés allégeances. Ah oui il aurait intérêt à se soumettre ce crétin, à faire profil bas, et quand il sera acculé au mur, quand la mort viendrait le prendre ce Kohan saurait où est sa véritable place, il saurait ce qu'il en coûté d'avoir trahi les alayiens. et où était sa place en ce bas monde...

Enfin visiblement il semblerait que ses mots aient touchés leur but car cela coupa le souffle à l'autre, même s'il ne s'était pas attendu à ce genre de réaction, Weren n'était pas mécontent d'avoir mit ses arguments sur la table, on allait voir si ce Fabius Kohan allait faire de même, ou bien se défiler comme une filette qui apprenait à peine les choses charnels…

Par contre la réponse de ce chien même si elle ne l'étonna guère ne lui fit guère plaisir non plus, ah c'est que les chiens restaient des chiens, les traîtres restaient des traîtres, et de même pour les ingrats sans honneur, et bravoure. Si le seigneur Aldakkin avait bien fait une erreur, c'était accordé une chance à ce chien qu'on aurait seulement dû émasculer, et écarteler en place publique selon Weren…

« Cela ne m'étonne guère de vous, après tout que peut-on attendre d'autre comme réponse de la part d'un homme ayant fait preuve de tant d'ingratitude ? D'un homme qui a trahit ses bienfaiteurs alors qu'il leur devait tout, un homme qui n'était rien, et qui a été hissé au sommet, mais qui n'a même pas montré une once de reconnaissance pour cela? » Dit-il de plus en plus sec, et dur.

Et le rire n'était pas pour lui plaire, oh non il grinçait des dents, la flamme de fureur qui couvait dans ses yeux était si brûlante qu'elle aurait pu brûler le feu lui-même. Et il ne savait pas par quel espèce de miracle il n'écrabouillait pas la tête, et la cervelle de l'autre sur la table.

« Ce n'est pas à vous, plus rien n'est à vous dorénavant. Vous pensez quoi ? Vous ne serez plus empereur, vôtre cousin reviendra, et prendra vôtre place quand toute cette histoire sera finit, les elfes, et les vampires ne veulent plus de vous, comme mon peuple. Vous n'êtes rien qu'un empereur déchu accroché à ses rêves de gloire, un ambitieux sans avenir qui passe à travers une chance d'être utile, et surtout de se racheter un petit peu par excès d'orgueil. Voilà la vérité, et voilà où vous as conduit vos actes. Des excuses voilà le minimum que vous nous devez... » Acheva t-il glacial comme le vent de glacerne d'antan.

Ah c'est qu'il n'était pas qu'insolent, il se le revendiquait en plus ce chien! Soit, Christan se souvenait bien qu'il ne pouvait pas en venir aux mains au risque de retombés judiciaires, mais cela ne voulait pas dire qu'il ne pouvait pas se défendre oralement. Il n'était pas un grand orateur, mais il était têtu après tout, surtout face aux gens qu’il détestait, et il avait un petit talent pour les réparties acerbes. Et puis bon si ce Kohan cédait à la violence physique par contre, ce serait à lui de subir les conséquences de son geste, pas à Weren. Car après tout ce dernier ne faisait que parler… Et répondre aux insultes qu'on lui adressait.

Et aux propos venimeux du traître il éclata de rire, lui aussi, d'un rire glacial comme l'hiver, et peu amical qui résonnait gravement à travers son casque. Suite à cela Christan dit d'un ton tranchant comme le fil d'un sabre, mais moins teinté de fureur.

« Vous savez joué de vôtre langue Kohan, je serai bien en mal d'avoir un tel argumentaire, mais si vous n'avez que vôtre langue pour vous, et aucun soutien je doute que cela suffise surtout s'il vient l'idée un jour à quelqu'un de vous arracher cet organe si essentiel qui est dans vôtre bouche. »

Dit-il d'un ton légèrement moqueur, ah oui les politiciens, ça savait parlait, mentir, mais quand il s'agissait de se battre, ou de faire quelque chose de constructif il n'y avait plus personne...

« Oh ne vous inquiétez pas pour moi je sais lire depuis peu, après je ne peux sûrement pas prétendre avoir vôtre niveau d'érudition, mais malpeste ce n'est pas comme si j'avais eu autant de temps libre qu'un noble peut se le permettre. Lorsque l'on combat au front, et que l'on fait l'expérience du corps à corps lire des ouvrages de philosophie est rarement une priorité, mais bon. Qu'avez vous à faire de ces mots ? Vous qui ne vous êtes sans doute jamais battu en première ligne, préférant envoyer vos sujets mourir à vôtre place pendant que vous gober vos raisins en entourant eux femmes peu vêtues de vos bras. Je suis moins savant probablement, mais vous vous ne vous prétendez pas brave. »

« Vous laissez le reste ? Je vous laisse en parler à tout les autres hauts officiers, et vos confrère dirigeant, après tout je n'aime peut-être pas le général elfique, l'empereur elfique, et tout les autres, mais je doute qu'il veuillent plus que moi vous voir diriger le reste... Vous aussi restez à vôtre place je vous conseille. Et contemplez ce que deviendra cette dernière dans quelques mois au retour triomphal de vôtre cousin, mais soit... » Il réfléchit, et dit ensuite vexé, même s'il devait avouer que lui aussi doutait de ses propres capacités en tant que général.

« Je n'étais pas venu que pour exigez vos excuses, qui sont légitimes à exiger, mais aussi pour vous faire parvenir ce compte rendu des décisions du conseil d'il y a peu, nous comptons bien entendu sur vous pour appliquer ces directives qui ont été décidés suite aux derniers événements... » Dit-il avec une teinte de satisfaction dans la voix, bien entendu il était certain que beaucoup de ces directives ne plairaient pas au Kohan, comme ce dernier l'avait si bien démontré lors du conseil… Il sortit donc le compte rendu, sous forme d'un parchemin qu'il tendit à l'un des gardes pour qu'il le remette à l'autre borgne...

Ce que l'on pouvait dire de ce Fabius Kohan. C'est qu'il était un véritable chien, Christan imaginait mal comment une telle épave avait pu être un roi, même pas un exemple, juste un sale opportuniste qui avait prit le pouvoir, sûrement pas un homme avec la grandeur d'Aldakkin du Néant. Loin de là bien entendu, en plus d'être doublé d'un civil il se croyait aux dessus des héros de guerre, et apte à juger la vie des hommes, et des femmes à la place du Néant, ou de quoi que ce soit. Il n'était qu'un homme, ces nobliau Armandéens l'avaient tous oublier, si on leur coupait la tête ce ne serait pas du sang bleu, mais rouge qui coulerait cela il le savait très bien. Et certains se croyaient pourtant supérieur aux autres hommes, pas étonnant que ce continent nommé Armanda ait pu au final tombé dans une telle décadence…

Enfin arracher la langue de ce Fabius était bien l'une des choses les plus douces que Weren aurait pu faire à ce sale chien, mais ce ne serait pas intelligent de sous-entendre plus, après tout aux dernières nouvelles on était encore au protectorat, et visiblement le nobliau n'en démordait toujours pas. Ah certainement qu'il avait longuement entraîner sa langue celui-là à défaut d’entraîner son corps, ou son maniement de la lame… Mais était-ce vraiment étonnant de la part d'un politique ?

« Ah oui bien entendu, et laissez moi deviner... A la clé de vôtre courage il y a quoi ? Le pouvoir ? L'argent ? Rien de désintéressé, ou de vraiment digne de louange je parie. Boucherie, ou pas je préfère la bravoure de ce qui se battent pour quelque chose de supérieur à eux, pas pour poser son royal fessier sur une royale chaise. Ce que vous appelez courage moi je le nomme ambition égoïste. » Dit-il sèchement, ah ce Kogan était très habile pour tourner les mots à sa sauce, mais on n'irait jamais faire croire à Weren que des politiques étaient vraiment courageux, et en parlant de famille. Il parlait de quelle famille celui-là ? La bande de noble nommé Kohan qui pour là plupart voulait aussi faire la peau à ce Fabius ? Eh bien l'on pouvait dire que c'était fort ironique…

Et visiblement il faudrait peut-être achever rapidement avec cette joute verbale car Christan pour sa part ce sentait assez énervé d'un coup, et nul doute que la situation dégénérerait si les hostilités se poursuivaient encore trop longtemps, déjà qu'il avait dû subir la présence de ce chien de traître plus longtemps qu'il aurait été sage de le faire en temps normal...

« Et comment ? Cela j'aimerai bien le savoir. »

« Car soit moi-même je ne suis pas un bon politicien, mais j'ai assez de cervelle pour savoir que vous êtes aussi dans une sale situation. Les elfes, les vampires, et les rebelles, les mêmes qui veulent nôtre peau à nous alayiens veulent vôtre peau. Car supposons un instant que vos paroles soient des paroles vraies, alors j'aimerai bien avoir la preuve que vous ne serez pas étripé par tout vôtre continent adoré vous aussi dès que cette histoire sera terminé. »

Puis il réfléchit, et acheva.

« Soit vous avez gagné vôtre joute verbale Kohan, mais je dirai encore une fois cela, vous me parlez d'avenir, mais je ne vois pas en quoi vous êtes l'avenir. Ou en quoi vous serez encore vivant après cette histoire. Sur ce, je pense que le seigneur Aldakkin sera plus à même de décider ce qui devra être fait en temps voulu. » Dit-il après un effort important pour achever la chose un minimum diplomatiquement, et non en tentant de faire quelque chose de fort regrettable… Sur ce il s'apprêta à partir.