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| Sujet: Symius Wardal Jeu 5 Aoû 2010 - 17:47 | |
| - Nom : Wardal
- Prénom : Symius Siegfried
- Surnom : Rohir, un surnom que lui ont donné les elfes à son plus jeune âge signifiant chevalier
- Date de naissance : 1714, date estimée
- Age : 36 ans bientôt 37. Enfin selon la date de naissance qu'on lui a estimé.
- Race : humain
- Caste : guerrier mage
- Métier : Un des dirigeants de faction la guilde les lames noires (mais pas son dirigeant absolu), dont la faction est dévolue à la protection de l'héritier Gaelik Kohan
- Lieu de résidence : l'ombre de Gaelik
- Arme principale : Une épée, à la lame noire, et à la garde de couleur bleue qui lui a été offert par son mentor aujourd'hui décédé à qui il vouait un respect sans faille. Pas de nom, pas de propriété magique.
- Style de magie préféré : humain
- Alignement : neutre tendance bénéfique
- Physique :
S'il existe un mot pour décrire Symius, ce serait charismatique. Symius est effectivement un homme ayant une prestance indubitable, incarnant comme une force tranquille malgré la lave de colère qui peut parfois jaillir de lui. De stature assez grande, dans les 1m85, de carrure musclée, sans être ni trop lourde ni trop fluette, la carrure d'un guerrier dans la force de l'âge et bien entretenu en somme, il s'impose comme un dirigeant de guerre dès le premier regard. Tout en lui respire une certaine force d'âme et un calme calculateur assez trompeur. Quand ses yeux de glace vous vrille, on dirait qu'il cherche à vous transpercer l'âme alors qu'il ne faut qu'évaluer la force qui émane de vous et le danger que vous pourriez bien représenter.
Son visage de prime abord assez dur n'a rien d'agressif ni de forcément bienveillant. Nez droit, menton volontaire ni trop carré ni trop fin, pommettes saillantes, traits dans l'ensemble assez fins et nettement masculins, son visage montre tout d'un homme volontaire et droit. Ses longs cheveux qui lui tombent juste en dessous des épaules, et qu'il porte le plus souvent en natte finement tressé à l'arrière, sont d'un gris étrange pour un homme de son âge, ses cheveux semblant virer au blanc de façon bien prématurée. Mais loin de donner un air faible à cet homme, cela lui confère au contraire une sorte de... sagesse. Trait physique d'un homme visiblement d'expérience, si tant est que son regard pénétrant n'aurait pas suffit à vous convaincre.
Enfin les quelques cicatrices que vous pourriez voir courir sur ses bras, son torse et la fine cicatrice zébrant discrètement sa joue droite, sont des signes caractéristiques de son caractère guerrier et combattif. Si tant est que vous ne l'aviez pas déjà remarqué par les habits qu'il arbore le plus souvent : tout de bleu ou de noir vétu, sa longue cape noir volant au vent ne cache rien de son uniforme des plus explicites. Et si jamais vous ne reconnaitriez pas l'uniforme des lames noires, la lame noire de son épée qu'il porte saignant son flanc quand il ne la brandit pas devant vous serait suffisamment évocatrice de sa position et de son rôle en ce bas monde...
- Caractère :
Fier, courageux, volontaire, ayant un code de l'honneur qu'il défend corps et âme, Symius est aussi parfois un dangereux fanatique qui ne dérogera pas facilement de ses conviction. Fanatique au service de la famille royale, et plus particulièrement au service du jeune Gaelik qu'il défendra et qu'il secondera même aux dépends de sa propre vie. Pour cette famille, pour ce jeune homme, Symius serait prêt à tout, même à commettre le pire des crimes s'il le fallait.
C'est avant tout un dirigeant d'armée, un combattant hors paire, un maître d'armes et un tacticien intelligent. Rusé, même s'il a chassé le mot fourberie de son vocabulaire, il n'aime pas s'avouer vaincu sur un champ de bataille et donnera tout ce qu'il a dans les tripes pour remporter la victoire. Il sait mener ses hommes et se faire obéir comme personne, n'acceptant aucun signe de défection dans ses rangs et détestant qu'on lui tienne tête. A moins qu'on ne porte le nom de Kohan. Pas kamikaze, ni téméraire, il est toutefois d'un courage frôlant l'insolence par moments, capable des pires assauts pour défendre sa cause et ses rois. Faire tuer ses hommes ou se faire tuer lui-même lui importe peu du moment que sa mission est acquittée. Fanatique, vous dis-je.
Mais à côté de ce caractère très arrêté sur ses idées, c'est aussi un homme intelligent, qui malgré ses airs de guerriers abruptes aime apprendre, lire, écrire, même si sa main est plus habile à l'épée qu'à la plume. Il manie les mots sans aucune gêne, jonglant avec le sarcasme, l'humour noir ou la taquinerie avec un flegme nonchalant. C'est un homme sûr de lui, et cela se sent nettement dans ses paroles, sa voix grave donnant en outre une profondeur parfois envoûtante. Surtout auprès des femmes, à qui il offre parfois une certaine audace. Voilà bien d'ailleurs une chose qui a été dure d'abandonner lors de son engagement dans les lames noires : les femmes. C'était un homme à femmes, volage, aimant passer de l'une à l'autre sans l'ombre d'un regret. Les ayant toutes aimé pourtant avec ardeur et fougue. Mais... Disons que s'il y a renoncé, il lui est toutefois bien difficile de ne pas succomber une fois dans les bras d'une jolie servante ou d'une dame de petite noblesse qui aurait croisé son regard de séducteur invétéré. Et s'il ne joue plus autant à ces jeux de séduction, il n'en reste pas moins sensible aux charmes qu'on lui montre...
Enfin disons que loin d'être un homme bourru, c'est quelqu'un assez facile d'abord, du moins une fois qu'on passe outre quelques commentaires ou ces manières parfois guerrières. C'est aussi un homme taquin, qui, quand il se prend d'amitié, n'aura de cesse de se plier en quatre pour vous faire sourire ou vous redonner la bonne humeur dans les moments les plus sombres ou les plus nostalgiques. Rajoutons toutefois une certaine propension à la colère qui peut éructer tel un volcan se réveillant, sans crier garre...
- Aime/déteste : Il aime les femmes. Indubitablement. Le code de l'honneur des lames noires qui répond assez bien au sien propre. La guerre, les combats, l'adrénaline qu'ils lui insufflent... Il voue une fidélité sans faille, et un fanatisme parfois étouffant, à la famille Kohan.
Il apprécie enrichir ses connaissances, lire et écrire, il apprécie la finesse elfique qu'il a pu entrevoir il y a quelques années. Il déteste les vampires qui auraient décimer sa famille. Il déteste le mensonge, la fourberie, la traitrise...
- Particularité : nombres de cicatrices dont une sur la joue droite, toutefois assez discrète, loin de le défigurer
- Histoire :
Tout a commencé en hiver. 1714 probablement. ce "probablement" vous trouble certainement, mais n'ayez crainte, vous en saurez plus bien assez tôt. Tout commença donc en hiver début, entre 1710 et 1715, puisque date il vous faut, piètre repère temporel que celui usité par les hommes... Un homme, une femme, un enfant, la joie malgré la rudesse de la vie et une fête. Passons donc les détails si communes aux mortels. L'enfance de Symius n'a connu jusqu'alors aucun fait marquant digne d'être cité. Les apprentissages de la vie que tout Homme a connu, les essais, les échecs, les gloires et victoires. Un père paysan... Une mère... tout aussi paysanne. Et non Symius n'aurait rien des ascendants nobles qu'il aurait aimé posséder. Fils de paysan, qui était destiné à devenir à son tour paysan. Destin alors bien fade et bien peu glorieux pour ce petit bataillant qui n'avait de cesse d'en jouer au guerrier avec des morceaux de bois contre des ennemis imaginaires, allant jusqu'à effrayer les vaches avec ses cabrioles. Même si ces jeux n'étaient pas forcément approuvés par ses parents, ceux-ci le laissaient faire, riant même parfois des facéties de leur fils débordant d'énergie. Fils unique assez rare dans les coutumes humaines pour être notifié, la mère de Symius n'ayant pas réussi à porter d'autres enfants. Les deux parents concédaient donc tout à leur unique enfant, se disant que cela passerait avec l'âge. Il fallait bien qu'il apprenne après tout, n'est-ce pas ?
Tout poussait alors à croire que le petit Symius était destiné à une vie tout aussi paisible et apaisée que celle de ses parents. Mais visiblement le Dracos en avait décidé autrement. Un soir, alors que la journée de travail s'achevait enfin et que tous s'apprêtaient à un repos mérité, le village fut sombrement attaquée par une créature nocturne redoutablement efficace. La petite maison du couple étant légèrement en retrait, elle fut la première attaquée. Le couple tué. L'enfant, horrifié, ne put que rester caché là où sa mère l'avait enfoui, sous un lit, lui intimant le silence, quoiqu'il puisse voir ou entendre. Tout ce qu'il vit fut alors la créature étrangement androgyne se coucher sur sa mère alors en pleurs... et la mordre au cou, dans un flot de sang des plus horrifiques. Mordant son poing et taisant les sanglots qui montaient, Symuis se tut, tremblant de peur, de terreur même, conscient qu'un geste, un bruit, lui serait aussi fatal. Les hommes qui intervinrent ensuite furent tués tout aussi sauvagement, la créature ressemblant alors à une bête enragée et assoiffée plus qu'autre chose.... Tout se passa si rapidement qu'il était déjà trop tard quand la bête repartit d'où elle était venue. Dans les ténèbres. Le choc était si grand qu'on ne pensa d'abord qu'à s'occuper des morts, et des quelques blessés. Quatre hommes avaient péri en plus du couple. Bien vite la garde impériale, alertée par un des paysans alors parti chercher du renfort, arriva une heure plus tard et tenta d'organiser le village alors complètement désemparé. Quelques questions suffirent aux guerriers aguerris pour comprendre ce qui s'était passé. Vampire revint sur les lèvres de tous les survivants. Et ce n'est qu'en interrogeant les villageois sur les victimes, qu'enfin un d'eux s'aperçut qu'une personne manquait à l'appel. Symuis. le petit Symuis, dont on n'avait retrouvé ni le corps, ni la trace. Personne n'avait fouillé la maison non plus, erreur qui fut vite corrigée. En vain.
Le petit semblait avoir disparu. La garde impériale se proposa alors de partir à la recherche de l'orphelin... si tant est que le gamine ait miraculeusement survécu à une telle sauvagerie, les hommes, pourtant guerriers sans peur et sans reproche, priant intérieurement que le môme n'ait pas été kidnappé par cette bête sanguinaire. ce ne fut qu'aux lueurs de l'aube que le traceur de la faction de la garde, un des rares elfes qui s'était engagé auprès des humains, contre l'avis de son peuple, démasqua enfin la cachette du gamin. En effet, celui-ci, se retrouvant subitement seul dans la maison ensanglantée après que les villageois aient enlevé les corps, avait pris peur. Se disant que la bête pourrait vouloir finir son oeuvre, il avait préféré fuir pour se réfugier dans sa cachette secrète comme il aimait l'appeler. Nuit noire et bruits forestiers ne lui firent aucunement peur, lui qui connaissait les lieux par coeur. Et la présence de son fidèle ami le chien lui était d'un grand réconfort. si danger il y avait, son chien l'alerterait, non ? Et mieux valait fuir le sang dont l'odeur attirerait inexorablement la bête une fois encore. C'est dans cette cachette, construite avec son père dans une petite clairière de la forêt qui jouxtait la petite ferme, que le petit détachement de la garde trouva l'enfant. Endormi en boule contre son chien, des traces de larmes sillonnant son visage plein de poussières.
Orphelin donc. Ayant survécu miraculeusement à cette attaque qui avait tué ses parents. Sans famille, lui apprirent les villageois. Eux-mêmes bien trop miséreux et ayant souvent une famille déjà bien trop nombreuses pour pouvoir assumer pleinement cette bouche à nourrir supplémentaire. L'enfant aurait certainement été laissé plus ou moins à lui-même, du moins aurait vadrouillé de famille en famille dans le village, si le hasard, le destin diraient d'autres, n'avait pas choisi une autre voie pour lui. L'elfe traceur connaissait une personne qui se ferait un plaisir d'accueillir ce petit avorton au caractère bien trempé qui leur en avait déjà fait voir de toutes les couleurs. En effet, le dirigeant de la faction voisine avait, selon les rumeurs, perdu son unique enfant et unique héritier. Une adoption serait peut-être le baume que le couple du guerrier cherchait tant depuis quelques mois. Et ce gamin qui semblait tant s'émerveiller face aux épées et autres armes de la garde pourrait trouver alors de quoi s'épanouir avec un père lui même maître d'arme.
Et c'est ainsi que Symuis partit de son village, conduit par la garde jusqu'à sa nouvelle famille. Qui devint sa famille tout court. Le couple, bien trop heureux d'accueillir cet enfant, d'avoir une seconde chance accordée par le Dracos, malgré la stérilité de la femme, prit l'enfant en son sein sans même poser de question. Et Symuis devint ainsi Symuis Wardal. Son âge ou sa date de naissance n'était que vague, les paysans n'ayant pas vraiment une notion du temps aussi précise que les érudits. Il fut estimé que l'enfant devait avoir 6 ou 7 ans, et une date estimé à 1714 fut donnée. Hiver 1714, d'après les dires des paysans. Qu'importe l'âge exacte du bambin après tout, du moment qu'il grandissait comme tous les gamins de son âge... Patience et amour furent les maîtres mots de Merwen et Alyon Wardal, qui aidèrent Symuis à vaincre ses cauchemars, quand, la nuit, lui revenaient en mémoire les images ensanglantées de sa mère.
On apprit à Symuis à lire et à écrire, on lui enseigna l'histoire et les calculs, mais aussi la magie, l'enfant se montrant assez capable en ce domaine pour en maitriser si ce n'est toutes les arcanes du moins les rudiments utiles à un guerrier. Bien entendu, très vite Alyon, dirigeant de faction de la garde impériale près de Gloria, se fit une joie d'enseigner le maniement de l'épée, de la dague, de la lance et de la hache à son jeune protégé. Symuis devint ainsi rapidement un excellent épéiste. Il s'engagea lui aussi dans la garde impériale, aux côtés de son père, dès qu'il fut en âge. maintes combats furent menés ainsi côté à côté, pour la plus grande joie de l'un et la plus grande fierté de l'autre. un lien fort s'était tissé au fil du temps, quand bine même ils n'étaient pas ceux du sang.
Malheureusement, tout a une fin. Et il semblerait que le bonheur ait une fin souvent plus précoce que le reste. Alyon fut tué, d'une lance particulièrement fourbe, qui lui transperça le poumon lors d'une bataille pour repousser les bandits qui s'attaquaient aux villages jouxtant la grande ville. Un moment d'égarement, faiblesse de vieil homme sans doute, et la Faucheuse vint happer ce formidable guerrier en lui donnant tous les honneurs. Sur le champ de bataille. Malgré tout l'amour que Merwen vouait à son fils adoptif, la peine d'avoir perdu son amour de toujours fut plus forte et l'hiver suivant la frappa aussi du sceau de la mort. Symuis se retrouvait alors pour la deuxième fois de sa courte vie orphelin.
Il n'avait alors que 20 ans. Enfin environ 20 ans. Ce fut pour lui un tournant marquant. Et, toujours engagé dans la garde, c'est à ces années là qu'il vola de femmes en femmes, devenant un séducteur invétéré et inassouvi. 2 autres années passèrent ainsi, au service de la garde. Jusqu'à ce que...
Jusqu'à ce que, au détour d'une patrouille, sa faction ne tombe sur un attroupement assez inhabituel. Une petite escouade se faisait visiblement attaquer par une horde de bandits. Et pas n'importe quel bandit. La Horde. L'unique, la seule, qui faisait tant parler d'elle. Et qui s'attaquait présentement à nul autre que la famille royale. Qu'importe quel était ce membre imminent dans la famille royale, la simple vue des armes des Kohan sur la calèche en détresse, malgré les défenseurs farouches qui tentaient de la protéger, suffit à Symuis pour qu'il s'élance à son tour dans la mêlée pour prêter mains fortes aux lames noires. car il ne s'agissait nul autre que des lames noires. sans doute ces combattants émérites n'auraient eu finalement nul besoin de ce renfort, mais... Mais un combat de ce genre ne se refusait nullement. Et tête baissée, Symuis fonça. Et dévia une dague qui visait vraisemblablement l'occupant de la calèche. Une femme, eut tout juste le temps d'apercevoir Symuis, alors déchainé avec sa lame tourbillonnante. La Horde alors en minorité se replia bien vite. Rapide serrement de mains en guise de remerciement envers la garde, et les lames noires reprirent leur chemin.
Rencontre décisive alors pour Symuis. Une révélation. Révélation qui n'était pas qu'à sens unique. De retour à Gloria, il eut, quelques jours plus tard, l'étrange surprise de recevoir une lettre. Une missive royale. Une invitation. Il s'empressa bien évidement d'y répondre positivement. Et c'est, dans son costume de garde impériale, plus qu'impressionné lui-même, qu'il fit son entrée dans les quartiers royaux où séjournaient les Kohan quand ils venaient à Gloria. Celle qu'il avait sauvé n'était nulle autre qu'Esmelda Kohan, la soeur de l'empereur. Elle voulait le remercier en personne et lui accorder une faveur. La seule faveur qu'il demanda fut de pouvoir servir au mieux de ses capacités la famille royale.
Et c'est ainsi qu'il fut embrigadé dans les lames noires, montrant un dévouement à la hauteur de la réputation de ces guerriers et protecteurs de l'empire. Il fut pris formé et instruit par un homme émérite, un dénommé Alester Lienford, un des plus hauts dignitaires des lames noires. Un homme qui devint son modèle, son mentor. Et qui lui légua son épée à sa mort. Symuis se fit un devoir de se montrer à la hauteur de cet enseignement et bien vite montra sans cesse sa valeur et sa dévotion. Tout récemment, il fut choisi par l'empereur lui-même pour protéger et seconder le jeune Gaelik Kohan. Un honneur qui lui gonfla le coeur et dont il s'acquitte chaque jour avec ferveur.
- Liens familiaux : sa famille aurait été décimée quand il était jeune.
- Autres liens : Sa faction de lames noires, à qui il voue une fraternité indéfectible. Il ne laissera pas un de ses hommes mourir dans des souffrances atroces et sera prêt à l'achever si nécessaire... pour ne pas le laisser aux mains de l'ennemi.
Les Kohan, la famille de l'empire à qui il voue une dévotion sans nom et qu'il a juré de protéger au péril de sa propre vie. Gaelik notamment, son petit protégé attitré pour qui il s'est pris de vive affection. Ce jeune homme est devenu sa raison de vivre, son rayon de soleil.
- Code du règlement : hum... vraiment ?
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