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La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).



 
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Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE

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Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Empty
MessageSujet: Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Icon_minitimeJeu 29 Jan 2015 - 2:23


Cowlbran Lestat


I want to be Good



Compétences

    Caractéristiques (clic) :
    Physique :
  • Force physique : Moyen
  • Agilité : Bon
  • Furtivité : Très bon
  • Réflexes : Moyen
  • Endurance : Faible
  • Résistance : Moyen
  • Beauté : Très bon

    Mental :
  • Force mentale : Moyen
  • Patience/self contrôle : Bon
  • Perception : Bon
  • Intelligence : Bon
  • Arrogance : Moyen
  • Gentillesse : Faible
  • Prestance/charisme : Très bon
  • Mémoire : Moyen

    Combat :
  • Epée : Bon
  • Dague doubles ou simple : Aucun niveau
  • Poignard : Très bon
  • Lance : Aucun niveau
  • Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Aucun niveau
  • Hache : Aucun niveau
  • Faux : Aucun niveau
  • Fouet : Aucun niveau
  • Art du lancé (poignard, petite hache...) : Faible
  • Art de la parade (bouclier ou arme) : Moyen
  • Arc : Aucune niveau
  • Arbalète : Aucun niveau
  • Mains nues/pugilat : Moyen
  • Equitation : Très bon

Identité


  • Race : Vampire

  • Nom : Cowlbran

  • Prénom : Lestat

  • Surnom(s) : Bran

  • Titre : à acheter si vous le souhaitez

  • Date de naissance : An 1683 de l'âge d'Argent (Naissance biologique) / 1705 de l'âge d'Argent (Vampirisation)

  • Age réel : 72 ans

  • Age vampirique : 50 ans

  • Lieu de naissance : Quartier aisé de Gloria

  • Lieu de vie : Nomade

  • Rang social : Bourgeoisie du temps de sa vie humaine, petit peuple de la société vampire

  • Poste/emploi : Guérisseur itinérant

  • Guilde : Aucune


Equipement et magie
  • Arme principale : Une dague normale dissimulée le long de son mollet pour se défendre.

    Sa magie


  • Autres objets : Des livres d'histoire
    Des tomes de sort
    Des vêtements sombres
    Une jument vampire
    Des fioles et onguents
    Des fioles vides
    Des bandages


  • Alignement : Neutre tendance maléfique

  • Totem : totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff

  • Style de magie principal : Ténèbres

  • Puissance magique innée : Correcte

  • Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.




Physique et caractère

  • Physique : Une peau laiteuse sous un épais fourrage de cheveux noir. Deux luisants iris couleur acier. Un parfum capiteux de pavot, de vieux cuir et belladone Telle est la première et dernière impression que cet homme vous a laissée. Il n’est passé que furtivement, et l’espoir grivois de lui jeter un dernier regard attisé par une charmante curiosité vous a incité à vous retourner, pour constater avec stupeur qu’il s’est volatilisé. Pourtant, il était bien là ! Un homme ne peut disparaître ainsi, et même s’il n’était pas très gros, il n’y a aucune chance qu’il soit caché par l’une des maigres colonnes qui soutiennent les torches le long de l’avenue. Vous le cherchez. Son parfum semble être encore présent, accroché à vous comme un rappel tenace à son regard troublant, profond. Vous avez mal vu, mais son visage semblait avenant, animé d’un léger rictus confiant dont vous auriez aimé connaître le sens. Il n’était pas très vieux, la jeune trentaine tout au plus, et ses vêtements ne laissaient penser ni à une vie de rigueur, ni à un excédent de richesse. Il marchait lentement mais sûrement, comme sachant où il allait.
    Tant pis, la nuit tombe et il vous faut rentrer… Vous vous consolez en songeant qu'après tout, il n'était pas si parfait que votre esprit voulait bien vous le faire croire. Après réflexion, son teint blême lui donnait l'air maladif, et ses cernes tombantes, celui de n'avoir point dormi depuis longtemps. Ses cheveux étaient négligés, comme s'il n'avait pas de quoi s'offrir les soins d'un barbier digne de ce nom, et vous n'êtes plus sûr que son sourire fût plus la signature d'une suffisance agaçante que celle d'une soirée bien arrosée.
    Vous rentrez enfin chez vous. Tout de suite, votre nez se retrousse sur cette odeur familière. Si désuète l’instant d’avant, elle vous prend à présent à la gorge, et vous fouillez frénétiquement la pièce du regard jusqu’à en trouver la source. Il est là. Ses longues jambes gainées dans un pantalon de toile sombre croisées l’une sur l’autre, dans une position lascive, il vous regarde, tout à fait à son aise alors que son séant est installé impunément dans votre propre fauteuil. Ses prunelles d’argent vous fixent, et ce rictus que vous trouviez jusque là si galant fait couler de désagréables sueurs froides dans votre dos. Comment est-il entré ? Pourquoi ne parvenez-vous pas à bouger, ni même pas à parler ? Il se lève, et vous constater qu’il est grand. Il s’approche, son ombre vous enveloppe. Un éclat luit à son oreille gauche, dont trois petits anneaux ornent le cartilage. Sous le col de sa chemise, vous percevez la cordelette d’un collier dont le pendentif vous est caché, mais son manteau de cuir usé vous a déjà bouché la vue. Il est froid. Sa peau est glacée, mais dans son étreinte, vous vous sentez curieusement bien. Il n'est pourtant pas très musclé, vous ne doutiez pas un seul instant de votre capacité à vous échapper, mais vous n'y songiez simplement pas. Vous sentez ses mains jouer avec vos cheveux, descendre dans votre dos, vous coller à lui. Son souffle est proche de votre oreille, et ce que vous n’auriez jamais espéré arriva : il parla. Le son rauque et caverneux de sa voix sera la dernière chose que vous connaîtrez. En un souffle, ses lèvres pâles étirées sur son éternel sourire ont déjà ravi votre gorge, et de ce monde, votre vie a déjà été arrachée.

  • Caractère : Tâchons de dresser un portrait fidèle d’un homme qui abhorrait la fidélité. Dédiabolisons cet être de vices, et rendons ainsi hommage au récit de sa vie qu’il a bien voulu nous livrer. Narcissique, mais pas prétentieux. Ambitieux, mais pas arrogant. Le Lestat qui s’est dévoilé à nous parle très justement de lui-même. C’est un être de passion, et non d’action. Épris de liberté, enfermez-le et vous tuerez tout l’intérêt de sa compagnie. L’homme a fait de la séduction un art, et chacun de ses Baisers est un tableau. On reconnaît sa pâte dans l’impression enfiévrée qu’il laisse à ses victimes, et quiconque prétendrait être sorti indemne d’un entretien avec lui est un menteur éhonté. Il est séduisant, et il le sait. En jouer est son quotidien, un rituel auquel il ne démord pas. Lorsqu’on est un éternel fugitif, vivre à la nuit la nuit devient une seconde nature, on ne s’inquiète plus du lendemain, et hier était un autre jour. Lestat est ainsi, mais bien sûr, il a lui aussi ses buts. S’il mène à bien vie autour de l’hédonisme existentiel, prenant un plaisir non feint à baigner dans la décharge de l’adrénaline, il cherche l’accomplissement de soi. L’immortalité lui est proprement insupportable sans la connaissance de pourquoi tout cela a commencé. Il est à la recherche de ses origines, et rien ne pourrait le détourner de ce but. S’il est joueur, il n’en demeure pas moins homme de confiance, qu’il n’accorde jamais entièrement. Mais toute promesse à valeur de parole pour lui, et s’il décide de se lier à un destin, ce dernier peut-être sûr de pouvoir compter sur son soutien.
    Lestat n'est pas qu'un monstre, une bête qui aurait appris à se museler elle-même. Il a un coeur et sait aimer, mais il en voit simplement rarement l'utilité. Perdre des proches ne l'émeut pas. Son monde tourne autour de lui-même, et il se suffit à sa personne. Il ne demande rien, et prend simplement ce qu'il veut, sans oublier de donner en retour bien sûr.

    En somme, un homme rationnel, réaliste, dont les idées avant-gardistes nagent à contre-courant des conventions de son temps, et qui n'hésite pas à se débarrasser de sang-froid de ce qui entrave sa route.



Mes liens

Lestat a rompu tous ses liens avec les vampires, vu que c'est un renégat. Sa génétrice, celle qui l'a mordu, est toujours en vie et à sa recherche.
Il a également reçu le soutien d'une vampiresse mystérieuse qui l'a contacté par télépathie, et dont il ne sait encore rien, sauf qu'elle partage ses idées pacifiques.

Il sait qu'une membre de sa famille humaine est encore en vie, l'ayant découvert en faisant des recherches sur ses origines. C'est sa soeur, même s'il ne le sait pas encore, et il la cherche. Le seul indice qu'il a à son sujet est un dessin au fusain de sa famille. Il recherche le dessinateur grâce à la signature.

Lestat possède une jument vampire qu'il a volée au moment de sa fuite et ils se sont attachés l'un à l'autre. Il en prend soin, autant par affection que par pragmatisme.

Il voyage sans cesse, du fait de sa condition de fugitif, ce qui est à double tranchant : il rencontre beaucoup de gens mais ne noue pas vraiment de longue relation. Il est herboriste et vend ses produits aux humains. Il revoit quelque fois des client.e.s plusieurs fois.



Derrière l'écran

  • Petite présentation : Salut !
    Je reprends le RP que j'avais délaissé pendant quelques temps. J'aime écrire, voyager, monter à cheval et je pratique les arts martiaux Smile J'ai 26 ans, et je graphe et code un peu.

    J'espère qu'on aura de belles histoires ensemble ici Smile

  • Rythme rp : Rythme rapide (une réponse par jour et par rp)

  • Particularités rp : Je reprends depuis longtemps, mais à ma connaissance je ne suis pas dyslexique (sauf pour écrire ce mot-là manifestement x))

    Je veux bien tutorer d'autres joueuse.r.s si besoin.

  • Comment avez vous découvert le forum : J'ai découvert ce forum sur un top-site:!

  • Le code du règlement :








Bon… (Par les Dragons, qui commence son autobiographie aussi abruptement que ça de nos jours ?) C’est troublant, mais je ressens le besoin d’écrire. Depuis que je sais correctement le faire, j’ai noirci de nombreux billets, sur divers sujets, mais je n’ai jamais pris la plume pour parler de moi-même, et pourtant, les Esprits savent bien que je suis mon sujet de prédilection. Je n’ai pas la présomption de croire que cette histoire va vous intéresser, pas plus celle de clamer qu’elle est intéressante, mais c’est la mienne, et c’est mon journal, alors c’est bien mon droit d’y écrire ce que bon me semble ! Et si rien de tout cela ne vous intéresse, vous pouvez bien refermer la page, grand bien m’en fasse.
Non, en fait, il me plairait que vous restiez. Oubliez ma mauvaise humeur, cela me tuerait que vous ne lisiez pas ces lignes jusqu’au bout. Littéralement. Je sens que cette envie d’écrire n’est pas exempte du désir d’être lu. C’est ainsi, on me l’avait dit, l’immortalité est un fardeau bien lourd à porter. Je ne m’attendais cependant pas à m’en lasser aussi… tôt.

Tôt, car je ne suis pas vieux. J’ai du naître aux alentours de 1685… Pas plus en tout cas, les humains prennent des rides rapidement, et je n’en ai pas une à déplorer sur mon corps. Pas de cheveux dépigmentés pour défigurer ma tignasse noire non plus, en somme je suis mort plutôt jeune. Ah oui. Ai-je parlé de biographie plus tôt ? Corrigeons cela en « nécrographie » si vous le voulez bien, car je suis un homme mort. Ce n’est pas le récit d’un revenant que vous lisez, mais bel et bien celui d’un retenu en ce monde après que la mort l’ait frappé. Oh rien de tout cela ne doit vous émouvoir, je ne me plains pas de ma condition. On est ce que l’on est, on apprend à subsister avec. Par ailleurs, vous m’auriez face à vous que toute votre émotion ne saurait vous sauver, mais je digresse… 1675 donc. A peu près, et je ne vous en dirai pas plus jusqu’à l’année 1705… la fameuse année 1705. (Oui, on est dans mon histoire là, pas celle d’Armanda. Il ne s’est peut-être rien passé de palpitant dans votre vie le 10 novembre 1705, mais ça n’est pas mon cas. Suivez un peu !). L’hiver 1705 a connu mon décès, ma résurrection, mon avènement à une nouvelle forme d’existence. Un salut, pour certains. Pour d’autres, un mal sans fin. Et je ne peux rien vous dire de ce qui s’est passé avant car je n’en ai proprement aucun souvenir. Trou noir, mémoire volée, amnésie… je ne sais rien de la raison de cette violation cérébrale qui s’opère dès lors qu’un individu reçoit le Don Noir, mais ça se passe ainsi. Un jour vous êtes quelqu’un, la seconde d’après, tout vous est pris. Vous errez dans votre corps comme le découvrant. Et il a mal, votre corps. Il souffre d’une indescriptible blessure dont vous ne savez comment vous défaire. J’ai entendu des personnes en parler, de cette blessure. Elle est vécue différemment selon la bonne volonté du meurtrier. Surpris ? Le Don Noir n’est pas un suicide, il y a forcément un auteur. Qu’il soit voulu ou forcé, il faut qu’il vous soit donné ou imposé. Dans mon cas, j’ai été violé… Pas la peine de me jeter ce regard sceptique, je ne vous demande pas de juger mon expérience d’après la vôtre, d’après ce que vous pensez savoir du viol, ou d’après vos définitions bien pensantes des mots ! On m’a arraché la vie sans mon consentement. Ses crocs ont pénétré ma chair sans ménagement jusqu’à ce que j’en meure, et qu’elle en jouisse. Ce n’était que l’expression d’un désir de domination, de possession, et c’est bien là tout le sujet du viol n’est-ce pas ? Non ? Vous croyiez qu’il s’agissait d’acte sexuel ? Haha ! Retournez dans votre monde de contes pour enfant et de princesses à sauver d’un baiser volé. Bref ! Elle m’a prise avec elle dans le monde du sang. Cela aurait pu être pire, elle aurait pu m’y laisser seul, livré à l’inconnu que j’étais devenu, avec cette insouffrable blessure dont je ne savais rien. Mais non. Que cela soit d’instinct maternel ou non, elle me garda près d’elle, et m’enseigna. Elle m’apprit tout ce qu’il y avait à apprendre. Je vous sens sur le feu, l’écume aux lèvres, vous voulez savoir n’est-ce pas ? Peu importe, faites comme si ! Faites comme si je parvenais à vous maintenir en haleine, faites comme si le suspens était insoutenable, j’en ai besoin. Et comme de toute manière je ne connaîtrai jamais votre réaction, sachez que je vous imagine ainsi. Je vais vous le dire, calmez-vous. Je vais apaiser votre tourment. La blessure dont je vous parlais porte un nom en réalité. Humain, elfe, dragon, vous-même la connaissez peut-être. Oh pas à un degré aussi insupportable que ce que je vis, j’en doute en tout cas. Vous la ressentez parfois, peut-être l’avez-vous déjà ressenti jusqu’à en souffrir. Mais posez la question à tout vampire, il vous dira d’emblée, d’un ton tremblant, et d’un même sourire un peu dément ce que c’est. La Soif.
Ca ne semble rien pour vous. Une chope d’eau et l’affaire est réglée, n’est-il pas ? Maintenant imaginez que chaque petite soif soit comme mille lames qui vous vident de vos entrailles ? Et chaque lampée de chope, un orgasme décuplé en chaîne dans tout votre organisme ? Préféreriez-vous n’avoir jamais soif, ou bien vous laisser aller à la douleur jusqu’à votre limite afin d’apprécier le moment où vous la soulagerez ?
Bien sûr, le tout est de trouver la chope.

Le premier traumatisme passé, survient le second. Vous tuez. Ca n’est pas comme si j’avais le choix, vous comprenez ? Non, en tant que proie, vous ne comprendrez sûrement jamais, mais peu m’importe, je vais tâcher de vous l’expliquer comme je le vis. Vous souffrez dans votre propre être, du bout de vos doigts aux racines de vos cheveux, et tout semble vous porter vers un seul point. Que le doigt de votre mentor vous l’indique ou non, vous en aviez déjà repéré l’appel, la si douce sérénade du flot palpitant d’un cœur encore chaud. Plus il a peur, plus il bat vite et stimule votre appétence. Ses veines, ces vaisseaux si frêles et friables, entièrement dédiés à l’acheminement de ce nectar semblent vous désirer ardemment. Y avait-t-il une vie derrière le filigrane rouge et ocre luisant sous cette peau ? Qu’en savais-je. A ce moment tout ce que je savais était que j’avais mal, mon palais ruisselait de mon propre sang que mon corps ne semblait plus pouvoir supporter. J'en gouttais aussi nettement la saveur pour la première fois. Mes gencives brûlaient, des protubérances pointues qui n’avaient jamais été là les transperçaient à présent, et semblaient elles-mêmes guider mes sens. L’instant d’après, j’avais la tête dans le cou de cet homme. Je léchai sa gorge, là où la jugulaire formait un bel arrondi charnu. Je n’apprendrai que plus tard la raison de cet étrange réflexe. Je mordis. Le derme se déchira seul, l’homme avait beau se débattre, il semblait totalement impuissant entre mes nouvelles forces. J’entendais ses os se briser, le serrais-je à ce point ? Mais ça n’avait qu’une importance mineure, toutes mes pensées suivaient le lent transfert de son sang vers mon système. Je ne réalisai qu’il hurlait de douleur qu’au moment où il arrêtait, où sa voix partait avec sa vie. Je me redressai, tremblant. Je me sentais à la fois terriblement bien et horriblement mal. Je l’enlaçai, amant de ma première nuit, père de ma nouvelle vie. Amoureusement, j’embrassai ma morsure, sa joue inerte, ses lèvres entrouvertes sur leur dernière plainte muette. Pour que mon âme blessée s’apaise, il avait fallu que je prenne celle de cet homme. Merci.

Mes souvenirs de cette nuit sont étrangement exhaustifs, tout comme ce qui vient après. Je n’avais aucune idée de l’identité des personnes présentes. Il y avait ma violeuse, l’homme que j’avais mordu, une autre femme que je reconnaissais comme étant des nôtres, et sa proie, une femme plus âgée, gisant à ses pieds. Je ne revis jamais cette congénère. Rapidement, celle qui m’avait mordue me força à la suivre. Nous délaissions la caravane que nous avions attaquée, l’âne de bat bêlait fort, mais dans ces contrées rien d’autre que les animaux nocturnes ne semblaient pouvoir s’en offenser. Nous parcourions des une distance que je ne saurais vous préciser, mais le temps ne m’avait jamais semblé aussi long. Si mon premier meurtre m’et curieusement clairement resté en mémoire, la suite des évènements est plutôt altérée… Nous étions à l’air libre, puis en souterrain, je crois. J’avais atteint la demeure qui serait la mienne pour longtemps. Si j’avais su à cet instant que je ne reverrai plus la lumière du jour avant longtemps… Mais pourquoi cela aurait-il du m’inquiéter ?

Un vampire. J’étais devenu un vampire. « Devenu » car j’apprenais après avoir été humain par le passé, mais la monstruosité qui m’avait fait ne semblait absolument pas disposée à m’en dire plus sur moi-même (Pour un narcissique, je vous laisse imaginer la torture.) Elle m’appelait Sangief ; un bien étrange sobriquet, mais je l’ai porté pendant plusieurs décennies. J’étais incapable de me souvenir de mon propre prénom de toute façon, et quitte à prendre une nouvelle identité, autant commencer par là. … Je ne blaguais pas en parlant de torture, au fait. Tant que mes instincts étaient plus forts que ma raison, ne rien connaître de mes origines a sûrement été un fardeau bien plus conséquent que la soif. J’aimerais revenir dessus pour que vous compreniez bien ma vision des choses ici : l’idée de n’être personne m’était proprement insupportable. Et celle de ne jamais pouvoir devenir quelqu’un me donnait des envies proches du suicide. Oh je n’aspirais pas à devenir connu, j’ai toujours largement préféré l’ombre à la lumière (sans mauvais jeux de mot)… mais je voulais savoir qui j’étais. Je ne voulais pas être un numéro de plus dans la liste des disparus. Et mourir au fond d’un trou sans même me souvenir de ma propre venue au monde ? C’était impensable ! Avec le recul, je dirais que je ne voulais simplement pas rendre mon existence vaine. Mais vaine elle ne l’était. Je m’apercevais bien vite que ma transformation était un fait rare. Il n’y eut point de célébrations, ne vous méprenez pas… Mais nous étions si peu nombreux et si misérables, reclus dans nos cavernes, que chaque nouveau né gonflait nos rangs de manière significative.
Il s’avéra que ma violeuse était plutôt rôdée avec les armes. Quant à moi, je ne savais pas me battre, je n’étais manifestement pas un combattant dans ma vie précédente, et ce n’est pas par gaité de cœur que j’ai suivi ses entraînement. Je n’espérais pas rester… « en vie » longtemps. Ma mentor me nourrissait, m’entraînait, et les raisons d’un tel engouement à mon sujet ne me viendraient que plus tard. Je sais maintenant qu’elle ne m’a jamais laissé comprendre à quel point j’étais important, à quel point chaque nouveau venu l’était dans cet enfer où nous étions réduits à nous cacher, si peu nombreux, sous terre là où nos prédateurs ne pouvaient nous trouver. Des chasseurs réduits à l’état de proie, c’était désolant. Et au fil du temps, j’ai moi-même commencé à me sentir indigné. Peut-être avais-je réellement commencé à y croire. J’adoptais notre cause, insignifiante larve au service d’un ordre qui nous dépassait tous. Peu belliqueux, je ne pouvais souffrir de vivre ainsi pour toujours, et si ma maigre et humble contribution pouvait faire flancher la balance, alors je m’enrôlais. Corps et âme, je m’entraînais, rêvant des promesses d’air libre et de sang à foison. Branle bas de combat. Hurlement de fer. Fissure de chair, éclat de dents volant devant vos yeux. L’ennemi est à terre. C’est vous ou lui, et jusqu’à maintenant, ça a toujours été lui. Je n’étais pas la plus fine des lames, mais je surprenais souvent mes assaillants, faisant appel à mes autres points forts (Ne cherchez pas, ça serait bien trop simple que je vous les révèle ici. On ne survit pas au royaume de l’hémoglobine en partageant gaiement ses recettes du succès !).

Agile, sournois, un brin charmeur, je parvins à glaner suffisamment l’estime et la confiance de mes supérieures pour ne plus être en permanence surveillé et piloté. Ca n’est pas comme si j’allais inverser les rapports de pouvoirs par la force de toute façon. Si je savais désormais manier une épée, je ne rivalisais en rien avec la plupart de mes pairs, et j’étais jeune. Jeune et beau, et là était l’un de mes atouts – C’est quelque chose que je peux vous révéler sans mal, car après tout, il ne faut pas être devin pour le savoir, au premier coup d’œil, vous-mêmes en conviendriez – Je survivais comme je le pouvais donc, et il était beaucoup plus intelligent de faire de mes bourreaux des alliés, que d’engrainer leur tendance au bizutage. J’avais même le droit à emporter des trouvailles lors de mes chasses, et à les garder. Depuis mon intronisation, mes seuls effets personnels s’étaient limités à des vêtements impropres dont on m’avait affublé, et mes armes, mais au fil de mes sorties, je me découvrais un intérêt particulier pour le chapardage.
Une nuit, après un long débat charnel dont j’étais sorti vainqueur avec un charmant reître, je décidai d’une promenade dans les niveaux inférieurs. La gorge rêche, je pestais d’avoir négligé d’emporter les restes de mon dernier dîner quand un bruit singulier attira mon attention. Un grattement… rien de désagréable, plutôt comme une griffe qui caresserait une surface granuleuse. Intrigué, je me laissai guider par le son régulier. Et j’en découvris la source.

C’était un vieux vampire, enfin visiblement ridé et aux crins blanchâtres. Attablé au-dessus de ce qui semblait être un amas de carrés en tissu, il tenait entre ses doigts la plume d’un volatile, dont la racine avait été éloquemment taillée. L’homme était grand et d’apparence sinistre, et tout bon jeune vampire ayant un tant soit peu d’instinct de survie se serait probablement éclipsé avant que son intérêt ne change de son activité à vous, mais pas l’indécent intrus que j’étais… Je m’approchai. Je n’avais aucune idée de ce qu’il faisait, mais cela me passionnait déjà. Je n’oublierai jamais le premier regard qu’il me lança : interloqué d’être ainsi approché, indigné que cela ne soit pas une jolie fille, agacé que je ne parte pas lorsqu’il me montra les crocs. Mais je suis resté. Et vous m’en remerciez, car si le texte que vous lisez aujourd’hui est aussi passionnant et dépourvu d’illettrisme, c’est grâce à lui, alors un peu de respect s’il vous plaît ! Il s’appelait Flengorn, et ce n’était pas un combattant comme les autres. Pas d’épée ni d’arc dans son antre. Ses arts à lui étaient invisibles, pernicieux. Il disait pouvoir disparaître à votre vue en un claquement de doigts, alourdir l’air comme s’il s’agissait de plomb, vous faire tomber amoureux de votre pire ennemi… Flengorn était magicien. Ses dons lui avaient valu la crainte et le respect des siens. Sur le champ de bataille, ses ennemis étaient tombés sans même qu’il ait besoin de les toucher. Je l’admirais. Quelque chose m’avait toujours frappé chez lui. Il n’était jamais couvert par l’odeur du sang. Un comble pour un vampire, me direz-vous… Mais je trouvais cela fascinant, et au combien utile lorsque l'on cherche à se dissimuler à l'odorat des siens... Moi qui n’avais jamais été taillé pour croiser le fer, je vous laisse imaginer ma joie lorsqu’il me proposa de devenir son disciple.
Mon ignorance et ma naïveté avait sans doute fini par le toucher, car il me laissait volontiers revenir le voir. Il soulageait ma soif de questions, et un jour, il me mit à mon tour une plume entre les doigts. Peut-être avais-je su écrire par le passé, en tout cas, je me montrai doué pour l’apprendre. Lorsque ma raison était suffisamment apaisée pour me permettre de me consacrer à d’autres priorités que la Soif, j’écrivais, je dessinais, je lisais. Je m’aperçus avoir un coup de crayon plutôt affûté cela dit en passant. Quoi, vous voulez savoir ? Ca serait un grand honneur, peu de personnes ont pu lire et admirer mes billets. Maintenant que j’y pense, il n’y en a jamais eu que lui pour y porter le moindre intérêt. (Et vous, n’oubliez pas mon histoire est toujours censée vous captiver).

L’époque avait commencé à changer. Un vent de révolte grondait sous la surface de la terre. Quelque chose se préparait, et nous sentions tous en notre for intérieur ce feu vivace inextinguible qu’était l’appel de la liberté. La majorité d’entre nous attendaient les événements à venir avec une impatience non feinte, même si certains sûrement n’aspiraient pas à changer. Je ne peux parler que de ma propre expérience, et c’est bien ce que j’ai décidé de faire ici. Flengorn et moi passions de nombreuses et longues nuits ensemble. Ma génitrice y consentait, bien qu’elle me réclamât souvent. Il faut dire qu’elle avait fini par m’apprécier – j’avais tout fait pour, après tout. Auprès du magicien, j’appris plus que je ne l’avais jamais fait sur la magie, et sur ma propre race. Il possédait des livres, et rares étaient ceux qui pouvaient se vanter d’un pareil luxe. Des ouvrages de tout âge et de toute origine. Je crois que je les ai tous lus aujourd’hui, mais il me contait souvent l’histoire de notre monde, la guerre qui déchirait les races, les temps où les dragons peuplaient les plaines et où la magie habitait chaque être. Il m’apprit à être à l’écoute du Don Noir, et celui-ci était un merveilleux pédagogue. Endiguer la Soif était bien sûr impossible, mais j’appris à mieux la contrôler, à décider quand boire, qui boire… et surtout comment boire. Il m’enseigna la maîtrise du flux magique qui veillait en moi, et il s’avéra que les illusions étaient bel et bien ma spécialité. Charmer les sens, confondre les proies, leur faire croire que la peur est jouissance, et que la douleur est plaisir. J’y étais prédisposé, naturellement. Je ne peux pas l’expliquer, on me l’aura assez souvent dit, mais j’attire les gens. Sans effort, je séduis. Ma mentor, Flengorn, mes proies… Au premier abord, j’inspire une certaine confiance. La magie de l’illusion m’était donc déjà familière avant même que je n’apprenne à m’en servir. Au fil des années, je m’instruisais de plus en plus, mais je n’avais jamais perdu de vue mon objectif premier : je voulais savoir qui j’étais, d’où je venais, et ainsi comprendre où j’allais. Avec Flengorn, je marchais sur un champ des possibles bien plus conséquent qu’avant. Nous sortions souvent, nous mêlant parmi les humains. Il était impressionnant de voir à quel point nous nous ressemblions, mais aucun mortel ne parvenait à nous démasquer… à moins que nous ne le choisissions. Cela n’était pas chose aisée, et de nombreuses fois, nous avons failli avoir de gros problèmes, mais Flengorn était là, et en sa présence je savais que rien ne pouvait m’arriver. Je ne sortais pas seul, non. Trop risqué, et je n’en avais pas besoin : le magicien me conduisait là où je souhaitais aller, m’aidait à exalter ma faconde naturelle. Avait-il simplement conscience du pouvoir d’attraction qu’il exerçait sur moi ? Je n’ai jamais su si cela avait été voulu, quoi qu’il en soit, je doute qu’il se soit jamais rendu compte que la réciproque était vrai. Le magicien m’aimait. Et il aurait sacrifié sa personne pour me sauver, me protéger… C’est d’ailleurs ce qu’il dut faire un beau jour, mais cela est une autre histoire.

Je vous ai dit au début de ce récit que je ne pourrais rien vous apprendre sur ma vie avant ma transformation. Ce n’était pas tout à fait vrai, et pour celles et ceux qui ont tenu jusqu’ici, voici votre récompense.
J’étais fils de guérisseurs. Nous n’étions pas riche mais ne manquions de rien, et nous étions assez connu dans la ville où nous vivions. Moi-même étais en passe de reprendre l’affaire de mes parents, que je devais sans doute assister sur les corps de leurs patients (cause directe sans doute de la dextérité de mes doigts). Ma violeuse avait dû nous attaquer alors que nous voyagions hors de la ville pour nous rendre à une autre, et je n’en sais pas plus… Les humains pensaient les vampires disparus depuis longtemps, ou trop faibles pour les attaquer, et ne devaient pas s’être méfiés. Sinon, jamais ils n’auraient décidé de faire route la nuit. La caravane dans laquelle nous voyagions ne contenait pas grand-chose, mais la vampiresse avait eu le bon ton d’emporter tout ce qu’elle put. Elle me révéla qu’elle n’avait jamais eu l’intention de me les céder, mais dans ce cas pourquoi les avoir conservés jusqu’alors ? Je l’avais peut-être bel et bien apprivoisée… Dans la besace qu’elle me tendit, il y avait des dessins, des portraits de personnes, dont moi… J’imagine très bien mon père ou ma mère incapable de voyager sans. Divers objets dont des aiguilles, des bandages, des fioles contenant des produits dont je n’avais proprement aucune connaissance. Des carnets de notes, que je parvenais à déchiffrer (Je n’avais jamais été aussi heureux d’avoir appris à lire !). J’appris bien peu de choses sur mon passé, mais c’était plus que je n’avais jamais su. Je lus au dos de mon dessin jusqu'à mes propres nom et prénom... Lestat... Un nom que je chérissais déjà rien qu'à prononcer sa mélodie. Dans la bouche de ma génitrice, il semblait encore plus beau, mais elle fut la seule, à part moi, à l’entendre. Je décidai de le garder jalousement, et de n'utiliser qu'un diminutif de mon nom de famille, Bran. Sans doute le nom de mon paternel... Ainsi donc, c’était lui. Ma première victime, celui que j’avais vidé de son sang lors de ma première nuit : mon père biologique. La deuxième victime avait dû être ma mère, mais je ne me souvenais pas de son visage. Quant à ma congénère, la deuxième nouvelle née qui s’en était occupée… était-ce la jeune fille que je voyais ici dessinée ? Qui était-elle ? Cette question n’a toujours pas fini de me hanter. Aujourd’hui encore, je la cherche. Je n’ai d’elle qu’un souvenir, et ce dessin au fusain de ma famille. Malheureusement, le destin n’était pas prêt à me laisser poursuivre mes recherches.

La guerre. Il avait fallu qu’elle arrive, enfin. Tout se mit à bouger. Magiciens, guerriers, nouveaux nés, nous fûmes tous envoyés combattre et clamer notre place à la surface. Un goût de terre humide et de sang m’habitait constamment, et je n’ai de cette période que de très flous souvenirs. Navrés, vous vous attendiez peut-être à une épopée dithyrambique dans des mêlées épiques pour la survie de notre espèce ? Cela devait à peu près y ressembler, d’un point de vue extérieur. Je me rappelle juste des morts, des pertes. Oh je n’avais pas nourri de grandes et fidèles amitiés parmi les vampires, rassurez-vous ! La disparition m’affectait pas pure mimétisme, car après tout, cela aurait pu être moi, mais je n’en aurais pas pleuré. Le peuple se recyclait. Les forts survivaient, les sans-mérites mourraient voila tout. Je n’y voyais juste pas l’intérêt. Pourquoi la guerre après tout ? Nous avions pu dissimuler notre existence aux humains et aux elfes pendant des années en restant cachés, en pillant les villages tels des rats pour nous nourrir, et tout cela au nom de la fierté des vampires ? Quelle fierté à cela ! Mais les choses étaient ainsi, et je ne pouvais pas revenir sur les erreurs de mes aînés. Aspirer par la spirale infernale qu’elles avaient déclenchée, je me noyais moi-aussi dans la boue du combat. Et puis, mon Flengorn mourut.
Un chapitre aurait dû être consacré à son extinction. J’admets tout à fait manquer à mes devoirs quant à sa mémoire, mais vous pardonnerez au médiocre narrateur que je suis. Je n’arrive tout simplement pas à l’écrire. Je ne ressens pas spécialement de peine, son heure était venue, et il m’a appris tout ce dont j’avais besoin pour que ses dons ne fussent pas oubliés. Mais chaque fois que je repense à son décès, ma plume se fige, et j’ai bien peur de devoir dès lors changer de sujet.
La mort de Flengorn me fit réfléchir sur beaucoup de choses. Déserter le combat était exclu bien sûr, d’une part parce que j’avais toujours l’intime conviction de ne pas vouloir retourner vivre au fond d’un trou, et que ma seule chance de changer la donne était que nous l’emportions. D’autre part, parce que les déserteurs risquaient gros, très gros… et je n’avais pas besoin d’être le centre d’une attention si néfaste pour l’instant. Mais cela ne changeait rien au fait que j’aspirais à une autre vie que celle du combat éternel. Pour moi, nous faisions fausse route, nos méthodes étaient archaïques. Il n’était pas nécessaire de voler nos proies, de nous ériger en fléau à éradiquer. Bien sûr, le pacte qui avait suivi l’alliance des peuples face à l’ennemi commun ne m’avait pas non plus ravi… Devoir boire dans des jars, ou être réduit à demander la permission pour se servir ? C’était là la pire humiliation que je pouvais subir, non. Je n’escomptais pas troquer ma dignité contre mon sang quotidien… Mais il y avait tellement d’autres manières que la force pour l’obtenir. Bien plus élégante, bien plus exaltante. Quoi de plus succulent en effet que de voir la proie se jeter elle-même sous les crocs de son prédateur ? Le Don Noir m’avait appris qu’une forme de cohabitation commensale était possible… Difficile, du fait notamment de cette bestialité inhérente aux esclaves de la Soif. Mais possible. Et une idée était née à mon esprit… Je voulais essayer.

Je dois bien vous l’avouer, si vous ne l’aviez pas compris, j’aime vivre dangereusement. Par là, je veux dire que j’aime la liberté, et que son prix, c’est le danger. Le fragile pacte qui nous avait momentanément liés à nos proies naturelles ne tint pas, et les combats ne semblaient pas à leur épilogue. Je devenais amer, et perdais de plus en plus l’envie de combattre. Je devenais bestial, sauvage, hâtif dans l’espoir que tout cela se finît vite. Je ne suis pas fier du moi de cette période, mais fort heureusement elle ne m’a pas gangréné longtemps. Un beau jour, la réponse que je cherchais m'est venue. D'elle-même... Une voix. Je vous sens soudain de nouveau sceptique, allez-vous finir de m'interrompre à la fin ? Je n'étais pas de venu fou, non. Pas complètement du moins. Elle me révéla quelque chose. Un élément que jamais je n'aurais pu prévoir, mais qui ne me surprenait pas tant. C'est ce qui m’acheva je crois. Le peuple vampire était en passe de s'allier avec la rébellion. Je n’étais pas partisan du Néant, pas plus de ses messagers, mais j’étais pour la paix, et je jugeais (oui, très humblement) la décision de les laisser perpétrer leur culte pacifiquement plus sage que celle des rebelles… Je ne pouvais me tenir derrière une telle bannière. De crédulité, de déraison, et de lassitude dans ce monde, je saisissais ma chance. Qui ne l'aurait pas fait ? Et puis, la voix présageait d'une belle âme, sans l'avoir rencontrée je voulais déjà la connaître. Aveugle, je suivis ses indications, et contre toute attente, je pus mener à bien ma fuite. J’avais réussi à emporter avec moi mes plumes et cahiers, quelques livres récupérés sur les étagères poussiéreuses du magicien.
Une aube, alors que tous allaient se coucher, je volai une monture et partis, sans un regard vers ma patrie.

J’entends vos bouches scabreuses vomir les mots « lâcheté » et « déshonneur ». Venez me les cracher en face, si vous l’osez ! De toute façon, je n’ai aucun honneur. Point. Ca ne m’a jamais servi à grand-chose, et tout ceux qui clamaient haut et fort d’en avoir ont péri. L’arme à la main et la tête haute, certes, mais six pieds sous terre tout de même. Alors, oui, je suis fourbe et sournois, et je l’assume. Je vous planterais un poignard dans le dos ou durant votre sommeil sans aucun scrupule, et j’en dormirais très bien ! En revanche, je ne permettrai pas que l’on m’insulte de lâche. Je ne quittai pas les combats au moment le plus opportun. Dois-je vous rappeler que j’avais mis mes dons au service de notre armée lorsqu’ils étaient le plus requis ? Et la vie qui m’attendait n’avait rien d’un voyage au paradis. J’étais seul, livré à moi-même, poursuivi par mes pairs et à peu près sûr d’être mal accueilli partout où j’irai par les autres. Dès lors, je n’avais pour amis que la jument que j’avais dérobée, et cette illustre inconnue qui m'avait aidé, que je n'avais plus entendu depuis, mais que je mourrais d'envie de connaître. Et puis, j’étais libre, pour la première fois de mon existence.
La joie qui m’habite depuis est indescriptible. Je sursaute à chaque fois que je sens l’un des miens dans les environs, mais la peur ne parvient pas à occulter le plaisir de vivre libre. Même si je ne devais vivre ainsi que quelques années, quelques mois, je les chérirais comme les meilleures de mon existence. Et cette pensée solidement ancrée en moi, j’ai démarré une nouvelle vie.



Dernière édition par Lestat Cowlbran le Ven 30 Jan 2015 - 16:59, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Icon_minitimeJeu 29 Jan 2015 - 15:59

Fiche terminée et en attente de validation !

Merci bien ^^
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MessageSujet: Re: Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Icon_minitimeJeu 29 Jan 2015 - 23:00

Bon alors à nous deux ^^ Tu as une jolie plume, déjà, du moins c'est mon avis personnel, j'ai aimé te lire ^^
Je vais être ta correctrice, c'est moi qui analyse ta fiche et te pointe ce qu'il faut corriger ! Allons y donc pour ton analyse !

La phrase personnelle

Alors c'est la première fois que je la relève, je ne pensais pas devoir le faire un jour, mais ça m'embette tout de même simplement à cause du 'saint'. Il n'y a pas de saints sur Armanda, tu as dû le voir en lisant la partie religion, et donc à ce titre, l'idée transportée là ne peut pas vraiment être. Je ne vois pas trop ce que tu pourrais mettre comme équivalent pour le coup, mais sas doute auras-tu une idée précise pour ton personnage.

Identité

Plusieurs petites choses ici. Si ton personnage a vu le jour en 1683, alors il a 72 ans, hors ce n'est pas du tout ce que tu indiques ici. L'âge réel, c'est l'âge humain additionné à l'âge vampirique. L'âge vampirique, c'est l'âge après morsure. Ton personnage ne peut pas avoir un plus grand âge vampirique qu'un âge réel, il faut donc que tu mettes en réel 72.

Le lieu de naissance n'est pas vraiment faux, mais il est donné d'une étrange façon. Plutôt que mettre l'orientation cardinale, pourquoi ne pas tout simplement mettre le quartier (riche, pauvre…) si tu veux être plus précis.

Enfin, le métier. A l'époque (le forum se situe sur une tranche qui correspond à peu près au 13eme siècle), les médecins n'existaient pas vraiment, du moins pas sous la forme que nous connaissons aujourd'hui, et le mot lui-même n'était pas vraiment usité. Ici, on parlera plus de guérisseur, d'herboriste et ce genre de métiers. Il n'est pas interdit pour toi de le pratiquer, hein ? Mais vu que tu ne développe pas vraiment une quelconque compétence dans ce domaine, dans l'histoire… qu'il se prétende médecin (ou plutôt guérisseur) il le peut, mais ça ne sera pas son métier.

Equipement et magie

Alors ici pareil, des petites choses. Les vêtements 'classes' déjà, le terme n'est pas vraiment d'époque, on peut plutôt parler d'habits luxueux, par exemple. Cela dit, ton personnage est nomade et en plus du petit peuple, c'est donc vraiment très bizarre qu'il puisse avoir ce genre de vêtements, ce n'est pas très cohérent ^^
Ensuite, le matériel de médecin humain. Qu'est-ce que tu entends exactement par là ? Comme je l'ai expliqué au-dessus, la médecin ne se pratique absolument pas comme à notre époque ni comme au moyen âge réel ! Et S'il peut effectivement transporter des herbes et ce genre d'ingrédients, il ne peut pas embarquer tout une herboristerie.
La jument vampire, pareil, ça ne va pas avec son statu, mais puisque tu dis l'avoir volé, je verrais ça dans l'histoire. Quand aux livres, comment se fait-il qu'il en possède ? Les livres, s'est tous de même relativement 'rare' dans le sens où c'est réservé à l'élite, donc entreposé dans des bibliothèques, ou très cher. Comment un fugitif du bas peuple en aurait-il acquis ?

Compétences

Il y a trop d'armes. Je te laisse l'épée et le poignard, l'art du lancé sera à enlever ou descendre à faible/très faible. Il faudra descendre également l'arc (et lui donner une explication, car ce n'est pas une arme classique des vampires). Je te laisse volontiers le niveau en équitation par contre.

Physique

Le tabac n'existe pas à l'époque, ton personnage ne peut donc pas sentir ainsi. Il existe cependant d'autres herbes, que l'on peut fumer. N'hésite pas à te renseigner dessus !
Les chandeliers le long d'une avenue, c'est bizarre, je pense que tu voudrais plutôt user du mot torche XD
Plus important cependant… où sont les défauts ? Ton personnage est bien trop parfait, présenté ainsi, même pour un vampire ! Il faut lui donner des défauts pour qu'il ait plus de consistance, pour l'instant je vois surtout monsieur parfait ^^'

Caractère

Pour commencer, les métaphores chrétiennes, il faudra/il faut, éviter. Ici, on comprend bien que tu décrit, cela dit, autant prendre de bonnes habitudes, sur Armanda, ni anges, ni démons, ni diable ou vaudou. Seulement des esprits !
Ensuite, fait attention, si ton personnage peut tout à fait être un séducteur doué, il n'aura probablement pas toujours une accroche avec ses interlocuteurs. Il peut être bon, mais il n'est pas aussi excellent (Rapport à ta caractéristique).
Après lecture de ton histoire, je me posais une question. Comment redéveloppe-t-il ses talents de charmeur, alors que ce que tu présentes, c'est surtout une vie très martiale.

Dernière petite chose : Quelles sont ces fameuses idées avant-gardistes ? Qu'il ne suive pas forcément les idées de la masse, c'est tout à fait possible, mais en quoi vas-t-il plus loin exactement ? ^^

Histoire

Là ça va être un peu difficile du fait du type de récit, mais je prend le parti de l'objectivité de l'écrit (c'est une histoire, il en faut un minimum)

Il a entendu des milliers de personnes parler de la transformation ? Ah, il a rencontré autant de vampire en si peu d'années ? Et parlé personnellement à chaque vampire ? Sachant que les vampires ne sont pas du tout du genre à se confier ? ^^
Pareil. Il y a effectivement des individus qui veulent volontairement devenir vampires mais c'est tout de même beaucoup plus rare et controversé que d'être mordu par la force, hors on a un peu l'impression que tu en parles comme si c'était 50/50. Autre petit détail, qui y est lié du fait que la plupart du temps la transformation soit forcée, et que les humains craignent énormément les vampires, je pense que l'image du 'viol' serait parfaitement comprise et sans scepticisme.

Détail à noté : Il n'existe pas plus de fées que d'anges ou de démons !

Quelque chose me laisse perplexe, tu dis ressentir la soif, mais tu dis saigner, hors le venin s'étant attaqué à ton sang (et vu ce que tu as vomis également), tu n'as plus de sang à ce moment précis.

Re détail : Non, Amen non plus XD

Les souvenirs du début de vampirisation : Oui c'est étrange qu'il s'en souvienne, en général ils oublient aussi ! Pas pour les mêmes raison, mais au vu de l'état des jeunes vampires, forcément c'est très flou, surtout la première nuit.

Alors, l'épisode suivant : La première, c'est que je ne comprend pas bien où la vampiresse guide ton personnage. Tu parles du reste des vampires, sauf que les galeries ne sont pas derrière une cascade et qu'elles sont très loin des habitations humaines, on ne l'atteint pas en si peu de temps. Autre chose, le fait que tu parles d'armée. A l'époque, d'armée, il n'y en a pas et les vampires ne combattent pas à grande échelle. Ils sont reclus pour la majorité, dans les cavernes, à l'est, et n'ont justement pas encore la capacité à s'unifier pour reprendre des forces. Je sais que Lorenz et toi avaient échangés, mais l'enrôlement de tous les vampires vient à partir de la guerre, pas avant.

La vampiresse qui t'as transformé, qui est-elle si c'est une ponte ? Il faudrait développer ça, parce que c'est forcément quelqu'un qui est donc haut placée, donc connue de vampires comme Lorenz, Vanaël, ou Achroma. De plus, il n'y a pas vraiment d'enrôlement' justement, à ce moment. Il y en a après, mais à ce moment-là, quand on transforme c'est souvent personnel (tocade, ou autre).

L'arène : Où est-ce exactement ? A l'époque, il n'y a pas vraiment de renégats. Chacun fait un peu comme ils veut, les vampires sont solitaires. C'est à partir de 1750 et la prise de pouvoir de Lorenz qu'il y a vraiment des renégats et qu'ils sont tués (on attend pas en général, avant de les tuer). C'est d'ailleurs également à partir de cette date qu'il y a guerre et donc armée.

L'apprentissage de l'écriture : Il faudrait refaire ce passage. Comment se fait-il qu'il sache lire ? Le petit peuple n'apprend pas et tu n'as fait aucune mention là-dessus dans son entraînement en temps que vampire. Tu dis pareil qu'il réapprenait à écrire, le soucis c'est que ça induit qu'il a déjà appris et pareil, ça ne va pas avec son rang social. Il ne peut donc avoir appris ainsi. De plus, où aurait-il trouvé des livres à la surface ?

Le vieux vampire, ça ne va pas être possible ^^ Comme tu as dû le voir, dans la fiche raciale, les vieux vampire, c'est excessivement rare et toujours très puissant, donc nous ne laissons pas cela à la création et encore moins comme ça en PNJ (entre autre parce que, encore une fois, des personnages de ce genre auraient dû être connu de certains, comme Lorenz. Et qu'ils auraient dû marquer Armanda). Pareil pour le fait qu'il possède une bibliothèque immense (il la mettrait où, déjà ? Oo) ce n'est pas possible. Il y a bien des archives, mais les vampires sont loin d'être le peuple le plus 'lettrés' en terme de bibliothèque entre autre.

Les vampires ne sont pas forcément couvert par l'odeur du sang en règle générale, ils ont une odeur bien à eux, c'est tout à fait vrai, mais qui ne se rapporte pas forcément au sang.

J'ai bien compris que tu parle du vampirisme quand tu parles du don noir, mais qu'est-ce que tu entend par 'être à l'écoute' ?

Je ne reviens pas sur l'histoire des médecins, déjà évoqué, faut changer de terme (et expliciter). Attention également, le petit peuple manque souvent, c'est la caste la plus pauvre après tout, donc sans être dans la misère non plus, on ne peut pas vraiment dire qu'ils vivent confortablement, hors les objets que tu décris, livres entre autre, ne correspondent pas. Attention aussi au fait que Gloria soit très difficile à pénétrer pour des vampires, surtout quand on ne connaît pas les quelques astuces qui aident (et ton personnage ne les connaît pas, ce sont des accès que la guilde du Souffle utilise, entre autre). Et si la maison a vraiment brûlée, après autant d'années il ne doit rien en rester (il y a peut-être même eut des reconstructions sur le terrain).

On en arrive enfin à 1750 mais là pareil, j'ai de petites perplexités. On ne comprend pas bien ce que tu décris, en fait. Avant 1750, pas de batailles, de raids organisés. Après, les vampires révèlent leur présence et mènent une guerre ouverte en utilisant leur mobilité pour détruire les villages et renforcer leurs rangs. Il n'y a pas beaucoup de combats de très grande envergure, il y a surtout des raids. Et les vampires ont toujours eut la main haute, dans le conflit avec les humains. Je n'ai pas eu l'impression que tu avais totalement saisi la chronologie, il manque un bout de logique dans ton passage.

'Le don noir m'avait appris…' Je ne vois pas ce que tu veux dire par là. La vampirisation ne prédipose pas vraiment à la cohabitation. En quoi aurait-il 'appris' cela à ton personnage ?

'Les combats prirent fins' Non pas vraiment. Les combats continuent encore. Seulement, les vampires ne sont plus liés à la rébellion et traquent les Alayien de leur côtés. J'aimerais bien savoir quand et comment tu as pu t'éclipser ? Tu dis dans la confusion, oui mais encore ? Avant l'Aube rouge c'est presque impossible, pendant la retraite vampirique ? Possible mais pas avec tes effets… (Les vampires partent sur la fin de la bataille, tu n'aurais tout simplement pas eut la possibilité d'aller les chercher et du coup encore moins de voler un cheval).

Mention spéciale pour 'une aube hivernale', la bataille et la désertion vampirique ont lieu en Juin, là nous jouons jusqu'en Septembre… si tu parles d'hiver, tu es dans le futur et une période encore non jouée et donc non ouverte au jeu (du fait des intrigues qui vont prendre place). La fin de ton histoire doit prendre place en Juin, Juillet grand maximum ^^ Si non tu te coupe en plus du temps de jeu.

Tu as repris les points récents de l'histoire Armandéenne, c'est très bien. Fait peut-être mention aussi du retour des dragons ? C'est tout de même important après tout ^^

Dernière petite chose, comme je disais, tu as une belle plume, essayes cependant d'aérer tes écrits. Saute des lignes. Ça sera plus agréable et plus léger à lire.

Je te laisse corriger tout ça, expliciter tout ça, et on se retrouve pour la suite;)




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MessageSujet: Re: Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Icon_minitimeVen 30 Jan 2015 - 3:22

Salut Nomin ^^ merci de t'occuper de ma fiche (et pour le compliment Smile j'espère que ça a été aussi agréable à lire que ça l'a été à écrire)
Warning trigger: prends-toi un café, ça va être long :massage: J'ai mis des couleurs pour que tu t'y retrouves plus facilement mais ça n'engage à rien évidemment xD

La phrase personnelle Ok
--> J'ai trouvé un équivalent.

Identité Ok
--> Ah je pensais que l'age reel correspondait a l'age de vie reelle. Je vais modifier ca en 72 ans.
Pareil pour le lieu.

Enfin, le métier. A confirmer
--> Modifié en guerisseur. A vrai dire, dans son histoire on apprend qu'il a les mains agiles (il s'en rend compte en dessinant), et par la suite il apprend qu'il etait fils de medecins guerisseurs donc, et qu'il etait praticien a l'epoque de sa vie humaine (sans qu'il n'en ait aucun souvenir). Enfin il peut se pretendre guerisseur et gagner sa vie comme un charlatant en gros (du coup, je change le nom du metier en charlatant xD ?) C'est aussi sa seule source de revenue.

Equipement et magie A confirmer
--> Je voulais pas parler de vetements luxueux, mais juste des habits le seyant bien. Je vais changer le terme "classe". Concernant son rang, en fait il ne possede que ce qu'il vole sur ses proies, donc je trouvais ca logique qu'il puisse se degoter quelques frippes de hautes gammes, qu'en penses-tu ?

Ensuite, le matériel de médecin humain. A confirmer
--> J'entendais par la des fioles, des bandages, des aiguilles de saignees comme au Moyen Age.
Je vais preciser chacun des elements dans la liste.
Quant aux livres, je dis a un moment dans mon histoire qu'il rencontre un magicien vampire (du nom de Flengorn) qui possede des livres. A la mort de ce dernier, il en emporte quelques uns. Est-ce que ca semble coherent ?


Compétences Ok
--> Pas de soucis, je retire arc et baisse la competence en lancer.
Merci pour l'equitation ^-^

Physique A confirmer
--> J'ai été voir la description de la flore armandéenne mais je n'ai trouvé aucune herbe à fumer "pour le plaisir", tu pourrais m'éclairer stp ? Embarassed
--> Pour les chandeliers, j'avoue avoir galere a decrire un truc qui ressemblerait a un haut lampadaire... sans utiliser ce mot qui fait clairement reference a l'eletricite xD Je vais remanier ca.

Plus important cependant… où sont les défauts ? A confirmer
--> M. Parfait ? D'un point de vue humain pourquoi pas, mais d'un point de vue vampire :
- C'est un lache qui deserte le combat
- Il est egoiste et egocentrique
- Il est sournois, manipulateur
Qu'entendrais-tu d'autre par defaut ? A moins que tu me dises qu'etre un imbuvable conn*rd est une qualite, je le trouve assez peu frequentable x)

Caractère Ok
--> Ok pour les metaphores.
--> Bien sur ^^ ca dependra des interactions entre joueuse.r.s, et je tacherai de rester coherent avec les PNJs conernant son charme.

Après lecture de ton histoire, je me posais une question. Comment redéveloppe-t-il ses talents de charmeur, alors que ce que tu présentes, c'est surtout une vie très martiale. Histoire modifiée
--> C'est vrai que j'ai pas insiste dessus, mais il charme tout ce qui croise sa route (pas forcement a des fins amoureuses) pour obtenir ce qu'il veut, comme la confiance de ses superieurs, etre moins surveilles, ... J'ai un peu plus peaufiné cette partie là.

Dernière petite chose : Quelles sont ces fameuses idées avant-gardistes ? Qu'il ne suive pas forcément les idées de la masse, c'est tout à fait possible, mais en quoi vas-t-il plus loin exactement ? ^^ Ok
--> Il souhaite que les vampires cohabitent de maniere commensale avec les humains. Il va plus loin dans le sens ou a terme, il aimerait que ca ne soit plus de maniere cachee. Que la cohabitation soit possible entre predateur et proie avec un minimum de respect mutuel, et que les guerres cessent.

Là ça va être un peu difficile du fait du type de récit, mais je prend le parti de l'objectivité de l'écrit (c'est une histoire, il en faut un minimum) Ok
--> Merci bien ^^"

Il a entendu des milliers de personnes parler de la transformation ? Histoire modifiée
--> C'etait une plus une facon de parler. Il en a entendu en parler, et ca lui semblait beaucoup. J'ai modifie.

Pareil. Il y a effectivement des individus qui veulent volontairement devenir vampires mais c'est tout de même beaucoup plus rare et controversé que d'être mordu par la force, hors on a un peu l'impression que tu en parles comme si c'était 50/50. Ok
--> Ca c'est moi qui, apres lecture de l'histoire, avait sans doute une vision differente des personnes qui l'ont ecrite et ont joue ici pendant longtemps, donc merci de la precision Smile

Autre petit détail, qui y est lié du fait que la plupart du temps la transformation soit forcée, et que les humains craignent énormément les vampires, je pense que l'image du 'viol' serait parfaitement comprise et sans scepticisme. Ok
--> Ca, c'est un combat personnel (mais ne te sens pas visee xD le lecteur auquel mon perso s'adresse dans ses memoires n'est pas forcement reel, c'est quelqu'un qu'il a dans la tete.)

Quelque chose me laisse perplexe, tu dis ressentir la soif, mais tu dis saigner, hors le venin s'étant attaqué à ton sang (et vu ce que tu as vomis également), tu n'as plus de sang à ce moment précis. A confirmer
--> C'est quelque chose que j'aurais du demander Mad comment "poussent" les crocs ? En plus, il venait de se faire transformer, donc il lui restait bien un peu de sang humain dans le corps, ne serait-ce que celui qui n'etait pas dans ses veines et que la vampire qui l'a transforme n'aurait pu boire ? Ou serait-il ce sang sinon dans son corps, et transforme en l'espece de chose visqueuse et noire que decrit Lorenz pour parler du "sang des vampires" (le sang de leurs victimes precedentes en gros, mais comme il en a pas encore bu, ce sont les restes de son propre sang). Les vampires peuvent bel et bien saigner d'apres leur description.
Pour moi, les crocs poussaient instantanement, dechirant la gencive et virant les canines humaines, donc forcement, le sang contenu dans les gencives transformé en matiere noire bah... coule dans la bouche Mad

Qu'en penses-tu ? Enfin c'est qu'un detail sur sa transformation, ca me derange pas de modifier mais rien que pour savoir comment ca se passe, j'aimerais bien que tu me dises si ma vision des choses etaient proches ou non de ce que vous aviez imagine ^^"

Re détail : Non, Amen non plus XD Ok
--> Certes xD pardon


-->Je modifie pour le lieu, ca me semblait pas impossible que les galeries puissent etres accessibles via differentes manieres, dont une entree derriere une cascade qui menerait en souterrain, vu qu'elles sont près du Lac Noir. Histoire modifiée

A l'époque, d'armée, il n'y en a pas et les vampires ne combattent pas à grande échelle. Ils sont reclus pour la majorité, dans les cavernes, à l'est, et n'ont justement pas encore la capacité à s'unifier pour reprendre des forces. Histoire modifiée
--> Non et c'est pas ce que j'ai dit ^^" Ils sont reclus mais selon l'histoire, il y a bien des vampires qui tentent de creer une unite autour d'un meme leader, donc j'ai imagine que ca pouvait etre le cas. Pour l'enrolement en fait, je n'etais pas bien sur si c'etait la bonne epoque, comme tout s'est passe en quelques annes sur Armanda, donc je modifie ca ^^

La vampiresse qui t'as transformé, qui est-elle si c'est une ponte ? Il faudrait développer ça, parce que c'est forcément quelqu'un qui est donc haut placée, donc connue de vampires comme Lorenz, Vanaël, ou Achroma. De plus, il n'y a pas vraiment d'enrôlement' justement, à ce moment. Il y en a après, mais à ce moment-là, quand on transforme c'est souvent personnel (tocade, ou autre). Histoire modifiée
--> Je n'ai pas envie d'alterer le bg d'Armanda en disant n'importe quoi et en utilisant les persos des gens sans leur avis, donc j'ai réécris de sorte qu'elle soit une vampiresse sans renom. Et puis du coup comme il n'y avait pas encore d'armée, c'était pas logique qu'elle en fasse partie.

L'arène Histoire modifiée
--> A tres bien, encore moi qui avait mal pigé que tout se deroulait apres 1750 sur Armanda Smile je modifie

L'apprentissage de l'écriture  Histoire modifiée
--> Il n'etait pas du petit peuple lors de sa vie humaine, puisque ses parents etaient guerisseurs Mad J'ai remanié cette partie.

Le vieux vampire, ça ne va pas être possible ^^ Histoire modifiée
--> Je parlais pas d'un vieux vampires dans le sens 'ancien'... Mais mon perso a 50 balais a l'epoque, donc deja plus de 100 ans ca lui parait vieux.
Je modifie pour la bibliotheque Smile

Les vampires ne sont pas forcément couvert par l'odeur du sang en règle générale, ils ont une odeur bien à eux, c'est tout à fait vrai, mais qui ne se rapporte pas forcément au sang. Ok
--> La aussi, c'est plus une maniere allegorique de parler de la bestialite des vampires, qui semble etre une generalite (?), alors que Flengorn lui etait plus delicat.

J'ai bien compris que tu parle du vampirisme quand tu parles du don noir, mais qu'est-ce que tu entend par 'être à l'écoute' ? Ok
--> Etre a l'ecoute de ses nouveaux instincts, et apprendre a mieux les maitriser, par opposition a se laisser dominer par eux.

Je ne reviens pas sur l'histoire des médecins, déjà évoqué, faut changer de terme (et expliciter). Attention également, le petit peuple manque souvent, c'est la caste la plus pauvre après tout, donc sans être dans la misère non plus, on ne peut pas vraiment dire qu'ils vivent confortablement, hors les objets que tu décris, livres entre autre, ne correspondent pas. Histoire modifiée
--> Encore une fois, est-ce que je peux dire que sa famille n'etait pas du petit peuple lors de sa vie humaine ? J'ai modifié pour le lieu de l'attaque, j'espère que ça ira.

Et si la maison a vraiment brûlée, après autant d'années il ne doit rien en rester (il y a peut-être même eut des reconstructions sur le terrain). Histoire modifiée
--> Je comprends pas bien la pertinence de ta critique ici :/ On peut l'imaginer ainsi, oui, ou on peut imaginer le lieu laissé à l'abandon et que tout n'ait pas complètement brûlé, non ? La question ne se pose plus vu qu'il n'est plus mort dans une maison humaine.

On en arrive enfin à 1750 mais là pareil, j'ai de petites perplexités. On ne comprend pas bien ce que tu décris, en fait. Avant 1750, pas de batailles, de raids organisés. Après, les vampires révèlent leur présence et mènent une guerre ouverte en utilisant leur mobilité pour détruire les villages et renforcer leurs rangs. Il n'y a pas beaucoup de combats de très grande envergure, il y a surtout des raids. Et les vampires ont toujours eut la main haute, dans le conflit avec les humains. Je n'ai pas eu l'impression que tu avais totalement saisi la chronologie, il manque un bout de logique dans ton passage. Histoire modifiée
--> Non, moi non plus j'ai pas l'impression de l'avoir correctement saisie. Pourtant je l'ai lu a plusieurs reprises. Je modifie.


'Les combats prirent fins' Non pas vraiment. Les combats continuent encore. Seulement, les vampires ne sont plus liés à la rébellion et traquent les Alayien de leur côtés. J'aimerais bien savoir quand et comment tu as pu t'éclipser ? Tu dis dans la confusion, oui mais encore ? Avant l'Aube rouge c'est presque impossible, pendant la retraite vampirique ? Possible mais pas avec tes effets… (Les vampires partent sur la fin de la bataille, tu n'aurais tout simplement pas eut la possibilité d'aller les chercher et du coup encore moins de voler un cheval). En attente
--> Je voudrais que ça se fasse après la décision de Lorenz de soutenir la rébellion.
Tu vois une maniere coherente, moyennant beaucoup de chance peut-etre, de comment il aurait pu faire cela ?
Sinon bah ca sera a la fin de la bataille, sans effet et sans cheval mais ça m'ennuierait un peu :/

Mention spéciale pour 'une aube hivernale', la bataille et la désertion vampirique ont lieu en Juin, là nous jouons jusqu'en Septembre… si tu parles d'hiver, tu es dans le futur et une période encore non jouée et donc non ouverte au jeu (du fait des intrigues qui vont prendre place). La fin de ton histoire doit prendre place en Juin, Juillet grand maximum ^^ Si non tu te coupe en plus du temps de jeu. Histoire modifiée
--> Ca serait dommage Wink Mais c'est parce que l'histoire se terminait ainsi:
Lorenz Wintel a écrit:
Et les rebelles profitent de l’hiver rigoureux qui s’est abattu sur les terres humaines. En cette période faste, de nombreuses actions sont menées afin de regagner du terrain sur les loyalistes, la capture d’Aaron Dessay, entre autre chose, apporte un peu de baume au cœur à ces combattants très menacés.
Modifié \o/

Voilou ^-^
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MessageSujet: Re: Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Icon_minitimeVen 30 Jan 2015 - 13:50

Alors alors ^^ Merci pour les couleurs, c'est délicat comme attention, j'apprécie ! Et oui, ça a été agréable à lire !

Voyons donc tout ça !

Le métier et la médecine
Bien pour la modification. Il pourra effectivement gagner sa vie comme guérisseur (du coup là ça va, c'est plus cohérent). Du coup faudra juste que tu fasse attention, ton personnage ne dispose pas de beaucoup de sortilèges de soins, il te faudra donc compter surtout sur les plantes et ce genre de choses. Dans le monde d'Armanda, les méthodes de saignées et autres, qui étaient courant dans le moyen âge réel, ne sont pas utilisé. On utilise en grande partie la magie sous toutes ses formes (potion, totem, sortilèges, enchantements…) pour guérir. Les fioles et bandages, aucun soucis, les aiguilles du coup tu n'en auras pas besoin, par contre tu peux penser aussi à un matériel de préparation pour des onguents et autres.

Équipements

Oui, avec cette explication ça me convient fort bien ^^ Penses juste à indiquer la provenance, qu'on comprenne bien.

Physique

Alors pour les plantes, en voici quelques unes (j'ai fais une recherche rapide ^^ ) : Le chanvre (qui, si j'ai tout compris, serait de la famille du cannabis), Le pavot (dans l'opium), L'écorce de saule, Le jonc, Les champignons vénéneux, la sciure de bois, la lavande, le serpolet, des feuilles de rose ou de noyer…. Je peux éventuellement en trouver d'autres si tu en as besoin;)
Pour l'histoire de monsieur parfait, je veux parler de défauts physiques. En lisant ta description physique, on en trouve aucun, hors il en faut ! (Et oui, je pense que c'est aussi dur avec le point de vue que tu as adopté). Physiquement parlant, ce que tu décris là, c'est un Grand-maître/Exceptionnel en beauté, et encore je pense qu'on arriverait à leurs trouver des défauts XD

Les crocs

C'est sans doute un peu compliqué, oui ^^ Tu peux imaginer que les crocs sont les canines qui ont poussées et se sont acérées, pas que les crocs les ont remplacés. Ce ne sont pas des 'dents' en plus. Oui les vampires ont du sang, en fait c'est le sang de tes victimes qui passe dans ton corps, il faut donc en boire pour en avoir. Il est de couleur noir car il est prédigéré. Le venin s'attaque à l'intégralité des tissus vivants et du sang, même hors veine, pour ça que tu n'as plus de sang qui t'appartiennent vraiment. Par contre, tu peux parfaitement nager dans tes vomissures (de sang, beurk beurk). Et oui, c'est plus un détail à avoir sous le coude qu'une grosse faute ^^ Tu n'étais pas loin !

Tentative d'unité chez les vampires

Oui effectivement, mais il s'agit plus d'unité politique. En faite, ces vampires tentent de devenir prince (ou princesse) et agissent surtout pour s'attacher le conseil, entre autre.

Rang social

Je réunis ça ici ^^ Pour moi, sans explication supplémentaire, je considère que le statut était aussi celui de ta vie précédente. Il existe des guérisseurs qui sont du bas peuple, pour ça que ça porte à confusion. Il suffit de bien indiquer que le statut de ta famille était aisé dans sa vie humaine, et ça passera.

Vieux vampire

Je note bien, mais tu indiques qu'il a vu les derniers dragons, ce qui, si on prend en compte qu'il a juste vu le tout dernier, il a au minimum 600 ans ^^ Plus de 1000 s'il a vu la magie avant le départ des dragons. C'est déjà énorme (on autorise pas les vampires en création, quand plus de 400, pour la même raisons).


La maison

Tu as indiqué tu vivais à Gloria, c'est la capitale humaine et une ville très active et en expansion, donc il est très peu probable qu'une terre soit laissée à l'abandon. En 50 ans, dans un coin comme celui-là, tu vois énormément de changements ! J'ai dû mal l'exprimer la première fois, j'espère que cela te paraîtra plus clair comme ça ^^

La fuite de ton personnage

J'ai peut-être une idée oui, je vais te mp ^^

L'aube hivernal

Alors effectivement le passage l'indique, sauf qu'il s'agit des événements de Janvier (alors que, comme je disais, l'aube rouge a lieu en Juin XD). Bon c'est pas très grave hein ?

Tout le reste me va très bien ! C'est beaucoup plus clair, que ce soit tes modifications ou explications.
Alors, on avance bien o/:catkiss : Courage pour tes dernières modifications et à desuite par mp !
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MessageSujet: Re: Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Icon_minitimeVen 30 Jan 2015 - 14:44

Le métier et la médecine Ok
Par contre tu peux penser aussi à un matériel de préparation pour des onguents et autres.
--> J'y penserai ! Ca ne necessite pas une competence particulière en herboristerie ? De toute façon, j'imagine que ça se développe au fil des rps.

Équipements Ok
--> Parfait ! Je mentionnerai ses penchants cleptomanes à chaque fois que je le fagotterai d'une nouvelle veste x)

Physique A confirmer
--> Merci beaucoup pour ces recherches :s du coup on a du fouiller la même section mais comme il n'y avait pas foncièrement écrit que c'était de l'herbe à fumer. J'ai choisi le pavot, pour son odeur corporelle <3
--> D'ailleurs, ça pourrait être considéré comme un défaut ? =D (ca sent pas forcément bon le pavot, tout comme le tabac x) )
Très sincèrement, je vois ce que tu veux dire mais comme tu l'as dit, j'ai pris le partie de le décrire d'un point de vue extérieur, humain donc, et un peu hypnotisé. Cela dit en passant, d'autres personnes le décriraient sûrement différemment, de manière moins subjective (puisqu'on en convient, les adjectifs "séduisant", "troublant" ... c'est subjectif x))
Du coup, le mieux serait-il que je change le point de vue ? Mad J'ai mis qu'il était pas très musclé, parce que c'est vrai, il brille pas pour sa force physique.

Les crocs A confirmer
--> Ah je comprends mieux, merci pour ces explications Smile
Je vais modifier !

Rang social Ok
--> j'ai précisé ça !

Vieux vampire A confirmer
--> J'ai retiré la mention qui faisait référence aux dragons et à la magie du temps où ils vivaient sur Armanda


La maison Ok
--> Ya pas de mal, je comprends mieux.

La fuite de ton personnage A confirmer
--> J'ai écris un passage vers la fin par rapport à ce dont on a discuté par mp Smile


L'aube hivernal Ok
--> Non ça ne l'est pas xD (J'aime bien le mot hivernal mais tant pis u_u je ferai sans ! VOILA !!!! xD)

Mici ^^
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MessageSujet: Re: Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Icon_minitimeVen 30 Jan 2015 - 15:10

Matériel de médecine

Non ça ne nécessite pas de 'compétence' spéciale. Mais après tu peux dire que tu possèdes déjà des bases, ça entre dans tes attributions de guérisseur ^^

Physique

Hmmm ce serait dommage en même temps de tout refaire, non ? Pourquoi, lorsque tu le décris au début, dans la rue, ne pas ajouter le point de vue d'une autre personne ? Ça pourrait même faire un contraste avec le point de vue d'une personne 'charmée'. Et oui sentir le pavot peut être un défaut, même si léger.

Tout est bon ( dans l'dragon *sort* ) pour le reste ( je valide le passage dont on a parlé) ^^ Bientôt la validation joujou
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MessageSujet: Re: Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Lestat Cowlbran ~ Terminé VALIDE Icon_minitimeVen 30 Jan 2015 - 17:41

dragon

Sois le bienvenu sur tes terres, fils d'Armanda.
Tu es né avec une puissance magique innée de mage correct et ton entraînement dans le domaine magique t'a permis d'atteindre un niveau correct. Tu as d'ailleurs été choisi par le totem flamant rose dont tu as atteint le niveau 1.

Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu as aussi un profil neutre à tendance maléfique qui pourra évoluer en jeu sur demande.

Pour tenir l'état de tes aventures à jour, tu possèdes une fiche de suivi de personnage qui se trouve en ce lieu. Tu peux y ajouter tes liens, ton inventaire, ton histoire personnelle et ce que tu souhaiteras. Tu peux aussi adresser tes questions ici.


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