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« Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne

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Alford Gorder
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MessageSujet: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeSam 29 Nov 2014 - 12:31

Encore une journée parmi d'autres au palais impérial. Aujourd'hui pas d’exécution au soulagement du bourreau qui pouvait prendre un peu de repos. Un peu de repos pour faire quoi d'ailleurs ? Alford ne savait pas vraiment... Il ne pouvait malheureusement pas trop se permettre de sortir du palais pour se balader dans Gloria. Il y avait beaucoup de monde qui devait vouloir sa mort, et si des rebelles se cachaient dans la cité, il y avait des chances que ces derniers profite d'une quelconque opportunité pour s'en prendre à sa personne.

Donc il devait rester dans le palais, et sincèrement Gorder n'avait pas spécialement envie de se tourner les pouces toute la journée. Déjà que les occupations de nobles n'étaient pas vraiment pour lui pour la simple raison qu'il n'était pas noble, et qu'un bourreau, et encore plus un membre du petit peuple n'avait rien à faire avec les aristocrates. Il y avait bien plusieurs terrain d'entraînements où il allait de temps en temps s'entraîner , mais bon il y passait déjà beaucoup de temps. Et puis il s'était dit qu'il pourrait tout aussi bien voir s'il pouvait se rendre à la bibliothèque du palais...

Oui Alford savait lire, et écrire comme un cochon, mais écrire. Disons qu'il avait de la chance de ce côté là, et même si lire des bouquins n'était pas une occupation déplaisante il ne savait pas si cela pourrait l'aider vraiment à contenir le trop plein d'énergie qu'il avait ces temps-ci... Surtout qu'il valait sans doute mieux éviter les gestes brusques vu qu'il n'arrivait plus à contrôler sa force depuis le 10 Mars... Enfin ça l'occuperait au moins pour quelques heures ce ne serait pas plus mal disons... Il faudrait vraiment sinon qu'il trouve une occupation sur le long terme sinon il allait finir par vraiment être accablé par l'ennui, et l'oisivité...

Il se contenta donc de se diriger ver sla bibliothèque, il se contenta d'entrer calmement en faisant le moins de bruit possible. Il ne semblait pas y avoir vraiment grand monde heureusement. Alford se contenta de véhiculer parmi les ouvrages. Il en pris qui se nommait « La fable de Fegsil. » il ne savait pas ce que c'était, mais avait fort l'air d'être l'un de ces récits populaires de chevalerie. Bah c'est de la lecture comme une autre. Il en profita d'ailleurs pour prendre un manuel non loin qui parler de techniques de combat académique à l'épée. Qui sait ? Il pourrait apprendre une, ou deux choses. Même s'il ne pouvait pas prendre le bouquin, ou plutôt juste l'emprunter pour tenter d'expérimenter ailleurs les techniques écrite dans ce livre... Enfin peut-être qu'il pourrait en toucher un mot à l'archiviste, ou au bibliothécaire ?

Mais avant de faire cela il valait sans doute mieux lire un peu l'ouvrage pour voir si cela vaut vraiment la peine. Alford tâche de donc de plancher sur l'ouvrage. Ouais c'était des techniques de chevalier au corps au corps de close combat, ça parlait surtout des façons conventionnels de tuer un soldat en armure lourde avec une épée, et une dague. C'était un mélange de close combat, de maniement d'épée. Il fallait arriver au contact, et tenter de désarmer l'adversaire, ou bien de donner un coup d'estoc dans sa fente vu que sur les plaques d'acier les coups d'épée étaient totalement inutiles, ou sinon de le mettre à terre avant de sortir la dague pour passer à la phase de reddition, ou bien du coup de grâce. Cet ouvrage disait surtout comment éviter de se faire désarmer par son adversaire, et renseigner aussi sur l'avantage que pouvait représenter une arme pesante comme un espadon, ou la hache pour fausser les pièces d'armure d'un chevalier. Un bon ouvrage en somme, sans doute que les chevaliers lisent un bouquin comme celui-ci. Même si c'était un peu académique...

Alford prit donc le livre, et celui parlant d'un récit chevaleresque, et se mit à la recherche de quelqu'un qui pouvait éventuellement être le gérant de cet endroit. Sans doute un homme en tenu de fonctionnaire. Qui devait avoir un air singulièrement ennuyé, ou qui devait être très sérieux. Alford se doutait que c'était un peu caricatural de penser comme cela, mais après tout le sérieux doit être le genre de qualité que l'on attend en ce genre d'endroit. Puis bon ils ne connaissaient pas beaucoup de fonctionnaires se baladant dans une bibliothèque en portant une tenue de carnaval...

Il tomba d’ailleurs finalement sur quelqu'un. Alford regarda cet homme en se disant qu'il avait bien le profil de la fonction. Bon il comptait bien rester ici pour lire au calme, mais il espérait bien que cet homme soit du genre à accepter que quelqu'un comme lui emprunte un livre plus tard pour quelques jours. Après il pourrait comprendre qu'on lui refuse cela après tout ce ne devait pas être un ouvrage vraiment facile à trouver... Néanmoins qui ne tenta rien n'a rien, alors il aborda calmement l'homme.

« Bonjour messire. Veuillez m'excusez si je vous importune, mais j'aurai quelques questions à vous posez. Je vous serai gré si vous daignez m'accorder un peu de vôtre attention... »
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeJeu 4 Déc 2014 - 3:17

LA bibliothèque impériale. Domaine de calme, de quiétude et de paix. Loin du chaos administratif du palais impériale de Gloria. Loin de la guerre, de la souffrance des gueux, loin de tout, pareil à un autre onde. Comme si le fait de passer à travers les immense arches de l'entré faisait pénétrer le visiteur dans l'antre où était gardé les plus grands secrets de l'histoires. Des bibliothèques par dizaines, des parchemins par milliers, des livres aussi vieux que le monde et la poussière qui trônait sur ces derniers. C'était autre chose que le reste du palais, un sanctuaire à part. Sanctuaire qui de plus, n'était que rarement fréquenté par les résidant du palais. Majoritairement, seul l'Archiviste et quelque rats de bibliothèques se perdaient entre les rayons, les yeux en train de dévorer de vieilles pages par ci et par là. Enfin, cela était avant que l'ordre d'obsidienne ne commence l'inquisition, et ordonne par le fait même la destruction de tout objet enchanté. Or, plusieurs livre présent dans la bibliothèque étaient imbu de magie, que se soit à des fin de conservation matériel ou bien tout simplement afin de les sceller de regards indésirables. Après tout, en autant d'Années passé sur le continent, les humains manipulant les lettres et la trame magique avaient eu amplement le temps de marier ces deux derniers à mainte reprise. À présent, l'archiviste impériale et un petit régiment de gratte papier s'attelaient bravement à retranscrire les antiquités mots à mots avant que des hommes aux esprits simple ne viennent récupérer les originaux afin de les incinéré, crachant par le fait même sur l'héritage du continent, son passé et ses mémoires. L'homme en blanc s'était donc monté une petite équipes de volontaire afin de sauver les livres de la bibliothèque. Non pas que cela lui tenait particulièrement à cœur, mais sa couverture exigeait pareil geste de sa part. Il ne pouvait pas feindre d'être un archiviste digne de se nom s'Il ne considérait pas les livres comme aussi vitale que l'air et l'eau nécessaire au humain. De plus, il ne pouvait pas retranscrire autant de texte en si peu de temps. Les tâches avaient donc été divisé selon les compétences de ses homologues. La majorité retranscrivaient mot à mot les textes anciens. L'un d'entre eux étudiait chaque bibliothèque, particulièrement sensible aux démonstration de magie. Techniquement, ressentir la magie n'était pas un crime, l'utilisé était punissable de mort néanmoins. L'homme frêle était donc particulière minutieux à chacun de ses gestes, soucieux de conserver sa tête sur ses épaules.

Le sois disant archiviste, quant à lui, triait la priorité des œuvres a la suites de courtes lectures, afin de prioriser les piliers de l'histoire et de délaisser les légendes amorphes des premiers hommes. Pas qu'elles n'étaient pas importantes... Mais entre les faits et la fantaisie, il fallait trancher dans l'utilité. Entre le récit d'amour d'une quelconque princesse Kohan et un répertoire des dragons ayant fouler le sol du continent, le choix était simple, mais ce n'était que rarement aussi facile à trancher. Actuellement, l'homme au visage masqué travaillait sur une partie de l'index, remanié par ses soins afin de simplifier la recherche. La base même de ce remaniement était la conversion des rouleaux de parchemin en livre, afin d'alléger le classement, de compresser le contenu des étagères de la bibliothèques et permettre de numéroté la reliure de chaque œuvre. Une fois ce système instauré, il serait beaucoup plus facile de déplacer et d'entretenir la bibliothèque. Suite à un craquement sourd de son poignet rapidement suivis d'un discret juron, le corbeau travestie en pigeon déposa sa plume dans l'encrier et déclara une pause général d'une heures pour tout les employés. Après tout, ces hommes étaient si dévoués à gratter le papier a des fins de préservation salvatrice qu'ils pourraient rester trois jour sans eau ni nourriture, si cela empêcherait un livre d'être perdu... Il avait bien évidement ingurgité son étrange et odorant médicament pour sa gorge, afin de ne pas prendre un risque inutile en exposant négligemment sa voix abîmé. Le très grand homme se releva, entant ses muscles ankylosés par la récente inaction et commença à marcher dans l'immense salle. L'Ombre devait l'avouer, le travail était si abrutissant qu'il lui arrivait de temps à autre d'oublier que le temps passait ailleurs, ou que quelqu'un entrait dans la pièce. Une erreur qu'il n'aurait habituellement jamais permit. Malheureusement pour lui, il ne pouvait pas restreindre les déplacements dans la bibliothèque... Il n'était qu'un bas gradé après tout. Il travaillait et subissait. Il suivit le visiteur se déplacer entre les rayons de bois massif dominants la pièce.

Étrangement, il ne désirait pas être déranger. Entre sa vie en générale, son contrat avec le vieillards et sa longue définition de tâches à la bibliothèque, il n'avait que peu de temps à lui. Espérant que le nouvel arrivant quitte les lieux avant longtemps, le Corbeau retourna à sa table et repris son travail, seulement pour être interrompue quelques minutes plus tard par le même hommes qu'il avait aperçut plus tôt. Tout ses homologues avaient quitter pour aller faire il ne savait quoi ailleurs. Il se trouvait donc seul à seul avec le visiteur, une chose qu'il aurait volontiers évité. Jouant le jeu de l'archiviste, ce qu'il devait faire, l'homme leva les yeux de sur la feuille qu'il noircissait et posa ses yeux couleur or.

-Oui?

Il écouta patiemment la requête du nouvel arrivant, sans être capable de calmer son habituelle manie, celle d'Analyser de fond en comble ses interlocuteurs. Réflexe d'Assassin sans doute. Trouver les points faibles, les points d'intérêts, les particularités...

-Oui allez-y... Ce sera pour un emprunt je présume?

Il désigna le livre du bout de son doigt de façon nonchalante.

-Êtes vous résident du palais? Si oui, il me faudrait votre nom, votre rang ainsi l'aile dans laquelle vous logé...

Les questions de base après tout. Un noble pouvait emprunter un livre indéfiniment, tout comme certain érudits aux conditions particulières... Autrement, plus le rang du locataire était bas, moins la "confiance" lui étant accordé était grande. Une histoire d'une semaine pour un simple servant pour tout dire, afin que ce dernier viennes régulièrement faire vérifier l'ouvrage par un responsable attitré. Mais cela arrivait que très rarement. Peu nombreux étaient les pauvres lettrés. LA plupart était condamné à la stupidités éternelles sans chance ou merci de la part du destin...
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeVen 5 Déc 2014 - 22:04

Il apprécia de voir que l'homme était patient, et à l'écoute de sa demande. Même si cela était sans doute considéré normal de la part d'un tel fonctionnaire Alford estimait quand même cela. Après tout il aurait aussi bien pu tomber sur une véritable boule de nerfs, ou sur un homme au snobisme sans limite. Dans tout les cas il savait que l'homme avait sans doute autre chose à faire que l'écouter, et Alford tâcha donc de faire de son mieux pour ne pas paraître trop désagréable, et ne pas trop monopoliser le temps de son interlocuteur. Interlocuteur qui présume bien de plus, et qui était tout polie. Il avait l'air d'un brave type ce gars pour tout avoyer...

Alford retînt d'ailleurs de peu une grimace en entendant l'homme lui demander quel était son identité. Disons que cela risquait de compliquer un peu les choses, enfin pas vraiment, mais c'est surtout qu'il n'était pas encore à l'aise avec son nouvel emploi de bourreau, et on ne pouvait aucunement lui en vouloir. En plus l'homme avait du entendre parler de lui, Gorder savait que l'autre ne serait sans doute pas indiscret pour lui poser des questions asséner de remarquer déplaisantes, mais bon. C'était déjà cela disons. Au final Alford se décida en se disant que ce n'était pas grave, et commença à énumérer calmement son identité. Qu'on en finisse avec cela...

« Oui je réside au palais dans l'aile Ouest. Je me nomme Alford Gorder, et j'exerce la fonction de bourreau impérial. Je n'ai été nommé à ce poste que récemment par sa majesté pour tout dire... » Il s'était contenté de dire ce qui était nécessaire, il se demandait d'ailleurs si l'archiviste s'attendait à ce qu'un bourreau vienne fréquenter sa bibliothèque, et si cela poserait souci pour l'emprunt d'un livre. Enfin au pire Alford ce sentait moins gêné de prendre pour lui un livre d'escrime car s'il était venu avec un livre de torture, ou autre ouvrage malsain il aurait était certain que l'autre l'aurait foudroyait de son regard surtout en sachant ce qu'il aurait pu faire avec. Le métier de bourreau était vraiment pénible, et pas uniquement pour cette raison presque bénigne par rapport au reste... Et Alford n'aime pas les livres de torture, il se demandait qui lisait ce genre d'ouvrages...

« Cela risque de poser un souci messire ? » Demanda t-il calmement avant que l'homme ne lui fasse cette remarque éventuellement. Après tout bourreau impérial ce n'était pas vraiment le plus haut des rangs, ni le plus prestigieux, mais bon. Au pire Alford négocierait si possible. Il n'avait jamais était très doué pour l'éloquence, mais bon. Avec un peu de chance l'homme en fasse de lui pourrait se montrer sympathique, ou bien aussi démontrer qu'il n'avait aucune estime pour un bourreau comme beaucoup d'autres. Et Alford ne pourrait même pas lui en vouloir. A se demander même si Fabius Kohan ne recrutait pas ses bourreaux chez les prisonnier, les miséreux, et les amoureux de la mort car ce n'est vraiment pas une profession pour les gens du commun. Et c'était même normal d'éprouver une certaine forme de répulsion à l'égard de l'homme qui passait la corde au coup des futurs pendu, et qui rouait de coups les condamnés pendant la sentence de la roue. Une vie dure, pour un métier ingrat. Au final même les bourreaux étaient des victimes d'une certaine façon...

« Sinon. Disons que j'aimerai lire ici quelques autres manuscrits sur des sujets particulier, désolé de vous importuner avec ceci, mais pourriez vous m'offrir vôtre aide pour cette recherche ? » Dit-il le plus poliment possible pour ne pas froisser son interlocuteur, après tout déjà qu'il était un bourreau autant ne pas encore aggravé son cas...

« Et. Est-ce que l'emprunt des livres est payant sinon ? » Demanda t-il calmement juste après car après tout il n'avait jamais emprunté auparavant de livre à la bibliothèque impériale, et si celle-ci marchait comme certaines bibliothèques, ou libraire il faudrait débourser de l'argent. Même si cela étonnerait le mercenaire provenant d'un service d'état ce dernier préférait s'en assurer. Peut-être que la paye serait juste une garantie si jamais il venait à perdre le livre ? Après tout ce serai un système plutôt astucieux, si jamais quelqu'un abîmait, perdait le livre, ou ne le rendez jamais pour une raison, ou une autre il suffirait juste d'utiliser la somme d'argent donner pour en faire un autre, enfin si ce n'était pas un exemplaire unique sinon cela risquait d'être compliqué, et dans le pire des cas c'était sans doute une bonne façon de dissuader un voleur que cette sorte de garantie monétaire.
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeJeu 11 Déc 2014 - 7:21

L'homme vêtu de blanc révéla un peu plus la tête, laissant la lumière des chandelles danser sur son masque noir, et au coin de son œil. L'individus devant lui était visiblement un guerrier, ou du moins un travailleur occupé. Il n'y pouvait tout simplement rien, même en tant qu'archiviste, ses instincts d'Assassin prenaient le dessus sans cesse, et particulièrement depuis que son totem faisait des siennes. Il savait pertinemment qu'il n'Allait pas affronter le gaillard devant lui, mais son corps semblait dire le contraire, fait étonnant. L'espion n'était pas un guerrier, mais un assassin. Il ne se battait pas, il exécutait, rien de moins. Il n'y avait pas lieu d'avoir une bataille si cette dernière pouvait être réglé en un coup. Rapidement, respectueusement et proprement, le crédo des assassins dans son genres. D'homme à homme devant pareil adversaire, il mordrait sans doute la poussière au pied de son interlocuteur, mais en d'autre circonstance, lors d'une traque par exemple, jamais le bourreau ne pourrait qu'espéré survivre. Jamais il ne verrait sa mort arrivé, pas plus que l'homme qui lui donnerait... Mais tout cela n'était que vaine projection mentale de sa part après tout. Cet homme était là pour un livre, rien de plus, l'homme masqué allait donc décompresser quelque peu et s'occuper de son "client". Il prit un papier et une plume, tout deux étant après tout abondant sur la table, et nota copieusement les informations lancé par le prénommé Alford.

-Je trouvais aussi que votre tête me disait quelque chose... Je vous ai vu à l'exécution des Grandblancs... Triste, triste affaire que voilà...

Il savait évidement pertinemment l'identité de l'homme devant lui. Après tout, son arrivé au palais avait créé tout un émoi. Rien de bien pertinent à transmettre au vieil homme par contre, seulement des informations intéressantes pour sa rubrique personnelle. L'assassin leva la main sans geste brusque devant lui lorsqu'il entendit l'appellation "messire", mimant un réflexe involontaire.

-Il n'y a pas de messire qui tiennes, sieur... Gorder? C'est bien cela? Je ne suis ni bourgeois, ni noble également. Le respect tiens, mais pas l'obligeance... Quant à votre question, non, il n'y a aucune problème pour votre emprunt. Je dois simplement noter vos coordonnés personnelles afin de les ajouter à la liste des locataires.

À ces mots, il se leva et se dirigea vers un petit bureau de bois pratiquement invisible sous les piles de documents jonchant sa surface. L'ordre naissait du chaos après tout... C'est du moins ce que l'archiviste impérial se disait afin de se motiver à classé les documents. Tant de fiches mal remplies, datée ou tout simplement incomplète à réordonner. Il était vrai que son prédécesseur était un vieillard après tout, il était normal que ce dernier se soit habitué à son désordre personnel... Après avoir sortie un livre à la reliure de cuir usé de sous un amoncellement de parchemin, le Corbeau reposa son attention sur le bourreau.

-Pour votre recherche, même si vous vouliez simplement réaliser une recherche classique, il serait là chose impossible. L'index est en cour d'Actualisation, suite à la mise en place de la nouvelle lois sur la possession d'objet magique. Il est donc de mon devoir de pallier à ce problème en me proposant mes services. Il me faudrait simplement plus de renseignement sur les documents recherchés...

Ce n'était pas le genre à l'Ombre de se compliquer ainsi la vie, mais pour le besoin de son alibis, il jouait le jeux, et il était grandiose, il le savait. Lui même parfois se sentait mélangé entre fiction et réalité, prenant étrangement goût à une conversation qu'il n'aurait jamais tenu à l'extérieur des murs du palais impérial. Son travail devenait aliénant à vrai dire. Si ce n'était pas du Souffle et du Nid de l'Oiseau, l'homme de l'Ombre aurait perdu le Nord depuis bien longtemps. Mais sa vie revenait toujours infatigable et déterminé à ne pas filé sous la confusion hallucinante provenant de son emploi "officielle". Avant de répondre à l'ultime question de son interlocuteur, le soi disant Tidus laissa sortir un rire clair, qu'il fit taire, faisant mine de s'être laissé emporté un moment.

-Non! Non.. Pas du tout voyons! Nous ne sommes pas dans une librairie ici... Les livres peuvent être emprunté, mais pas achetée. C'est pour cette raison que la gestion nécessite l'identité du locataire. Si le livre est trop endommagé, détruit ou perdu, vous devrez le payer, autrement, garder votre bourse scellé et profiter de votre lecture!

Il balaya les rayons du regards, intrigué à savoir si d'Autre visiteur avaient pénétré dans la pièce alors qu'il était occupé. Pour le moment, tout semblait calme et paisible. Ils étaient dans une bibliothèque après tout. Une personne pouvait être localisé par le simple gargouillis de son estomac, en exagérant à peine...

-Donc, sieur Gorder, quelle est le genre de lecture qui intéresse un homme comme vous? Est ce pour le travail ou pour une lecture personnelle? Nous avons de tout évidement. Tant informatif que fictif, et vaste comme l'océan en guise de sujet. Aussi sombre que le répertoire des tortures, aussi drôle que l'histoire d'Eldant Au grands pieds et même aussi... "intéressant" Que les thèmes osés...

Peut-être en mettait-il un peu trop dans son jeu... Un gratte papier devait possiblement être fade et triste, blasé par une journée de travail ennuyante et une vie monotone. Cependant, l'espion ne cherchait pas à fondre dans la masse après tout. Le meilleur moyen de passer inaperçue était de sortir du lot après tout. personne ne prêtait attention aux personnes bruyantes et agaçantes. Mais les nouveaux venu ténébreux attiraient toujours le regards, comme quoi la discrétion était réellement un art complexe.
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeVen 12 Déc 2014 - 22:57

Ce fonctionnaire n'avait pas l'air aussi ennuyant, ou morose qu'il l'aurait pensé... Alford se fit la réflexion que finalement il ne fallait jamais se fier aux préjugés, et puis cela été agréable de voir quelqu'un d'aimable, et cordiale. Surtout que tout le monde ne se montrait pas aussi sympathique envers sa personne ces temps-ci malheureusement... D'ailleurs il se fit aussi une autre réflexion en voyant le masque de l'homme, quel visage se cachait derrière cela? Était-ce un habit de fonction? Une façon pour le fonctionnaire de se donner un air mystérieux pour séduire les femmes, ou bien il était un grand mutilé de guerre? Alford ne le savait pas, et malgré sa relative curiosité il jugea qu'il serait de mauvais ton de demander à l'homme à quoi il ressemblait là-dessous même si son regard s'attarda tout de même un peu sur le masque de son interlocuteur... Pendant que celui-ci parlait. Et semblait le regardait à son tour.

Bah c'était normal de regarder quelqu'un dans les yeux pendant qu'on lui parle, même si des fois Gorder préférait éviter à causer de son strabisme divergent. Enfin après c'était sans doute idiot l'autre ne serait pas impoli au point de s'en moquer, et peu se moquent d'un homme avec une musculature comme la sienne, mais bon. Alford avait toujours eu cette sorte de gêne, il avait été toujours d'une certaine susceptibilité, mais bon elle ne serait pas contrarié cette fois-ci... En sortant de ses réflexions le bourreau scruta le papier sur lequel était en train d'écrire le fonctionnaire avant de répondre calmement.

Oui j'étais en première loge si je peux le dire. Et j'aurai préféré m'abstenir pour le coup... Après tout c'était lui qui avait pendu ce GrandBlanc haut, et court. il se rappelait presque avoir entourer de la pauvre femme et de ses deux malheureux enfants avec la corde, avant de tirer le levier. Oui il avait d'une certaine façon massacré une famille, il se rappelait encore des plaintes des condamnés, de leurs pleurs, et surtout du bruit étranglé qu'ils ont faits lorsque la corde les as étouffer. Une scène horrible qu'il ne risquait sûrement pas d'oublier, et ce n'était ni la première, ni la dernière...

Alford ne remarqua même pas le ton amer qu'avait soudain prit sa voix. il n'aimait vraiment pas son métier de bourreau, un rôle de chevalier, ou de soldat, même de cireur de botte lui aurait suffit, mais non son altesse avait décidé qu'il serait bourreau. Il aurait presque envie de jurer à voix haute pour le coup, mais préféra s'abstenir. Après tout ce serait fortement impoli, même si son interlocuteur ne semblait pas visiblement préoccupé par ce genre de choses...

Je vois. Eh bien moi non plus ne suit pas de grandes ligné sieur... Sinon pour le livre je vous en remercie, ce genre de tracasseries administratives me fatigue déjà à l'avance pour tout avouer, je suis un guerrier, et la paperasserie n'est pas vraiment mon fort malheuresement. il se gratta derrière la tête, il avait parler plus calmement pour le coup, et avait repris un ton aimable avant de conclure pour les coordonnées. Bien entendu. Avant de donner par la suite les coordonnés à son interlocuteur.

Puis l'homme se leva. Alford bien entendu le suivit calmement jusqu'a une sorte de bureau croulant sous le papier, il s'imaginait bien le labeur que cela devait être de devoir classer tout ceci, et remplir toutes ces feuilles. C'était bien une profession à part entière, et même si Alford ne méprisait pas du tout les gratte papiers il se demandait comment l'on pouvait passer ces journées avec des feuilles de papiers, à écrire, classer, et ranger à une allure somme toute mécanique. Le fonctionnaire sortir de toute ceci un document, le mercenaire se demanda à quoi celui-ci servait, mais il fut distrait de ces pensées un peu papillonnantes par les paroles du fonctionnaire. Auquel il répondit cordialement.

Je vois. Tout ceci me semble bien problématiques. Je suis sans doute arrivé au mauvais moment veuillez m'en excuser. Je vais tâcher de ne pas faire trop compliqué... Après tout il imaginait bien que sa nouvelle connaissance devait crouler sous le travail ces temps-ci s'il devait reclasser tout ces ouvrages, et il arrivait quand même à trouver la volonté, et le dévouement d’assister Alford. Ce genre de zèle le rendait presque admiratif d'une certaine façon...

Et il était aussi content d'apprendre que l'emprunt était gratuit à condition de ne pas détruire les livres. Après tout même si Alford était un peu maladroit il ferait attention car c'était quelque chose qui n'appartenait pas qu'a lui, et il n'était pas du genre à esquinter sans raison les affaires d'autrui comme le dernier des malotrus. Néanmoins cela lui facilitait les choses de ne pas devoir payer, ou laisser une garantie, et il ne s'en plaindrait pas. Dans tout les cas le rire de l'homme le surprit un peu, mais ne fut pas pour autant désagréable. Et bien voilà quelqu'un d'original pensa le mercenaire, et ce en bien. On voyait là un homme joyeux sachant profiter de la vie, et avec un excellent sens de l'humour. Un bon gars en résumé, et même si Alford ne le connaissait pas vraiment il se faisait une bonne première impression de cet homme...

Je vois c'est un système fort pratique, à croire que contrairement au diction populaire l'administration n'est pas toujours d'une légendaire inefficacité. Dit-il avec un petit sourire, et même si ce n'était pas aussi populaire que les blagues sur les nobles. En espérant que son petit trait d'humour n'ait pas vexé son interlocuteur qui est après tout d'une certaine façon membre de l'administration, mais à la limite ce dernier n'avait pas l'air d'avoir un balais enfoncé là où il pensait comme beaucoup de personnes dans ce palais.

Dans tout les cas il se fit la réflexion qu'il venait de s'engager dans une petite conversation, alors qu'a l'origine il était juste venu prendre des bouquins, mais au final cela importait peu. Après tout cela lui faisait du bien de parler un peu pour le moment, et il n'allait pas s'en plaindre. Surtout que l'autre semblait bien disposé à son égard, même si c'était sans doute surtout par politesse cela restait tout de même appréciable.

Pour tout dire ce n'est aucunement pour le travail, je ne suis pas vraiment du genre à apprécier des ouvrages de cette sorte... Je dirai donc une lecture personnelle, de préférence quelque chose disons... De drôle, et d'émerveillant oui. Pour les textes osés je reviendrai peut-être qui sait. Dans tout les cas je n'ai pas une culture littéraire très prononcé malheureusement, et je me fierai à vôtre avis de connaisseur si vous me le permettez.

Dans tout les cas par la suite il rajouta aussi calmement.

Sinon j'ai cru comprendre que vous deviez remplacer les ouvrages magiques, est-ce que cela a un lien quelconque avec la nouvelle loi? J'aurai plutôt cru que les inquisiteurs les auraient tout simplement faits brûlés... Pourriez vous me dire quels ouvrages sont concernés par cette histoire si cela ne vous dérange pas sieur? Dit-il calmement au fonctionnaire...
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeMar 16 Déc 2014 - 23:53

L'assassin aurait peut répondre que les tracasseries administrative n'était pas non plus son fort, mais il s'abstint de passer pareil commentaire. Son contrat passait avait tout, et même si ce travail était de loin le plus laborieux qu'il eu à effectuer depuis bien longtemps, il avait la chance de ne pas avoir à vider les pots de chambres des nobles. Son travail était donc gratifiant quoi que épuisant. Et puis, il n'était pas enchainé à un poste de façon fixe. Il avait le droit de quitter le palais comme bon y semblait, sans pour autant en abuser et attirer les soupçons vers sa personne. Il devait avoir l'Air naturel, mais pour le moment, il forçait un peu le jeu. L'espion décida donc de calmer ses ardeurs et en revenir à un timbre moins excentrique. Pas pour autant ennuyant, mais un peu moins coloré, afin de ne pas effrayer son client d'une quelconque façon.

-Vous ne compliquez rien, ne vous inquiétez pas. En fait, je trouve votre présence rafraichissante pour tout vous dire. Cela m'empêche de me noyer dans mes travaux. Restez dans cette pièce a ne rien faire d'Autre que lire pour réellement aliéné un esprit faible... Heureusement, j'ai la tête aussi dur qu'une écaille de dragon.

Il laissa un sourire fuir de ses lèvres. Un vrai sourire cette fois. Il s'était trouvé drôle. Rien d'extraordinaire, mais bon, son dernier commentaire avait quelque peu fuit de la même façon que son sourire. Un second rire fut relâché par l'Assassin à la mention de inefficacité administrative de l'empire. Ô oui, il avait souvent entendu le peuple se plaindre de la mauvaise gestion de l'empire, mai maintenant qu'il était dans ces eaux là, il ne pouvait que confirmer.

-Je ne peux que confirmé l'ami! Entre l'Administration impériale et une bastons, je choisis la bastons!

Venait-il tout juste de l'appeler l'Ami? Oui, il l'avait fait... D'accord, c'était une expression, mais celle dernière lui laissait un étrange arrière gout en bouche. Il écouta attentivement les critère de l'homme devant lui, curieux de savoir ce qui plairait à un homme de la sorte. Étrangement, ce fut la comédie qui saillit des préférence. Fait étrange, enfin, pas tant que cela à bien y penser... Un homme baignant dans le sang à chaque jour ne serait pas logiquement attiré par encore plus d'horreur dans un moment de repos. Il frappa sèchement dans ses mains, lançant un regard qui se voulait complice à son client.

-Comédie donc! Ce n'est pas la collection la plus riche qui soit, mais il doit certainement y avoir quelque chose d'intéressant pour vous. Venez...

Il fit un petit signe de la main au bourreau afin de l'inciter à le suivre. Les rayons de fictions se trouvaient tout au fond de la pièce. Ils étaient considéré après tout "moins" important pour l'Avenir de l'empire que les traités sur la science de la biologie appliqué. En chemin, il fut questionné au sujet de la conservation et la destruction des ouvrages magiques présents sur les tablettes des bibliothèques de ce sanctuaire. Un sujet beaucoup plus sensible que l'homme ne semblait le prendre, et de loin...

-Les inquisiteurs ONT brulé tout les livres traitant de la magie, des Esprits supérieurs présent dans la religion ayant précédé leur arrivé ainsi que ceux contenant la moindre parcelle de magie les marquant...

Il n'avait pas feint le mépris qui avait soudainement animé sa voix. Il n'en voulait pas aux Alayien d'avoir brûler les livres en soit, il leur en voulait d'avoir effacer le savoir, l'une des rare chose que l'homme masqué respectait. La connaissance était la clé de toute puissance. Il marchait toujours en direction de la section des fictions, exposant plus calmement la situation à son client.

-... Ils ont cependant oublié moult œuvres, que nous tentons par tout les moyens possible de retranscrire avant que la copie originale ne soit détruite. Je parle ici d'œuvre possédant concrètement de la magie en eux, soit pour des objectifs de conservation, ou bien comme mécanisme de défense. Tout livres considéré hérétiques ne peut être retranscrit sans quoi mon nom apparaitrait sur votre liste... Je tiens à mes voies respiratoire donc...

Il inclina la tête de coté, mimant un pendu. Il redevint presque aussitôt sérieux, ayant enfin atteint les bibliothèques concernés.

-Donc nous y voila! La section des fictions, et plus précisément des arts comiques.

L'espion se pencha sur les rayons plus bas, puis scruta un a un chaque ouvrage, cherchant des titre simple et surtout, intéressant. Les incontournables du genre en soit. C'est ainsi qu'une dizaine de livre furent sortit de leur rayon et présenté au client.

-Bon, j'ai ici onze livres, tous comique. Leur genre et leur thème diffèrent, bien évidement, alors nous allons procéder par élimination. Nous avons, toujours dans le genre de la comédie, le romantique, l'absurde, l'épic -qui est je dois l'Avouer un mélange des plus étrange- et bien sur l'éducatif. Bien que ce dernier genre soit d'Avantage destiné à un publique plus... Simple... Il contient malgré tout de très bonne blague... Alors? Lesquelles dois-je rayer de la liste?
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeVen 19 Déc 2014 - 11:57

Eh bien il appréciait de voir que sa présence n'enquiquinait pas tout le monde, enfin après il n'y avait pas forcément de raison à cela. Il faisait toujours de son mieux pour paraître le plus aimable, et poli possible à ses interlocuteurs. Bon après c'est vrai qu'un bourreau, personne n'aimait voir un bourreau surtout le jour de son exécution cela Alford pouvait facilement le comprendre ne disait-on pas « Il vaut mieux la plus terrible des femmes au plus doux des bourreaux. »? Même si on pourrait se dire que cyniquement dans les deux cas le malheureux mari courrait à sa fatalité... Après il voudrait bien voir la femme avant de juger s'il ne préférait pas se prendre, mais trêve de pensées inutiles, et futiles de ce genre...

Et il pouvait comprendre qu le fonctionnaire ait envie d'un peu se changer les idées, Alford imaginait mal passer ses journées la tête dans les papiers, et assis. On devait avoir de ces fourmis dans les jambes après... Bon il est vrai qu'en temps qu'ancien paysan lui aussi s'épuisait quand il labourait les champs à l'époque avec son père, et cela toute la journée. D'une certaines les deux travail devaient avoir leurs avantages, et leurs inconvénients...

« Eh bien merci, cela fait assez plaisir pour tout avouer. Pas souvent qu'on me dit ce genre de choses ces temps-ci. Il y avait bien une jeune femme aussi assez belle, et étonnamment légère. Elle s'appelle Autone je crois. Elle avait faillit se casser quelque chose en descendant l'escalier il y a deux jours, heureusement que j'étais là pour la réceptionner, une femme bien brave pour tout avouer. Elle, et vous êtes parmi les rares personnes sympathiques à mon égard que j'ai trouvé dans les environs à vrai dire... Mais bon je m'égare désolé. »

Puis le fonctionnaire parla de baston, une bonne baston... C'est vrai que c'était des fois assez agréable une bonne vieille bagarre d'auberge surtout quand c'était pour calmer des ivrognes, ou donnait une leçon à deux-trois andouilles. Alford se rappelait avoir déjà était engagé pour apprendre le respect à quelques malotrus, et coller son poing dans plusieurs faces. Il n'y avait pas de mort, un peu d'action, et souvent le sentiment de faire justice selon les contrats. Puis bon cela faisait un peu d'entraînement, et il n'était pas contre. Raison pour laquelle il répondit aimablement à son tour.

« Je vois que j'ai affaire à un amateur de bagarre comme moi ! Eh bien mon ami je ne vous aurai pas penser comme cela, mais il est vrai qu'au vu de vôtre carrure vous devez être agile, et avoir un bon jeu de jambes. Je suppose que c'est à but sportif que vous pratiquer la lutte ? »

Après tout la lutte est un sport pratiqué très couramment que ce soit par les paysans, les nobles, et autres. Surtout en faîte pour entraîner les soldats, et autres hommes à se défendre un peu. Et aussi une bonne manière pour les nobles de montrer leurs supériorités martiales d'une certaine façon donc aussi une démonstration de force d'une manière, ou d'une autre.... D’enfin ce n'était pas cela qui importait, là on parlait de la comédie. Sujet léger, et doux qui convenait bien à Alford pour tout avouer... Il viendrait sans doute prendre autre chose une prochaine fois, mais là il venait surtout prendre des ouvrages pour se divertir, non pour réfléchir, ou autre donc autant se contenter de ce qu'il était venu chercher à l'origine.

« Ok » Se contenta t-il de dire calmement en suivant par la suite le fonctionnaire, il ne s'inquiétait pas après tout du fait que ce dernier allait finir par trouver quelque chose car au vu de la taille de la bibliothèque le contraire serait étonnant.

Dans tout les cas il nota que les nobles avaient voulu mettre ces livres au fond de la bibliothèque, eux, et leurs goûts du pratique... Le fonctionnaire lui confirma d'ailleurs que les alayiens avaient comme il a pensé brûlés tout les ouvrages traitant de la magie ce qui d'ailleurs été bien dommage pour tout avouer. C'était du savoir perdu, la vie de plusieurs érudits ayant vécus auparavant, et le travaux de leurs existence qui a été en résumé perdu dans les flammes pour toujours. Cela, et les livres de tradition ce qu'Alford trouvait dommage pour tout avouer, ils auraient au moins pu juste les planquer dans un endroit où personne ne serait aller récupérer cela aurait été mois expéditif, et moins cruel pour les générations futures...

« Je vois. Eh bien disons que je dois avouer que je m'y attendais un peu on va dire. J'imagine que certaines personnes ont volés de livres au moment où la loi a été promulgué pour les dissimuler... Cela a du légèrement exciter l'inquisition sans doute. » Même si l'Ordre d'Obsidienne n'avait pas vraiment besoin de quoi que ce soit pour être exciter à l'encontre de tout ce qui contient ne serait ce qu'une infime trace de magie...

Il voyait d'ailleurs dans la voix de son interlocuteur que ce dernier n'avait pas apprécié ce fait, et il ne pouvait que le comprendre. Après tout quand l'on travaille dans une bibliothèque cela ne doit pas faire particulièrement plaisir de voir plusieurs ouvrages précieux partir en fumée, c'est comme si lui on lui prenait son épée, et on s'amusait à la jeter dans le crottin... Il écoutait donc avec attention le bibliothécaire parler.

« Je vois, eh bien je dois dire que c'est tant mieux. Si vous arrivez à préserver ce qui peut-l'être. J'imagine que cela ne doit pas vous faire plaisir de voir que l'on fait partir des pans entier de nôtre histoire, et de nôtre tradition en fumée comme cela... Quand à vôtre nom j'espère effectivement ne pas avoir à me charger de vous un jour. Puis bon ce n'est pas vraiment moi qui choisit qui va être condamné à mort, sinon il n'y aurait pas grand monde sur les listes... Je ne vais pas faire partie personnellement de ceux qui essayeront de vous mettre des bâtons dans les roux. Rassurez-vous au contraire je trouve vôtre initiative très louable. »

Alford fit plus une grimace qu'un sourire en voyant l'homme en face de lui mimer un pendu. Les exécutions était malheureusement rarement aussi peu spectaculaire... Mais bon autant penser à quelque chose de plus léger.

« Bien. » Dit-il quand ils arrivèrent à la section des fictions. Après tout il préférait ne pas trop approfondir au sujet de son travail...

Le fonctionnaire fit sa recherche, et lui présenta une petite pile de livres somme toute assez intéressants. Il était bien tenté de les prendre tous, mais bon il fallait bien faire un choix. Le mercenaire réfléchit donc aux paroles de son interlocuteurs. Assez vite il répondit calmement.

« Eh bien le genre de l'éducatif ne m'intéresse pas à vrai dire, après tout les thèmes me semblent intéressants. Bah je n'y connais pas vraiment énormément en littérature pour tout avouer. Pourriez vous me définir si cela ne vous dérange pas trop chaque genre ? Je me fais une idée à vrai dire, mais je ne c'est pas quelle est la vrai différence entre tous... »

Il réfléchit calmement, et dit ensuite.

« D'ailleurs pourriez vous si cela ne vous dérange pas me donner vôtre opinion personnelle sur tout ceci ? » Demanda t-il finalement tout en écoutant attentivement la réponse de son interlocuteur.
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeLun 22 Déc 2014 - 9:01

Avec difficulté, l'Assassin resta impassible à la mention du nom d'Autone. Il aurait put hésiter un instant sur le nom, se dire que d'Autre jeune femme pouvaient se nommer ainsi, mais une jeune femme nommé Autone, au poids extrêmement faible, fréquentant le palais? Il n'y avait pas de doute a y avoir. Considérant son métier, l'homme masqué ne pouvait pas se permettre de croire au coïncidence et ce genre de chose. Il avait rencontrer Autone, et puis qu'est ce qu'il y avait de dérangeant avec cela? Qu'on lui mentionne, oui, sans doute... Qu'on lui rappelle qu'elle avait elle aussi fréquenté ce nid de vipère coupe gorge que l'on nommait affectueusement "palais impériale". Elle avait chuter près du bourreau... Typique d'Autone à bien y penser. Tomber. Gracieuseté de son totem loufoque et de sa maladresse naturelle. Une maladresse à en enflammer les joues de la petite femme. Ces accidents n'arrivaient pourtant qu'à rendre la femme plus mignonne, ou plus abordable comme cela avait été le cas avec cet Alford...

La question qui tracassait le Corbeau était simple: devait-il commenter la remarque du bourreau ou simplement laisser ce qui semblait être un compliment passer sans y laisser de remarque. LA bienséance voudrait de lui qu'il remercie son interlocuteur pour son compliment, voir qu'il témoigne d'avoir rencontré la Matrone, moyennant un mensonge simple afin de ne faire sauté sa couverture ou exposé la demoiselle à un quelconque risque. À sa plus grande surprise, Gorder semblait être un homme agréable, à moins qu'il ne soit lui aussi en train de jouer la comédie... Peu importait en fait. L'espion allait tenter un rapprochement en utilisant l'occasion avec Autone, et ainsi, si le bourreau se montrait ouvert, il pourrait lentement s'approprier quelques informations pertinente à son sujet. Il était après tout un sujet de discutions majeur dans les potins actuel dans le palais, alors autant tenter sa chance comme son travail le demandait.

-Et bien... Merci... Sieur Gorder, pour ce compliment... Peut-être que nos origines simples forces une plus grandes complicités. Quant à Mademoiselle Summer, j'ai moi même eu la chance de lui adresser la parole un beau jour en croisant sa route. Une forte gente demoiselle, qui plus est munit du plus ravissant minois qui m'a été donné de voir, ne trouvez vous pas?

Parler de femme, un sujet typiquement masculin, et universelle. De quoi ouvrir la porte à mainte occasion de discutions et d'innombrable sujet de conversation. Mais ce n'était pas uniquement par professionnalisme que l'espion avait décidé de parler de la Matrone, mais aussi d'un point de vu personnelle. Personne ne touchait à l'un de ses oiseaux sans qu'il ne le sache, particulièrement l'une de ses Matrones.

-Et bien, pour tout vous dire, bien que je ne semble être qu'un rat de bibliothèque grand et sec, j'ai tout de même suivis un entrainement extrêmement rude et stricte étant plus jeune. Je ne dis pas pouvoir vaincre à main nue un homme de votre carrure, mais si je me retrouve le bras disloqué à la fin d'un combat, mon adversaire quant à lui se retrouvera chez le guérisseur...

Il laissa un rire rompre le silence lourds planant sur la bibliothèque. Il avait rit pour de vrai cette fois, ayant imaginé plusieurs nobles de sa connaissance de mauvaise nature, amochés dans un lit avec des morceaux de viandes étalés sur les ecchymoses. Un rêve possible mais peu probable, pas si il désirait conservé sa tête, comme il avait plus tôt mentionné. Le bourreau, une fois encore pour sa plus grande surprise, semblait tout à faire le contraire de ce à quoi le Corbeau s'attendait en terme d'exécuteur impérial. Qu'il n'Aime pas particulièrement pendre des familles, des enfants et de jolie jeune femme, d'Accords. Qu'il ne soit pas plus enclin que la moyenne sur la décapitation et écartèlement, cela pouvait se comprendre. Mais sérieusement, Alford ne semblait pas du tout apprécier son travail. Ombre ne pouvait pas dire "aimer" être un assassin, mais il trouvait par ci et par là des raisons d'être fiers de ses assassinats et de ses chasses. La précision, le respect, l'Adrénalines... Plusieurs petites choses compensaient l'horreur de la réalité globale. Dans le cas de Gorder, il n'y avait rien d'autre que l'horreur d'après ce qu'il pouvait entendre et lire sur le visage de son interlocuteur.

-Si je retire les livres éducatifs des choix, cela nous laisse tout de même sept livres potentiels. Je peux certes vous les décrire grossièrement, mais vous ne pourrez réellement les apprécier qu'en les lisant. Néanmoins, je serai clair et concis. N'oubliez pas, nous procédons par élimination.

L'assassin rangea tout d'abords les quatre livres rejetés par le bourreaux puis étala le choix restant sur une tablette d'une bibliothèque au niveaux des yeux de son client. À chaque livre mentionné, il désignait l'ouvrage de la mains, laissant l'homme faire son choix.

-Ces trois premiers sont des livres comiques traitant principalement de l'amour. Le premier se nomme "La belle au gueux". C'est une histoire mainte fois reprise d'une paysanne ayant réussit par sa beauté à séduire un membre de la noblesse. Les scènes décrites sont assez comiques, il s'agit principalement de toutes les situations embarrassantes dans lesquelles le noble se retrouve afin de réussir à séduire la belle. Par la suite, il y a "L'acier, le fer, le cuivre et la rouille". C'est une histoire tournant autour d'un groupe de quatre chevaliers. Tous très fier, ils se lance comme défit de séduire le plus de femme possible. Pour cela, ils réalisent les plus grands et les plus étrange de tout les exploits. L'exemple le plus flagrant est lorsque le chevalier à la rouille tente de combattre un ours à main nu pour impressionné la fille d'un chasseur... Bref... Un récit des plus tordus. Finalement, la troisième œuvre de genre comédie romantique se trouve à être l'histoire d'une femme bourgeoise travestie en homme afin d'échapper aux avances d'un courtisant trop effarouché. Au comble du malheur pour le personnage principale, la fille de ce même courtisant tombe éperdument en amour avec son alter égo masculin, un vrai fouillis, et des blagues à en pleurer de rire. L'œuvre se nomme "Le fourreau sans épée"...

L'espion laissa le temps à Alford d'analyser les informations lancés et procéder à l'élimination, puis il continua ses résumés en désignant trois autre livre tout à tour.

-L'absurde, ou lorsque que quelque chose de vraiment trop extravaguant et aléatoire se produit. À titre d'introduction dans le sujet, je vous présente "Et puits quoi?". Puits avec un "t", c'est un jeu de mot. En bref, cette histoire raconte les aventures d'un vieux paysan tentant de s'abreuver à l'eau d'un puits. Cependant, jamais il n'y arrive. Que se soit le nombre incalculable de personnages venant l'interrompre, la longue extraordinaire de la corde ou bien le poids soudainement intenable du seau dans le puits. C'est absurdes, et c'est drôle. On dit de cette œuvre qu'elle serait une sorte de comparaisons métaphorique avec l'existence de l'homme à travers une vie. Dans le plus éclaté, il y a "Le Dragon Arc en ciel", qui ressemble vaguement à ce qu'un homme soumit à d'innombrable drogues hallucinogène aurait put voir, entendre sentir et gouter. Un dragon multicolore, des comparaisons des plus hilarantes et le tour est joué. De plus, cette œuvre possède quelque illustration fort intéressante... Comme dernier membre de ce joyeux groupe absurde, je vous présente "Sans nom, la suite". C'est littéralement le nom de l'Ouvrage. De plus, il n'y a pas d'œuvre l'Ayant précédé, le titre ne soit est une blague. Ce manuscrit est bien particulier car il s'Adresse directement au lecteur, l'insultant sans cesse et tordant la réalité en gardant comme tête les commodités de la vie d'un humain, afin de touché le plus grand public possible. Néanmoins, le vocabulaire de ce dernier est le plus soutenue de toutes les œuvres présentes, soyez prévenues!

Encore une fois, il laissa le temps au bourreaux de faire son ou ses choix. Une fois la totalité des livres classés, l'assassin pourrait sans doutes présenté d'autre œuvre à Alford, mais d'ici là, ce dernier devrait se contenté des connaissances de l'espion. Et sans être un as dans la matière des la comédie, il avait effectivement rit à mainte reprise lors de la lecture de ces ouvrages. Ultimement, il désigna le dernier livre présenté dans un geste mélodramatique, afin de faire rire son interlocuteur. L'Ombre ne ferait jamais pareil chose par lui même, mais bien ancré sous la peau de son personnage, il se trouvait à être quelqu'un d'Autre entièrement si tel était son désir.

-Et enfin, le dernier livre. "Les Flammes Ardentes". C'est celui ci qui se trouve à être un livre comique à thème épique. L'histoire est simple: l'empire des hommes combats férocement un groupe de femmes sauvages et féroces au combats. Ce livres traite de tout, en passant de glorieux combats à des scènes plus... Comportant moins d'armure, mais avec autant de crie qu'un combat, bon! Mais encore une fois, l'histoire est très bien rédigé. Ce n'est pas pour les jeune yeux. Ni pour le simple. C'est une œuvre drôle, mais aussi riche et réfléchie, l'un de mes coups de cœur. Néanmoins, peut-être ne l'Aimerez vous pas, considérant son statut assez particulier... Donc, Sieur Gorder, quelle œuvre retourne à leur demeure pour ce moment?


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L'homme était poli, et sympathique. Alford en conclut donc qu'il aimait bien ce gars, après il est vrai que c'est dur voir impossible de s'attirer la haine du mercenaire. Il portait de l'estime même pour Aldakkin du Néant, et Fabius Kohan c'est dire... Après c'était peut-être sa tendance presque endémique à vouloir voir le bon côté de chaque chose, et surtout de chaque personne. Il n'avait jamais voulu après tout que tout le monde se comporte comme lui, ait les mêmes idées que lui, ou bien réagisse de la même façon. La diversité du monde, et de l'existence d'une certaine manière donné tout son intérêt à cette dernière. Il fallait de tout après tout pour faire un monde. Et même si ce dernier n'était pas parfait autant ne pas se plaindre, il est toujours bon effectivement de vouloir améliorer les choses, c'est même normal, mais il ne faut pas non plus condamner qui que ce soit sans le connaître réellement pensa le mercenaire, il y a de belles choses à voir en chacun selon Gorder après tout.

d'Ailleurs pour parler d'autre chose le fonctionnaire le remercia pour son compliment. De rien, je ne vois pas en quoi vous devez me remerciez pour avoir dit la vérité mon ami, mais j'apprécie vôtre prévenance. Sans doute que ce sont nos origines effectivement qui aident en cela. Conclu t-il avec un sourire amical.

Alors le bibliothécaire avait lui aussi rencontrer cette demoiselle Autone? Comme quoi le monde est petit, mais en y réfléchissant cela se tenait, après tout le fonctionnaire, et la jeune femme fréquentaient tout deux le palais. Il était donc normal qu'ils ce soient vu, Alford n'en était donc aucunement étonné. Il se demandait d'ailleurs si Autone était aussi tombé plus, ou moins accidentellement dans les bras du fonctionnaire? Il ne savait pas, et même malgré sa légendaire curiosité il ne demanda pas car il estimait que ce serait fort malvenu, et peut-être même gênant pour son interlocuteur donc mieux valait éviter...

Oh oui elle est très joli cela ne fait aucun doute, après je trouve qu'elle est vraiment très gentille cette brave femme. Je me dit qu'au final il n'y a pas que la beauté du corps, mais aussi celle de l'esprit, et je dois dire qu'elle est très belle de ces deux côtés ci. Je suis sur qu'une femme comme elle se trouvera sans doute un très bon mari. Dit-il avec une assez grande innocence. A vrai dire personnellement je la considère comme une amie. Et vous vous la considérez comment? Est-ce que vous n'auriez pas un petit coup de foudre pour elle par hasard? Dit-il pour taquiner le fonctionnaire sans vraiment le penser de toute manière, après tout ce ne sont pas vraiment ses histoires.

Puis une fois que cette blague de plus, ou moins bon goût était passé il se gratta la tête avant de demander calmement à sa nouvelle connaissance.

Je me rend compte que je papote, mais je ne sais toujours pas à qui ai-je l'honneur. Auriez-vous l'amabilité d'éclairer ma lanterne messire?

Puis après avoir eu sa réponse il revint au sujet des femmes.

Après objectivement en tant qu'ancien rebelle j'ai déjà vu plus belle qu'elle, mais bon c'était des elfes donc vous allez me dire que c'est hors compétition, mais bon au final? La beauté ce n'est pas un peu superficiel? Bon héhé vous me direz que vu ma gueule je peux penser que comme ça. Un peu d'auto-dérision ne faisait jamais de mal après tout. Mais je me dis qu'au final tout le monde a un bon côté, et il est dommage de s'arrêter à un préjugé. Après ce n'est que ma façon de penser je ne dis pas que c'est la vérité loin de là...

Il rigola lui aussi à son tour en entendant le fonctionnaire parler de baston, pas de façon moqueuse, mais de bon cœur. A croire que le rire est contagieux. Dans tout les cas Alford poursuivit aimablement par la suite.

Oh qui sait?!? Si ça se trouve vous êtes plus fort que vous paraissez l'être, et croyez moi même si je suis un ours d'une certaine façon vous vous avez sans doute l'agilité de vôtre côté, et puis la force ne fait pas tout... Mais bon c'est pas comme si on allait se battre de toute façon. Finit-il avec un petit sourire.

Il réfléchit ensuite courtement. Est-ce qu'il pouvait faire part de cela à cet homme? Bah il ne risquait rien de toute façon, et puis qui sait? Ce serait sans doute une bonne petite anecdote à raconter. Donc il prit à nouveau la parole.

Vous savez ça me rappelle une petite histoire pendant le siège de Gloria. En faîte j'étais en train de me balader dans les quartiers pauvres pour je ne sais plus quelle raison, et ensuite je suis disons tombé sur une scène assez choquantes.

S'assurant qu'il avait l'attention de son interlocuteur Alford reprit du ton de l'homme qui raconte une histoire à la taverne, mais une histoire vraie.

C'était trois jeune homme, à leurs vêtements c'étaient des jeunes nobles, ils avaient emmenés avec eux dans une ruelle sombre une jeune demoiselle, la jeune fille devait pas avoir plus de 18 ans. Du regard je les ai vu en train de lui arracher ses vêtements, ils voulaient sans doute la violer, et ils étaient visiblement ivres. Révolter par cela j'ai décidé d'aller les calmer. Faisant une courte pause pour bien se remémorer la scène il conclut ensuite.

Ils m'ont alors sautés dessus noble, ou pas je les ai prestement mis hors combat de quelques coups de poings, et pieds judicieux sauvant ainsi la demoiselle du viol. Bien entendu le lendemain ces trois vauriens m'ont emmenés me faire juger, mais je suis arrivé finalement à m'en tirer de façon très honorable. Je suis même arrivé à les faire condamner, un fils de comte, un fils duc, et un fils de baron je crois, et à obtenir une récompense monétaire... Comme quoi il y a des fois une justice en ce bas monde. Conclut-il avec un peu de fierté dans ses paroles, pour le coup on ne pouvait pas dire qu'il n'avait pas fait justice.

Puis ensuite arriva le moment où il fallait choisir un livre, comme Alford l'avait dit les livres éducatifs ne l'intéressaient pas vraiment... Il n'aimait pas vraiment qu'on le prenne pour un débile pour tout avouer, malgré sa gentillesse il avait toujours était facilement susceptible quoique aucunement rancunier.

Il fallait avouer... Que pour lui le choix était vraiment rude, trois genre de livres pour 7 livres en tout. C'était vraiment compliqué de choisir ce qui lui plaisait le plus au final. A part "sans nom, la suite" tout les bouquins lui semblaient digne de son intérêt immédiat. Et s'il n'avait aucunement envie de lire sans nom c'est car il n'aimait pas qu'on l'insulte aussi intelligente, et constructive soit l'insulte...

L'épée sans fourreau... Je trouve que ce jeu de mot à lui tout seul définit l'oeuvre dont vous ma parliez... Et un jeu de mot avec un sous-entendu très implicite. Même pour lui qui n'avait pas l'esprit aussi mal tourné que cela. Néanmoins ce livre là ne l'intéressait pas autant que les autres à vrai dire. Il le lirait peut-être une prochaines fois. Qui sait?

En faîte je pense que je vais prendre le livre "L'acier, le fer, le cuivre et la rouille" j'aime bien ce genre d'histoire pour tout avouer. C'est sympa en plus de voir que des chevaliers dont on vante tant les mérites dans des situation rocambolesques. Et il aimait bien ça, même si cela lui faisait penser qu'il aurait préféré être chevalier que bourreau pour le coup. Surtout qu'il manie sans doute bien mieux le lame que nombre de chevaliers... Comme quoi c'est vraiment qu'une histoire de sang, et non d'origine, ou de mérite la chevalerie...

Je reviendrai sans doute pour prendre d'autres livres quand j'aurai fini celui-ci. Je pense en faîte prendre trois livres en tout. Donc on avait dit l'acier, fer, rouille cuivre... Dit-il pensif en regardant chaque ouvrage en pesant le pour, et le contre à tour de rôle à chaque fois.

Je vais aussi prendre, "Et puits quoi?" j'ai jamais lu ce genre de livre, et comme on dit il y a une première fois à tout donc autant essayer. En espérant que cela soit à la hauteur de ses attentes, avant de conclure que si ça traînait dans la bibliothèque impérial c'est qu'il devait y avoir une certaine qualité dans ces ouvrages...

Et je vais aussi prendre les "Flammes ardentes" je crois. M'a l'air aussi très intéressant. En somme je pense que c'est déjà une bonne quantité de lecture, ça devrait m'occupait un peu pour commencer...

Puis il prit les livres en main tout en laissant au fonctionnaire le soin de ranger, après tout Alford n'y connaissait rien en rangement de bibliothèque. Après que cela fut fait il demande calmement ensuite.

Désolé d'encore vous déranger car vous en avez déjà fais beaucoup pour moi messire, mais... N'auriez vous pas quelques bon livre d'histoire sur l'Alayia, et sur Armanda à me prêter? Disons que je suis curieux sur ces point là, et vu que je ne fréquente pas trop les temple alayien la littérature reste un moyen de choix pour m'informer sur les peuples alayiens sans pour autant faire partie du culte de Néant. Pour tout avouez je n'ai jamais vraiment était très pieux... Dit-il avec un air un peu gêné.

Après tout la foi ça lui était toujours passé au dessus. Pas qu'il ne croyait pas aux esprits, enfin dans le sens qu'ils savait que ceux-ci existaient comme Néant, mais disons qu'il n'avait jamais était très intéressé par la religion. Après ce n'est pas comme si ça avait vraiment était une gêne pour lui en quoi que ce soit...

Enfin après vu l'allure que ça prend ces temps-ci je sais même plus si ceux n'arborant pas les tatouages alayiens auront ne serait-ce que le droit de vivre dans quelques années... Dit-il d'un lasse. Car ce fanatisme ambiant, et exagéré des alayiens l'énervé prodigieusement pour tout avouer...
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeDim 4 Jan 2015 - 2:22

-On dirait presque que vous avez la demoiselle à coeur, sieur Gorder... Mais pour ma part, elle n'est qu'une collègue de travail parmi mille autre au palais. Fort jolie, je dois l'Accorder, mais collègue tout de même...

Il pouvait bien penser ce qu'il voulait de la matrone après tout, tant qu'il restait loin de cette dernière. Du moins, pas tant qu'il ne le connaissait pas davantage. C'était assez stupide en fait comme réflexion, considérant que Autone était une prostituée... Tant qu'il en avait l'argent et l'envie, il pouvait bien faite avec elle ce que bon lui semblait. Bon, après cela, le Rossignol avait son mot à dire quant au client qu'elle prenait, mais n'était ce pas son travail? Elle désirait conserver ce boulot malgré mainte proposition de la part de l'homme en noir à rejoindre son groupe... Bon, ce n'était pas aussi simple que cela dans la tête de l'homme masqué... Il ne voulait pas forcé la Matrone, mais en même temps, il jurait intérieurement contre son obstination borné et injustifiable quant à la conservation de son gagne pain peu flatteur. Et puis, rien ne disait au faux archiviste que le fait qu'Autone ai "tombé sur Alford" ne soit pas une métaphore voulant réellement dire que le bourreau avait passé une nuit torride dans les bras de la petite dame de feu. Bon, il se mettait à divaguer de nouveau dans des théories plus farfelue les une que les autres. Et d'où venait cet étrange désir de protéger la dame rouge sous un dôme d'acier? Sa promesse? Son amitié? Son égo d'homme mal placé? Un peu de tout? Probablement.

La demande d'Alford était bien tombé à bien y penser. Après tout, les œuvres de fictions, particulièrement le comique, n'était pas sur la liste des retranscription urgente, en fait, s'était plutôt le contraire... L'espion m'avait donc pas à songer aux livres emprunté autre mesure. Donc, il pouvait se concentrer sur les œuvres historiquement marquante et présentement dans la mire des Alayiens. Tout cela allait néanmoins attendre pour le moment. Le Corbeau profitait de l'occasion pour se reposer et penser à autre chose que cette folie administrative, et honnêtement, il s'y plaisait d' ainsi parler à la légère à une autre personne. Pas de meurtre, pas de contrat, pas de pleur... Seulement les femmes et les livres, deux merveilles. L'archiviste s'inclina légèrement la tête vers l'avant, bras droit contre sa poitrine en signe de révérence.

-Je suis Alexandre Tidus, Archiviste impérial, historien, chasseur et Gentilhomme. C'est un plaisir, Sieur Alford Gorder! J'espère d'Ailleurs que vous m'excuserai d'avoir omis aussi bêtement de me présenter...

En fait, il n'aimait pas se présenter, s'était aussi simple que cela. Qu'il s'Agisse d'un alibis ou de sa vrai identité, l'Assassin n'aimait pas associer son "visage" à un nom particulier, autre que celui du Corbeau. Et ce dernier était d'Avantage un titre, destiné à faire courir les rumeurs, sans plus.

-Après près de trente printemps, je ne peux malheureusement pas prétendre posséder un avis aussi lumineux que le votre sur la bonté des Hommes, Sieur Gorder. Les hommes sont de triste brutes, de sombre individus, corrompue par tout ce qui les entoures...

Il écouta par la suite l'histoire assez incroyable d'Alford au sujet des vagabonds nobles. Rien de bien surprenant à l'avis de l'Assassin, mais sans doute un comportement assez révoltant pour un homme comme semblait être son interlocuteur: un rêveur croyant au bien dans la tête de la race humaine.

-C'est effectivement une histoire... Sombre et désolante... Mais qui néanmoins s'est bien déroulé grâce à vous. J'imagine que la demoiselle vous a été des plus reconnaissantes?

Soudainement plus silencieux et sérieux, l'assassin écoutait patiemment le bourreau faire son choix, ou plutôt ses choix. A chaque fois qu'un nom ressortait, l'homme notait le nom du livre et le code de l'emplacement ou ce dernier ce trouvait sur les rayons de la bibliothèque. Trois ouvrages au finale, de quoi occupé un lecteur moyen l'espace de plusieurs semaines. Par le passé, l'assassin avait lu le compte d'une vie de livre techniques. Depuis son plus jeune âge, il avait compris que le savoir, la connaissance était de loin l'arme la plus puissante. Certes, il s'était parfois laissé aller dans la.fiction, osant même parfois s'imaginer à la place du héros du compte, raflant la demoiselle, le respect et les honneur. Il avait rit sans retenu, seul au fond de sa tanière, alors.que sénateur débordait les pages de bouquins humoristique. Mais surtout, il avait pleuré, de tristesse devant sa solitude alors que son coeur de glace battait plus lentement au furent et à mesure que les saisons passaient. Malgré le manque de réalisme des œuvres romantiques, il ne pouvait se cacher de désirer pareille tendresse. Et encore la, il n'était pas question de parler de la littérature érotique... Pour un homme solitaire comme l'Ombre, lire des lignes empreintes de tant de passion était purement suicidaire.

-Il me fait plaisir de vous aider, mon sieur. Vous me sauvez en fait d'une longue pause solitaire et monotone.

Par réflexe, l'Assassin vérifia les environs lorsque le bourreau mentionna les Alayiens, espérant que personne n'ai entendu pareil déclaration. L'ordre noire était plutôt sur les nerf de ce temps ci, et toutes excuse était bonne pour interroger "gentiment" la personne suspecté...

-Je suis un homme très pieux pour ma part... Enfin.. Je l'étais, si vous voyez ce que je veux dire... J'ai eu la chance de rencontrer en personne les Esprits déchue...

Sa voix était basse. Il n'était pas convaincu qu'il faisait bien de dire pareil chose à ce Alford, mais considérant qu'il s'agissait d'un ancien membre des rebelle selon ses propres dire, il ne devait pas être très enclin à la nouvelle religion, même pour un loyaliste.

-Je les ai vu en personne, les sept frères, cote à cote, alors qu'ils livraient un avertissement au trois peuple lors du Sommet des peuples. ET je peux vous dire que si l'un d'eux me parlerait sans cesse, je serais sans nul doute aussi fanatique que ces hommes qui se plaise à se croire guerrier du Néant, alors qu'il ne sont que pion pour le meneur de l'ordre...

Il ajouta encore plus gravement, plus sérieux que jamais afin de bien assurer ses arrières en cas d'un retournement de situation:

-Loyale à la terre qui m'a vu naitre, peu importe les esprits et les empereurs. Cette terre est miennes... Je ne suis rien, mais à ma façon, je me bats pour elle...


(encore une fois, mille excuses pour ce retard impardonnable...T_T)
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeDim 4 Jan 2015 - 16:28

Lui, la demoiselle Autone à cœur ? C'est vraie qu'elle était sympathique, et que comme pas grand monde était aimable avec lui ces temps-ci… Cela l'avait sans doute marqué. Il est vrai qu'Alford donnait peut-être plus d'importance à cette jeune femme qu'elle n'en avait vraiment sur lui, mais bon au final cela n'était pas vraiment important. Il répondit donc calmement à Tidus .

« Ma foi on peut dire que j'aimerai bien la considérer comme une amie, mais guère plus. Je n'ai jamais vraiment été un grand dragueur si c'est ce que vous insinuez que le fait que je voudrait peut-être la séduire. Je suis assez maladroit avec les femmes, et pas vraiment très beau. Puis ce n'est qu'une connaissance, je préfère donc la considérer amicalement si possible... » Après il pouvait penser ce qu'il voulait...

De toute manière c'était bien là quelque chose de futile au final car ce n'était pas comme s'il comptait couché avec cette jeune femme. Cette Autone était belle, mais Alford l'avait mit automatiquement dans la catégorie des femmes avec lesquels il ne coucherait jamais sauf avec une bonne raison. Cela pour des motifs tout à fais personnelles. D'ailleurs on parlait bien du mercenaire qui croyait encore il y a un plus d'un an avoir couché avec Sylira, et lorsqu'il avait appris que cette dernière était une vampire cela lui avait fait assez d'effet jusqu’à ce qu'il l’apprenne qu'elle l'avait juste beurré, et endormi avec un somnifère, sur qu'au moins il n'avait pas cette impression de bizarrerie que peu ressentir un humaine qui aurait couché avec une vampire sans s'en rendre compte, le plus ironique étant que cet humain ne pratique pas souvent des galipettes… Néanmoins il arrête assez vite de penser à ces choses gênantes.

Peu après l'archiviste se présenta sous la demande du mercenaire. Archiviste Tidus ? Eh bien c'était assez joli comme prénom, et il fallait aussi avouer qu'Alexandre avait une connotation assez aristocratique, on aurait presque pu croire que c'était un noble, ou un bourgeois si le principal concerné n'avait pas précisé qu'il était un membre du petit peuple comme lui. Néanmoins cela était assez impressionnant de constater jusqu'où un fils du peuple pouvait aller. Archiviste impérial ! Voilà bien une haute fonction que celle-ci. Et il répondit aimablement à la présentation du gentilhomme tout en faisant la même gestuelle que ce dernier, mais de façon amusé comme si c'était exagéré que de faire cela pour lui.

« Bah ce n'est pas grave au moins je sais quelle nom mettre à vôtre visage. Personne n'est infaillible, et je dois vous dire que vôtre fonction m’impressionne. Vous disiez que vous étiez né parmi le petit peuple vous aussi ? Vous devez avoir beaucoup de mérite pour arriver à un poste qui semble plutôt réservé aux grandes bourses, et aux sang bleu... » Dit-il sans cacher que cela l’impressionnait assez, au moins cela prouvait d'une certaine manière que la naissance n'agit pas forcément comme des menottes, et des chaînes invincibles pour tout les hommes. Ce genre de choses peuvent vous faire miroiter un espoir aussi ténu soit-il, et en cela l'exemple de Tidus faisait plaisir au mercenaire. Ce n'était pas certes à l'égal du simple soldat qui devient chevalier par son héroïsme, mais tout de même. C'était une belle avancée sociale...

« Bah je ne prétend pas avoir raison à tout, ni contraindre les autres à mon opinion, mais je vous avoue que j'ai toujours préféré voir les choses du bon côté. A ronger du noir, et se plaindre l'on finit bien misérable. Néanmoins vous avez sans doute raison tout n'est pas blanc, ou noir. Néanmoins je pense que chaque homme peux faire preuve de vertu, et fait preuve de bonté à sa façon. L'on ne vit peut-être pas d'amour, et d'eau fraîche, mais l'on ne vit pas non plus de sang, et de haine. »

Puis Alford écouta Tidus le féliciter pour la bonne conclusion de cette histoire, Alford se contenta de répondre modestement avec un sourire assez satisfait non pas de lui, mais que justice ait été faîte ce jour là.

« Oui elle m'a été assez reconnaissante, mais je n'ai demander ni jeu de jambe, ni pièce d'or, une simple nuit à l'auberge de son père m'a suffit. Au final je ne suis pas content du fait d'avoir tirer quoi que ce soit de cette affaire, mais le simple fait d'avoir rendu justice, et d'avoir fait ce qu'il fallait me suffit en lui-même. Au moins cela prouve qu'il y a encore des raisons d'espérer. »

Puis après avoir fait ses choix littéraire les deux hommes se remirent à discuter calmement, la conversation était décidément agréable, ce Tidus faisait une très bonne impression au mercenaire.

« Content de savoir cela mon ami. » Dit-il calmement à la réponse polie de Tidus. Savoir que sa présence n'était pas malvenue bien au contraire était en soit assez agréable, après tout tout les hommes apprécient la considération, et l'amitié. Tout le monde veut être apprécié à sa juste valeur, c'est humain.

Alors Tidus était quelqu'un de très pieux, et de plus est un adepte fervent des sept ? Enfin « était » comme ce dernier le disait. Gorder avait pitié pour lui, sûr qu'être chamboulé dans sa foi, et dans ses convictions ne devait rien avoir d'agréable.

D'ailleurs il resta silencieux quand il entendit l'homme dire qu'il avait vu en personne le sept esprits apparaître, il ne savait pas si c'était vérité, ou mensonge, mais au vu de la gravité des paroles ces temps-ci Alford pencha sur la vérité. Aucun homme ne risque sa vie après tout uniquement pour le plaisir de raconter des sornettes…

« Je dois vous avouer que je vous envie cette chance mon ami, mais s'ils sont apparus devant vous c'est que vous le méritiez sans aucun doute, moi j'étais terré à Gloria à entraîné les troupes pendant ces négociations... »

Puis il enchaîna suite aux paroles de Tidus qui visiblement n'avait aucunement froid aux yeux, la lâcheté n'était pas un défaut que l'on pouvait reprocher à l'archviste décidément.

« Libre, et sans maître. Vous dîtes peut-être des paroles risqués, mais je vous avoue que je vous comprend, et que j'adhère en partie à vos pensées. Au final l'âme d'un homme appartient à ce dernier jusqu’à sa mort, et il n'appartient qu'à lui de la dédier, ou pas un seul esprit, ou sept esprits, ou aux totems. Personne n'a le droit de contraindre qui que ce soit... »

Puis il enchaîna sur un sujet bien moins risqué, on ne savait jamais après tout…

« Vous savez… Je considère personnellement que chacun devrait vivre sa vie comme il l'entend dans des mesures raisonnables. Et dans mon cas j'ai toujours désiré voyager, et explorer ce vaste monde, goûter à la nourriture exotique, voir de beaux monuments, des belles cités, de belles forêts. Découvrir les secrets que recèle ce continent. C'est cela qui m'a poussé à quitter ma ferme natale, à prendre un espadon, et à devenir mercenaire. Pas par appât du gain, mais par désir de découverte. Je ne sais pas après si j'ai fais le meilleur choix entre ça, et une vie paisible de paysan à sa ferme, mais au moins je ne regrette pas mon choix. Après il n'appartient qu'a chacun de faire les siens. »

Puis il acheva avec réflexion, mais un peu amusé.

« Après je ne sais aucunement si j'ai vraiment attendu le bon moment pour ramener ma fraise, il s'est pas passé deux avant que je m'engage en tant que mercenaire dans l'armée impériale dans la guerre contre les vampires. J'ai même ramené un beau trophée de cette époque... »

Dit-il en glissant sa main dans sa sacoche, et en sortant une dague, une dague vampirique.

« J'avais failli y passer, mais je suis arrivé à tuer un vampire dans un combat singulier, pour tout avouer j'ai triché un peu, mais comment aurai-je pu faire autrement ? Dans tout les cas je dois dire que je suis fier d'avoir fait cela, si je n'avais pas mis ma vie en danger plusieurs innocents y seraient passés, ces fourbes c'étaient amusés à attaquer un convoi transportant des provisions pour l'armée impériale... » Par contre il ne savait pas vraiment s'il pouvait réitérer ce genre d'exploit. Le vampire qu'il avait massacré à cette époque ne devait pas être bien vieux, et pas un vétéran sans doute… Et il fallait avouer que ça avait été l'un des affrontements les plus tendus de son existence… Mais il n'en était pas peu fier pour autant.

« Et vous vous faisiez quoi vous pendant cette guerre sieur Tidus ? » Demanda t-il calmement, après tout la guerre contre les vampires avait était une période trouble pour tout le monde, et il serait étonnant que le sieur Alexandre n'est rien d'intéressant à raconter ...
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MessageSujet: Re: « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne « Le rouge, et le blanc. » (Pv Saemon) 27 Avril de l'An 2 de l'Âge d'Obsidienne Icon_minitimeVen 9 Jan 2015 - 6:59

Lui même n'avait pas l'intention de s'éterniser sur le sujet de la rébellion. De toute façon, il avait obtenue ce qu'il désirait: des informations sûr la personne du bourreau impérial. Il n'avait pas eu à travailler bien fort en fait, alors il n'avait que peu de mérite à s'attribuer. L'homme n'avait pas d'hésiter à parler contre l'ordre noir... Il avait hors de tout doute le cœur d'un rebelle... Peut être avait il compris que ce carnage inutile ne valait pas la peine d'être encouragé? Luna n'avait pas encore compris cela, l'assassin jetait le blâme sur sa jeunesse et sa naïveté, mène si secrètement, il s'accusait fermement face à cette conduite suicidaire de la part de son élève. S'il m'avait pas disparut, il aurait pu parfaire son entraînement... Elle n'aurait jamais joins la cause des rebelles si elle voyait le monde comme le Corbeau le voyait... Était ce le cas de son interlocuteur? Croyait il en lhomme? Bien sur que oui, il venait de le dire! Il croyait que l'humain était un être imparfait, mais bon... Ce qui était parfaitement illogique, puisque l'homme imparfait pensait et faisait aussi le mal. Cette réflexion n'avais donc aucun sens, autre que celui qu'Alford voulait lui donner. Il sourit face à l'admiration soudaine qu'exprimait son interlocuteur, incertain de la bonne réaction à avoir face à cette soudaine contemplation? Modestie? Orgueil modéré? Un espèce de suffisance atteinte en rapport à cet emploi? Ou la vérité?...

-Je ne suis pas méritant de travailler pour d'autre homme, sieur Gorder. Vous êtes un homme, Je suis un homme, Sa Majesté est né homme... La seul chose qui change cela est le nom. Kohan règne, tout autre suivent... Peu importe toute les promotions, rien n'égale la sensation qu'apporte la forêt. La liberté, les possibilités...

Le voilà qui recommençait à perdre sa couverture... Il devait rapidement retourner en piste sous peine de perdre les pédales. Sa couverture était pareil à un masque d'argile. Bien que lisse et parfais, il pouvait craquer sous la température, il fissurait sous les chocs, il s'émiettait sous l'émotion, la colère surtout. Mais ce n'était pas la vaine perte, puisque cela lui avait permit d'entrer dans la tête du bourreau, le tout contre une parcelle de sa couverture. Disons une grosse parcelle...

-Enfin bon! Moi et les poèmes elfiques classique! Tant de grand mots pour si peu dire en réalité...

Il ajouta par la suite afin de "concrétiser" ses dires:

-Corchim tira magorhi, meldiron!

Il parlait elfique, hey oui! La base bien évidement, mais tout de même, il savait formuler plusieurs phrase dans le langage du beau peuple. Son accent ne devait probablement pas être au point... Considérant qu'il n'avait parlé qu'à un elfe en elfique dans sa vie, et que ce dernier avait terminé par être décapité, l'assassin ne pouvait pas se vanter d'avoir entretenu beaucoup de discutions poussé. Néanmoins, malgré son léger mépris envers cette race qu'il considérait vantarde, prétentieuse et beaucoup trop passive, l'homme masqué ne pouvait qu'admettre le raffinement du langage elfique. Les mots semblaient tous pensé afin de pouvoir être chanté, ou susurré amoureusement dans l'oreille de l'être désiré. Rien à voir avec les intonations cassante de la langue humaine. Un cours de langue elfique pouvait facilement avoir raison des langues les plus agiles.

Il ne cacha pas sa surprise lors qu'il entendu l'histoire au sujet du vampire. Même vieux, même contre quatre hommes, un vampire restait un adversaire redoutable pour n'importe quel représentant de la race humaine. Étrangement, savoir que l'homme devant lui avait tué un vampire rehaussait respectueusement l'estime que l'assassin lui portait. Honnêtement, il pensait avoir à faire à l'un de ces fous qui croyaient en la clémence et l'humanité vampirique, au fait que ce n'était pas tout les suceurs de sang qui ne pensaient qu'à arracher la gorge des humains. Donc, il n'était pas stupide... à moins que ce vampire n'ai été qu'une exception, ou encore, un mensonge. Rien ne garantissait la vérité dans cette conversation, autre que la ferveur exprimé par Alford bien évidement. Il croyait en ses propres paroles visiblement, ce qui rendaient ces dernières encore plus probable.

-Disons que pendant la guerre contre les vampires, je n'ai pas eu la chance d'abattre l'un de ces fils... L,un de ces monstres moi même...

Il jeta un coup d'œil en direction du grand corridors, où il vit passé deux garde marchant à pas calculé. Personne en vu. Devrait-il le faire? Peut être... Ce n'était pas un secret dangereux après tout, et parler d'à quelle point les vampires étaient une plaie faisait du bien à son moral. Décidé, il tira délicatement sur le col de sa tunique afin de dévoilé la partie gauche de son cou. à la base de celui ci, deux petits points cicatrisés ressortaient par leur couleur et leur relief de la peau de l'espion.

-L'une de ces ignobles choses m'a confondu avec une gourde...

Il retira par la suite le gant qu'il portait sur sa main droite, dévoilant deux grosse cicatrice sur sa paume, dont une marqué également sur le dos de sa main.

-... Un autre s'est trompé entre un fourreau et ma main... La grande joie, je vous l'assure...

Sa voix ne laissait aucune place au doute. Elle était froide, dure et laissait miroité une certaine haine nocive à chacune de syllabe prononcé. Une blague ironique noire, aussi noire que les évènements mentionnés. Il remit calmement sa main dans son gant, continuant de parler comme si rien de tout cela ne s'était passé.

-Donc trois livres de sortie sous votre nom, sieur Gorder! Rapportez les moi, ou à un autre membre de la bibliothèque, dans un mois, la limite maximale. Si ces livres ne sont pas revenu après trente et un jour, un garde ira les collecter à votre résidence... Je tiens à vous informez de cela. C'est la procédure, j'en ai bien peur.

Bientôt, son changement de comportement drastique put être justifier lorsque l'un des collègues de bibliothèque du Corbeau fit accidentellement tomber l'une des chases sur le sol. Il faisait confiance à ces drôles de types beaucoup trop passionner par les bouquin, mais pas assez pour les laisser entendre sa vie. Il parlait de sa haine envers les vampires, ce n'était pas pour les oreilles de qui que se soit d'autre que son interlocuteur. Quelques secondes à peine après l'Arrivé dudit collègue, un second fit son apparition, ce qui indiqua indirectement à l'archiviste que l'heure de repos était terminé. La disculpation avec le bourreau lui avait étrangement fait un bien fou. Peut-être ne valait-il pas continuer ainsi pour la journée? Il ne pouvait pas sur l'instant, bien évidement, mais rien n'interdisait une discutions plus tardive...

-Je vais devoir retourner travail, sieur Gorder. Mais avant cela, j'aimerais vous inviter à boire quelque chose en ma compagnie ce soir, si l'envie vous prends. Je connais une petite auberge très accueillante dans le quartier marchant, si vous souhaitez discuter en toute quiétude tout en sachant que le pire qui pourrait vous attendre est un lit doullet... ET un mal de tête le lendemain, bien entendu...

Il laissa un léger rire s'Échapper avant de rétorquer ultimement:

-Êtes vous intéressé, Gorder? Je vous y invite!
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Cela se tenait effectivement. Si on considérait que tous les humains pouvaient êtres mis au même niveau, mais Alford ne pouvait s'enlever cette considération qu'il tenait envers Tidus quand même, non pas car ce dernier travaillait pour un homme, mais car il avait était choisit entre sans doute un lot de gens méritants, et qu'il devrait l'être particulièrement pour avoir eu cette place au vu de son rang social. Néanmoins il comprenait où l'archiviste voulait en venir en parlant de liberté, et préféra donc juste confirmer ce sentiment là, plutôt que continuer à délibérer sur le sujet du mérite.

« Oui la liberté est une belle chose. On en rêve tous. Et c'est seulement quand on en est privé quand se rend seulement compte qu'elle vaut tout l'or du monde. » Il n'était pas un philosophe, mais n'importe qui pouvait penser à cela au final aux prit de quelques réflexions. C'est le genre de valeur universelle à tous avec le bonheur, et la famille après tout…

Puis Tidus lui parla de poèmes elfique, et Alford sourit, en poussant un petit « hmf » amusé en entendant la sarcasme sur les poèmes elfique. Sûr que cela voulait pas forcément dire beaucoup d'après ce qu'il avait entendu, mais Gorder avait l'impression que les elfes mettaient souvent plus de valeur dans les apparences que dans le fond, c'était une façon de voir les choses comme une autre après tout.

« Joli ! » Dit-il calmement en entendant Tidus parler en elfique, Alford n'avait absolument rien compris, mais il applaudit faiblement des mains, sûr que ça laissait une petite impression. Il avait tout à coup l'impression d'avoir affaire à un véritable érudit, mais du niveau de ceux qui écrivent des livres que tout le monde lit soit disant au vu de leurs grandes probités.

Puis l'on aborda le sujet des vampires, et Alford écouta avec attention Tidus . En même temps à part les Glacernois on ne tombe pas souvent sur des humains ayant fais preuve d’une réelle efficacité face à des buveurs de sang. Et il pouvait comprendre la haine de Tidus envers les vampires sans pour autant les partager. Après tout beaucoup avait souffert de la guerre humano-vampirique…

Et visiblement Tidus avait bien encaissé!Oulà cela faisait mal à Alford rien que de regarder ce genre de chose. Il devait avoir affaire à un immunisé pensa t-il si l'autre avait survécu à ce genre de traitements.

« Eh bien je dois vous avouer que cela m'a l'air assez douloureux, heureusement que vous êtes encore en vie mon ami... »

Puis on repassa sur un sujet plus détendu, les livres. Alford écouta attentivement les paroles de l'archiviste qui lui expliqua la procédure qui lui semblait pour tout dire parfaitement acceptable. Alford se contenta donc de sourire diplomatiquement, et de répondre calmement.

« Ma foi cela m'a l'air tout a fait convenable, néanmoins merci de me prévenir mon ami cela m'évitera une éventuelle mauvaise surprise. Promis je vous rendrai ces livres en très bonne état. »

Puis peu après l’archiviste lui fit une petite proposition qui ne déplaisait pas forcément au mercenaire… Pour tout dire cela lui ferait sans doute du bien. Il ne pouvait donc que réponde poliment, et calmement à cela.

« Ma foi cela ne me déplairait pas du tout mon ami. Vôtre aimable proposition est accepté avec grand joie. Et encore merci ! »

Puis Tidus lui tendit un papier avec écrit un nom « Le nid de l'oiseau », les deux hommes se dirent à ce soir… Le mercenaire quitta donc la bibliothèque peu après avec ses trois livres en mains…

Bon du coup ce soir il devait aller dans le quartier marchand à cette auberge… Alford se rendit soudain compte de quelque chose…

Veren ! Cette vampire le traquait sans doute toujours…. Il faudrait qu'il prenne quelques mesures donc, elle devait sans doute se trouver dans le quartier pauvre une grande partie du temps, il irait sans doute retrouver Tidus, après avoir prit quelques précautions . Sous le nom de parfum, et autre lotions qui devaient dissimuler l'odeur du corps humain. Il sentirait fort, mais cela ferait sans doute l'affaire, et au pire il demanderait à des gardes de l'escorter ce ne serait pas vraiment difficile à y réfléchir. Ceux-ci l'attendraient ensuite sagement en dehors de l'auberge. Cela suffirait sans doute pour assurer sa sécurité, et celle de Tidus sans déranger ce dernier pour autant.

Ceci fait il alla donc retourner à ses affaires le temps que la soirée arrive.
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