La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).
« Prends garde au crocs assoiffés du félin, avant que l'animal ne souffle ta vie par simple caprice. »
Noiprox, Deviantart
Identité
Spoiler:
« Réponse inutile à une question absurde. Qui suis-je ? Je suis pour toi celui que tu veux que je sois. » Nyleën Blackwook, conteur de Passage
Race :Vampire
Nom :Cendrefeu
Prénom :Arishat
Surnom(s) :’Shat / Le Corbeau
Titre : /
Date de naissance : 1124 de l’âge d’Argent
Age réel :630 ans
Age vampirique :608ans
Lieu de naissance :Entre deux coquelicots
Lieu de vie :Nomade
Rang social :Petit Peuple
Poste/emploi :Maîtresse du Souffle
Guilde :Souffle
Compétences
Spoiler:
« La compétence assujettit les plus idiots à leur existence terrestre, et libère de leur entraves corporelles les plus sages » Lothaire De Castel, Maître assassin
Alignement :Maléfique
Arme principale :Une arbalète, subtilement prénommée "Adonis". Tout projectile lancé avec cette arme a la faucheuses tendance à s'enflammer. Ne marche que de nuit. Trouvé dans le tiroir d'une victime morte curieusement dans les braises de son feu de cheminée. Arishat y a vu un signe. Y ajouter un fouet, nommé "Kobal". Ce jouet possède de fines épines effilées, tel un rosier, qui entaille et griffe à sang sa proie. Plus cette dernière se débat, plus la morsure est douloureuse. Achetée chèrement (et presque honnêtement) à un armurier de Gloria (mais pas dans un quartier des plus fréquentables).
Autres objets : Armes : quelques poignards, dont un à la ceinture, perpétuellement empoisonné. La dangerosité du poison varie en fonction de la proximité de la pleine lune. [le choix des effets est laissé au bon plaisir de l'adversaire]. Autre : briquet d'amadou, écharpe blanche (son arme préférée pour égorger), carnet, mine d'Argent, boule d'herbe à chat, petit émeraude autour du cou, grelots (elle en dépose un sur chacune de ses victimes), restes de souris,...
Caractéristiques : :
Physique :
Force physique : Moyen
Agilité : Grand Maître
Furtivité : Très bon
Réflexes : Maître
Endurance : Moyen
Résistance : Faible
Beauté : Très bon
Mental :
Force mentale : Moyen
Patience/self contrôle : Faible
Perception : Très Bon
Intelligence : Bon
Arrogance : Grand Maître
Gentillesse : Faible
Prestance/charisme : Très bon
Mémoire : Moyen
Combat :
Épée : Très faible
Dague doubles ou simple : Très Faible
Poignard : Bon
Lance : Faible
Armes contondantes : Faible
Hache : Catastrophique
Faux : Catastrophique
Fouet : Très bon.
Art du lancé : Bon
Art de la parade : Faible
Arc : Faible
Arbalète : Maître
Mains nues/pugilat : Moyen
Équitation : Moyen
Totem : Chat, Niveau 3
Style de magie principal :Vampire
Puissance magique innée :
Niveau magique :Correct
Physique et caractère
Spoiler:
« Quoi de plus absurde que de décrire l’état d’un être aussi changeant que l’homme. Dois-je me décrire avant, pendant ou après la disparition de ma bouteille ? » MacDoonay, ivrogne et pilier de bar de son état.
Physique : Mon physique ? Quelle importance. En voilà une bien drôle de question. Je ne me soucie guère de mon physique. Je n’aime ni me faire remarquer, ni me mettre en évidence. Oubliez le maquillage, les robes, ou toute autre touche de féminité. Je n’en vois pas l’intérêt. Tout au contraire. Mes habits sont sombres, discrets, souples, moulants, fluides. Et très masculins. Le tout me rend curieusement très intrigante, alors que je cherche au contraire à me faire oublier.
Mais cela ne m’empêche pas de prendre soin de moi, de mon hygiène et de mon apparence générale. Je suis la maîtresse du Souffle. Je me dois d’être respectée. Ou je serais écrasée. Mon visage est dur, autant dans les traits que dans l’attitude. Une fine cicatrice barre ma joue gauche, aussi discrète que nette et précise. Mes yeux d’émeraude sont perçants et intimidants, quoique certains y ils lisent un brin de taquinerie et de d’humour. Je ne laisse jamais transparaître mes émotion, je dissimule sous un masque de pierre le moindre signe de faiblesse. Les plus chanceux n'obtiennent de moi qu'un très faible sourire. Moquerie ou amusement, c'est à chacun d’en décider, je n’ai pas pour habitude d’avoir un langage corporel évident.
Depuis ma plus tendre enfance je grimpe dans les arbres, j’escalade des parois vertigineuses, je défie les lois de la gravité. Mon corps est tranchant, vif, souple et finement taillé. Je suis félin. Pour le reste, je n’ai en soi rien de bien original ni de particulier…Pas bien grande, pas bien grasse (c’est peu de le dire), pas bien lourde…Un vilain chat de gouttière mal léché, voilà ce que je suis. Un vilain chat de gouttière à la peau d’ivoire, au visage de marbre et à l’attitude imperturbable.
Ah si ! J’oubliais un détail…Plus d’un me qualifie de belle, voire de très belle… si du moins je ne maltraitais pas ainsi mes cheveux et que je prenais un peu plus soin de moi-même. J’aime en jouer, j’aime charmer sans en avoir trop l’air, mais je ne supporte pas qu’on me le dise. Alors…oubliez ce détail.
Caractère : Mon caractère ? Simple : je suis un chat. Dans toute sa splendeur. J’aime jouer, rire, m’amuser. Mais uniquement quand MOI j’en ai envie. J’aime chasser, tuer, voire ma proie se débattre. Mais uniquement quand MOI j’en ai envie. Je suis orgueil. Je suis égocentrisme. Je suis un chat.
Le monde m’a montré la noirceur de son âme. J’y ai survécu. J’en suis ressortie changée, dure, et parfois violente. Je prends les choses avec une apparente légèreté, avec humour et condescendance. Rien ne semble me blesser. Rien ne semble me vexer. Mais prenez garde, sous ce masque d’indifférence ce cache une enfant avide de vie et de jeu, qui ne laissera personne la mettre à terre. Je suis félin. Je suis lionne.
J’ai des valeurs. Je suis droite et fière. Je garde toujours le menton haut, je soutins le regard de quiconque me défie, fut-ce un esprit en personne. Question de principe. J’attaque avant tout avec mes mots, ma verve et ma dialectique. Je ne crains rien ni personne. Un trop plein d’orgueil et de fierté, sans doute. C’est le monde qui me veut ainsi. La tendresse et la douceur d’âme ne mène qu’à l’abandon et la mort. La pitié et la compassion sont des signes de faiblesses que je combats jour après jour. Personne à par mes parents ne m’ont jamais aimé.
Mais attention, qu’on se le tienne pour dit : j’aime la vie. Cela peut paraitre étonnant, mais ce monde me plaît. J’y ai enfin trouvé ma place, mon équilibre. Tel un chat ne résistant pas aux rayons du soleil, je ne résiste pas à un peu de couleur dans mon quotidien. Jamais je n'en montrerais le moindre signe, jamais je ne me laisserais à un sourire ou un signe de compassion. Je resterais de marbre. Mais je ne suis pas un monstre...Enfin...c'est ce que je dis...
Mes liens
Spoiler:
« Parce qu’il n’y a pas de plus précieuse possession que la naïveté d’autrui à vous faire confiance. » Arwyn Blanchetour, marchande sans scrupule
Kylian Wallam : Mon fils vampirique. Mais j'ignore son identité, ou ce qu'il est devenu. Je l'ai simplement trouvé beau, et l'idée même que cette beauté se fane un jour me déplut. Je n'avais pas de formaldéhyde sur moi. Je lui ai donc offert l'immortalité en le mordant. Simple. Efficace. Amusant.
Lorenz Wintel : Un peu fou, voire complètement. Quelques cases ont du bruler dans son esprit. Mais il m'a amusé. Beaucoup. Nos relations furent aussi vives qu'éphémères, sans le moindre regret. Dû moins me concernant.
Les membres du Souffle : Mes peluches! Enfin, mes jouets plutôt. Quand je pousse dessus ça fait "couic", c'est très drôle. Je fais pleins d'expérience avec eux.
Derrière l'écran
Spoiler:
« Les masques sont nécessaires à la protection de notre intimité, mais trahissent d’emblée nos valeurs le plus profondes. » Dame Valiane, chevaucheuse de nuages et collectionneuse de rosées.
Petite présentation : *louche sous le micro, puis relève la tête et pose un regard inquiet à l’assemblée.* Moi ? Euh…ce que je dois dire ? Euh…Ah si ! Un monde en Paix ! Vala, merci pour votre attention… Alors moi ce sera Arishat, 21ans, majeure et encore toutes mes dents. Je n’ai pas ma langue en poche, j’aime la cb, le fantaisy, les border collie et les crêpes toutes chaudes <3. Je suis étudiante en archéologie, une grande guindailleuse, je me spécialise dans l’époque médiéval et un jour j’espère bien pouvoir restaurer des églises et des châteaux forts *.*. J’ai un chat, pas d’homme, une tenue d’escrime, un doudou, une boîte à maquillage, un déguisement de GN, et je m’occupe d’un vieux papy étalon de 24 ans. J’adore tout ce qui touche à l’art, au Moyen Âge, au dessin ou à l’architecture.* reprend son souffle*
Je crois que se sera suffisant…Ah et…Liégeoise, pas Française (Nos estons fir d'esse wallons <3)
Rythme rp : Relativement correct, du moins je tiens à mon petit rp par jour, histoire de se détendre un peu et d’entretenir la forme.
Particularités rp : Beeeeeeeeuh…Que personne ne me demande quel fût mon premier rp, j'en deviendrais mélancolique. J’ai disons juste quelques années derrière moi ^^. Mon tout premier forum était un certain Toril *gros soupir*. Quant à mes particularités…Mmmh…Une orthographe qui doit encore se travailler et un goût particulier pour l’original et l’inattendu je dirais. Oh et si, s'il y a un truc qui marque les gens, ce sont les moments complètement ivres de mes persos. Assez scandaleux.
Comment avez-vous découvert le forum : Topsite I think so.
Le code du règlement :
Ma vie…Ma vie ne vous regarde pas. C’est mon intimité, mon passé, mes souffrances. Jamais je ne permettrais à quiconque de la juger, ou de s’y introduire. Ceci est une promesse…
Aujourd’hui, je suis la somme de ce que j’ai été, de ce que j’ai traversé, de ce à quoi j’ai survécu. Je suis un vampire. Mon totem est à son apogée. Un être intelligent en déduira que j’ai déjà eu un enfant, que j’ai un passé d’humain, et que je suis sans doute grand-mère aujourd’hui. Fine déduction.
Un autre, en me voyant, dirait que je ne viens pas d’un milieu aisé, que mon enfance ne fut que souffrances et misères. Conclusion absurde et raccourci un peu facile. Ma mère m’aimait, mon père était un brave homme. Mon enfance fut simple, mais heureuse. Ne mettez pas la charrue avant les bœufs.
J’ai plus de six cents ans…raconter ma vie depuis ma naissance n’a aucun sens. Et vous le savez fort bien. D’autant plus qu’il n’y a pas grand-chose à savoir. Je suis un être rebelle, vantard, au regard triste, à l’esprit vif et au cœur téméraire. Pas besoin d’être un fin psychologue pour deviner que j’ai eu mon lot d’emmerdes. Comme tout le monde. Et, comme tout le monde, je n’aime pas en parler. Chacun sa merde, allez vous faire voir.
Je n’ai pas choisi d’avoir un enfant. Si j’avais pu je lui aurais épargné mon monde. Je n’ai pas non plus choisi de me faire croquer par un vampire. Malheureusement, tout le monde n’a pas de don d’immunité. En ce temps-là, ma vie était bien innocente et pure. Mais cette rencontre avec cet être de la nuit m’a réveillé…À moins que tout au contraire il m’ait définitivement déconnecté de la réalité. Je n’ai pas encore décidé.
Les dragons ? Je m’en fiche. Complètement. Tout comme la venue récente de ces étrangers. Le chaos et le désordre éventuel ne m’émeuvent pas. Je ne m’en sens pas concernée. C’en est presque le contraire. Qui dit conflit, dit contrat pour le Souffle. Mon intérêt s’arrête là. Je me contente de regarder ce spectacle de loin, le sourire en coin, pariant ici où là pour l’un ou l’autre camp. Il m’arrive de les comparer à des marionnettes, qui se débattent uniquement pour amuser la galerie. Et bien c’est gagné, ils m’amusent beaucoup. Kssss, kssss, continuez je vous en prie, cela m’agrée. C’en est même parfois franchement drôle.
Je m’égare de la question. Mon histoire ? Qu’importe. Ce qui compte, c’est aujourd’hui, et maintenant. Aujourd’hui, je suis cheffe de ma guilde. Aujourd’hui je suis un maître assassin. Aujourd’hui, le monde doit me craindre. Il est juste d’inverser un peu les règles. Mais entendons-nous bien : je suis brisée, mais non folle. Je m’ennuie vite, mais j’aime le goût de la vie.
Des hommes ? Oui, j’en ai aimé quelques-uns. Comme on aime un bon rôti (sans vouloir faire de l’humour vampiresque…quoique). Des femmes aussi, je ne suis pas capricieuse. Ma vie, je l’ai voulue libre et sans frontière ou tabou. J’écrase sans vergogne tous ceux qui se mettent en travers de mon chemin, j’abats les murs et les obstacles. Mais je n’ai jamais vraiment connu l’amour, je ne pense pas, je n’en vois pas l’intérêt. C’est idiot, abrutissant, entravant et… mortel.
Mais je m’écarte à nouveau du sujet. Mon histoire…Je ne vois pas quoi vous dire de plus…Je suis la fille d’un couple de saltimbanques, qui vécut il y a de cela quelques siècles. Je ne garde que peu de souvenirs d’eux, mais ceux qui me restent sont les plus vifs et les plus puissants dans mon cœur. Nous voyagions de ville en ville, de région en région. Seul le vent nous guidait, seul le ciel déterminait notre route. Nous n’avions ni limite, ni obstacle. Pas même un sentier ne pouvait nous forcer à le suivre. Nous étions indomptables. Nous étions unis. Nous étions heureux.
J’ai voyagé, encore et encore. Je vu plus de contrés en quinze ans que la plupart des mortels en toute une vie. À pied, à cheval, sur barque…Aucun fleuve ni aucune montagne ne nous résistaient. Nous étions toute une troupe, une famille unie non pas par le sang mais par l’histoire, et par le cœur. J’ai goûté aux glaces des pics les plus hauts, au sel des bords de mers, à l’herbe la plus sauvage, au vent les plus violents.
Et puis le monde m’a rattrapé… nous a rattrapés. J’ai été punie pour un crime mineur. J’ai été condamné à un châtiment que certaines femmes estimeraient pire que la mort. Que doit dès lors en penser une enfant de quinze ans ? Que la vie est injuste, et qu’elle ne mérite pas qu’on s’y intéresse. Mais à trop vouloir lâcher prise, le retour de volée n’est que plus rude. Ma seconde naissance quelques années plus tard fut une immense souffrance, un aveu d’impuissance face aux forces du monde. Mon choix était simple. Relever la tête et prendre ma vie en main, où me laisser mourir. J’ai fait mon choix.
Je me suis cherchée. Longtemps. Très longtemps. J’ai perdu ma famille de vue. Et quand je l’ai ai retrouvé il était trop tard, bien trop tard. Plus d’un siècle s’était écoulée. J’ai cherché les réponses à mes questions dans le sang, dans les galeries les plus obscures, en compagnie des êtres les moins fréquentables. J’ai fini par me trouver, par trouver ma place. J’ai mis mes talents au service d’un groupe, j’en ai fait une nouvelle « famille ». Quoiqu’ici, les liens qui nous unissent sont tout autre…
Je suis depuis peu arrivé au sommet de la hiérarchie. Cette position m’amuse et me distrait. J’ai trouvé un nouveau jouet, de nouveaux individus à manipuler et à contrôler. C’est…amusant. Et c’est l’unique raison pour laquelle je reste à ce poste. Le pouvoir et la puissance ne m’intéressent guère. Seuls le jeu et la distraction attirent mon attention.
Je suis la maîtresse du Souffle. Et toi qui me regardes et juge, prends gardes, et n’essaye pas de me comprendre…Tu n’es qu’un faible mortel, ces choses-là te dépassent.