Deux jours, voilà deux jours que Hanz avait troquait sont armure de plates complète contre un tablier cuir de forgeron. Sont Armure était sur un mannequin en bois d'ébène, dans sa chambre. Il avait prit de jours de permission, deux semaines exactement. Le forgeron employer par lui-même et sa mère, avait du rejoindre sa fille dans leur petit ville natale pour le mariage de celle-ci, donc afin d'éviter à sa mère de devoir trouver et payer un remplaçant, Hanz avait pris du repos, ayant était former à la forge par Taërno, leur forgeron. Hanz savait forger, se forgeant lui-même son équipement. Il était assez doué dans se domaine et lorsqu'il le pouvait il venait troqué son rôle de Lame Noire pour prendre celui de forgeron et vendeur. C'était un moyen pour lui de réfléchir, se reposer tout en maintenant sa forme physique.
Le feu chauffer bien, la journée n'était pas froide du tout et du coup il n'avait pour vêtement que ses bottes en cuir et un pantalon de cuir. Il avait n'avait pas de commande particulière à réaliser, du coup il s'évertuait à refaire les stocks, notamment ceux des armes les plus spécifiques et les mieux travailler. Il venait tout juste de terminer un fléau, dont la particularité de la tête était d'être un enchevêtrement de lames pareil à ceux d'une masse d'arme. Le manche quand à lui était fait d'acier, du cuir durci pour le manche qu'il avait fait tenir sur le celui-ci par la fonte du métal, pour éviter à la futur main qui s'en servirai de le lâcher en glissant, il avait confectionner un amoncellement de cuir souple, renforcé au interstice de manière à accueillir les doigts du futur propriétaire éventuel. Le lien en chaîne entre le manche et la tête était constituer d'épais maillons, dont l'intérieur était polie afin de facilité le mouvement entre chacun des maillons.
Alors qu'il décidait d'entamer un travail moins sophistiquer, le tintement de la clochette de l'entrée du comptoir de vente se faisait entendre. Le comptoir de vente était directement face à l'entré, mais pour le lieu de création, c'était par rapport à l'entrée directement sur la gauche, avec une toiture, des murs qui monter à mi-hauteur et était relier au toit par des poutres. Une énorme cheminé au centre du mur le plus éloigner sous laquelle se trouver la fonderie pour le minerai, contre le mur visible depuis l'entrée, le foyer où chauffer les braises qui s'animer dès que Hanz actionner son souffler, l'enclume était sur la droite du soufflet avec juste devant elle, le bassin rectangulaire en pierre pour refroidir le métal rougeoyant dans l'eau une fois travailler. Donc avant même d'entreprendre le forgeage d'une série d'épée bâtarde, Hanz entendant la clochette arrêtait alors son action afin de se dirigeai vers le comptoir. Le large espace permettant d’accéder de la forge à la pièce de vente était assez bien penser car Hanz devait seulement se pencher pour passer et non pas se plier en deux.
Il voyait là une personne caché sous une cape, capuchon bien mit sur la tête. Cette personne semblait émerveillé par toutes les armes, et encore elle n'avait pas vue celle derrière les vitrines de l'étagère juste derrière le comptoir, celle-là était des pièces extrêmement travailler, en or, en platine, en mitral, il y en avait même qui utiliser des ossements de créatures plutôt dangereuse mais dont l'ossature était aussi résistante que l'acier. Il y avait même des arcs fait de bois rares, dont deux utiliser du bois venu tout droit des forêt elfiques, pafait pour les archers. Des merveilles, fort coûteuse. Hanz avait fait signe à sa mère, un signe pour la rassurer, sa mère n'aimant guère les gens venant dans leurs magasins en étant caché de la sorte et donc elle préférait que son fils, dont la carrure et la taille était imposante et intimidante, s'en occupe. Prenant place derrière le comptoir, il attrapait un chiffon que lui tendait sa mère pour s'essuyait les mains, car un bon commerçant se devait d'avoir les mains propre selon Juliani, sa mère.
Par précaution, Hanz laisser sa masse d'arme "Broyeuse" sous le comptoir, une très bonne façon de punir les voleurs quels qu'ils étaient. La personne finissait alors par se mettre face à lui, qui relever sa capuche et découvrant son visage. Une Elfe, il était rare de voir des représentants elfes dans le Magasin. Beaucoup ne portait pas grande estime à forgeage humain. Lorsqu'il s'occuper des commerces qu'il possédait avec sa Mère, Hanz était un homme avenant et souriant. Il souriait donc à la femme face à lui, d'un sourire s'excusant de son torse et ses bras en sueur, quelque peu noirci par son passage au poste de fonderie et qui trancher avec l'énorme balafre trônant sur tout sa face gauche, depuis le front, passant par l’œil, la pommette, sa joue et finissant à la machoîre.
" Bonjour! Bienvenue à La Forge du Nord! " lançait-il joyeusement.
Ses long cheveux gris aux mèches blanches était attaché en un queue de cheval haute. Son regard marron se posait sur le visage de l'elfe qui saluait à son tour et annonçait la raison de sa présence. Sortant alors une épée double. D'un bref coup d’œil Hanz constatait que le tranchant de la lame était bel et bien émoussé. La jeune femme lui demandait alors rapidement si il était possible de rendre de sa superbe à la lame et d'obtenir un poignard. Concentré Hanz prenait alors délicatement l'épée dans sa main droite, faisant glisser son pouce gauche d'un côté puis de l'autre pour sentir à quel point la lame était émoussé et la leva à ses yeux pour analyser l'état du métal grâce au contre-jour. D'un sourire bienveillant il posait alors la lame sur le comptoir après y avoir pris le temps de posé un tissue en soie pour ne pas salir la lame plutôt bien entretenue.
" Très bel ouvrage votre lame! Oui c'est possible, je peux même vous la renforcer quelque peu afin de lui allongé sa durée de vie, et si vous le souhaitez je peux même la travailler sur sa base pour que les tranchants se mue en dents, lors de la pénétration du tranchant de la lames, avoir des dentelures permet des dégâts plus mortel pour les organes de vos adversaires, mais également de mieux désarmer l'ennemi car ainsi l'on peu usée de des dentelures pour dévier la lames adverses en la coinçant entre deux dents si celui-ci ripe trop vers votre garde. Enfin si l'idée vous est agréable... Mais pour simplifier, je peux effectivement lui rendre sont mordant, par contre si vous tenez à votre épée, je pourrais lui rendre sa jeunesse, il faudrait juste me dire quel minerai à servit à sa conception. "
Puis il observait alors les armes présentes, pointant du doigt les dagues, certaines était plus pour la parade, d'autre exotique et complexe à utiliser, d'autres faites pour le lancer, d'autre à lames longue était plus comparable aux coutelas de pirates, il y en avait pour tout les goûts.
" Voilà, les dagues sont là, si vous avez une idée bien précise, je peux éventuellement vous en faire une unique, sur commande mais cela serait du coup plus long et plus coûteux. " finissait-il souriant sur un ton calme et bienveillant.
Il posait alors ses grandes mains de part et d'autre de Elyhina, attendant les réponses de l'elfe. Jetant un œil au foyer de braise pour s'assurer que celui-ci reste actif comme il se devait.