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La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).



 
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Nausicäa BLACKBURN

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AuteurMessage
Merithyn Shadowsong
Merithyn Shadowsong
Mon identité
Mes compétences
Compétences
Magie: Maître mage
Expérience:
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Xp disponibles: 3

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Nausicäa BLACKBURN Empty
MessageSujet: Nausicäa BLACKBURN Nausicäa BLACKBURN Icon_minitimeMar 3 Déc 2013 - 22:15





Ce n'est pas la chair qui est réel, c'est l'âme. La chair est cendre, l'âme est flamme.



©
Identité

Spoiler:

  • Race : Humain

  • Nom : Evenaly Blackburn (Ainsi écrit E. Blackburn, E.B, E. Black, etc.)

  • Prénom : Nausicäa

  • Surnom(s) : La Peintre, l'Artiste, La Tatouée, la Muse noire.

  • Titre : à acheter si vous le souhaitez

  • Date de naissance : 1730, âge d'Argent

  • Age réel : 23 ans

  • Age vampirique : ///

  • Lieu de naissance : Althaïa la Romantique, dans la Basse, au Quartier des Artisants

  • Lieu de vie : Gloria, même si elle retourne quelques fois chez elle.

  • Rang social : Petit peuple?

  • Poste/emploi : Elle est peintre, artiste d'une vie depuis fort longtemps et conseillère depuis peu.

  • Guilde : Aucune


Compétences

Spoiler:

  • Alignement : Neutre

  • Arme principale : À jamais nous sommes en perpétuel danger. C'est donc pour cela que notre humaine possède une dague fine et très aiguisée. Toutefois, celle-ci semble imbibée constamment d'un poison indolore, incolore. Celui-ci est en fait un enchantement magique qui agit comme un poison au contact du sang. Celui-ci, une fois en contact avec une plaie ouverte, provoque des sensations d'étourdissement, de lourdeur et d'euphorie passagères. Cela dur aux alentours de quelques heures mais les effets se dissipent. Il n'y a nul poison mortel.  

  • Autres objets : Lorsque la vie ne tient principalement qu'à une chose, votre survie d'un objet. Quel en est-il? Cette dame aux longs cheveux d'abysse possède un pinceau magique qui transforme les plus belles peintures, dessins et toiles en réalité. Toutefois, il y a une nuance. Jamais l'une de ces matérialisations ne sera vraiment réelle. Aux yeux des spectateurs, elle le sera. Mais elle ne sera point matérielle au touché. Toute personne qui osera s'avancer pourra la traverser. Cela n'était qu'un doux mirage, époustouflant et démontrant le travail acharné de toute une vie, ainsi que la magie d'un petit pinceau.

  • Caractéristiques : : ici informations pour remplir cette partie


      Physique :
    • Force physique : Faible
    • Agilité : Moyen
    • Furtivité : Bon
    • Réflexes : Moyen
    • Endurance : Faible
    • Résistance : moyen
    • Beauté : Bon

      Mental :
    • Force mentale : Bon
    • Patience/self contrôle : Faible
    • Perception : Faible
    • Intelligence : Bon
    • Arrogance : Moyen
    • Gentillesse : Moyen
    • Prestance/charisme : Bon
    • Mémoire : Moyen

      Combat :
    • Epée : Catastrophique
    • Dague doubles ou simple : Moyen
    • Poignard : Moyen
    • Lance : Catastrophique
    • Armes contondantes (bâtons, masses, ...) : Catastrophique
    • Hache : Catastrophique
    • Faux : Catastrophique
    • Fouet : Moyen
    • Art du lancé (poignard, petite hache...) : Catastrophique
    • Art de la parade (bouclier ou arme) : Catastrophique
    • Arc : Catastrophique
    • Arbalète  : Catastrophique
    • Mains nues/pugilat : Bon
    • Equitation : Moyen

















  • Totem : totem et niveau, cette partie sera remplie par le staff

  • Style de magie principal : Humaine

  • Puissance magique innée : Correct

  • Niveau magique :A ne pas confondre avec la puissance magique innée, il s'agit ici du niveau de magie que possédera votre personnage au moment où vous allez commencer à jouer. Ce niveau est bien sur étroitement lié à la puissance magique innée (si vous avez un faible niveau de naissance vous ne serez forcément jamais un très bon mage). Ne remplissez pas cette partie, cette décision revient au staff mais notez bien que vous pourrez faire évoluer ce niveau au fil du jeu.





Physique et caractère

Spoiler:

  • Physique : Une apparence sulfureuse aux desseins quasi parfait pour une simple humaine. De longs cheveux d'un noir abyssal qui rappel la nuit la plus sombre. Cette grande crinière ténébreuse lui descend vers le bas du dos, caressant ses hanches définies de femme, aux courbes invitantes et délicieuses. Sa peau est d'une blancheur d'albâtre. Cette peau est d'une douceur délicate. Les plus belles caresses la disaient soyeuse, invitante à plus encore. Son regard est son arme. De magnifiques yeux d'un vert forêt, profonds et hypnotisant. Nausicäa porte une particularité sur l'ensemble de son corps: des tatouages. Ceux-ci ont été façonnés par un autre artiste par une aiguille et de l'encre. Avec ses propres dessins, il a accepté de les créer. Ils parsèment presque en totalité son corps. Elle en a plusieurs dans le dos, sur le ventre, sur les jambes, les bras et même un dans le visage. En somme, plus de 80% de son corps est tatoué. Cela ne fut point sans douleur mais c'est ainsi. La belle ne mesure pas plus de 1m60, ce qui est plutôt petit pour une femme mais son charme n'en est point affecté. Il en est même augmenté. Elle n'a point le charme et la beauté naturelles des vampires t des elfes. Toutefois, elle sera belle aux yeux de ceux qui veulent la voir ainsi. Toutefois, chaque personne a des défauts, n'est-ce pas? La demoiselle porte des cicatrices de brûlures à quelques endroits relatifs dans son dos car sa mère lorsqu'elle la corrigeait, était d'une violence implacable. Elle porte aussi une marque de cisaillement à son poignet gauche. Ainsi qu'à son poignet droit. Nul doute sur ce qui s'est passé.


  • Caractère : Elle aime aider les autres et offrir naturellement son aide. Nausicäa n'est pas une brute à double visage. C'est une femme forte, indépendante et surtout, véritable. C'est le genre de femme à être aussi cruelle que gentille. Cela dépend évidemment des gens qui l'entourent. Ceux qui osent s'avancer vers elle avec l'air hautain et un caractère d'arrogance, ils verront une femme cruelle et méchante. Elle perd souvent son sang-froid, ce qui la mène à dire des bêtises, des insultes et surtout à devenir violence. Ces gestes peuvent mener à ce qu'elle les regrette. Il y a aussi les gens qui font du mal sans motif, de l'injustice. Voilà ce qui la met autant en colère et la rend aussi agressive. D'une autre part, c'est une femme gentille qui aime aider les gens, qui adore discuter lorsque la discussion s'engage. Toutefois, il s'agit d'une femme plutôt solitaire. Ce n'est donc pas elle qui va vers les gens afin de parler. Si elle parle première, c'est que quelque chose ne va pas, qu'elle a distingué quelque chose. Aussi imprévisible que la plus terrible des tempêtes. D'un instant à l'autre, elle devient aussi délicate et tout à coup, terrible. Personne n'est arrivé à la cerner totalement. C'est une femme avec de fortes convictions. Les gens qui arrivent à entrer totalement dans son cercle intime se verront récompensés par sa forte loyauté. Nausicäa n'apprécie pas beaucoup la compagnie, trouvant que peu mérite vraiment toute son attention. Il faut savoir qu'elle joue très bien la comédie et très peu de gens arrivent à discerner les mensonges dans sa voix, dans son coeur et dans son âme. C'est une femme aux multiples facettes mais à la vérité sans égale. Une chose qui la démarque bien, c'est son dévouement. Lorsqu'elle commence quelque chose, elle le termine et même si cela doit passer par des actes qui ne sont pas beaux à voir.



Mes liens

Spoiler:
Esmelda Kohan: Princesse Impériale. Nau' est sa conseillère depuis peu. Puisqu'il y a tout de même plusieurs conseillers. Le lien entre ces deux femmes est bon et se développera eu fil du temps. Elle n'a pas eu le temps exact de fonder un plus profonde relation avec elle. Le temps manque! La princesse est souvent ailleurs. L'artiste dans son jeune cœur l'appelle elle aussi. Où donc danser avec les pieds attachés?



Derrière l'écran

Spoiler:

  • Petite présentation :  
    On me surnomme Marie. Je n'aime pas divulguer mon prénom entier.
    J'ai 19 ans, j'aurai 20 ans en Mars 2014
    Je suis passionnée de médecine et de biologie humaine. Je me passionne également pour le graphisme (et je rage d'avoir perdue photoshop).
    Je suis Québécoise (eh oui ^^)

  • Rythme rp :  Oui je l'ai bien comprise.
    Je fais 2 À 5 poste semaine, tout dépendant si j'ai des examens. Si je suis malade, cela tombe normalement à 1-2 postes par semaine. En examen, ca peut varier de 1 à 4. C'est en moyenne 3. Je peux poster plusieurs fois en une journée ou une fois au 2 jours environs. Ca dépend toujours des facteurs

  • Particularités rp :  Quelques fois on me reproche de mélanger un style de temps de verbe à un autre mais les cas sont plutôt diversifiés et rares. Si jamais cela arrive, n'hésitez pas à m'en faire part. La longueur de rp dépend de ma situation de vie, de l'inspiration et du partenaire.  

  • Comment avez vous découvert le forum :  Top site

  • Le code du règlement :









L'histoire de la femme qui savait ses charmes et son poison. Mais qui point ne savait aimer. Malédiction. Mais pour qui?

Les mains de la demoiselle flottaient librement contre les bras musclés de l'homme, mais lentement, ses doigts qui ne cessaient de le caresser remontaient délicatement vers son visage alors que son pouce décrivait les courbes parfaites de son menton musclé, ses lèvres charnues et chaudes. Un sourire s'arpentait sur son visage de poupée alors qu'elle ne cessait de l'amadouer. L'homme tombait sous ses charmes, sans considération. Ce n'était qu'une simple humaine parmi tant d'autres, mais sa clef principale était la beauté. La deuxième, la manipulation. Cette femme savait comment mettre les hommes à l'aise et à ses pieds. Il n'en fallait point une masse pour acquérir toute l'armée d'hommes qu'elle pouvait s'amasser derrière elle. Cendre n'était qu'une femme. Une demoiselle qui usait de ses charmes afin d'arriver à ses fins. C'était ce qu'elle savait faire de mieux. Elle pressa délicatement son ongle contre la lèvre inférieure de l'homme, affichant un sourire ravageur qui fit tourner le cœur deux fois dans la poitrine de l'homme. « - Tu sais faire la cours. Merveilleux es-tu. Mais laisses-moi douter que tu saches t'occuper d'une femme telle que moi. » L'expression de l'homme avait soudainement changé. Il paraissait un peu anxieux, nerveux de la réponse de cette magnifique créature. Attrapant vivement sa main, il caressa la paume d'une des siennes tellement plus... Grande. « Ma belle, ne soyez point inquiète. Je saurais vous convaincre. » Il apporta lentement sa main et embrassa sa peau diaphane avant de la relâcher. Les yeux forêt de cette belle demoiselle ne quittaient plus celui de l'homme, comme si elle arpentait les derniers recoins de ses barrières, s'efforçant silencieusement de les briser. Tout ce qui pouvait en rester de lui et en faire son esclave, quelqu'un qui la chercherait jour et nuit. Une pauvre âme à détruire. Elle eut un petit rire cristallin qui serpenta tout les alentours, raisonnant sur les murs qui les entourait. L'homme posa sa main contre sa nuque et dans un élan des plus passionné, il s'empara de ces fameuses lèvres pulpeuses, si rosées et invitantes. Le contact fut électrisant, provoquant chez lui de grands et violents frissons, mais si agréable à ressentir. Dès ce jour, il savait qu'il ne pourrait plus se passer de son contact. Il allait devenir dépendant de sa présence. Cette femme le rendait complètement fou. Cendre se fichait complètement de lui. Si cela ne tenait qu'à elle, elle le tuerait ici et maintenant. Même si son acte passait sous plusieurs regards indiscrets, elle s'en fichait. Toutefois, il allait lui servir. C'était donc dans un déni le plus total qu'elle l'embrassait, jouant le feu de la passion et ses lèvres qui arpentaient les siennes. En réalité, elle ne l'aimait pas. Pas du tout. Ce n'était qu'une marionnette pour un jeu bien plus sombre encore qu'il ne l'était.

Caleb ne savait plus où danser depuis le jour où ses yeux s'étaient posés sur le corps de cette délicieuse jeune femme. Oh, combien cher donnerait-il afin de pouvoir mettre la main sur elle. Il donnerait cher. Très cher même. Au plus profond de lui-même, il savait qu'il pourrait tuer si un homme se rapprochait trop d'elle. Par jalousie. Par envie. Qui sait réellement ? Le jeune homme s'était entaché d'elle au fil du temps, ne se doutant point qu'au fond d'elle, elle ne l'aimait pas du tout. Il prenait pour acquis que leur passion charnelle était véritable, que leur amour était si enivrant qu'il ne pouvait être autrement que la passion, la tendresse. C'était un homme aux fortes convictions. Il était loyal et fidèle, tout le contraire de la dame dont il était tombé amoureux. S'il savait ce qui se passait durant son absence, ce ne serait pas les hommes qui approchaient cette femme qu'il tuerait, mais ce serait elle. Infidèle, cruelle et sadique, elle ne savait pas quand s'arrêter et elle éprouvait un très malsain plaisir à faire du mal. Les bras entourés contre la fine taille de la belle, il plongea son regard bleuté dans le vert profond de cette créature divine. « - Dîtes-moi, ma belle, quel serait donc votre rêve d'avenir? À quoi pensez-vous lorsque nous parlons des dix prochaines années ? » Rejetant d'un geste doux et gracieux sa longue chevelure brune derrière ses frêles épaules, la demoiselle éclata d'un doux sourire et plongea son regard délicieux dans celui amoureux de l'homme. « Bel homme que tu es, charmant que tu fais. L'avenir est une chose dont nous ignorons tout. Il est fait de poussière d'étoiles. Jamais nous ne pouvons savoir ce qui nous réserve mais... Si tu veux vraiment savoir à quoi je rêve... ce serait certainement d'une vie où la plénitude règnera tout autour de moi, avec un homme qui prend soin de moi, avec des enfants à la maison. » Un sourire se tenait toujours sur les lèvres de l'homme alors qu'il la pressa davantage contre lui. Il était fort heureux de l'entendre dire de telles paroles. Peut-être sera-t-il l'homme qui pourra la combler ? Intérieurement, Cendre riait et riait. Et encore elle riait d'un rire cynique. Caleb était si naïf. Si amoureux qu'il ne s'apercevait de rien. Elle ne voulait pas de lui. Elle ne l'aimait pas. Cendre ne voulait que sa mort au fond d'elle-même. Elle le manipulait totalement. Elle n'éprouvait aucun sentiment à son égard. La seule chose qu'elle savait faire, c'était de tuer, de manipuler et d'éprouver des pulsions de plaisir. Hormis tout cela, ce n'était qu'une enveloppe charnelle sans aucun sentiment positif. Dans un baiser tendre, elle murmura contre ses lèvres charnues « - Seras-tu mon bel homme de l'avenir? »

Nausicäa BLACKBURN T3zj

Cendre tenait Caleb entre ses filets depuis maintenant 2 bonnes années. Ils se fréquentaient souvent. Cela était surtout une relation basée sur une attirance physique. Peu à peu que le temps passait, l'homme tombait amoureux de cette magnifique femme au corps de rêve. Une vraie déesse pour lui. Même si les vampires et les elfes étaient magnifiques, ils ne dépassaient guère la beauté de cette femme à ses yeux à lui. Cendre menait ses projets à bien. Et le coup de grâce à tout cela, fut un jour lorsque le guerrier rentra chez lui et posa genou au sol, levant le délicat poignet de cette sublime créature. Plongeant son regard céruléen dans celui verdoyant de la belle, il posa la délicate question de toute une vie: « Cendre Evenaly, souhaitez-vous devenir ma femme? Je promets de vous protéger de ma vie, de vous aimer, de vous être fidèle jusqu'à ma mort. Je vous aime, vous ne savez point comment. Je souhaite tant de faire de vous ma femme. Je souhaite être présent à chaque instant de votre vie. Votre présence embellie ma journée. Votre contact me drogue. Je ne peux plus passer tout ce temps sans vous. S'il vous plaît, devenez ma femme. Cette sublime femme dont je pourrais m'occuper jour et nuit. Laissez-moi être votre bel homme de l'avenir. Oui, je me souviens de cette soirée où vos lèvres si sucrées ont prononcées ces paroles si chaudes à mes oreilles. » Un délicat rire cristallin sortit soudainement des lèvres rosées de la belle et lentement, elle se pencha pour embrasser le front de l'homme. Sa voix, mielleuse, s'éleva dans les airs et murmura à son oreille telle une caresse de velours: « - Mon bel homme du futur, j'accepte de devenir ta femme.» Son sourire s'élargit pour aller jusqu'à ses oreilles et il souleva la délicate fleur dans ses bras, la faisant tournoyer sur place avant qu'une bague d'un or pur ne glisse dans son doigt. L'embrassant avec amour, il la serra contre lui. Lorsqu'il mit fin au baiser, il la pressa toujours contre lui. La belle se regarda alors dans la glace en face d'elle. Il ne voyait pas puisqu'il était de dos. Son sourire se fit carnassier, mauvais. Oh. Elle avait réussi. Son dessein était réalisé. Maintenant, il suffisait de mettre à bien ce qu'elle avait commencé.

Caleb était un homme totalement comblé. grimpait La femme qu'il aimait tant venait d'accepter de l'épouser. Elle allait unir sa vie à la sienne. N'était-ce pas merveilleux ? Bien sûr que si. Toutefois, les choses n'étaient pas aussi réjouissantes pour une femme telle que Cendre. La belle aux longs cheveux de jais le voulait simplement pour assurer ses sombres desseins. Elle le manipulait de fond en comble. La sublime femme savait très bien les talents guerriers de son homme, sachant qu'il allait tout faire pour la protéger et la rendre heureuse. Voulant se débarrasser de gens qui lui barraient la route, elle venait le voir, passant ses bras autour de sa taille. Lentement, l'une de ses mains grimpait dans ses cheveux cours, ses ongles qui venaient chatouiller délicatement la base de sa nuque alors que ses lèvres frôlaient les siennes comme si elle voulait éveiller tout son désir pour elle, attirant toute son attention sur sa personne. D'un murmure soyeux, elle dit « - un homme me harcèle. J'ai peur qu'il me fasse du mal. Je veux que tu t'en débarrasses pour moi...» Caleb passa ses doigts dans ses longs cheveux sombres et se pencha pour déposer un baiser contre son front. « - Je vais m'en occuper. » Dans les quelques jours qui suivirent cette conversation, Cendre avait eu ce qu'elle avait demandé : Caleb avait éliminé les gens qu'elle souhaitait voir mourir. Sa loyauté était sans faille. Les nuits où il n'était pas là, elle vagabondait de chambre en chambre, trouvant refuge dans les bras d'amants. Les rumeurs ne couraient point. Cendre n'était jamais vue et elle s'organisait toujours en sorte que ses amants ne racontent jamais ce qui s'était passé. C'était en quelque sorte du chantage, mais c'était sûrement la seule façon qu'elle pouvait être certaine qu'ils gardaient le silence.

Quelque temps après cela, tous les deux furent mariés. Et la surprise suivit. Cendre attendait un enfant.

Nausicäa BLACKBURN 22e9

1730. Âge d'Argent.

Cendre mit au monde un enfant. Son sexe fut vite établi et on lui dit que c'était une fille. Ravie, elle décida de la prénommer Nausicäa. Ainsi donc naquit Nausicäa Evenaly Blackburn, dans une femme où l'homme aimait à mourir une femme qui ne savait point aimer. Elle ne voulait pas de cet enfant non plus. Son cœur ne battait point pour ce poupon qui venait de son propre corps. Non. Aucun amour. Cendre allait élever cette petite comme une arme, une nouvelle femme qu'elle allait pouvoir contrôler au fil des années. C'était la descendance directe d'une Evenaly. De nouveau, la descendance faisait son œuvre. Elle allait pouvoir poursuivre les desseins de sa mère lorsque celle-ci ne pourrait plus le faire. La vie n'était pas faite pour les gens entièrement honnêtes en ce monde. Cendre allait le lui apprendre. Cette enfant allait voir le vrai visage d'une femme qui ne savait point aimée. Elle n'aura aucun scrupule à lui enlever la vie si elle osait parler une seule seconde à son père de ce qu'elle était vraiment. Le silence devait être gardé.

1740. Âge d'Argent.

Âgée de 10 ans, Nausicäa suivait toujours sa mère là où elle allait. Elle avait déjà quelques tatouages sur son corps. Ils signifiaient tous quelque chose. Sa mère essayait-elle se la marquer de quelque chose en particulier ? Cendre savait ce qu'elle faisait. La jeune fille était encore trop jeune et peu intelligente pour percevoir quoi que ce soit. La manipulation était l'art premier de sa mère. Elle ne pouvait contrer un tel art qui se faisait depuis si longtemps qu'elle ne pouvait en distinguer la différence ! Nausicäa vit le vrai visage de sa mère ce jour-là alors qu'elle entraînait un autre homme dans ses filets directement sous ses yeux. Son charme qui faisait effet. Ses lèvres qui caressaient les siennes. L'acte qui suivit dans cette chambre où ils étaient... Lui procura un frisson de dégoût et de haine qui allait lui rester dans la tête pour le restant de sa vie. Cendre avait commis une faute très grave. Elle avait, premièrement, trompé Caleb et deuxièmement, cela s'était passé directement sous ses yeux. Lorsque la petite séance fut terminée, Cendre s'était approchée de sa fille. La petite menaça alors sa mère de tout raconter à son père et la gifle partie. Forte. Si violente. Le corps de la jeune fille fut projeté au sol. La joue d'un rouge écarlate. Chauffante. Qui était Cendre?


Nausicäa BLACKBURN 2zlc

Un jour, lorsque la jeune fille revenait de l'atelier avec le tatoueur qui lui montrait l'art de tatouer les gens, la jeune fille entendit une dispute éclater entre ses parents. Caleb était tout simplement furieux. Furibond, on entendit son poing frapper sur le comptoir. Cendre lui hurlait dessus. Même malgré ses hurlements, cette femme avait toujours la voix aussi soyeuse. Ses yeux verts dardaient l'homme qui se trouvait devant elle. Visiblement, la rupture pouvait se sentir à plein nez à des kilomètres à la ronde. Nausicäa regardait la scène par un petit trou dans l'embrasure de la porte. La jeune fille était terrifiée à l'idée que son père lève la main sur sa main même si, dans un sens, elle était contente qu'elle souffre pour la douleur et la misère qu'elle faisait endurer à son père. Elle entendit soudain la raison de la dispute : l'infidélité. Les petits jeux de Cendre venaient d'être découverts. Cette sublime femme ne pouvait plus nier les faits. Son mari avait tout deviné. Malgré les soirs où il partait, il revenait durant la nuit pour retrouver sa femme et la serrer dans ses bras. Toutefois, chaque nuit était froide. Sa présence n'était pas là. Il retrouvait le lit parfait fait sans aucune trace d'elle. Ni son odeur qui était si prenante la veille où elle était là. Alors, Caleb avait voulu en avoir le cœur net même si cela lui brisait certainement le cœur. Le guerrier avait suivi la jolie dame dans la noirceur de la nuit jusqu'à une petite maison où elle entra. L'homme aux yeux céruléens s'était alors avancé afin de regarder par la fenêtre et vit avec horreur que sa femme se donnait à des jeux de séduction avec un autre homme. Elle l'embrassait, plaquée contre le mur de la chambre alors que l'inconnu osait déchirer la plupart de ses vêtements. La passion consumée était si intense que Caleb avait dû détourné les yeux et retourner chez lui. Il avait eu le cœur brisé. La tête lourde et maintenant il était rempli de haine face à cette femme qui avait bien réussi à le manipuler. Retirant l'anneau d'or à son doigt, il la jeta par terre et cracha dessus. Ses yeux s'élevaient afin de croiser le regard de celle qu'il avait aimé. Du bout du doigt, il lui montra la sortie. Cendre ne se fit pas prier et elle partit de la maison. Nausicäa se cacha tout de suite afin de ne pas être vue. Elle ne désirait pas que sa mère lui fasse du mal. Ô combien savait-elle que cette femme pouvait faire du mal. Que cela soit physiquement ou mentalement. Tournant son regard vers la maison pour la dernière fois, cette belle femme partie. Et elle disparut. La jeune fille rentra chez elle quelques minutes plus tard et elle alla se réfugier dans les bras de son père. Ils allaient devoir mener leur vie à deux maintenant. Toutefois, la douleur était présente. La trahison de sa mère n'allait pas être sans conséquence.

Nausicäa BLACKBURN 2np9


Depuis le début de son adolescence, Nausicäa était l'élève d'un peintre qui lui montrait comment utiliser un pinceau magique, comment peaufiner les plus grands détails sur une toile.. Nausicäa était très douée en dessins. Elle savait très bien dessiner et aussi reproduire parfaitement le dessin d'un croquis sur une toile. Son maître était mort lorsqu'elle atteignit l'âge de 16 ans. Avant qu'il n'ait rendu son dernier souffle, le vieil homme lui tendit un objet qu'elle ne cessait de regarder depuis qu'elle l'avait vu: ce pinceau magique. Cet objet magnifique qui pouvait reproduire ce qu'on dessinait. Elle l'avait accueilli avec les larmes aux yeux, et les larmes qui ne cessèrent de couler lorsque l'homme rendit son dernier souffle. Il était mort en léguant son art à une nouvelle génération. Depuis longtemps, elle s'exerce dans son métier. Un jour au loin, les conseillers royaux s'adonnaient à une conversation avec un homme qu'elle ne connaissait pas. Avait-il fait quelque chose de mal ? Était-il un bourgeois attendu pour la famille royale ? Nul ne le savait. Au tout début, la jeune femme ignorait qu'il s'agissait de conseillers. Ce fut simplement les villageois qui murmuraient autour d'elle qui lui mirent la puce à l'oreille. Elle les étudia donc davantage, sans toutefois les dévisager du regard. Elle regardait les conseillers d'un autre coin. Elle aimait bien l'idée, la présence de ces personnes auprès de la royauté. Comme si elle pouvait faire une différence parmi eux. Lorsque le peintre décéda, une lettre lui fut remise. Ou plutôt la trouva-t-elle sur son cadavre lorsqu'il venait de mourir directement sous ses yeux.

L'homme qui lui avait légué ce pinceau avait laissé une lettre. Dans sa main froide, la jeune fille avait pris le message et lis ce qui était marqué : '' si tu lis ces lignes, c'est que je suis mort. Je te lègue quelque chose de très précieux à mes yeux. Un objet d'une immense valeur qui a suivi les traces de mon histoire et toutes mes œuvres ne seraient rien sans cet objet. Bien entendu, mes œuvres sont belles aux yeux des gens qui savent observer les œuvres d'un œil critique et attentif. Toutefois, la magie est un art, J'ai découvert un pinceau enchanté. J'ignore comment cela se fait qu'il soit magique. Sa source m'est totalement inconnue. Je l'ai découvert alors que je marchais tranquillement pour retourner chez moi. Il était là, par terre, remplit de boue. Je l'ai nettoyé. J'ai trouvé la texture des poils très intéressante. J'ai donc commencé à peindre. Son talent était tout simplement éblouissant et alors que je m'y attendais le moins, la peinture a pris soudainement vie sous mes yeux ! Oh si tu savais, ma jeune enfant, la crise cardiaque que j'ai bien failli avoir!

Mes jours sont maintenant comptés. La maladie ne cesse de me rendre de jour en jour malade. Je n’arrive plus à suivre le rythme de mes journées. Et je souhaitais offrir cet objet à quelqu’un qui le mérite. À une personne dont j’étais sûr et certain qui saurait comment à prendre soin, comment le mettre en valeur et surtout ne jamais le léguer à quelqu’un qui n’en vaut point la peine. Je t’ai choisi parmi toutes les personnes que j’aurai pu choisir en ce monde, Nausicäa. Les temps deviendront sombres. Si je peux t’offrir une place un tant soit-il plus meilleur, je devais le faire. Ce pinceau te rendra peut-être un jour célèbre. Soit fière. Il ne peut t’apporter que bonheur. Si un jour il t’apporte des ennuis, n’hésite pas à le détruire. Le feu le consumera et jamais plus il ne pourra illustrer en mirage les plus belles œuvres que tu pourras créer. Il fera de tes œuvres une réalité mais elles ne seront point tangibles. Si tu peintures un dragon, celui-ci prendra vie à tes côtés mais seulement tel un fantôme, un esprit. Nous ne pouvons voir au travers comme tel mais il n’est pas matériel. Quiconque pourra passer ses mains au travers. Ce n’est qu’illusions. Une beauté pour les yeux.

Ce pinceau n’est pas une arme. Loin de là. Ce n’est qu’un artifice afin de vanter les mérites d’un métier moins attirant que plusieurs autres. N’aie pas peur de foncer et de montrer qui tu es. Je sais que tu es une femme solitaire. Un jour tu trouveras la force en quelqu’un de t’en sortir véritablement. Ce pinceau magique est l’unique chose, avec mon talent, que je pouvais te léguer. Adieu, Nausicäa. ‘’ Signé M.


Plus tard... (...)

Son métier de peintre était toute sa vie. Ce n'était que pour un peu mieux gagner sa vie et essayer de changer un peu les choses qu'elle s'était embarquées dans quelque chose d'autre. Le temps filait. Âgée de 16 ans, elle était laissée à elle-même. Elle pratiquait son métier de peintre. Au fur et à mesure que les années passèrent, elle gravit les échelons parmi les siens. Son bon vouloir était rapidement perçu. Malgré sa langue de vipère dans certaines situations, ses convictions et son intelligence lui permettaient de gravir plusieurs échelons et de se faire remarquer par des gens plutôt influents dans le monde de la famille royale, aux alentours.

Ce qui fut un atout général dans sa montée, c'était son pinceau magique qui suscitait un intérêt parmi les gens qu'elle rencontrait. Elle en parlait avec passion, de son maître décédé aussi. Elle louangeait ses œuvres, ses efforts. Elle disait que sans lui, elle ne saurait ce qu'elle aurait fait de sa vie. Elle serait peut-être morte de faim et de froid dans une petite ruelle, abandonnée à son propre sort. Au fil que le temps passait, Nausicäa faisait connaissance avec les gens qu'elle côtoyait jusqu'à tomber sur la princesse impériale. Sa montée fut gratifiante, mais au début, ce fut un homme de la bourgeoisie qui remarqua ses magnifiques talents. Il s'initia donc dans ses œuvres, lui posant plusieurs questions jusqu'à tomber sur ces fameuses explications de ce merveilleux pinceau magique. Il revenait plusieurs fois, demandant à voir des toiles de plus en plus magnifiques et dont le pinceau réalisait des œuvres en grand, laissant le tout dans une magnifique illusion qui semblait si réelle. Un dessin affreux témoignant d'une terrible scène d'horreur mena à une illusion des plus terribles. Une véritable dévastation, des morts. Une guerre. Oui, les illusions ne sont pas que merveilleuses. Celles-ci peuvent prendre de graves tournures sous les yeux des gens même si elles n'étaient pas réelles. Le bourgeois se mit donc à parler d'elle et lorsque ses louanges parcoururent suffisamment les terres, un homme venait vers elle, envoyé par un membre de la famille royale. Il l'invita à venir s'installer à Gloria afin d'y installer toutes ses affaires, de montrer son talent aux autres et vivre une meilleure vie.

Nausicäa rencontra la princesse lors d’une exposition de ses œuvres. Bien entendu, elle parlait avec un autre conseiller de temps à autre qui était un véritable adepte de ses toiles et des illusions que pouvaient créer son pinceau magique. Elle lui avait alors dit qu’elle était intéressée par le rôle de conseillère, voulant en savoir davantage. C’est donc grâce à lui que Nausicäa acquit des caractéristiques aptes à faire d’elle une nouvelle conseillère auprès de la famille royale. Lorsqu’elle avait rencontré la princesse, celles-ci se mirent à parler ensemble. Toutefois, malgré les commentaires de la peintre, elle n’était pas assez calée en la matière pour pouvoir réussir à conseiller entièrement sur toutes les choses que pouvaient englober une conversation digne d’un véritable conseiller. Toutefois, elle apprenait rapidement. Elle conseillait surtout la princesse sur les principes de la vie. Intelligente, elle sait peser ses mots et mener d’horribles pièges, mesquins. Elle peut donc conseiller Esmelda d’une façon militaire, guerrière mais seulement en terme de stratégie. Par la suite, elle peut la conseiller dans des termes plus sensibles sur sa vie et sur les autres qui l’entourait. Elle connaît peu à peu la diplomatie royale et pourra dans un avenir proche la conseiller sur le sujet. Toutefois, Nausicäa et Esmelda n’ont pas vraiment eu le temps de vraiment se connaître. La relation est donc sur une tangente neutre mais elle balance vers une plus belle sortie.

De fil en aiguille, Nausicäa tissa les liens du métier de conseillère et en se rapprochant d’Esmelda, elle fut promue au rang de conseillère suite à de multiples efforts et en démontrant de fortes aptitudes à pouvoir servir la famille royale dans ce rôle. Malgré ce nouvel emploi, la jeune femme ne désistait pas de son poste de peintre. Cela était toute sa vie depuis qu’elle avait rencontré le Peintre. À sa mort, elle s’était sentie complètement perdue. Même si sa vie avait repris bon train, elle était encore un peu perdue. C’était sûrement pour cela qu’elle était aussi tourmentée et agressive envers les autres. Et surtout qu’elle n’avait pas un caractère facile.

Malgré toute cette histoire sur un passé plutôt tumultueux, Nausicäa possédait de nombreux tatouages. Plus de 80% de son corps étaient tatoué. La plupart sont symboliques. Sa mère avait fait tatouer plusieurs d'entre eux dans sa jeunesse. Quelques-uns signifiaient des choses horribles qu'elle ne devrait même pas posséder. Des marques que sa mère avait créées avec permanence sur son pauvre corps. Suite à cela, Nausicäa décida de dessiner ses propres tatouages destinés à en masquer quelques-uns indésirables, de créer de nouveaux liens avec soi-même. Ses tatouages sont en quelque sorte ce qu'elle était réellement. Ceux-ci parlaient d'eux-mêmes sur son corps.

La guerre avec Alayiens et les vampires la touchait en quelque sorte. Oui, car Esmelda était la princesse Impériale et celle qu'elle conseillait. Dans un sens, elle n'était inquiète que pour elle et pour sa vie. Dans sa direction, la peintre ne savait pas trop comment prendre la chose. Certes, les Alayiens essayaient bien de convertir les humains d'Armanda. Elle s'inquiétait davantage pour la vie de la princesse impériale que la sienne. La jeune femme n'était pas le genre de personne à se soucier tout le temps de sa vie. Elle prenait plutôt la vie à la légère sans toutefois se ficher de tout ce qui l'entourait. Elle sait quand relâcher le tout et quand devenir disons... Plus agressive. Sauf lorsque les gens venaient à la chercher. Alors là, son sang-froid explosait.

Étant devenue conseillère, Nausicäa s'était rapprochée de tout ce qui touchait aux dragons, à leur retour. C'était une histoire intéressante, mais elle ne savait pas trop comment réagir, au fond. Et puis, il y avait cette histoire de totem. Elle en savait suffisamment pour se faire une bonne idée sur le sujet. Elle respectait le choix de la princesse d'être proche d'un dragonnier. Elle en savait suffisamment sur le sujet pour savoir que c'était grâce aux dragons que la magie était revenue sur ces terres. Toutefois, quelques nuances plus sombres étaient toujours manquantes. Elle ne savait pas tout sur le sujet.

Malgré tout cela. Une question ne cesse d'arpenter ses pensées à chaque jour et surtout juste avant de s'endormir: Où était Cendre et qui était-elle vraiment? Reverrait-elle sa mère un jour ou non?



NB: Ce poste est pour signifié que je ne vous ai pas oublié et que si vous avez des commentaires à formuler avant que je poste l'histoire complète dans les prochains jours, que vous pouviez le faire^^
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Nausicäa BLACKBURN

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