Criiiiiioooo, criiiioooo, Le goél le petit oiseau des mers vole au dessus d’un cadavre que la marée descendante à jetée sur une grève du sud du continent. Le temps est gris, mais sans ondée pour le moment. Le corps est allongé, les bras disposés de chaque cotés de la tête.
Criiiiiioooo, criiiioooo, Le goél est un charognard, qui ne dédaigne pas arrivé le premier à un repas. Mais cet oiseau est prudent et fait un vaste tour pour voir si une mauvaise surprise, n’est pas aussi au rendez-vous.
Criiiiiioooo, criiiioooo, Le goél passe au-dessus de la mer encore agité des vastes rouleaux de la tempête d’hier. La mer moutonne encore à certain endroit, formé de ce vent d’Est qui à le bon sens de ramener les objets sur la côte. La mer est vide de bateaux des pécheurs.
Criiiiiioooo, criiiioooo, Le goél franchit la frontière mouvante, à dix mètres de haut, entre la mer et le continent. L’estran ou le goél aurait du trouver sa pitance du jour, si il n’y avait ce cadavre du jour. Les crabes vert prêts à vendre chèrement leurs carapaces à grand cout de pinces, les coques qu’il faut élever dans les aires pour les lâcher sur des rochers afin de casser leurs coquilles, les crevettes si difficiles à attraper mais si bonnes…..
Criiiiiioooo, criiiioooo, Le goél survole maintenant la lande formé des ces herbes coupantes aux profondes racines. Elles ne sont pas hautes ni sérés. Aucun animal ne peut si cacher sauf si il est à l’affut. Le goél prend un peu de hauteur maintenant et observe la terre jusqu'à une bande plus sombre, une forêt d’arbre rabougrie. Tout semble calme.
Criiiiiioooo, criiiioooo, Le goél, retourne vers le corps alors que les nuages s’entrouvrent et laisse passer un rayon de soleil. Le cadavre n’a pas bougé, il est habillé, un bras près d’une gibecière. Le beau temps va-t-il revenir ? Tout semble calme. L’oiseau ce décide enfin à se poser sur la grève prêts de la tête.
Le goél sans un crie se pose prés de la barbe de l’humain L’animal l’observe, il voudrait bien commencer par manger les yeux ? Mais un détaille le chiffonne…………..La gauche, la main gauche de l’humain, tient une pierre……. Une pierre qui soudain jailli vers lui !
Criiiiiioooo, criiiioooo, Le goél, a bien raison de se méfier. Criiiiiioooo, criiiioooo Il arrive à décoler en perdant deux plumes. Criiiiiioooo, criiiioooo dit il dans sa langue de goél, Criiiiiioooo, criiiioooo toutes les insultes que connaît ça petite tête de piaf y passe. Criiiiiioooo, criiiioooo, criiiioooo, criiiioooo, criiiioooo

Criiiiiioooo, Criiiiiioooo


Un ange ?

Criiiiiioooo, Criiiiiioooo


Encore l’ange ?      Je suis mort ? ….Ou   non ?    Il revoit ses derniers instant à la barre, tous était d’une profonde routine ….Monter la lame de travers puis au sommet de la vague mettre le bateau dans le sens du rouleau…… Monter la lame de travers puis au sommet de la vague mettre le bateau dans le sens du rouleau ……Monter la lame de travers puis au sommet de la vague mettre le bateau dans le sens du rouleau…… Monter la lame de travers puis au sommet de la vague mettre le bateau dans le sens du rouleau.. Le quart de Tobold semblait duré un siècle toujours les mêmes gestes pour ne pas trop fatiguer le bateau..Monter la lame de travers puis au sommet de la vague mettre le bateau dans le sens du rouleau Les mêmes mouvement avec la barre franche.. Monter la lame de travers puis au sommet de la vague mettre le bateau dans le sens du rouleau, la tempête dure depuis ….. Un certain temps, les quarts se succédant, la nuit, le jour, les embruns mouillant continuellement les vêtements, manger froid, dormir habillé, tout humide, et le choc de la coque du bateau dans la descente, boum,……boum…  Puis monter la lame de travers puis au sommet de la vague mettre le bateau dans le sens du rouleau et soudain le bateau partant en planning, une déferlante arrivant de l’arrière balaie le pont ….
Tobold se retrouve dans la mer déchaîné, il voit au loin le bateau continuer sa route ….Les vêtements sont lourds d’eau, Tobold n’arrive pas à nager, à maintenir sa tête hors de l’eau…

Il voit une dernière fois le mat et la tourmantine rouge. Il se sent couler.. Puis c’est le trou noir……..

Criiiiiioooo, Criiiiiioooo


Encore l’ange ?      Je suis mort ….ou   non ?

Tobold à ce moment voit à travers ses paupières de la lumière. Il sent sur la paume de ses mains des grains ? Du sable ? Il se force à bouger le bras gauche, qu’il fait bouger vers son ventre… ses jambes……. Il semble entier, serait il vivant ? Il sent sur son visage le soleil. Il repose sa main sur le sable…. Non, ce n’est pas du sable mais un galet.

Criiiiiioooo, Criiiiiioooo

Il y a du mouvement sur sa gauche……. Ne pas bouger, Tobold sens une présence malgré ses paupières fermées…….Il y a quelque chose à quelques centimètres de sa tête. Il faut agir, maintenant ! Il brandit son bras tenant le galet, mais de par cette position, sans force…Il ouvre les yeux à moitié aveugler par le soleil, il entent un bruit d’ails et pleins de Criiiiiioooo, Criiiiiiooo, Criiiiiioooo, Criiiiiiooo,…….qui s’éloignent.

Non, ce n’est pas un ange pense Tobold en se remettant sur le dos et en refermant les yeux. Je suis sauf. Ta sécurité, pense à ta sécurité. Il faut ouvrir les yeux  doucement. Voila.
Tobold voit un ciel très nuageux entrecoupé de quelques percées bleues. Il faut ce lever maintenant. Oui Avec difficulté il se lève prudemment. Il observe en faisant un tour d’horizon complet. Tout est blafard, et triste à pleurer…En face de lui, la mer est entrain de se calmer, vide de voiles, tournant à droite une grève sinistre sans buisson mais parsemé une herbe drue du littoral. Pas d’activité humaine, pas de fumée à l’horizon. Notre homme fait un quart de tour, C’est une immense plaine plus ou moins lagunaire, qui semble se transformé en lande et très loin au fond une masse verte….Pas de route visible et pas de fumée. Le soleil apparaît redonnant de la gaité au paysage. L’Astre est haut dans le ciel, cela devrait être midi donc….
Tobold voie l’horreur de sa situation, pendant des jours peut être ils ont du longer une cote sans la voire, dans la tempête, au risque de se drosser sur des rochers….Sueur froide ! Tobold surmonte ce moment et regarde l’ouest…Là aussi, tous ressemble à un espace vide d’homme.

Par ou aller ? Mais avant Tobold décide de faire l’inventaire de ce qu’il a. Il cherche un endroit discret, au soleil. Il retire tous ses vêtements et les mets à sécher en plein soleil
Il lui reste :
Une chemise
Une veste de marin
Un pantalon
La corde qui lui sert de ceinture
Une gibecière
L’étui de sa dague et sa dague
Une chaussure noire
Une chaussure marron
Dans les poches
Un mouchoir
Un mètre de garcette
Dans la gibecière
Le briquet amadou qu’il faudra nettoyer
Une petite couverture
Un cristal taillé violet
La petite boite en bois contenant du cirage
L’outre avec encore un peu d’eau
Et un bout de viande séché…….

Cela aurait pu être rien du tous.

Tobold décide d’attendre, de se réchauffer un peu au soleil en mangeant ses réserves, puis de gagner à ce qui ressemble au loin à une forêt. Il pourra s’y reposer, en établissant des collets pour chasser.
Il faudra traverser la lande……..Deux jours estime t’il.

Le soleil est revenue maintenant, quelques gros nuages parsème encore le ciel. D’après le soleil estime le temps qu’il dispose à cinq ans avant que la nuit arrive. Il faut se bouger et surtout remettre les vêtements en très humides. Horrible mais heureusement cela passe vite. Selon la course du soleil Tobold estime le nord. Il y à plusieurs priorités.
A°) Marcher prudemment.
B°) Trouver de l’eau et remplir l’outre.
Apres ce sera selon les circonstances, Il faudra trouver un hypothétique abri, faire du feu avec le moins de fumé possible, trouver à manger, mais cela il verra…en fonction …..Des évènements.
Des que Tobold quitte la plage, il tombe dans un entrelace de terre semi immergé, d’ilots herbeux, l’eau est encore salée. Notre homme progresse lentement en marchand dans l’eau, le fond est vaseux mais il n’y a pour le moment que vingt centimètre d’eau. Heureusement le fond de l’eau est relativement plat, pas de trou ni de galets ….que l’effet de session de la vase.
Il n’a progressé que d’environ quatre kilomètres quand il voit sur un ilot des arbustes rachitiques portant quelques baies qu’il sait comestible. Des sariciers.


Le saricier est un arbuste avec des feuilles longues très coupantes qui démarrent des renflements situés prêt des racines. Les racines sont profondes. Les branches portent des épines. L’arbuste groie dans le sens du vent et se met à Des petites fleures apparaissent au printemps en faisceaux et apparait fécondation se transforme en grappes de petites baies noire. L’intérieur de la baie est comestible mais acre avec plein de jus. Le problème de cet arbuste ce sont ces feuilles coupantes qui bougent au moindre vent.

Tobold décide de rester passer la nuit dans cet endroit, le vent est maintenant tombé. Il passe son temps avant la nuit à recueillir les baies. Il arrive avec le nombre de baies à étancher sa soif. Pour la faim, il sait qu’il ne tiendra pas plus que quelques jours à se régime. Il sa couche à l’abri des feuilles, mettant sa pauvre couverture sur lui. Tobold contemple la voute au dessus de lui et aperçois maintenant pleins d’étoiles qu’il ne connait pas dont un amas d’étoiles orange, il ne sait pas encore cet amas désigne au début de la nuit, l’ouest du continent. Cet amas est connu sous le nom d’amas de l’orange ou amas de Nakor (Allez savoir pourquoi !)

La nuit est calme mais c’est la rosée du matin qui réveille. Tobold. Il tremble de froid. Il faut avancer. Un nouveau matin ce lève, mais pour notre homme cela veut dire une coure pour trouver de l’eau et de la nourriture. Il faudra être opportuniste dans cette région qu’il ne connait pas. Tobold avance les pieds dans l’eau, ne voulant pas marcher sur les iles, car sa silhouette se dessine parfaitement et un observateur peu le voir. Il grappille quelques mures, pas encore asses gouteuses. Il suit le nord grâce à la course du soleil. Ca progression est lente, mais jusque là sans surprise, et c’est le ventre vide qu’il s’endort.

Au matin quand il se réveille c’est un brouillard épais qui l’enveloppe.

Il a le choix entre plusieurs options :
Rester là en attendant que le brouillard se lève.
Avancer en se perdant dans le labyrinthe des ilots, sans repère.

C’est à ce moment que Tobold pense à la pierre violette qu’il possède. Il a remarqué le changement de couleur sur le bateau, mais la maintenant qu’il fait jour et qu’aucun rayon de soleil ne perce la brume épaisse, la pierre qu’il a dans la main, a encore changé de couleur.
Le soleil aurait il une influence sur cette pierre ?
Il approche la pierre de son œil et remarque dans la pierre une zone, une ligne blanche comme …. si…..cette ligne lui montrai ou était le soleil. Il regarde dans la pierre en tournant sur lui-même. La ligne aussi tourne en montrant la ligne toujours dans le même sens.
En en connaissant l’heure grossièrement, on peut dont avance dans une direction. Bien sur la direction est à la louche, mais Tobold comprend qu’il se dirigera ..en gros, vers le nord. Cela pourra faire la différence entre être perdu et avancer dans la bonne direction. De plus étant sur de ne pas être vue, il peux marcher sur les ilots. Il pourra marcher plus facilement donc plus rapidement et trouver de la nourriture.

Effectivement cela semble fonctionner, sans la pierre il serait perdu. Il attend avec impatience la levé du brouillard pour savoir si son hypothèse est bonne… mais le brouillard ne semble pas vouloir disparaitre.

Tobold reste le plus longtemps possible sur les Ilots qui semblent devenir de plus en plus grand au fur et a mesure de sa progression, et c’est maintenant rarement qu’il doit mettre les pieds dans l’eau.
Il a faim et il a soif quand soudain dans le l’environnement cotonneux, il entend du bruit…. Il y a un quelque chose devant lui, peut être un animal….un animal cruel et sanguinaire…un animal mangeur d’homme !
Tobold sort sa dague, tous ses sens en éveillent.

Une vache ? Un meuglement ?

Tobold se souvient des vaches qu’il a gardées et qu’il a traites lorsqu’il était esclave….. Même les jeux avec ses copains pour traire le lait directement dans …..La bouche !!!!!! Notre homme n’a pas de récipient adapté pour recueillir le lait. Mais il a faim ! Oui c’est bien une vache, en avançant prudemment, il aperçoit la forme de l’animal. Pour le lait cela se faisait avec des bêtes connues, avec qui j’ai été présentées, des bêtes de bonne compositions, pas trop farouches, pense t’il. Il entend d’autres bruits, ce doit être un troupeau qui doit paitre ici…….Il y a peut être un gardien ? Pour le moment le brouillard le protège, mais il reste ses cinq sens en éveille.

Calmement il s’approche de la bête, qui le regard d’un œil semble t’il indifférent. Il avance une main, et ne voyant pas de réaction Tobold la caresse. Sa main se dirige vers les mamelles à moitiés gonflées. Pas de réaction. Alors prenant son courage à deux mains, il entreprend de retrouver les gestes de traite avec une main. Il fini par obtenir un jaillissement de lait. Il se couche sur le dos et bientôt, il arrive à recueillir du lait dans sa bouche. Bien sur il est tout barbouillé du breuvage. La faim et la soif le tenaille, mais il faut être prudent et ne pas trop manger, de peur de vomir, ce dont du ciel.

Au bout d’un moment il ce remet debout, caresse l’animal pour la remercier. Il doit y avoir des hommes pas loin. Il reprend sa route vers le nord, aux milieux des vaches, fini par trouver la berge et reprend son cheminement dans les canaux. Mais ils sont beaucoup plus profonds comme si ils sont drainés et entretenues pour le passage de barque. Il goutte l’eau et elle n’est plus salé. Les grandes marées ne doivent plus monter jusque là !

Il continue d’avancer pendant environs deux heures quand il voit apparaitre une lumière. C’est une lampe qui signal une cale et un quai. Il monte prudemment la cale et distingue quelques barques béquillées d’autre sont déposées à même le sol, la quille en haut. C’est un port, Tobold distingue d’autre lumière, quelques mures et des toits.de chaumes Il est dans un village. Sur ca gauche il y a un hangar. Après une inspection minutieuse, le bâtiment est vide. C’est une grande pièce ou sont entreposées quelques bateaux pour réparation. L’endroit est sombre, à cause du brouillard ! Le brouillard cela doit être la raison pour laquelle il ne voit personne. Il trouve un grenier, que l’on peu atteindre avec une échelle, Notre homme grimpe, et là le second miracle de la journée, il y a du foin, du foin sec. Tobold distingue sur le mur donnant sur le port, une large ouverture, ou se trouve une poutre et une polie. Tout semble calme. Il décide de rester jusqu’au lendemain matin. Il pourra se présenter et arriver avec des vêtements secs pour trouver du travail.
Il y aura une alerte, dans la soirée, quand le bruit de sabots le réveillera. Ce doit être les vaches pour la traite pense t’il, il doit y avoir un gué. Il verra plus tard, demain est un autre jour.

Dormir dans les foins…heeeum ….. C’est la première nuit de sommeil depuis longtemps….. Tobold se lève, il fait encore nuit mais le brouillard c’est dissipé. Il s’approche de l’ouverture, c’est un petit bourg qu’il aperçoit, sa place, son auberge, un maréchal ferrant, et une dizaine de maisons. Il aperçoit aussi un lavoir…..Vite il prend ses affaires et vas se laver avant que l’on l’aperçoit. La première chose qu’il fait, il boit l’eau semble bonne, Grace à son reflet dans l’eau, il parvient à se raser, avec sa dague et il dégrossie ses cheveux. Puis vigoureusement il se lave le visage, les mains et les bras. En se regardant dans l’eau, l’effet n’est pas terrible mais……Le soleil apparaît et le village s’anime. Il faut se lancer. La peur au ventre, ne sachant toujours où il est, Tobold sort du lavoir. Parle t’il la même langue ? Il se dirige vers une petite dame habillé d’une robe noir, et d’un haut noir brodée de motif orange, avec une petite coiffe blanche qui camoufle son chinions, elle a un balaie à la main.


« .- Qu’es tu veux mon gars ?»

Intérieurement Tobold sourie. Il comprend le langage.

« - Bonjour Madame, je cherche du travail, je peux couper du bois, remonté du foin, réparer les outils, creusé une tranchée…. »

« - J’aurais besoin d’un gars costaux comme toi, pour couper des arbres, et rentrer le bois dans ma grange, contre deux repas par jour, une vielle couverture encore bonne et un coin dans la grange le temps des travaux… »

Tobold accepte de suite, il sait qu’il n’a pas le choix ! Il comprend qu’il vient de quitter définitivement les mangroves, cette région ou il a passé tant d’années, pour arriver il l’espère, définitivement sur Armanda.

« - Oui Madame, pour abattre un bon arbre, il faut une bonne hache, vous avez cela ? »

Tobold vient d’arriver sur Armanda en homme libre de toute attache. Il a quitté la région des Mangroves qui était pour lui un lieu en voie d’extinction. Cet endroit n’est peuplé que par des hommes, des fuyards. Ils deviennent de plus en plus vieux et donc en un jour ils finiront par s’éteindre. Tobold ne sait pas expliquer pourquoi il n’y a plus de nouveaux fugitifs, peut être que les esclavagistes mènent une répression plus féroce ? Le serons-nous un jour ?

Pour le moment il se trouve dans une petites région du sud ouest du continent, Armanda est une terre d’accueille et d’opportunité.

Notre homme est débrouillard et même dans les situations les plus étranges, il pourra mener vos enquêtes en touts discrétions, mener des filatures, des explorations dans des terres inconnue, vous pouvez aussi faire appel à lui pour couper du bois, garder les enfants, ou si vous vous sentez seule dans un RP.

Nous assurons la confidentialité des résultats. Un rapport sur vélin vous sera fourni à la fin du contrat.

N’hésitez pas, contacter le par malle postale (MP) avec tobolddesmangroves@armanda.ar

Facilité de paiement avec la carte Armandan Express, mais les PO sont accepter.