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| Sujet: Faudar Adroared [humain] VALIDE Sam 6 Avr 2013 - 11:43 | |
| - Nom : Adroared
- Prénom : Faudar
- Surnom : -
- Date de naissance : 1682
- Age : 71 ans
- Race : Humain
- Caste : Erudit
- Métier : Professeur et mage de la cour.
- Lieu de résidence : Gloria, Palais Impérial.
- Arme principale : Tinehtelë, son bâton. Cette arme enchantée permet à celui qui la brandit d'utiliser n'importe quel sort (parmi ceux qu'il maîtrise évidemment) par la simple force de sa volonté, directement en pointant le bâton vers la cible. L'utilisateur n'a donc pas besoin d'exécuter les gestes clés et peut lancer des sorts plus vite que les autres mages. L'absence de gestes clé rend également plus difficile l'esquive de ses sorts puisque l'adversaire ne peut voir le sort que va lancer le magicien.
L'effet n'est bien entendu valable que lorsque le mage est armé du bâton, s'il est désarmé, il doit à nouveau recourir aux gestes clés.
- Style de magie préféré : Humaine
- Alignement : Bénéfique
- Physique :
Faudar Adroared est un vieil homme comme on peut en croiser beaucoup dans les villes humaines. Ses cheveux ont perdu leur couleur depuis longtemps déjà et son visage buriné par les affres du temps est marqué de nombreuses rides. Il prend grand soin de sa barbe qu'il met un point d'honneur à tailler lui-même. Avec l'âge, l'iris de ses yeux bleus s'est fortement éclaircis et lui donne désormais un regard étrange, tel qu'on ne peut pas vraiment dire s'il est aveugle ou pas. Qu'on lui pose la question et Faudar répondra qu'il voit aussi nettement qu'un aigle, rien dans son comportement ne laisse penser qu'il soit non-voyant mais utilise-t-il vraiment ses yeux ou se sert-il de sa magie pour percevoir le monde qui l'entoure ? Nul ne le sait à part lui.
Autrefois robuste, son corps a perdu la vigueur de ses jeunes années. Faudar est un homme grand et maigre, il se déplace à pas lents et n'est plus capable de courir ; tout au plus peut-il accélérer sa marche sur quelques dizaines de mètres. Il compense la faiblesse de ses muscles avec une dextérité extrême : vous ne verrez jamais ses doigts trembler. Capable d'une précision chirurgicale avec ses mains, il manie le bâton avec une facilité déconcertante et peut facilement maîtriser un adversaire pourtant beaucoup plus lourd et plus fort si celui-ci se laisse surprendre.
Son style vestimentaire est sobre, il porte le plus souvent une légère tunique de lin de couleur claire et un pantalon en tissu maintenu à la taille par une ceinture de cuir léger. Lorsqu'il doit quitter le palais impérial, sa tenue habituelle se complète d'une bure de laine plus sombre dotée d'une capuche. Il n'abandonne jamais son bâton qu'il utilise pour se mouvoir avec plus de facilité.
- Caractère :
Faudar est quelqu'un doté d'une personnalité forte. S'il peut sembler risible comparé à celui d'un elfe ou d'un vampire, son âge avancé lui a permis de se forger une expérience qui est une source de fierté pour lui et il ne manquera jamais de corriger sévèrement tout gamin qui aurait l'audace de lui manquer de respect. Et le terme gamin est à prendre au sens le plus large possible : toute personne plus jeune que lui est concernée. En effet, à force de fréquenter les Elfes, il s'est accoutumé à leurs coutumes hiérarchiques et les a fait siennes : pour lui, l'âge est source de connaissances, donc de respect. Peu soucieux du protocole, le magicien ne se préoccupe pas du rang ou du statut social des personnes qu'il côtoie : personnel de maison, écuyer, soldat, lame noire, noble, princesse ou même empereur, ami proche ou parfait inconnu, nul n'est à l'abri d'un coup de bâton et d'une réprimande du conseiller.
Particulièrement sévère, Faudar pourrait passer pour un vieux bouc acariâtre mais il utilise cette façade pour cacher son bon fond. Il ne se montre jamais injuste, défendra systématiquement les plus faibles et s'il lui arrive de se montrer un peu brutal dans ses blâmes, il ne l'est jamais gratuitement. D'une manière ou d'une autre, les gens qu'il corrige finissent toujours par le remercier un jour.
Brillant intellectuel, le vieux magicien appréhende le monde d'Aldaria avec humilité et sagesse. Il y a toujours quelque chose à apprendre pourrait être sa devise et depuis qu'il a appris à lire, la soif de connaissances de Faudar ne s'est jamais tarie. Fait rare, voire exceptionnel pour un être humain, le mage est capable de rivaliser de sagacité avec les elfes les plus jeunes et se trouve parfaitement à l'aise auprès des représentants du Beau Peuple avec lesquels il aime à discuter de choses et d'autres. La réciproque est vraie également et Faudar est le plus souvent très bien considéré par les Elfes qui voient en lui "l'homme qui aurait pu être un elfe".
Au cours de longues années passées dans le Royaume Elfique, le vieil homme a accumulé de nombreuses connaissances sur les lois de la Nature et l'art d'en exploiter les ressources. Cet apprentissage lui a permis de devenir un alchimiste accompli. Il a d'ailleurs rédigé de nombreux ouvrages sur le sujet.
- Aime/déteste :
Faudar aime essentiellement lire et écrire, les livres sont pour lui les trésors les plus précieux au monde. Il apprécie également débattre de choses et d'autres avec ses homologues et ne considèrera jamais le temps consacré aux réflexions philosophiques comme du temps perdu. Pédagogue dans l'âme, le vieux magicien ne refusera jamais d'enseigner à celui qui lui en fait la demande.
Il y a peu de chose, pour ne pas dire rien, que Faudar déteste réellement, il est trop sage que pour se permettre de détester quoi que ce soit. Il est en revanche facilement agacé par les gens paresseux ou qui font preuve de médiocrité volontaire.
- Particularité : Faudar a perdu le sens de la vue depuis plusieurs années déjà mais il parvient à utiliser la force de son esprit pour discerner le monde qui l'entoure avec une précision suffisante que pour donner l'illusion qu'il voit encore.
- Histoire :
Le passé lointain de Faudar Adroared est nébuleux. En effet, rares sont les Hommes qui l'ont connu lorsqu'il avait moins de 20 ans et qui vivent encore pour en parler. Si vous aviez l'occasion d'interroger l'une de ces personnes, elle vous dirait que Faudar est né à Aldaria, d'un père mage de guerre et d'une mère Soeur du Dragon Blanc. Autant dire que le petit garçon avait la magie dans le sang et l'éducation qu'il reçut fut à la mesure de ses prédispositions. Lorsqu'il atteignit l'âge adulte, Faudar poursuivit sa quête de connaissances. Il intégra naturellement la Confrérie du Dragon Blanc et put parfaire son apprentissage auprès des plus grands maîtres d'Aldaria. Parvenant à concilier vie spirituelle et vie quotidienne, Faudar épousa Cialith, jeune et jolie alchimiste dont le père gérait une célèbre herboristerie du centre-ville, et qui lui fit don de trois enfants. Lallyra et Lynvan d'abord, des jumeaux très proches l'un de l'autre, puis Addramyr quelques années plus tard, un jeune garçon turbulent et bagarreur. Plusieurs années durant, le temps s'écoula paisiblement pour la petite famille. Faudar poursuivait ses études des bibliothèques d'Aldaria, Cialith reprit l'herboristerie de son père lorsque ce dernier ne fut plus en mesure de gérer son commerce et les enfants grandirent, se marièrent et eurent des enfants à leur tour.
C'est à cette période qu'un premier drame survint dans la petite vie simple de Faudar. Le magicien allait fêter ses 38 ans. Sa fille Lallyra tomba enceinte à l'âge de 17 ans et au terme d'une grossesse difficile, accoucha d'un petit garçon. En dépit des efforts des sage-femmes, l'accouchement s'était mal passé. Le bébé s'était mal présenté et son cordon ombilical s'était enroulé autour de sa gorge, l'étouffant. L'enfant put être sauvé mais le manque d'oxygène avait déjà provoqué de graves désordres mentaux. La mère ne revit pas le jour se lever. Déjà terrible, la perte de la jeune femme allait entraîner celle de son frère jumeau : rendu fou de douleur, Lynvan se mit à rechercher par tous les moyens possibles une solution qui lui rendrait sa sœur bien-aimée. En dépit des avertissements de son père, le jeune homme abandonna sa famille et s'aventura dans les Royaumes Vampiriques. Puisque ni les Elfes, ni les Hommes ne pouvaient lui rendre sa soeur, peut-être les vampires y parviendraient-ils ? Incapable de cautionner les actes de son fils, Faudar avait été obligé de le renier afin de préserver la réputation de sa lignée.
A partir de ce drame, les évènements s'enchaînèrent : Cialith tomba gravement malade. Les connaissances des plus grands mages d'Aldaria se révélèrent insuffisantes pour la guérir et l'épouse du magicien décéda moins d'une dizaine de jours plus tard. De son côté, Addramyr, le deuxième fils de Faudar, délaissa les livres pour les épées d'entraînement. Préférant les jeux de lutte aux études, il fût le premier Adroared à privilégier la voie des armes à celle de la connaissance. Il n'avait pas encore 15 ans lorsqu'il quitta Aldaria pour rejoindre Elena la Robuste où il occupe désormais un poste de garde dans l'armée impériale.
Faudar se retrouva seul avec son chagrin, et l'homme de savoir qu'il était ne trouva de réconfort que dans l'érudition. Cialith était morte de l'ignorance des mages humains et plus particulièrement de celle de son époux. Afin de combler cette lacune et de retrouver la paix dans son esprit, le magicien quitta Aldaria à son tour et se mit en route vers les plus anciennes forêts du continent, à la recherche des plus grands guérisseurs d'Armanda : les Elfes. Ceux-ci l'accueillirent avec la bonté caractéristique des gens du Beau Peuple. Faudar expliqua la situation dans laquelle il se trouvait à l'un des hauts dignitaires qui le reçurent. L'humilité et la cause noble poursuivie par le magicien humain réussirent à convaincre les Elfes de lui venir en aide. Malheureusement, la lutte contre les vampires accaparait de nombreux soigneurs elfiques mais on lui conseilla tout de même de rendre visite à un dénommé Solas, chasseur de vampires renommé pour la qualité des remèdes qu'il confectionnait et l'empathie toute particulière qu'il éprouvait pour le genre humain. Le chasseur elfique avait en effet recueilli et élevé comme son fils un jeune garçon de la race des Hommes.
Solas expliqua au vieux magicien qu'il avait pressenti de grandes prédispositions chez l'enfant mais qu'aucun mage humain n'avait été en mesure de le prendre comme élève. Déterminé à ne pas gâcher un tel potentiel, Solas avait adopté le jeune garçon et l'avait formé. Les deux mages passèrent un accord d'entraide mutuelle : l'Elfe enseignerait à Faudar les rudiments de la magie et de l'alchimie Elfique en échange de quoi le mage humain complèterait la formation en magie Humaine de son fils adoptif.
Plusieurs années s'écoulèrent ainsi, peu à peu, Faudar reprit goût à la vie, notamment grâce à l'aide de Solas qui mettait à profit le temps qu'il pouvait consacrer à son nouvel ami pour lui enseigner de nombreux sorts elfiques ainsi que les recettes de puissants élixirs de guérison. Dans le même temps, Faudar perfectionnait l'enseignement que l'elfe avait apporté à son fils adoptif, Klaus. L'elfe ne lui avait pas menti et l'adolescent se révéla rapidement être un élève doué, si bien que le vieux mage n'avait le plus souvent que d'infimes corrections à apporter à l'enseignement elfique. Un geste clé exécuté un peu trop rapidement sur tel sort, un léger défaut dans la circulation des énergies sur tel autre sort, telles étaient les leçons que Faudar donnait à son petit élève. Lorsque Klaus atteignit l'âge adulte, Faudar n'avait plus grand chose à lui apprendre, il ne manquait au jeune magicien que l'expérience que pourraient lui apporter les années de pratique pour progresser encore. La réciproque était vraie également, Faudar avait terminé son apprentissage auprès du maître magicien elfique et il était temps pour chacun d'entre eux de reprendre le cours de leurs existences respectives.
Faudar retrouva Aldaria et la Confrérie du Dragon Blanc. Fort de ses nouvelles connaissances, le vieux magicien devint l'un des mages les plus éminents de La Superbe, de sorte que lorsque sur ordre impérial il fut demandé à la Confrérie de désigner un mage professeur à la cour des Kohan pour parfaire l'éducation du futur Empereur, cet honneur revint à Faudar.
Cette fois, les débuts furent difficiles. D'une part, Faudar n'avait pas un mais bien trois élèves à former : Gregorist, le futur empereur, mais également les deux cousins du futur souverain, Korentin et Fabius. Contrairement au premier élève du maître magicien, le jeune Grégorist n'avait pas un potentiel magique particulièrement fort et se trouva de surcroît être un élève que l'on pouvait qualifier de distrait. La présence des deux autres garnements ne simplifiait d'ailleurs pas la tâche du vieux mage, Korentin en particulier prenait un malin plaisir à entraîner les deux autres à se détourner de leur travail. Mais l'impétuosité des jeunes garçons ravivait la flamme du vieux mage, si bien que celui-ci prit les petits Kohan sous son aile et se mit au défi d'en faire des magiciens. Puisque ses apprentis étaient des élèves difficiles, Faudar serait un maître d'autant plus exigeant. Combien de fois le professeur avait-il dû arpenter les couloirs du palais à la recherche de ses élèves ? Il ne pouvait les compter. En contrepartie, lorsqu'il les retrouvait, le mage avait fait preuve de beaucoup d'imagination dans les châtiments qu'il leur infligeait. Lorsqu'un bon coup de bâton ne leur suffisait pas, il n'hésitait pas à les priver de leurs voix pour la journée ou encore à les affubler d'un parfum que n'eut pas renié un putois. Sans jamais faire preuve de violence toutefois, le vieux mage s'efforçait ainsi d'inculquer fermement discipline et sagesse à ses turbulents apprentis.
A force de ténacité, le professeur avait fini par faire quelque chose de ces mauvaises graines.
Korentin d'abord, le plus turbulent des trois, avait fini par s'assagir. Dans son enfance, le jeune duc n'avait pas ménagé ses efforts pour mener la vie dure à son tuteur mais bien que celui-ci n'eut jamais cédé, le comportement de Korentin avait eu des répercussions sur ses résultats et lorsque le temps fut venu pour lui de voler de ses propres ailes, il n'avait pas retenu grand chose des leçons du vieux mages.
Fabius ensuite, s'était de loin révélé le plus talentueux du groupe. Il compensait ses faiblesses physiques par son esprit alerte et éveillé. Particulièrement attiré par la maîtrise du feu, le petit Fabius s'était montré aussi exigeant envers son professeur que lui l'était envers ses élèves. Parfois trop, peut-être. Fabius en voulait toujours plus, quitte à brûler les étapes et à expérimenter par lui-même avant d'être vraiment prêt. A tel point que Faudar devait souvent le freiner plutôt que l'encourager, ce que l'enfant ne comprenait pas toujours.
Enfin, sans vraiment atteindre les résultats qu'il aurait souhaité dans le domaine magique, Faudar n'avait aucun regret sur l'homme qu'était devenu Grégorist. C'était certes un magicien plutôt moyen, mais la qualité d'un homme ne se mesure pas à la taille des boules de feu qu'il est capable de projeter. Grégorist était bon, intelligent et s’efforçait de régner avec sagesse et lucidité. Pour le vieux tuteur, c'était là l'essentiel.
- Liens familiaux :
- Cialith, son épouse, décédée de mort naturelle il y a une trentaine d'année.
- Lallyra, sa fille, décédée à l'âge de 16 ans en mettant au monde son fils, Garan.
- Lynvan, son fils déchu. Jumeau de Lallyra, il a très mal supporté la mort de sa soeur. Il s'est exilé dans le Royaume Vampirique afin de trouver un moyen de la ramener à la vie et est désormais considéré comme adepte de la magie des ténèbres. Faudar l'a renié et ne veut plus en entendre parler.
- Addramyr, son deuxième fils. Peu intéressé par la magie, il est devenu soldat dans l'Armée Impériale et n'entretient avec son père qu'un maigre lien épistolaire.
- Garan, fils de Lalyyra. Sa venue au monde fut extrêmement délicate. Sa mère y perdit la vie et le jeune Garan souffre de lourdes séquelles mentales. Grâce à l'influence de Faudar au sein de la guilde, il a été recueilli et élevé par la Confrérie du Dragon Blanc dont il est membre honoraire.
Faudar lui rend régulièrement visite lors de ses passages à Aldaria.
- Maryan, fille d'Addramyr. Pour une raison quelconque, ce dernier n'a jamais jugé utile de la présenter à son grand-père et Faudar ignore jusqu'à son existence.
Autres liens :
La famille Kohan en général et plus particulièrement Gregorist, Korentin et Fabius qui furent ses disciples.
Klaus Fell, fils adoptif d'un professeur et ami de Faudar, ce dernier a aidé Klaus à perfectionner sa magie humaine pendant son adolescence. Code du règlement : ok by Lorenz
- Petite présentation : la même que sur la fiche d'Atalos
Dernière édition par Faudar Adroared le Sam 6 Avr 2013 - 17:59, édité 5 fois |
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InvitéMon identité Mes compétences Invité
| Sujet: Re: Faudar Adroared [humain] VALIDE Sam 6 Avr 2013 - 11:44 | |
| - Physique :
- Force physique : Catastrophique
- Agilité : Catastrophique
- Réflexes : Moyens
- Résistance : Inférieure à la moyenne
- Endurance : Inférieure à la moyenne
- Beauté : Moyenne
Mental :
Force mentale: Supérieure à la moyenne Patience / Self contrôle : Excellente Intelligence : Excellente Arrogance : Inférieure à la moyenne Gentillesse : Moyenne Prestance/Charisme : Moyenne Mémoire : Supérieure à la moyenne Niveau guerrier :
Epée : Catastrophique Lance : Catastrophique Arc : Catastrophique Poignard : Catastrophique Combat à mains nues : Catastrophique Equitation : MoyenneNiveau magique : Grand Maître-Magicien ? Le prédef indique Maître Magicien mais dans la mesure où je souhaiterais le jouer en mage pur (à l'un ou l'autre coup de bâton près), ça m'arrangerait d'en faire un directement un grand maître. ^^
Esprit-totem : Hibou (prédef) |
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| Sujet: Re: Faudar Adroared [humain] VALIDE Sam 6 Avr 2013 - 17:54 | |
| Voyons voir si nous pouvons valider ce nouveau compte Rien à redire sur la présentation rapide, le bâton est validé. Comme je l'ai dis j'aime beaucoup cette idée d'enchantement. Idem pour le physique, c'est bref mais tout à fait suffisant pour se faire une bonne idée de ton personnage. Par contre si jamais il est véritablement malvoyant (dans le sens quasiment aveugle, si il a juste perdu un peu d'acuité visuelle ce n'est pas la peine) ce serait bien de juste le préciser dans les particularités. Cela me va qu'il utilise ses sens magiques pour "voir" après tout pourquoi pas ? Mais juste le noter même si les personnages qui le rencontreront ne seront pas obligés de le savoir (le joueur lui au moins le saura, et nous les admins aussi on ne sait jamais si à un moment donné on oubliait et que certains de tes rps nous sembles bizarre à cause de ça...) Caractère : tu as très bien cerné les quelques prérequis que nous avions mis pour ce personnage et tu te l'ai approprié avec talent, j'aime beaucoup ce que tu en as fait en particulier pour ce qui est de son lien avec les elfes et du fait qu'il ne se préoccupe pas du rang social, cela pourrait donner des rps très intéressants, bravo Aime/déteste : ok Particularité : ajouter éventuellement cette histoire de vision donc Histoire : je n'ai pas remarqué la moindre incohérence, tout se tient et est agréable à lire. Aucun soucis de ce côté là donc, et étant donné que tu seras (à l'heure actuelle, j'espère que ça ne durera pas ! ) le seul membre de la confrérie du dragon blanc tu auras une certaine liberté pour donner un peu de relief à cette guilde, pour l'instant on a pas tellement d'informations dessus. Peut-être aura tu envie de lui donner une existence un peu moins nébuleuse ? ^^ le staff sera à ton écoute pour tout ce qui la concernera. Les liens : ok Les caractéristiques : je valide avec ce grande de grand maître, les humains en manquent en plus. A noter par contre que tout cela est temporaire puisqu'il faudra qu'on redéfinisse ses niveaux exacts dans tous les domaines lorsqu'on passera sur le nouveau système. Cela se fera en discussion par mp. Voilà voilà, ma foi il n'y a pas grand chose à dire. J'attends juste de savoir ce qu'il en est exactement pour cette histoire de vision avant de valider pour de bon. |
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