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Archibald Habbot [Terminée]

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AuteurMessage
Archibald Habbot
Archibald Habbot
Mon identité
Mes compétences
Compétences
Magie: Mage correct
Expérience:
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Xp disponibles: 0

Mercenaire

Archibald Habbot [Terminée] Empty
MessageSujet: Archibald Habbot [Terminée] Archibald Habbot [Terminée] Icon_minitimeMar 7 Fév 2017 - 14:44




Identité

  • Race : Humain
  • Nom : Habbot
  • Prénom : Archibald
  • Surnom : Archi
  • Date de naissance : 08/12/1735
  • Age réel : 25 ans
  • Age vampirique :
  • Lieu de naissance : l'Océane
  • Lieu de vie : les routes et Caladon
  • Rang social : Petit peuple
  • Poste/emploi : Mercenaire
Caractéristiques


Physique :

  • Force physique : Bon
  • Agilité : Bon
  • Furtivité : Très Faible
  • Réflexes : Bon
  • Endurance : Bon
  • Résistance : Moyen
  • Beauté : Moyen

Mental :

  • Force mentale : Bon
  • Patience/self contrôle : Bon
  • Perception : Moyen
  • Intelligence : Bon
  • Prestance/charisme : Bon
  • Mémoire : Faible

Combat :

  • Epée : Aucun niveau
  • Dague et poignards : Aucun niveau
  • Armes d'hast : Aucun niveau
  • Armes contondantes : Faible
  • Hache : Très bon
  • Faux : Aucun niveau
  • Fouet : Aucun niveau
  • Art du lancer : Bon
  • Art de la parade : Moyen
  • Arc : Aucun niveau
  • Arbalète : Aucun niveau
  • Mains nues/pugilat : Moyen
  • Equitation : Bon
  • Dressage : Moyen



Equipement et magie

  • Arme principale : Une hache à simple tranchant affectueusement nommée "titine", avec un manche un peu plus long qu'habituellement pour être aussi utilisé à deux mains et à cheval. Il a un petit écu sur l'avant-bras gauche pour parer. Récemment il l'a faite enchanter avec l'effet Poids Variable pour plus de puissance mais en combat il oublie encore de s'en servir.

  • Autres objets : Une fronde avec une dizaine de galets.
    Une petite Cithare et une flûte de pan pour faire paraitre moins long les voyages.
    Une armure matelassée combinée avec quelques protections de cuir.
    Une cape de voyage à capuchon qui lui sert trop souvent de sac de couchage avec l'enchantement Fantôme de cuir pour lui ajouter de la solidité car dieu sait qu'elle en a besoin.
    Un couteau utilitaire avec un manche en rammure.
    Un briquet à amadou.

  • Alignement : Neutre à tendance bénéfique

  • Style de magie principal : Humain

  • Arrogance : Moyen
  • Gentillesse : Bon





Description physique

Archibald mesure 1m78 et est un bon gaillard, pur produit du littoral. Il a les yeux et les cheveux chatains et le teint halé de base, mais plus encore par une vie au grand air. Ses cheveux sont souples et longs, il les laisse libres quand il se repose et les attache en chignon avant un combat ou pendant son travail. Son corps s'est musclé grâce au maniement de la hache son arme de prédilection. Il s'entraine quotidiennement pour ne pas perdre la main et peut donc allier puissance et vitesse.

Il a un visage qu'on pourrait qualifier de brut, sans finesse, avec un front carré, des sourcils anguleux et broussailleux, une machoire large et constamment mangée par une barbe de trois jours. Malgré cela, ses yeux renfoncés et rieurs, son nez et ses lèvres plus rondes viennent adoucir l'aspect général et lui donne un air de bon gars sympa.

Il est vêtu d'une armure matelassée sur son buste avec deux épaulières en cuir et en fer. Il a des brassards en cuir aux poignets par-dessus des bandages, pour manier sa hache et ne pas s'user les paumes à l'entrainement. Ses pantalons et ses bottes sont souples mais surtout conçus pour être résistants pendant les voyages à cheval et à pied.
Comme tout guerrier il possède quelques cicatrices, notamment aux bras et aux mains, sur la machoire et sur l'oreille, mais rien de très flagrant. Il possède aussi un tatouage un peu honteux mais ça il préfère ne pas s'en vanter...


Description mentale

Archibald ne partait pas fort dans la vie. Enfant illégitime d'une simple fille de pêcheur, il a grandi dans un foyer ou l'amour n'était pas très présent car il était plus vu comme un problème et une bouche à nourrir inutile. Heureusement, pour qu'un enfant grandisse, il faut tout un village, et très vite Archibald est attiré par le voyage grâce aux récits des marins, des anciens et des marchands itinérants. Il veut voir de nouveaux paysages et il veut rencontrer des gens différents.

Après avoir appris le massacre de son village par les vampires il considère cette race comme belliqueuse, barbare, et à éviter à tout prix.
Son opinion des elfes est très bonne, il n'en a pas rencontré beaucoup mais il pense que ce sont des êtres grâcieux et proches de la nature et rêve de visiter leur contrée.

Il est très attentionné envers les autres et sa vie en communauté a fait qu'il attache énormément d'importance à la cohésion de groupe et la solidarité. Il déteste les conflits internes et n'hésitera pas à soit s'en aller soit mettre fin au disputes en haussant le ton voire en mettant des taloches.

Ayant énormément peur du rejet et de l'isolement, il aime apparaitre sympathique et s'attirer l'amour de son entourage en les faisant rire, en leur jouant de la musique ou en les aidant.

Néanmoins, sans cesse en remise en question, il doute souvent de lui même et se rappelle avec remord les proches qu'il a laissé derrière lui et il se sent une part de responsabilité dans leurs morts, ce qui peut le faire déprimer rapidement s'il y pense trop.

Pendant les guerres avec les Alayiens et Vraorg, et surtout après avoir perdu sa famille adoptive, il est resté dans cet état de dépression et de passivité, se considérant comme incapable de pouvoir changer les choses. Il a même commencé à boire alors qu'il ne touchait pas à une goutte d'alcool avant.

Aujourd'hui il commence tout doucement à retrouver sa bonne humeur et à vouloir refaire quelque chose de sa vie.

Pour son caractère, il joue souvent les grands enfants en n'hésitant pas à se mettre en scène avec beaucoup d'autodérision pour surprendre et faire sourire son interlocuteur. Quand il a bu ou qu'il déprime, il change radicalement de personnalité. Son autodérision se transforme en cynisme et il a tendance au syndrome du vieux cow-boy solitaire n'ayant besoin de personne.
Il a acquis un vocabulaire assez fourni, et aime bien s'engager dans des joutes verbales taquines ou jouer avec les mots.
Il aime chanter et jouer de ses instruments et a acquis un petit repertoire même si le thème est très souvent grivois (ce qui ne l'empêche pas d'avoir un grand respect pour le beau sexe).

Il a un tic assez exotique : Pendant un combat il ne peut s'empêcher de parler tout le temps, même dans sa barbe, il faut toujours qu'il bredouille quelque chose, que ce soit une chanson, un poème, une recette, un échange qu'il a eu avec une poissonière etc... C'est souvent destabilisant d'autant plus qu'il ne s'en souvient jamais...




Histoire

Un rayon de Lune. Une plage souillée par deux corps chauds. Du sable frais sous le dos d'une femme acculée. Une haleine alcoolisée, des bras durs qui enserrent des poignets, des mains calleuses aux phallanges recouvertes de sang d'une autre. Un sein mordu, des jamnbes écartées et un visage tuméfié.

Je suis un acte qui vis et perdure jusqu'à maintenant et qui me colle à l'existence. Je suis la honte de ma famille, je suis malaimé et isolé.
Et si je pouvais arrêter ? Et si tout ça ne pouvait plus avoir d'importance ? Et si...

Septembre 1749, village de l'Océane.

- Je m'en vais. C'est bon cette fois c'est sûr. Monsieur Garnimont a accepté.
- Non tu ne peux pas partir, tu ne peux pas me laisser seule avec lui...
- Pourquoi soudain, tu voudrais que je reste ? Pourquoi après m'avoir toujours répété que je n'étais qu'un fardeau, une nuisance et une bouche inutile à nourrir que l'on t'as imposé, je devrais rester ?
- Tu sais ce qu'il me feras si tu pars, il va dire que c'est de ma faute et il va recommencer...
- Mais j'en ai marre ! Marre de subir pour te protéger ! Je n'ai jamais rien dit, je ne me suis jamais plaint jusqu'ici mais je viens de réaliser que ce n'était pas normal ! Ce n'est pas moi qui suis sensé te protéger. C'est toi ma mère, c'est toi qui est sensée protéger ton enfant.


Je senti ma gorge se serrer et mon estomac se tordre. Chaque mot était un effort et me donnait une sorte de nausée. La tension était trop palpable, presque insupportable mais je tenait bon, sans savoir comment. Une force me poussait à continuer à parler, à ne pas m'arrêter car j'épprouvais une sensation nouvelle en moi. Comme un odeur assomante quand on rentre dans une pièce. C'était une sensation de puissance qui s'accompagnait d'une très grande peur.

Je réalisais que, pour la première fois de ma vie, du haut de mes pauvres 14 années, j'étais enfin acteur dans ma propre histoire. Et cette réalisation failli m'empêcher de continuer et de fuir dans la passivité à nouveau. Mais ma mère était là, recroquevillée sur sa chaise, les coudes sur la table et les mains de part et d'autre de son visage, se pressant les tempes pour faire partir les vapeurs d'alcool de son esprit. L'occasion était trop belle, sa faiblesse l'empêchait de me réprimander ou de me battre comme elle l'aurait fait habituellement.

Je profitais donc de son hébétude pour me ragaillardir et continuer :

- Il fallait que je mette un terme à tout ça. Quand je serais parti, mon oncle arrêtera peut être d'être aussi violent, enfin j'espère pour toi. Moi j'ai décidé de ne plus être complice de ton malheur. La caravane part bientôt, et ils m'ont accepté en tant qu'apprenti.
- Non... arrête... tu...tu sais très bien qu'il continuera à me battre... Comment peux tu être aussi cruel ?


Une vague de culpabilité me submergea, et mon désir ardent de liberté vascilla violemment. Je ne vis plus cette femme, alcoolique, pathétique comme elle était mais à nouveau comme ma mère, malheureuse, victime...
Avec raison ou non, je me dis que moi aussi j'avais été victime et je me cachais de ce sentiment de culpabilité en déclarant :

- C'est trop tard de toutes façons. J'ai déjà signé le contrat de monsieur Garnimont, je ne peux pas m'en rétracté, je dois rester dix ans à son service...
- D-DIX ANS ?? Mais quand reviendras tu pour reprendre la ferme ?! Ton oncle est trop vieux pour continuer jusque là ! Comment as tu pu signer un contrat pareil ?! dit ma mère d'une voix paniquée.
- Si j'avais su que cela m'engageait aussi longtemps je n'aurai pas signé ! Mais personne ne m'a appris à lire ! Les voyageurs qui savent lire sont respectés et peuvent devenir des gens importants !Et tout les membres de la caravanes savent lire eux ! Plutôt rester 10 ans avec eux et apprendre des choses, que de rester ici toute ma vie dans ce taudis, à travailler comme un forcené pour que vous puissiez vous enivrer toute votre vieillesse ! Vous ne me volerez pas ma vie !


Cette dernière phrase me laissa tremblotant et parcouru de petits spasmes, je sentais que de la sueur allait poindre sous ma chemise trouée et sale. Ma vie était en train de changer, jamais je n'avais oser parler aussi ouvertement et agressivement à ma mère, et je devais garder le contrôle pour ne pas m'énerver pour de bon. Si je laissais trop libre court à ma colère, elle s'en servirait contre moi pour continuer à me faire culpabiliser.
"N'y pense plus, concentre toi sur ton objectif, me dis-je. Il faut juste que tu partes d'ici, c'est la seule chose à avoir en vue. Part d'ici en étant clair, ne leur fait pas le plaisir de fuir."

Ma mère semblait s'être un peu réveillée, et avec appréhension je la vis poser ses poings serrés sur la table, elle tourna sa tête vers moi et je vis dans ses yeux de la colère qui me glaça le sang.

- Imbécile de gosse ! Jamais tu ne survivras dans ce monde ! Les routes sont dangereuses et tu mourras, toi et tes foutus marchands, égorgé dans un fossé !

Toute ma peur s'en alla pour être remplacée immédiatement par la colère. Comment osait elle me voir encore comme un faible ?! J'avais envie de la frapper, de lui dire que j'étais fort, plus fort qu'elle et que je reviendrais pour les écraser plus tard, elle et son imbécile de frère autoritaire et tyrannique. Toutes ces pensées que j'avais ruminé des heures durant en travaillant sur les docks avec mon oncle ou quand je m'enfuyais pour aller jouer sur les falaises. Je pouvais dès maintenant profiter de la faiblesse de ma mère pour lui prouver que je la dominais maintenant, que je n'étais plus sa propriété.

Mon poing et mon bras se contractèrent, j'étais prêt. J'allais la frapper à la tempe avec mes deuxième phalange, mais une petite voix m'en empêcha. C'était exactement ce qu'aurait fait mon oncle. Il frappait toujours de cette manière, à cet endroit. Une répulsion pour le geste que j'allais commettre me calma instantanément. Je me détendis et dit avec une voix posée :

- C'est trop tard pour reculer. Si cela arrive je doute que tu seras vraiment triste en l’apprenant. J'y vais pour de bon cette fois. Au revoir mère.

Je me retournais, attrapais mon sac de farine usé que j'utilisais pour transporter quelques vêtements, une miche de pain et du fromage. Alors que je franchissais la porte, j'entendis ma mère se mettre à pleurer derrière moi mais dans un dernier effort, je barricadais mon cœur et avançait sur la route vers le village et la caravane de marchands.

Évidemment à cette époque je ne pouvais me douter que mon village serait détruit par les vampires à peine quelques mois plus tard, et rien que d'y penser suffit à me glacer le sang. J'ai souvent ruminé cet événement... Si j'avais été là, peut être en eut-il été autrement ? Si j'étais resté là bas, peut être serais je mort moi aussi et je n'aurai pas à porter la mémoire de ces gens que je dois considérer comme mes proches. Mes vrais proches étaient mes amis de la caravane et je ne dois mes prières et ma loyauté qu'a eux.

Ce que je considère comme les meilleures années de ma vie je l'ai passé avec eux.

Au début, j'eus beaucoup de mal à m'intégrer, je n'osais parler à personne et je me sentais mal à l'aise sur mon cheval qui s'arrêtais souvent à cause de ma nervosité. Ce n'est qu'une fois avoir eu le courage de demander à Monsieur Garnimont de m'apprendre que je commençais à parler vraiment avec lui et plus tard les autres membres.

Une fois ma place trouvée dans le groupe j'appris très vite comment fonctionnait le convoi. Mon rôle au début étais surtout de communiquer entre les différentes parties de la caravane afin d'informer tout le monde de l'état de la route ou de prévenir tout le monde lorsque nous étions attaqués même si cela ne nous arrivait pas souvent. Avec le temps et l'entrainement on me confia les missions de reconnaissance de terrain et on m'affecta finalement à la garde de la partie principale du convoi, c'est à dire les chevaux et la roulotte de maréchal ferrand de Monsieur Garnimont, le chef de la caravane.
Cet homme avait un don pour rendre les voyages moins longs avec ses discussions aux sujets inépuisables et son répertoire étoffé de chansons paillardes et de ballades champêtres. Il réussit d'ailleurs à m'initier à la musique et je garde encore la flûte et la petite cithare qu'il m'a offert comme mes biens les plus précieux.
C'était un homme qui avait le coeur sur la main mais c'était surtout un marchand négociateur hors-pair et souvent, chaque savoir qu'il me transmettait valait une contrepartie, un travail de réparation en plus à effectuer, une corvée de vaisselle en plus etc...
Même si parfois ses exigences m'agaçaient, je n'ai jamais réussi à lui faire baisser ses prix et je me pliait toujours à ses petites lubbies car, au bout d'un moment, je compris que cela me rendait heureux de "mériter" ainsi le savoir que j'acquerais et me le faisait chérir d'autant plus.

Mais ce n'était pas toujours aussi agréable, et parfois même très difficile. Je me rappelle assez bien d'un de mes entrainements avec Brise-Pif une guerrière et une forgeronne incroyable qui voyageait avec Garnimont depuis le début de la caravane.

- Allez hop ! On se relève !
La voix autoritaire cingla sur moi et je me recroquevillait sur ma main endolorie, allongé sur le sol en position foetale, torse nu, recouvert de poussière et ma hache d'entrainement au fer emoussé, emmaillotée de chiffons posée à côté de moi. Je senti une poigne ferme m'attraper car la queue de cheval et me relever la tête douloureusement.


- Déjà fatigué ?
Brise-Pif me regarda avec l'air d'un dresseur qui regarde un chien qui n'arrive pas à comprendre l'ordre le plus simple.


- La ... la hache est trop lourde et je n'arrive pas... à la manier comme je veux...
dis je d'un ton éssouflé et plaintif. Lorsque... tu m'as dit que tu m'enseignerais les armes... je pensais plutôt que j'aurai une épée ! Et que... tu me parlerais de tactique et de technique ! Pas que je mordrais la poussière à longueur de temps !


Brise-Pif secoua la tête et cracha par terre.
- J'aurai peut être du commencer par ça, si le seul moyen pour que tu mettes enfin du coeur à l'ouvrage c'est de te causer alors je vais causer !
"Le meilleur moyen pour apprendre les armes c'est de prendre des coups. S'il en existe un autre je n'ai rencontré aucun guerrier ou bretteur pour me contredire, dit elle en m'aidant à me relever.
La hache ce n'est pas très sophistiqué comme arme et tu ne te distinguera pas auprès des poules autant qu'en gigotant une rapière ridicule, mais avec ça tu devrais consolider un peu ta carcasse en y mettant du muscle et pouvoir rester en vie.
Elle est souvent considérée comme barbare par la plupart de ces messieurs les nobles et les citadins, mais souviens toi qu'ici nous sommes sur les routes et que les bandits n'auront pas le scrupule de respecter les règles d'un duel à mort sur l'honneur.
La hache est une arme de mélée qui se révèle très utile quand on est assailli par plusieurs adversaires. Elle est faite pour tailler et parer, comme l'épée, mais aussi pour cogner et avec une portée qui porte plus latéralement qu'une lame d'estoc. Le manche ne sert pas qu'à parer et à donner plus de portée à ton fer, il faut l'utiliser sur toute la longueur pour fouetter l'espace autour de toi mais aussi frapper par surprise par l'autre bout pour destabiliser. Les coups d'estocs de la hache cognent aussi très dur et peuvent enfoncer un plastron et briser quelques côtes si l'on frappe assez fort. Le manque de précision de la hache par rapport à l'épée est compensé par sa puissance redoutable qui endommage l'armure, la déforme pour gêner les mouvements de l'adversaire et permet de l'avoir à l'usure.
L'inertie de chaque coup est utile dans la danse de la hache car tu balaye l'espace autour de toi pour te rendre dangereux et imposer ton rythme à l'adversaire.
Ensuite même les coups qui sont parés ne sont pas perdus pour toi, car la force de l'impact endommagera l'équipement et l'équilibre de l'adversaire. C'est un outil formidable, facile à se procurer, mais il est exigeant en endurance et en puissance pour ne pas être pris de court niveau rapidité. Alors si j'ai enfin réussi à te vendre la hache j'espère que tu vas enfin t'y mettre et te bouger les miches."


Toujours pas convaincu, je rattrappais mon arme sans entrain et me mis en position comme elle m'avait appris à le faire de et j'attendis son signal. Elle renifla dédaigneusement et hocha la tête. Je me lançais en essayant quelques moulinets mais elle para en deviant chacun de mes coups, me désarma et me mit à terre en me fauchant les jambes.
"Non, tu ne comprend pas. Tu ne veux pas comprendre comment manier cette hache parce que tu ne sais pas te manier toi même. Tu es frêle, hésitant et convaincu que tu ne vaux rien. Comment veux tu que je considère comme autre chose qu'un insecte quand tu es persuadé d'en être un ? Allez c'est fini, vas te coucher, on a de la route demain et on reprendra le soir."

Je me relevais en me massant les jambes et regardait Brise-Pif s'en aller et je sentis la colère gonfler à l'intérieur de moi, la même colère que j'avais ressentie lorsque ma mère m'avait dit que j'étais trop faible pour pouvoir voyager. C'était un terrible sentiment d'injustice et de rebellion que je voulais crier à tout le monde et surtout à moi même mais qu'il m'étais impossible d'exprimer. Alors cette fois ci je ne résistais pas à la pulsion, je gonflais mes muscles, j'attrapais mon arme et me jettais sur Brise-Pif en hurlant. Celle ci se retourna, surprise, et eut juste le temps de bloquer mon coup vertical qui, j'en étais convaincu, lui aurait certainement coupé le visage en deux. La suite est assez floue dans mon souvenir, nous enchainâmes les passes d'armes, pendant toute la nuit, ne s'arrêtant que pour souffler et éponger la sueur sur nos fronts, et ce ne devait être qu'au petit matin que je m'écroulait enfin de fatigue car je me reveillais le lendemain aux alentours de midi, dans une des roulotte, la voix absolumment cassée, contusionné de partout et complètement groggy. Ce soir là, Brise-Pif me dit que j'avais compris le truc et que si je mettais autant de coeur que cette nuit dans chaque entrainement et chaque combat, je deviendrais un très bon guerrier. Elle m'appris aussi que je n'avais pas arrêté de chanter ou bredouiller des phrases sans queue ni tête pendant tout les combat et que cela l'avait beaucoup surpris et agacé. Quand je lui dit que je n'en avais aucun souvenir, elle sourit et me dit d'un air satisfait que c'était une bonne tactique pour agacer l'adversaire et que l'instinct avait du prendre le dessus et que c'était le principal.

Un autre personnage important pour moi s'appelait Laowë. C'était un elfe herboriste qui vendait des petites potions et des simples qui facilitaient grandement la vie de tous les jours et il m'accueillait toujours dans sa roulotte pour me soigner après les entrainements de Brise-Pif. Lui qui étais absolumment pacifiste de nature, n'approuvait pas cet entrainement drastique mais ne pipait mot. Il observait toujours une certaine retenue, ne s'énervait jamais et était d'une patience infinie. Quand il apprit que je ne savais pas lire il m'invita à venir apprendre sur le banc de sa roulotte quand j'avais du temps libre et nous passâmes plusieurs saisons à étudier son vieil herbier, ouvrage conséquent remplis de schéma et d'explications sur toutes sortes de plantes qui lui servaient à concocter ses potions et ses simples. J'en appris beaucoup sur la nature, le fonctionnement des plantes et des animaux à son contact et j'avais toujours l'impression que le temps s'arrêtais autour de nous quand nous étions tout les deux et que nous discutions simplement.

Malheureusement évoquer ces personnes me rend souvent nostalgique car aujourd'hui tous ces gens ne sont plus, ils n'ont pas survécu à l'invasion Alayienne. Un par un, les membres de la caravanes sont tombés, d'abord pendant des escarmouches avec des bandits rendus plus nombreux et audacieux à cause de la guerre, puis lors d'une altercation avec l'armée d'invasion. Sur la route d'Elenna à Gloria, l'armée rattrapa la caravane et exécuta sommairement tous ses membres. Retenu à Elena par une violente fièvre je devais rattraper la caravane sur la route vers Gloria. Ce que je sais de ce qui arriva ce jour là je l'ai déduit des lieux de l'escarmouche et les visions me hantent encore aujourd'hui. J'appris plus tard que les Alayiens tuaient sans distinctions les elfes et les pratiquants de la magie. Refusant de remettre Laowë entre leurs mains pour qu'il soit exécuté, monsieur Garnimont avait du préférer s'opposer et mourir plutôt que de trahir son ami, noblesse de coeur que je ne pouvais qu'amèrement approuver.

Une fois encore le destin m'a empêché d'aider ma famille ou de mourir parmi eux. Sans plus rien à quoi me rattacher je me suis dirigé vers Gloria comme il était convenu et sur le chemin je réussi par je ne sais quel miracle à ne pas me faire surprendre par l'armée et à arriver à Gloria avant que la ville ne soit totalement fermée.
J'ai vécu dans la misère des bas quartiers gloriens, vivant de petits boulots manuel ou ennuyeux, pendant beaucoup plus de temps que je ne l'eu escompté. Même quand Vraorg prit la cité je restais et continuait à survivre dans les rues sans réel but. Je me trouvais un emploi de garde dans une taverne en devenant ami avec le patron et en le faisant rire.

"Tu vas voir elle vraiment pas mal, clinquante, caractère et formes bien trempés comme les clients les aime" m'avait dit Éric La Tourbière, le patron de la taverne du Chat de Rue en parlant d'une nouvelle serveuse. À cette époque je n'aimais pas beaucoup me lever avant midi mais le patron voulait que je rencontre la fille et que je la rassure un peu en montrant que j'étais là pour que personne ne vienne la coller de trop près ou lui cherche des crasses. J'avais accepté mais le réveil se faisait encore plus dur que d'habitude
Je me réveillais, la tête assaillie d'une gueule de bois presque ennuyeuse tant elle manquait d'originalité. Un bruit sourd dans les oreilles, les tempes qui veulent exploser et les cheveux qui semblaient vouloir pousser à l'intérieur, rien de neuf. Je me levais dans le misérable cagibi que La Tourbière m'avait aménagé pour dormir et je maudissait la lumière ou la pluie, en fonction du temps, qui tombait du toit et éclaboussait la pièce . Je mettais mon uniforme sale de taulier, regardais avec nostalgie ma bonne vieille hache qui prenait la poussière dans son coin et je prennais mon bout de bois cerclé de fer plein de noeuds et d'entailles qui me servait de gourdin pour virer les gueux. Je me posais au comptoir et j'attendais de voir le gros Tino sortir de la cuisine avec mon infusion et mon assiette de ragoût habituels du matin. Le colosse arrivait de sa demarche bedonnante de la cuisine et se frottant les mains sur son tablier. Il posait les plats, me regardait avec ses yeux vitreux et sombres, faisait bouger un peu sa machoire molle pour machonner un bout de chique, attendait que je lui dise merci, et repartait comme il était venu vers la cuisine. Je n'ai jamais essayé de ne pas lui dire merci, les géants obèses muets comme des carpes qui manient les couteaux de boucher, je ne préférais pas les contrarier.
Et ce matin, tout en mangeant, je l'aperçu dans un coin. C'était une beauté simple, tâches de rousseur sur une frimousse ronde, yeux de biches verts, nattes rougeoyante et robe simple.

"T'éviteras de me faire le même coup qu'avec l'autre, j'en ai marre d'aller chercher des filles correctes pour qu'elle finissent dans ton plummard, elles commencent à se faire rares dans le quartier..." m'avait dit La Tourbière, mais quand elle me fit un petit sourire nerveux et qu'elle commença à s'approcher avec sa démarche timide pour me saluer je soupirais intérieurement.
Désolé patron, je vais faire ce que je peux, mais là je garantis rien.

Elle se présenta : Malta, un nom bien adapté pour une serveuse peut être même trop d'ailleurs, et elle me demanda avec nervosité si la taverne n'était pas trop mal famée. Pour jouer le jeu, je me montrai distant et évasif, la taverne avait parfois ses soirées d'enfer où les braillements et l'odeur de sueur étaient étouffants mais avec les vieux briscards habituels elle n'aurait jamais de problèmes. Elle était toujours un peu nerveuse et elle me demanda si mon rôle n'étais pas trop éprouvant ou si j'avais déjà eu des problèmes. Je voyais où elle voulait en venir, elle voulait me jauger. Mon mal de crâne n'étant toujours pas passé, et mon orgueil un peu sensibilisé par la fatigue, je lui répondis sèchement qu'aucun soiffard n'avait cassé de mobilier depuis que j'étais là et que j'étais plus que capable de garder la maison des chiens des rues en manque de bagarre. Elle me fit une petite mine triste et arrêta là la conversation tandis qu'un premier client rentrait et qu'elle allait à sa rencontre. Je soupirais à nouveau. Désolé patron.

Malta se familiarisa vite avec son nouveau travail et quelques mois passèrent sans qu'aucun problème particulier ne lui arrive. Mais plus le temps passait, plus mon esprit distrait s'égarrait sur ses courbes généreuses, dans la volupté de sa crinière, ou, par instants fugaces, dans ses grands yeux verts envoutants. La Tourbière ne m'avait pas facilité la tâche sur ce coup ci.
Puis ce fut la guerre et le siège de la ville. Le nouveau dirigeant, Vraorg le blanc, passa sur la ville comme un raz-de-marrée et nous dûmes parfois nous cacher dans le cellier pour éviter les problèmes. Heureusement la taverne étant miteuse à souhait, les visiteurs ne restait jamais longtemps et n'ont jamais réussit à forcer la porte que nous avions renforcée et derrière laquelle nous nous planquions. Sans doute l'odeur du canniveau de la rue avait elle repoussé les pilleurs les plus farouches mieux que les remparts.
Après cela le bas quartier vit une vague de réfugiés de guerre affluer et je me retrouvais de plus en plus mis à l'épreuve par les vagues de miséreux désespérés venus voler, crier, s'assomer dans l'établissement. La criminalité augmentait, les violences éclataient de plus en plus, et moi je devais contenir cette vague pour que la taverne ne deviennent pas le repère de ce mal insidieux qui semblait avoir gagné toute la ville avec l'arrivée de Vraorg. Je me trouvais au fond du trou de l'humanité et tel un cerbère je devais écouter et regarder ces êtres à peine humains se lamenter ou se complaire dans leur crasse. J'espère ne jamais devoir assister encore à ce triste spectacle et à me retrouver dans le même état profond de dépression que j'épprouvais alors.

Un jour, un groupe de traine-savates particulièrement stupides et agressifs visitèrent la taverne et je dus les virer un par un au terme d'une bagarre interminable déclenchée par pur prétexte. Après avoir chasser tout les clients et fermé le bar, je me posais à une table et commençait à me bander les blessures. Le gros Tino et La Tourbière était partis quand Malta vint me voir en se tenant la hanche. Elle me demanda, le visage rouge comme une pivoine, de bien vouloir lui soigner la hanche car elle s'étais pris un tabouret dans le flanc. Elle defit lentement son corsage et se présenta à moi comme ceci, telle une fleur de printemps perçant sous la neige. Cette vision si simple et pourtant si pure me sortis pour la première fois du miasme noir de mon esprit.
Avec des gestes délicats je la rapprochais de moi et en soignant son éraflure je me fis le plus doux possible, mais n'hésitant pas à laisser mes mains carresser son ventre un peu ron ou le haut de sa cuisse. Quand j'eus fini je relevai la tête et nous nous regardâmes. Je vis sur son visage ce que j'avais envie de voir depuis longtemps et nous nous embrassâmes. La suite vint naturellement et aussi simplement que le printemps remplace l'hiver je repris goût à la vie.
Posé sur mon lit, Malta blottie à mes côtés, je soupirais, de contentement cette fois. Désolé patron.

Je cheris cet instant fugace que la vie m'a offert en ce temps là, car le lendemain à peine une bande de quatre "soldats" vint faire une descente dans la taverne, armés jusqu'aux dents d'épée et de lances. C'était clairement des parvenus sans manières, venus voir à quel point ils pouvaient abuser de leur autorité. Ils m'apprirent alors que Malta était une fugitive, que mon intuition sur son nom pouvait se révéler juste et qu'elle était soupçonnée d'être l'auteur d'une liste interminable de vols de nourriture et de petits biens utilitaire. N'y croyant qu'à moitié, je tentais de discuter son arrestation en la défendant mais l'on me fit taire d'un coup de matraque et après avoir pris mes effets personnels, on m'emmena pour devenir volontaire dans l'armée. Je ne sus jamais ce qu'il advint de Malta mais je suis presque certain que les quatre soldats ne cherchaient aucune femme en particulier ce jour là. Je retombais alors dans mon état dépressif et on me juga bien en dessous de mes capacités réelle de combat et on me mit dans une cohorte d'avant garde avec le reste de la chair à canon.
Heureusement je n'eu jamais à me battre contre quoi que ce soit car je désertai avant la bataille du désert d'Esfelia. Un souffle désespéré de liberté avait soufflé sur moi et avec toute ma chance et mon habileté je parvins à m'échapper dans la nature, jusqu'à rejoindre les alentours de Caladon.

Le temps d'y arriver la situation s'était calmée et je pus repartir sur des bases plus solides qu'à Gloria grâce à l'essort de la cité et aujourd'hui je me suis remis à l'entrainement à la hache, je vivotte entre les petits boulots de mercenariat et je reprend goût à l'humour et à la vie.




Liens

Sa mère et son oncle (Décédés) : Ce sont les personnes qui se sont occuppé de lui jusqu'à ses 14 ans. Il les détestaient mais ne peux s'empêcher de s'en vouloir de les avoir quitté et qu'ils soient mort alors qu'il n'était pas là. Encore maintenant il n'aime pas parler de ça et cela en résulte qu'il a souvent peur de perdre ses proches et a eu du mal a s'attacher à qui que ce soit pendant la période de guerre contre Alayia et Vraorg.

Monsieur Garnimont (décédé): Son père adoptif, marchand malin et excentrique parcourant l'empire humain pour diffuser son savoir-faire avec les chevaux et savant s'entourer de personnes talentueuses. Il avait toujours le sourire aux lèvres et savait jouer de son apparente bonhommie pour cacher un esprit aiguisé et subtil en affaire. Archibald le considère comme son bienfaiteur et fait perdurer son esprit d'entraide en se montrant sympathique et gentil avec les personnes qu'il rencontre.

Brise-Pif (décédée): Une guerrière farouche et aguerrie qui fut son maître d'arme. Elle lui appris à se servir d'une hache de bataille, arme peu noble mais facile à se procurer et utile pour fortifier sa carrure. Comme la plupart des femmes soldat, sa féminité se trouvait dans la grâce souple du combat, la minutie de la préparation du gibier. Pour le reste c'était un mâle en puissance, chantant fort de sa grosse voix ou fronçant les sourcils et gonflant les biceps pour imposer sa force. Pour Brise-Pif la vie était simple et aucune situation n'était compliquée et Archibald aimait bien cela.

Laowë (décédé) : Un elfe herboriste calme et patient. Il lui a appris à lire, à reconnaitre les plantes, à se repérer avec le soleil ou les étoiles, à cuisiner et plein d'autre choses utiles en voyage. Il lui a donné une haute estime des elfes et il rêve d'aller visiter le royaume elfique.

Jorik, le bourgmestre de Caladon : Il a déjà eu des problèmes avec la garde de Caladon et même si il considère Jorik comme un rabat-joie il ne lui montre aucune animosité car il respecte pour son travail.

Mellila Abra, dirigeante élue de la guilde des commerçants : Il ne l'a jamais rencontré mais éprouve du respect à son égard pour avoir su s'attirer les voix de la guilde des marchand pour se trouver à sa tête.

Dirigeants de l'empire : La caste des nobles et des dirigeants indiffère Archibald. Ayant vécu pendant longtemps dans la misère des bas-quartier de Gloria il considère les gens aisés dans leur faste et leur pouvoir comme risibles et aime se moquer d'eux, parfois à ses dépends.




Derrière l'écran

Petite présentation : Je m'appelle Nathan, j'ai 19 ans, j'étudie la communication sur internet et j'aimerai me tourner vers la vidéo. J'ai essayé d'écrire des trucs depuis le collège et ça me plait vachement alors je viens ici surtout pour m'améliorer.
Rythme rp : Avez vous bien comprit le rythme rapide d'Armanda ? Ouaip c'est pour ça que je suis venu, j'aimerai devenir plus rapide en écriture :b
Particularités rp : J'ai déjà fait un peu de rp sur skyrim et même si au début c'était un peu balbutiant, je me suis pris au jeu et j'ai beaucoup aimé ça. Malheureusement le forum où j'écrivais avais beaucoup de mal a tenir sur la longueur et les rp se terminait vite parce que les MJ avaient des problèmes IRL :/ (Petit exemple de rp, mon pseudo c'est Pautofeux et je jouais un barde vicelard)
Comment avez vous découvert le forum ? : J'ai tapé "rp par forum" sur Google, j'ai trouvé un site qui faisait un classement, j'ai vu que Armanda était bien côté alors voilà o/
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MessageSujet: Re: Archibald Habbot [Terminée] Archibald Habbot [Terminée] Icon_minitimeMar 7 Fév 2017 - 17:07

Bon bah on voit comment ça se passe pour la validation ^^
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MessageSujet: Re: Archibald Habbot [Terminée] Archibald Habbot [Terminée] Icon_minitimeMar 7 Fév 2017 - 18:25

Bonjour Archibald o/. C'est moi qui vais m'occuper de ta correction :3 .

Identité :

Rang social : Petit peuple serait mieux comme terme^^. Prolétariat est plus un terme employé dans les temps modernes.

Emploi : Met plutôt mercenaire, cela englobe les deux métiers^^.

Equipement et magie :

Pas d'enchantements dans l'équipement? Si tu le désire tu peux posséder deux enchantements de types maléfiques/asbeth/renforcement, ou un seul de type draconique^^. Voici le lien de la boutique des enchantements pour t'aider : http://www.armanda.net/t4480-boutique-des-enchantements-et-ameliorations

Alignement : Met plutôt "neutre à tendance bénéfique".

Caractéristiques :

Martial : Ton personnage maîtrise trop d'armes. Je te laisse une arme à très bon, une à bon, une à moyen et une à faible.

Pas besoin de retoucher à équitation, art de la parade et au dressage.

Description physique :

C'est assez court, mais ça peut aller^^.

Description mentale :

Pourrais tu étoffer davantage? En donnant par exemples les opinions de ton personnage sur les autres peuples? Ses goûts? Ses tics, ou petites bizarreries (s'il en a) ? Attention aux quelques fautes qui traînent^^.

Liens :

Tu devrais étoffer en évoquant ses liens familiaux par exemple. Ses relations avec des gens importants pour lui, ainsi que son opinion envers le dirigeant de Caladon, Jorik^^.

http://www.armanda.net/t7035-les-caladoniens

Derrière l'écran :

Bienvenu sur Armanda Nathan, j'espère que tu t'y amusera beaucoup Wink .

Histoire :

Citation :
Malheureusement évoquer ces personnes me rend souvent nostalgique car aujourd'hui tous ces gens ne sont plus, ils n'ont pas survécu à l'invasion Alayienne. Un par un, les membres de la caravanes sont tombés, d'abord pendant des escarmouches avec des bandits, puis lors d'une altercation avec l'armée d'invasion. Sur la route d'Elenna à Gloria, l'armée rattrapa la caravane et exécuta sommairement tous ses membres pour s'emparer du chargement. Retenu à Elena par une violente fièvre je devais rattraper la caravane sur la route vers Gloria. Ce que je sais de ce qui arriva ce jour là je l'ai déduit des lieux de l'escarmouche et les visions me hantent encore aujourd'hui.

Ce n'est pas vraiment la manière de faire des alayiens. Ils pouvaient exécuter des civils en effet, mais il faut de bonnes raisons pour cela. En voici quelques-unes :

-On est au début de l'invasion et ce sont des hérétiques qui refusent de se convertir, ou des Armandéens qui s'opposent activement aux alayiens.

-On est après le début de l'invasion et ce sont des membres de la rébellion.



Pour le reste, tu devrais étoffer davantage les passages évoquant ce que ton perso a vécu pendant ces différentes périodes, ainsi que ce qu'il en pensait^^. Je ne te demande pas non plus d'écrire des pavés, mais juste d'étoffer. Pour qu'ainsi on voit avec plus de discernement l'évolution de ton personnage au cours des dernières années.
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MessageSujet: Re: Archibald Habbot [Terminée] Archibald Habbot [Terminée] Icon_minitimeJeu 9 Fév 2017 - 23:19

Merci de ton aide Lewyn Smile

Alors du coup j'ai fait les modifications que tu m'avais demandé :

- Identité : j'ai fait comme tu as dit.

- Equipement magie et alignement : j'ai écrit correctement l'alignement et je ne prend pas d'enchantement parce que mon personnage n'a jamais été vraiment en contact avec la magie et il ne sait pas en faire.

- Caractéristiques : j'ai réduit le nombre d'armes maitrisée, j'espère que ça va (normalement ça respecte tes critères)

- description mentale : j'ai rajouté quelques trucs après ce que j'avais déjà mis, dis moi si c'est ce que tu voulais voir ou si tu veux que je trouve d'autre choses.

- Liens : j'avais zappé cette partie là autant pour moi ^^ j'ai mis les liens que mon personnage avait avec sa famille décédée et ce qu'il pense des dirigeants de Caladon ainsi que ceux de l'empire. Sinon il n'a pas contracté d'autres liens particuliers.

- Histoire : j'ai rajouté plein de trucs après l'intro où mon personnage part de chez lui. J'ai un peu étoffé la vie qu'il avait pendant ses voyages et sa vie à Gloria (à ce niveau là je ne suis pas trop sûr de moi, dis moi si cette histoire s'inscrit bien dans le contexte)
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MessageSujet: Re: Archibald Habbot [Terminée] Archibald Habbot [Terminée] Icon_minitimeVen 10 Fév 2017 - 8:58

Citation :
- Equipement magie et alignement : j'ai écrit correctement l'alignement et je ne prend pas d'enchantement parce que mon personnage n'a jamais été vraiment en contact avec la magie et il ne sait pas en faire.

La magie est une chose "très courante" sur Armanda, elle l'était certes moins avant le retour des dragons même si elle existait toujours, mais actuellement c'est aussi quotidien qu'un smartphone le serait dans nôtre monde contemporain. En somme ton personnage y a forcément était confronté très souvent, sans oublier que les armandéens sont tous mages à leurs manières et que là-plupart possèdent un esprit totem depuis au moins 8 ans de cela.

-Pour la description mentale ça peut aller^^.

-Pareil pour les liens o/.

Histoire :

Il reste juste quelques détails à corriger^^.

Citation :
Puis ce fut la guerre et le siège de la ville. Le nouveau dirigeant passa sur la ville comme un raz-de-marrée et à part lorsque nous dûmes nous cacher dans le cellier, le bas-quartier émergea de la guerre presque inchangé. Sans doute l'odeur du canniveau des rues avait elle repoussé les soldats mieux que les remparts.
Après cela le bas quartier vit une vague de réfuigiés de guerre affluer et je me retrouvais de plus en plus mis à l'épreuve par les vagues de miséreux désespérés venus voler, crier, s'assomer dans l'établissement. Je me trouvais au fond du trou de l'humanité et tel un cerbère je devais écouter et regarder ces êtres à peine humains se lamenter ou se complaire dans leur crasse. J'espère ne jamais devoir assister encore à ce triste spectacle et à me retrouver dans le même état profond de dépression que j'épprouvais alors.

Tu parle de Vraorg le blanc quand tu parle du nouveau dirigeant? Je suppose car ce serait son règne qui correspondrait le plus à ta description même s'il y aurait certains détails à changer. Car dans les faits la venue au pouvoir de Vraorg a considérablement détériorée la situation des pauvres et des gens du peuples. Il a mit sur place une société inégalitaire et totalitaire ne profitant qu'à une élite, à tel point que le retour de l'ancien roi suite à la guerre avait été perçut à raison avec soulagement par les gens du commun. De plus pendant le règne de Vraorg le quartier pauvre avait été un repère de danger et de criminalité comme il ne l'avait jamais été auparavant. Et les gens du quartier pauvres vivaient dans la peur, que ce soit des criminels hors de contrôles et des autorités. (sans oublier que les vampires étaient privilégiés par Vraorg, donc avaient des droits sur la population dont ils pouvaient abuser à l'époque)

Citation :
Je cheris cet instant fugace que la vie m'a offert en ce temps là, car le lendemain à peine l'ordre d'obsidienne vint faire une descente dans la taverne avec quelques gardes armés. J'appris alors que Malta était une fugitive, que mon intuition sur son nom s'étais révélée juste et qu'elle était soupçonnée de pratiquer la magie et donc poursuivie par l'ordre. Je tentais de discuter son arrestation en la défendant mais l'on me fit taire d'un coup de matraque et après avoir pris mes effets personnels, on m'emmena pour devenir volontaire dans l'armée. Je retombais alors dans mon état dépressif et on me juga bien en dessous de mes capacités réelle de combat et on me mit dans une cohorte d'avant garde avec le reste de la chair à canon.

Pendant l'époque de Vraorg l'ordre d'obsidienne n'était absolument plus en activité^^. L'ordre d'Obsidienne qui est une manière de nommer l'armée alayienne s'était pour la grande majorité rallié au protectorat pour lutter contre Vraorg qui avait manipulé Néant et volé ses pouvoirs, même si cela impliquait de s'allier avec les anciens ennemis. Il serait plus adéquat dans les faits à l'époque de Vraorg que ce soit la descente de soldats théocrates désirant abusé de leurs droits sur les pauvres (c'était tout à fait leurs genres.).
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MessageSujet: Re: Archibald Habbot [Terminée] Archibald Habbot [Terminée] Icon_minitimeVen 10 Fév 2017 - 15:08

Merci de tes précisions Alford Very Happy même si j'ai lu les événements dans les grandes lignes, je ne connaissais pas bien la situation du petit peuple pendant le règne de Vraorg et je me doutais bien que cette partie de l'histoire serait à modifier ^^' Je m'en vais corriger cela.

Pour la magie je ne suis pas trop sûr de savoir ce que je peux accorder à mon personnage, de même que pour l'esprit totem.
Je vais juste opter pour une utilisation faible de la magie, surtout sur les sorts pratiques et de préparation au combat et pas les sorts offensifs que l'on lance pendant les combats parce que mon perso perd sa concentration.
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MessageSujet: Re: Archibald Habbot [Terminée] Archibald Habbot [Terminée] Icon_minitimeVen 10 Fév 2017 - 15:14

Citation :
Merci de tes précisions Alford Very Happy même si j'ai lu les événements dans les grandes lignes, je ne connaissais pas bien la situation du petit peuple pendant le règne de Vraorg et je me doutais bien que cette partie de l'histoire serait à modifier ^^' Je m'en vais corriger cela.

Ne t'inquiète pas, si je m'occupe de ta fiche c'est pour t'aider à bien t'insérer dans l'univers d'Armanda après tout Wink .

Citation :
Pour la magie je ne suis pas trop sûr de savoir ce que je peux accorder à mon personnage, de même que pour l'esprit totem.
Je vais juste opter pour une utilisation faible de la magie, surtout sur les sorts pratiques et de préparation au combat et pas les sorts offensifs que l'on lance pendant les combats parce que mon perso perd sa concentration.

Pour le niveau magique et ton totem, cela est laissé aux soins du staffeux qui corrige ta fiche (moi en somme), mais je prendrai en compte le fait que tu ne pense pas orienter ton perso vers la magie^^.

Dans tout les cas, je suppose du coup que tu ne veux toujours pas d'enchantements sur ton équipement? (c'est ton droit si c'est le cas.)
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MessageSujet: Re: Archibald Habbot [Terminée] Archibald Habbot [Terminée] Icon_minitimeVen 10 Fév 2017 - 16:30

Citation :
Ne t'inquiète pas, si je m'occupe de ta fiche c'est pour t'aider à bien t'insérer dans l'univers d'Armanda après tout Wink .

Et je t'en remercie tu es très gentil Very Happy

Citation :
Dans tout les cas, je suppose du coup que tu ne veux toujours pas d'enchantements sur ton équipement? (c'est ton droit si c'est le cas.)

Je ne peux pas résister à la tentation du coup XD
J'ai mis Fantôme de cuir sur la cape de voyage vu qu'elle est utilisée constamment et qu'elle a besoin de solidité.
J'ai aussi mis Poids Variable sur la hache ça va ?


Citation :

Pendant l'époque de Vraorg l'ordre d'obsidienne n'était absolument plus en activité^^. L'ordre d'Obsidienne qui est une manière de nommer l'armée alayienne s'était pour la grande majorité rallié au protectorat pour lutter contre Vraorg qui avait manipulé Néant et volé ses pouvoirs, même si cela impliquait de s'allier avec les anciens ennemis. Il serait plus adéquat dans les faits à l'époque de Vraorg que ce soit la descente de soldats théocrates désirant abusé de leurs droits sur les pauvres (c'était tout à fait leurs genres.).

C'est bon j'ai modifié Wink
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MessageSujet: Re: Archibald Habbot [Terminée] Archibald Habbot [Terminée] Icon_minitimeVen 10 Fév 2017 - 19:33

dragon

Sois le bienvenu sur tes terres, fils d'Armanda.
Tu es né avec une puissance magique innée de Correct et ton entraînement dans le domaine magique t'a permis d'atteindre un niveau Correct Tu as d'ailleurs été choisi par le totem pie dont tu as atteint le niveau 1.

Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu as aussi un profil qui pourra évoluer en jeu sur demande.

Pour tenir l'état de tes aventures à jour, tu possèdes une fiche de suivi de personnage qui se trouve en ce lieu. Tu peux y ajouter tes liens, ton inventaire, ton histoire personnelle et ce que tu souhaiteras. Tu peux aussi adresser tes questions ici.


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